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Histoires du sport automobile

Souvenir de La Ronde Cevenole...


Invité §ghi034pd
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Messages recommandés

Invité §jc 507Uv

Super! :jap:

...et un certain Gérard Sainpy en 75 (1er Grp 2), ridiculisant les Asco! :fier:;)

bonjour

 

toi tu n'aimes pas les opel je pense :lol: :lol: en voila une pour te faire rager :ange:07 Chasseuil, Ronde Cévenole 1975.jpg

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bonjour

 

toi tu n'aimes pas les opel je pense :lol: :lol: en voila une pour te faire rager :ange:07 Chasseuil, Ronde Cévenole 1975.jpg

 

C’est de l'humour un peu provoc...

...car comment ne pas apprécier cette belle auto, TRÈS bien conduite! :o J'ai son nom au bout de la langue...si tu me rappeler qui c'est déjà? :fier:

 

Merci pour ces belles inédites! :jap:

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Super! :jap:

...et un certain Gérard Sainpy en 75 (1er Grp 2), ridiculisant les Asco! :fier:;)

Mouais on peut le voir comme ça.

Un certain JLC 9ème temps des essais, Sainpy 12ème

JLC aux prises avec des ennuis mécaniques ne pourra devancer Saimpy qu'une seule fois avant de renoncer, Chasseuil le devançant lors des 3 premiers tours avant d'abandonner lui aussi sur ennuis mécaniques.

Tiens une inédite de l'année précédente dont un certain Pierre-Henri B. a joliment narré le déroulement

"Ronde Cévenole 1974

 

En ce samedi soir de juin, Jean-Luc Clair est heureux. Le capiteux parfum des genêts en

fleurs embaume les environs de l'Espérou, mêlé à la résine des épicéas qui bordent la longue bande

de bitume où se tiennent les assistances. Quelques relents d'essence, d'huile et de mécaniques

surchauffées apportent une note indéfinissable à ce décor olfactif, et notre homme hume tout cela

avec plaisir. Il a toujours apprécié l'ambiance très particulière de la Ronde Cévenole. Cette épreuve

est unique : le Grand Huit accroché au massif de l'Aigoual ne ressemble à aucun des rallyes qu'il a

coutume de disputer. La première partie rapide au milieu des sapins, le ravin vertigineux des

cascades d'Orgon, le tobbogan du Minier, les traîtres virolets de Mandagout, la remontée vers

Puécharnal, les épingles de Cap de Coste, le passage de la Luzette, autant de lieux mythiques où les

aficionados du sport automobile sur route se groupent en masse pour admirer leurs héros, forment

un terrain de jeu incomparable.

Incomparable, mais traître : chaque mètre de ce parcours impitoyable tend un piège aux

pilotes, d'autant que la chaleur de la saison fait souvent surgir des plaques de goudron noir,

glissantes comme du verglas ici, des myriades de gravillons là... Il faut avoir le coeur bien accroché

pour attaquer sans relâche sur ce parcours truffé de chausse-trappes... Une sacrée condition

physique aussi, pour tenir dix tours de ce jeu épuisant dans un habitacle surchauffé... Pour

couronner le tout, il faut se passer de la présence réconfortante du coéquipier et de ses notes.

Chaque virage doit être soigneusement mémorisé par le pilote seul à bord. Mais cela fait partie des

règles, et les pilotes sont unanimes à aduler ce rendez-vous.

En ce samedi soir de juin, donc, Jean-Luc Clair est heureux. Bien sûr, il sait qu'il n'a aucune

chance de devancer les prototypes Alpine de Darniche et Nicolas, la R 17 de Piot, la Porsche de

Chasseuil, les Spyders Fiat 124 de Vérini et Barbasio. De nuit, dans la pluie et le brouillard, il

pourrait peut-être tenter quelque chose avec son Ascona Gr.2, mais rien de cela n'est au programme

de ces journées estivales en Cévenne. Cependant, il vient de terminer les essais en tête du Groupe

Deux. Mieux, son principal rival dans sa catégorie, le Lorrain Sainpy, n'est qu'à dix secondes : il y a

de la bagarre dans l'air et il aime cela !

La soirée se passe dans la bonne humeur, et la nuit qui suit plonge Jean-Luc dans des

béatitudes... Mais ne nous égarons pas...

Comme prévu, le soleil du dimanche se lève dans un ciel radieux. La journée sera torride,

dans tous les sens du terme. Les spectateurs sont accrochés en grappes multicolores dans tous les

points stratégiques : dès l'aube, de nouvelles cohortes sont venues grossir les rangs de ceux qui ont

investi les lieux depuis vendredi.

