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Le topic de l'actu politique.


Invité tetanos-46

Messages recommandés

Invité §Jes257LV

Et hop....une nouvelle taxe...

 

 

 

[h1]Taxe sur la musique: assiette élargie (Filippetti)

[/h1]

 

 

e l'assiette" de taxes existantes, a annoncé dimanche au Midem la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, excluant de ponctionner les ressources allouées au cinéma. Jeudi, la ministre de la Culture a annoncé à l'AFP une réforme en profondeur du Centre national des variétés (CNV), qui soutient le spectacle vivant, afin que celui-ci accompagne l'ensemble de la filière musicale.

 

La filière musicale s'est réjouie de cette annonce, tout en s'interrogeant sur les financements nouveaux qui y seraient associés. "Le principe, c'est de faire financer la création par ceux qui la diffusent, notamment dans l'univers numérique. Il ne s'agit pas de prendre de l'argent au cinéma, ce qui ne serait pas acceptable, ni accepté sans doute", a déclaré Aurélie Filippetti au Midem, le rendez-vous annuel de l'industrie musicale à Cannes.

 

"Ce qu'il faut qu'on arrive à montrer, c'est qu'il y a un intérêt conjoint de l'ensemble des secteurs culturels à mettre en place un financement nouveau et innovant sur les nouveaux acteurs du numérique notamment, sur ceux qui ne sont pas encore soumis à l'assiette ou à travers un élargissement de cette assiette aux nouveaux usages", a-t-elle détaillé. "Il y a des contributions existantes dont le rendement peut être plus ou moins dynamique et dont l'assiette peut intégrer les nouveaux acteurs de l'économie du numérique ou les nouveaux usages", a-t-elle ajouté.

 

"Ca n'est pas du tout contradictoire avec l'idée générale d'une baisse de la pression fiscale. Ce sont des taxes affectées, ce ne sont pas de nouveaux impôts, ça fait partie de l'exception culturelle que le président de la République a défendue à Bruxelles", a-t-elle ajouté.

 

Elle a par ailleurs précisé avoir demandé le déplafonnement de la taxe sur les spectacles, la seule ressource affectée actuellement au CNV dont Bercy a récemment baissé le plafond.

"Je ne l'ai pas encore obtenu, dans un contexte fiscal difficile, mais j'espère y parvenir", a déclaré la ministre.

 

On va taxer les radios anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif
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C'est intéressant comme démarche

Tu démontres par cette résolution que quelque part j'ai raison.

Dans une entreprise pour obtenir le petit plus de motivation et donc de résultat, on ne partage pas que les intempéries, les galères, la gloire, le froid et je ne sais quoi encore ...

Une meilleure répartition des bénéfices ne serait ce que par un intéressement est forcément efficace :jap:

 

 

t'es un marrant :lol:

toi connaitre tout sur les entreprises :D

 

t'as pas entendu causé de la wampirisation de nos élus envers les gains de notre travail? je cause de l'ensemble patrons/employés :ange:

je vais te donner une indication, en 25 ans, 2013 sera la première année où mon compte de résultat sera négatif, assez peu pour pas me faire tomber, heureusement, alors quand tu causes de partage des bénéfices, vas voir les chambres du commerce, là, tu auras une vrai réponse :jap:

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Invité §Jes257LV

 

t'es un marrant :lol:

toi connaitre tout sur les entreprises :D

 

t'as pas entendu causé de la wampirisation de nos élus envers les gains de notre travail? je cause de l'ensemble patrons/employés :ange:

je vais te donner une indication, en 25 ans, 2013 sera la première année où mon compte de résultat sera négatif, assez peu pour pas me faire tomber, heureusement, alors quand tu causes de partage des bénéfices, vas voir les chambres du commerce, là, tu auras une vrai réponse :jap:

On a vu anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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t'es un marrant :lol:

toi connaitre tout sur les entreprises :D

 

t'as pas entendu causé de la wampirisation de nos élus envers les gains de notre travail? je cause de l'ensemble patrons/employés :ange:

je vais te donner une indication, en 25 ans, 2013 sera la première année où mon compte de résultat sera négatif, assez peu pour pas me faire tomber, heureusement, alors quand tu causes de partage des bénéfices, vas voir les chambres du commerce, là, tu auras une vrai réponse :jap:

 

 

Demande à paulo son N° de tel il va t'expliquer ce qu'il a gagné en productivité et efficacité :jap:

Tu auras un début de réponse à ton turn-over

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Demande à paulo son N° de tel il va t'expliquer ce qu'il a gagné :jap:

 

 

tu m'enjoins à devenir jaloux? :voyons:

 

je te rassures, je sais que dans son métier, 2013 n'a pas été la joie, surtout du à la baisse des éco-prêt, attitude débile de ce gouvernement, entraînant

un nombre incroyable de dépôt de bilan et licenciements :??:

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Invité §SD6628uT

Et hop....une nouvelle taxe...

