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Histoires du sport automobile

Des anciens rallymen à votre écoute


J.L.C
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Sois pas jaloux c'est du passé

Bon c'est pas tout ça je ne m'attarde pas car je vais sur la plage profiter de l'été indien et des dernières naïades

Bon après midi

 

 

Si tu fais du bateau, attention de ne pas le faire chavirer ! :lol:

 

Moi je vais bacher la piscine :cry: Donc prendre une bache :lol:

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Et bien il y a plein de H.S. et c'est bien aussi. Le topic devient plus sympa.

Alors pour en revenir aux questions des rallymans à notre écoute.

Petite question : j'ai remarqué que souvent les meilleurs pilotes avaient presque une absence de la peur. Pourtant je suis sûr que certains d'entre vous ont en fait eu quelques frayeurs, en rallyes ou sur la route.

Alors pour vous, quelles ont été les circonstances où vous vous êtes fait une belle frayeur ?

Pour ma part, ça n'a pas été en rallye, mais sur route ouverte. C'était dans les années 80, je roulais souvent avec ma Fiat 127 groupe 2 sur la route. J'étais passé le matin sur une route et j'enquillais des virages rapides à 150/160.

Le soir dans l'autre sens, à la tombée de la nuit, j'attaquais à la même vitesse, sauf qu'entre temps, les ponts et chaussés avait gravillonné la route à l'entrée d'une grande courbe.

Je suis parti dans un gigantesque travers, et je suis rentré dans un champ en passant à 20 cm d'un gros platane. Je me suis arrêté plus de 100 m après, sans avoir rien cassé, hormis que j'avais réussi à coincer de la paille entre les jantes et le pneus. Des belles balayettes qui sont restés très longtemps. J'étais pas tout seul dans la voiture, et c'est peut-être pour ça que je me suis fait une de mes plus belles chaleurs.

J'ai eu pourtant des bons accidents, mais j'ai jamais eu le temps d'avoir trop peur.

Le dérapage sur les gravillons m'a paru très long, le platane découvert qu'avec les phares au dernier moment, et le champ où l'on était bien secoué pris à moitié sur deux roues. Je pense que si le platane n'avait pas bougé :lol: je ne serai même plus là pour en parler.

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Invité §j2h206mT
Et bien il y a plein de H.S. et c'est bien aussi. Le topic devient plus sympa.

Alors pour en revenir aux questions des rallymans à notre écoute.

Petite question : j'ai remarqué que souvent les meilleurs pilotes avaient presque une absence de la peur. Pourtant je suis sûr que certains d'entre vous ont en fait eu quelques frayeurs, en rallyes ou sur la route.

Alors pour vous, quelles ont été les circonstances où vous vous êtes fait une belle frayeur ?

Pour ma part, ça n'a pas été en rallye, mais sur route ouverte. C'était dans les années 80, je roulais souvent avec ma Fiat 127 groupe 2 sur la route. J'étais passé le matin sur une route et j'enquillais des virages rapides à 150/160.

Le soir dans l'autre sens, à la tombée de la nuit, j'attaquais à la même vitesse, sauf qu'entre temps, les ponts et chaussés avait gravillonné la route à l'entrée d'une grande courbe.

Je suis parti dans un gigantesque travers, et je suis rentré dans un champ en passant à 20 cm d'un gros platane. Je me suis arrêté plus de 100 m après, sans avoir rien cassé, hormis que j'avais réussi à coincer de la paille entre les jantes et le pneus. Des belles balayettes qui sont restés très longtemps. J'étais pas tout seul dans la voiture, et c'est peut-être pour ça que je me suis fait une de mes plus belles chaleurs.

J'ai eu pourtant des bons accidents, mais j'ai jamais eu le temps d'avoir trop peur.

