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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Voir la meilleure réponse Résolu par laurent du doubs,

Messages recommandés

Invité §naj182kQ

C'est quand même un des pires crimes qui existent... le crime de la mère

Je suis pas si sûr... c'est un jugement de valeur qui reflete surtout l'incompréhension et une peur rétrospective chez tous les hommes (qui a priori ont été enfantés par leur mère)

C'est probablement le plus dérangeant.

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Invité §Zir680wn

Arrêtés une heure après le cambriolage

 

 

Trois jeunes, bloqués à l'arrière d'une R5 trois portes, n'ont pas pu échapper aux policiers. Agés de 17 ans, ils ont été interpellés une heure environ après un cambriolage commis à Cormeilles-en-Parisis, rue des Pommiers. Les fonctionnaires ont retrouvé en leur possession le produit du vol, notamment des DVD.

 

Ils ont été convoqués devant le tribunal à l'issue de la garde à vue. L'intervention des policiers s'est déroulée samedi soir, vers 22 h 30. Alors qu'ils arrivent rue de la Marjolaine, à Argenteuil, six jeunes s'enfuient à leur vue, cinq à pied, le sixième en scooter. Les cinq seront retrouvés à bord de la R5 volée, le conducteur et le passager avant parvenant à s'enfuir. Le scooter, volé lui aussi à Cormeilles, a été retrouvé dans la nuit sur la voie Lambert.

 

Le Parisien 25 Mars 2004

 

Ils ne pouvaient donc pas utiliser une 5 portes? :lol:

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Invité §kaz086tA

Arrêtés une heure après le cambriolage

 

 

Trois jeunes, bloqués à l'arrière d'une R5 trois portes, n'ont pas pu échapper aux policiers. Agés de 17 ans, ils ont été interpellés une heure environ après un cambriolage commis à Cormeilles-en-Parisis, rue des Pommiers. Les fonctionnaires ont retrouvé en leur possession le produit du vol, notamment des DVD.

 

Ils ont été convoqués devant le tribunal à l'issue de la garde à vue. L'intervention des policiers s'est déroulée samedi soir, vers 22 h 30. Alors qu'ils arrivent rue de la Marjolaine, à Argenteuil, six jeunes s'enfuient à leur vue, cinq à pied, le sixième en scooter. Les cinq seront retrouvés à bord de la R5 volée, le conducteur et le passager avant parvenant à s'enfuir. Le scooter, volé lui aussi à Cormeilles, a été retrouvé dans la nuit sur la voie Lambert.

 

Le Parisien 25 Mars 2004

 

Ils ne pouvaient donc pas utiliser une 5 portes? :lol:

Le voleur de base est con :bah:

 

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Invité §Zir680wn

300 € d'amende pour avoir maltraité des chats

 

 

Elle avait enfermé des chatons vivants dans un sac-poubelle avant de les jeter dans le bac à ordures de son immeuble. Mais le tribunal n'a pas considéré pour autant que cette femme de 53 ans, médecin psychiatre de son état, avait commis un acte de cruauté. Le président de la 18 e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre a rendu sa décision hier : « L'intention » de faire subir des sévices à ces bébés chats n'est pas démontrée, selon le magistrat.

 

« Je considère qu'il n'y a pas eu d'actes de cruauté à proprement parler », a-t-il expliqué à la prévenue, finalement condamnée pour « mauvais traitements » au paiement d'une amende de 300 €. Les actes de cruauté envers animaux sont un délit passible de deux ans d'emprisonnement. Un matin de juin dernier, la psychiatre qui élève des chats égyptiens « par hobby » selon ses déclarations au procès, se débarrasse de chatons, qu'elle croyait morts, selon ses dires.

Dans le bac à ordures de l'immeuble « Ils étaient mous et le coeur ne battait pas, a-t-elle avancé. « Impossible à croire », selon les avocats de la SPA et de la Fondation Brigitte Bardot. « Surtout de la part d'une femme médecin ».

 

Mais la prévenue a tout simplement enfermé les animaux dans un sac-poubelle bien ficelé avant de s'en débarrasser dans le bac à ordures de l'immeuble. Alertée par les miaulements, une voisine a découvert les chats et s'est enquise de leur présence dans la poubelle auprès de la psychiatre. « Si j'avais su, je les aurais jetés plus loin », aurait-elle répondu. « Jeter des chatons vivants dans une poubelle, c'est évidemment un acte de cruauté grave », s'indignait hier soir Maître François-Xavier Kelidjian, avocat de la Fondation Bardot, regrettant amèrement que le tribunal « disqualifie en mauvais traitements ». « D'autant que nous assistons depuis quelque temps à une fâcheuse tendance à disqualifier », explique-t-il. Cette décision est « régressive », estime encore l'avocat.

 

Le Parisien 25 Mars 2004

 

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Invité §mus433KS

Edition du 21 Mars 2004

 

 

 

Au milieu de la foule au Polygone, une rixe mortelle

« Trois individus en suivaient trois autres et le même a porté les coups de couteau tuant l'un d'eux, blessant les autres. Et les trois auteurs supposés sont dans la nature, voilà tout ce que l'on peut dire » expliquait-on hier soir au commissariat de Montpellier.

 

 

Le Polygone, LE centre commercial de la capitale languedocienne, dans le prolongement de la place de la Comédie, a été le théâtre d'une rixe sanglante, hier, en fin d'après-midi. Il n'est pas tout à fait 18 h, et au milieu des centaines de personnes qui déambulent au gré des magasins, comme de coutume chaque samedi, trois personnes à terre. Ensanglantées. Des cris, la confusion totale. Et les pompiers, puis les policiers qui arrivent au milieu des badauds interloqués. Deux groupes de trois personnes viennent de s'affronter devant une maroquinerie. Les rideaux de fer se ferment un peu partout. Le bilan est lourd, très lourd : un mort et deux blessés, dans le même groupe.

 

« Une femme criait, il y avait du sang partout, tout le monde s'arrêtait pour regarder. Un des blessés criait aussi parce qu'il avait très mal et un autre était mal en point, ses yeux regardaient le ciel... raconte un témoin, et il y avait du monde, beaucoup de monde partout ».

 

Grièvement blessé de plusieurs coups de couteau au thorax et à l'abdomen, Christian P., 22 ans, originaire de la Réunion, n'a pas pu être sauvé. Il est décédé des suites de ses blessures dans le camion des pompiers lors de son transport à l'hôpital. Son ami, Garry R., 20 ans, également né à la Réunion, a lui aussi hérité d'un ou plusieurs coups de lame dans l'abdomen. Grièvement blessé, il a été admis au Dar (département d'anesthésie et de réanimation) des urgences. Enfin, Alex E., 20 ans, touché au thorax mais moins gravement, a également été admis à l'hôpital, mais son état ne suscitait pas d'inquiétude hier soir. Que s'est-il passé ? Qu'est-ce qui a pu justifier un tel déferlement de violence ? Les policiers étaientplus que prudents, hier soir. En fait, il semble acquis que c'est un seul et même individu du second groupe - des jeunes d'une vingtaine d'années - qui a porté tous les coups de couteaux dans un accès de haine inouï. Ses deux complices ne portant "que" des coups de pieds et poing. Selon nos informations, les trois victimes auraient eu un différend pour un motif inconnu avec l'autre trio alors que chaque camp se trouvait dans un véhicule. Les agresseurs les auraient suivis en voiture, puis à pieds dans les rues piétonnes du centre-ville. Jusqu'aux abords du Polygone, où « il y aurait eu des mots selon un policier, puis une bagarre. On en est à chercher quel est le lien entre les trois premiers et les trois seconds. Se connaissaient-ils ? ». Hier soir, le parquet de Montpellier a saisi la police judiciaire de l'affaire.

 

 

Y.P.

