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La fin des transports en commun ?


Muséeologue
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L'automobile, moyen de transport individuel (et familial ;) ) par excellence tient-elle enfin sa "revanche" ?

 

C'est vrai, quoi, depuis le temps qu'on nous vante les multiples avantages des trains, trams, bus, métros et autres moyens de se véhiculer dans la cohue et souvent dans l'inconfort , où "rester debout" est la norme du moins aux heures de pointe, voilà qu'on découvre que ces lieux d'entassement sont aussi vecteurs de maladies au point que pour les fréquenter il faudra désormais sortir "masqué".Et encore : pas tous en même temps !

 

Il faudrait donc "aussi" revoir certaines priorités... La santé passe par la distanciation sociale, donc l'auto semble parfaite pour cela. Va-t-elle retrouver sa place dans la circulation et le respect qu'elle mérite puisqu'elle "sauve des vies" au lieu d'être - comme trop souvent affirmé - uniquement source de pollution et d'accidents ? L'industrie saura-t-elle en profiter ?

 

Attention, il y a urgence et d'aucuns l'ont déjà anticipé : pour être bien certain que "la voiture honnie" ne reprenne pas la place qu'elle devrait avoir depuis qu'elle a été inventée, on remplace les routes par des... pistes cyclables. On attend pourtant toujours de voir les ministres se déplacer uniquement à vélo... question de donner l'exemple, eux qui n'utilisaient déjà que très peu... les transports en commun. Et, que je sache "notre" boulot vaut bien le leur...

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Disons que c'c'est pratique pour les personnes âgées et les gens qui n'ont pas de permis. Et vaut mieux prendre le bus que une voiturette. On met moins de temps.

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Disons que c'c'est pratique pour les personnes âgées et les gens qui n'ont pas de permis. Et vaut mieux prendre le bus que une voiturette. On met moins de temps.

Oui... mais ce n'est pas à eux qu'on songe actuellement : ils n'ont pas d'attestation de leur "employeur" pour pouvoir les utiliser ! Detoute façon, ce ne sont pas des endroits à leur conseiller pour le moment... Un taxi est nettement moins "risqué"!

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Invité §rpi864vG

Je pense de toute façon que même avant le coronavirus, on reconnaissait implicitement que la voiture était le meilleur moyen de transport (hors très longues distances). Et cela pour une raison simple: l'invention de tous types de taxes, barrières à l'entrée ect, sont des moyens de biaiser le marché. Cela signifie qu'indirectement, on reconnait que l'on n'est pas capable de proposer une alternative plus agréable et confortable que la voiture individuelle, car si c'était le cas, le consommateur se dirigerait naturellement vers cette solution sans aucune mesure incitative. Et c'est justement car on n'a rien à proposer de mieux qu'il devient donc nécessaire de fausser la libre régulation du marché en faisant peser un poids sur l'automobile pour en quelque sorte la remettre au même niveau que le reste.

 

Je vois à titre perso, la voiture reste imbattable. Pour les déplacements en France ou en ville européenne proche comme Bruxelles, je prends ma voiture thermique et pour rouler dans Paris j'ai choisi une voiture électrique Renault Zoé. Car dans ce dernier cas, je bénéficie à la fois du confort de la voiture individuelle mais aussi de tous les dispositifs mis en place en faveur des transports propres (je ne paie pas de stationnement, j'ai des places dédiées de charge, vignette crit'air blanche et verte la plus favorable).

 

Le seul moment où les transports en commun reprennent le dessus, c'est avec l'avion pour les voyages au long court (en gros si ça dépasse 1000 km).

 

Et là je pense que la crise du coronavirus va redorer l'image de la voiture, car elle apparaitra forcément plus "clean" en terme de distanciation sociale que le métro and co. Et elle permet aussi une certaine liberté (par exemple ceux qui sont partis se confiner en résidence secondaire sans avoir de voiture ont dû s'entasser dans des trains avec risque de contamination, alors que nous on a fait notre trajet en voiture sans croiser qui que ce soit).

 

 

Ceci dit, je ne pense pas qu'une fin totale des transports en commun pointe le bout de son nez, mais en tout cas ce ne sera plus présenté comme la solution soit disant miracle.

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Invité §z-p075mT

Fin des transports en commun est impossible dans les grandes agglomérations (métropoleq régionales), Quelle interet de rester dans les emboiteillages pendant 4/5 heures par jour pour aller travailler. C'est un retour à une économie de guerre et la fin de ces agglomérations.