Le dérapage sur les gravillons m'a paru très long, le platane découvert qu'avec les phares au dernier moment, et le champ où l'on était bien secoué pris à moitié sur deux roues. Je pense que si le platane n'avait pas bougé :lol: je ne serai même plus là pour en parler.

 

 

 

Je vais essayer de me rappeler de ma plus grosse chaleur, (il y en a quelques unes) mais en attendant, je vais te parler de ma plus grosse gamelle.

Course de côte de Remiremont juin 1973

J’étais à cette époque pilote Antar Filipinetti (Fiat 128 coupé en circuit), et je participais dans cette course de côte régionale avec un coupé Bmw 30CS.

Très concentré sur le sujet, je cassais une petite croute avec les potes (merguez ….)

J’en oublie mon heure de départ, et on m’appelle en catastrophe pour partir.

Sans aucune préparation, je saute dans ma voiture, et (j’étais jeune) je soude comme un malade.

Je me suis réveillé quelques jours plus tard, chez moi avec une triple fracture de la mâchoire et un traumatisme crânien, qui m’a écarté un an de toute conduite automobile.

Et encore, je peux prier le ciel, parce que mes amis venaient de me payer un casque intégral BELL, je l’ai toujours il est complètement vrillé.

Apparemment d’après les témoins, j’aurais touché une corde et la voiture est partie en embardée (6 tonneaux par l’avant).

Je ne suis pas fier, et je pense que ca un peu coupé une carrière automobile, notamment pour mes parents (je les comprends)

J2H

 

 

 

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Invité §j2h206mT
J'en vois pas avec moustaches donc c'est un piège tu n'y es pas[/quotemsg

 

et pourtant j'ai déjà un sourire chavirant

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Quizz: Revue ? et date...

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/234692/J%20L%20C%20%20MECANOS3.JPG

 

Les 3 pages sur l'article si vous trouvez :q :lol

 

J'imagine que je suis hors concours

Vous remarquerez la considération que j'ai toujours eu pour les mécanos à qui je faisais en sorte de donner au moins une coupe et une plaque de rallye à tour de rôle

La deuxième plaque étant pour le coéquipier je n'en ai donc personnellement aucune

J'ai vu il y a quelque temps certaines de mes plaques (du Tour de Corse notamment) en vente sur Ebay

Quelques unes ont atteint 300 euros, j'aurais dû en conserver

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un plus tard, ou est-il ?

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/275438/ecole saint sigisbert 0001.JPG

 

 

Bonsoir :) ,

 

En Haut à gauche (imposante chevelure bouclée brune) ???...

 

Pour Jean-Louis, j'ai trouvé du premier coup (et sans pomper !) car si nous nous "transformons" avec les années, le regard lui ne change jamais et en observant bien, les photos plus récentes de J.L.C j'ai retrouvé notre Docteur es Rallyes :jap: ...

 

@+++

 

patrice

 

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Invité §j2h206mT
D'ou les tonneaux par l'avant avec le coupé BM racontés plus haut :lol:

et

 

et ca te faire rire que j'a été blessé comme ca

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Andruet, Larousse et toi...mais qu'as tu dit à la brune pour qu'elle te regardes comme ca ? :??:

1629130748_Remise20prix2070.jpg.f7968739b9125dce9ffa0161cd407bde.jpg

 

Tu devrais remarquer qu'on voit ma main gauche sur la hanche de Francine mais où est ma main droite, côté Corinne et son regard qui feint la surprise ?

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Invité §j2h206mT
Tu devrais remarquer qu'on voit ma main gauche sur la hanche de Francine mais où est ma main droite, côté Corinne et son regard qui feint la surprise ?