L'Ascona a répondu à la première sollicitation du démarreur, les températures d'huile et

d'eau montent tout doucement. Jean-Luc enclenche le premier rapport. L'auto s'ébroue dans un

claquement sec, et il se dirige vers la ligne de départ, distante de quelques centaines de mètres

seulement. Conformément à son temps des essais, il s'élance en neuvième position, derrière l'Alpine

de Guillaume de Saint-Pierre qui, disposant pour la première fois d'un volant d'usine, est sorti

durement la veille aux essais sur le mulet. Au top du chronométreur, la berlinette se tasse sur ses

roues arrière, patine une fraction de seconde, puis, le transfert des masses s'étant opéré, semble

catapultée par une fronde. Une minute plus tard, l'Ascona, moins chargée à l'arrière, se dandine de

droite et de gauche avant de s'élancer pour de bon.

Les premières enfilades rapides, le piégeux petit pont qui enjambe un ruisseau limpide, et les

grandes courbes dans la forêt, puis le droite qui plonge sur le ravin insondable des Cascades. Tout

de suite, Jean-Luc est inquiet : la boîte de vitesses qui avait fonctionné à la perfection aux essais se

montre rétive, les vitesses se verrouillent laborieusement, sautent parfois. Bref, quelque chose ne va

pas. Très vite, l'Ascona perd un rapport, puis deux. C'est la catastrophe. Dans les pentes au

pourcentage extrême de Cap de Coste, l'auto s'extrait avec d'énormes difficultés de chaque épingle...

Le verdict est terrible : dans ce premier tour, Jean-Luc a perdu quatre minutes sur l'Escort. A

l'assistance, il explique en quelques mots ses déboires aux mécaniciens, avale goulûment une

bouteille d'eau minérale, puis se met à l'écart et allume une première Gitane. Son attitude

habituellement réservée et un soupçon distante s'est renforcée en un masque impénétrable, les

mâchoires crispées. Des quelques spectateurs qui ont préféré le spectacle de l'assistance à celui des

autos en action, aucun n'ose s'approcher... on sent confusément qu'une énorme colère froide et

rentrée est sur le point d'exploser. Mais Jean-Luc la contient, et se venge sur le paquet de cigarettes.

A l'issue du temps d'assistance, les mécaniciens n'ont rien pu faire. Avec sa bête blessée,

Jean-Luc repart au combat, réussit l'exploit de ne concéder cette fois-ci que vingt secondes, mais

tout espoir de victoire est vain. Le calvaire dure ainsi jusqu'à la mi-course, cinq tours de ce ruban de

quarante-cinq kilomètres où il se bat avec l'énergie du désespoir, mais où Sainpy accroît son avance.

Et puis, le miracle se produit : les mécaniciens n'ont, eux aussi, jamais baissé les bras, et

parviennent à faire fonctionner de nouveau normalement la boîte. Naturellement, Jean-Luc ne

parviendra pas à combler son retard, mais il va montrer qu'il aurait dû être le patron sans ce coup du

sort !

Sur la ligne de départ, il est dans un état second. Jamais il n'avait autant repoussé ses

freinages, n'était entré si généreusement dans les virages. Il le sent, il est en train de signer une

performance exceptionnelle. Mais il y met tant d'ardeur qu'il... casse son volant et doit encore

concéder du temps à son adversaire. A l'assistance, on pourrait le penser anéanti, prêt à jeter

l'éponge. Pas du tout : un volant, ça se change vite, et on va voir ce qu'on va voir !

Ses espoirs sont enfin couronnés dans le huitième tour. Il signe le meilleur temps de sa

catégorie, colle quarante-sept secondes -plus d'une seconde au kilomètre ! à Sainpy qui, il est vrai, a

dû un peu lever le pied...

Coup de théâtre dans le neuvième tour : l'Escort s'arrête, trahie par sa mécanique. Mais Jean-

Luc ne le sait pas, car son adversaire roule derrière lui, et continue à attaquer comme un damné. Il

devance la Fiat d'usine de Barbasio. La dixième boucle ne sera plus qu'un tour d'honneur !

Notre homme est épuisé, mais ravi : qui aurait pu entrevoir une victoire à mi-course, lorsque

la voiture diminuée faisait subir les pires supplices à son pilote ? Tout à sa joie, il n'hésite pas à

boucler un onzième tour, malgré la fatigue de la journée : Jean Lerust lui a demandé comme une

faveur de lui commenter le parcours, et, dès la route rendue à la circulation, il prend le volant de la

R 16 du journaliste d' Echappement pour boucler une fois encore le circuit du massif de l'Aigoual...

Les nombreuses traces sur le bitume attestent de l'intensité de la bataille. Pis encore, les épaves

abandonnées ça et là, l'Alpine disloquée de Guillaume de Saint Pierre dont le malheureux pilote est

à ce moment en salle d'opération à Montpellier, l'Alfa de Béguin à cheval sur un parapet, la BMW

de Dirand complètement calcinée démontrent s'il le fallait le caractère impitoyable de l'épreuve.

De retour à l'Espérou, Jean-Luc reprend une fois encore le volant : il ne pourra même pas

savourer son triomphe à la remise des prix, car demain matin, à huit heures, son travail l'attend à

Paris. La route sera longue..."

