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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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Invité §tun768Yb

:jap: à aerolithe57 de faire état d'extraits de divers ouvrages coûteux.

 

La photo du roadster est aussi dans le Jarraud sans les marques du trust.

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A la demande unanime, je reviens sur Gaston Grümmer pour signaler que trois Bugatti dessinées par des grands carrossiers français seront exposées (en plus de celle du stand Bugatti) à Epoqu’auto à Lyon des 8 au 10 Novembre (j’ignore en fait si une carrosserie de Gaston Grümmer sera présentée). Par ailleurs, une demande de classement de la carrosserie française au patrimoine mondial a été faite auprès de l’UNESCO.

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Invité §tun768Yb

Décès.

 

Je me permets de mentionner le décès, hier, à Paris, à l'âge de 82 ans, de Bernard Pinault.

 

Bernard était le fils d'un garagiste de la RP qui a eu trois Bugatti:

- Une T40 en 1950 qu'il a revendu à Alain Balleyguier. Cette T40 a été la première voiture des deux copains d'école (ils s'étaient connus à l'école des Roches, Maslacq).

- Un cabriolet T55 succéda à la précédente. Bernard avait enlevé les roues GP qui freinaient mal pour poser des tambours et roues T44 qui lui ont donné toute satisfaction. Le T55 est actuellement aux USA, redoté de roues GP et repeint (il était noir, il est bicolore en teintes claires).

- Un T57C cabriolet, actuellement en Nouvelle-Zélande. Le propriétaire actuel s'est adressé à Bernard car le moteur était encore en état d'origine, les pignons de la distribution n'ayant jamais été changés avant la restauration néo-zélandaise.

 

Une Morgan - Plus 4 Flat Rad leur a succédé, munie d'un volant Bugatti (photo de 1961).

 

Le garage a vu passer de nombreuses Bugatti avant et après la guerre. P.ex. les seules photos de la carrosserie de T40 récupérée par Plastibug, alors encore sur le châssis original avec le propriétaire (1951?) de la voiture, font partie de la collection de Bernard.

 

Puis Bernard a quitté l'Europe avant d'y revenir récemment.

 

C'est dans l'un des nombreux pays où il a vécu qu'il a vu la quatrième T57s Atlantic. Tout porte à croire qu'elle a été détruite depuis, Bernard l'ayant recherchée en vain, à ma demande insistante (depuis qu'il m'en a parlé en 1976...).

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Invité §sag507uN

Décès.

 

Je me permets de mentionner le décès, hier, à Paris, à l'âge de 82 ans, de Bernard Pinault.

 

Bernard était le fils d'un garagiste de la RP qui a eu trois Bugatti:

- Une T40 en 1950 qu'il a revendu à Alain Balleyguier. Cette T40 a été la première voiture des deux copains d'école (ils s'étaient connus à l'école des Roches, Maslacq).

- Un cabriolet T55 succéda à la précédente. Bernard avait enlevé les roues GP qui freinaient mal pour poser des tambours et roues T44 qui lui ont donné toute satisfaction. Le T55 est actuellement aux USA, redoté de roues GP et repeint (il était noir, il est bicolore en teintes claires).

- Un T57C cabriolet, actuellement en Nouvelle-Zélande. Le propriétaire actuel s'est adressé à Bernard car le moteur était encore en état d'origine, les pignons de la distribution n'ayant jamais été changés avant la restauration néo-zélandaise.

 

Une Morgan - Plus 4 Flat Rad leur a succédé, munie d'un volant Bugatti (photo de 1961).

 

Le garage a vu passer de nombreuses Bugatti avant et après la guerre. P.ex. les seules photos de la carrosserie de T40 récupérée par Plastibug, alors encore sur le châssis original avec le propriétaire (1951?) de la voiture, font partie de la collection de Bernard.

 

Puis Bernard a quitté l'Europe avant d'y revenir récemment.

 

C'est dans l'un des nombreux pays où il a vécu qu'il a vu la quatrième T57s Atlantic. Tout porte à croire qu'elle a été détruite depuis, Bernard l'ayant recherchée en vain, à ma demande insistante (depuis qu'il m'en a parlé en 1976...).

:lol: :lol: :lol:

 

- Une T40 en 1950 qu'il a revendu à Alain Balleyguier. Cette T40 a été la première voiture des deux copains d'école (ils s'étaient connus à l'école des Roches, Maslacq).

cette histoire me revient en mémoire :lol: :lol: :lol::p :q

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Invité §tun768Yb

alfa131.gif.7029144fa5c58fd6d8be5f0ef36fb599.gif Moi non plus [:berny-sporting:3]

 

 

:??: Le principal n'est-il toutefois pas que l'auteur de ces lignes se comprenne lui-même? :D

 

:ange:Ah mais si: IL SAIT !!! :p

 

Il sait pourquoi Bernard Pinault s'est retrouvé aux Roches/Maslacq...