 

 

MIDI LiBRE du 21.03.04

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Invité §Zir680wn

Accident d'ascenseur: un chien chute du 10ème étage

 

LILLE (AP) - Un chien a chuté d'une hauteur de dix étages dans un immeuble HLM mercredi à Calais (Pas-de-Calais) lors de l'ouverture inopinée de la porte de l'ascenseur, alors que la cabine n'était pas là, a-t-on appris jeudi auprès de l'office HLM.

 

Le maître de l'animal avait appelé l'ascenseur avant de fermer son appartement.

 

A l'ouverture des portes de l'ascenseur, le chien, qui s'était précipité, a chuté dans le vide d'une hauteur d'une vingtaine de mètres. Gravement blessé, l'animal, un croisé malinois-rottweiller, a été euthanasié.

 

Le propriétaire de l'animal a déposé une plainte contre l'office public d'HLM de Calais. Une enquête a été ouverte sur ce dysfonctionnement.

 

"C'est un accident imprévisible. L'appareil était neuf. Il avait été changé en juillet 2003", a expliqué à l'Associated Press un porte-parole de l'office d'HLM, avant d'estimer que "cet accident est peut-être du à un acte de vandalisme".

 

L'office public d'HLM devait déposer ce jeudi une plainte contre X pour dégradations. AP

 

Yahoo 25 Mars 2004

 

Pour son malheur,ce pauvre animal est mort mais comme les chiens rentrent souvent dans les ascenseurs avant leur maître,il a probablement sauvé la vie de ce dernier

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Invité §kaz086tA

Accident d'ascenseur: un chien chute du 10ème étage

 

LILLE (AP) - Un chien a chuté d'une hauteur de dix étages dans un immeuble HLM mercredi à Calais (Pas-de-Calais) lors de l'ouverture inopinée de la porte de l'ascenseur, alors que la cabine n'était pas là, a-t-on appris jeudi auprès de l'office HLM.

 

Le maître de l'animal avait appelé l'ascenseur avant de fermer son appartement.

 

A l'ouverture des portes de l'ascenseur, le chien, qui s'était précipité, a chuté dans le vide d'une hauteur d'une vingtaine de mètres. Gravement blessé, l'animal, un croisé malinois-rottweiller, a été euthanasié.

 

Le propriétaire de l'animal a déposé une plainte contre l'office public d'HLM de Calais. Une enquête a été ouverte sur ce dysfonctionnement.

 

"C'est un accident imprévisible. L'appareil était neuf. Il avait été changé en juillet 2003", a expliqué à l'Associated Press un porte-parole de l'office d'HLM, avant d'estimer que "cet accident est peut-être du à un acte de vandalisme".

 

L'office public d'HLM devait déposer ce jeudi une plainte contre X pour dégradations. AP

 

Yahoo 25 Mars 2004

 

Pour son malheur,ce pauvre animal est mort mais comme les chiens rentrent souvent dans les ascenseurs avant leur maître,il a probablement sauvé la vie de ce dernier

Pauvre bête :cry: encore ces dealers qui coupent les filles de sécurité pour cacher de la came. Plusieurs techniciens d'OTIS et schlumberger le disent.

 

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Invité §le 816mY

Je suis pas si sûr... c'est un jugement de valeur qui reflete surtout l'incompréhension et une peur rétrospective chez tous les hommes (qui a priori ont été enfantés par leur mère)

C'est probablement le plus dérangeant.

Ah mais c'est bien ce que je dis, ça me dérange vachement :p

Note qu'une petite fille tuée par sa mère je trouve cela aussi abominable si ça peut te rassurer...

Ne cherche pas une histoire freudienne la dedans. C'est valable pour le père qui tue un nourisson aussi. Mais c'est encore plus étonnant de la part de la mère, c'est mon avis :jap:

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Invité §Tor044Ig

300 € d'amende pour avoir maltraité des chats

 

 

Elle avait enfermé des chatons vivants dans un sac-poubelle avant de les jeter dans le bac à ordures de son immeuble. Mais le tribunal n'a pas considéré pour autant que cette femme de 53 ans, médecin psychiatre de son état, avait commis un acte de cruauté. Le président de la 18 e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre a rendu sa décision hier : « L'intention » de faire subir des sévices à ces bébés chats n'est pas démontrée, selon le magistrat.

 

« Je considère qu'il n'y a pas eu d'actes de cruauté à proprement parler », a-t-il expliqué à la prévenue, finalement condamnée pour « mauvais traitements » au paiement d'une amende de 300 €. Les actes de cruauté envers animaux sont un délit passible de deux ans d'emprisonnement. Un matin de juin dernier, la psychiatre qui élève des chats égyptiens « par hobby » selon ses déclarations au procès, se débarrasse de chatons, qu'elle croyait morts, selon ses dires.

Dans le bac à ordures de l'immeuble « Ils étaient mous et le coeur ne battait pas, a-t-elle avancé. « Impossible à croire », selon les avocats de la SPA et de la Fondation Brigitte Bardot. « Surtout de la part d'une femme médecin ».

 

Mais la prévenue a tout simplement enfermé les animaux dans un sac-poubelle bien ficelé avant de s'en débarrasser dans le bac à ordures de l'immeuble. Alertée par les miaulements, une voisine a découvert les chats et s'est enquise de leur présence dans la poubelle auprès de la psychiatre. « Si j'avais su, je les aurais jetés plus loin », aurait-elle répondu. « Jeter des chatons vivants dans une poubelle, c'est évidemment un acte de cruauté grave », s'indignait hier soir Maître François-Xavier Kelidjian, avocat de la Fondation Bardot, regrettant amèrement que le tribunal « disqualifie en mauvais traitements ». « D'autant que nous assistons depuis quelque temps à une fâcheuse tendance à disqualifier », explique-t-il. Cette décision est « régressive », estime encore l'avocat.

 

Le Parisien 25 Mars 2004

:colere: quel crève!!! cette grossiasse :q

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Invité §kaz086tA

Quand je dis que les psy sont plus malades que leurs patients

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Invité §le 816mY

Oui maltraité des châtons je dois dire... heureusement pour cette tarée que je n'étais pas à la place du juge :p

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Invité §Zir680wn

Le psychothérapeute toulousain accusé de viols

 

 

Depuis 4 ans,cinq plaintes pour viols sommeillaient au tribunal de Toulouse (Haute-Garonne). Hier, une opération de gendarmerie a permis l'arrestation d'un riche propriétaire immobilier de la Ville rose et de sa maîtresse, tous deux accusés d'avoir organisé des soirées sadomasochistes avec tortures. Une épreuve présentée à certaines victimes comme une thérapie pour vaincre leurs tabous.

A 52 ans, ce rentier, psychothérapeute sans formation, avait pour seule activité connue l'organisation de parties fines dans des immeubles toulousains lui appartenant et des propriétés situées dans les Pyrénées. Les victimes étaient des clientes de celui qu'elles décrivent comme « un gourou », un « manipulateur mental » qui, pour faire accepter à ces femmes de subir divers sévices sadomasochistes, les assurait qu'il s'agissait d'une étape dans leur thérapie. Certaines, outre les viols à répétition, les sévices sexuels, les coups de fouet, étaient obligées de manger dans des gamelles de chiens tenues en laisse par leurs bourreaux. Parmi les victimes, une ingénieur, des gérantes de société mais aussi une assistante maternelle.