 

31444864_1864657626887148_2408534199792304128_o.jpg?_nc_cat=0&oh=5cba2dc66c42ef4f7d0b0d1e095435c5&oe=5B5D1133

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Mouais on peut le voir comme ça.

Un certain JLC 9ème temps des essais, Sainpy 12ème

JLC aux prises avec des ennuis mécaniques ne pourra devancer Saimpy qu'une seule fois avant de renoncer, Chasseuil le devançant lors des 3 premiers tours avant d'abandonner lui aussi sur ennuis mécaniques.

Tiens une inédite de l'année précédente dont un certain Pierre-Henri B. a joliment narré le déroulement

"Ronde Cévenole 1974

 

En ce samedi soir de juin, Jean-Luc Clair est heureux. Le capiteux parfum des genêts en

fleurs embaume les environs de l'Espérou, mêlé à la résine des épicéas qui bordent la longue bande

de bitume où se tiennent les assistances. Quelques relents d'essence, d'huile et de mécaniques

surchauffées apportent une note indéfinissable à ce décor olfactif, et notre homme hume tout cela

avec plaisir. Il a toujours apprécié l'ambiance très particulière de la Ronde Cévenole. Cette épreuve

est unique : le Grand Huit accroché au massif de l'Aigoual ne ressemble à aucun des rallyes qu'il a

coutume de disputer. La première partie rapide au milieu des sapins, le ravin vertigineux des

cascades d'Orgon, le tobbogan du Minier, les traîtres virolets de Mandagout, la remontée vers

Puécharnal, les épingles de Cap de Coste, le passage de la Luzette, autant de lieux mythiques où les

aficionados du sport automobile sur route se groupent en masse pour admirer leurs héros, forment

un terrain de jeu incomparable.

Incomparable, mais traître : chaque mètre de ce parcours impitoyable tend un piège aux

pilotes, d'autant que la chaleur de la saison fait souvent surgir des plaques de goudron noir,

glissantes comme du verglas ici, des myriades de gravillons là... Il faut avoir le coeur bien accroché

pour attaquer sans relâche sur ce parcours truffé de chausse-trappes... Une sacrée condition

physique aussi, pour tenir dix tours de ce jeu épuisant dans un habitacle surchauffé... Pour

couronner le tout, il faut se passer de la présence réconfortante du coéquipier et de ses notes.

Chaque virage doit être soigneusement mémorisé par le pilote seul à bord. Mais cela fait partie des

règles, et les pilotes sont unanimes à aduler ce rendez-vous.

En ce samedi soir de juin, donc, Jean-Luc Clair est heureux. Bien sûr, il sait qu'il n'a aucune

chance de devancer les prototypes Alpine de Darniche et Nicolas, la R 17 de Piot, la Porsche de

Chasseuil, les Spyders Fiat 124 de Vérini et Barbasio. De nuit, dans la pluie et le brouillard, il

pourrait peut-être tenter quelque chose avec son Ascona Gr.2, mais rien de cela n'est au programme

de ces journées estivales en Cévenne. Cependant, il vient de terminer les essais en tête du Groupe

Deux. Mieux, son principal rival dans sa catégorie, le Lorrain Sainpy, n'est qu'à dix secondes : il y a

de la bagarre dans l'air et il aime cela !

La soirée se passe dans la bonne humeur, et la nuit qui suit plonge Jean-Luc dans des

béatitudes... Mais ne nous égarons pas...

Comme prévu, le soleil du dimanche se lève dans un ciel radieux. La journée sera torride,

dans tous les sens du terme. Les spectateurs sont accrochés en grappes multicolores dans tous les

points stratégiques : dès l'aube, de nouvelles cohortes sont venues grossir les rangs de ceux qui ont

investi les lieux depuis vendredi.

L'Ascona a répondu à la première sollicitation du démarreur, les températures d'huile et

d'eau montent tout doucement. Jean-Luc enclenche le premier rapport. L'auto s'ébroue dans un

claquement sec, et il se dirige vers la ligne de départ, distante de quelques centaines de mètres

seulement. Conformément à son temps des essais, il s'élance en neuvième position, derrière l'Alpine

de Guillaume de Saint-Pierre qui, disposant pour la première fois d'un volant d'usine, est sorti

durement la veille aux essais sur le mulet. Au top du chronométreur, la berlinette se tasse sur ses

roues arrière, patine une fraction de seconde, puis, le transfert des masses s'étant opéré, semble

catapultée par une fronde. Une minute plus tard, l'Ascona, moins chargée à l'arrière, se dandine de

droite et de gauche avant de s'élancer pour de bon.

Les premières enfilades rapides, le piégeux petit pont qui enjambe un ruisseau limpide, et les

grandes courbes dans la forêt, puis le droite qui plonge sur le ravin insondable des Cascades. Tout

de suite, Jean-Luc est inquiet : la boîte de vitesses qui avait fonctionné à la perfection aux essais se

montre rétive, les vitesses se verrouillent laborieusement, sautent parfois. Bref, quelque chose ne va

pas. Très vite, l'Ascona perd un rapport, puis deux. C'est la catastrophe. Dans les pentes au

pourcentage extrême de Cap de Coste, l'auto s'extrait avec d'énormes difficultés de chaque épingle...

