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Invité §mrc277iq
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anecdote du soir

 

 

Origine des noms de famille

 

Il convient avant tout de définir la notion de nom. Les noms sont divisés en deux ensembles distincts.

Les premiers à apparaître dans l'histoire de l'anthroponymie sont les noms individuels, répartis en trois sortes :

Les prénoms (ou noms de baptême) sont ceux que l'on a reçus à la naissance ; on peut en posséder un ou plusieurs.

Les surnoms (ou sobriquets) sont ceux que l'on peut recevoir au cours de sa vie.

Les pseudonymes sont ceux que l'on se donne soi-même, pour une raison ou pour une autre.

Les noms individuels sont attachés aux personnes qui les portent. Ils disparaissent à leur mort sans être transmis à qui que ce soit.

Apparus plus tardivement, les noms collectifs sont ceux qui nous intéressent ici ; il s'agit des noms de famille. A l'heure actuelle en France, ils sont généralement uniques et demeurent héréditaires.

 

HISTOIRE DES NOMS DE FAMILLE

 

Dans la plupart des civilisations antiques, un seul nom servait à désigner l'individu. Ce nom restait attaché à la personne de sa naissance à sa mort, sans être toutefois héréditaire.

Seuls les Romains utilisaient un système de trois noms : le prénom, le gentilice (nom du groupe de familles) et le cognonem (surnom, devenu nom de famille). Cependant, les gens du peuple ne portaient en général que deux noms : le prénom et le cognonem.

Avec l'expansion romaine, le système à trois noms s'est étendu sur tout l'Empire et notamment la Gaule.

Les invasions barbares du Vème siècle détruisent l'Empire romain d'Occident et font disparaître le système à trois noms de la Gaule.

En effet, les populations adoptent alors la coutume des vainqueurs, qui était la leur avant l'arrivée des Romains. Il ne portent désormais qu'un nom individuel, qui ne se transmet pas d'une génération à l'autre. Ce système va perdurer jusqu'au Xème siècle.

C'est en effet au Xème siècle que le processus de création des noms de famille s'amorce. Face aux problèmes engendrés par un trop grand nombre d'homonymes, le nom individuel est peu à peu accompagné par un surnom. Avec l'usage, ce surnom tend à devenir héréditaire. Ce phénomène se rencontre d'abord parmi les famille nobles, puis s'élargit à l'ensemble de la population à partir du XIIème siècle.

A partir du XVème siècle, un long processus de fixation des noms de famille s'amorce. Par ailleurs, le pouvoir politique s'intéresse à la question et réglemente progressivement l'existence des noms de famille.

En 1474, Louis XI interdit de changer de nom sans une autorisation royale.

En 1539, François Ier promulgue l'ordonnance de Villers-Cotterêt. Celle-ci rend obligatoire la tenue de registres d'état-civil. Cette tâche est confiée aux curés, le Clergé constituant la seule « administration » présente dans tout le royaume. En fait, la décision royale officialise et généralise une pratique déjà en usage depuis le siècle précédent, principalement dans les villes.

Avec la Révolution française, la tenue de l'état-civil quitte le cadre de le paroisse. Elle passe désormais dans les attributions de l'État et se fait à la mairie de chaque commune.

La loi du 6 fructidor de l'an II (23 août 1794) interdit de porter d'autre nom et prénoms que ceux inscrits à l'état-civil. Cependant, le Conseil d'État peut autoriser un changement de patronyme (ils sont actuellement environ 800 par an).

En 1870, l'apparition du livret de famille fige définitivement l'orthographe de tous les patronymes.

ORIGINES DES NOMS DE FAMILLE

Les noms existants en France sont liés aux origines de la population française, formée par les colonisations, les invasions et l'immigration. Chacun a apporté avec lui sa propre langue et donc ses propres noms. En effet, l'onomastique est étroitement liée à la linguistique, la plupart des noms ayant une signification précise.

La particule et la préposition « de ».

Le cas des noms précédés de la particule « de » est particulier dans l'onomastique française. En effet, la particule « de » est réputé caractériser un nom de famille noble.

Lors du processus de formation des surnoms, beaucoup étaient des noms de lieux précédés de la préposition « de ». Ce cas de figure se rencontrait à la fois chez les nobles et à la fois chez les roturiers. Certains aristocrates se passaient même de la particule. Elle était pourtant de rigueur lorsqu'un nom de terre était joint aux appellations « seigneur » et « monsieur ». C'est ce qui fit naître la croyance que la particule « de » caractérisait l'appartenance à la noblesse.