 

 

Ne soyons pas avares et contons l'anecdote qui rafraîchira quelque peu l'atmosphère par les canicules ambiantes...

En 1946, Bernard et son jeune frère sont mis en internat, chez des curés. Mais les deux drôles s'emn***. Ils font fait le mur pour rejoindre la villa que leurs parents louaient l'été à 150 kms de l'internat.

Las! Le Directeur, un Père Supérieur, subodorant immédiatement le but de la fugue, envoie deux jeunes curés les chercher à vélo. O tempora O mores, Ô époque bénie à laquelle les Français faisaient du sport en l'ignorant (refrain connu: un auteur de pièces de théâtre l'a largement plagié!).

Au retour, les Gentils Organisateurs du Camp d'Etudes eurent la générosité de laisser les jeunes pensionnaires en vadrouille monter sur les vélos, en tenant bien la selle. 150 Kms, c'est long. La surveillance s'est relâchée... Arriva ce qui devait advenir. Les jeunes se jettent un rapide coup d'oeil en atteignant le haut d'une côte, donnent un coup de pédale suivi d'autres très énergiques et... Se taillent !

Inutile de dire que les G.O. n'ont jamais raconté la réaction du Directeur qui a dû réaliser qu'il s'était pris trop tôt pour le Patron (rappel: quelle est la différence entre Dieu et le Directeur? Réponse: Dieu ne s'est jamais pris pour le Directeur. Là, le Patron, ce n'était pas Ettore!).

Est-il utile de préciser que les jeunes n'ont plus mis les pieds à l'internat après un tel scandale qui risquait de faire des émules?

Les parents ont alors séparé les frères.

In peto: Quel dommage de rompre une équipe qui marchait si bien!

Bernard a été mis au Montcel, à Jouy-en-Josas. Puis son père l'a déplacé l'année suivante à l'autre bout de la France, aux Roches/Maslacq.

 

 

:pC'est très certainement ce qui fait rire autant à gorge déployée l'auteur des lignes ci-dessus qui connait "naturellement" cet épisode. :lol:

 

:cry: Petit canaillou, garder pour soi de tels renseignements!!! TTTTTTTTTTttttttttttttttt :q

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Invité §sag507uN

alfa131.gif.7029144fa5c58fd6d8be5f0ef36fb599.gif Moi non plus [:berny-sporting:3]

 

 

:??: Le principal n'est-il toutefois pas que l'auteur de ces lignes se comprenne lui-même? :D

 

:ange:Ah mais si: IL SAIT !!! :p

 

Il sait pourquoi Bernard Pinault s'est retrouvé aux Roches/Maslacq...

 

 

Ne soyons pas avares et contons l'anecdote qui rafraîchira quelque peu l'atmosphère par les canicules ambiantes...

En 1946, Bernard et son jeune frère sont mis en internat, chez des curés. Mais les deux drôles s'emn***. Ils font fait le mur pour rejoindre la villa que leurs parents louaient l'été à 150 kms de l'internat.

Las! Le Directeur, un Père Supérieur, subodorant immédiatement le but de la fugue, envoie deux jeunes curés les chercher à vélo. O tempora O mores, Ô époque bénie à laquelle les Français faisaient du sport en l'ignorant (refrain connu: un auteur de pièces de théâtre l'a largement plagié!).

Au retour, les Gentils Organisateurs du Camp d'Etudes eurent la générosité de laisser les jeunes pensionnaires en vadrouille monter sur les vélos, en tenant bien la selle. 150 Kms, c'est long. La surveillance s'est relâchée... Arriva ce qui devait advenir. Les jeunes se jettent un rapide coup d'oeil en atteignant le haut d'une côte, donnent un coup de pédale suivi d'autres très énergiques et... Se taillent !

Inutile de dire que les G.O. n'ont jamais raconté la réaction du Directeur qui a dû réaliser qu'il s'était pris trop tôt pour le Patron (rappel: quelle est la différence entre Dieu et le Directeur? Réponse: Dieu ne s'est jamais pris pour le Directeur. Là, le Patron, ce n'était pas Ettore!).

Est-il utile de préciser que les jeunes n'ont plus mis les pieds à l'internat après un tel scandale qui risquait de faire des émules?

Les parents ont alors séparé les frères.

In peto: Quel dommage de rompre une équipe qui marchait si bien!

Bernard a été mis au Montcel, à Jouy-en-Josas. Puis son père l'a déplacé l'année suivante à l'autre bout de la France, aux Roches/Maslacq.

