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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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et moi aussi,"ah"..

 

-pour la lunette arriére,je ne vois pas de différence.

j'ai l'impression que c'est le même trou.

 

-mais pour tout le reste,oui..

 

peut-on en déduire que....c'est la même voiture,mais qui a été tellement changée de piéces,transformée,

(voir la photo 3/4 avant DNM41)

que la derniére réfection/restauration donne un résultat différent pour la plupart des piéces?

 

pour bien compre,ndre..

elle a été immatriculée,entre AVANT et MAINTENANT,en plusieurs immatriculations,plusieurs propriétaires,et..à chaque fois une restauration,ou des modifications..

(il y a au moins trois sortes d'ailes arriéres..)

 

et en voyant la photo "DNM41",je comprends que la derniére restauration est différente des premiéres photos.

TOUT a été repris,refait,sauf la "caisse".

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Invité §bug337la

L'énigme ‘57547’, ‘44480’, 57432 par Kees Jansen.

 

http://i55.servimg.com/u/f55/09/03/35/48/the_en10.jpg

 

 

Introduction:

Il y a eu une polémique et un mystère considérable au sujet des identités des plusieurs Bugattis, de Rudi Cloos, un industriel riche et fervent de Bugatti au Luxembourg. L'une d'elle, l'Atalante est maintenant identifié par Pierre Yves Laugier en tant que 57432 mais qui a été connu pendant longtemps en tant que 57547. Une deuxième est un type 57 Ventoux de Bugatti, qui est enregistré avec le châssis le numéro 44480 depuis les années '50 ; le vrai 44480 semble exister quelque part en Italie, mais doit toujours avoir une autre identité.

Les Faits:

Juste avant le commencement de la guerre, Arthur Thill, un architecte du Luxembourg, se rendant à l'usine Bugatti avec son ami le Dr. Last de la Haye. Dr. Last était le propriétaire d'un GP, un type 35 châssis numéro 4490 qu'il avait acheté directement à l'usine. Pendant cette visite Arthur Thill a acheté un châssis (roulant) non-numéroté. Le moteur était numéroté 547, ainsi probablement d'autres pièces, mais le numéro de châssis qui normalement est donné seulement au tout dernier moment, juste avant que voiture ait quitté l'usine n'a pas été fourni dans ce cas-ci. C'est la raison pour laquelle le chassis est inconnu avec le moteur 547 toujours dans l'inventaire de l'usine de Bugatti juste avant la manifestation de WW II, quand Ettore avait décidé de déplacer l'usine au Bordeaux. La raison de ceci était qu'il s'est attendu à ce que les Allemands occupent l'Alsace, où Molsheim est localisé, et a espéré que le reste de la France, y compris la région de Bordeaux, serait épargné de l'invasion allemande.

Il n'est pas sûr que le châssis roulant ait été transporté à Bordeaux et acheté là, mais il est probable qu'Arthur Thill ait acheté le châssis juste avant d'être transporté comme il a énoncé à son frère qu'il avait fait le déplacement à Molsheim. Tout doit avoir été fait hativement, car l'usine n'a pas donné de numéro de châssis. Pendant la guerre Thill a décidé de cacher le châssis de roulement dans l'atelier R. Lecorsais, rue Goethe, la ville du Luxembourg et plus tard à Limpertsberg.

La voiture a survécu à la guerre et a été enregistrée après la guerre en tant que 547, qui était vraisemblablement le numéro de châssis car le numéro 547 a été embouti sur le moteur. Il a été enregistré en tant que tels le 5 juin 1947 et le châssis de roulement avec les portes provisoires a été immatriculé 5289 (L). La voiture dans cette condition a été acheté achetée par Rudi Cloos.