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Je pense de toute façon que même avant le coronavirus, on reconnaissait implicitement que la voiture était le meilleur moyen de transport (hors très longues distances). Et cela pour une raison simple: l'invention de tous types de taxes, barrières à l'entrée ect, sont des moyens de biaiser le marché. Cela signifie qu'indirectement, on reconnait que l'on n'est pas capable de proposer une alternative plus agréable et confortable que la voiture individuelle, car si c'était le cas, le consommateur se dirigerait naturellement vers cette solution sans aucune mesure incitative. Et c'est justement car on n'a rien à proposer de mieux qu'il devient donc nécessaire de fausser la libre régulation du marché en faisant peser un poids sur l'automobile pour en quelque sorte la remettre au même niveau que le reste.

 

Je vois à titre perso, la voiture reste imbattable. Pour les déplacements en France ou en ville européenne proche comme Bruxelles, je prends ma voiture thermique et pour rouler dans Paris j'ai choisi une voiture électrique Renault Zoé. Car dans ce dernier cas, je bénéficie à la fois du confort de la voiture individuelle mais aussi de tous les dispositifs mis en place en faveur des transports propres (je ne paie pas de stationnement, j'ai des places dédiées de charge, vignette crit'air blanche et verte la plus favorable).

 

Le seul moment où les transports en commun reprennent le dessus, c'est avec l'avion pour les voyages au long court (en gros si ça dépasse 1000 km).

 

Et là je pense que la crise du coronavirus va redorer l'image de la voiture, car elle apparaitra forcément plus "clean" en terme de distanciation sociale que le métro and co. Et elle permet aussi une certaine liberté (par exemple ceux qui sont partis se confiner en résidence secondaire sans avoir de voiture ont dû s'entasser dans des trains avec risque de contamination, alors que nous on a fait notre trajet en voiture sans croiser qui que ce soit).

 

 

Ceci dit, je ne pense pas qu'une fin totale des transports en commun pointe le bout de son nez, mais en tout cas ce ne sera plus présenté comme la solution soit disant miracle.

 

Moi, je prend le bus et j'en ai 2 h pour aller de grasse à Nice.

 

Fin des transports en commun est impossible dans les grandes agglomérations (métropoleq régionales), Quelle interet de rester dans les emboiteillages pendant 4/5 heures par jour pour aller travailler. C'est un retour à une économie de guerre et la fin de ces agglomérations.

L'analyse de RPI complète assez bien ce qui aurait pu être la question "initiale", mais qui a été posée délibérément de façon provocante.

 

Non, les transports en commun ne vont évidemment pas totalement disparaître : ce n'est sans doute pas souhaitable.

 

Mais vont-ils chanter un ton plus bas ? Non, ils ne sont pas la "panacée" et ils sont bien incapables de l'être. Ils polluent peut-être moins l'atmosphère (et encore, cela n'est pas vrai pour l'aviation) mais sont peut-être parfois beaucoup plus "dangereux" pour la santé collective.

 

Ils nous coûtent pourtant chers, à tous et... heureusement que les taxes payées par les usagers de la route sont là pour les subsidier. A ce propos d'ailleurs, comment fera-t-on quand il n'y aura plus que des vélos ?

 

En fait, la bonne question est plutôt : l'auto va-t-elle retrouver sa "juste" place et les automobilistes cesser d'accepter d'être persécutés ? C'est vrai qu'il y a des embouteillages sur nos routes, mais qui - dans le monde politique - se soucie vraiment d'y remédier ou "ose" encore le suggérer. On supprime les bandes de circulation, on rend le parking impossible : cela au lieu de songer au fait que l'auto aussi a ... "droit de cité" ! Plus que jamais, semble-t-il...

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Invité §Yan216Gn

L'analyse de RPI complète assez bien ce qui aurait pu être la question "initiale", mais qui a été posée délibérément de façon provocante.

 

Non, les transports en commun ne vont évidemment pas totalement disparaître : ce n'est sans doute pas souhaitable.

 

Mais vont-ils chanter un ton plus bas ? Non, ils ne sont pas la "panacée" et ils sont bien incapables de l'être. Ils polluent peut-être moins l'atmosphère (et encore, cela n'est pas vrai pour l'aviation) mais sont peut-être parfois beaucoup plus "dangereux" pour la santé collective.