« La justice s'érige en gardienne de la moralité » En 2000, une série de plaintes pour viols sont transmises à la juge d'instruction Myriam Viargues. Pendant quatre ans, le dossier est resté au point mort. Le temps pour les gendarmes de la brigade de recherches départementales d'éplucher les faits, datant de 1996 et 1997, et de retrouver les complices du psychothérapeute. L'une de ses maîtresses a ainsi été arrêtée et écrouée. Parmi les clients de ces soirées, des cadres de sociétés installées à Toulouse, auraient été identifiés. L'auteur des faits, dont le casier judiciaire est vierge, a invoqué hier, pour sa défense, lors de sa comparution devant le juge, « le consentement absolu » des victimes. Et son avocat M e Alexandre Martin de s'interroger sur l'opportunité de ce dossier qui a duré quatre ans dans une ville déjà hantée par les folles rumeurs. « Aujourd'hui, la justice s'érige en gardienne de la moralité. Mon client est poursuivi par la justice alors que l'une de ses prétendues victimes a répété qu'elle était consentante », s'indigne l'avocat. Les gendarmes ont pris soin de préciser que cette affaire « n'avait aucun lien avec le dossier Alègre ».

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

Toulouse,ville rose,ville chaude,côté affaires de sexe ils font fort

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Oui maltraité des châtons je dois dire... heureusement pour cette tarée que je n'étais pas à la place du juge :p

Bah des chatons, tu veux en faire quoi, tu vas les emmener à la SPA pour les faire piquer, et on va te demander de payer...

 

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Invité §kaz086tA

Le psychothérapeute toulousain accusé de viols

 

 

Depuis 4 ans,cinq plaintes pour viols sommeillaient au tribunal de Toulouse (Haute-Garonne). Hier, une opération de gendarmerie a permis l'arrestation d'un riche propriétaire immobilier de la Ville rose et de sa maîtresse, tous deux accusés d'avoir organisé des soirées sadomasochistes avec tortures. Une épreuve présentée à certaines victimes comme une thérapie pour vaincre leurs tabous.

A 52 ans, ce rentier, psychothérapeute sans formation, avait pour seule activité connue l'organisation de parties fines dans des immeubles toulousains lui appartenant et des propriétés situées dans les Pyrénées. Les victimes étaient des clientes de celui qu'elles décrivent comme « un gourou », un « manipulateur mental » qui, pour faire accepter à ces femmes de subir divers sévices sadomasochistes, les assurait qu'il s'agissait d'une étape dans leur thérapie. Certaines, outre les viols à répétition, les sévices sexuels, les coups de fouet, étaient obligées de manger dans des gamelles de chiens tenues en laisse par leurs bourreaux. Parmi les victimes, une ingénieur, des gérantes de société mais aussi une assistante maternelle.

« La justice s'érige en gardienne de la moralité » En 2000, une série de plaintes pour viols sont transmises à la juge d'instruction Myriam Viargues. Pendant quatre ans, le dossier est resté au point mort. Le temps pour les gendarmes de la brigade de recherches départementales d'éplucher les faits, datant de 1996 et 1997, et de retrouver les complices du psychothérapeute. L'une de ses maîtresses a ainsi été arrêtée et écrouée. Parmi les clients de ces soirées, des cadres de sociétés installées à Toulouse, auraient été identifiés. L'auteur des faits, dont le casier judiciaire est vierge, a invoqué hier, pour sa défense, lors de sa comparution devant le juge, « le consentement absolu » des victimes. Et son avocat M e Alexandre Martin de s'interroger sur l'opportunité de ce dossier qui a duré quatre ans dans une ville déjà hantée par les folles rumeurs. « Aujourd'hui, la justice s'érige en gardienne de la moralité. Mon client est poursuivi par la justice alors que l'une de ses prétendues victimes a répété qu'elle était consentante », s'indigne l'avocat. Les gendarmes ont pris soin de préciser que cette affaire « n'avait aucun lien avec le dossier Alègre ».

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

Toulouse,ville rose,ville chaude,côté affaires de sexe ils font fort

Si tu savais y a pas la moitié e ce qui se passe qui passe dans les journaux

 

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Invité §naj182kQ

Si tu savais y a pas la moitié e ce qui se passe qui passe dans les journaux

Ah bon? et moi qui croyait que depuis que Baudis est disculpé, il ne s'était jamais rien passé à Toulouse... je me serais trompé? :W

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Invité §Zir680wn

Les « squatteurs » d'ascenseurs condamnés

 

 

En droit, cela s'appelle « entrave à la libre circulation des personnes ». Dans la vie quotidienne, cela est plus volontiers qualifié d'« incivilités », mais la loi réprime désormais les petits faits qui empoisonnent le quotidien des habitants. Quatre jeunes gens sont bien placés pour en témoigner puisqu'ils viennent d'être, pour deux d'entre eux, condamnés par la justice, pour avoir bloqué un ascenseur.

 

Il y a deux mois, un appel parvient au commissariat : des jeunes s'amusent à bloquer volontairement un ascenseur, empêchant les habitants de l'emprunter. Parmi ces derniers, des gens dont l'état de santé ne permet pas de se déplacer facilement ont pourtant été contraints de monter à pied les étages. Des policiers se rendent sur place et interpellent quatre jeunes gens. Ils sont ramenés au commissariat et placés en garde à vue. Avisé des faits, le parquet a fait notifier aux deux mineurs de 17 ans une convocation devant un juge des enfants, tandis que les deux majeurs étaient convoqués, mercredi, devant la 12 e chambre du tribunal de grande instance de Créteil. L'un d'entre eux a été condamné à une amende de 500 € tandis que son comparse écopait de la même peine, mais assortie d'un sursis.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

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Invité §kaz086tA

Ah bon? et moi qui croyait que depuis que Baudis est disculpé, il ne s'était jamais rien passé à Toulouse... je me serais trompé? :W

Aux yeux de qui :voyons: en tout cas pas du peuple car des assasinats qui sont déclarés suicide on y croit pas dans l'affaire allègre comme cette femme retrouvé trucidé quis e serait loupé au aurait mis un foulard dans sa bouche pour ensuite s'ouvrir la gorge, se tirer une balle, tu fou ça à une EDC des jeunes élèves de la PN ils disent tous que c'est un meurtre celui qui dis suicide se prend un 0 pointé :W A toi de te faire ton opinion

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Invité §Zir680wn

Grâce au haschich, le postier se constituait un patrimoine

 

 

 

Le tribunal correctionnel de Bobigny vient de condamner Patrick, agent des postes quadragénaire, jusque-là sans histoires, à neuf mois de prison avec sursis et 50 000 € d'amende pour un trafic de haschich installé depuis près de deux ans dans le quartier de Noisy-le-Grand, où il vivait. Le juge a envoyé en prison son fournisseur exclusif et prodigue, Carlos Dangi. Cet Angolais de 40 ans fournissait à Patrick « entre 2 kg et 5 kg d'herbe » à chaque livraison, tous les dix jours, voire chaque semaine, au gré de la demande.

 

Il a été condamné à dix-sept mois de prison, dont huit avec sursis. Seule manquait Lucie, complice de fait puisque c'était chez elle, dans son petit logement de Villejuif (Val-de-Marne), que transitaient les sacs remplis de haschich rapporté de Belgique. Indulgents pour cette ex-prostituée de 52 ans, prête à fermer les yeux « par amour » et sans contrepartie sur le commerce qu'elle hébergeait, les magistrats l'ont sanctionnée de cinq mois avec sursis. Chez elle, ils avaient déniché plus de 5 kg de cannabis.

Un livre de comptes méticuleusement tenu Patrick, le postier, n'est pas un dealer comme les autres. Plutôt un père tranquille, que son seul « vice » aura finalement poussé sur la voie du trafic : fumeur d'herbe depuis l'adolescence, il est passé à la revente pour rembourser ses dettes... Par hasard puis par choix, au vu des bénéfices rapidement engrangés.