 

 

 

[h1]Taxe sur la musique: assiette élargie (Filippetti)

[/h1]

 

 

e l'assiette" de taxes existantes, a annoncé dimanche au Midem la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, excluant de ponctionner les ressources allouées au cinéma. Jeudi, la ministre de la Culture a annoncé à l'AFP une réforme en profondeur du Centre national des variétés (CNV), qui soutient le spectacle vivant, afin que celui-ci accompagne l'ensemble de la filière musicale.

 

La filière musicale s'est réjouie de cette annonce, tout en s'interrogeant sur les financements nouveaux qui y seraient associés. "Le principe, c'est de faire financer la création par ceux qui la diffusent, notamment dans l'univers numérique. Il ne s'agit pas de prendre de l'argent au cinéma, ce qui ne serait pas acceptable, ni accepté sans doute", a déclaré Aurélie Filippetti au Midem, le rendez-vous annuel de l'industrie musicale à Cannes.

 

"Ce qu'il faut qu'on arrive à montrer, c'est qu'il y a un intérêt conjoint de l'ensemble des secteurs culturels à mettre en place un financement nouveau et innovant sur les nouveaux acteurs du numérique notamment, sur ceux qui ne sont pas encore soumis à l'assiette ou à travers un élargissement de cette assiette aux nouveaux usages", a-t-elle détaillé. "Il y a des contributions existantes dont le rendement peut être plus ou moins dynamique et dont l'assiette peut intégrer les nouveaux acteurs de l'économie du numérique ou les nouveaux usages", a-t-elle ajouté.

 

"Ca n'est pas du tout contradictoire avec l'idée générale d'une baisse de la pression fiscale. Ce sont des taxes affectées, ce ne sont pas de nouveaux impôts, ça fait partie de l'exception culturelle que le président de la République a défendue à Bruxelles", a-t-elle ajouté.

 

Elle a par ailleurs précisé avoir demandé le déplafonnement de la taxe sur les spectacles, la seule ressource affectée actuellement au CNV dont Bercy a récemment baissé le plafond.

"Je ne l'ai pas encore obtenu, dans un contexte fiscal difficile, mais j'espère y parvenir", a déclaré la ministre.

 

On va taxer les radios anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

A quand une TVA à 30 % sur les CD de Justin Bieber et Patrick Sébastien ? :o

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Invité §nyn781GE

 

Oui oui, voilà :dodo:

 

Il ne te reste plus qu'à me traiter de raciste, et on aura fait le tour des arguments auxquels "on ne peut pas répondre et qui sont bien pratiques".

- "Tu sais pas"

- "T'as pas compris"

- "T'es idiot"

- "T'es raciste"

 

Voilà la liste exhaustive de ces arguments de compétition. Y'a pas à dire, c'est très pratique dans un débat :buzz:

 

 

tu crois que je te vois pas venir? t'as viré toute la partie de mon post sur le fond de la discussion pour ne laisser que ta pleurnicherie sur le non débat "lu/pas lu" :o

 

bref, admettons, tu l'as lu et t'en as conclu que dans une société non capitaliste il fallait du capital pour financer l'outil de travail.. très bien très bien :jap:

 

et donc? en quoi ça remet en cause le parasitisme du capital comme il l'est décris dans la citation de marx?

 

Au fait que dire qu'il s'agit d'une "non-volonté de remettre en cause le système" relève de ta seule interprétation et non des raisons réelles qu'ils ont exprimé. Avoir peur du chômage et ne pas vouloir prendre un risque, ce n'est pas nécessairement "ne pas vouloir remettre en cause le système" :D

 

 

le système, en l'occurrence le marché du travail, est constitué quasi uniquement d'entreprise à l'organisation pyramidale. toute la responsabilité repose sur le sommet, dans le succès comme dans la défaite. le reste de la pyramide est salarié, moins rémunéré que ce qu'ils rapportent, n'ayant aucun role officiel dans les décision mais protégé (relativement mais plus que le sommet) par différents outils.

 

c'est ça le système, et c'est ça qu'aucune des deux partie ne veut remettre en cause :o

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Invité tetanos-46

Et hop....une nouvelle taxe...

 

 

 

[h1]Taxe sur la musique: assiette élargie (Filippetti)

[/h1]

 

 

e l'assiette" de taxes existantes, a annoncé dimanche au Midem la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, excluant de ponctionner les ressources allouées au cinéma. Jeudi, la ministre de la Culture a annoncé à l'AFP une réforme en profondeur du Centre national des variétés (CNV), qui soutient le spectacle vivant, afin que celui-ci accompagne l'ensemble de la filière musicale.

