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Ateca

Ateca Fr 2.0 TSI 190 DSG - 2017 - Noir Magique


Invité §Mar316BV

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Bonjour,

 

De retour de 15 jours de vacances et après un peu plus de 5000 km parcourus à travers la France, l’Espagne et le Portugal, je confirme ici la rareté « d’Atequistes » sur les routes.

Je n’ai eu l’occasion de croiser qu’un seul Ateca en Espagne.

 

 

Je ne compte évidemment pas les 2 modèles que j’ai aperçus sur une concession à Porto.

Autant vous dire qu’il n’est pas bon être portugais pour rouler en Ateca.

Pour une configuration équivalente à ma commande hormis la motorisation 2.0 TDI au lieu de 2.0 TSI (non commercialisé au Portugal), le budget dépasse allègrement les 50 000 € !

 

 

Cette visite est surtout l’occasion pour moi de revenir sur une option qui équipait le modèle « luxe » exposé à Porto : le pare-brise chauffant.

Je confirme donc que les filaments sont (légèrement) visibles.

De là à être gênant au quotidien, pas sûr, je pense qu’avec l’habitude on y prête plus attention.

Après, il appartiendra à chacun de se faire sa propre opinion.

 

 

Bonne route.

Je peux également attester, à ce jour, et malgré les nombreuses commandes dont j'entends parler ici dans la région de Suisse romande, que je croise trop peu d'ATECA dans les rues.. c'est assez déroutant comparé à la quantité folle de 3008 déjà sur les routes et de plusieurs couleurs qui plus est!!

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Invité §Mar316BV

Bonjour,

 

Merci Jacky Rocket.

 

Je ne manquerai pas de mettre quelques photos dés la réception du véhicule et de faire un petit retour sur expérience.

 

Mais pour ça, il va falloir patienter encore un peu.

 

J'ai choisi de prendre possession de la belle le lundi 11 décembre en fin d'après-midi.

Je profite d'un weekend programmé de longue date dans le nord de l'Espagne pour aller la chercher directement en concession à Bilbao.

 

Cela me permettra d'une part d'économiser 600€ de livraison pour le transport en camion jusqu'à mon domicile.

 

Et d'autre part,je trouve plus rassurant de voir d'où vient vraiment l'Ateca et de pouvoir régler directement sur place d’éventuel petit problème (je souhaite évidement qu'il ni en ai aucun).

 

Enfin le long trajet du retour à mon domicile (plus de 1000 km) me permettra de m’imprégner totalement de la belle.

 

Bon weekend...

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@Mario88390 je te présente toutes mes confuses :ouimaitre: car je viens de relire mon dernier post et je vois qu'une grossière faute de frappe s'est glissée à la FIN de mon post sans que je puisse aujourd'hui la modifier.

J'espère que tu l'avais compris comme cela.

Donc cette fois et comme il faut, bonne FIN d'attente

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Invité §Mar316BV

@Mario88390 je te présente toutes mes confuses :ouimaitre: car je viens de relire mon dernier post et je vois qu'une grossière faute de frappe s'est glissée à la FIN de mon post sans que je puisse aujourd'hui la modifier.

J'espère que tu l'avais compris comme cela.

Donc cette fois et comme il faut, bonne FIN d'attente

 

 

Bonjour jazzwilly12,

 

Aucun problème, je ne prend pas mal cette faute de frappe à la fion de ton post.

 

Sinon, je suis curieux de voir comment les concessions en Espagne accueil leurs clients, présentation du véhicule, goodies, ...

 

La fin de l’attente est plus facile car je peux maintenant compter le nombre de dodo qu'il reste avant la délivrance.

 

Pour ta part ça approche à grand pas, impatient d'avoir ton ressenti.

 

A bientôt.

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Effectivement ça approche à grand pas.

J'ai l’opportunité d'arriver sur Biarritz en avion le 30/11 suite à un déplacement sur Paris.

Spontanément, ils m'ont proposé de venir me chercher à l'aéroport, rendez-vous est d'ores et déjà pris pour 8h45.

J'avoue que quand j'ai modifié mon vol j'ai vu qu'il y avait Bilbao ce qui m'a fait hésiter mais je n'avais jusqu'à jamais communiqué en ce sens donc j'ai pas voulu tout "bousculer".

 

Je suis dans l'attente de l’immatriculation espagnole de la voiture pour pouvoir l'assurer.

 

J'ai eu aussi l'info que les tapis étaient présents dans le véhicule.

