Le topic des inventions et de leurs inventeurs

21 février 2005

Voila il me semble que ce topic n'a pas été créé alors je le fais !!

Ce topic regroupe toutes les inventions les plus divers et leurs inventeurs !!

Je pense que ca peut etre assez marrant

Je commence avec cette invention : LA CLEMENTINE

C’est le père Clément, un religieux féru d’agronomie, de la région d’Oran, qui, en 1900, a inventé la clémentine. Il y parvint en fécondant des fleurs de mandarinier avec du pollen prélevé sur un bigaradier, arbre qui produit l’orange amère.

http://www.aphis.usda.gov/lpa/issues/clementine/clementine.jpg

On en apprend des choses

21 février 2005

LE LEGO

En 1932, un charpentier danois, Ole Kirk Christiansen, fabriquait des voitures en bois que son fils Godtfred (futur P.-D.G. de Lego) peignit à la main. Suivirent des jouets en bois démontables puis, en 1942, la première brique plastique. Christians en forma le mot Lego à partir du danois leg godt, qui veut dire « bien jouer ». Aujourd’hui, c’est son petit-fils, Kjeld Kirk, qui dirige une affaire internationale mais restée longtemps résolument familiale.

En 1998, Lego a lancé les premiers « jeux de demain » des jouets programmables, à vocation pédagogique – résultats d’une collaboration avec le Media Lab du célèbre MIT, aux Etats-Unis, commencée en 1984. Après Billund, au Danemark et Windsor, en Angleterre, un troisième Legoland a ouvert ses portes à Carlsbad en Californie durant l’été 1999 ; Lego et ses astucieuses petites briques multicolores sont maintenant présents sur le Web avec le projet LDAPS (Lego Data Acquisition Prototyping System), destiné à éveiller l’enfant aux mystères de la science. Le LDAPS est soutenu par la NASA.

http://www.drop.com/.gif/nasa.lego.front.gif

21 février 2005

L'allumette :

Une allumette est une petite tige de bois ou de carton, destinée à créer une flamme, grâce à son extrémité enduite d'un produit chimique inflammable par friction.

On a connaissance, dès le VIe siècle, en Chine, de bâtonnets de pin imprégnés de soufre, qui auraient eu le même usage.

Le mot allumette date des environs de l'an 1200 pour désigner une petite bûche destinée à faire prendre le feu.

L'allumette moderne a été inventée en 1805 par K.Chancel, assistant du professeur L.J. Thénard à Paris. Le mélange inflammable contenait du chlorate de potassium, du soufre, du sucre et du caoutchouc. Il s'enflammait lorsqu'il était plongé dans un petit flacon d'amiante rempli d'acide sulfurique. Cette sorte d'allumette, aussi onéreuse que dangereuse, ne recontra pas un grand succès.

La première allumette inflammable par friction est l'invention du chimiste anglais John Walker en 1827. Il reprit des travaux infructeux menés par Robert Boyle, en 1680, sur l'utilisation du phosphore et du soufre. Walker mit au point un mélange d'antimoine (III) sulfure, chlorate de potassium, gomme et amidon, qui pouvait s'enflammer en frottant sur une surface rugueuse. Les premières allumettes, brevetées par Samuel Jones, furent commercialisées sous le nom de lucifers. Elles présentaient d'importants défauts, la flamme étant instable et la réaction trop violente. De plus, l'odeur qu'elles produisaient était désagréable. Malgré ces difficultés d'utilisation, on considère que ces premières allumettes contribuèrent à l'augmentation du nombre de fumeurs.

En 1831, le français Charles Sauria ajouta du phosphore blanc afin d'atténuer l'odeur. Ces nouvelles allumettes, qui devaient être conservées dans une boîte hermétique, gagnèrent en popularité. Malheureusement, ceux qui travaillaient à leur fabrication furent atteint par des maladies osseuses, en particulier au niveau des machoires, liées à l'exposition au phosphore blanc. Après une campagne dénonçant ces pratiques, qui menaient à des infirmités graves, défigurantes et parfois mortelles, des actions législatives contraignirent l'industrie à changer de méthode et à protéger les ouvriers.

