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Motorisation, énergie, et environnement

Le topic des VHs électrique / hybride / Hydrogène et autres énergies


Invité §geg572mh
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Invité §geg572mh

Marchés - 01/10/2009

Borloo vise 2 millions de voitures électriques en 2020

 

Le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, détaille aujourd'hui son plan en faveur du développement des véhicules électriques avec l'objectif d'en voir circuler deux millions en France en 2020. L'Etat investira plus d'un milliard d'euros dans l'installation de bornes de recharge, l'adaptation du réseau, l'achat de véhicules, des aides à l'achat et aux constructeurs, rapporte Paris Match sur son site internet.

 

 

"Le grand emprunt pourrait être sollicité", écrit l'hebdomadaire.

Le ministère de l'Ecologie souhaite former un réseau de 4,4 millions de points de rechargement d'ici 2020, permettant d'alimenter deux millions de véhicules. La moitié des prises se trouverait chez les particuliers, les autres dans les entreprises, les commerces, et, dans une moindre mesure, dans la rue et les parkings publics.

En plus de l'enveloppe déjà allouée de 400 millions d'euros sur quatre ans pour encourager les constructeurs, 50 à 70 millions d'euros supplémentaires financeront la recherche sur les bornes de recharge et les échanges de batteries pour les taxis, peut-on lire dans l'hebdomadaire.

L'adaptation du réseau nécessitera 750 millions d'euros "pour agrandir les tuyaux et acheminer l'électricité aux bornes".

Elle sera coordonnée par ERDF, filiale d'EDF.

La semaine dernière, le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a confirmé la commande en 2010 de quelque 50 000 véhicules par l'Etat (10 000), les collectivités (14 000) et des entreprises partenaires (30 450). Cinquante mille nouvelles commandes sont prévues dans les prochaines années.

Il a aussi annoncé une contribution de 125 millions d'euros, via le Fonds stratégique d'investissement (FSI), au projet de recherche et production de batteries commun à Renault, Nissan et au Commissariat à l'énergie atomique.

L'objectif est de produire 350 000 batteries lithium-ion d'ici à 2015 dans la future usine de Flins, dans les Yvelines.

Le P-DG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a affirmé lors du salon de l'automobile de Francfort qu'il n'investirait pas dans un pays sans aide gouvernementale mais les avis divergent sur la taille du marché à l'horizon 2020.

 

Le bonus écologique de 5 000 euros, réservé aux véhicules émettant moins de 60 grammes de CO2, est prolongé au moins jusqu'en 2012.

Le gouvernement prévoit qu'il concerne 100 000 véhicules et représente un coût de 470 millions d'euros.

Les gouvernements occidentaux rivalisent d'annonces d'aides au développement des voitures électriques depuis plusieurs mois. Le président américain Barack Obama a annoncé un plan de soutien de 2,5 milliards de dollars, espérant un million de modèles sur les routes américaines en 2015.

L'Allemagne souhaite voir circuler sur ses routes un million de voitures électriques en 2020, comme l'Espagne d'ici 2014.

Le gouvernement norvégien envisage quant à lui d'interdire la vente de voitures roulant exclusivement aux énergies fossiles à partir de 2015.

 

Reuters

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Invité §geg572mh

:jap:SUBARU

 

 

Tokyo 2009 – Subaru Concept Tourer hybride

 

Premières infos, premières photos… news du 30/09/2009

 

Avec le salon de Tokyo qui approche, il se tiendra du samedi 24 octobre au mercredi 4 novembre 2009, on devrait voir fleurir les annonces du côté des constructeurs japonais… Parmi les premiers à dégainer, Subaru avec ce concept de break hybride 4 places…

 

Côté châssis, les portes papillons reviennent à la mode, après Mercedes et sa SLS, Subaru les proposera sur son prototype. L'arrière fait quant lui furieusement penser à celui de l'Alfa Brera.

 

Sous le capot, on devrait retrouver, un de 2l turbo et deux moteurs électriques, un sur chaque essieu.

Les batteries sont lithium-ion. Il s'agira d'un véhicule 4 roues motrices..

 

Subaru précise que les moteurs électriques serviront d'appoint au bloc essence assistée d'une nouvelle transmission. Au démarrage ou à vitesses extrêmement faibles, le moteur électrique situé sur l'essieu arrière (20kW, 27 chevaux) devrait permettre de manœuvrer le véhicule.