 

Comme d'hab on se tient au courant et j'essaierai de faire un CR suite à la réception.

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Invité §Mar316BV

Bonjour,

 

Plus qu'une semaine de patience avant d'aller chercher la belle dans son pays d'origine (ou tout du moins d'origine de la marque).

 

En attendant, reste ce qui est surement pour moi le plus dure à faire : se séparer de la Léon.

 

Non pas que je doute de la vendre (plusieurs contacts déjà depuis la mise en ligne de l'annonce ce week-end) mais surtout un déchirement de la laisser partir à tout jamais.

 

 

Seat Léon Photo 1.jpg

 

Seat Léon Photo 2.jpg

 

Seat Léon Photo 5.jpg

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Bonjour,

 

Plus qu'une semaine de patience avant d'aller chercher la belle dans son pays d'origine (ou tout du moins d'origine de la marque).

 

En attendant, reste ce qui est surement pour moi le plus dure à faire : se séparer de la Léon.

 

Non pas que je doute de la vendre (plusieurs contacts déjà depuis la mise en ligne de l'annonce ce week-end) mais surtout un déchirement de la laisser partir à tout jamais.

 

 

Seat Léon Photo 1.jpg

 

Seat Léon Photo 2.jpg

 

Seat Léon Photo 5.jpg

 

Postes tes plus belles photos ici et ici , tu reviendras les voir de temps en temps et t'en fait profiter les autres :D

Et que ça t'emm.... de t'en séparer prouve que t'en a été content de cette voiture. Vaut quand même mieux ça que d'être ravi de s'en débarrasser non ? ;)

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Je pense que les premiers kilomètres te feront oublier ta Léon.

Alors après c'est différent en terme de conduite, c'est certain, je viens d'une Mégane 3 GT, mais quand on se rappelle ce qui a motivé ta commande, ton choix ne sera que confirmé et son adoption déjà acquise. Bon ce qui est frustrant au début c'est qu'il faut ménager sa nouvelle monture, rodage oblige mais bon le confort, la nouvelle assise aident déjà amplement.

Bon c'est vrai que la Léon est très jolie en blanc comme cela.

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Invité §Mar316BV

Bonjour,

 

Après plusieurs jours d’absences liés aux festivités de fin d’année, je suis de retour pour vous présenter ma belle ATECA.

Avant de vous la dévoiler (la voiture), un petit flashback de quelques jours…

 

Je fais pour l’instant volontairement l’impasse sur les quelques frayeurs liées aux démarches administratives avant le D-Day, fixé le lundi 11/12 pour aller chercher la belle en concession en Espagne.

Je réserverai un post spécifique sur le sujet et plus globalement sur mon retour d’expérience pour l’achat du véhicule via mandataire (Espagnauto dans mon cas).

 

 

En route donc vers le passer…

Première escale : le samedi 09 décembre, le début de mon (long) périple pour aller chercher la belle.

 

 

Après un dernier repas le midi avec ma compagne et mon bébé, l’heure est venue de prendre la route direction… le Luxembourg.

2 heures de route plus tard, les 200 km de voie rapide séparant mon domicile de l’aéroport de Luxembourg sont avalés.

L’occasion pour moi surtout de profiter des derniers kilomètres au volant de Léon.

 

 

Après des au revoir le cœur serré à ma compagne et ma princesse, l’heure de monté à bord de l’avion est arrivée.

2H30 de vols sans encombre et me voilà débarqué sur le tarmac de l’aéroport de… Porto.

La nuit est déjà tombée sur la ville, la température de 16° est bien plus agréable que les 0° à mon départ. Ouf ! Mes parents sont bien au rendez-vous, il est temps de reprendre la route.

 

 

A nouveau, 2 heures de route pour seulement 100 km cette fois et me voilà arrivé chez mes parents.

J’y séjourne le reste du week-end, l’occasion de revoir un peu la famille en attendant le grand départ fixé lundi matin pour Galdakao (à quelques kilomètres de Bilbao) pour enfin récupérer la belle.

 

 

Deuxième escale : le lundi 11 décembre : le grand jour !

Après quelques heures de sommeil très délicat à trouver, mes pensées étant tantôt troublées par l’imminence de la découverte de l’Ateca que par le manque de mes 2 princesses, c’est enfin le jour J.