 

Lorsque les policiers sont venus l'interpeller, en juin dernier dans sa maison de Fougères (Ille-et-Vilaine), ils ont trouvé près de 145 000 € en espèces, que le postier a d'emblée reconnu provenir « en grande partie du deal ». Ils ont aussi saisi un livre de comptes méticuleusement tenu, un répertoire de clientèle, un peu plus de 700 g d'herbe et, surtout, des aveux circonstanciés. Trafiquant mais non roublard, Patrick a même donné de nouvelles pistes aux policiers, à commencer par son appartement acheté en Essonne. Un logement payé, admet-il volontiers, 83 000 € comptant à Chilly-Mazarin. Les enquêteurs y ont saisi 4 kg d'herbe, une balance et un très officiel acte de propriété du mois d'août 2002. Auparavant, il avait également épongé ses crédits et amassé un bon pécule. « Je suis très économe », répète Patrick, bras ballants devant la cour, en refaisant les comptes. Il achetait la drogue 4 500 € le kilo à Dangi, et revendait « 5,35 € le gramme, quelle que soit la quantité ». De quoi s'offrir un bénéfice de 850 € par kilo. Dix-huit mois à ce rythme, soit environ 200 kg écoulés sur Noisy, pouvaient laisser rêveurs les fonctionnaires du ministère de la Justice. Homme d'affaires perspicace, Patrick était aussi très attentif aux lois du marché. Car, s'il a choisi de se « spécialiser » dans l'herbe plutôt que la résine, c'était « parce que l'herbe est plus demandée et que la clientèle est donc plus stable », avoue-t-il presque ingénument. A ses côtés, son avocat, Thibault de Montbrial, ne pouvait qu'être satisfait : il a inauguré avant l'heure le principe du « plaider coupable », et gagné le sursis contre le procureur, qui réclamait dix-huit mois ferme.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Les agresseurs mettent le feu au pavillon

 

Une casquette vissée sur le crâne, le vieil homme hébété déambule au milieu des décombres fumants de son pavillon, rue Vercingétorix, dans le quartier résidentiel de Nonneville, au sud d'Aulnay-sous-Bois. Il soulève les amas de vieux papiers noircis et mouillés dans l'espoir de retrouver un souvenir qui aurait échappé miraculeusement aux flammes. Il ne reste plus rien.

 

Le visage tuméfié dissimulé derrière des lunettes sombres, il contemple ce spectacle désolant en faisant les cent pas sous le regard attristé des voisins. Mercredi, peu après 20 heures, cet homme de 66 ans a été sauvagement agressé par deux inconnus qui sortaient de son pavillon en feu. Une jeune fille de 20 ans, son petit ami, âgé de 21 ans, et sa grand-mère, âgée de 82 ans, ont également été roués de coups en tentant de secourir le sexagénaire. La vieille dame, traumatisée par les événements de la nuit, était encore hospitalisée hier.

 

« Comme à son habitude, Paul était venu porter "le Parisien" à mon grand père, raconte Marie-Laure. Dix minutes plus tard, la sonnerie a retenti à nouveau. C'était Paul qui appelait à l'aide. « Il y a le feu chez moi , criait-il. Alors, je me suis avancée dans l'allée du pavillon. Grégory me suivait. Soudain, j'ai vu deux jeunes sortir de la maison de Paul. » L'un portait un bonnet blanc enfoncé sur les yeux et une doudoune. L'autre était plus grand et plus mince. Tout s'est passé très vite. « Je n'ai pas eu le temps de comprendre ce qui se passait. J'ai reçu un coup de poing sur le nez, poursuit Marie-Laure. Puis les deux inconnus se sont acharnés sur Grégory. Ils l'ont tabassé sur le visage et le dos. Je me suis jetée sur son agresseur, qui a fini par lâcher sa proie. » Les agresseurs se sont enfuis dans l'allée au bout de laquelle se trouvait la grand-mère de Marie-Laure, alertée par les cris. « Ils lui ont asséné un violent coup sur le crâne et l'ont piétinée avant de prendre la fuite », reprend Grégory. « Lorsque je suis rentré chez moi, j'ai vu des flammes sortir de la fenêtre. J'ai cru que la chaudière avait explosé. Alors, je me suis dirigé à l'arrière de ma maison pour vérifier s'il y avait un problème. C'est alors que j'ai été agressé », explique Paul B..., traumatisé.

 

Déjà attaqué et séquestré chez lui il y a quatre ans Hier, le quartier était en état de choc. « Monsieur Paul est une figure locale de Nonneville, assure un commerçant. Il n'a pas toutes ses facultés, il est sourd comme un pot, n'a plus de famille, mais c'est un bon bougre. Il a l'habitude d'amasser plein d'objets usagés récupérés dans les poubelles et de collectionner les vieux papiers. Ce n'est pas étonnant que sa maison soit partie en fumée. Mais pourquoi ces inconnus s'en sont-ils pris à lui ? » Il y a quatre ans, Paul B... a déjà été séquestré chez lui. Des inconnus avaient fait irruption dans son pavillon, s'étaient fait remettre sa carte bancaire et son code avant de le saucissonner et de lui administrer un puissant somnifère. « Le lendemain après-midi, mon grand-père, surpris de ne pas l'avoir vu passer, s'était rendu chez lui et l'avait trouvé ligoté », se souvient Marie-Laure. Les enquêteurs s'orientent vers la piste de l'incendie criminel. Mais ils poursuivent leurs investigations en attendant les conclusions du laboratoire de la préfecture de police de Paris.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Ils font exploser le dépôt des convoyeurs

 

 

Une attaque en règle, aussi violente que rapide. Les quatre hommes cagoulés et armés de pistolets automatiques qui ont braqué hier matin le centre-fort de la société de convoyage de fonds Groupe 4, à Courbevoie, n'ont reculé devant rien. N'hésitant pas à faire une brèche dans le mur de la société à l'aide d'explosifs.

 

Il n'est pas tout à fait 11 heures, hier, lorsque deux puissantes voitures, une Audi A4 et une Porsche Cayenne, munies de gyrophare, s'engagent à vive allure villa des Fleurs, une petite voie perpendiculaire au boulevard de Verdun. Là, sur le petit parking qui borde l'arrière du centre-fort, les braqueurs, vêtus de noir, cagoulés, portant pour l'un d'entre eux une chasuble jaune fluo siglée « police », sortent précipitamment de leurs véhicules, et déposent une charge explosive au pied du mur.

 

« Tout est extrêmement sécurisé » Quelques secondes plus tard, une déflagration ébranle le quartier tandis que le souffle de l'explosion fait littéralement voler en éclats les vitres d'un bâtiment de trois étages, regroupant des bureaux à louer en face des locaux de Groupe 4, de l'autre côté de la villa des Fleurs. Dans le mur du centre-fort, un large trou circulaire au ras du sol, assez grand pour qu'un homme puisse s'y glisser. Pourtant, les braqueurs ne tentent pas un seul instant de pénétrer à l'intérieur du centre-fort. Etrangement, le gang retourne vers les deux voitures et part en trombe.

 

Deux heures plus tard, alors que les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme (BRB), saisis de l'affaire, et les hommes du laboratoire central de police, dans le quartier bouclé, sont encore occupés à relever les indices sur le sol jonché de verre brisé, autour du bâtiment de Groupe 4, l'Audi A4 et la Porsche Cayenne étaient retrouvées en feu dans un parking souterrain de la cité des Fontaines, à Taverny, dans le Val-d'Oise, en bordure de la A 115. A Courbevoie, même si personne n'a été blessé dans l'attaque éclair du centre-fort qui emploie quelque 200 personnes, l'émotion était perceptible après l'explosion.