 

Ils nous coûtent pourtant chers, à tous et... heureusement que les taxes payées par les usagers de la route sont là pour les subsidier. A ce propos d'ailleurs, comment fera-t-on quand il n'y aura plus que des vélos ?

 

En fait, la bonne question est plutôt : l'auto va-t-elle retrouver sa "juste" place et les automobilistes cesser d'accepter d'être persécutés ? C'est vrai qu'il y a des embouteillages sur nos routes, mais qui - dans le monde politique - se soucie vraiment d'y remédier ou "ose" encore le suggérer. On supprime les bandes de circulation, on rend le parking impossible : cela au lieu de songer au fait que l'auto aussi a ... "droit de cité" ! Plus que jamais, semble-t-il...

 

Les politiques et habitants des centres villes vont tout faire pour éviter le grand retour de la voiture. Il suffit de voir la prolifération des pistes cyclables installées en urgence dans celles-ci comme alternatives aux transport en commun pour s'en rendre compte.

 

Par contre, à plus long terme, la question de la localisation des lieux de travail et d'habitation va se poser. Dans les grandes villes, les logements abordables du secteur privé (on ne parle pas des HLM), sont loin des pôles d'emplois. En région parisienne par exemple, ils sont plutôt dans l'Est alors que les emplois sont dans l'Ouest. Du coup, de nombreuses personnes traversent Paris tous les jours. Le RER-A (qui justement assure cette liaison) accueillait, avant le Covid-19, 1.4 millions de voyageurs par jours....

 

Vu l'encombrement de l'A86 et du périphérique (contraints par le foncier, ils ne peuvent plus être vraiment améliorés), la voiture n'est pas une alternative. Sur cette ligne, la distanciation sociale ne sera pas applicable sans faire déménager les voyageurs pour qu'ils cessent d'emprunter la ligne.

 

il ne faut pas oublier que la jauge des transport en communs modernes est de 6 passagers par m2 (https://www.capital.fr/entreprises-marches/decouvrez-le-rer-du-futur-plus-spacieux-et-moins-energivore-1199369). Si on passe à 1 passager pour 4m2, ça change tout....

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Invité §Nik017Hy

Moi, je prend le bus et j'en ai 2 h pour aller de grasse à Nice.

 

 

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Les politiques et habitants des centres villes vont tout faire pour éviter le grand retour de la voiture. Il suffit de voir la prolifération des pistes cyclables installées en urgence dans celles-ci comme alternatives aux transport en commun pour s'en rendre compte.

 

Par contre, à plus long terme, la question de la localisation des lieux de travail et d'habitation va se poser. Dans les grandes villes, les logements abordables du secteur privé (on ne parle pas des HLM), sont loin des pôles d'emplois. En région parisienne par exemple, ils sont plutôt dans l'Est alors que les emplois sont dans l'Ouest. Du coup, de nombreuses personnes traversent Paris tous les jours. Le RER-A (qui justement assure cette liaison) accueillait, avant le Covid-19, 1.4 millions de voyageurs par jours....

 

Vu l'encombrement de l'A86 et du périphérique (contraints par le foncier, ils ne peuvent plus être vraiment améliorés), la voiture n'est pas une alternative. Sur cette ligne, la distanciation sociale ne sera pas applicable sans faire déménager les voyageurs pour qu'ils cessent d'emprunter la ligne.

 

il ne faut pas oublier que la jauge des transport en communs modernes est de 6 passagers par m2 (https://www.capital.fr/entreprises-marches/decouvrez-le-rer-du-futur-plus-spacieux-et-moins-energivore-1199369). Si on passe à 1 passager pour 4m2, ça change tout....

La localisation des lieux de travail ? C'est une autre excellente question ! Là où en inventait tout et n'importe quoi pour ramener les habitants vers les grandes agglomérations, il est sûr que si c'est pour s'y retrouver encore souvent "confinés" à l'avenir la plupart des gens vont opter pour... le grand retour dans nos campagnes :lol: !

 

Là aussi, l'auto joue... gagnante.