 

La filière musicale s'est réjouie de cette annonce, tout en s'interrogeant sur les financements nouveaux qui y seraient associés. "Le principe, c'est de faire financer la création par ceux qui la diffusent, notamment dans l'univers numérique. Il ne s'agit pas de prendre de l'argent au cinéma, ce qui ne serait pas acceptable, ni accepté sans doute", a déclaré Aurélie Filippetti au Midem, le rendez-vous annuel de l'industrie musicale à Cannes.

 

"Ce qu'il faut qu'on arrive à montrer, c'est qu'il y a un intérêt conjoint de l'ensemble des secteurs culturels à mettre en place un financement nouveau et innovant sur les nouveaux acteurs du numérique notamment, sur ceux qui ne sont pas encore soumis à l'assiette ou à travers un élargissement de cette assiette aux nouveaux usages", a-t-elle détaillé. "Il y a des contributions existantes dont le rendement peut être plus ou moins dynamique et dont l'assiette peut intégrer les nouveaux acteurs de l'économie du numérique ou les nouveaux usages", a-t-elle ajouté.

 

"Ca n'est pas du tout contradictoire avec l'idée générale d'une baisse de la pression fiscale. Ce sont des taxes affectées, ce ne sont pas de nouveaux impôts, ça fait partie de l'exception culturelle que le président de la République a défendue à Bruxelles", a-t-elle ajouté.

 

Elle a par ailleurs précisé avoir demandé le déplafonnement de la taxe sur les spectacles, la seule ressource affectée actuellement au CNV dont Bercy a récemment baissé le plafond.

"Je ne l'ai pas encore obtenu, dans un contexte fiscal difficile, mais j'espère y parvenir", a déclaré la ministre.

 

On va taxer les radios anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

SUper, une taxe dans le monde de la culture.

 

 

Au final, à la fin du quinquenat, ils se seront mis tout le monde à dos, même leur electorat. :buzz:

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Invité tetanos-46

On a vu anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

Comme ce fut un échec, il en a conclu que son cas était une généralité, donc que le système était mauvais. Et donc, qu'il fait une société de commerce municipaux. :buzz:

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Invité §Fan163fv

SUper, une taxe dans le monde de la culture.

 

 

Au final, à la fin du quinquenat, ils se seront mis tout le monde à dos, même leur electorat. :buzz:

 

Le problème, c'est qu'avec ces multitudes de taxes, beaucoup resteront en toute discrétion même après leur départ.

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Invité §Jes257LV

Comme ce fut un échec, il en a conclu que son cas était une généralité, donc que le système était mauvais. Et donc, qu'il fait une société de commerce municipaux. :buzz:

La conclusion qui tue :W

 

Le collectivisme dans toute sa splendeur pour masquer son incompétence anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §Pau730mo

 

C'est intéressant comme démarche

Tu démontres par cette résolution que quelque part j'ai raison.

Dans une entreprise pour obtenir le petit plus de motivation et donc de résultat, on ne partage pas que les intempéries, les galères, la gloire, le froid et je ne sais quoi encore ...

Une meilleure répartition des bénéfices ne serait ce que par un intéressement est forcément efficace :jap:

 

 

Oui et non.

 

Autant j'ai dit que j'étais depuis longtemps favorable à la méthode, autant une fois l'accord établi, pas de "surplus d'implication" général de la part des salariés, à 2/3 exceptions près.

 

Ceci dit, je ne reviendrai pas en arrière sur ce type d'accord, même s'il est de 3 ans à l'origine. J'ai souhaité le mettre en place plus pour des raisons idéologiques que des raisons financières ou en espérant une quelconque "regain d'implication" de la part des salariés. Ceci dit, je ne me plains pas de leur implication en général. La population est hétérogène, avec une "conscience professionnelle" plus ou moins marquée selon les gens. Ca va de ceux qui s'en foutent complètement à ceux qui s'impliquent beaucoup voire un peu trop. C'est la vie, les gens ne sont pas des robots :bah:

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Invité §Pau730mo

 

Demande à paulo son N° de tel il va t'expliquer ce qu'il a gagné en productivité et efficacité :jap:

Tu auras un début de réponse à ton turn-over

 

 

Rien avec l'intéressement, en tout cas.

 

Les gains de productivité proviennent essentiellement des efforts colossaux d'investissements de ces dernières années (près de 8% du C.A. tous les ans depuis 5 ans), et d'une démarche de "lean" d'optimisation des flux.

 

La démarche de l'intéressement, qui est, elle, plus récente, n'a pas changé quoi que ce soit.