A l'accélération, le moteur électrique fournissant un surcroît de puissance. Le moteur électrique situé sur l'essieu avant (10kW, 13 chevaux), servant, dixit le constructeur, à recharger la batterie lithium-ion, et amener si besoin un surcroit de puissance notamment en cote.

 

Dernière innovation enfin, mise en avant par le constructeur, l'apparition d'un nouveau système d'assistance à la conduite utilisant un système de double caméras afin de détecter tous les obstacles dans la trajectoire du véhicule et avertir le conducteur…

 

Etienne Thierry

 

 

Liens vers la galerie photo : Tokyo 2009 – Subaru Concept Tourer hybride

 

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Marchés - 01/10/2009

Borloo vise 2 millions de voitures électriques en 2020

 

Le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, détaille aujourd'hui son plan en faveur du développement des véhicules électriques avec l'objectif d'en voir circuler deux millions en France en 2020. L'Etat investira plus d'un milliard d'euros dans l'installation de bornes de recharge, l'adaptation du réseau, l'achat de véhicules, des aides à l'achat et aux constructeurs, rapporte Paris Match sur son site internet.

 

 

"Le grand emprunt pourrait être sollicité", écrit l'hebdomadaire.

Le ministère de l'Ecologie souhaite former un réseau de 4,4 millions de points de rechargement d'ici 2020, permettant d'alimenter deux millions de véhicules. La moitié des prises se trouverait chez les particuliers, les autres dans les entreprises, les commerces, et, dans une moindre mesure, dans la rue et les parkings publics.

En plus de l'enveloppe déjà allouée de 400 millions d'euros sur quatre ans pour encourager les constructeurs, 50 à 70 millions d'euros supplémentaires financeront la recherche sur les bornes de recharge et les échanges de batteries pour les taxis, peut-on lire dans l'hebdomadaire.

L'adaptation du réseau nécessitera 750 millions d'euros "pour agrandir les tuyaux et acheminer l'électricité aux bornes".

Elle sera coordonnée par ERDF, filiale d'EDF.

La semaine dernière, le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a confirmé la commande en 2010 de quelque 50 000 véhicules par l'Etat (10 000), les collectivités (14 000) et des entreprises partenaires (30 450). Cinquante mille nouvelles commandes sont prévues dans les prochaines années.

Il a aussi annoncé une contribution de 125 millions d'euros, via le Fonds stratégique d'investissement (FSI), au projet de recherche et production de batteries commun à Renault, Nissan et au Commissariat à l'énergie atomique.

L'objectif est de produire 350 000 batteries lithium-ion d'ici à 2015 dans la future usine de Flins, dans les Yvelines.

Le P-DG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a affirmé lors du salon de l'automobile de Francfort qu'il n'investirait pas dans un pays sans aide gouvernementale mais les avis divergent sur la taille du marché à l'horizon 2020.

 

Le bonus écologique de 5 000 euros, réservé aux véhicules émettant moins de 60 grammes de CO2, est prolongé au moins jusqu'en 2012.

Le gouvernement prévoit qu'il concerne 100 000 véhicules et représente un coût de 470 millions d'euros.

Les gouvernements occidentaux rivalisent d'annonces d'aides au développement des voitures électriques depuis plusieurs mois. Le président américain Barack Obama a annoncé un plan de soutien de 2,5 milliards de dollars, espérant un million de modèles sur les routes américaines en 2015.

L'Allemagne souhaite voir circuler sur ses routes un million de voitures électriques en 2020, comme l'Espagne d'ici 2014.

Le gouvernement norvégien envisage quant à lui d'interdire la vente de voitures roulant exclusivement aux énergies fossiles à partir de 2015.

 

Reuters

 

 

C'est bon ça on est sur la bonne voie ! :D

 

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Invité §geg572mh

:jap: Le bonus écologique de 5 000 euros, réservé aux véhicules émettant moins de 60 grammes de CO2, est prolongé au moins jusqu'en 2012.

 

 

C'est la date d'arrivée du gros flot de vh électrique ça ?

 

Bon , je vois le mal partout :Daxelay.gif.91f6cfd09e54d0ae379b34ef77560a7e.gif , ils vont rectifier pour lancer comme il le faut ces vhs dans les 5 premiére années j'espère , une bonne clarté a ce sujet est nécessaire , je compte acheter une électrique de ville en seconde voiture dés que l'on auras un peu de choix , il faut viser 2011 pour être sur des 5000 euros de subvention , si un trop grd nombre fait comme moi , ils vont vite rectifier le tire les politicards ( voir le "malus" pseudo écolo ) :D:Dadrien_sans_voiture.gif.fd5ff3e8bd5e6aa9e76536854b71ec6f.gifayumi_71.gif.f2134e427c1925969f733321b347f40b.gif

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Au fait, pour ma part j'adore rouler, je suis passionné par l'automobile.