 

 

Le départ est fixé à 08H30, inutile de partir plus tôt, les 700 km de trajet à parcourir pour arriver à la concession, couplés au décalage horaire ne permettent pas d’arriver avant la (longue) fermeture de la concession pour le déjeuner.

En Espagne, on ne plaisante pas avec la pause déjeuné et la sieste, la concession ferme entre 12H et 16H.

Qu’il en soit ainsi, si tout se déroule sans encombre, nous (moi et mes parents) arriverons en concession pour la réouverture l’après-midi.

 

 

Sur le trajet, nous sommes retardés par des chutes de neige au niveau des Monts Cantabriques.

On arrive, sous une pluie battante, sur le coup de 17H à la concession SEAT de Galdakao.

 

 

Dans une même rue, les concessions automobiles se succèdent en peu d’espace, les unes à côtés des autres, Opel, Ford, Seat, …

En entrant dans la concession SEAT, la première impression sur place est déroutante. On n’est bien loin du standing des concessions françaises.

 

 

Dans une petite cellule commerciale, les voitures s’entassent ne laissant que très peu d’espace pour circuler entre elles.

Je m’attends à rapidement repérer ma belle, il n’en est rien, aucune voiture noire en vue !

 

 

Au fond du « showroom », deux personnes, chacune dans un coin de pièce sur de minuscules bureaux.

L’accueil est froid… A y réfléchir, je peux même dire inexistant puisque aucune des 2 personnes n’a pris la peine de se lever de son bureau pour venir à mon encontre.

 

 

Je finis par me diriger vers l’un d’eux, me présente et demande à voir Jaime ou Jésus, les deux contacts que mon mandataire m’a communiqué.

Sans même savoir à qui j’ai à faire, la personne devant moi me demande le numéro de châssis du véhicule que je viens chercher.

Je lui communique l’information, il se plonge dans son ordinateur portable en me demandant de patienter.

 

 

Après plusieurs minutes d’attentes qui me semblent interminable, il finit par se lever en me demandant de le suivre d’un pas pressé.

A pas de course donc, on passe par une porte dérobée à l’arrière de la concession, on se retrouve dans les ateliers de SEAT qu’on traverse, puis on ressort par un parking, on entre dans un garage sous-terrain, puis un autre atelier Opel, encore un parking, une salle de pause, et enfin un dernier atelier.

 

Au fond de celui-ci enfin je l’aperçois. Ma belle est là !

Pas d’effet de surprise, de bâche ou d’autre attention particulière, le commerciale me confirme que c’est bien mon véhicule après vérification du numéro de châssis.

On fait ensemble le tour du véhicule, elle est magnifique !

Mais je n’ai pas trop le temps de savourer, le commerciale ne m’en laissant pas vraiment le temps.

 

 

Dans le coffre, en vrac, les tapis, le kit anti-crevaison et une trousse avec triangle, gilet et boite d’ampoule.

Vérification dans la boite à gants, à l’emplacement de la carte SD, la carte du GPS est absente. Je la lui réclame, il s’absente et reviens deux minutes après… sans carte. Il m’indique quel sera expédiée sous quinzaine à mon domicile par le mandataire.

Ainsi soit-il !

 

 

Je lui donne les plaques d’immatriculations du véhicule qu’il confie à un mécanicien en charge de les fixer.

Le temps de la monte des plaques, j’en profite pour faire les vérifications d’usage sur le véhicule, carrosserie, sellerie, options, niveaux... Tout semble bien en ordre.

Pas le temps de la contempler d’avantage, le mécanicien à finis sa besogne et le commerciale me remet les clefs on m’indiquant la station-service la plus proche et me saluant.

 

 

17H30 me voilà seul à bord de la belle, prêt au départ.

Je reste surpris de n’avoir signé aucun document ni même avoir eu à présenter la moindre pièce d’identité.

Le mandataire m’avait bien avertie de ne pas m’attendre à grand-chose en allant la chercher sur place, je ne suis donc qu’à moitié surpris par le déroulement des évènements même si je m’attendais à d’avantage de considération.

 

 

Tout ça est bien vite oublié et rapidement occulté par le plaisir de me retrouver enfin au volant de l’Ateca.

Après de rapide réglage de ma position de conduite, je cherche mécaniquement l’emplacement pour mettre la clef de contact… Suis-je bête ! Il est temps de se mettre à la page.

 

 

J’actionne le bouton démarrage et sort en roulant au pas de l’atelier, puis traverse les parkings successifs.