 

Quant au turn over, je pense que les raisons sont les suivantes :

 

- Mes salariés sont globalement bien rémunérés

- On ne leur pète pas les couilles quand ils doivent s'absenter, on demande juste à être prévenu le plus tôt possible, mais globalement, on n'est pas chiant.

- Pas d'horaire décalés / en équipe

- Un temps de travail annualisé, qui va de 4 à 4.5 jours de travail par semaine

- Un outil de travail récent, entretenu, moderne, et des ateliers chauffés

- Pas ou peu de recours à l'intérim/CDD (avec pour inconvénient des difficultés à réduire la masse salariale lorsque les temps sont difficiles, ce n'est pas forcément la meilleure de choses, avec du recul)

- Un climat social que je qualifie de "bon", malgré des périodes de vaches maigres.

- Un dialogue social facile (pas de grosse hiérarchie, de N+x, etc.) Lorsque les gens ont quelque chose à nous demander, ils viennent nous voir

 

Du coup, 0 démission depuis 20 ans.

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Invité §Pau730mo

 

tu crois que je te vois pas venir? t'as viré toute la partie de mon post sur le fond de la discussion pour ne laisser que ta pleurnicherie sur le non débat "lu/pas lu" :o

 

bref, admettons, tu l'as lu et t'en as conclu que dans une société non capitaliste il fallait du capital pour financer l'outil de travail.. très bien très bien :jap:

 

et donc? en quoi ça remet en cause le parasitisme du capital comme il l'est décris dans la citation de marx?

 

 

Ton "parasite" devenant nécessaire, il n'est plus vraiment un parasite.

Un parasite, c'est une puce sur un chien. Ca ne lui sert à rien, il peut vivre sans. Une société économique ne peut pas vivre sans capitaux, il faut bien "amorcer la pompe". Dès lors, qualifier ce capital de parasite est un non-sens étymologique.

 

le système, en l'occurrence le marché du travail, est constitué quasi uniquement d'entreprise à l'organisation pyramidale. toute la responsabilité repose sur le sommet, dans le succès comme dans la défaite. le reste de la pyramide est salarié, moins rémunéré que ce qu'ils rapportent, n'ayant aucun role officiel dans les décision mais protégé (relativement mais plus que le sommet) par différents outils.

 

c'est ça le système, et c'est ça qu'aucune des deux partie ne veut remettre en cause :o

 

Encore une fois, ne pas souhaiter de changement dans sa vie personnelle à un instant T, ce n'est pas nécessairement refuser une remise en cause du système. Tu tires la conclusion qui t'arrange, mais elle aurait pu tout aussi être, de la part des salariés : "Le garage perd du C.A. à cause de la vente de pièce détachée sur internet, donc j'ai peur que ça coule, et je ne veux pas perdre mes droits au chômage". C'est une explication possible parmi d'autres.

 

Encore une fois, ta situation personnelle est très favorisée par le fait que 1) la poste t'a fait un beau chèque et que 2) tu as une place réservée en cas d'échec. Evidemment, dans ces conditions, beaucoup de monde va tenter sa chance. Mais tout le monde n'a pas ta chance, et il faut admettre que d'autres ne souhaitent pas prendre de risque, sans pour autant les accuser de "refuser de remettre en cause le système".

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Rien avec l'intéressement, en tout cas.

 

Les gains de productivité proviennent essentiellement des efforts colossaux d'investissements de ces dernières années (près de 8% du C.A. tous les ans depuis 5 ans), et d'une démarche de "lean" d'optimisation des flux.

 

La démarche de l'intéressement, qui est, elle, plus récente, n'a pas changé quoi que ce soit.

 

Quant au turn over, je pense que les raisons sont les suivantes :

 

- Mes salariés sont globalement bien rémunérés

- On ne leur pète pas les couilles quand ils doivent s'absenter, on demande juste à être prévenu le plus tôt possible, mais globalement, on n'est pas chiant.

- Pas d'horaire décalés / en équipe

- Un temps de travail annualisé, qui va de 4 à 4.5 jours de travail par semaine

- Un outil de travail récent, entretenu, moderne, et des ateliers chauffés

- Pas ou peu de recours à l'intérim/CDD (avec pour inconvénient des difficultés à réduire la masse salariale lorsque les temps sont difficiles, ce n'est pas forcément la meilleure de choses, avec du recul)

- Un climat social que je qualifie de "bon", malgré des périodes de vaches maigres.

- Un dialogue social facile (pas de grosse hiérarchie, de N+x, etc.) Lorsque les gens ont quelque chose à nous demander, ils viennent nous voir

 

Du coup, 0 démission depuis 20 ans.