Cloos a eu beaucoup Bugattis. L'une d'entre elles était un Atalante ouvert 57432 qu'il a acheté en 1947 sans papiers et qu'il s'est vendu en 1951 à Albert de Lay, un architecte qui plus tard s'est déplacée au Congo Belge. Cloos avait commandé la production d'un Atalante fermé au carrossier Jos Metz, dans le garage Loll Lambert, boulevard Grande-Duchesse Charlotte, Luxembourg (2)

Ensuite après avoir réalisé l'Atalante fermé, il a été enregistré au Luxembourg en tant que 547, selon les papiers de Thill. Plus tard il a été enregistré en tant que 57547. Par ailleurs, le vrai 57547 est un Ventoux, qui existe toujours en France.

Les papiers ont en fait appartenu au châssis roulant qui pendant le même temps reçu une carrosserie de Ventoux et qui après réalisation a été inscrit avec des papiers d'un type 44, comme `44480 ' - d'un autre type de Bugatti qui était également la propriété de Cloos. Il a vendu le 57 Ventoux avec les papiers de 44480 en 1949 à Paul Decker, mais il n'est pas connu comment le vrai 44 était enregistré.

Les deux 57, propriétés de Rudi Cloos à la fin des années '40 est bien documentée. L'Atalante 57432 - appelée 547 sur les papiers - a été vendue à Albert de Lay, le Ventoux avec les papiers de '44480' est allé par l'intermédiaire de la propriété de Gaston Greven à Karl Mohr en Allemagne et est maintenant possédé par Leonhard Helmreich (D). Le vrai 44480 qui a eu une carrosserie Vanvooren et enregistré la première fois avec 370-NV (F) au nom d'Ettore Bugatti, est allé à Saccardo au Luxembourg, et vendu en l'Italie, maintenant équipé moteur type 49 moteur L 367 de ex-49415

Albert de Lay est allé à Elisabethville au Congo Belge en 1951, mais a dû se sauver au Zaïre voisin pendant la guerre civile en 1963. Il a dit que son Atalante (57432)s'est comporté impeccablement pendant le vol. Cependant il a perdu tous ce qui possédait et de retour en Belgique en 1963 il a été forcé de vendre aussi cette voiture. Il l'a vendue de nouveau à Rudi Cloos, qui l'a ainsi possédée pendant une deuxième fois et qui a gardé la voiture pendant 10 années avant de la vendre à Gaston Greven.

Numéros des deux voitures:

Le numéro de l' axe arrière 57 appelé Ventoux '44480 ' est 547 compatible avec le châssis de roulement avec le numéro de moteur 547 mais incompatible avec un vrai type 44 le 44480 et aussi incompatible avec 57432. Il a maintenant le numéro de moteur 265 ex-57344, un remplacement postérieur.

Par ailleurs, le 57344, un Ventoux qui existe et a été enregistrés entre 1991 et 1995 au Luxembourg par "La Société de Gestion De Fortune" route d'Arlon à Strassen, et a participé toujours à Molsheim avec les plaques BE 036.

L'essieu arrière et le bras de couple de l'Atalante est 315, et également le numéro sur le bras de moteur est 315, incompatible avec le châssis de roulement et l'appartenance au châssis 57432. La couverture de boîte de vitesse du Ventoux est 315 et ce de l'Atalante n'est pas numérotée, mais ils ont pu simplement avoir été commutés. La seule explication est que la carrosserie fermé de l'Atalante a été fait sur le châssis 57432 qui a été enregistré en tant que 547, et le carrosserie de Ventoux sur le châssis non-numéroté qui a alors reçu les papiers de 44480, à un moment où les deux voitures ont été possédées par Rudi Cloos à la fin des années '40

En conclusion Il n'y a aucun doute que le châssis utilisé pour le corps d'Atalante est 57432, et que le Ventoux est enregistré comme 44480 (qui a toujours l'essieu arrière 547) était le châssis roulant non-numéroté acheté par Thill mais enregistré en tant que 547, et que les papiers ont été employé et utilisé comme tel. Etant donné la pratique de la numérotation, dans les carnets de Pracht le numéro de châssis qui lui aurait été donné dans des circonstances normales aurait été 57782 (le moteur 110 C aurait reçu 57841, le moteur 109C deviendrait 57842, le moteur 546 deviendrait 57780, le moteur 539 deviendrait 57781 et le moteur 547 aurait reçu 57782) que ces numéros de châssis déjà avaient été écrits dans les carnets au crayon mais pas encore en encre, et attaché à un numéro de moteur.