Il n'en demeure pas moins que je préfèrerais rouler dans une voiture qui n'émette aucun rejet polluant !

Mon rêve serait de rouler à bord de la Honda FCX Clarity : Zéro rejet toxique, que de la vapeur d'eau !

Et je suis sûr que l'on peut prendre du plaisir à conduire une voiture mue par ce type de propulsion.

Je sais que la vente en grande série de ce type de véhicule n'est malheureusement pas pour demain, d'autant plus que notre gouvernement a une opposition de principe aux recherches sur les véhicules hydrogène pour des questions, là encore, d'obscurs intérêts économiques.

 

Patience Dav77, Honda a annoncé cet été une production de masse pour leur voiture à hydrogène à partir de 2016 ! Toyota a aussitôt annoncé la même chose.

 

Chez nous, Renault travaille avec Nissan sur la voiture à PAC H2 en partenariat avec Air Liquide qui produit chaque année des milliards de m3 d'hydrogène pour désulfuriser les carburants.

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.....Dernière innovation enfin, mise en avant par le constructeur, l'apparition d'un nouveau système d'assistance à la conduite utilisant un système de double caméras afin de détecter tous les obstacles dans la trajectoire du véhicule et avertir le conducteur

 

Est-ce que les képis et les jumelles peuvent être détectés ? :love:

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Invité §Ess650sw

Oui, les automobiles électriques et automobiles peuvent être belles, en plus ...

 

Sinon, avec modestie (et incertitude), permettez-moi de commenter ces propositions intéressantes concernant l'adoption des véhicules électriques et hybrides par le plus grand nombre, ce qui reste la question de fond (technologiquement, le véhicule électrique est au point depuis peut-être 20 ans, et les hybrides développés pour le ferroviaire depuis encore plus longtemps).

Si toutes les villes adoptaient des mesures positives du type disque vert, favorables au véhicules muent par de nouvelles technologie respectueuses de l'environnement, je pense que ça aurait un impact positif sur la demande de ce type de véhicules.

 

Mais malheuresement ça ne peut suffir tant que l'alternative aux véhicules thermiques traditionnels reste cantonnée à l'offre de 2 constructeurs au niveau mondial (Honda & Toyota).

Même s'il y a une incitation à l'usage de ces véhicules, cela peut juste provoquer un succès d'estime.

 

Seul le fait que ces véhicules deviennent "plus intéressants" pour l'utilisateur leur permettra de se développer, et l'offre apparaitra d'elle même.

 

Or pour l'électrique pur, tout reste à mettre en place (production, infrastructures de recharges), alors que justement les batteries coûtent cher tandis que les usines de voitures à moteur thermiques sont amorties ...

Sur les exemples d'incitation que vous donnez, en effet elles n'ont produit que peu d'effet.

Mais rien d'étonnant à cela : comment vouliez-vous que les véhicules GPL et GNV se développent dès lors que les pétroliers ne jouent pas le jeu et que le réseau de distribution de carburant est anecdotique ?

Ce n'est pas exact.

 

Roulant souvent au Gpl, avec la sécurité de la double carburation le nombre de pompes est largement suffisant pour une très large partie du territoire.

Le Gpl est actuellement un choix réaliste ... que très peu de gens adoptent.

 

Pour le Gnv, si Villepin voulait en développer l'usage, Sarkosi semble ne pas le souhaiter ce qui est une bêtise vu les réserves actuelles et le déphasage continu entre le prix du gaz et des autres carburants pétroliers sur les marchés.

 

A travers ces quelques mesurettes incitatives, y-a-t-il vraiment eu une vraie volonté politique de pousser le public à l'achat de véhicules propres contre le lobby pétrolier et le lobby de nos constructeurs nationaux accrochés au diesel comme une moule à son rocher ?

Je ne crois pas. Il a s'agit plus de gesticulations médiatiques pour donner le change à une inquiétude réelle sur les risques liés aux seuls changement climatiques (excluant d'ailleurs à tort les effets de la pollution sur la santé) tout en préservant les intérêts économiques de nos constructeurs automobiles et de TOTAL.

