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Société

Le Topic du Made In France


Invité §Jes257LV
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Messages recommandés

@§sup100qL

 

Il y aussi des Merco sous licence ;)

 

http://en.wikipedia.org/wiki/M [...] l_Vehicles

 

 

Et un autre qui fait de tout, des Peugeot aux Kia :o

 

http://en.wikipedia.org/wiki/A [...] n_Vehicles

 

 

Mais bon c'est clair qu'en dehors de la bagnole, de la sidérurgie et de la pharmaceutique sous marque générique, pas trop un pays de High Tech... les mecs formés sont parti en Arabie/USA/UK/Suede/Australie.

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Encore 217 usines fermées en France en 2014

 

 

Ces suppressions ne seraient pas dramatiques si une floraison d’autres usines apparaissait dans le même temps. Ce n’est pas le cas. En 2014, Trendeo a certes identifié 163 annonces de créations d’usines ou d’ateliers, un nombre en progression par rapport aux 122 de l’année précédente.

Mais « si les créations d’usines sont en hausse et les suppressions se réduisent, le rythme de cette évolution est encore insuffisant pour que le solde net devienne positif », constate David Cousquer, le fondateur de Trendeo.

Au total, l’Hexagone compte 54 sites industriels de moins qu’un an auparavant. Depuis 2009, ce qui correspond au début de la crise, environ 1 576 usines ont ainsi fermé leurs portes, tandis que 1 000 ont ouvert les leurs. Soit 576 sites en moins en six ans.

 

 

Ce déclin ne date pas de la faillite de Lehman Brothers. « La France est la grande perdante de l’industrie européenne depuis 1990 », soulignent les économistes Elie Cohen et Pierre-André Buigues dans leur livre Le Décrochage industriel (Fayard, 2014). Pour l’heure, aucun signe annonciateur d’un retournement de tendance n’est perceptible.

 

 

http://www.lemonde.fr/economie [...] xpjVC6D.99

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En parlant de MIF :o

 

 

[h1]La France va vendre 24 Rafale à l'Egypte... et lui en prêter trois[/h1]

 

Le quotidien « Les Echos » avait assuré vendredi que la vente portait sur 24 avions et une frégate multimission FREMM, pour un montant de 5 milliards d'euros. Selon « Le Canard enchaîné », l'accord comprendrait également un lot de missile, ce qui élèverait l'opération à 6 milliards d'euros, « entraînement des pilotes et fourniture de pièces détachées comprises ».

Si il y a prêt, c'est qu'il y a un besoin immédiat, non ? :??:

C'est quoi ce besoin ?

 

 

J'ai pas dit que c'était un succès, juste réagit à ça :

 

 

 

Et donc tu t'es trompé par 832 fois, c'est pas grave :o

 

 

 

C'est Jessie qui parle de M35, moi j'y connait rien, je sais juste que j'ai déjà vu une GS à rotor dans un musé, après moi les camionnettes et les trucs poussifs ça me passionne pas trop :D

Depuis quand une GS ressemble à une camionnette ? :o

 

Rien ne dis que ce sera du made in France, mais y'aura bien de la retombée je pense.. enfin j'éspère

 

Le fabricant français de câbles Nexans a remporté un contrat de 500 millions d'euros, son plus important à ce jour, pour des câbles d'énergie sous-marins qui raccorderont l'Allemagne à la Norvège, a-t-il indiqué aujourd'hui.

 

Ces câbles de 700 kilomètres de long permettront aux réseaux électriques norvégien et allemand de partager de "l'énergie verte directement pour la première fois", a précisé Nexans dans un communiqué. L'achèvement du projet est prévu en 2019.

700 bornes ? Purée, c'est en quelle tension ? :beuh:

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Invité §Fan163fv

Au fait, c'est quand que l'on passe au nouveau permis de conduire format carte d'identité ? :voyons:

Le mien, version carton grand format commence à partir en parchemin. :pfff:

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Au fait, c'est quand que l'on passe au nouveau permis de conduire format carte d'identité ? :voyons:

Le mien, version carton grand format commence à partir en parchemin. :pfff:

 

 

Je crois que c'est stopé ce processus, trop cher :o

 

 

Moi je préfère le papier rose :o

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Invité §Fan163fv

 

Je crois que c'est stopé ce processus, trop cher :o

 

 

Moi je préfère le papier rose :o

 

 

Mince.

En plus j'en ai marre de ma photo du siècle dernier avec la coupe Beatles et des lunettes pouraves. :(

Ca fait le bonheur de ma fille et ma femme pour me pourrir. fantasia.gif.1a5ffcdfe8c3039cb33de27b08c19328.gif

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Invité §Jes257LV

[h1]ÉCONOMIE Tourisme : la France pas vraiment au top :( [/h1]

[h2]Le titre honorifique de champion du monde pour l’accueil de visiteurs étrangers masque une réalité : le secteur ne crée pas la richesse et les emplois en adéquation avec son potentiel et ne se développe plus.[/h2]

 

La France, un champion endormi sur ses lauriers : voilà les conclusions qui se dégagent du bilan 2014 de l’Alliance 46.2 auprès de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), organisme dépendant de l’ONU.