 

 

:pC'est très certainement ce qui fait rire autant à gorge déployée l'auteur des lignes ci-dessus qui connait "naturellement" cet épisode. :lol:

 

:cry: Petit canaillou, garder pour soi de tels renseignements!!! TTTTTTTTTTttttttttttttttt :q

on noie le poisson :lol: :lol: :lol:

" Une T40 en 1950 qu'il a revendu à Alain Balleyguier."???????????????

la suite de ce T/40 serait plus anecdotique

(pour ceux qui ne connaissent pas la fin de cette histoire T/40 )

plutôt que cette histoire ( a dormir debout) de vélos et de curés ....

dont on a rien a foutre et hors-sujet :p :p :p :q

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Décès.

 

Je me permets de mentionner le décès, hier, à Paris, à l'âge de 82 ans, de Bernard Pinault.

.......

Puis Bernard a quitté l'Europe avant d'y revenir récemment.

 

C'est dans l'un des nombreux pays où il a vécu qu'il a vu la quatrième T57s Atlantic. Tout porte à croire qu'elle a été détruite depuis, Bernard l'ayant recherchée en vain, à ma demande insistante (depuis qu'il m'en a parlé en 1976...).

:jap: Mes condoléances a la famille de ce monsieur que je ne connaissais pas.

Mais Tunesi, ne pourais tu pas en dire plus sur 57453 (ou 2SC pour faire plaisir à Aérolithe :) )

Sans dévoiler les lieux, si tu le désires, combien de fois l'a-t-il vu, l'a-t-il photographiée, approchée.... Comment expliquer sa présence à cet endroit (Prise de guerre, vente ?). Pourquoi croire qu'elle est détruite ?

:jap:

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Invité §tun768Yb

L'avis de décès n'est toujours pas publié: l'inhumation aura lieu la semaine prochaine.

 

:cry:Je préfère ignorer ceux qui n'ont pas la décence appropriée plutôt que de polémiquer sur celle qui le serait. :(

 

* * *

 

Bernard Pinault est à ma connaissance un des derniers témoins d'un groupe de bugattistes informel qui, exceptés le Colonel Badré (décès 2000, juste après avoir vendu sa T57C cabriolet dans laquelle j'ai pris froid à l'âge de 6 ans), Charles Gaston Renaud (qui m'a sorti dans sa T55. Décès 2007), et Michel Dovaz (toujours vivant mais collection vendue), n'ont plus eu de Bugatti depuis les années 1960 mais en ont eu dans l'immédiat après-guerre alors qu'elles sortaient de leurs tanières destinées à les cacher des loups qui ne se sont pas limités à Paris.

 

Ils s'appelaient Boris Guignard (Type 35B, décédé en 1999), Alain Balleyguier (neuf Bugatti de 1950 à 1958, décédé en 1979), Luzzi (type 57 cabriolet vendu dans les années 1990, décédé), Guillaume Prick (qu'on ne présente plus, décédé) et j'en oublie. C'est Alain Balleyguier et sa femme (ex-Mme Claude Gélinet, écrivain sous le pseudo de Jean Giltène, avec lequel elle a eu une T57 Atalante qui a fini chez Bardinon, et deux Stelvio) qui ont fait connaître Michel Dovaz au couple Marc-Janine Augier (écrivain St-Loup: Renault de Billancourt, 15 millions de coccinelles, Marius Berliet l'inflexible. Décédé 1990. Indépendamment de toute opinion politique, un couple charmant et un homme que j'ai apprécié connaître).

 

J'ai fait souvent sourire ces personnes dans les années 1970 en me plongeant dans la marque Bugatti. Pour elles, c'étaient des voitures d'o-c-c-a-s-i-o-n dont ils n'imaginaient pas qu'elles vaillent plus que des objets un peu spéciaux. J'étais un peu fada, quoi!

 

Plus récemment, Bernard se foutait de moi (une fois de plus: il l'a toujours fait!) en disant que les Bugatti étaient TOUTES des tape-culs, qu'elles soient prestigieuses ou sportives. Il ne faisait aucune différence sur le fond entre les modèles. Entre les siennes et celles des clients utilisées et essayées entre 1950 et 1962, il savait de quoi il parlait.

 

Je pense qu'il était assez près de la réalité, aujourd'hui occultée par le "passage" des Bugatti au rang d'oeuvres d'art. Ces voitures sont autant des tape-culs que toutes leurs contemporaines.

 

Il a cependant été passionné par le livre du centenaire et fasciné par le Steinhauser qu'il n'a pas eu l'énergie de terminer. Il a littéralement "bouffé" le second exemplaire du Magnum que j'avais acheté en 2012 sur LBC et fait livrer chez lui.