 

 

 

 

Comme dans chacune de tes interventions ton approche est claire et limpide avec une logique au bout

Je pense sincèrement qu'il doit être agréable de bosser chez toi. :jap:

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Invité tetanos-46

 

 

 

Comme dans chacune de tes interventions ton approche est claire et limpide avec une logique au bout

Je pense sincèrement qu'il doit être agréable de bosser chez toi. :jap:

Ouais, mais ils sont tous payés au SMIC zawoi.gif.cb20561d4177ac06f578562d651eb890.gif

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Invité §Pau730mo

Ouais, mais ils sont tous payés au SMIC :zawoi:10

 

Aucun smicard chez moi :bah:

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Invité §Pau730mo

 

 

 

Comme dans chacune de tes interventions ton approche est claire et limpide avec une logique au bout

Je pense sincèrement qu'il doit être agréable de bosser chez toi. :jap:

 

 

Faut pas non plus idéaliser la chose non plus. On rémunère correctement nos salariés, mais on n'est pas une start-up de la silicon valley, hein. On est une petite PME industrielle, dans un secteur en crise, et confrontée à des déficit et une baisse de C.A..

 

Donc ces 2 dernières années, c'est gel des embauches, non remplacement des départs, et stagnation du salaire mensuel (avec en contre-partie une baisse d'une heure du temps de travail).

Tous ont compris pourquoi, aucun licenciement à la clé, on va tous dans le même sens. Nous n'avons jamais été une entreprise au train de vie fastueux. Pas de véhicule de fonction, pas de locaux luxueux, rien de tout cela.

 

Mais y'a des trucs qui "ne coûtent rien". Etre proche des gens, comprendre leurs problèmes, les laisser s'absenter en cas de besoin, etc. Ca demande de l'organisation, mais ça ne coûte pas d'argent. Ils apprécient. Tout n'est donc pas qu'une histoire de pognon.

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Invité tetanos-46

 

Faut pas non plus idéaliser la chose non plus. On rémunère correctement nos salariés, mais on n'est pas une start-up de la silicon valley, hein. On est une petite PME industrielle, dans un secteur en crise, et confrontée à des déficit et une baisse de C.A..

 

Donc ces 2 dernières années, c'est gel des embauches, non remplacement des départs, et stagnation du salaire mensuel (avec en contre-partie une baisse d'une heure du temps de travail).

Tous ont compris pourquoi, aucun licenciement à la clé, on va tous dans le même sens. Nous n'avons jamais été une entreprise au train de vie fastueux. Pas de véhicule de fonction, pas de locaux luxueux, rien de tout cela.

Mais y'a des trucs qui "ne coûtent rien". Etre proche des gens, comprendre leurs problèmes, les laisser s'absenter en cas de besoin, etc. Ca demande de l'organisation, mais ça ne coûte pas d'argent. Ils apprécient. Tout n'est donc pas qu'une histoire de pognon.

 

Les gestion sociale, ça coute quelque chose en ETP, et même cher selon l'entreprise.

 

Je bosse dans une banque, qui n’investis pas là dedans. Du coup, personne n'est à l'écoute. A voir une entretien avec la hiérarchie demande beaucoup de patience, quand c'est accepté. Pour la gestion des absences, c'est informatique, on est libre si le gestionnaire informatique d'absence le permet. En cas d'abus, il y a juste un contrôle à postériori.

 

Pour les RH, c'est pire, c'est un mur. Pour les nouveaux entrants, les habilitations, les badges, les contrats de travail, etc, ne sont fournis que 2 à 3 mois aprés la prise de fonction, au mieux.

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le problèmes des salaires devient de plus en plus dure à tenir, l'inconstance des pouvoirs publics de maintenir une fiscalité correcte et durable fait qu'il faut regarder à deux fois pour embaucher sauf si on trouve une valeur sur, pareil pour fournir des augmentations vu que le budget des clients devient de plus en plus réduit

 

par contre, une chance apparaît en ce moment, comme dit déjà, on déplore la difficulté de trouver des signatures... rentables mais dans le malheur créé par nos dirigeants, il y a aussi de moins en moins de prestataires de services ce qui permet d'équilibrer, ouf!

 

perso, l'an dernier, c'était l'investissement, 2014, c'est le désendettement, un tiers partira en prime mensuelle (dangereux de mettre cela en salaire, "confiance" oblige)

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Invité §Pau730mo

Les gestion sociale, ça coute quelque chose en ETP, et même cher selon l'entreprise.

 

Je bosse dans une banque, qui n’investis pas là dedans. Du coup, personne n'est à l'écoute. A voir une entretien avec la hiérarchie demande beaucoup de patience, quand c'est accepté. Pour la gestion des absences, c'est informatique, on est libre si le gestionnaire informatique d'absence le permet. En cas d'abus, il y a juste un contrôle à postériori.