 

 

[h4]Pas de progression[/h4]

L’Hexagone et ses DOM ont accueilli 84,7 millions de touristes internationaux en 2014, soit autant qu’en 2013. Ce défaut de croissance est inédit depuis six ans. Certes, le ministère du Tourisme juge ces chiffres pas définitifs et refuse de tirer de conclusions. Mais l’Alliance 46.2 relève : « Sur dix ans, la croissance des arrivées de touristes étrangers en France a été la plus faible parmi les dix premières destinations mondiales ». La France affiche ainsi 13 % de progression de 2005 à 2014, contre + 53 % pour l’Allemagne, + 32 % pour l’Italie ou +27 % pour l’Espagne (+ 47% pour la Turquie).[h4]Pas assez de chiffre d’affaires[/h4]

La France enregistre 84 millions de touristes pour 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires, l’Espagne 61 millions pour 61 milliards. En France un touriste génère 647 € de retombées économiques, en Allemagne 1 241. « Si on faisait aussi bien on dégagerait près de 50 milliards d’euros en plus par an. Traduisez cela en emplois ! La vraie marge de progression, ce sont les retombées. Pourtant le luxe, les tables étoilées, le patrimoine incomparable, les voyages d’affaires c’est chez qui ? » grince Jean-Pierre Nadir, PDG du site internet Easyvoyage.com. L’effectif de l’industrie touristique progresse de 3,2 % par an en Allemagne, 2 % en Italie et en Espagne, de 0,1% en France.[h4]Pourquoi on n’avance plus[/h4]

Pas assez compétitifs, répondent les observateurs : « Du fait des taxes, des coûts du foncier et des charges de personnel, l’hôtellerie est trop chère. Une nuitée 4 ou 5 étoiles en Espagne, à qualité de service égal revient 15 % moins cher. On retrouve cet écart sur toute la gamme. Résultat, à budget égal, le visiteur va rester une ou deux nuits de plus », constate Jean-Pierre Nadir, regrettant que l’ouverture du nombre de chambres d’hôtels stagne. En revanche, la France rattrape les États-Unis et l’Allemagne pour l’hébergement chez des particuliers via des sites internet participatifs, forme d’hébergement de plus en plus prisée.

 

 

Les professionnels de province déplorent aussi ce qu’ils baptisent le tourisme « Disney-Tour Eiffel ». Il représente 15 millions de visiteurs qui restent à Paris au mieux 48 heures chrono. « Barcelone organise des programmes de quatre jours et redistribue ses visiteurs sur un gros quart du pays » compare le cabinet Xerfi. Trop parisien notre tourisme international ?

Beaucoup de professionnels notamment sur la façade atlantique, en Languedoc ou en Corse se reposent sur les touristes… français.

 

 

 

Ainsi, contrairement à la Grèce ou à l’Espagne, la France n’a pas bénéficié du transfert de touristes qui ont délaissé l’Afrique du nord depuis quatre ans. « Sauf de la part des Alpes et de Paris, les opérations marketing et les stratégies tarifaires vers l’étranger sont moins agressives que celles des Espagnols, des Turcs ou même des Hongrois. La province se dispute la clientèle francilienne ou lyonnaise avant d’attaquer l’international. Dans beaucoup de campings par exemple, l’ambiance reste franco-française alors que d’autres pays ont adopté des standards internationaux », observe le cabinet Protourisme.[h4]Quelle riposte ?[/h4]

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a érigé le tourisme en « cause nationale » depuis un an pour atteindre le cap de 100 millions de visiteurs étrangers par an : ouverture des commerces le soir et les dimanches en zone touristique, opérations autour de la gastronomie, renforcement de la sécurité sur les zones très fréquentées, regroupement de professionnels pour la promotion internationale, mobilisation des ambassades… L’effort est sans précédent.

 

 

(ER)

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[h1]ÉCONOMIE Tourisme : la France pas vraiment au top :( [/h1]

[h2]Le titre honorifique de champion du monde pour l’accueil de visiteurs étrangers masque une réalité : le secteur ne crée pas la richesse et les emplois en adéquation avec son potentiel et ne se développe plus.[/h2]

 

La France, un champion endormi sur ses lauriers : voilà les conclusions qui se dégagent du bilan 2014 de l’Alliance 46.2 auprès de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), organisme dépendant de l’ONU.