 

« Une seule déflagration, assourdissante... On a cru que le pire venait de se produire », commente un employé d'une société située à une cinquantaine de mètres du centre-fort. Un autre a cru à une explosion au gaz. Des locaux balayés jour et nuit par des caméras de vidéosurveillance et particulièrement sécurisés : « Les fourgons blindés viennent chercher les fonds ici, à la base, comme nous l'appelons, explique un employé de Groupe 4. Tout est donc extrêmement sécurisé, et c'est probablement ce qui a mis en fuite les braqueurs, poursuit-il. En regardant par la brèche du mur, ils se sont certainement aperçus que l'argent était protégé par le système Axitrans, les nouvelles valises intelligentes . En cas de vol, ce système macule immédiatement d'encre les billets de banque, les rendant inutilisables. Et puis la salle Axitrans est gardée jour et nuit par des hommes armés... » Est-ce la seule raison qui a poussé le commando à s'enfuir sans rien emporter ? Les enquêteurs de la BRB ne privilégiaient hier aucune hypothèse, tout en soulignant que le mode opératoire correspond à celui des équipes spécialisées dans les braquages de fourgons et centres-forts de ces dernières années.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

 

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Invité §kaz086tA

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Les agresseurs mettent le feu au pavillon

 

Une casquette vissée sur le crâne, le vieil homme hébété déambule au milieu des décombres fumants de son pavillon, rue Vercingétorix, dans le quartier résidentiel de Nonneville, au sud d'Aulnay-sous-Bois. Il soulève les amas de vieux papiers noircis et mouillés dans l'espoir de retrouver un souvenir qui aurait échappé miraculeusement aux flammes. Il ne reste plus rien.

 

Le visage tuméfié dissimulé derrière des lunettes sombres, il contemple ce spectacle désolant en faisant les cent pas sous le regard attristé des voisins. Mercredi, peu après 20 heures, cet homme de 66 ans a été sauvagement agressé par deux inconnus qui sortaient de son pavillon en feu. Une jeune fille de 20 ans, son petit ami, âgé de 21 ans, et sa grand-mère, âgée de 82 ans, ont également été roués de coups en tentant de secourir le sexagénaire. La vieille dame, traumatisée par les événements de la nuit, était encore hospitalisée hier.

 

« Comme à son habitude, Paul était venu porter "le Parisien" à mon grand père, raconte Marie-Laure. Dix minutes plus tard, la sonnerie a retenti à nouveau. C'était Paul qui appelait à l'aide. « Il y a le feu chez moi , criait-il. Alors, je me suis avancée dans l'allée du pavillon. Grégory me suivait. Soudain, j'ai vu deux jeunes sortir de la maison de Paul. » L'un portait un bonnet blanc enfoncé sur les yeux et une doudoune. L'autre était plus grand et plus mince. Tout s'est passé très vite. « Je n'ai pas eu le temps de comprendre ce qui se passait. J'ai reçu un coup de poing sur le nez, poursuit Marie-Laure. Puis les deux inconnus se sont acharnés sur Grégory. Ils l'ont tabassé sur le visage et le dos. Je me suis jetée sur son agresseur, qui a fini par lâcher sa proie. » Les agresseurs se sont enfuis dans l'allée au bout de laquelle se trouvait la grand-mère de Marie-Laure, alertée par les cris. « Ils lui ont asséné un violent coup sur le crâne et l'ont piétinée avant de prendre la fuite », reprend Grégory. « Lorsque je suis rentré chez moi, j'ai vu des flammes sortir de la fenêtre. J'ai cru que la chaudière avait explosé. Alors, je me suis dirigé à l'arrière de ma maison pour vérifier s'il y avait un problème. C'est alors que j'ai été agressé », explique Paul B..., traumatisé.

 

Déjà attaqué et séquestré chez lui il y a quatre ans Hier, le quartier était en état de choc. « Monsieur Paul est une figure locale de Nonneville, assure un commerçant. Il n'a pas toutes ses facultés, il est sourd comme un pot, n'a plus de famille, mais c'est un bon bougre. Il a l'habitude d'amasser plein d'objets usagés récupérés dans les poubelles et de collectionner les vieux papiers. Ce n'est pas étonnant que sa maison soit partie en fumée. Mais pourquoi ces inconnus s'en sont-ils pris à lui ? » Il y a quatre ans, Paul B... a déjà été séquestré chez lui. Des inconnus avaient fait irruption dans son pavillon, s'étaient fait remettre sa carte bancaire et son code avant de le saucissonner et de lui administrer un puissant somnifère. « Le lendemain après-midi, mon grand-père, surpris de ne pas l'avoir vu passer, s'était rendu chez lui et l'avait trouvé ligoté », se souvient Marie-Laure. Les enquêteurs s'orientent vers la piste de l'incendie criminel. Mais ils poursuivent leurs investigations en attendant les conclusions du laboratoire de la préfecture de police de Paris.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

Ca me rappel l'affaire de Paul Voise la veille de la présidentielle, ce papi qui avait été tabassé par des racailles et sa maison incendier, ça avait été lourd de conséquence pour la présidentielle avec Le Pen au second tour. Le FN va monter dimanche selon l'ampleur de la médiatisation

 

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Invité §kad682qJ

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Ils font exploser le dépôt des convoyeurs

 

 

Une attaque en règle, aussi violente que rapide. Les quatre hommes cagoulés et armés de pistolets automatiques qui ont braqué hier matin le centre-fort de la société de convoyage de fonds Groupe 4, à Courbevoie, n'ont reculé devant rien. N'hésitant pas à faire une brèche dans le mur de la société à l'aide d'explosifs.

 

Il n'est pas tout à fait 11 heures, hier, lorsque deux puissantes voitures, une Audi A4 et une Porsche Cayenne, munies de gyrophare, s'engagent à vive allure villa des Fleurs, une petite voie perpendiculaire au boulevard de Verdun. Là, sur le petit parking qui borde l'arrière du centre-fort, les braqueurs, vêtus de noir, cagoulés, portant pour l'un d'entre eux une chasuble jaune fluo siglée « police », sortent précipitamment de leurs véhicules, et déposent une charge explosive au pied du mur.

 

« Tout est extrêmement sécurisé » Quelques secondes plus tard, une déflagration ébranle le quartier tandis que le souffle de l'explosion fait littéralement voler en éclats les vitres d'un bâtiment de trois étages, regroupant des bureaux à louer en face des locaux de Groupe 4, de l'autre côté de la villa des Fleurs. Dans le mur du centre-fort, un large trou circulaire au ras du sol, assez grand pour qu'un homme puisse s'y glisser. Pourtant, les braqueurs ne tentent pas un seul instant de pénétrer à l'intérieur du centre-fort. Etrangement, le gang retourne vers les deux voitures et part en trombe.

 

Deux heures plus tard, alors que les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme (BRB), saisis de l'affaire, et les hommes du laboratoire central de police, dans le quartier bouclé, sont encore occupés à relever les indices sur le sol jonché de verre brisé, autour du bâtiment de Groupe 4, l'Audi A4 et la Porsche Cayenne étaient retrouvées en feu dans un parking souterrain de la cité des Fontaines, à Taverny, dans le Val-d'Oise, en bordure de la A 115. A Courbevoie, même si personne n'a été blessé dans l'attaque éclair du centre-fort qui emploie quelque 200 personnes, l'émotion était perceptible après l'explosion.

 

« Une seule déflagration, assourdissante... On a cru que le pire venait de se produire », commente un employé d'une société située à une cinquantaine de mètres du centre-fort. Un autre a cru à une explosion au gaz. Des locaux balayés jour et nuit par des caméras de vidéosurveillance et particulièrement sécurisés : « Les fourgons blindés viennent chercher les fonds ici, à la base, comme nous l'appelons, explique un employé de Groupe 4. Tout est donc extrêmement sécurisé, et c'est probablement ce qui a mis en fuite les braqueurs, poursuit-il. En regardant par la brèche du mur, ils se sont certainement aperçus que l'argent était protégé par le système Axitrans, les nouvelles valises intelligentes . En cas de vol, ce système macule immédiatement d'encre les billets de banque, les rendant inutilisables. Et puis la salle Axitrans est gardée jour et nuit par des hommes armés... » Est-ce la seule raison qui a poussé le commando à s'enfuir sans rien emporter ? Les enquêteurs de la BRB ne privilégiaient hier aucune hypothèse, tout en soulignant que le mode opératoire correspond à celui des équipes spécialisées dans les braquages de fourgons et centres-forts de ces dernières années.

