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[Jeu] Une musique suit l'autre...


Roland de Gilead
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Bonsoir les gens !🙂

 

Je poursuis le mode impersonnel, avec cette aventure incroyable arrivée à Ray Dorset, leader des Mungo Jerry. Quelqu'un a volé sa femme et personne ne sait qui, pas même Mike dont la Mécanique s'est enrayée pour le coup !

Nous sommes en 1971. Le soufflé "In the summertime" n'est pas encore descendu et le groupe aligne encore les succès même s'ils sont de moindre ampleur.

"Somebody stole ..." est extrait de leur 2ème album intitulé "Electronically tested" qui n'est autre que la mention figurant sur la boîte de préservatifs d'une marque fort connue.

Un an plus tard, le pianiste et le joueur de banjo du groupe décident d'entrer en rébellion contre leur leader Ray Dorset qu'ils jugent trop vulgaire et trop outrancier. Ils iront donc présenter leurs doléances aux pontes du label qui les virent dare-dare du groupe ! Toute honte bue, ils iront fonder le King Earl Boogie Band dont le style ressemble à s'y méprendre à celui de Mungo Jerry, un chouia de jazz New Orleans et de skiffle en plus.

 

lien : impersonnel (nobody, somebody ...)

titre : "Somebody stole my wife" (du pur Skiffle !!)

artistes : Mungo Jerry

album : "Electronically tested"

paru en single : oui en titre principal

année : 1971

 

 

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Bonsoir tout le monde !

 

"Homemade Ice Cream", la crème des crèmes, faite maison, qui se déguste via un vinyle inusable, intemporel, qui venait clôturer la carrière roots de Tony Joe White en 1973. Voici l'instrumental qui donne son titre à l'album. Placer ce 33 tours sur la platine au cours d'un dîner cool entre amis, c'est garantir à ses potes un excellent moment.

 

lien : crèmeux

titre : "Homemade Ice Cream"

artiste : Tony Joe White

album : "éponyme"

année : 1973

 

 

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Bonsoir foule nombreuse !

 

lien : la simplicité

titre : "avec simplicité"

artiste : Richard Cocciante

album homonyme

année : 1980

 

 

Gros gros succès de Richard Cocciante en 1980. L'artiste était alors au sommet de sa gloire en France. Né à Saïgon d'un père italien et d'une mère française, R. Cocciante a très tôt été séduit par la musique classique avant de s'intéresser à la pop et d'officier ensuite au sein d'un groupe de ... hard rock/blues, sa voix râpeuse convenant parfaitement à ce genre musical. Compositeur et pianiste de talent, l'intéressé inscrira plusieurs très grands succès ("Marguerite", "Je chante", "le coup de soleil" -1978 - 1979 -,  "Au, clair de tes silences" (1980). Il se fait plus discret au fil des années suivantes, avant de retrouver les feux de la rampe en 1998, comme compositeur de la comédie musicale "Notre Dame de Paris" (1ère version), Luc Plamondon en ayant écrit les paroles. Enfin, l'on ne compte plus ses participations et collaborations avec d'autres artistes (ex : Catherine Lara) dans le cadre de créations artistiques ambitieuses.

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Bonsoir tout le monde !

 

lien : qualité des années ... qui défilent

titre : "Tender years"

artiste : George Jones

année : 1961

 

Auteur-compositeur-interprète et guitariste, surnommé "now-shoes Jones", George Jones (1931 - 2013) était un artiste de musique country très atypique, à la fois socialement "honky tonk" et musicalement dans la stricte lignée "Nashville". Il a cumulé les hits et les distinctions plus qu'aucun autre de ses confrères. Epoux de la chanteuse country Tammy Wynette,  il taquinait la dive bouteille mieux qu'aucun autre aussi.

On lui doit les plus belles pages de la musique country, à l'image de ce "Tender Years", énorme succès en 1961, dont Johnny Hallyday s'était empressé d'interpréter la version française intitulée "Tes tendres années" (repris aussi en 1994 par S. Vartan dans  son (excellent !) album unplugged)

 

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Bonsoir amis joueurs !