 

 

[h4]Pas de progression[/h4]

L’Hexagone et ses DOM ont accueilli 84,7 millions de touristes internationaux en 2014, soit autant qu’en 2013. Ce défaut de croissance est inédit depuis six ans. Certes, le ministère du Tourisme juge ces chiffres pas définitifs et refuse de tirer de conclusions. Mais l’Alliance 46.2 relève : « Sur dix ans, la croissance des arrivées de touristes étrangers en France a été la plus faible parmi les dix premières destinations mondiales ». La France affiche ainsi 13 % de progression de 2005 à 2014, contre + 53 % pour l’Allemagne, + 32 % pour l’Italie ou +27 % pour l’Espagne (+ 47% pour la Turquie).[h4]Pas assez de chiffre d’affaires[/h4]

La France enregistre 84 millions de touristes pour 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires, l’Espagne 61 millions pour 61 milliards. En France un touriste génère 647 € de retombées économiques, en Allemagne 1 241. « Si on faisait aussi bien on dégagerait près de 50 milliards d’euros en plus par an. Traduisez cela en emplois ! La vraie marge de progression, ce sont les retombées. Pourtant le luxe, les tables étoilées, le patrimoine incomparable, les voyages d’affaires c’est chez qui ? » grince Jean-Pierre Nadir, PDG du site internet Easyvoyage.com. L’effectif de l’industrie touristique progresse de 3,2 % par an en Allemagne, 2 % en Italie et en Espagne, de 0,1% en France.[h4]Pourquoi on n’avance plus[/h4]

Pas assez compétitifs, répondent les observateurs : « Du fait des taxes, des coûts du foncier et des charges de personnel, l’hôtellerie est trop chère. Une nuitée 4 ou 5 étoiles en Espagne, à qualité de service égal revient 15 % moins cher. On retrouve cet écart sur toute la gamme. Résultat, à budget égal, le visiteur va rester une ou deux nuits de plus », constate Jean-Pierre Nadir, regrettant que l’ouverture du nombre de chambres d’hôtels stagne. En revanche, la France rattrape les États-Unis et l’Allemagne pour l’hébergement chez des particuliers via des sites internet participatifs, forme d’hébergement de plus en plus prisée.

 

 

Les professionnels de province déplorent aussi ce qu’ils baptisent le tourisme « Disney-Tour Eiffel ». Il représente 15 millions de visiteurs qui restent à Paris au mieux 48 heures chrono. « Barcelone organise des programmes de quatre jours et redistribue ses visiteurs sur un gros quart du pays » compare le cabinet Xerfi. Trop parisien notre tourisme international ?

Beaucoup de professionnels notamment sur la façade atlantique, en Languedoc ou en Corse se reposent sur les touristes… français.

 

 

 

Ainsi, contrairement à la Grèce ou à l’Espagne, la France n’a pas bénéficié du transfert de touristes qui ont délaissé l’Afrique du nord depuis quatre ans. « Sauf de la part des Alpes et de Paris, les opérations marketing et les stratégies tarifaires vers l’étranger sont moins agressives que celles des Espagnols, des Turcs ou même des Hongrois. La province se dispute la clientèle francilienne ou lyonnaise avant d’attaquer l’international. Dans beaucoup de campings par exemple, l’ambiance reste franco-française alors que d’autres pays ont adopté des standards internationaux », observe le cabinet Protourisme.[h4]Quelle riposte ?[/h4]

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a érigé le tourisme en « cause nationale » depuis un an pour atteindre le cap de 100 millions de visiteurs étrangers par an : ouverture des commerces le soir et les dimanches en zone touristique, opérations autour de la gastronomie, renforcement de la sécurité sur les zones très fréquentées, regroupement de professionnels pour la promotion internationale, mobilisation des ambassades… L’effort est sans précédent.

 

 

(ER)

 

 

 

Tiens, on se rend compte que notre pays est cher et pas forcement adaptés aux touristes à budget classiques :??: Comment ça, on aurait privilégié le développement du riche Chinois ou du riche Russe en oubliant le jeune Belge ou le couple de la classe moyenne Italienne :??:

 

 

Grande nouvelle... y'a qu'a voir le prix et la densité des auberges de jeunesse en France.

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Invité §Jes257LV

[h1]Divacore, l’enceinte du Messin classée N°1 :bien: [/h1]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/C1DAFE5C-82B6-4F5E-B88B-B050F14B909F/LRL_v0_03/le-messin-david-grasso-a-imagine-cette-petite-enceinte-nomade-placee-par-une-revue-professionnelle-en-tete-de-toutes-les-marques-du-marche-photo-pascal-brocard.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Messin David Grasso a imaginé cette petite enceinte nomade, placée par une revue professionnelle en tête de toutes les marques du marché. Photo Pascal BROCARD http://www.republicain-lorrain.fr/files/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png[h2]Il y a des succès à souligner, des risques qui payent et des histoires à raconter. Comme celle de David Grasso, contacté par la BPI suite à l’article paru dans nos colonnes. Dix-huit mois après, retour sur des boîtes prometteuses.[/h2]

 

 

 

 