Arrêt, au niveau du portail de la concession, clignotant à droite, les éléments de conduites tombent rapidement sous le sens pour moi. Il n’y a que très peu de différence avec la Léon.

 

 

Je m’engage sur la route puis rapidement m’arrête à hauteur de mes parents qui m’attendaient garé à une dizaine de mettre de la concession.

Le start & stop s’active, je baisse la vitre côté passager en leur demandant de me suivre jusqu’à la station-service à environ 1 km, nous prendrons le temps de discuter là-bas.

 

 

Ils acquiescent, j’actionne délicatement la pédale d’accélérateur. On roule sur 100 mètres avant d’arriver à un feu tricolore, évidement il est rouge.

Je m’arrête, le start & stop s’active à nouveau et après quelques secondes, le feu passe au vert.

Toujours suivi de mes parents, j’actionne à nouveau la pédale d’accélérateur, la voiture s’élance, je franchi l’intersection et soudainement…

 

 

Oups, je ne me rends même pas compte que j’ai déjà écrit une tartine.

Aller, une petite pause, je reprendrais demain.

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Invité §Mar316BV

De retour pour la suite.

 

Soudainement donc… la voiture commence par « brouter » et fini rapidement par caler.

 

La direction se durcit fortement et l’élan de la voiture est tout juste suffisant pour se mettre en sécurité sur le côté de la route…

J’active les feux de détresse puis tente vainement de redémarrer la voiture. Le constat est sans appel, après avoir parcouru moins de 300 mètres depuis la concession, c’est la panne sèche !

 

Furieux, je laisse la voiture sous surveillance de mes parents et retourne à pied, sous une pluie battante, à la concession.

Le commerciale me reconnait immédiatement et cette fois-ci vient à mon encontre.

 

Les mots en espagnole me manquent pour lui faire part de mon mécontentement.

Je parviens à lui expliquer la situation. Il se confond en excuse et après avoir passé un appel virulent m’invite à le suivre.

 

Nous voilà repartie dans les dédalles d’ateliers, on finit par arrivée dans un sous-sol à un atelier Opel.

Il explique la situation à un mécanicien qui saisit un jerricane d’essence et m’invite à monter à bord de son véhicule.

 

 

Rapidement on arrive sur les lieux de l’incident, il vide le jerricane de 5 L rempli au ¾ d’essence dans le réservoir et se propose de m’escorter jusqu’à la station-service.

Je le suis sur les 500 mètres nous séparant de la station, un petit signe de la main du mécanicien pour me saluer et il poursuit sa route pour je suppose retourner à l’atelier.

 

 

Après un plein de 51,5 L, je peux à nouveau me détendre et me préparer à affronter sereinement les 1200 km me séparant de mon domicile.

Je choisi volontairement d’emprunter la national pour la centaine de km à parcourir jusqu’à la frontière.

 

 

Le trafic est assez dense, la pluie toujours aussi soutenu et la nuit déjà là depuis un moment.

Malgré ces conditions, c’est avec un plaisir certain que je parcours les premiers kilomètres à bord de l’Ateca.

Rodage oblige, j’adopte une conduite souple en optant pour le mode normale sur la molette Driving Experience.

 

 

Mon premier ressenti est à la hauteur de mes attentes.

Niveau confort, je suis bien calé dans le siège ergonomique équipant la version FR et malgré des jantes 19 pouces, le DCC attenue parfaitement les soubresauts liés aux aspérités de la route.

La boite DSG7 que je connais déjà, bien que toujours aussi linéaire, me convient parfaitement.

Pour la motorisation TSI 190ch, je réserve mon jugement après la période de rodage.

 

 

Il est maintenant 20H, et après 2 heures de route la frontière se profile à l’horizon.

Un petit arrêt au niveau de la dernière station-service espagnol afin de faire l’appoint en carburant et profiter des tarifs avantageux.

Un regard sur le compteur kilométrique, il affiche 98 km, l’appoint est de 9,81 L. J’en tire aucune conclusion mais la consommation à cette instant ne me surprend pas.

 

 

Après un sandwich rapidement avalé, c’est repartie pour un peu plus de 200 km d’autoroute cette fois-ci qui nous mèneront au nord de Bordeaux.

L’occasion de me familiariser avec quelques aides à la conduite.

 

 

Tout d’abord le Lane Assist, je le trouve plus au point que sur la Léon. Le fait de pouvoir supprimer le maintien au centre de la voie est un vrai plus. Bien qu’un peu intrusif et non indispensable, couplé au détecteur d’angles morts pour les changements de voie, c’est une option sécurisante, surtout quand les conditions climatiques sont difficiles.