Le verdict est terrible : dans ce premier tour, Jean-Luc a perdu quatre minutes sur l'Escort. A

l'assistance, il explique en quelques mots ses déboires aux mécaniciens, avale goulûment une

bouteille d'eau minérale, puis se met à l'écart et allume une première Gitane. Son attitude

habituellement réservée et un soupçon distante s'est renforcée en un masque impénétrable, les

mâchoires crispées. Des quelques spectateurs qui ont préféré le spectacle de l'assistance à celui des

autos en action, aucun n'ose s'approcher... on sent confusément qu'une énorme colère froide et

rentrée est sur le point d'exploser. Mais Jean-Luc la contient, et se venge sur le paquet de cigarettes.

A l'issue du temps d'assistance, les mécaniciens n'ont rien pu faire. Avec sa bête blessée,

Jean-Luc repart au combat, réussit l'exploit de ne concéder cette fois-ci que vingt secondes, mais

tout espoir de victoire est vain. Le calvaire dure ainsi jusqu'à la mi-course, cinq tours de ce ruban de

quarante-cinq kilomètres où il se bat avec l'énergie du désespoir, mais où Sainpy accroît son avance.

Et puis, le miracle se produit : les mécaniciens n'ont, eux aussi, jamais baissé les bras, et

parviennent à faire fonctionner de nouveau normalement la boîte. Naturellement, Jean-Luc ne

parviendra pas à combler son retard, mais il va montrer qu'il aurait dû être le patron sans ce coup du

sort !

Sur la ligne de départ, il est dans un état second. Jamais il n'avait autant repoussé ses

freinages, n'était entré si généreusement dans les virages. Il le sent, il est en train de signer une

performance exceptionnelle. Mais il y met tant d'ardeur qu'il... casse son volant et doit encore

concéder du temps à son adversaire. A l'assistance, on pourrait le penser anéanti, prêt à jeter

l'éponge. Pas du tout : un volant, ça se change vite, et on va voir ce qu'on va voir !

Ses espoirs sont enfin couronnés dans le huitième tour. Il signe le meilleur temps de sa

catégorie, colle quarante-sept secondes -plus d'une seconde au kilomètre ! à Sainpy qui, il est vrai, a

dû un peu lever le pied...

Coup de théâtre dans le neuvième tour : l'Escort s'arrête, trahie par sa mécanique. Mais Jean-

Luc ne le sait pas, car son adversaire roule derrière lui, et continue à attaquer comme un damné. Il

devance la Fiat d'usine de Barbasio. La dixième boucle ne sera plus qu'un tour d'honneur !

Notre homme est épuisé, mais ravi : qui aurait pu entrevoir une victoire à mi-course, lorsque

la voiture diminuée faisait subir les pires supplices à son pilote ? Tout à sa joie, il n'hésite pas à

boucler un onzième tour, malgré la fatigue de la journée : Jean Lerust lui a demandé comme une

faveur de lui commenter le parcours, et, dès la route rendue à la circulation, il prend le volant de la

R 16 du journaliste d' Echappement pour boucler une fois encore le circuit du massif de l'Aigoual...

Les nombreuses traces sur le bitume attestent de l'intensité de la bataille. Pis encore, les épaves

abandonnées ça et là, l'Alpine disloquée de Guillaume de Saint Pierre dont le malheureux pilote est

à ce moment en salle d'opération à Montpellier, l'Alfa de Béguin à cheval sur un parapet, la BMW

de Dirand complètement calcinée démontrent s'il le fallait le caractère impitoyable de l'épreuve.

De retour à l'Espérou, Jean-Luc reprend une fois encore le volant : il ne pourra même pas

savourer son triomphe à la remise des prix, car demain matin, à huit heures, son travail l'attend à

Paris. La route sera longue..."

 

https://scontent-mrs1-1.xx.fbc [...] e=5B5D1133

 

Vraiment passionnant! :love:(j'ai bien fait de te titiller...) :D

Juste Jean Louis, quand tu verras ce cher romancier, tu lui glisses à l'oreille que ce n’était pas Morizio mais Raffaele... :o:jap:

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Invité §jc 507Uv

C’est de l'humour un peu provoc...

...car comment ne pas apprécier cette belle auto, TRÈS bien conduite! :o J'ai son nom au bout de la langue...si tu me rappeler qui c'est déjà? :fier:

 

Merci pour ces belles inédites! :jap:

bonjour

 

toutes les inédites sont de jacques amis de serge R. cousin de Kako

 

une pour JLC avec grand plaisir et bonne journée a tous

 

 

52.jpg

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bonjour

 

toutes les inédites sont de jacques amis de serge R. cousin de Kako

 

une pour JLC avec grand plaisir et bonne journée a tous

 

 

52.jpg

 

Voilà, là c'est Jean Louis (en 78)...pas comme sur ta photo d'avant! :o;)

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Mouais on peut le voir comme ça.