Kees

 

Voir à http://www.bugattiregister.com [...] 782)_44480

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Bonsoir aux amateurs Bugatti,

quelques images inédites à vous soumettre afin d'identifier une auto, un type 57.

 

Au volant, le carrossier Paul Née.

 

http://imageshack.us/a/img24/45/r4am.jpg

 

http://imageshack.us/a/img546/7616/0se1.jpg

 

http://imageshack.us/a/img853/6560/i22h.jpg

 

Je pense qu'il s'agit peut-être du châssis 57156 qui présente aujourd'hui une carrosserie différente.

 

http://i75.servimg.com/u/f75/09/03/35/48/captur22.jpghttp://i75.servimg.com/u/f75/09/03/35/48/t57_ar10.jpg

 

A vous lire.

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Invité §tun768Yb

Pour le 11 Novembre ce Taxi de la Marne (Renault AG1 de 1912 aux couleurs de la Compagnie Française des Automobiles de Place avec un Taximètre "Brevet Popp" de la Société Générale des Compteurs de Voitures):

 

 

AG1 2.jpg

 

 

Puisqu'un spécialiste se présente, il est dit deux éléments:

- L'intervention des militaires transportés par ces taxis a été minoritaire. Je suis perplexe. On fait toujours dire après coup ce qu'on veut aux chiffres...

- Les Renaults n'étaient pas les seuls. Quels étaient les autres modèles? DDB et?????? Existe-t-il des photos de ces autres taxis?

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Puisqu'un spécialiste se présente, il est dit deux éléments:

- L'intervention des militaires transportés par ces taxis a été minoritaire. Je suis perplexe. On fait toujours dire après coup ce qu'on veut aux chiffres...

- Les Renaults n'étaient pas les seuls. Quels étaient les autres modèles? DDB et?????? Existe-t-il des photos de ces autres taxis?

 

Je ne suis pas historien et donc mon opinion relève simplement du point de vue, ce n’est pas une démonstration sans faille. Aravis 68 serait plus compétent et il serait intéressant d’avoir son avis (même si on est un peu beaucoup hors sujet).

Les Taxis ayant transporté la moitié de la troupe, je pense que leur intervention aura été décisive.

Il y avait d’autres marques mais à la marge, car les deux Sociétés qui dominaient le taxi parisien avaient des véhicules Renault (la Compagnie Française des Automobiles de Place des AG1, caisse haute bordeaux, châssis long, conduite à droite, immatriculés G7 et la Compagnie Générale des Voitures à Paris des AG, caisse basse verte, châssis court, conduite à gauche, immatriculés G3).

Par contre, je suis juriste et je m’intéresse depuis peu à ce livre du Président du Syndicat des Taxis Parisiens, préfacé par le Maire de Paris.

Je n’avais jamais entendu parler de cet ouvrage jusqu’à la semaine dernière où je l’ai découvert sur Priceminister.

Je me suis empressé de l’acheter car, je ne sais pas si c’est une illusion d’optique, mais il me rappelle vaguement quelque chose. La couverture aurait comme des faux airs de déjà vu…

 

 

taxi-ce-metier-meconnu-de-estival-alain-958924913_ML.jpg

 

Sur cette photo il n'y a que des Renault:

 

 

BC1A3A7CCE49E3ACA43B9F5CD2E9B.jpg

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Invité §pla824yc

Hors sujet les taxi de la Marne?

Peut-être pas tant que ça!