 

 

Ensuite le régulateur de vitesse adaptatif ACC, récalcitrant avant même de l’essayer, mes premières impressions confirment mes craintes. Trop intrusif à mon gout, avec des freinages un peu fort dans plusieurs situations (virage serré, véhicule qui se rabat trop rapidement), à ce moment, je regrette le régulateur de vitesse classique. Par la suite, avec des réglages plus adaptés à mon style de conduite, je finirais par me réconcilier avec.

 

 

Enfin le Trafic Jame Assist que j’ai pu essayer brièvement à l’approche de Bordeaux suite à un bouchon occasionné par un accident. Ca me semble efficace mais l’essai a été trop court pour me faire une vraie opinion.

 

 

Bordeaux passé, je décide de prendre à nouveau la national en coupant par Angoulême, Guéret, Moulins avant de rejoindre à nouveau l’autoroute au niveau de Chalon-sur-Saône.

Pas moins de 500 km à parcourir en pleine nuit.

 

 

Toujours suivis par mes parents, je profite de cette longue portion pour m’essayer aux commandes vocales. Je ne les trouve pas très intuitives et j’ai dû me reprendre à plusieurs fois avant de pouvoir passer quelques appels.

En revanche, une bonne surprise pour moi. Malgré l’absence de Seat Sound System, je ne suis pas déçu par la qualité sonore délivrée par les haut-parleurs de série. Je m’attendais tellement à pire qu’au final j’en viens à être satisfait.

 

 

Après plusieurs dizaines de kilomètres sans croiser de station-service ouverte, le voyant d’autonomie de carburant passe au rouge et le compte à rebours affichant l’autonomie restante se rapproche inexorablement et dangereusement de 0 km.

Pas encore le coup de panne sèche, surtout en pleine nuit au niveau de nulle part !

 

 

Alors que l’autonomie restante affiche 0 km depuis 2-3km maintenant, je finis par trouver mon salue au niveau de la petite commune de Dompierre-sur-Besbre.

Après ravitaillement, on décide sur place d’essayer de trouver le sommeil et de se reposer 2/3 heures.

 

 

La nuit étant fraiche, avant de couper le contact et de baisser les sièges en position couchette, j’active pour quelques minutes les sièges chauffants et pousse de quelques degrés la climatisation. Rapidement, la sensation de chaud et bienêtre envahie l’habitacle et après mettre glisser dans un sac de couchage, je finis par rapidement trouver le sommeil...

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Je partage ton analyse sur les aides à la conduite.

Je serais curieux d'essayer un 190 TSI.

Je me demande ce que ça donne en couple.

Ma fille a une A1 160 TSI et c'est sympa à conduire mais ça consomme sec si on se laisse aller à profiter du moteur. ..

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Invité §Gre248jT

On est loin de la bouteille de rosé ou le bouquet pour madame offert à Muret, ça c'est sûr :D

Et le coup du réservoir archi vide c'est vraiment pas cool :/

Mais bon passé cette étape, un Ateca reste un Ateca, et les premiers kilomètres sont géniaux, on découvre un peu tout, en vrai ^^

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Invité §fif877kx

vivement la suite de ton recit très agréable à lire. J'avais pour ma part choisi la livraison dans les locaux d'espagnauto afin de les rencontrer et car c'était plus avantageux économiquement pour moi.

Vivement quelques photos de la belle également !

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Invité §Mar316BV

Bonjour,

 

Avant de poursuivre la suite de mon récit, je vous souhaite à toutes et tous une belle année 2018.

Plein de belles émotions à la livraison de vos ATECA et de plaisir à son volant.

 

Troisième escale de mon flashback : le mardi 12 décembre : le retour à la maison.

 

Après 2 heures de sommeil, la froideur de la nuit fini par me réveiller.

Une pression sur le bouton de démarrage afin de réchauffer l’habitacle, l’ODB affiche une température extérieure de 1° et l’horloge numérique 06H33.

Je regarde par la fenêtre embuée la voiture de mes parents stationnée à coté, j’y décèle également de l’activité.

 

 

Après avoir avalé un café, on décide de reprendre la route.

Un peu plus de 350 km encore à parcourir pour enfin rentrer à la maison.

 

 

Arrivée à la gare de péage de Chalon-sur-Saône, le temps de prendre un ticket, une alerte sonore retenti.