Un certain JLC 9ème temps des essais, Sainpy 12ème

JLC aux prises avec des ennuis mécaniques ne pourra devancer Saimpy qu'une seule fois avant de renoncer, Chasseuil le devançant lors des 3 premiers tours avant d'abandonner lui aussi sur ennuis mécaniques.

Tiens une inédite de l'année précédente dont un certain Pierre-Henri B. a joliment narré le déroulement

"Ronde Cévenole 1974

 

En ce samedi soir de juin, Jean-Luc Clair est heureux. Le capiteux parfum des genêts en

fleurs embaume les environs de l'Espérou, mêlé à la résine des épicéas qui bordent la longue bande

de bitume où se tiennent les assistances. Quelques relents d'essence, d'huile et de mécaniques

surchauffées apportent une note indéfinissable à ce décor olfactif, et notre homme hume tout cela

avec plaisir. Il a toujours apprécié l'ambiance très particulière de la Ronde Cévenole. Cette épreuve

est unique : le Grand Huit accroché au massif de l'Aigoual ne ressemble à aucun des rallyes qu'il a

coutume de disputer. La première partie rapide au milieu des sapins, le ravin vertigineux des

cascades d'Orgon, le tobbogan du Minier, les traîtres virolets de Mandagout, la remontée vers

Puécharnal, les épingles de Cap de Coste, le passage de la Luzette, autant de lieux mythiques où les

aficionados du sport automobile sur route se groupent en masse pour admirer leurs héros, forment

un terrain de jeu incomparable.

Incomparable, mais traître : chaque mètre de ce parcours impitoyable tend un piège aux

pilotes, d'autant que la chaleur de la saison fait souvent surgir des plaques de goudron noir,

glissantes comme du verglas ici, des myriades de gravillons là... Il faut avoir le coeur bien accroché

pour attaquer sans relâche sur ce parcours truffé de chausse-trappes... Une sacrée condition

physique aussi, pour tenir dix tours de ce jeu épuisant dans un habitacle surchauffé... Pour

couronner le tout, il faut se passer de la présence réconfortante du coéquipier et de ses notes.

Chaque virage doit être soigneusement mémorisé par le pilote seul à bord. Mais cela fait partie des

règles, et les pilotes sont unanimes à aduler ce rendez-vous.

En ce samedi soir de juin, donc, Jean-Luc Clair est heureux. Bien sûr, il sait qu'il n'a aucune

chance de devancer les prototypes Alpine de Darniche et Nicolas, la R 17 de Piot, la Porsche de

Chasseuil, les Spyders Fiat 124 de Vérini et Barbasio. De nuit, dans la pluie et le brouillard, il

pourrait peut-être tenter quelque chose avec son Ascona Gr.2, mais rien de cela n'est au programme

de ces journées estivales en Cévenne. Cependant, il vient de terminer les essais en tête du Groupe

Deux. Mieux, son principal rival dans sa catégorie, le Lorrain Sainpy, n'est qu'à dix secondes : il y a

de la bagarre dans l'air et il aime cela !

La soirée se passe dans la bonne humeur, et la nuit qui suit plonge Jean-Luc dans des

béatitudes... Mais ne nous égarons pas...

Comme prévu, le soleil du dimanche se lève dans un ciel radieux. La journée sera torride,

dans tous les sens du terme. Les spectateurs sont accrochés en grappes multicolores dans tous les

points stratégiques : dès l'aube, de nouvelles cohortes sont venues grossir les rangs de ceux qui ont

investi les lieux depuis vendredi.

L'Ascona a répondu à la première sollicitation du démarreur, les températures d'huile et

d'eau montent tout doucement. Jean-Luc enclenche le premier rapport. L'auto s'ébroue dans un

claquement sec, et il se dirige vers la ligne de départ, distante de quelques centaines de mètres

seulement. Conformément à son temps des essais, il s'élance en neuvième position, derrière l'Alpine

de Guillaume de Saint-Pierre qui, disposant pour la première fois d'un volant d'usine, est sorti

durement la veille aux essais sur le mulet. Au top du chronométreur, la berlinette se tasse sur ses

roues arrière, patine une fraction de seconde, puis, le transfert des masses s'étant opéré, semble

catapultée par une fronde. Une minute plus tard, l'Ascona, moins chargée à l'arrière, se dandine de

droite et de gauche avant de s'élancer pour de bon.

Les premières enfilades rapides, le piégeux petit pont qui enjambe un ruisseau limpide, et les

grandes courbes dans la forêt, puis le droite qui plonge sur le ravin insondable des Cascades. Tout

de suite, Jean-Luc est inquiet : la boîte de vitesses qui avait fonctionné à la perfection aux essais se

montre rétive, les vitesses se verrouillent laborieusement, sautent parfois. Bref, quelque chose ne va

pas. Très vite, l'Ascona perd un rapport, puis deux. C'est la catastrophe. Dans les pentes au

pourcentage extrême de Cap de Coste, l'auto s'extrait avec d'énormes difficultés de chaque épingle...