 

Pour les RH, c'est pire, c'est un mur. Pour les nouveaux entrants, les habilitations, les badges, les contrats de travail, etc, ne sont fournis que 2 à 3 mois aprés la prise de fonction, au mieux.

 

 

 

On est une PME, on n'est pas nombreux. Ca ne coûte clairement RIEN.

 

Faut pas exagérer, le type vient te demander une avance de salaire, te parle d'un petit souci, ça te prend quoi... 5 min de l'écouter ?

Un autre, entre 2 coups de fils, te dit qu'il a besoin de s'absenter parce son gamin est malade et que sa femme est en déplacement, un signe de tête suffit...

 

Je ne prends pas rendez-vous avec ma femme pour lui demander un truc, avec mes amis non plus. Pourquoi je devrais faire pareil avec mes salariés ? Je bosse avec eux, je ne suis pas leur "maître" :roll:

 

En janvier, je ne compte même plus le nombre de galettes qu'on a bouffé. Mon chien (qui vient au bureau) finit par savoir reconnaître le mois de janvier sur le calendrier.... Bref, question d'éducation.

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Invité §Pau730mo

le problèmes des salaires devient de plus en plus dure à tenir, l'inconstance des pouvoirs publics de maintenir une fiscalité correcte et durable fait qu'il faut regarder à deux fois pour embaucher sauf si on trouve une valeur sur, pareil pour fournir des augmentations vu que le budget des clients devient de plus en plus réduit

 

par contre, une chance apparaît en ce moment, comme dit déjà, on déplore la difficulté de trouver des signatures... rentables mais dans le malheur créé par nos dirigeants, il y a aussi de moins en moins de prestataires de services ce qui permet d'équilibrer, ouf!

 

perso, l'an dernier, c'était l'investissement, 2014, c'est le désendettement, un tiers partira en prime mensuelle (dangereux de mettre cela en salaire, "confiance" oblige)

 

 

Investir en 2013 et désendetter en 2014, ça me semble un peu court dans le calendrier...

 

Ceci mis à part, chez nous, point d'embauche de prévue. On ne remplace aucun poste en atelier, et on ne fera rien avant longtemps. Jusqu'ici, on a toujours embauché en CDI, sans intérim ni CDD. Mais en période de crise, quand l'activité baisse, ce difficile financièrement. La leçon a été retenue, la masse salariale diminue par les départs en retraite. L'effectif "permanent" sera l'effectif "hiver", et de l'intérim viendra en renfort l'été.

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Invité §Pau730mo

le problèmes des salaires devient de plus en plus dure à tenir, l'inconstance des pouvoirs publics de maintenir une fiscalité correcte et durable fait qu'il faut regarder à deux fois pour embaucher sauf si on trouve une valeur sur, pareil pour fournir des augmentations vu que le budget des clients devient de plus en plus réduit

 

par contre, une chance apparaît en ce moment, comme dit déjà, on déplore la difficulté de trouver des signatures... rentables mais dans le malheur créé par nos dirigeants, il y a aussi de moins en moins de prestataires de services ce qui permet d'équilibrer, ouf!

 

perso, l'an dernier, c'était l'investissement, 2014, c'est le désendettement, un tiers partira en prime mensuelle (dangereux de mettre cela en salaire, "confiance" oblige)

 

 

Investir en 2013 et désendetter en 2014, ça me semble un peu court dans le calendrier...

 

Ceci mis à part, chez nous, point d'embauche de prévue. On ne remplace aucun poste en atelier, et on ne fera rien avant longtemps. Jusqu'ici, on a toujours embauché en CDI, sans intérim ni CDD. Mais en période de crise, quand l'activité baisse, ce difficile financièrement. La leçon a été retenue, la masse salariale diminue par les départs en retraite. L'effectif "permanent" sera l'effectif "hiver", et de l'intérim viendra en renfort l'été.

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Invité tetanos-46

 

 

On est une PME, on n'est pas nombreux. Ca ne coûte clairement RIEN.

 

Faut pas exagérer, le type vient te demander une avance de salaire, te parle d'un petit souci, ça te prend quoi... 5 min de l'écouter ?

Un autre, entre 2 coups de fils, te dit qu'il a besoin de s'absenter parce son gamin est malade et que sa femme est en déplacement, un signe de tête suffit...

 

Je ne prends pas rendez-vous avec ma femme pour lui demander un truc, avec mes amis non plus. Pourquoi je devrais faire pareil avec mes salariés ? Je bosse avec eux, je ne suis pas leur "maître" :roll:

 

En janvier, je ne compte même plus le nombre de galettes qu'on a bouffé. Mon chien (qui vient au bureau) finit par savoir reconnaître le mois de janvier sur le calendrier.... Bref, question d'éducation.