 

 

c'est plus tot le mec a côté qui se demande ce qu'il lui arrive d'ou la surpride de la petite brune tss tss :lol:

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et ca te faire rire que j'a été blessé comme ca

 

Pas du tout et j'imagine que ça a forgé ton caractère puisque tu n'as pas renoncé à ta passion pour le sport auto et c'est tant mieux

Donc excuse moi si mon humeur était déplacé, c'est vrai que moi je n'ai jamais souffert dans ma chair après une sortie je ne pouvais donc pas savoir que tant d'années après ce souvenir t'était encore douloureux psychiquement

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c'est plus tot le mec a côté qui se demande ce qu'il lui arrive d'ou la surpride de la petite brune tss tss :lol:

 

Le mec tu le connais bien c'est José Barbara auquel tu t'es aussi frotté en rallye

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Invité §j2h206mT
Pas du tout et j'imagine que ça a forgé ton caractère puisque tu n'as pas renoncé à ta passion pour le sport auto et c'est tant mieux

Donc excuse moi si mon humeur était déplacé, c'est vrai que moi je n'ai jamais souffert dans ma chair après une sortie je ne pouvais donc pas savoir que tant d'années après ce souvenir t'était encore douloureux psychiquement

 

 

bon t'es tout pardonné

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Invité §j2h206mT
Le mec tu le connais bien c'est José Barbara auquel tu t'es aussi frotté en rallye

 

 

alors là :jap:

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J'ai essayé aujourd'hui de voir ce que ca faisait de freiner du pied gauche... c'est brutale quand on a l'habitude de l'embrayage ! :D

 

Du coup je voudrais savoir, quelles ont été les techniques que vous avez eu le plus de mal à maitriser au début (ou plus tard d'ailleurs), ou bien celles dont la maitrise vous a procuré le plus de satisfaction personnelle sur le moment ? :)

 

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Invité §j2h206mT
alors là :jap:

 

 

en relisant la liste des pilotes internationaux de 70

je vois Jacques Coulon, c'est lui qui était pilote officiel F3 chez Antar en 73

et c'est lui qui est monté à côté de moi pour essayer la Fiat 128.

Après un tour d'essai je suis passé à fond le virage des Signes.

Il m'a immédiatement demandé de m'arrêter

j'ai cru que c'était foutu pour moi

 

 

 

885255455_128abarthFilipinette1973.jpg.7e1adb0a3856daa5df7dc43fa8bbf33b.jpg

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Invité §j2h206mT
J'ai essayé aujourd'hui de voir ce que ca faisait de freiner du pied gauche... c'est brutale quand on a l'habitude de l'embrayage ! :D

 

Du coup je voudrais savoir, quelles ont été les techniques que vous avez eu le plus de mal à maitriser au début (ou plus tard d'ailleurs), ou bien celles dont la maitrise vous a procuré le plus de satisfaction personnelle sur le moment ? :)

j'ai participé au Trophée Andros, et la plus grande impression, quand il est impossible de marcher à pied sur la piste, c'est de jetter ta caisse en 4 ou en 5 , 30 métres avant le virage, tu accélères a fond, et c'est la motricité, quand tu l'as trouves, qui te ramènes sur la trajectoire. Au début c'est un peu chaud pour les ailes et pour les autres concurrents, mais au bout de quelques frayeurs sans gravité, tu prends un bon pied

 

J2H

 

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Invité §j2h206mT
[/b]j'ai participé au Trophée Andros, et la plus grande impression, quand il est impossible de marcher à pied sur la piste, c'est de jetter ta caisse en 4 ou en 5 , 30 métres avant le virage, tu accélères a fond, et c'est la motricité, quand tu l'as trouves, qui te ramènes sur la trajectoire. Au début c'est un peu chaud pour les ailes et pour les autres concurrents, mais au bout de quelques frayeurs sans gravité, tu prends un bon pied

 

J2H

 

 

d'ailleurs je vous conseille si vous passer par Tignes, les karts sur glace, c'est a peu près les mêmes sensations à moindre coût

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Et bien il y a plein de H.S. et c'est bien aussi. Le topic devient plus sympa.

Alors pour en revenir aux questions des rallymans à notre écoute.