Le verdict est terrible : dans ce premier tour, Jean-Luc a perdu quatre minutes sur l'Escort. A

l'assistance, il explique en quelques mots ses déboires aux mécaniciens, avale goulûment une

bouteille d'eau minérale, puis se met à l'écart et allume une première Gitane. Son attitude

habituellement réservée et un soupçon distante s'est renforcée en un masque impénétrable, les

mâchoires crispées. Des quelques spectateurs qui ont préféré le spectacle de l'assistance à celui des

autos en action, aucun n'ose s'approcher... on sent confusément qu'une énorme colère froide et

rentrée est sur le point d'exploser. Mais Jean-Luc la contient, et se venge sur le paquet de cigarettes.

A l'issue du temps d'assistance, les mécaniciens n'ont rien pu faire. Avec sa bête blessée,

Jean-Luc repart au combat, réussit l'exploit de ne concéder cette fois-ci que vingt secondes, mais

tout espoir de victoire est vain. Le calvaire dure ainsi jusqu'à la mi-course, cinq tours de ce ruban de

quarante-cinq kilomètres où il se bat avec l'énergie du désespoir, mais où Sainpy accroît son avance.

Et puis, le miracle se produit : les mécaniciens n'ont, eux aussi, jamais baissé les bras, et

parviennent à faire fonctionner de nouveau normalement la boîte. Naturellement, Jean-Luc ne

parviendra pas à combler son retard, mais il va montrer qu'il aurait dû être le patron sans ce coup du

sort !

Sur la ligne de départ, il est dans un état second. Jamais il n'avait autant repoussé ses

freinages, n'était entré si généreusement dans les virages. Il le sent, il est en train de signer une

performance exceptionnelle. Mais il y met tant d'ardeur qu'il... casse son volant et doit encore

concéder du temps à son adversaire. A l'assistance, on pourrait le penser anéanti, prêt à jeter

l'éponge. Pas du tout : un volant, ça se change vite, et on va voir ce qu'on va voir !

Ses espoirs sont enfin couronnés dans le huitième tour. Il signe le meilleur temps de sa

catégorie, colle quarante-sept secondes -plus d'une seconde au kilomètre ! à Sainpy qui, il est vrai, a

dû un peu lever le pied...

Coup de théâtre dans le neuvième tour : l'Escort s'arrête, trahie par sa mécanique. Mais Jean-

Luc ne le sait pas, car son adversaire roule derrière lui, et continue à attaquer comme un damné. Il

devance la Fiat d'usine de Barbasio. La dixième boucle ne sera plus qu'un tour d'honneur !

Notre homme est épuisé, mais ravi : qui aurait pu entrevoir une victoire à mi-course, lorsque

la voiture diminuée faisait subir les pires supplices à son pilote ? Tout à sa joie, il n'hésite pas à

boucler un onzième tour, malgré la fatigue de la journée : Jean Lerust lui a demandé comme une

faveur de lui commenter le parcours, et, dès la route rendue à la circulation, il prend le volant de la

R 16 du journaliste d' Echappement pour boucler une fois encore le circuit du massif de l'Aigoual...

Les nombreuses traces sur le bitume attestent de l'intensité de la bataille. Pis encore, les épaves

abandonnées ça et là, l'Alpine disloquée de Guillaume de Saint Pierre dont le malheureux pilote est

à ce moment en salle d'opération à Montpellier, l'Alfa de Béguin à cheval sur un parapet, la BMW

de Dirand complètement calcinée démontrent s'il le fallait le caractère impitoyable de l'épreuve.

De retour à l'Espérou, Jean-Luc reprend une fois encore le volant : il ne pourra même pas

savourer son triomphe à la remise des prix, car demain matin, à huit heures, son travail l'attend à

Paris. La route sera longue..."

 

https://scontent-mrs1-1.xx.fbc [...] e=5B5D1133

 

Pour illustrer ce jolie "Conte Cévenol" qui va bientôt fêter ses 44 ans..., les 10 premiers! :chut:

 

 

1 J Henry- Grp 5.jpg

 

 

2 G Chasseuil  Grp 3 (Foulquier R2).jpg

 

 

3 JF Piot Grp 5.jpg

 

 

4 R Pinto  Grp 4.jpg

 

 

5  JL Philippe    Grp 3.jpg

 

 

6  JF Filippi Grp 4.jpg

 

 

9  N Labaune  Grp 3 (Fabrou 50).jpg

 

 

8 JL Clair Grp 2.jpg

 

 

7 S  Barbasio     Grp 4.jpg

 

 

10 M  Masquelet  Grp 3.jpg

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bonjour

 

toutes les inédites sont de jacques amis de serge R. cousin de Kako

 

une pour JLC avec grand plaisir et bonne journée a tous

 

 

52.jpg

 