Il y a une forte part d'esbrouffe dans l'attitude de nos décideurs.

 

Mais il semblerait qu'ils se soient trop engagés pour ne pas réussir au moins une partie des objectifs.

 

Ils sont peut-être plus accrocheurs que nos précédents gouvernants ...

En conséquence, je persiste à penser que des mesures coercitives du style restriction/interdiction de circulation aux centres villes doublés de péages et taxes multiples n'apporteront rien de plus pour encourager la population à s'équiper en voitures hybrides ou électriques.

Les péages et taxes semblent effectivement ne rien modifier des grands équilibres, et souvent ne produisent que peu d'effets.

Voir sur le sujet: http://www.senat.fr/jds_archives/jds_01_07/regards.html et http://www.assemblee-nationale.fr/12/rap-off/i2757.asp

"(...) le même rapport de l’OPECST note que le coût du péage londonien a été élevé et les gains environnementaux faibles."

 

Pour le développement des véhicules électriques et hybrides, seul le fait de leur réserver certains endroits de circulation permettrait de les voir se développer.

 

Comme comparaison, là où on a dégagé des voies cyclables en site propre, on a vu l'usage du vélo se développer fortement...

Si il faut des mesures, c'est en amont qu'il faut agir, c'est à dire directement sur l'offre des contructeurs automobiles par l'intermédiaires de nouvelles normes visant à dégager à moyen terme de la production automobiles les modes de propulsion les plus polluants.

En d'autres termes, ça ne sert à rien de taper sur le consommateur, il faut obliger les industriels de l'automobile à muter l'ensemble de leurs gammes sur de l'hybride (au minimum) et de l'électrique et les obliger à investir dans le développement de nouvelles technologies de propulsion (Pile à combustible, recherches sur la production d'hydrogène de masse...).

Les industriels produisent ce qui leur permet de générer du profit ou de l'activité.

 

Il ne sert probablement à rien de faire pression sur eux, sauf à modifier les conditions économiques qui permettent de déplacer le marché (on pourrait presque dire créer un nouvel écosystème).

 

Pour autant les hybrides et électriques ne remplaceront les véhicules avec moteur à explosion que quand elles paraitront plus intéressantes à l'utilisateur.

 

Et bientôt rien ne partagera en terme de rejets les véhicules utilisant le pétrole des électriques (Co2 à part).

 

Si les premiers sont actuellement très polluants, c'est parce-qu'on laisse les constructeurs produire à bas prix sans protéger les citoyens par des normes efficaces sur les émissions dangereuses.

 

Si ces normes deviennent plus contraignantes, les véhicules essence ou diesel sauront s'adapter.

 

Les hydrocarbures ont de beaux jours devant eux ...

 

Et ni les unes, ni les autres ne sauront éliminer le Co2 (il faut bien produire l'électricité, qui au niveau mondial est essentiellement produit à base de charbon, générant beaucoup de Co2).

 

POURQUOI LES CONSTRUCTEURS JAPONAIS EN SONT CAPABLES ET PAS LES NOTRES !!! :pfff:

 

Parce le fait d'être leader permet de garder une certaine hauteur de vue et une petite marge financière pour se positionner sur le long terme, au lieu de viser une rentabilité "de mandat" (2 ou 3 ans renouvelables si bons résultats financiers pour un dirigeant important).

 

Ensuite Honda s'est lancé dans la course, en tant que challenger de Toyota sur son marché ...

 

Pour les constructeurs français et dans une moindre mesure européens il y probablement eu une erreur de stratégie, amplifiée par les gouvernements français et européens via la lutte contre l'effet de serre ...

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Invité §geg572mh

La France assume financièrement le pari de la voiture électrique

par Clément Guillou

 

PARIS (Reuters) - Recherche, développement du réseau, aides aux constructeurs : le gouvernement français ne doute pas de l'avenir des véhicules électriques et investira 2,5 milliards d'euros sur dix ans pour forcer la chance.

 

Même si l'endettement français est important, le mouvement doit être lancé, a dit le ministre de l'Ecologie à l'occasion de la présentation du plan français en faveur des véhicules électriques.

 

"Le risque, c'est de ne rien faire, comme les constructeurs américains.

 

Ça doit marcher et de toute façon, on n'a pas le choix", a expliqué Jean-Louis Borloo.

 

Les ministres, les constructeurs et EDF s'accordent à dire que la cohésion entre toutes les parties est impérative.