 

Le Parisien 26 Mars 2004

Ca c'est de la bonne lecture :oui:

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Invité §le 816mY

Lacoste condamné pour contrefaçon en Chine

 

 

La marque française a été condamnée par un tribunal chinois qui a estimé que celle-ci avait copié illégalement le logo de "Crocodile international", une société de Singapour.

 

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Bataille de crocodiles. Un tribunal de Shanghai a jugé que le propriÃtaire de la marque Lacoste avait copié illégalement sur le marché chinois le logo d'un concurrent singapourien, Crocodile International. "La Cour populaire intermédiaire N°2 de Shanghai a ordonné à Lacoste de cesser d'utiliser le logo, de présenter des excuses publiques et de payer symboliquement un dollar de dommages", a déclaré Tao Xinliang, avocat de Crocodile International. "C'est un bon verdict en accord avec la législation chinoise", a-t-il estimé.

 

Bai Gang, un avocat de Lacoste, a jugé que "le verdict est injuste" et indiqué que son client envisageait de faire appel. Le litige porte sur l'enregistrement du logo de Lacoste à Shanghai pour sa ligne de produits cosmétiques (gel de douche, déodorants, eau de toilette, après-rasage, etc.) en 1995. Le designer malaisien de Crocodile International, Tan Hian Tsin, affirme être le premier à avoir déposé un logo de saurien assorti du terme "crocodile", en 1951 à Singapour et assure que sa création est protégée par la convention de Berne sur les oeuvres artistiques depuis 1990, date à laquelle la Malaisie a adhéré à cette convention. La Chine a adhéré à cette convention en 1992.

 

Nouvelle "orientation"

 

Lacoste, qui revendique un droit exclusif sur l'utilisation des sauriens comme marque déposée, avait déposé son logo en France en 1933. Dans le cadre d'un autre litige, c'est la société française, qui appartient au groupe Devanlay SA, qui a de son côté attaquée en justice Crocodile International et deux de ses partenaires chinois, pour violation de logo. Cette affaire, qu'un tribunal de Pékin a accepté d'entendre en octobre dernier, doit encore être jugée. Enfin, en octobre également, Lacoste était parvenu à un accord à l'amiable avec une autre société, Crocodile Garments Ltd, basée à Hong Kong, par lequel cette dernière s'engage à redessiner son reptile, orientée à gauche et non à droite, à partir de 2006.

 

 

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Invité §Zir680wn

Un enfant de 7 ans agressé au couteau

 

 

Pourquoi le petit Nicolas a-t-il caché la blessure qui lui barrait l'abdomen ? Et pourquoi, surtout, personne ne s'est-il rendu compte de l'état de l'enfant ?

 

Il est un peu plus de 15 heures, jeudi après-midi, lorsqu'une institutrice de l'école élémentaire La Fontaine, à Nanterre, où Nicolas, âgé de 7 ans et demi, est scolarisé en classe de CE 1, est soudain intriguée par l'étrange manège du petit garçon. Dans la cour de l'école, l'enfant est en train de montrer à ses petits camarades un bobo au ventre qui semble le faire souffrir. Immédiatement, l'enseignante s'approche et, avec une aide-éducatrice, accompagne Nicolas dans le bureau du directeur.

 

Là, enfin, l'écolier accepte de montrer ce qui le fait souffrir : une plaie assez importante et « suintante », selon le chef d'établissement, située juste sous le nombril. Devant l'étonnement des trois adultes qui le questionnent, Nicolas explique que la veille, mercredi, en s'amusant avec des plus grands sur une aire de jeux située près de son immeuble, dans le quartier du Petit-Nanterre, il aurait reçu un coup de couteau au ventre, et n'en aurait parlé à personne par la suite. Tout au moins avant le lendemain après-midi.

 

Immédiatement, le directeur contacte les secours, la police et le père de Nicolas. « Il a tout de suite été pris en charge par le Samu et conduit à l'hôpital, explique le chef d'établissement. Les dernières nouvelles qui me sont parvenues sont bonnes. Il est hors de danger. » Pour autant, de multiples interrogations subsistent, sans qu'aucune réponse cohérente n'ait pu être réellement apportée. Pourquoi Nicolas n'a-t-il pas immédiatement parlé à son père, avec lequel il vit, du coup reçu... Et comment ce dernier ne s'est-il pas aperçu de la blessure de son fils ? Pourquoi, enfin, l'enfant ne s'est-il pas plaint de ses douleurs, dès le jeudi matin, en arrivant à l'école La Fontaine ?

 

« Les faits ne se sont pas déroulés dans l'enceinte de l'école » « Il s'est rendu à la piscine avec sa classe dans la matinée, affirme le directeur de l'établissement, mais il a expliqué qu'il avait oublié ses affaires, et ne s'est donc pas baigné. » Un prétexte pour cacher son ventre ? Personne ne le sait encore, mais une chose est certaine : là encore, la plaie de Nicolas passe inaperçue. « Cette affaire reste totalement étrange en l'absence d'éléments d'explications plus précis, conclut le chef d'établissement. Mais ce qui a été révélé par l'enfant nous permet de penser que les faits ne se sont pas déroulés dans l'enceinte de l'école. » Une école sous le choc, où les rumeurs les plus folles courent depuis la découverte de la blessure de l'écolier. L'enquête a été confiée au commissariat de Nanterre.

 

Le Parisien 27 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Les salons de massage abritaient des prostituées

 

 

«Déjà 3 ans que l'institut Maylis est ouvert et nous n'avons peut-être jamais fait votre connaissance ! » C'est avec cette formule aguichante que les gérants de deux clubs de massages « coquins » implantés à Chatou (Yvelines) et à Saint-Ouen-l'Aumône (Val-d'Oise) et d'un sex-shop installé dans la même ville prenaient attache avec leurs clients potentiels. Depuis hier, tous deux dorment en prison. Ce couple a été mis en examen pour proxénétisme, hier, par un juge d'instruction de Versailles avant d'être écroués.

 

La justice leur reproche d'être à la tête d'un réseau de prostitution à l'échelle locale. Ils ont été interpellés, mercredi, par les hommes de la brigade de répression du banditisme de la DRPJ de Versailles. Les enquêteurs ont établi que les deux prévenus employaient depuis plusieurs années cinq jeunes « masseuses » qui devaient répondre au moindre désir de leurs clients.

 

Une activité fort lucrative pour les deux gérants Egalement entendues par les policiers, les cinq jeunes femmes, âgées de 20 à 30 ans, ont donné quelques détails sur leur quotidien. « Elles étaient payées 66 € la prestation, indique une source policière. Mais elles devaient s'acquitter de toutes les charges sociales relatives à leur emploi officiel de masseuse. Elles reversaient également une large partie de leurs gains à leurs patrons. » Sur 66 € facturés, 15 € revenaient finalement dans la poche des employées. Une activité fort lucrative pour les deux gérants, dont l'âge de la clientèle identifiée allait de 25 à 80 ans...

 

La répartition des tâches au sein du couple était également bien établie : à madame, la tenue de l'agenda et des rendez-vous ; à monsieur, la mise à disposition des filles ou... d'hommes, selon les goûts. Les rencontres, uniquement sur rendez-vous, avaient lieu du lundi au vendredi, de 11 heures à 18 h 30. Outre les deux salons de massage, les deux prévenus avaient lancé le premier sex-shop du Val-d'Oise. Ouvert à la fin de l'année 2002, l'établissement baptisé Cassandre était situé dans l'immense zone industrielle des Béthunes, à Saint-Ouen-l'Aumône. Les entreprises du site étaient d'ailleurs régulièrement inondées de fax émanant de l'entreprise Maylis Relaxation. Une formule, bien sentie, venait conclure l'argumentaire : « Pensez également à vos clients, c'est une bonne idée de cadeau. » C'est désormais au tour du couple incarcéré de pouvoir se « relaxer » en attendant d'être entendu par la justice.