Petite question : j'ai remarqué que souvent les meilleurs pilotes avaient presque une absence de la peur. Pourtant je suis sûr que certains d'entre vous ont en fait eu quelques frayeurs, en rallyes ou sur la route.

Alors pour vous, quelles ont été les circonstances où vous vous êtes fait une belle frayeur ?

Pour ma part, ça n'a pas été en rallye, mais sur route ouverte. C'était dans les années 80, je roulais souvent avec ma Fiat 127 groupe 2 sur la route. J'étais passé le matin sur une route et j'enquillais des virages rapides à 150/160.

Le soir dans l'autre sens, à la tombée de la nuit, j'attaquais à la même vitesse, sauf qu'entre temps, les ponts et chaussés avait gravillonné la route à l'entrée d'une grande courbe.

Je suis parti dans un gigantesque travers, et je suis rentré dans un champ en passant à 20 cm d'un gros platane. Je me suis arrêté plus de 100 m après, sans avoir rien cassé, hormis que j'avais réussi à coincer de la paille entre les jantes et le pneus. Des belles balayettes qui sont restés très longtemps. J'étais pas tout seul dans la voiture, et c'est peut-être pour ça que je me suis fait une de mes plus belles chaleurs.

J'ai eu pourtant des bons accidents, mais j'ai jamais eu le temps d'avoir trop peur.

Le dérapage sur les gravillons m'a paru très long, le platane découvert qu'avec les phares au dernier moment, et le champ où l'on était bien secoué pris à moitié sur deux roues. Je pense que si le platane n'avait pas bougé :lol: je ne serai même plus là pour en parler.

 

 

Personnellement, j'ai toujours été plus rassuré en course (même si j'ai connu les jambes en coton au départ de courses, ça passe aussi vite que ça vient !) que sur route ouverte et dans ma "carrière d'automobiliste" (que j'espère encore très longue pour nous tous !)...

 

La plus belle frayeur que j'ai eu c'est passé dans un carrefour où un commercial qui sortait d'un repas arrosé a percuté mon véhicule côté conducteur en grillant "deux feux" distant de 100 mètres dans la préfecture des Hauts-de-Seine. Sa question fut : "Vous n'êtes pas mort ???...". J'étais dans un tas de tôles froissées, mon siège arraché de ses ferrures toujours ficelé par la ceinture de sécurité et je lui ai rétorqué que si je sortais entier de mon "carrosse" j'allais lui faire avaler son certificat de baptême (nous en sommes restés à la courtoisie des constats amiables)... La chance a fait que je n'ai pas eu une seule égratignure et que la personne a reconnu ses torts (son permis de conduire était son gagne pain)...

 

J'utilisais une Coupe de circuit (5gt/turbo) pour mes déplacements routiers entre Paris et ma région d'origine et un soir de Décembre, j'avais quitté Paris très tard le soir, "j'attaquais" sur l'ancienne nationale 20 car l'autoroute s'arrêtait à Vierzon, la chaussée était humide (j'adore conduire quand les conditions climatiques ne sont pas favorables) et en sortie de virage, le turbo en pleine charge, un "truc" blanc déboule sur mon pare-brise... surprise, je plante les freins et je pars en 360°... Je n'ai pas touché la "dame blanche" (une chouette) et miracle, ma voiture était en sens inverse de circulation (je n'ai rien touché, car je n'avais plus le contrôle de la voiture !)... avant de reprendre un rythme "normal", j'ai roulé plusieurs kms au ralenti en essayant de comprendre ce qui m'était arrivé !!!...

 

@+++

 

Patrice

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Je pense avoir suivi le sujet et j'ai une question pour nos grands compétiteurs ?...

 

Collectionnez-vous vos anciennes voitures de course comme Jean-Pierre Manzagol ou gardez-vous des reliques de course ?...