 

"Aucun acteur ne peut prendre le risque tout seul et si tous les acteurs prennent le risque en même temps, ça marche", assure Jean-Louis Borloo.

 

Les représentants de Renault, PSA Peugeot-Citroën et Heuliez l'ont fait comprendre au gouvernement : sans les aides à la recherche et à la production, sans l'aide de 5.000 euros à l'achat d'une voiture émettant moins de 60 grammes de CO2 au kilomètre, ils n'auraient pas osé.

 

"L'Etat doit clairement accompagner la démarche des constructeurs et il est important de mettre en place des infrastructures, de garantir la stabilité des aides pour nous donner de la visibilité", a dit Philippe Varin, P-DG de PSA.

 

Tous regardent avec appétit cette nouvelle filière mais les perspectives sont floues. Selon le ministère de l'Ecologie, elle représentera en France 16% du marché en 2020, 27% en 2025.

 

Les ventes de véhicules électriques ou hybrides rechargeables connaîtraient une croissance exponentielle à partir de 2015, atteignant deux millions d'unités en 2020 et 4,5 millions cinq ans plus tard.

 

UN MILLION DE PRISES EN 2015

 

Mais le pari est risqué, car aucune tentative de commercialiser à grande échelle des véhicules électriques n'a réussi jusqu'ici. "On a su tirer les leçons des échecs", assure Jean- Louis Borloo, qui pense que le marché se lancera une fois les infrastructures construites.

 

L'autonomie des modèles électriques qu'Heuliez, Renault et PSA commercialiseront en 2010 et 2011 ne dépasse pas les 150 à 200 kilomètres.

 

Aux côtés de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno et du ministre de l'Industrie Christian Estrosi, le ministre d'Etat a détaillé les investissements prévus.

 

Le "fonds démonstrateur" de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) est doté sur quatre ans de 470 millions d'euros pour financer des projets.

 

Le Fonds stratégique d'investissement (FSI) finance à hauteur de 125 millions d'euros, sur 625 millions, une usine de batteries au lithium dirigée par Renault à Flins, dans les Yvelines. L'Etat souhaite une batterie de fabrication française qu'utiliseraient tous les constructeurs nationaux.

 

Le coût du bonus écologique, prolongé jusqu'en 2012 pour faire démarrer le marché, est estimé à 470 millions d'euros pour 100.000 voitures.

Ensuite, "le marché sera suffisamment développé pour que le prix baisse et approche celui des véhicules normaux", estime Chantal Jouanno.

 

Le plus gros de la dépense consistera à adapter le réseau électrique et à construire un million de points de charge d'ici 2015, plus de 4 millions cinq ans plus tard.

 

La moitié seront chez les particuliers, presque autant dans les entreprises, et 75.000 points "de réassurance" doivent être construits dans la rue et les parkings.

 

Il en coûtera 1,5 milliard d'euros, dont 900 millions pourraient être financés par le grand emprunt national. Les collectivités locales seront aussi sollicitées.

 

Enfin, 50.000 commandes seront faites en 2010 par l'Etat (10.000), les collectivités (14.000) et des entreprises partenaires (30.450). Cinquante mille nouvelles commandes sont prévues dans les prochaines années.

 

Edité par Yves Claris

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Invité §geg572mh

:jap:amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gifSUBVENTION / BONUS 5000 euros que pour les 100.000 premiers vhs électrique ou hybride a moins de 60 g de rejet CO2 :non:

 

 

Jean-Louis Borloo, ministre de l'Environnement, et Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, ont détaillé hier leur plan en faveur du développement des véhicules électriques et hybrides.

Avec cette stratégie globale, le gouvernement vise un parc de 2 millions de véhicules en 2020 et le leadership mondial de "l’écomobile".

 

"Aucun acteur ne peut prendre le risque tout seul, mais si tous les acteurs le prennent en même temps, ça marche", a affirmé en introduction de la présentation du plan véhicule décarboné le ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo. "Nous sommes plusieurs partenaires et le succès de la bataille de la voiture électrique dépend de l’engagement de chacun de ces partenaires", a-t-il insisté en faisant référence notamment à l’Etat, aux constructeurs, aux électriciens, aux sociétés d’infrastructures et aux consommateurs. "L’équipe de France de la voiture écologique est prête", a résumé pour sa part Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie.

Cette "équipe" a un plan d’actions en 14 points pour parvenir "à faire de l'industrie énergétique et automobile française des leaders mondiaux".