Il est en train de perdre le rythme il me semble, ce cher Jc a310... :)

...hé, maintenant que tu nous a mis l'eau à la bouche! :o

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Invité §jc 507Uv

bonjour

 

je suis toujours la Simba mais très occupé restauration de la traction de mon bof course de cote dans l'Aveyron et madame :lol: :lol: :lol:

 

mais le conte ronde cévenole continu encore un peu06 Rouget.jpg

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bonjour

 

je suis toujours la Simba mais très occupé restauration de la traction de mon bof course de cote dans l'Aveyron et madame :lol: :lol: :lol:

 

mais le conte ronde cévenole continu encore un peu06 Rouget.jpg

 

Génial! voilà le genre de photo sympa qui m'impressionne... :jap:

JP Rouget / JC Lagniez en 75

 

 

Tiens et au fait, il n'a pas relevé notre érudit écrivain Réunionnais concernant Morizio, en 74... :D;)

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Génial! voilà le genre de photo sympa qui m'impressionne... :jap:

JP Rouget / JC Lagniez en 75

 

 

Tiens et au fait, il n'a pas relevé notre érudit écrivain Réunionnais concernant Morizio, en 74... :D;)

 

il peut pas il fait chauffeur cette après midi....

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Invité §pea455RK

J'ai bien compris que ce n'était pas Verini mais "Lele" Pinto : ceci dit, qu'ajouter à ta sagacité ? :jap:;)

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il peut pas il fait chauffeur cette après midi....

Et t'as pas été malade? :D

 

J'ai bien compris que ce n'était pas Verini mais "Lele" Pinto : ceci dit, qu'ajouter à ta sagacité ? :jap:;)

J'avoue que j'ai peut être insisté lourdement...

...mais c'est tellement excitant aussi quand on arrive parfois à te prendre en défaut! :hehe:;)

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Génial! voilà le genre de photo sympa qui m'impressionne... :jap:

JP Rouget / JC Lagniez en 75

 

 

J'avoue quelle m'a fait chercher cette Porsche...puis j'ai eu l'idée fumante de pointer la photo pour lire le nom du pilote! :D

En plus sans l'année et avec son numéro des essais...et il n'y avait que deux photos en noir et blanc sur le topic!

 

Il y a donc son premier tour avec tous les "oscars", et son second je suppose et deux en moins...puis ensuite deux passages en course. Z'ont l'air d'avoir souffert avec cette 2.4l, par rapport à celle de Labaune et sa 2.7, quand je vois les temps...

 

 

I 34 Rouget 38  75.jpg

 

 

I 34-   75.jpg

 

 

I 34-.jpg

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Invité §jc 507Uv

bonjour a tous

 

mon endroit préférer la montée des genets

 

j'ai un copain qui en avait une comme ça :sol: :sol: :sol:41 Ronde Cévenole.jpg

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Invité §pea455RK

...mais c'est tellement excitant aussi quand on arrive parfois à te prendre en défaut! :hehe:;)

 

J'avoue quelle m'a fait chercher cette Porsche...puis j'ai eu l'idée fumante de pointer la photo pour lire le nom du pilote! :D

 

 

Je vais te rendre la monnaie de ta pièce ! :W

Quand tu vois "Chevelac" sur une auto, pas la peine de te creuser la tête ou de passer la flèche de la souris sur la photo : tu sais que c'est Rouget ! :p

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bonjour a tous

 

mon endroit préférer la montée des genets

 

j'ai un copain qui en avait une comme ça :sol: :sol: :sol:41 Ronde Cévenole.jpg

Une des plus belle de la Ronde, en 77. :love:

 

"Tchine" n'est venu que deux fois, et la première c'est en 74. (abandon au 5e tour à chaque fois!) Il tournera en 77 dans les temps d'une certaine Michèle sur une 911 Grp 3 Almeras, qui finira deuxième...dommage, le podium était très faisable pour Auguste! :jap:

 

 

H 15 34 Tchine 74.jpg

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Je vais te rendre la monnaie de ta pièce ! :W

Quand tu vois "Chevelac" sur une auto, pas la peine de te creuser la tête ou de passer la flèche de la souris sur la photo : tu sais que c'est Rouget ! :p

 

Où mais là "tu me parles d'un temps que les moins de 60 ne peuvent pas connaitre" :D (du moins qu'ils maitrisent bien moins...)