L’article était paru le 28 novembre 2013. David Grasso, fondateur de Divacore à Metz, y expliquait sa démarche : fabriquer des enceintes nomades à la pointe de la qualité et à petit prix. Pour ça, l’ingénieur de formation, musicien de passion se devait de passer par la Chine. Le bench-marking, « regarder ce que font les meilleurs, trier et améliorer », ne lui pose aucun problème. Sauf que Divacore ne rentrait pas dans la case « innovation », que les banquiers ne misaient plus un centime sur son activité et que les nouveaux produits qu’il avait en tête ne pouvaient pas être développés. « Suite à l’article paru dans votre journal, se souvient David Grasso, la BPI (banque publique d’investissement) m’a contacté. » Le projet et la force du trentenaire l’ont convaincue. « Je pouvais obtenir un prêt participatif si moi, de mon côté, je ramenais des investisseurs privés. »

 

David abandonne un temps l’électronique pour se reconcentrer sur son business plan. « Pour le crédibiliser, je suis allé chez un expert-comptable, KPMG pour ne pas le nommer. » Et là, un responsable a été séduit. « Maurice Trap a ramené d’autres investisseurs et les fonds ont pu être levés cet été : 300 000 € au total. »[h4]Casquette connectée et hifi sans fil[/h4]

Son nouveau modèle d’enceinte nomade, Ktulu II, est amélioré par rapport à la précédente. Un peu plus grande, avec des basses très performantes et une autonomie de 40 heures. « J’ai changé de fabricant en Chine, et je peux me permettre plus d’exigences. Opération payante puisque le Messin, qui a pu embaucher Jérémy Obriot, le désigner-ingénieur audio de la société, a eu droit aux honneurs du magazine 01 Net. Le spécialiste des objets connectés a classé son enceinte meilleure de sa catégorie. Il y a dix-huit mois, Ktulu I s’était déjà payé le luxe de devancer ses concurrents Sony ou Bose, « mais là, nous sommes 1er devant 130 enceintes de ce type sur le marché ». Et d’autres produits doivent sortir au deuxième trimestre. Une casquette connectée avec son casque de moins de 14 g et une autonomie de douze heures.

 

Mais le gros coup, ce sont les enceintes multiroom. « On est dix, quinze maximum sur ce marché. » Des enceintes hifi sans fil qui passent par la box de la maison, « le signal traverse les gros murs ou les étages et peut aller très loin, jusqu’au fond du jardin ». Le nombre d’enceintes peut être illimité et chacune ne dépasse pas la taille d’un livre ! Avec une batterie et un réseau 3G, le système peut même se téléporter au cœur d’une forêt ! Avec cette nouvelle forme de hifi, David Grasso sait qu’il passe sur un autre type de marché. Bien plus gros. « Mon but, c’est d’entrer dans la délégation French Tech et participer l’an prochain au salon CES de Las Vegas. » Jusqu’à présent, tout ce dont rêve David se réalise.

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Invité §Jes257LV

 

 

Tiens, on se rend compte que notre pays est cher et pas forcement adaptés aux touristes à budget classiques :??: Comment ça, on aurait privilégié le développement du riche Chinois ou du riche Russe en oubliant le jeune Belge ou le couple de la classe moyenne Italienne :??:

 

 

Grande nouvelle... y'a qu'a voir le prix et la densité des auberges de jeunesse en France.

:jap:

 

Attend, j'ai encore des chiffres pour toi 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif

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Invité §Jes257LV

[h1]PSA va mieux mais reste le constructeur le moins rentable

[/h1]

[h2]Le fabricant des Peugeot, Citroën et DS a vu ses résultats opérationnels sortir du rouge. Carlos Tavares, son président, réalise un remarquable redressement. Mais la firme reste très, très peu rentable.[/h2]

 

Carlos Tavares a gagné son pari… du moins en 2014. Au bord de la faillite il y a deux ans, recapitalisé début 2014 in extremis avec l'entrée de l'Etat français et du chinois Dongfeng qui ont 14% de son capital chacun, PSA Peugeot Citroën est sorti du rouge. Le président du constructeur tricolore peut s'enorgueillir d'un résultat opérationnel courant de 905 millions d’euros et d'une marge de 1,7%. Pas mal, alors que le groupe avait encore perdu 364 millions l’année précédente.

 

 

Les seules activités automobiles ont même dégagé un petit profit opérationnel de 366 millions, contre 880 millions de perte précédemment. Le flux de trésorerie des activités industrielles et commerciales était pour sa part positif de 1,79 milliard. Le résultat net (part du groupe) demeure toutefois négatif de 706 millions (part du groupe). Mais c’est une sacrée diminution. La perte nette se montait à 2,32 milliards en 2013. "PSA est désormais une entreprise désendettée. Elle n’a plus de problèmes de liquidités", assurait mercredi l’ex-bras droit de Carlos Ghosn chez Renault, en présentant le bilan financier 2014 de PSA.