 

ouais, vous êtes vraiment peu alors. Ou alors, c'est une culture différente.

 

Chez nous, ils sont presque 40 rien qu'aux RH, pour 830 salariés. La gestion sociale, c'est un ETP à part entière.

 

Au CHSCT, ils sont 15, pour écouter les doléances quotidiennement.

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Invité §Pau730mo

ouais, vous êtes vraiment peu alors. Ou alors, c'est une culture différente.

 

Chez nous, ils sont presque 40 rien qu'aux RH, pour 830 salariés. La gestion sociale, c'est un ETP à part entière.

 

Au CHSCT, ils sont 15, pour écouter les doléances quotidiennement.

 

 

 

On est une petite quarantaine... Et puis c'est une culture plus rurale. Je pense que c'est effectivement moins "plaintif".

On s'échange même des légumes, c'est dire le "fossé" hiérarchique qui nous sépare :buzz:

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Invité §tit430pv

 

 

Ouais, enfin le coup du "capital qui est du travail mort", ça prête un peu à sourire :bah: Ca sonne comme dans Germinal, mais quand tu pousses le raisonnement un peu plus loin, tu te rends compte que c'est juste un truc "anti-possession de tout", un peu absurde.

 

Car la notion de capital est très très très vague. C'est pas uniquement un compte bancaire ou des actions.

C'est aussi l'outil de travail (capital de l'entreprise), sa maison (capital immobilier), sa retraite (rente sur cotisation, les années de cotisations étant le "capital" ;)

 

Bref, sauf à ne retirer absolument RIEN de son travail, les fruits de ce travail sont inévitablement transformés en "capital", d'une manière ou d'une autre (ce "capital" étant souvent issu d'un nouveau travail)

 

Donc cette phrase me fait plutôt penser à un truc d'hippie, le gars qui vit d'amour et d'eau fraiche, sans jamais rien posséder. Enfin, plutôt en squattant les biens possédés par autrui... C'est un "vampire" comme un autre :bah:

 

Le "syndrôme du larbin", finalement, il s'applique tout aussi bien à ceux qui adhèrent à des phrases toutes faites simplement parce qu'elles sont bien tournées. Ca leur donne l'impression de s'élever intellectuellement.

 

C'est plutôt une conclusion... et l'expression "le capital est du travail mort" n'a pas vraiment le sens que tu sembles lui donner.... ça veut juste dire que le capital n'est pas créateur de richesse et que son détenteur ne peut "survivre" qu'en exploitant la seule source de richesse, le travail...

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Invité §Pau730mo

C'est plutôt une conclusion... et l'expression "le capital est du travail mort" n'a pas vraiment le sens que tu sembles lui donner.... ça veut juste dire que le capital n'est pas créateur de richesse et que son détenteur ne peut "survivre" quand exploitant la seule source de richesse, le travail...

 

 

Il est évident que ce n'est pas le capital seul qui créé la richesse. Il n'est, au mieux, qu'un des moyens de lancer la machine. Là-dessus, je pense que personne n'est contre. En gros, il peut contribuer à créer le travail (et non pas la richesse). Et en soit, ce n'est pas négatif.

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Invité §Jes257LV

Le travail c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

Petite phrase à l'intention des supporters du revenu universel qui sera reprise en boucle au moment de la révolution gauchisante dans un prochain millénaire 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif

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Invité §cle806Gb

Hier soir Mélenchon s'est fait égratigner par Aymeric Caron sur son peu d'assiduité au Parlement Européen, je vous dis pas le démarrage au quart de tour :hihi:

 

:w:

 

J'ai regardé aussi.

 

N'empêche il a le sens du spectacle le Jean-Luc. :o

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Invité §cle806Gb

Les gestion sociale, ça coute quelque chose en ETP, et même cher selon l'entreprise.

 

Je bosse dans une banque, qui n’investis pas là dedans. Du coup, personne n'est à l'écoute. A voir une entretien avec la hiérarchie demande beaucoup de patience, quand c'est accepté. Pour la gestion des absences, c'est informatique, on est libre si le gestionnaire informatique d'absence le permet. En cas d'abus, il y a juste un contrôle à postériori.

 

Pour les RH, c'est pire, c'est un mur. Pour les nouveaux entrants, les habilitations, les badges, les contrats de travail, etc, ne sont fournis que 2 à 3 mois aprés la prise de fonction, au mieux.

 

En même temps dans les banques ils ont une mentalité un peu spéciale, hype individualiste, bien loin de ce qu'on peut retrouver dans certaines PME.