 

Je poursuis en mode country et dans le même esprit honky tonk avec Roger Miller (1936 - 1992), auteur-compositeur-interprète et guitariste, qui aligna les succès au cours des 60 et 70's, dont  le plus célèbre est "King of the road" repris par Hugues Aufray sous le titre "On est les rois". "Do-wacka-do", "Hang me" (également repris par H. Aufray) ont également fait carrière chez nous au cours des sixties.

Il y a eu aussi "Old toys train", chanson  écrite et composée pour son fils, que Graeme Allwright avait adaptée en français ( "Petit garçon"). Un titre émouvant, entré dans le Panthéon des chansons de Noël aux Etats-Unis ... et ailleurs.

Classé chanteur country, le style musical de R. Miller lorgne plutôt du côté du Skiffle, la partie country n'étant qu'un des nombreux éléments de son répertoire volontiers humoristique aussi.

 

lien : royal

titre : "King of the road"

artiste : Roger Miller

année : 1964

 

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

Allez, un p'tit dernier qui date de 1973 !

 

 

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Bonjour tout le monde,

 

Bon, ben on va y aller doucement, comme le préconisait d'ailleurs Hugues Aufray en 1968, évoquant Jean-Claude Killy, le plus grand de nos champions de ski français !

 

lien : y aller mollo

titre : "(va doucement) c'est tout bon"

artiste : Hugues Aufray

année : 1967

 

 

H. A..jpg

Modifié par rockerboots
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Elle a toujours fait partie de mes artistes préférées et le CD "Best of" (voir photo ci-dessous) qui retrace sa carrière est très recommandable, de même que ses albums à l'instar de celui-ci, éponyme, paru en 1970. Christine Perfect (1943 - 2022), était une artiste britannique aux multiples talents dont ceux d'auteure-compositrice, pianiste et chanteuse (de blues essentiellement), en solo ou au sein de groupes devenus mythiques.

Egérie de Chicken Shack et du label Blue Horizon tout d'abord, de 1968 à 1969, le temps de deux 33 tours, elle ne tarde pas à rejoindre Fleetwood Mac dont elle deviendra l'un des fers de lance, offrant au groupe de gros succès et ... sa main à John McVie le bassiste. C'est donc en qualité de Christine McVie qu'elle poursuivra sa carrière. Sa voix n'est pas sans rappeler celle de Nico sur certains titres comme celui-ci.

 

lien : patronyme à usage de synonyme

titre : "Tell me you need me"

artiste : Christine Perfect

album : éponyme

année : 1970

 

 

Allez, un autre titre, rien que pour le plaisir !

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

 

christine perfect.jpg

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Bonsoir chers toutes et tous !

 

lien : suite éventuelle à "dis-moi pourquoi" (ou remarque qui précède pour justifier cette demande)

titre : "tu ne dis rien"  (paroles et musique de l'intéressée)

artiste : Françoise Hardy

paru sur EP

année : 1964

 

 

En 1964, Françoise Hardy fait partie des chanteuses préférées de la jeunesse de l'époque avec Sylvie Vartan et Sheila. Son répertoire tendre, romantique et empli de spleen marque la différence avec ses autres copines yéyé au style enjoué. C'est tout un public quelque peu introverti qui se retrouve dans ses textes et dans cette mélancolie omniprésente dont ils sont imprégnés. Je possède pas mal d'albums de Françoise Hardy auxquels s'ajoutent quelques EP (singles vinyles 4 titres) comme celui-ci dont j'apprécie tout particulièrement le titre phare que voici.

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

 

C. Blackwell dirige l'orchestre et JImmy Page officie à la guitare solo. EP enregistré à Londres, où le guitariste était musicien de studio.

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Bonjour à toutes zé à tous !