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Oui +tram magnan et bus 6c

 

Pour apporter ma petite contribution. Je peux vous assurer que la voiture individuelle va sortir grande gagnante de cette crise. J’ai beaucoup d’amis français qui se sont détournés de l’automobile depuis longtemps et qui ne me comprenaient pas et me disaient « mais la voiture c’est dépassé, qu’est ce que tu fais encore avec ça ? » Ces mêmes personnes me sollicitent aujourd’hui pour savoir quoi prendre...Et ce qui me fait le plus rire, c’est que ces donneurs de leçons qui me sortaient un discours presque écologiste intégriste quand il fallait fustiger le fait que je roule encore en moteur thermique de plus de 300 cv me demandent aujourd’hui des infos sur des SUV Diesel « mais pas qui se traîne, 300 cv mini, c’est pour rejoindre la résidence secondaire de nuit si il y a un nouveau confinement »

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Pour apporter ma petite contribution. Je peux vous assurer que la voiture individuelle va sortir grande gagnante de cette crise. J’ai beaucoup d’amis français qui se sont détournés de l’automobile depuis longtemps et qui ne me comprenaient pas et me disaient « mais la voiture c’est dépassé, qu’est ce que tu fais encore avec ça ? » Ces mêmes personnes me sollicitent aujourd’hui pour savoir quoi prendre...Et ce qui me fait le plus rire, c’est que ces donneurs de leçons qui me sortaient un discours presque écologiste intégriste quand il fallait fustiger le fait que je roule encore en moteur thermique de plus de 300 cv me demandent aujourd’hui des infos sur des SUV Diesel « mais pas qui se traîne, 300 cv mini, c’est pour rejoindre la résidence secondaire de nuit si il y a un nouveau confinement »

Il faudrait sans doute aussi que pour redorer leur blason, les conducteurs de trains, bus, métros cessent de faire grève sous le moindre prétexte !

 

Entendu ce matin qu'alors qu'il n'ont cessé de rouler (quasi à vide) durant le confinement et tandis que les magasins rouvrent aujourd'hui dans la Capitale de l'Europe, les conducteurs se sont mis en arrêt de travail à 90% (contre l'avis de leurs syndicats) sous le prétexte... d'être obligés à avoir à porter un masque !!!

 

Cela aussi, les gens en ont marre... et incite à disposer d'une voiture même en ville, simplement pour pouvoir circuler librement. Attendre un bus durant des heures sans être certain qu'il passera, c'est pire que d'être bloqué dix minutes dans un embouteillage. Enfin, c'est mon point de vue.

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Il faudrait sans doute aussi que pour redorer leur blason, les conducteurs de trains, bus, métros cessent de faire grève sous le moindre prétexte !

 

Entendu ce matin qu'alors qu'il n'ont cessé de rouler (quasi à vide) durant le confinement et tandis que les magasins rouvrent aujourd'hui dans la Capitale de l'Europe, les conducteurs se sont mis en arrêt de travail à 90% (contre l'avis de leurs syndicats) sous le prétexte... d'être obligés à avoir à porter un masque !!!

 

Cela aussi, les gens en ont marre... et incite à disposer d'une voiture même en ville, simplement pour pouvoir circuler librement. Attendre un bus durant des heures sans être certain qu'il passera, c'est pire que d'être bloqué dix minutes dans un embouteillage. Enfin, c'est mon point de vue.

 

Oui, et certains conducteurs de bus ont le pied lourd sur les pédales.

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L'analyse de RPI complète assez bien ce qui aurait pu être la question "initiale", mais qui a été posée délibérément de façon provocante.

 

Non, les transports en commun ne vont évidemment pas totalement disparaître : ce n'est sans doute pas souhaitable.

 

Mais vont-ils chanter un ton plus bas ? Non, ils ne sont pas la "panacée" et ils sont bien incapables de l'être. Ils polluent peut-être moins l'atmosphère (et encore, cela n'est pas vrai pour l'aviation) mais sont peut-être parfois beaucoup plus "dangereux" pour la santé collective.

 

Ils nous coûtent pourtant chers, à tous et... heureusement que les taxes payées par les usagers de la route sont là pour les subsidier. A ce propos d'ailleurs, comment fera-t-on quand il n'y aura plus que des vélos ?

 

En fait, la bonne question est plutôt : l'auto va-t-elle retrouver sa "juste" place et les automobilistes cesser d'accepter d'être persécutés ? C'est vrai qu'il y a des embouteillages sur nos routes, mais qui - dans le monde politique - se soucie vraiment d'y remédier ou "ose" encore le suggérer. On supprime les bandes de circulation, on rend le parking impossible : cela au lieu de songer au fait que l'auto aussi a ... "droit de cité" ! Plus que jamais, semble-t-il...