 

Quand j'y bossais j'ai pas souvent rencontré des gens contents de faire leur boulot, à part quelques-uns qui venaient de rentrer dans le milieu et qui en parlaient avec des étoiles plein les yeux et quelques personnes des services centraux, du genre de ceux que t'appelles quand t'as besoin de rien sinon ils peuvent pas répondre. :buzz:

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Invité tetanos-46

Le travail c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

Petite phrase à l'intention des supporters du revenu universel qui sera reprise en boucle au moment de la révolution gauchisante dans un prochain millénaire 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif

 

Rien que l'idée d'appeler cela un "revenu" universel ou de solidarité, ça me sidère. On considère qu'il y a une contre partie à la seule existence dans la société, qu'elle soit le fruit d'un travail ou non.

 

Pourquoi payerai-je un impot sur le revenu, dont la vocation est d'alimenter le revenu d'un autre qui n'offre pas de contre parti, en l’occurrence le travail.

 

Ahurissant ce modèle de société. Le "Revenu miminum d'insertion" était suffisant et fondé, ne serait-ce que par sa dénomination : L'insertion.

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Invité §pax886Br

 

Et donc un exploitant dans toute sa splendeur avec tous les dérivés que la langue Française propose :buzz:

 

 

Ce verbe a d’abord le sens étymologique d’« accomplir, exécuter », « achever (le labeur du jour) ».

 

Enfin, c’est au XIIIe siècle que l’on trouve la première attestation de ce verbe avec son sens moderne : « faire valoir (une chose) », « tirer parti (de quelque chose) », notamment en parlant d’une entreprise agricole, industrielle ou commerciale.

 

C’est au XVIIIe siècle que ce verbe prend le sens abstrait d’« utiliser d’une manière avantageuse », « amener à produire de meilleurs résultats » (en parlant de talents , d’une idée, etc.) C’est de là que vient la connotation péjorative de ce verbe en emploi transitif : « se servir (de quelqu’un) en n’ayant en vue que le profit sans considération des moyens », et spécialement au XIXe siècle « abuser des ouvriers », sens largement diffusé par les théories marxistes et soutenu par le dérivé exploitation

:o

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Invité §pax886Br

Rien que l'idée d'appeler cela un "revenu" universel ou de solidarité, ça me sidère. On considère qu'il y a une contre partie à la seule existence dans la société, qu'elle soit le fruit d'un travail ou non.

 

Pourquoi payerai-je un impot sur le revenu, dont la vocation est d'alimenter le revenu d'un autre qui n'offre pas de contre parti, en l’occurrence le travail.

 

Ahurissant ce modèle de société. Le "Revenu miminum d'insertion" était suffisant et fondé, ne serait-ce que par sa dénomination : L'insertion.

 

:jap:

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Invité §nyn781GE

 

Ton "parasite" devenant nécessaire, il n'est plus vraiment un parasite.

Un parasite, c'est une puce sur un chien. Ca ne lui sert à rien, il peut vivre sans. Une société économique ne peut pas vivre sans capitaux, il faut bien "amorcer la pompe". Dès lors, qualifier ce capital de parasite est un non-sens étymologique.

 

 

mon parasite est nécessaire parce qu'on est dans un système capitaliste.

 

dans un monde basé sur la puce, ta puce sera nécessaire, ça ne lui enlèvera rien de son statu de parasite.

 

Encore une fois, ne pas souhaiter de changement dans sa vie personnelle à un instant T, ce n'est pas nécessairement refuser une remise en cause du système. Tu tires la conclusion qui t'arrange, mais elle aurait pu tout aussi être, de la part des salariés : "Le garage perd du C.A. à cause de la vente de pièce détachée sur internet, donc j'ai peur que ça coule, et je ne veux pas perdre mes droits au chômage".

 

 

ben ouais mais non, les raisons c'est d'un coté conserver un contrat de travail et de l'autre conserver l'entreprise :o

 

 

Il est évident que ce n'est pas le capital seul qui créé la richesse. Il n'est, au mieux, qu'un des moyens de lancer la machine. Là-dessus, je pense que personne n'est contre. En gros, il peut contribuer à créer le travail (et non pas la richesse). Et en soit, ce n'est pas négatif.

 

 

mais quel blabla :lol:

 

c'est évident qu'au mieux en gros t'es complétement largué ouais :jap:

 

Rien que l'idée d'appeler cela un "revenu" universel ou de solidarité, ça me sidère. On considère qu'il y a une contre partie à la seule existence dans la société, qu'elle soit le fruit d'un travail ou non.

 

 

ce qui est nettement moins idiot que de considérer que seul l'emploi mérite contrepartie :o

 

aujourd'hui c'est le marché de l'emploi qui décide, du coup un gars dans un banque ou un gros vendeur de voiture (autant dire pur parasite, aucun intéret pour l'interet général) est très bien rémunéré alors qu'une mère au foyer est considéré comme cas social. c'est le monde à l'envers...

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