Par la suite, les personnes nouvellement anoblies cherchèrent à s'intégrer à leur nouveau milieu en rajoutant la particule à leur nom, même si celui-ci n'avait rien à voir avec un nom de fief.

Enfin, certains porteur de noms de lieux, commençant par la préposition « de », les modifièrent. Cherchant à asseoir leur réussite sociale, ils transformèrent la simple préposition en particule, sans pour autant faire partie de la noblesse.

Si cela vous plaît, je puis vous mettre une suite assez subjuguante

 

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ORIGINE DES NOMS DE FAMILLE

 

Les origines des noms français

Plusieurs peuples ont marqué la formation des noms français. Si les plus importants l'ont fait en colonisant ou en occupant notre territoire (Gaulois, Romains, Germains), d'autres ont utilisé ces derniers comme intermédiaires en influençant leurs noms avant que ceux-ci n'influencent les nôtres (Hébreux, Grecs). Enfin, la dernière étape de ce processus fut réalisée avec la forme ancienne de notre propre langue.

Origine hébraïque :

Les noms hébreux appartiennent a plusieurs langues sémitiques différentes, telles que le phénicien, l'araméen, le syrien, le moabite, etc. Plusieurs de ces noms sont anciens et leurs sens restent obscurs.

Certains évoquaient des particularités physiques ou morales. Par exemple Laban signifie « blond » ou « blanc », Salomon « le pacifique ». D'autres étaient des noms d'animaux ou de fleurs : Jonab « pigeon », Rachel « brebis », Suzanne « lys ». D'autres encore avaient des sens variés, comme Anne « la bienfaisante ».

Beaucoup de noms sémitiques renfermaient un nom de divinité : on les appelle des noms théophore, ce sont des noms composés dans lesquels l'élément signifiant « dieu » est souvent el, et parfois iahouh. Ainsi Samuel signifie « Dieu a entendu mes prières », et Mathieu « l'homme de Dieu ».

On trouve de nombreux noms symboliques, comme Abel « fils », Ainsi que des noms simples et composés, à caractère mystique : Jacob est par exemple devenu Jacques « celui qui suit Dieu ». Peu a peu, des noms étrangers apparurent dans l'anthroponymie hébraïque. Des noms babyloniens furent ainsi adoptés pendant la captivité des Hébreux à Babylone. L'usage du surnom, souvent étranger, se développa tardivement.

Dès l'époque chrétienne, certains noms hébreux dont la signification était apparente ont été traduits en grec, puis en latin. Ainsi Nathael « présent de Dieu » est devenu Théodore ; Cephas « le rocher » , est devenu Petros, Petrus, puis Pierre. Grâce au christianisme et à la propagation de l'écriture, les noms hébreux se sont répandus partout dans le monde. Ces noms ont joué un rôle immense dans l'histoire des noms de personnes.

Les noms hébreux représentent environ 3,3% des noms portés en France.

Origine grecque :

Les noms grecs sont apparus sous leur forme actuelle aux alentours du IVème siècle. Les anciens ne portaient qu'un seul nom, individuel et viager. La plupart de ces noms étaient d'anciens surnoms exprimant une qualité ou un défaut, une caractéristique quelconque, physique ou morale. Par exemple Agathe signifie « la bonne femme », Aristide « le meilleur ».

Dès l'époque chrétienne, les surnoms métaphoriques firent place a des surnoms formés sur le modèle de ceux des esclaves. André, le nom d'un esclave, signifie « viril ».

Dans les temps les plus anciens (avant l'époque homérique), des patronymes s'étaient formés parmi les familles nobles à l'aide d'un suffixe ajouté au nom de l'ancêtre fameux dont ils prétendaient descendre. Ce suffixe était généralement eides : ainsi, les Atrides prétendaient descendre d'Atrée, les Héraclides, d'Héraclès, etc.

Malgré leurs originalités et leur diversité, les noms pouvaient prêter à confusion. C'est pourquoi on avait l'habitude de joindre au nom individuel, celui du pere (ou génitif) et celui du deme (district) dont le jeune Athénien faisait partie.

Ces noms grecs ont donné de nombreux prénoms et quelques noms de famille qui en sont dérivés tels que Nicolas, Georges ou André.

Les noms grecs représentent environ 2,1% des différents noms portés en France.

Origine latine :

Pour différencier les personnes portant un même nom individuel, les Romains ont eu recours à des surnoms devenus héréditaires.