 

* * *

 

Je ne cache pas que je suis dans l'attente d'examiner une "malle aux trésors" contenant tout et rien, dont notamment des photos diverses et variées, datant tant d'avant-guerre que d'après-guerre et s'arrêtant lors du départ de Bernard vers des contrées lointaines sans esprit de retour.

 

* * *

 

Concernant la quatrième Atlantic, elle lui est passée sous le nez, littéralement, à un carrefour entre 1973 et 1976.

 

Mais il n'en avait rien à foutre!

 

Un tape-cul ou un autre...

 

A cette époque, il a refondé une famille, eu charge d'entreprise, du élever ses enfants.

 

Bugatti dans tout ça...

 

Mais on ne pouvait le tromper sur la marchandise: il savait ce qui lui avait filé sous le pif.

 

Tenez, il me parlait encore de la Bugatti de J.-P. Wimille, à Levallois avant de requitter l'Europe vers 1975. Quand je lui ai dit qu'elle était chez FS, il était surpris.

 

Et je le retanais à chaque fois pour cette Atlantic comme les autres anciennes qu'il avait pu croiser.

 

En décembre dernier, il m'a parlé d'un dépôt qu'il a bien connu au Maroc où son père avait émigré après avoir vendu le garage en RP. Il y avait un hangar avec deux voitures en parfait état chez un garagiste-casseur local. Ce garage a été vendu dans les années 1980: les acheteurs ont ouvert le hangar et tout depecé. L'une des voitures était une Rolls des années 1930 presque neuve...

 

* * *

 

La T40? Elle est parfaitement connue sur le Bugatti Register qui se trompe de numéro de moteur.

Il porte réellement le N° 677.

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Invité §tun768Yb

Je ne vais pas pleurer: Bugatti SAS a des challengers qui poussent les limites des extrêmes.

 

http://www.gentside.com/nissan [...] 53371.html

 

Nous sommes dans l'absurde. Atteindre 200 Km/h en deux secondes, atteindre 350 Km/h pour une voiture vendue aux particuliers (fortunés), ne pas pouvoir parcourir plus de 300 Kms pour cause d'huile de moteur trop chaude.

 

STOP.

 

Les Bugatti du Patron et de Jean étaient "à taille humaine".

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Bonsoir,

 

J'essaie de résoudre une énigme. Aux 24 heures du Mans 1923, il y avait 2 Bugatti Brescia, n°28 et 29.

Officiellement pour l'ACO les pilotes étaient Marie-Pichard sur la 29 et les chatelins De Pourtales-De Larochefoucauld sur la 28. Un membre de la famille De Larochefoucauld nous dit que c'est l'inverse, son oncle était sur la 29. Avez-vous d'autres photos de ces pilotes, dans d'autres épreuves éventuellement. Merci.

lm23-28-00.jpg

lm23-29_03.jpg

 

Camerat

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Invité §tun768Yb

Une question sur les "à côté" de Molsheim: A quoi ressemblait le "mobilhome" du Patron à Lyon? Et comment était il agencé?

 

ce "machin" a dû servir en d'autres occasion, non? On devrait donc en avoir quelques photos et descriptions...

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Une question sur les "à côté" de Molsheim: A quoi ressemblait le "mobilhome" du Patron à Lyon? Et comment était il agencé?

 

ce "machin" a dû servir en d'autres occasion, non? On devrait donc en avoir quelques photos et descriptions...

 

 

Lyon 1924 photo du Trust

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Invité §tun768Yb
:jap: mais on n'en sait pas beaucoup plus!!! Sauf à voir l'état de la famille, bien fatiguée...
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j'ai,il y a quelque temps,posé le même genre de question.

les photos de la "caravane" ou "mobilhome".

apparement ici c'est tôlé.

et on n'aura sans doute pas de photos de détails ou d'ensemble..

peut-être que dans la famille bugatti,ils en possédent de l'intérieur...

 

ohé,caroline,michel et les autres???

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Invité §tun768Yb

j'ai,il y a quelque temps,posé le même genre de question.

les photos de la "caravane" ou "mobilhome".

apparement ici c'est tôlé.

et on n'aura sans doute pas de photos de détails ou d'ensemble..

peut-être que dans la famille bugatti,ils en possédent de l'intérieur...

 

ohé,caroline,michel et les autres???

 

 

Ne rêve pas. Tout a été vendu en 1961-1962 quand les enfants du second lit n'avaient pas droit à la parole (ils étaient mineurs avec un petit doute pour Thérèse: majorité à 21 ans et elle née en 1941).

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