 

 

 

L’autre co-entreprise de PSA dans l’ex-Empire du milieu, CAPSA avec le groupe Changan, était encore "en légère perte". Il est vrai qu’elle démarre. Problème : il y a encore deux régions dans le monde qui, chez PSA, continuent à perdre de l’argent : l’Amérique latine et l’Eurasie avec surtout la Russie, deux zone en crise profonde. Mais "les pertes y sont divisées par deux et elles le seront encore en 2015", indique le Directeur financier.[h4]Beau redressement en Europe[/h4]

La performance en Europe est d’autant plus remarquable que le groupe y avait perdu de l’argent en 2008 et 2009, puis entre 2011 et 2013. Comment PSA, au bord de la faillite il y a peu, est-il parvenu à ce redressement sur le Vieux continent ? La petite reprise du marché et le succès de certains modèles comme la Peugeot 308 compacte, élue "Voiture de l’année" l’an passé, ont aidé. Mais ce sont essentiellement les efforts internes qui payent. "Nous avons abaissé le point mort de 500.000 véhicules l’an dernier, hors Chine, à 2,1 million d’unités (et) réduit le prix de revient en fabrication de 730 euros par véhicule par rapport à 2012", affirme Carlos Tavares.

 

 

"L’entreprise est plus maigre et efficace", avec un rapport coûts salariaux sur chiffre d’affaires en recul à 13,4% l’année dernière, contre 14,5% un an auparavant. C’est l’outil industriel européen qui a subi une profonde mutation, aiguillonné il est vrai par une augmentation du taux d’utilisation des sites industriels sur le Vieux continent, passé en un an de 72% à 79%. Carlos Tavares a, du coup, fixé un nouveau défi :"réduire le prix de revient en fabrication de 500 euros par véhicule entre 2015 et 2018".[h4]Encore du pain sur la planche[/h4]

Il y a urgence. Car, malgré des résultats encourageants, les profits opérationnels de PSA demeurent très faibles dans l’absolu. Le groupe français est même probablement le grand constructeur automobile le moins rentable du monde ! Une première place dont il se passerait volontiers. Carlos Tavares en est conscient. "Il y a un problème de rendement", a-t-il concédé.

"Il faut améliorer l’efficacité de la société. Il y a encore un gros potentiel d’amélioration", soulignait-il.

 

Il a du coup réitéré ses objectifs d'une "marge opérationnelle de 2% (hors Chine) en 2018 pour la division automobile". Mais, même à 2%, PSA serait encore parmi les moins profitables... Carlos Tavares a cependant une "cible de 5% sur la période 2019-2023". Un objectif encore très, très prudent.

 

 

"L’Europe et la Chine sont les deux moteurs de la croissance rentable", a martelé le dirigeant. La Chine, notamment, pèse pour "un gros tiers dans les profits du groupe". La co-entreprise commune de PSA en Chine avec Dongfeng, DPCA, "génère une marge de 7,5% avec un bénéfice opérationnel de 651 millions d’euros l’an passé. Un résultat record", précise pour sa part Jean-Baptiste de Chatillon, Directeur financier de l’entreprise. Ce qui, soit dit en passant, est une goutte d’eau… par rapport aux immenses profits des deux co-entreprises de Volkswagen en Chine !

 

 

 

(Challenge)

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Mon dieu, les 2 constructeurs Francais aux mains d'un Portugais et d'un Brésilo-Libanais alej0x666.gif.30ae6031dc0966615980601f0233f926.gif

 

 

Tant mieux que cela reparte un peu, j'ai toujours eu de la tristesse que PSA se casse autant laggle malgré une belle part de production en France justement...

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Invité §Jes257LV

Mon dieu, les 2 constructeurs Francais aux mains d'un Portugais et d'un Brésilo-Libanais alej0x666.gif.30ae6031dc0966615980601f0233f926.gif

 

 

Tant mieux que cela reparte un peu, j'ai toujours eu de la tristesse que PSA se casse autant laggle malgré une belle part de production en France justement...

 

Chez moi il se murmure parmi le personnel de PSA que la direction mettrait en concurrence le site de Tremery et un autre site en Espagne pour la fabrication du nouveau 3 cylindres essence...

 

 

http://www.lesechos.fr/industr [...] 074512.php

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Invité §Jes257LV

C'est pas neuf, j'avais eu cette information y'a quelques semaines, mais il me semblait que ca parlait de Slovaquie

 

Pareil avec Renault entre Cléon et Valladolid

 

Les syndicats ont tractés la semaine dernière au entrés et aux sorties de postes alex883.gif.531e2d4250446f8f44de4726822e9af8.gif

 

Pas de fumée sans feu :jap:

 

Ce serait 256 suppressions d'emploi pour Tremery :(

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Je crois que c'est stopé ce processus, trop cher :o

Moi je préfère le papier rose :o

 

 

Mince.