Dès l'époque la plus ancienne, le Romain de condition libre porte un prénom (praenomen) et un nom de famille (ou gentilice).

Le gentilice est le nom par excellence, commun à tous les individus mâles et femelles de la lignée (la gens), à leurs affranchis et à leurs clients ; la gens, famille au sens large du terme, regroupe toutes les familles descendant d'un ancêtre commun.

Plus tard, le citoyen romain possède deux noms de famille. Désormais il porte, à côté du gentilice, le nom de sa branche familiale, c'est-a-dire de sa famille dans son sens restreint : c'est le cognomen (ou secondnom).

Le citoyen romain dispose ainsi de trois noms, auxquels il faut éventuellement ajouter le surnom personnel, l'agnomen ou « sobriquet personnel ».

Scipio l'Africain, vainqueur d'Hannibal a Zama en 202 avant notre ère, s'appelait Publius Cornelius Scipio Africanus. Cet exemple montre que le nom de la gens occupait toujours la seconde place lorsque le prénom était exprimé.

Manius, venant de mane « le matin », était le nom donné a l'enfant né le matin. On peut également citer d'autres exemples comme Marcus « le marteau », Paulus « petit », etc...

Les noms des gentes, les gentilices, sont presque tous d'anciens sobriquets, des surnoms agricoles. Par exemple Aemilius signifie « le rival », Aurelius « celui qui brille », Fabius, (qui vient de faba « la fève ») « le producteur de fèves », Hortensius (de hortus, « le jardin ») « le jardinier ».

Les noms des familles sont aussi d'anciens surnoms devenus héréditaires. Ils devaient primitivement caractériser une qualité ou un défaut physique ou moral, ou bien donner une indication de parenté. Ainsi, le sens d'Albinus est « blanc de teint », Avitus « l'aïeul », Balbus « bègue », Regulus « petit roi », Varus « qui a les jambes arquées en dehors ».

Ce système de trois ou quatre noms a pris fin avec la chute de Rome au Vème siècle.

Les noms latins sont très nombreux en France. Ils représentent a peu près 30% des noms portés.

Origine gauloise :

Les noms gaulois, sont les plus anciens de notre pays. Ils désignaient autrefois les rivières, les montagnes, les vallées et les forêts de la Gaule antique. Compte tenu des différentes invasions que cette région a subies tout au long de son histoire, peu de Français peuvent se prévaloir d'un nom réellement et authentiquement gaulois.

Les noms gaulois se répartissent en deux catégories distinctes :

Les noms simples :

Ce sont les plus anciens. Leurs radicaux sont souvent obscurs : Carvos « le cerf », Melisso « doux ». Les noms féminins correspondants étaient Carva et Melissa.

Les noms composés :

Ce sont des noms plus récents, à caractère métaphorique, c'est-à-dire à valeur imagée. C'étaient surtout des noms de guerriers et d'aristocrates : Orgetorix « le roi des tueurs », Restugenos « fils du droit ».

Avec l'expansion romaine, le système de noms romain s'est étendu à la Gaule et à l'Helvétie provoquant ainsi des mélanges entre noms latins et gaulois. C'est pour cette raison que l'on retrouve encore à l'heure actuelle dans les noms français, des préfixes ou des suffixes des deux cultures.

Environ 3% des noms actuellement portés en France sont d'origine gauloise.

Origine germanique :

Les noms d'origine germanique constituent une grande partie des noms de famille qui existent actuellement en France. Ils en représentent a peu près 21%.

Leur origine remonte aux invasions germaniques qui ont touché la Gaule aux IVème et Vème siècle. Ces noms ont été adoptés par les populations comme noms de baptême, par imitation des vainqueurs et nouveaux maîtres (ex. : Hrodberht « glorieusement brillant » (Robert) ou Richard « qui règne fort »).

Ainsi, au IXème siècle, la quasi-totalité du nord de la France a adopté un nom d'origine germanique. Dans le sud et surtout le sud-est, l'influence romaine y était plus ancienne et plus forte : les consonances germaniques y sont donc moins présentes.

Les noms composés :

Solennels, officiels, le plus souvent aristocratiques, ils représentent la majorité des noms germaniques. Ce sont généralement des mots métaphoriques, à valeurs sentimentales. Ils évoquent les dieux, la protection divine, la gloire, le combat, etc.

Ils sont également caractéristiques de la mentalité active et guerrière des Germains : Robert « glorieusement brillant », Léonard « au cœur de lion », Alamariko (roi des Wisigoths) signifiant « roi laborieux, actif ».