L'allumette de sûreté, encore appelée allumette suédoise, nationalité de son inventeur Gustaf Erik Pasch, date de 1844. La "sûreté" provient du fait qu'elle nécessite un grattoir spécial, dont les éléments chimiques interagissent avec ceux de l'extrémité de l'allumette pour s'enflammer. Le grattoir est composé de poudre de verre et de phosphore rouge, tandis que l'extrémité de l'allumette est enduite de trisulfure d’antimoine et de chlorate de potassium. La chaleur générée par le frottement transforme le phosphore rouge en phosphore blanc, qui à son tour contribue à l'inflammation de l'allumette. Une société américaine développa un procédé similaire et le breveta en 1910.

21 février 2005

L'allumette :

Une allumette est une petite tige de bois ou de carton, destinée à créer une flamme, grâce à son extrémité enduite d'un produit chimique inflammable par friction.

On a connaissance, dès le VIe siècle, en Chine, de bâtonnets de pin imprégnés de soufre, qui auraient eu le même usage.

Le mot allumette date des environs de l'an 1200 pour désigner une petite bûche destinée à faire prendre le feu.

L'allumette moderne a été inventée en 1805 par K.Chancel, assistant du professeur L.J. Thénard à Paris. Le mélange inflammable contenait du chlorate de potassium, du soufre, du sucre et du caoutchouc. Il s'enflammait lorsqu'il était plongé dans un petit flacon d'amiante rempli d'acide sulfurique. Cette sorte d'allumette, aussi onéreuse que dangereuse, ne recontra pas un grand succès.

La première allumette inflammable par friction est l'invention du chimiste anglais John Walker en 1827. Il reprit des travaux infructeux menés par Robert Boyle, en 1680, sur l'utilisation du phosphore et du soufre. Walker mit au point un mélange d'antimoine (III) sulfure, chlorate de potassium, gomme et amidon, qui pouvait s'enflammer en frottant sur une surface rugueuse. Les premières allumettes, brevetées par Samuel Jones, furent commercialisées sous le nom de lucifers. Elles présentaient d'importants défauts, la flamme étant instable et la réaction trop violente. De plus, l'odeur qu'elles produisaient était désagréable. Malgré ces difficultés d'utilisation, on considère que ces premières allumettes contribuèrent à l'augmentation du nombre de fumeurs.

En 1831, le français Charles Sauria ajouta du phosphore blanc afin d'atténuer l'odeur. Ces nouvelles allumettes, qui devaient être conservées dans une boîte hermétique, gagnèrent en popularité. Malheureusement, ceux qui travaillaient à leur fabrication furent atteint par des maladies osseuses, en particulier au niveau des machoires, liées à l'exposition au phosphore blanc. Après une campagne dénonçant ces pratiques, qui menaient à des infirmités graves, défigurantes et parfois mortelles, des actions législatives contraignirent l'industrie à changer de méthode et à protéger les ouvriers.

L'allumette de sûreté, encore appelée allumette suédoise, nationalité de son inventeur Gustaf Erik Pasch, date de 1844. La "sûreté" provient du fait qu'elle nécessite un grattoir spécial, dont les éléments chimiques interagissent avec ceux de l'extrémité de l'allumette pour s'enflammer. Le grattoir est composé de poudre de verre et de phosphore rouge, tandis que l'extrémité de l'allumette est enduite de trisulfure d’antimoine et de chlorate de potassium. La chaleur générée par le frottement transforme le phosphore rouge en phosphore blanc, qui à son tour contribue à l'inflammation de l'allumette. Une société américaine développa un procédé similaire et le breveta en 1910.

Le briquet a été inventé avant l'alumette il me semble

21 février 2005

Je ne sais pas, je ne suis pas pyromane

PontiacGTO · 21 février 2005

Le briquet a été inventé avant l'alumette il me semble

il me semble aussi

21 février 2005

LE CARAMBAR

Le fameux caramel en barre est né il y a 45 ans à la chocolaterie Delespaul-Havez, dans le nord de la France. Comme pour les « grandes inventions », le hasard semble y avoir joué un petit rôle. En effet, pour écouler des excédents de chocolat, un contremaître avait imaginé y mêler du caramel, et voilà que la machine se dérègle : au lieu de débiter des bonbons carrés, elle produit des petites barres allongées… Depuis lors, il s’est consommé des milliards de carambars : en moyenne quelque 800 millions chaque année.

http://blogsimages.skynet.be/images/000/336/524_carambar.jpg

Peanut · 21 février 2005

LE CARAMBAR

Le fameux caramel en barre est né il y a 45 ans à la chocolaterie Delespaul-Havez, dans le nord de la France. Comme pour les « grandes inventions », le hasard semble y avoir joué un petit rôle. En effet, pour écouler des excédents de chocolat, un contremaître avait imaginé y mêler du caramel, et voilà que la machine se dérègle : au lieu de débiter des bonbons carrés, elle produit des petites barres allongées… Depuis lors, il s’est consommé des milliards de carambars : en moyenne quelque 800 millions chaque année.