 

Le Parisien 27 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Enfermé dans une boîte pour dénoncer... la télé réalité !

 

Cela fait désormais six jours que Pierre* est enfermé 23 heures sur 24 dans un « loft » de 4 m 3 - il ne sort que pour aller aux toilettes et prendre une douche. Ladite boîte, translucide, est installée dans un bar amiénois, le Lanselles Café, le long d'une baie vitrée. Les passants ont jusqu'à ce soir 1 heure du matin pour dire s'ils veulent que Pierre reste ou sorte.

 

Les visées de ce happening déconcertant ? « Libérer les Français des émissions de télé stupides », assène l'emboîté. Barman de profession, ce jeune homme de 33 ans (il a d'ailleurs fêté ses 33 printemps dans son cube, mercredi soir) dit avoir constaté que les gens sortaient de moins en moins à cause de la télé. « Le soir de la finale de la Star Academy, par exemple, il y avait vraiment moins de clients dans les bars, alors que les bistrots, ce sont des endroits où l'on rencontre plein de gens différents », déplore le lofter un brin exhibitionniste.

 

A chacun de faire son analyse Impossible ne pas le remarquer lorsqu'on passe dans la rue de Lanselles. La boîte est remplie de boules à facettes multicolores, de spots et de gyrophares. Lui-même porte une combinaison fluorescente et un gilet pare-balles psychédélique. Des peluches de Télé-Tubbies ou de Bill (du « Bigdil ») sont là pour rappeler l'univers télévisuel, tout comme un vieux poste TV sur lequel est inscrit : « Boîte tueuse de neurones ».

 

Pour dormir, il lui suffit de déplier un siège de voiture et de s'enrouler dans sa couverture de survie. « Pour l'instant ça va, je n'ai pas mal au dos et je ne dors pas trop mal, sauf quand des gens tapent la nuit à la vitre. » Et avec toutes les personnes qui passent lui faire un petit coucou, pas le temps pour l'instant de s'ennuyer. « La majorité des gens rigolent quand ils m'aperçoivent, certains rentrent dans le bar pour en savoir plus. » Mais vont-ils jusqu'à réfléchir sur leur propre consommation télévisuelle (plus de trois heures par jour en moyenne) ? « Je ne sais pas », reconnaît Pierre. « Moi je cherche à interloquer, à chacun ensuite de faire son analyse. » Pour le bar qui l'héberge, en tout cas, c'est un bon coup de pub à moindre coût.

 

* Nom d'emprunt. L'artiste tenant à rester anonyme pour ne pas être embêté à la sortie du loft. « Je ne fais pas ça pour lancer ma carrière », ironise-t-il.

 

Le Parisien 27 Mars 2004

 

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Invité §kaz086tA

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http://maitrekazouille.free.fr/gymcaniche.jpg

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Invité §Zir680wn

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Début du procès des violeurs et meurtriers de la "super-mamie" du Vaucluse

 

 

AVIGNON (AP) - Le procès de deux jeunes de 18 et 20 ans, accusés d'avoir violé et tué en janvier 2002, Marie-Andrée Fesquet, une femme de 69 ans lauréate en 1998 du concours de la "super-mamie" de Provence-Alpes-Côte d'Azur, s'est ouvert lundi devant la cour d'assises des mineurs du Vaucluse.

 

Les deux auteurs présumés, dont l'un était mineur à l'époque des faits, comparaissent pour "viol avec tortures ou actes de barbarie, suivi de meurtre". Les malfaiteurs étaient manifestement venus pour commettre un vol.

 

La victime, une aide-soignante à la retraite, mère de cinq enfants, était connue pour son dynamisme et sa bonne humeur. Elle animait les après-midi des maisons de retraite locales avec son groupe de chant.

 

Le 8 janvier 2002, la sexagénaire avait été retrouvée dans sa villa, le corps mutilé, le crâne fracassé, par une de ses voisines venue boire le café avec elle.

 

Ses violeurs et meurtriers, Jamel Boumajan, le majeur de 20 ans, et son co-accusé mineur, avaient été arrêtés le 22 janvier suivant. Ils ont reconnu pendant l'instruction leur participation au cambriolage, mais contestent avoir commis les blessures à l'origine de la mort, et notamment le viol à l'aide d'un micro.

 

Les accusés encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès doit durer jusqu'à vendredi. AP

 

Yahoo 29 Mars 2004

 

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La reconstitution de l'horreur

 

 

AVIGNON : Hier soir le quartier des Neuf-Peyres était placé sous haute surveillance policière. Secteur bouclé pour la reconstitution judiciaire du meurtre de la super mamie. L'auteur présumé et son complice devaient refaire les gestes épouvantables perpétrés dans la nuit du 7 janvier 2002.

 

Agitation hier autour de la rue du Gai Savoir, au quartier des Neuf-Pevres. Un périmètre de sécurité défendait l’accès du secteur.

 

Un arrêté municipal avait été pris pour interdire le stationnement les véhicules et des piétons dès l’après midi et jusqu’à 23 heures, dans le périmètre les rues Guillaume de Machault et traverse des Neuf Peyres. Un important dispositif policier contrôlait les ,lieux, barrières et uniformes barraient les rues. A l'extérieur, quelques groupes de jeunes agglutines derrière les barrages, quelques cris. Dans la maison où habitait Marie Andrée Fesquet, on recherchait la vérité. Car la reconstitution s’avérait capitale pour permettre au juge d’instruction d’établir le rôle joué par chacun des agresseurs qui se renvoient la responsabilité des actes commis.

 

La reconstitution du meurtre de Marie Andrée Fesquet, près de 9 mois après les faits, ravivait les souvenirs. Ceux qui connaissaient la supermamie PACA se reposaient la question "Pourquoi toi qui faisait tant de bien t’a-t-on fait tant de mal ?." Un rayon de soleil, optimiste, chaleureuse, généreuse" qui "portait la joie de vivre", qui chantait pour les malades et les personnes âgées. Cette femme si appréciée a subi une mort atroce.

 

Des gestes odieux, abominables. Qui devaient être accomplis hier soir, s’ils acceptaient, par l’auteur présumé du meurtre, Jamel Boumajan, 19 ans, mis en examen pour "viol avec acte de torture et barbarie, meurtre sur personne vulnérable" et son complice, 17 ans. Deux jeunes devenus tueurs pour de l’argent qu’ils pensaient découvrir au domicile de la victime. Boumajan avait entendu dire qu’elle possédait 50 000 francs. D’où l’idée de lui rendre une visite nocturne, qui s’est transformée en équipée barbare.

 

Frappée violemment, Marie Andrée Fesquet, âgée de 69 ans, est tombée sur le sol. L’un des agresseurs s’est emparé du micro qu’elle utilisait pour chanter. Il l’a introduit à grands coups de pied dans le sexe de la malheureuse, qui agonisé plusieurs heures avant de succomber des suite d'hémorragies internes. Ce n’est que te le lendemain qu’une voisine a découvert l’affreux crime.

 

Quelques jours plus tard les Policiers du SRPJ d’Avignon, grâce à des témoignages recueillis par les fonctionnaires le la police de proximité allaient interpeller les deux auteurs présumés. Placés en garde à vue, puis présentés chez le juge d’instruction chargé de l’enquête, ils étaient écroués. Mais l’enquête n’était pas finie. de nombreux points restant à éclaircir sur ce crime épouvantable suscitant incompréhension et dégoût. Et la reconstitution hier soir était l’occasion de vérifications essentielles. C’était aussi un acte judiciaire important pour les parties civile qui ont soif de savoir, comme le remarque leur conseil Marc Geiger.