En plus j'en ai marre de ma photo du siècle dernier avec la coupe Beatles et des lunettes pouraves. :(

Ca fait le bonheur de ma fille et ma femme pour me pourrir. fantasia.gif.1a5ffcdfe8c3039cb33de27b08c19328.gif

 

 

Le nouveau format arrive, par contre ce qui a été viré à cause du prix c'est la puce électronique dedans, le reste dont le nouveau format c'est bon c'est définitif :)

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Invité §dow743BW

vas y... j'adore mon pays mais je suis dépité par son accueil, particulièrement envers les touristes jeunes (qui seront les adultes de demain..)

 

 

 

Ca me rappelle une visite scolaire au Louvres. On se faisait griller à l'entrée par tous les groupes asiatiques et on a attendu un bon moment. Nos encadrants ont fait la remarque aux filles de l'accueil qui ont répondu devant nous: "eux, ils payent, vous pas, donc vous attendrez". :buzz:

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Invité §Jes257LV

[h1]Un an après L’incroyable success story des langues sous hypnose :bien: [/h1]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/0E639055-08F6-40F0-8F6E-9698CEEF4154/LRL_v0_03/pascal-dilly-a-fait-de-son-nom-une-marque-et-reflechit-sur-les-possibilites-techniques-et-juridiques-d-une-franchise-de-languesoushypnose-en-un-an-a-metz-son-activite-a-litteralement-explose-avec-plus-de-cinq-cents-personnes-formees-photo-antony-picore.jpg

[h2]Incroyable succès que Languesoushypnose de Pascal Dilly. En un an, son chiffre d’affaires a explosé, ses locaux ont doublé de surface pour accueillir des clients du monde entier. La question d’une franchise est même à l’étude.[/h2]

 

 

 

L’article est paru dans nos colonnes le 4 février 2014.

 

 

Le jour même, l’info était reprise par une radio nationale, puis, ce fut un raz de marée médiatique ! Journaux, radios, télévisions, partout Languesoushypnoses de Pascal Dilly, le Messin, a fait le buzz.

 

Depuis, l’entreprise n’a cessé de se développer. Hypnothérapeute, Pascal Dilly pratique les langues sous hypnose depuis une vingtaine d’années. Mais la société a été créée il y a un peu plus d’un an. « En janvier 2014, nous enregistrions 20 000 € de chiffre d’affaires. Un mois plus tard, après l’article, nous étions à 175 000 €! Sans savoir si ça allait être un feu de paille ou pas. » Depuis, 140 à 150 000 € rentrent chaque mois dans les caisses de la société. « Notre business plan prévoyait 700 000 €. On a clos 2014 à 1,2M€. »

 

 

Le développement était enclenché. Embauche d’une secrétaire, doublement de la surface des bureaux messins, recrutement de professeurs. De quatre au départ, les voilà une cinquantaine. « Ils sont vacataires. Certains interviennent presque à temps plein, d’autres quelques heures. » La demande concerne aux trois-quarts l’anglais, mais toutes les langues sont concernées : allemand, japonais, chinois, luxembourgois, hébreux, arabe, néerlandais, russe… « Il n’y a que les profs de thaï que je n’arrive pas à trouver. » Pascal Dilly ne s’intéresse pas au thaï par hasard, ses deux fils résident à Bangkok.

 

 

Même le site e-learning sous hypnose est en constante progression : 300 à 400 consultations journalières avec des pointes à 500 les mercredis. L’anglais, et très récemment l’espagnol, peuvent être téléchargés. « Au départ, j’avais investi 70 000 € dans le site. Cette année, j’ai réinjecté 100 000 € pour l’aménagement des locaux, l’achat de matériel et casques… »

En un an, cinq cents personnes environ ont été formées à Metz (90€ l’heure de cours). « En majorité des professionnels ; chefs d’entreprises, cadres, banquiers. » Mais aussi des étudiants en période d’examens ou retraités qui voyagent. « Les gens viennent de la planète entière », sourit Pascal Dilly qui a fait de son nom une marque déposée. De la Guyanne, du Togo, des Emirats-Arabes-Unis. Italiens et Suisses sont nombreux. « Une chanteuse lyrique est spécialement venue de Russie pour apprendre le français. »[h4]Impulsion au cerveau[/h4]

Katia, une Suisse, avait suivi une session intensive de quatre jours en russe il y a tout juste un an. « Depuis, du fait de ma grossesse et la naissance de mon bébé, je ne m’y suis pas consacrée comme je l’aurais voulu. Mais lorsque j’entends parler russe, je capte les mots naturellement, des expressions me viennent facilement. Ces séances ont servi d’amorçage et me permettent de me faire comprendre de façon basique. » Si l’hypnose accentue la concentration, aide à l’apprentissage et l’intégration de la musicalité de la langue, elle n’a rien de magique ou miraculeux. « C’est une impulsion qui est donnée au cerveau, Une zone spécifique est activée. La personne ne dort pas, sa collaboration est nécessaire pour travailler. » Et comme la prose, ce travail se fait sans en avoir l’air. Une technique en totale rupture avec les cours classiques. Si bien que Pascal Dilly est pressé par des Suisses, Canadiens, Parisiens pour ouvrir des franchises. « J’étudie les possibilités, je réfléchis sur les aspects techniques et juridiques. »