 

à+++

 

Patrice

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[/b]j'ai participé au Trophée Andros, et la plus grande impression, quand il est impossible de marcher à pied sur la piste, c'est de jetter ta caisse en 4 ou en 5 , 30 métres avant le virage, tu accélères a fond, et c'est la motricité, quand tu l'as trouves, qui te ramènes sur la trajectoire. Au début c'est un peu chaud pour les ailes et pour les autres concurrents, mais au bout de quelques frayeurs sans gravité, tu prends un bon pied

 

d'ailleurs je vous conseille si vous passer par Tignes, les karts sur glace, c'est a peu près les mêmes sensations à moindre coût

 

 

À Tignes je ne connais pas, mais j'ai essayé les kart-cross sur neige à Isola 2000, sans plus, et des 'vrais' kart, sur glace à Valberg, et c'est vrai que c'est top !

(par contre, après avoir organisé une petite course à Valberg, j'ai peur de devoir changer de nom et de visage si j'en refais une cet hiver, les "pilotes" ont cassé 2 ou 3 des karts sur les 5, parfois il y avait des moments où ils étaient tous debout hors du kart en train de le tirer du mur de neige..! Il faudra que je sois plus sévère la prochaine fois, s'il y en a une. :)

 

Est ce que c'est vrai que au Trophée Andros, dans les virage, on accelere moins pour retrouver la motricité et on accélère pour glisser plus, ou bien c'est juste dans certains cas ?

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Invité §mir017pb

:coucou: les retraités,

 

Question à JLC,

 

J'ai trouvé ce jour aux puces une plaque de rallye en tôle "Critérium des Garrigues" de mars 1981. C'est une plaque de l'organisation et ça m'a tout l'air d'être en championnat de France.

 

As-tu participé à cette épreuve cette année-là ?

 

Merci. :jap:

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Ce soir j'ai du retard

Pour répondre à Rosso mais plus grosse frayeur est sans aucun doute ma sortie de route au Tour de Corse 77 non pas qu'elle ait été violente mais parce qu'elle m'a plongé dans l'inconnu.

J'ai quitté la route pratiquement arrêté et comme je l'ai raconté plus haut la voiture est descendu dans le ravin où elle a repris de la vitesse en rebondissant de rocher en rocher

La batterie sétant débranchée dès les premiers tonneaux nous étions dans le noir absolu et nous ne voyions pas où nous allions

De temps en temps quand l'auto ne touchait plus rien il y avait un silence effrayant avant qu'elle ne rebondisse sur d'autres rochers dans un vacarme assourdissant. J'avais vraiment peur que nous finissions parchuter dans un précipice et dans ma tête je voyais les images de films où les autos s'envolent littéralement avant de s'écraser au fond des ravins.

Heureusement nous avons fini par nous arrêter au plus bas du ravin en bordure du torrent qui y coulait

Il faut savoir qu'entre ce point d'arrivée et la route que nous avions quitté il y a sur les cartes IGN 90 mètres de dénivelé, ça permet d'imaginé le chemin parcouru dans la pente

Voici le résultat de cette frayeur déjà abondament posté

 

hph_1108405828_sortie_tc_77__1opt.jpg.9b3512094ee2aa3f3031cb92d65abcd9.jpg

 

hph_1108405864_sortie_tc_77__2opt.jpg.2a10107da23515b3c1f648cb9a9bc4ee.jpg

 

hph_1108405917_sortie_tc_77__3opt.jpg.8f18422ba6c6777a130bacbc52b07479.jpg

 

hph_1108405955_sortie_tc_77__4opt.jpg.edae3d39289f59d942fd8de7af68c97d.jpg

 

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Invité §j2h206mT
À Tignes je ne connais pas, mais j'ai essayé les kart-cross sur neige à Isola 2000, sans plus, et des 'vrais' kart, sur glace à Valberg, et c'est vrai que c'est top !