Trois compagnies de taxi parisiennes auraient participé bien malgré elles au transport de quelques 6000 hommes... Bien-sûr une majorité de "2 pattes" Renault, mais aussi des De Dion Bouton, des Rochet-Schneider, des Mors... Alors pourquoi pas quelques De Dietrich ou un tricycle Prinetti & Stucchi, on peut rèver! Allez, à vos archives, qui va nous trouver LE scoop pour le centenaire de 14-18. Bon courage. Plast.

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1966 Berliet mémorial.jpg

Deux Berliet ayant participé a 14/18 Ils sont venu de Bar-Le-Duc à Verdun en 1966 monté sur des Stradair de même marque et ensuite ont gagnés le Mémorial de la Bataille de Verdun par la route ! 12 kilomètres, l'un deux y est toujours mais je sais pas si le moteur est toujours en état de marche !

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Invité §tun768Yb

1966 Berliet mémorial.jpg

Deux Berliet ayant participé a 14/18 Ils sont venu de Bar-Le-Duc à Verdun en 1966 monté sur des Stradair de même marque et ensuite ont gagnés le Mémorial de la Bataille de Verdun par la route ! 12 kilomètres, l'un deux y est toujours mais je sais pas si le moteur est toujours en état de marche !

 

 

Ne mélangeons pas tout. Nous parlons des taxis de La Marne alors que les Berliet se sont illustrés par leur fiabilité à Verdun, ce qui n'est pas moins méritoire mais ne correspond pas à la même "prouesse".

 

En fait, je me référais d'une information que j'ai lue ces derniers jours sans retenir la source: le rôle des taxis de La Marne serait surévalué. Quelqu'un a-t-il les chiffres des troupes ainsi déplacées?

 

Sans négliger que la bataille a duré du 6 au 12 septembre 1914.

 

Pour résumer, sur 10.000 taxis, seuls 3.000 étaient théoriquement mobilisables mais il est question de 350 taxis effectivement mobilisés suivis de 200 véhicules de tous types conduits par des chauffeurs militaires et de "seulement" 5 bataillons déplacés, soient 1.000 hommes.

http://www.chtimiste.com/batailles1418/combats/taxis%20marne.htm

 

Donc: Quid? Quelle est l'importance réelle, en chiffres et stratégiquement, de ces troupes déplacées par les "seuls" taxis parisiens?

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Ca n'a rien à voir avec 14-18, mais sur EBay, il y une impressionnante série de photos des GP de Monaco de 1928-29-30.

Il suffit de taper "photo voiture" et de classer par prix décroissant.

 

C'était juste pour placer une photo que j'avais prise moi même en 1966, c'était devant mon lycée !

 

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Peut être une PUB déguisée pour Renault en accord avec quelqu'un de l'état major !

 

 

A propos de PUB, cette publicité pour une société de location de voitures réalisée dans les années soixante-dix par l'illustrateur Mascii. C'était pour la société Simca et l'affiche, censée vanter la fiabilité de la marque, était chez tous les concessionnaires, c'est fou, c'est que des Renault !

 

 

TAXI-PRISE-DIRECT.jpg

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Hors sujet les taxi de la Marne?

Peut-être pas tant que ça!

Trois compagnies de taxi parisiennes auraient participé bien malgré elles au transport de quelques 6000 hommes... Bien-sûr une majorité de "2 pattes" Renault, mais aussi des De Dion Bouton, des Rochet-Schneider, des Mors... Alors pourquoi pas quelques De Dietrich ou un tricycle Prinetti & Stucchi, on peut rèver! Allez, à vos archives, qui va nous trouver LE scoop pour le centenaire de 14-18. Bon courage. Plast.

 

 

Il y a une multitude de renseignements sur le remarquable blog : http://taxidelamarne.over-blog [...] 54988.html

On relève au passage que le blogueur, comme d'autres, a pompé MA photo de MON taxi pour son logo (ce n'est pas grave pour ce qui le concerne et j'ai donné un accord a posteriori).

Vous pourrez même vous marier (ce que je ne vous recommande pas) en Taxi de la Marne (ce que je vous recommande), la voiture du blogueur étant à louer.

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