La juste place de la voiture dans... les villes?

Quelle blague...

 

Il y aura une période de flottement en raison du contexte, et une grande partie des utilisateurs utilisera ses jambes ou des vélos pour éviter les TEC.

EN dehors des villes, effectivement, ça risque d'être plus compliqué pour les TEC et de manière plus durable.

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La juste place de la voiture dans... les villes?

Quelle blague...

 

Il y aura une période de flottement en raison du contexte, et une grande partie des utilisateurs utilisera ses jambes ou des vélos pour éviter les TEC.

EN dehors des villes, effectivement, ça risque d'être plus compliqué pour les TEC et de manière plus durable.

Il y a bel et bien des voitures parfaitement "adaptées" à la ville. Ce sont certain(e)s "maires" qui ne le sont pas... me semble-t-il :ange: !

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On entend parler à la télé tout le temps le nombre de personnes décédé par la pollution, surtout le diesel en ville. Les pneumologues sont alarmé de la pollution en ville.

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On entend parler à la télé tout le temps le nombre de personnes décédé par la pollution, surtout le diesel en ville. Les pneumologues sont alarmé de la pollution en ville.

C'est vrai... en même temps il y a eu des "pic de pollution" alors qu'il n'y avait quasi pas de trafic automobile :p . Chercher l'erreur !

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Il y a bel et bien des voitures parfaitement "adaptées" à la ville. Ce sont certain(e)s "maires" qui ne le sont pas... me semble-t-il :ange: !

Je ne vois pas quelle voiture est adaptée à la ville (enfin, je parle plutôt centre-ville)?

Des exemple?

Une voiture qui ne mangerait pas les rues de la ville, qui se stationne en lévitation?

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Je ne vois pas quelle voiture est adaptée à la ville (enfin, je parle plutôt centre-ville)?

Des exemple?

Une voiture qui ne mangerait pas les rues de la ville, qui se stationne en lévitation?

Ben il y a déjà la smart ! Je ne vois pas bien à qoi elle peut servir d'autre... A Rome, en son temps les Fiat 500 "pullulaient" et personne ne s'en plaignait.

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Ben il y a déjà la smart ! Je ne vois pas bien à qoi elle peut servir d'autre... A Rome, en son temps les Fiat 500 "pullulaient" et personne ne s'en plaignait.

Ah oui, les fameuses Smart et 500 qui n'ont pas besoin de route ni de place de stationnement ^^

Le problème, c'est que quelque soit la voiture, l'idée, c'est de ne plus penser l'aménagement des centres pour elle. Bien sûr, une 500 sera moins encombrante qu'un RAM, c'est déjà ça, mais elle aura toujours besoin de route, donc de manger l'espace urbain.

Je cause bien des centres-villes, pas des villes entières.

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Ah oui, les fameuses Smart et 500 qui n'ont pas besoin de route ni de place de stationnement ^^

Le problème, c'est que quelque soit la voiture, l'idée, c'est de ne plus penser l'aménagement des centres pour elle. Bien sûr, une 500 sera moins encombrante qu'un RAM, c'est déjà ça, mais elle aura toujours besoin de route, donc de manger l'espace urbain.

Je cause bien des centres-villes, pas des villes entières.

O.K. Mais ce n'est pas vraiment cela le sujet de la discussion... :o Car dans le "centre du centre" des villes pas besoin de TEC non plus évidemment ! D'ailleurs si les autos ne savent pas passer, a fortiori les autobus :)

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C'est vrai... en même temps il y a eu des "pic de pollution" alors qu'il n'y avait quasi pas de trafic automobile :p . Chercher l'erreur !