Et la blague Carambar ? Elle a été inventé quand ?

21 février 2005

Et la blague Carambar ? Elle a été inventé quand ?

LA BLAGUE CARAMBAR

La blague Carambar ne fait son apparition qu’en 1969, avec un concours destiné aux enfants. Les auteurs des blagues sélectionnées étaient récompensés par leur poids en Carambars. Pas d’employé de l’entreprise spécialement détaché pour inventer les blagues : aujourd’hui encore, ce sont les enfants et les adultes qui envoient leurs blagues, sans pour autant recevoir leur poids en Carambars, comme leurs aînés.

21 février 2005

Invention du Gode :

Diminutif de « godemichet », verge postiche, appelé également « olisbos », ustensile pénétrant, sans discrimination de sexe, aux vocations innombrables et universellement connu, dont les matières premières, la fabrication et l’usage remontent à la plus haute antiquité.

On a vu apparaître les premiers godemichets au 3ième et 4ième siècle sur quelques peintures et sculptures. Dans le fameux livre du Kama sutra, on peut voir des godemichets en bois et en peau de bête. On s'aperçoit qu'ils sont utilisés par les femmes mais aussi par les hommes !

Au fur et à mesure des siècles, les godemichets prennent des formes et des matières plus recherchées, pour arriver à aujourd'hui, à une collection des plus complètes et variées.

Le godemichet a donné naissance au vibromasseur, dans des circonstances des plus étranges!

On dit que c'est au 16ième siècle qu'on a diagnostiqué des symptômes tels que l'irritabilité, l'inquiétude et même parfois l'irrationalité chez les femmes, une grande maladie qui durait, apparemment, depuis la nuit des temps. Les médecins appelèrent ces différents symptômes l'hystérie ! diagnostiquée comme un dérèglement et un mauvais fonctionnement de l'utérus.

Le remède ? On va dire aussi absurde que le diagnostique Le docteur devait pénétrer le vagin de la femme, tout en massant les parties génitales avec l'autre main jusqu'à ce que la femme ait atteint un orgasme, pour soulager sa tension.

Les médecins lassés, voire épuisés, de devoir pratiquer ces traitements masturbatoires pendant des heures et des heures sur leurs patientes, eurent l'idée d'utiliser le godemichet. Mais, ce traitement restait laborieux car manuel. On utilisa même des massages toniques à l'eau, sous forte pression, pour soulager ce mal !

Mais c'est grâce aux inventions et à l'industrialisation du 19ième siècle que les médecins trouvèrent leur salut. Vers la fin du siècle, on inventa le premier vibromasseur, à vapeur s'il vous plaît ! À cette époque, la vapeur était une révolution. On imagine facilement qu'il devait être assez gros et, plus sous forme d'une grosse machine, puisque certains médecins ingénieux arrivaient à 'soigner' plusieurs patientes en même temps.

Avec l'arrivée de l'électricité dans les foyers au début du 20ième siècle, les femmes pouvaient se 'soigner' elles-mêmes, dans le confort douillet de leur maison. Croyez-le ou pas, on pouvait se procurer ces vibromasseurs, en magasin.

Mais, avec l'arrivée des premiers films pornographiques, mettant en scène, des femmes utilisant des vibromasseurs, les bonnes murs de l'époque trouvèrent, dans les vibromasseurs, un objet honteux qui servait à la décadence sexuelle, et non plus comme un traitement médical servant à éradiquer ce fameux mal. Aux oubliettes le vibro

Pour le plus grand bonheur de ces dames (et messieurs), le vibromasseur fut de retour dans le milieu des années 70, grâce notamment à la libération sexuelle des femmes.

21 février 2005