(par contre, après avoir organisé une petite course à Valberg, j'ai peur de devoir changer de nom et de visage si j'en refais une cet hiver, les "pilotes" ont cassé 2 ou 3 des karts sur les 5, parfois il y avait des moments où ils étaient tous debout hors du kart en train de le tirer du mur de neige..! Il faudra que je sois plus sévère la prochaine fois, s'il y en a une. :)

 

Est ce que c'est vrai que au Trophée Andros, dans les virage, on accelere moins pour retrouver la motricité et on accélère pour glisser plus, ou bien c'est juste dans certains cas ?

 

 

si tu regardes les images d'Yvan Muller, le spécialiste en la matière, il jette sa voiture et il accélère a fond en montant les rapports pour trouver la motricité et sortir le plus vite du virage, maintenant si tu jettes ta voiture trop fort, et que tu contrôles mal la glisse, en relachant un peu l'accélérateur, tu la rattrapes, c'est le truc sympa que tu maitrises pas trop au début

 

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Invité §j2h206mT
Ce soir j'ai du retard

Pour répondre à Rosso mais plus grosse frayeur est sans aucun doute ma sortie de route au Tour de Corse 77 non pas qu'elle ait été violente mais parce qu'elle m'a plongé dans l'inconnu.

J'ai quitté la route pratiquement arrêté et comme je l'ai raconté plus haut la voiture est descendu dans le ravin où elle a repris de la vitesse en rebondissant de rocher en rocher

La batterie sétant débranchée dès les premiers tonneaux nous étions dans le noir absolu et nous ne voyions pas où nous allions

De temps en temps quand l'auto ne touchait plus rien il y avait un silence effrayant avant qu'elle ne rebondisse sur d'autres rochers dans un vacarme assourdissant. J'avais vraiment peur que nous finissions parchuter dans un précipice et dans ma tête je voyais les images de films où les autos s'envolent littéralement avant de s'écraser au fond des ravins.

Heureusement nous avons fini par nous arrêter au plus bas du ravin en bordure du torrent qui y coulait

Il faut savoir qu'entre ce point d'arrivée et la route que nous avions quitté il y a sur les cartes IGN 90 mètres de dénivelé, ça permet d'imaginé le chemin parcouru dans la pente

Voici le résultat de cette frayeur déjà abondament posté

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/uploads/200502/hph_1108405828_sortie_tc_77__1opt.jpg

 

je remarque que l'autocollant BP est toujours bien en place, sans grosses éraflures, c'est tout un art d'arriver à le faire :jap:

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/uploads/200502/hph_1108405864_sortie_tc_77__2opt.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/uploads/200502/hph_1108405917_sortie_tc_77__3opt.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/uploads/200502/hph_1108405955_sortie_tc_77__4opt.jpg

 

 

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Sur la route ouverte ma seule frayeur est une frayeur rétrospective

Je rentrais du Maroc par l'Espagne au volant de mon Espace Renault au début des années 90

J'étais au volant depuis près de 20 heures quand vers 4 heures du mat dans la Sierra Nevada j'ai dû m'assoupir une fraction de seconde sans m'en rendre compte et je me suis réveillé à quelques millmètres d'un camion qui venait à contre sens et dont je revois encore les énormes roues pratiquement contre ma vitre

Je me suis arrêté tremblant comme un feuille tellement j'ai eu peur en passant que j'aurai pu me tuer ainsi que celle qui m'accompagnait

Depuis plus jamais au grand jamais je n'ai essayé de continuer ma route quand la fatigue me gagne

 

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Je pense avoir suivi le sujet et j'ai une question pour nos grands compétiteurs ?...

 

Collectionnez-vous vos anciennes voitures de course comme Jean-Pierre Manzagol ou gardez-vous des reliques de course ?...