 

 

Toujours cette tarte à la crème... :lol:

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Pour apporter ma petite contribution. Je peux vous assurer que la voiture individuelle va sortir grande gagnante de cette crise. J’ai beaucoup d’amis français qui se sont détournés de l’automobile depuis longtemps et qui ne me comprenaient pas et me disaient « mais la voiture c’est dépassé, qu’est ce que tu fais encore avec ça ? » Ces mêmes personnes me sollicitent aujourd’hui pour savoir quoi prendre...Et ce qui me fait le plus rire, c’est que ces donneurs de leçons qui me sortaient un discours presque écologiste intégriste quand il fallait fustiger le fait que je roule encore en moteur thermique de plus de 300 cv me demandent aujourd’hui des infos sur des SUV Diesel « mais pas qui se traîne, 300 cv mini, c’est pour rejoindre la résidence secondaire de nuit si il y a un nouveau confinement »

 

 

Mais le pire dans ce genre de sujet, c'est les trolls inconscients de leur état :W

 

Je voudrais être plus caricatural que je n'aurais pas assez d'imagination :ddr:

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Mais le pire dans ce genre de sujet, c'est les trolls inconscients de leur état :W

 

Je voudrais être plus caricatural que je n'aurais pas assez d'imagination :ddr:

 

 

Merci c'est grâce à des gens comme toi que l'ensemble de la démarche écologiste tombe dans l'opprobre :jap:

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Merci c'est grâce à des gens comme toi que l'ensemble de la démarche écologiste tombe dans l'opprobre :jap:

 

 

C'est toi qui dit ça :W

 

Non mais sérieux, t'as relu ton post? Paye ta caricature :buzz:

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C'est toi qui dit ça :W

 

Non mais sérieux, t'as relu ton post :buzz:

 

 

Oui tout à fait, les écologistes en carton comme toi, limite Amish à tendance Marxiste réussissent à provoquer des réactions de rejet épidermique chez une bonne partie de la population.

 

Pourquoi ?

 

Parce que ta réflexion utopiste et hautaine qui consiste à dire, Moi je sais ce qu'il faut faire, Moi j'ai compris l'importance du réchauffement climatique est d'une part et d'un premier abord ridicule et par la suite dans un point de vue plus réfléchi complètement déconnectée de la réalité.

 

Tu as des convictions, c'est très bien et tant mieux pour toi car une bonne partie des humains de notre planète semblent ne pas en avoir. En revanche les solutions dont tu sembles tellement convaincu masquent réellement une frustration inconsciente ou plutôt un gros complexe d'infériorité. J'ai lu tes interventions à l'époque où tu faisais tes petits concours de quéquettes avec ta Peugeot 206 S16 SW, tes différents essais de Supercar en location mais une chose est sûre dans ton toi intérieur tu as toujours voulu posséder l'une de ces voitures, mais les rêves sont une chose et la réalité est bien différente !

Arrivé à un âge de maturité suffisant tu as du bien comprendre que ce ne serait pas possible pour cette vie ci... :non:

Alors comment extérioriser cette frustration ? Comment soigner ce manque que tu ne pourras jamais combler ?

La solution que tu as trouvé est la suivante : Suivre une doctrine qui parait intelligible et proposer des mesures qui te permettraient d'être confronté le moins à ta frustration.

 

Voilà pour le petit aparté, développement personnel.

 

Pour en revenir au sujet de l'écologie, une personne plus réfléchi te dira que les énergies fossiles peuvent être substitués par des énergies de synthèses, non polluante.

Mais les derniers développements du Covid19 ne semblent pas plaider en ta faveur, même sans circulation automobile, la pollution augmente...

 

Dernière petite question : Dans ta vie rêvée une fois qu'en bon bolchévique, tu aurais réussi à ce que chaque individu roule dans un petit veau de 130 cv c'est quoi la prochaine étape ? Mettre un catalyseur dans le trou du cul des vaches ?

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A défaut de catalyseur dans le cul des vaches, bouffer moins de viande éventuellement? Ça tombe bien, ça correspond aussi aux recommandations médicales :cyp:

 

 

Sinon, merci pour ton analyse psychologique à deux balles :W

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Invité §Mod700cp

Merci à tous de vous calmer, je pense qu'on peut discuter sans polémiquer et en se respectant.

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De toute façon, faire une analyse pareille à raison d'un événement somme toute conjoncturel est un poil léger.

 

La réalité, c'est que le mouvement pour limiter la place de la voiture en ville est politiquement transpartisant et, de fait, lui peu partout les autorités "poussent" les alternatives.

 

Alors oui, le TEC vont souffrir pendant quelques mois mais imaginer que du coup, on va rouvrir les vannes pour l'automobile partout, tout le temps, comme solution universelle de déplacement y compris en milieu urbain dense, c'est se fourrer un doigt dans l'oeil jusqu'à la garde.