C’est le détecteur de fatigue qui m’invite à faire une pause !

J’avoue ne toujours pas comprendre le fonctionnement du détecteur de fatigue que j’avais déjà sur la Léon. J’admets volontiers ne pas avoir pris le temps de me renseigner en détail sur le sujet. Par expérience, j’ai l’impression que l’alerte vient après une série de mouvements inhabituels du conducteur.

 

 

Une dernière remarque sur les feux de route intelligents avant d’arriver enfin à domicile. Sur route national, je trouve le fonctionnement globalement efficace, il y a juste quand on rattrape un véhicule où je trouve que les feux de route se désactivent un poil tardivement.

En revanche, sur voie rapide et autoroute je suis un peu moi enthousiaste. Je trouve que la détection des véhicules venant de face, du fait probablement du terre-plein central, n’est pas toujours au point.

 

 

10H00 à peine passé, nous voilà devant la maison. Un appui sur le bouton de la commande du portail que j’ai dû aller pêcher au fond des abysses du rangement de l’accoudoir central. Tout ça pour dire que je ne suis pas fan de son ergonomie. Un constat que j’élargi à l’ensemble des (maigres) rangements à bord.

 

 

Un second appui sur la commande du garage cette fois et voici (enfin) le temps de rentrer la belle au chaud.

La manœuvre est rendu facile grâce aux cameras 360°. Le nombre de possibilité d’affichage est simplement bluffant. Heureusement, il est facile de mettre en sourdine tous les bips-bips engendrés par le gabarit de la voiture et l’étroitesse du garage.

 

 

Une fois parqué et descendu du véhicule, je m’oriente vers le coffre pour décharger mon sac à dos et enfin essayer le Virtual Pedal.

Je danse quelques instants sur un pied en parcourant le parechoc de droite à gauche : rien ne se passe.

Je me souviens avoir lu ici : viser le E de « ATECA » ! Eh bien, ça fait plusieurs secondes que je suis à cloche pied en dessous et je n’y arrive toujours pas.

Agacé, je finis par mettre un coup de pied : Eureka ! Après un avertissement sonore le coffre finis par s’ouvrir.

Dernière frayeur, je n’ai pas refermé la porte de garage, le coffre s’arrête in extrémis à quelques millimètres. Ouf, c’était moins une.

 

 

Avant de vous dévoiler les toutes premières photos, un dernier mot sur la consommation.

Sur le trajet total (un peu plus de 1200 km), l’ODB affiche 8,3 L.

 

 

Par avance, je suis désolé de la mauvaise qualité des premières photos. Elles ont été prises dans la précipitation en Espagne et ne sont pas retouchée.

D’autres viendrons avec une quatrième escale de mon flashback.

 

 

La toute première photo prise :

 

 

ATECA 01.jpg

 

La toute deuxième photo prise !

 

ATECA 02.jpg

 

Les jantes alliage 19’’ FR Machined :

ATECA 03.jpg

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Merci pour ce récis. Ca me rapelle la premiere voiture que je suis allé chercher à Bratislava en Slovaquie. Pas mal de stress mais la satisafaction de s'etre débrouillé tout seul et de bons souvenirs quand on monte dans la voiture les jours et les mois suivants

J'ai depuis trouvé un transporteur polonais qui me livre les voitures devant la maison pour 300 euros. C'est au final tout aussi rentable avec la fatigue en moins.

Bonne route avec ton Ateca

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Invité §Mar316BV

Bonjour,

 

Merci à tous pour vos messages.

 

Pour information, si cela peut aider, j'ai fait le choix le 29 décembre dernier de passer par une boutique au coin de ma rue pour l'immatriculation du véhicule.

 

En effet avec les lenteurs et difficultés de l'ANTS et ne voulant commettre d'impair pour ma première immatriculation d'un véhicule d'import, j'ai opté pour se choix.

 

Résultat : j'ai obtenu aujourd'hui le certificat d'immatriculation avec à la clef une remise de 10% sur le coup du malus.

 

Non négligeable dans mon cas (malus de 2610€). C'est encore le barème 2017 qui a été appliqué.

 

En bonus, j'ai retrouvé tout à l'heure une photo prise depuis mon portable le jour du retrait du véhicule.

 

 

IMG_1182.jpg

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Invité §fif877kx

cool pour l'immatriculation plus rapide qu'en la faisant toi même. Mais la demarche sur le site est assez simple finalement.

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