 

 

 

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Invité §Jes257LV

[h1]Rafale made in Meuse[/h1][h2]Au cœur de la Meuse, Réalméca produit des éléments électroniques majeurs de l’avion de combat de Dassault : antenne active du radar, vision, système de protection et tête de missiles.[/h2]

http://s-www.estrepublicain.fr/images/EE23573E-24C9-4381-857C-94D02EC39568/LER_15/l-antenne-active-est-l-un-des-quatre-equipements-complexes-et-electroniques-concus-de-toutes-pieces-par-realmeca-photo-dr.jpg

 

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http://s-www.estrepublicain.fr/images/1FF217FA-B5D7-481A-BA88-39E91929E3E3/LER_15/a-bordeaux-merignac-les-salaries-de-dassault-assemblent-le-rafale-dans-le-nez-l-antenne-active-du-radar-fabriquee-a-realmeca-photo-dassault-aviation-s-rande.jpg

 

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Le contrat que l’on n’attendait plus. Après des échecs multiples et alors que des négociations sont en cours avec l’Inde, le Qatar ou l’Arabie Saoudite, l’Égypte est depuis lundi le premier pays d’exportation du Rafale. Sourires et espoirs pour les 500 entreprises du Team Rafale. Dont Réalméca, une PME nichée dans l’Argonne (Meuse) qui produit une dizaine de pièces électroniques majeures de l’avion de Dassault.

 

« Ce contrat de 24 unités rallonge de plus de deux ans notre carnet de commande, jusqu’en 2019. 11 avions sortent chaque année des lignes de montage de Dassault Aviation à Bordeaux Mérignac. Une partie rejoindra désormais l’Égypte », explique Jean Friess, PDG de Réalméca qu’il a fondé en 1962 et qu’il dirige avec son fils Bertrand et Bruno Gailly.

 

 

Le Rafale est un mécano complexe avec des pièces fabriquées par des PME dans toute la France pour Dassault ou ses deux grands partenaires, Safran (en charge des réacteurs et de la propulsion) et Thalès (avionique). Réalméca (135 personnes, 25 M€ de CA) réalise quatre éléments stratégiques du Rafale pour Thales et Sagem qui y ajoutent les cartes mères de commande. Les contre-mesures du système Spectra réparties dans plusieurs endroits et assurant la protection de l’avion par un système de brouillage.

 

L’optronique, avec son antenne bulle devant le cockpit, donne la vision de jour comme de nuit au Rafale. Mais aussi l’antenne active du radar, le point fort de l’avion. « Seuls les États-Unis et la France possèdent cette technologie. Le plateau du radar ne bouge plus et chaque module fixé dessus balaye le terrain et transmet des informations plus fiables et plus précises. La première livraison a été effectuée en 2013.

 

En amont, nous avons participé au prototype, au design de pièces mécaniques et à l’industrialisation », explique Bruno Gailly. Le quatrième équipement, pas intégré dans le Rafale, n’en est pas moins important : la tête chercheuse du missile Mica (air-air) placé aux bouts des ailes. Réalméca, qui réalise le même équipement pour le missile Exocet (pour MBDA), fabrique l’autodirecteur avec un radar, élément essentiel d’efficacité du missile, les fusées détectrices de cible pour déclencher l’explosion et la partie du corps où se placent les cartes de Sagem.

Pour Sagem et MBDA, comme pour Thales, Réalméca est plus qu’un simple sous-traitant. « Depuis 1978, pour Électroniques Marcel Dassault, nous avons diversifié notre activité, les machines-outils de précision, avec un secteur dédié à l’électronique de défense.

 

On a commencé par des pièces mécaniques puis on nous a confié davantage de produits et enfin la maîtrise de la chaîne de fabrication. Devenus intégrateurs d’ensemble technologiques complexes, on gère une pièce du début à la fin comme l‘antenne active du Rafale.

 

On est fournisseur de rang 1 de Thalès », souligne Jean Friess. Collaborant avec Thales dès la planche à dessin au bureau d’étude, Réalméca mène le processus selon sept étapes : la maîtrise des achats et la gestion du stock avec la nécessité de pouvoir disposer des composants pendant 20 à 30 ans, l’usinage des pièces mécaniques, l’intégration qui consiste à assembler et construire une pièce (câblage, carte électronique, pièces mécaniques, soudures, connectivité), les tests (électriques, électroniques, mécaniques, fonctionnels et hyperfréquences) et les contrôles (traçabilité et mise en condition opérationnelle selon les contraintes liées à l’aéronautique et à la défense) et la maintenance.