 

D'abord, parce que c'est objectivement intenable :bah:

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Invité §rpi864vG

De toute façon, faire une analyse pareille à raison d'un événement somme toute conjoncturel est un poil léger.

 

La réalité, c'est que le mouvement pour limiter la place de la voiture en ville est politiquement transpartisant et, de fait, lui peu partout les autorités "poussent" les alternatives.

 

Alors oui, le TEC vont souffrir pendant quelques mois mais imaginer que du coup, on va rouvrir les vannes pour l'automobile partout, tout le temps, comme solution universelle de déplacement y compris en milieu urbain dense, c'est se fourrer un doigt dans l'oeil jusqu'à la garde.

 

D'abord, parce que c'est objectivement intenable :bah:

 

 

 

Le problème n'est pas de vouloir défendre ou non l'automobile en ville ou ailleurs. Le vrai coeur du sujet c'est que pour définitivement enterrer un mode de déplacement, il faut arriver à en proposer un qui le dépasse en terme d'agrément et de confort, pour que naturellement les usagers l'adoptent sans se sentir forcés.

Par exemple, le smartphone a enterré sans aucune intervention ni mesure coercitive le téléphone portable simple, car il offre un agrément supérieur et plus de possibilités. Le consommateur l'a dont choisi naturellement.

Ceux qui comme moi continuent à utiliser la voiture (une électrique en ville, une thermique pour les longues distances), c'est pas pour dire "j'utilise une voiture", c'est simplement que pour ces trajets elle reste le meilleur mode de déplacement et le plus confortable. Seul l'avion la dépasse pour les très longues distances.

 

Les défenseurs des TEC n'ont rien compris car ils avancent des bienfaits collectifs pour les vanter, ils ne présentent pas ce que l'utilisateur pris individuellement gagne à les utiliser.

Qu'on le veuille ou non, les TEC font figure de mode de déplacement "contraint" réservés à ceux qui n'ont pas les moyens de payer pour continuer à utiliser la voiture en ville (en achetant une électrique en plus ou en se payant un parking sur place par exemple). Il suffit de voir que la majorité des personnes qui sont considérées comme "l'élite" n'utilisent pas les TEC, car le mode de transport individuel représente encore une forme d'aboutissement, car le confort y est supérieur. Les mannequins de la fashion week on les conduit en voiture sur les défilés, pas en métro, les politiques pareil, les stars du cinéma aussi.

Et à l'échelle au dessus, les milliardaires s'offrent carrément un avion privé pour ne pas être mélangés avec la populace dans un avion de ligne.

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Le problème n'est pas de vouloir défendre ou non l'automobile en ville ou ailleurs. Le vrai coeur du sujet c'est que pour définitivement enterrer un mode de déplacement, il faut arriver à en proposer un qui le dépasse en terme d'agrément et de confort, pour que naturellement les usagers l'adoptent sans se sentir forcés.

Par exemple, le smartphone a enterré sans aucune intervention ni mesure coercitive le téléphone portable simple, car il offre un agrément supérieur et plus de possibilités. Le consommateur l'a dont choisi naturellement.

Ceux qui comme moi continuent à utiliser la voiture (une électrique en ville, une thermique pour les longues distances), c'est pas pour dire "j'utilise une voiture", c'est simplement que pour ces trajets elle reste le meilleur mode de déplacement et le plus confortable. Seul l'avion la dépasse pour les très longues distances.

 

Les défenseurs des TEC n'ont rien compris car ils avancent des bienfaits collectifs pour les vanter, ils ne présentent pas ce que l'utilisateur pris individuellement gagne à les utiliser.

Qu'on le veuille ou non, les TEC font figure de mode de déplacement "contraint" réservés à ceux qui n'ont pas les moyens de payer pour continuer à utiliser la voiture en ville (en achetant une électrique en plus ou en se payant un parking sur place par exemple). Il suffit de voir que la majorité des personnes qui sont considérées comme "l'élite" n'utilisent pas les TEC, car le mode de transport individuel représente encore une forme d'aboutissement, car le confort y est supérieur. Les mannequins de la fashion week on les conduit en voiture sur les défilés, pas en métro, les politiques pareil, les stars du cinéma aussi.

Et à l'échelle au dessus, les milliardaires s'offrent carrément un avion privé pour ne pas être mélangés avec la populace dans un avion de ligne.