 

Alors que, Jamel Boumajan est assisté de Me Louis-Alain Lemaire et Valerie Cama, le présumé complice a pour conseil le bâtonnier Patrick Gontard. C’est le magistrat instructeur Claude Pierru qui a procédé à la reconstitution pour vérifier les déclarations du duo. Une reconstitution de la bestialité,de la sauvagerie.

 

http://andreefesquet.free.fr/index.htm 26 Septembre 2002

 

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Invité §Zir680wn

Drame de la Porsche folle : trois vies, combien ça coûte ?

 

Pénible audience au tribunal correctionnel de Créteil. Quasiment deux ans après le drame de la « Porsche folle » à Vitry, au cours duquel une famille a été décimée dans des circonstances horribles, la 10 e chambre correctionnelle vient de se pencher sur le préjudice moral des familles. Ce procès civil, après le procès pénal qui s'est tenu en juillet denier, a pris la forme de comptes d'apothicaires un peu sordides entre les différents acteurs de l'affaire.

 

Samir Cheney, le conducteur de la Porsche, ce 26 mai 2002, était absent à l'audience. Condamné à cinq ans de prison dont un avec sursis, il n'a pas été extrait de sa cellule. En revanche, la famille de Jenny Canaldo, fauchée à 29 ans avec ses deux filles Anaëlle, 5 ans, et Maéva 3 ans, était bien là, au complet dans la salle : le père, Bruno Clairon, mais aussi Gabriel, l'unique enfant survivant, aujourd'hui âgé de 3 ans, ainsi que la mère de Jenny, Martine Rétif, et d'autres proches. Une famille bouleversée qui a dû supporter une bataille de chiffres portant sur les barèmes d'indemnisations soulevée par les différents créanciers du dossier : la RATP, comme employeur de Jenny Canaldo, mais aussi la Caisse primaire d'assurance maladie du Val-de-Marne, qui a pris en charge les frais d'hôpitaux, et l'assureur AXA.

 

« En mai 2002, tout a été détruit » « Il y a eu sept victimes directes, mais bien plus par ricochet », attaque l'avocate de la famille Clairon-Canaldo. Elle demande à la cour de s'inspirer de l'accident du Concorde, où les indemnisations des familles des disparus ont été fixées selon les normes d'un « accident collectif ». « En mai 2002, tout a été détruit, attaque l'avocate de Bruno Clairon. Il a perdu toute sa famille de manière simultanée. Aujourd'hui, il n'est plus capable de travailler. » Elle demande donc qu'il soit indemnisé à vie car il ne pourra plus retravailler, selon elle.

 

En face, l'avocate qui défend les intérêts de la compagnie d'assurance AXA a forcément le mauvais rôle. « Il s'agit d'un accident de la circulation, insiste-t-elle. Ça n'a rien à voir avec l'accident du Concorde. » L'assureur est d'accord pour prendre en charge les frais funéraires, mais refuse de payer pour le déménagement de la famille après le drame, et refuse le montant de l'indemnisation demandée par Bruno Clairon. « Nous n'avons pas la preuve que M. Clairon ne pourra plus retravailler à vie, poursuit l'avocate. Il est d'ailleurs souvent bénéfique pour les gens de retravailler. » AXA va également demander une expertise du petit Gabriel, pour savoir quelles sont les éventuelles séquelles. Cette expertise doit-elle avoir lieu cette année ou quand il aura 5 ans ? Des débats décidément difficiles à vivre pour les membres de la famille victime, qui sont ressortis abattus de l'audience, criant leur écoeurement face à cette justice apparemment sans humanité. Le jugement sur les indemnités allouées doit être rendu le 6 avril.

 

Le Parisien 29 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

L'escroc au décodeur n'avait pas la télé

 

 

La petite entreprise de Mourad consistait à souscrire des dizaines d'abonnements au câble, sans jamais les payer. Une fois en possession du précieux terminal nécessaire pour recevoir les chaînes de télévision du monde entier, il ne restait plus qu'à l'expédier vers le Maghreb. L'opération lucrative aurait été renouvelée près de trois cents fois.

 

Mais, samedi, Mourad a vu son « business » mis à mal. Alertés par TPS, un des bouquets de chaînes satellites, principale victime de l'activité frauduleuse du jeune escroc, les vendeurs de l'enseigne Darty de Parly 2 ne se sont pas laissés berner. Rapidement interpellé, il a été placé en garde à vue au commissariat de Versailles. Les policiers ont alors compris que Mourad n'était pas un débutant.

 

Depuis l'été 2002 et sa sortie de prison après une condamnation pour escroquerie, le prévenu a commencé à s'abonner régulièrement au câble. « Il jonglait avec différents prénoms, noms et adresses, indique un proche du dossier. A chaque fois, il se faisait remettre un décodeur et disparaissait. » Les nombreuses lettres de relance pour impayés envoyées par TPS sont restées sans réponse. L'opérateur estime, aujourd'hui, avoir été victime à 275 reprises du même homme pour un préjudice total estimé à 105 000 €. « Lui, reconnaît avoir souscrit plusieurs abonnements mais pas autant, indique la même source. Ensuite, il a expliqué qu'il revendait le terminal une centaine d'euros avant qu'il soit expédié vers le Maghreb. » Quelques heures avant son arrestation, Mourad s'était rendu au centre commercial des Quatre-Temps à La Défense (Hauts-de-Seine) pour souscrire deux nouveaux abonnements. Détail cocasse : la perquisition de son appartement, situé dans le XIX e arrondissement parisien a permis aux policiers de constater que Mourad ne possédait pas de... télévision. Présenté, hier, à un juge d'instruction en charge d'une information judiciaire dans cette affaire, il a été mis en examen pour escroquerie en récidive puis écroué à Bois-d'Arcy

 

Le Parisien 29 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Canon hurleur pour l'Irak

 

Les soldats américains en Irak, ces veinards, vont bientôt pouvoir tester une nouvelle arme : le canon hurleur. Comme son nom l'indique, c'est un engin qui hurle. Il hurle même si fort que tout être vivant présent dans son rayon d'action n'a plus qu'une idée en tête : se barrer. Panique, nausées et perte de l'audition ­ même en se bouchant les oreilles ­ sont les effets généralement constatés lors de l'exposition prolongée. En cela, l'expérience semble comparable à celle que nous subîmes naguère lors des concerts de Grand Funk Railroad, groupe américain très mauvais et très bruyant qui traumatisa toute une génération (pourquoi pas une reformation pour un concert gratuit à Bagdad ?).

 

Le canon hurleur ne ressemble pas à un canon mais à une antenne satellitaire. Cette parabole de 80 cm de diamètre permet de diriger précisément le bruyant faisceau, qui porte à plus de 300 mètres. L'engin, baptisé Lrad (pour Long Range Acoustic Device), va servir à disperser les foules hostiles sans avoir à tirer dans le tas. Après avoir tué plus de 10 000 Irakiens, l'armée américaine semble s'être résolue à ne rendre les autres que sourdingues.

 

Quel bruit ça fait ? Genre alarme incendie, mais en bien plus fort, dans une gamme de fréquences où l'oreille humaine est très sensible (2 000 à 3 000 hertz). Manière de joindre l'utile au désagréable, l'antenne peut gueuler des messages. Un simple «CASSEZ-VOUS DE Là !!» serait redondant avec le niveau sonore. Les publicitaires de Bagdad pourraient-ils être intéressés ? Une campagne pour une Foire aux vins aurait un impact formidable si elle était diffusée à 145 décibels (puissance maximale du Lrad). Et cela viderait les rues tout aussi sûrement qu'une stridence monocorde.

 

Le fabricant du machin hurlant est une entreprise de San Diego, American Technology Corp. Dans son catalogue, elle vante le Lrad comme étant «the sound of force protection». Bientôt un disque ?

 

Libération 29 Mars 2004

 

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