 

à+++

 

Patrice

 

Malheureusement je n'avais pas les moyens financiers de racheter mes autos de course

De plus je n'ai pratiquement pas garder de souvenirs à part quelques coupes et photos, j'ai expliqué pourquoi un peu plus haut (dons aux coéquipiers et aus mécanos)

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:coucou: les retraités,

Question à JLC,

J'ai trouvé ce jour aux puces une plaque de rallye en tôle "Critérium des Garrigues" de mars 1981. C'est une plaque de l'organisation et ça m'a tout l'air d'être en championnat de France.

As-tu participé à cette épreuve cette année-là ?

Merci. :jap:

 

Oui j'y ai participé mais 82 bien qu'en 81 les Garrigues aient été déjà au championnat de France

D'ailleurs voila une photo

 

http://img187.imageshack.us/img187/7696/garrigues821eg.jpg

 

En 80 aussi j'ai participé aux Garrigues avec l'Ascona I 2000 groupe 1 mais j'ai vite abandonné car quelques jours plus tôt je m'étais fracturé 2 côtes lors d'une sortie de piste monstrueuse à.... ski et la douleur au volant était insupportable

Comme quoi Loeb n'a rien inventé pour compromettre une saison :lol:

Pour les plaques de rallyes j'y fais allusion un peu plus haut

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Invité §Eri257mz
Sur la route ouverte ma seule frayeur est une frayeur rétrospective

Je rentrais du Maroc par l'Espagne au volant de mon Espace Renault au début des années 90

J'étais au volant depuis près de 20 heures quand vers 4 heures du mat dans la Sierra Nevada j'ai dû m'assoupir une fraction de seconde sans m'en rendre compte et je me suis réveillé à quelques millmètres d'un camion qui venait à contre sens et dont je revois encore les énormes roues pratiquement contre ma vitre

Je me suis arrêté tremblant comme un feuille tellement j'ai eu peur en passant que j'aurai pu me tuer ainsi que celle qui m'accompagnait

Depuis plus jamais au grand jamais je n'ai essayé de continuer ma route quand la fatigue me gagne

 

 

J'ai eu pratiquement la même mésaventure dans la fin des années 70's. Je rentrais d'une mission éprouvante et avais pris la route de nuit avec mon épouse pour Bordeaux. Et j'ai du m'assoupir quelques instants car j'ai repris mes esprits alors que j'étais sur 2 roues avec mon Opel Manta.

J'avais simplement manger un terre-plein qui avait soulevé la voiture en me réveillant. Par contre je me souviens très bien avoir longuement réfléchi au geste à faire pour reposer la voiture sur toutes ses roues. Ma femme s'est réveillée au moment où tout rentrait dans l'ordre et m'a demander si j'allais bien...

- Ca va lui ai-je répondu, mais je vais m'arrêter un peu me reposer.... :ange:

 

 

.

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J'ai eu pratiquement la même mésaventure dans la fin des années 70's. Je rentrais d'une mission éprouvante et avais pris la route de nuit avec mon épouse pour Bordeaux. Et j'ai du m'assoupir quelques instants car j'ai repris mes esprits alors que j'étais sur 2 roues avec mon Opel Manta.

J'avais simplement manger un terre-plein qui avait soulevé la voiture en me réveillant. Par contre je me souviens très bien avoir longuement réfléchi au geste à faire pour reposer la voiture sur toutes ses roues. Ma femme s'est réveillée au moment où tout rentrait dans l'ordre et m'a demander si j'allais bien...

-Ca va lui ai-je répondu, mais je vais m'arrêter un peu me reposer.... :ange:

 

Et depuis t'arrêtes-tu toujours à temps pour te reposer?

 

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Invité §j2h206mT
Malheureusement je n'avais pas les moyens finaciers de racheter mes autos de course

De plus je n'ai pratiquement pas garder de souvenirs à part quelques coupes et photos, j'ai expliqué pourquoi un peu plus haut (dons aux coéquipiers et aus mécanos)

 

 

J'avais un peu la même philosophie que JLC, mais ils nous restent les souvenirs et quelques photos.

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