 

Parle moi plutôt de JP Rouget dans les années 80 en Samba tiens! :p

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Invité §jc 507Uv

bonjour

 

une jidé ou une scora pour Tchine je me trompe souvent

 

"je vais te rendre la monnaie de ta pièce " vous allez pas vous fâcher au moins tous les deux :??:

 

maintenant je n'ose plus passer d'autres photos :lol: :lol: :lol:

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Invité §pea455RK

Ne t'inquiète pas, nous nous "moucatons" comme on dit en Créole, c'est à dire que nous nous charrions amicalement ! :p

Tes photos sont toujours les bienvenues, tant pour moi que je l'imagine pour Michel ! :jap:

 

Pour Tchine, celle de 74 postée par Michel est une Jidé, celle de 77 postée par toi une Scora : tu peux jouer aux sept erreurs ! ;)

 

Tu as des nouvelles de Florence ? (en MP)

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Ne t'inquiète pas, nous nous "moucatons" comme on dit en Créole, c'est à dire que nous nous charrions amicalement ! :p

Tes photos sont toujours les bienvenues, tant pour moi que je l'imagine pour Michel ! :jap:

 

Pour Tchine, celle de 74 postée par Michel est une Jidé, celle de 77 postée par toi une Scora : tu peux jouer aux sept erreurs ! ;)

 

Tu as des nouvelles de Florence ? (en MP)

 

Non..... mais j'en ai de J2H il est à côté de moi il te fait la bise je lui ai transmis les tiennes

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Pour Tchine, celle de 74 postée par Michel est une Jidé, celle de 77 postée par toi une Scora : tu peux jouer aux sept erreurs ! ;)

 

 

Et la même immat... :chut:

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Invité §jc 507Uv

bonjour

 

la voiture du "pêcheur" comme dit Kako :love: :love: :love:

 

je l'ai vue au col de la Luzette exploser a 500 metres de l'arriver

 

bonne journée a tous47.jpg

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Invité §pea455RK

Oui, en 78, dans la partie en descente très rapide entre la Luzette et la ligne d'arrivée : l'auto était détruite et Guimi alors au volant sain et sauf mais un peu choqué !

 

Tu as vu ma question à la fin de mon post précédent ?

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Invité §jc 507Uv

bonjour

 

je t'ai répondu en mp Pierre Henry

 

bizarre Kako aussi a répondu

 

je ne connait pas de Florence

 

a plus

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Invité §pea455RK

J'ai fait erreur sur la personne, mais je n'ai pas reçu ton MP... :rougit:

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bonjour

 

la voiture du "pêcheur" comme dit Kako :love: :love: :love:

 

je l'ai vue au col de la Luzette exploser a 500 metres de l'arriver

 

bonne journée a tous47.jpg

 

Toujours aussi belles tes photos! :bien:

 

"Guimi" avait inspiré un groupe célèbre d'ailleurs, juste après en 79... :biggrin:

 

 

 

begood666.gif.0607d91a77733c3bf4fb71da448e2155.gif

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Invité §jip270WO

Bonjour à tous ;):jap:

 

Très belles photos M. jca310 :sol: surtout la scora :love::lol::jap:

 

un petit bonjour à Laurent70 ;):jap:

 

Les duellistes "indispensable" du forum me font bien rire . :p:lol::jap:

 

Merci à vous . ;):jap:

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Invité §pea455RK

Les duellistes "indispensable" du forum me font bien rire . :p:lol::jap:

 

 

 

;):D:lol:

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Invité §jip270WO

 

;):D:lol:

 

 

 

C'est tout à fait ça!!!! :bien::clin::jap:

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Invité §jc 507Uv

bonsoir

 

bizarre je vois pas de porsche Almeras dans les photos que j'ai

 

ils n'ont pas du la faire alors :??: :??: :??:

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Invité §jc 507Uv

bonsoir

 

bizarre je vois pas de porsche Almeras dans les photos que j'ai

 

ils n'ont pas du la faire alors :??: :??: :??: la ronde cévenole

 

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Bonjour à tous ;):jap:

 

Très belles photos M. jca310 :sol: surtout la scora :love::lol::jap:

 

un petit bonjour à Laurent70 ;):jap:

 

Les duellistes "indispensable" du forum me font bien rire . :p:lol::jap:

 

Merci à vous . ;):jap:

 

bang43.gif.49e9405198deb8986e8911893df6a611.gifautomobilix.gif.1b2d897fa68b48940e5ea80754dd28a3.gif

Bah un peu...d'humour quoi, dans ce monde de brutes! :p;)

 

 

;):D:lol:

 

T'es le le chevelu ou le chauve? :D

...quoique ça m'arrange pas trop suivant ce que tu réponds, car l'un des deux a disparu à peu prêt à mon age! :p

 

 

bonsoir

 

bizarre je vois pas de porsche Almeras dans les photos que j'ai

 

ils n'ont pas du la faire alors :??: :??: :??:

 

Quelle année?

69 /70 / 75 / 76 / 78 la participation des Almeras (Jacques ou et Jean Marie)

...maintenant les Porsche Almeras c'est presque à toutes les éditions! ;)

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bonjour

 

je t'ai répondu en mp Pierre Henry

 

bizarre Kako aussi a répondu

 

je ne connait pas de Florence

 

a plus

 

Moi c'était pour dire que j'en avais de Jan Hug.... ;):jap:

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bonjour

 

je t'ai répondu en mp Pierre Henry

 

bizarre Kako aussi a répondu

 

je ne connait pas de Florence

 

a plus

 

Moi c'était pour dire que j'en avais de Jan Hug.... ;):jap:

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