Les noms simples :

On les retrouve fréquemment dans les actes médiévaux et un très grand nombre ont donné des prénoms et des noms de famille français : Boso « courroucé » (Bozon, Bozonnet), Otto (Aud) « le propriétaire ».

L'ancien français :

L'ancien français est une langue qui vient de la forme populaire du latin et qui s'est enrichi de l'apport de différentes langues comme celles des envahisseurs Germaniques, Saxons, Espagnols, Italiens, ou Flamands. C'est ainsi que la langue parlée par les Gallo-romains fut d'abord notablement modifiée par les Francs.

Les noms en ancien français représentent actuellement les noms les plus portés en France, avec environ 34% de ces noms encore représentés.

Cela s'explique par leur apparition plus tardive que les autres catégories de noms. Leur enregistrement systématique sur les registres d'état civil, qui commençaient a rythmer la vie sociale en France, ont permis de les sauvegarder sans subir de trop grandes déformations orthographiques.

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Invité §Jim460QG

Tu peux faire 3 pages m'en fiche, je lis pas :lol:

 

 

 

Je déconne hein cvieri59.gif.ab548d1619a927a277c720af34979884.gif

 

 

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Invité §Jim460QG

Dis donc Zigotto, tu nous l'as pas déjà faite celle des noms de famille ? timothyo1.gif.a0dce7346d707604f2010ad64c78afbc.gif

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Invité §Jim460QG

je t'aime comme cela tartiflette_power.gif.36daefe368ebc05c03a6dfd36ef0e71c.gif

 

 

 

Un coup on m'aime, un coup on me déteste, ça fait deux coups de passés :o

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Invité §Jim460QG

 

je crois pas, on demandent l'avis aux autres :)

 

 

 

Je suis convaincu que tu as déjà parlé de noms de familles y'a pas si longtemps, après c'était peut être pas la même je me souviens plus.

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Je suis convaincu que tu as déjà parlé de noms de familles y'a pas si longtemps, après c'était peut être pas la même je me souviens plus.

 

 

il se peut que j'ai pas déplacé le sujet, on voit avec pic et maya :jap:

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Invité §Jim460QG

 

il se peut que j'ai pas déplacé le sujet, on voit avec pic et maya :jap:

 

 

 

Je vois pas ce que pic et maya ont à voir là dedans, fais une recherche toi même sur ce topic mon ami :o

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Invité §Jim460QG

 

pas envie :o

 

 

 

Bah c'est quand même pas les autres qui vont le faire pour toi freudgt.gif.7afb66d654274cde132bc3cdab36dc09.gif

 

 

Arriverais-tu déjà à cours d'anecdotes inédites ? :D

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Invité §Jim460QG

picpat54.gif.b1100e26b02a028a9648c0455028ad4b.gif Zygo

 

Ma foi ca me dit quelque chose , tu a deja posté cette anecdote :D

 

 

 

Merci, au moins je perds pas la boule...

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anecdote du matin

 

 

monopoly

 

En 1941, près de 35 000 soldats anglais manquent à l’appel. Prisonniers de camps nazis, il était alors très difficile de faire passer quoi que ce soit jusqu’à eux. Or parmi les articles qui étaient admissibles à l’intérieur des murs hitlériens figuraient, entre autres, les essentiels de la Croix-Rouge : nourriture, vêtements, médicaments et, ô la joie: des jeux de société.

Ce sont donc les services secrets britanniques qui ont eu l’idée de réquisitionner les loyaux services de John Waddington Ltd, qui à l’époque, détenait les droits de distribution du jeu Monopoly en Grande-Bretagne.

Chargé de créer une édition toute spéciale du célèbre jeu à l’attention de leurs détenus immobilisés en Allemagne et en Italie, cette version -marquée d’un point rouge spécifique afin d’être mieux repérée- contenait, en plus des traditionnels chien, chapeau, botte et voiture et tutti quanti, quelques… « exclusivités » dont une lime, une carte géographique (en soie pour ne pas que ça fasse de bruit quand on la déplie), une boussole et du fric (du vrai!).

Grâce à ce stratagème, on dit que la plupart des prisonniers s’en sont tirés comme ça, passant tout de go, touchant 200 douilles au passage et opérant du coup un super pied de nez à leurs tortionnaires avec une belle carte en douce « Sortez de prison ».

Malheureusement pour les collectionneurs qui auraient été trop heureux de posséder un tel trésor à la maison, ces éditions particulières furent toutes détruites après la guerre.

Quoique peut-être qu’en fouillant bien…

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