 

 

Voilà un discours cohérent, dénué d'aigreur et de frustration...

On est bien d'accord que les défenseurs des TEC sont au mieux des ayatollahs convaincus que leurs idées sont les meilleures et dont le mode de vie se rapproche de sectes ou des Amish ou des beaux-parleurs tel que les politiques et qui de toute manière ne prennent pas les TEC ou une fois pour faire une photo. (cf Hidalgo à Paris)

 

D'ailleurs si l'on défends la cause écologique alors le seul moyen de se plaindre de l'automobile c'est la pollution qu'elle engendre.

La voiture électrique dans son utilisation n'en engendre pas (dans sa construction et sa destruction c'est une autre histoire) donc les écolos en carton devraient s'en réjouir, sauf qu'ils défendent quand même une limitation de la puissance de ces dernières non pas par "écologie" car là on dépasse bien la réflexion écologique mais uniquement par frustration car absolument rien d'autre ne justifie cette volonté si ce n'est d'être contre progressiste.

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Le problème n'est pas de vouloir défendre ou non l'automobile en ville ou ailleurs. Le vrai coeur du sujet c'est que pour définitivement enterrer un mode de déplacement, il faut arriver à en proposer un qui le dépasse en terme d'agrément et de confort, pour que naturellement les usagers l'adoptent sans se sentir forcés.

Par exemple, le smartphone a enterré sans aucune intervention ni mesure coercitive le téléphone portable simple, car il offre un agrément supérieur et plus de possibilités. Le consommateur l'a dont choisi naturellement.

Ceux qui comme moi continuent à utiliser la voiture (une électrique en ville, une thermique pour les longues distances), c'est pas pour dire "j'utilise une voiture", c'est simplement que pour ces trajets elle reste le meilleur mode de déplacement et le plus confortable. Seul l'avion la dépasse pour les très longues distances.

 

Les défenseurs des TEC n'ont rien compris car ils avancent des bienfaits collectifs pour les vanter, ils ne présentent pas ce que l'utilisateur pris individuellement gagne à les utiliser.

Qu'on le veuille ou non, les TEC font figure de mode de déplacement "contraint" réservés à ceux qui n'ont pas les moyens de payer pour continuer à utiliser la voiture en ville (en achetant une électrique en plus ou en se payant un parking sur place par exemple). Il suffit de voir que la majorité des personnes qui sont considérées comme "l'élite" n'utilisent pas les TEC, car le mode de transport individuel représente encore une forme d'aboutissement, car le confort y est supérieur. Les mannequins de la fashion week on les conduit en voiture sur les défilés, pas en métro, les politiques pareil, les stars du cinéma aussi.

Et à l'échelle au dessus, les milliardaires s'offrent carrément un avion privé pour ne pas être mélangés avec la populace dans un avion de ligne.

La grosse erreur c'est de s'imaginer que la voiture, c'est un confort en ville...

 

 

Je sais que c'est une idée assez répandue, et pourtant, il n'y a rien de plus faux.

A l'instant, je viens d'aller commander mon carrelage chez un spécialiste. Sortie de chez moi, 20mn de marche tranquillement pour atteindre l'entrée de ville (on en profite pour passer les coups de fil tant qu'à faire), et au retour, je pique un vélo en libre service juste devant, 5mn de piste cyclable j'arrive à nouveau en plein centre ville pour chopper fromage et viande, et 5mn de marche pour rentrer chez moi. J'habite dans une ville de quelques centaines de milliers d'habitants.

Ceci est la vie de bien des citadins, qui n'ont rien à secouer de prendre une voiture pour faire ça. Entre l'essence, chercher une place, les éventuels bouchons... sans déconner, faut y aller pour croire que le confort de la voiture est supérieur (pour info, j'en ai deux, ce n'est pas comme si je ne conduisais pas)

Ces citadins, c'est l'inverse: ils aimeraient pouvoir circuler en sécurité en 2 roues (donc pistes cyclables, ce qui veut dire de facto réduction de la place de la voiture), marcher tranquillement (idem: ne pas avoir des files de voitures stationnées plutôt que des zones de déambulation).

 

Il faut aussi faire attention à ne pas se borner à cette horreur qu'est Paris: les villes de province, même de bonne taille, sont généralement bien plus sympa à vivre en terme de déplacements doux (propreté, fréquentation...).

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