 

 

lien : synonyme de consentement en langage courant

titre : "d'accord d'accord" 

artiste : Danyel Gérard

paru sur EP

année : 1964

réenregistré en 1975

 

Il figure parmi les tout premiers rockers français, bien avant Johnny Hallyday ou Eddy Mitchell. En 1958, on l'appelait le "chanteur suffocant". La conscription (service militaire) mit un terme à son ascension et, à son retour, le monde musical avait changé. Le rock alors confidentiel avait depuis lors déployé ses ailes et revêtu pour l'occasion les habits du twist. Danyel Gérard s'y est mis très vite et obtînt quelques jolis succès durant toute l'ère yéyé. Sur cet EP, c'est "il pleut dans ma maison" qui fut le titre-phare, mais "d'accord, d'accord" a aussi cartonné sur les ondes (Salut les Copains) et demeure un classique des sixties.

En 1975, à la faveur d'un regain de popularité du rock, du twist et toute les musiques du début des années 60, Danyel Gérard avait réenregistré ses tubes, leur donnant une couleur moderne, qui, je trouve, est toujours aussi vivace.

 

 

danyel gerard.jpg

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Bonsoir la foule !

 

lien : Johnny Borrel, leader des Razorlight, avait été un temps le bassiste des Libertines

titre : "don't look back into the sun" 

artistes : The Libertines

album : éponyme

paru en single

année : 2003

 

 

Quand j'ai entendu ce titre un soir, rentrant de Fribourg (Allemagne) en bagnole, j' sais pas pourquoi j'ai tout de suite accroché/adoré. On dirait les Kinks des années 2000 (voix du chanteur notamment). Chose curieuse, cette station de radio diffuse surtout  les oldies des années 50/60/70/80. Pourquoi les Libertines ont-ils atterri sur leurs platines, mystère et boule gomme ...

Enfin bref, je ne possède aucun disque de ce groupe Londonien et n'avais de fait jamais rien entendu de lui (ou alors de manière fugace ...). C'est finalement la presse rock qui m'avait fait faire sa connaissance.

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Bonsoir tout le monde,

 

Ils s'appelaient tous les trois Walker, étaient originaires de Los Angeles et représentaient l'une des nombreuses répliques à la British Invasion menée par les Beatles et toute la cohorte anglaise de Liverpool.

Mais un seul était né sous ce patronyme, à savoir le prénommé Scott (basse, clavier, chant principal).

Les deux autres lui avaient emprunté son nom de famille afin de devenir des "Brothers" sur scène et en studio, mais n'avaient cependant aucun lien de parenté avec lui.

Voici donc les Walker Brothers, dont j'ai adoré cette chanson présente dans l'une de mes compilations CD.

Make It Easy on Yourself  (repris par Claude François sous le titre "Mais n'essaie pas de mentir") fut leur premier n°1 en 1965 (que j'ai cette fois dans une compil' vinyle). Le style me rappelle celui des Righteous Brothers.

Le trio se sépare en 1968, le succès dans les charts n'étant plus au rendez-vous. Les seventies les verront réémerger et leur carrière se poursuivra cahin caha avec des fortunes diverses. Quoi qu'il en soit, que ce soit la presse musicale ou le public (de l'époque), chacun garde en souvenir et salue les grands moments musicaux offerts par les trois (faux) frères Walker.

 

lien : solaire

titre "The sun ain't gone a shine any more"

interprètes : the Walker Brothers

année : 1965

 

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

 

 

 

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Bonsoir tout le monde,

 

Bon ben on va rester dans le domaine astral en évoquant la lune. Si tu ajoutes "comme la lune" au titre de Nicoletta,  c'est la fin de toute vie sur terre, une éventualité funeste que l'on ne peut écarter.

 

lien : sidéral et funeste éventualité

titre "Comme la lune"

interprète : Joe Dassin

année : 1966

 

A l'époque,  Joe Dassin débutait sa carrière dans un style folk/skiffle. Son répertoire était presque exclusivement composé de reprises américaines, comme cette chanson de Lee Hazlewood dont le titre original est "Four kinds of lonely". Un an plus tôt il s'était fait connaître avec "Bip Bip", adaptation française de "Road Hog" (JD Loudermilk), une chanson produite par Chet Altkins, parue en 1962 et "Guantanamera", classique des classiques, interprété par tellement d'artistes que le Bottin du 93 n'y suffirait pas.

 

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