 

 

« Intégrateur signifie être associé du début à la fin mais aussi être comptable et responsable de la pièce que nous livrons et donc de la qualité équipements produits par nous ou fournis par les sous-traitants que nous choisissons. Cela illustre l’importance de notre maturité. Un quart de la valeur ajoutée de Réalméca, c’est notre capacité de tests. L’antenne active est contrôlée et testées pendant deux jours », détaille Bruno Gailly. Avec Jean et Bertrand Friess, il s’appuie sur du personnel formé en interne et polyvalent. Des équipes ambitieuses et dimensionnées pour accueillir de nouvelles commandes à l’export. Dans le Team Dassault, l’optimisme est désormais de mise.

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Une mayonnaise Amora (Unilever) made in France

 

 

Une bouteille de Bordeaux rouge made in Omet (33)

 

 

Une bière du Vexin made in Vexin (95) => trop cher [:t-ny r' lucifer:18]

 

 

Des fromages made in Picardie & Franche Comté

 

 

2 bières allemandes dans un avion (Made in Germany, dans la ville de Warstein, brasserie indépendante !!)

 

 

Un Kebab avec du pain fait sur place et de la viande made in Germany

 

 

Un livre sur une chef d'oeuvre du patrimoine industriel français.... made in China [:d'octobre 93:11]

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Invité §Fan163fv

 

Un livre sur une chef d'oeuvre du patrimoine industriel français.... made in China [:d'octobre 93:11]

 

Paresse intellectuelle ©

;)

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Invité §Fan163fv

C'est quand même extraordinaire d'en arriver à devoir autopsier la provenance d'un livre en français et sur le patrimoine français. :sic:

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Un paquet de madeleines made in France.

 

 

Sinon un max de produits européens et surtout allemands.

 

 

Juste un écart sur ma tentative que consommer du continent.. je voulais vraiment des légumes verts frais... donc des haricots verts et des haricots frais du... Kenya [:jµjµ25]

 

 

 

Du Kenya à l’assiette, le parcours pas si vert des haricots

 

 

http://s2.lemde.fr/image/2015/02/20/534x0/4580826_6_c371_des-femmes-sement-des-graines-de-haricots_024e2300dcf5b83f66062ba9d499ff1d.jpg

 

 

http://s1.lemde.fr/image/2015/02/20/534x0/4580817_6_9c2a_une-salariee-doit-peser-chaque-sac-de-haricots_42805a714a2c664fda9473a0a4f9f414.jpg

 

http://www.lemonde.fr/planete/ [...] _3244.html

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C'est quand même extraordinaire d'en arriver à devoir autopsier la provenance d'un livre en français et sur le patrimoine français. :sic:

 

 

Bah pas forcement, nos voisins Italiens et Allemands ont toujours été très forts sur l'imprimerie, et je ne recherchait pas vraiment un "made in France" mais au moins un "made in western Europe"

 

 

Made in China.. Vlan !

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News cehez Citron e pour le 78 :jap:

 

 

 

La voiture n’a pas encore de nom, mais PSA Peugeot Citroën a confirmé lundi 23 février un investissement de 150 millions d'euros et l'attribution d'un nouveau véhicule compact premium à l'usine de Poissy (Yvelines).

Reuters avait rapporté ces informations en décembre de source syndicale.

Ce nouveau véhicule premium compact « doit plus particulièrement contribuer au développement de la marque DS », dont il complétera l'offre sur ce segment aux côtés de DS3, précise PSA dans un communiqué.[h2]Citadines haut de gamme[/h2]

La production du nouveau véhicule, qui pourrait être un SUV prêt à concurrencer le 2008 de Peugeot ou le Captur de Renault s'effectuera sur une nouvelle plate-forme dont Poissy sera le site lanceur. Un investissement de plus 150 millions d'euros y est associé, ajoute PSA. Le groupe veut moderniser son usine de Poissy et la spécialiser dans la production des citadines haut de gamme.

« Nous sommes dans une dynamique positive », se félicitait, dans un entretien au Monde du 18 février, Carlos Tavares, le président du directoire du groupe PSA depuis début 2014. « Nous avons dépassé les 2 milliards d’euros de flux de trésorerie sur un an au lieu de trois ans comme prévu. Et nous nous sommes complètement désendettés. Maintenant, nous devons nous atteler à l’amélioration de l’efficience de la division automobile », ajoute-t-il, précisant que le groupe vise désormais « une marge opérationnelle de 2 %, contre 0 à 0,1 % en 2014. »

 

Dans le cadre de son accord de compétitivité signé en 2013, PSA a pris l'engagement d'annoncer sur la période 2014-2016 le lancement d'au moins un modèle dans chacune des usines d'assemblage du groupe en France.

http://www.lemonde.fr/economie [...] OFfUVFT.99

 

 

Néanmoins l'article est incomplet et ne parle pas du transfert prévu de la DS3 en Slovaquie, au moins pour les versions basiques

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