 

Créer une filière batterie

 

L'Etat souhaite une batterie de fabrication française qu'utiliseraient tous les constructeurs nationaux. Pour cela, il participera à la création de la filière de batteries, en investissant 125 millions d'euros, sur 625 millions, par l'intermédiaire du Fonds stratégique d'investissement (FSI) dans le projet d'usine de batteries de Renault (en partenariat avec le CEA) à Flins (Yvelines). Les batteries produites pourront être vendus à d'autres clients. Bolloré, Saft et Dassault conduisent également des projets parallèles.

 

Produire des véhicules électriques et hybrides

 

"En quelques mois les constructeurs français ont réussi à se hisser au niveau de ceux qui avaient pris un peu d’avance sur nous", a souligné le ministre de l’Industrie, Estrosi.PSA commercialisera fin 2010 sa Peugeot iOn et une Citroën électrique ainsi que deux véhicules utilitaires électriques (Berlingo et Partner), "à des prix comparables à l’offre thermique", a assuré le PDG de PSA Peugeot-Citröen Philippe Varin. Viendront ensuite deux hybrides Diesel en 2011 (Peugeot 3008 et la Citroën DS5 hybrid 4) et une hybride rechargeable en 2012.

De son côté, Renault qui souhaite marquer "une véritable rupture", lancera 4 modèles 100% électriques entre 2011 et 2012.

Heuliez commercialisera la Friendly en 2010 et Bolloré a annoncé la commercialisation de la Blue Car en 2010. Enfin, BMW a choisi la France pour expérimenter sa Mini électrique et Daimler produira les premières séries de la Smart électrique à Hambach.

Une enveloppe de 100 millions d'euros, prévu dans la loi de finances 2010, sera en outre disponible pour appuyer Peugeot à Mulhouse ou Smart à Hambach dans la conception et la fabrication de leurs véhicules électriques.

 

 

 

Encourager la demande

 

Pour encourager les acheteurs à se tourner vers les véhicules électriques, l'Etat a confirmé le maintien jusqu'en 2012 du super-bonus de 5 000 euros pour les véhicules émettant moins de 60 g de CO2/km. Il concernera les 100 000 premiers véhicules vendus pour un coût de 470 millions d'euros. Ensuite, "le marché sera suffisamment développé pour que le prix baisse et approche celui des véhicules normaux", a estimé Chantal Jouanno.

Les hybrides dont les émissions sont inférieures à 135g/km continueront eux de bénéficier de l’aide de 2 000 euros de l’Ademe (comme les véhicules GPL ou GNV).

En parallèle, des achats groupés entre pouvoirs publics, grandes entreprises et collectivités assureront des commandes de 100 000 véhicules d'ici 2015 (lire Jean-Paul Bailly présente le cahier des charges pour l‘achat groupé de 100 000 véhicules électriques).

 

 

 

Travailler sur les infrastructures de charge

 

En 2015, un réseau d'un million de points de recharge sera constitué, implanté à 90% au domicile ou sur le lieu de travail. Pour soutenir cet objectif, un amendement gouvernemental à la loi Grenelle II impose l’installation de prises dans les parkings de tous les nouveaux immeubles en 2012 et dans tous les immeubles avec parkings existants à partir de 2015. En outre, 75 000 points de recharge de "réassurance" (en charge lente) devront être installés dans la rue et les parkings par ErDF (filiale d’EDF) . Le réseau de recharge passera à 4 millions de prises en 2020, soit l'équivalent de deux prises par véhicule. L'investissement global pour les infrastructures publiques est estimé à 1,5 milliard d'euros, dont 900 millions pourraient être cofinancés par l'Etat via le grand emprunt.

Par ailleurs, l’Ademe, doté d’un fonds de 70 millions d’euros (en plus des 106,9 millions d’euros des deux précédents appels à projets) lancera début 2010 un nouvel appel à projets "infrastructures de charges".

 

 

 

Créer une prise européenne

 

"Les automobilistes n’achèteront pas de véhicules électriques s’ils ne peuvent pas les recharger de l’autre côté de leur frontière. Il est donc nécessaire que nous nous entendions avec le reste de l'Europe pour avoir une prise commune", a souligné Christian Estrosi. Un accord a été trouvé avec l'Allemagne sur les caractéristiques d‘une prise unique. Les autres Etats européens pourraient s'y joindre d'ici fin 2009.

 

 

 

2 millions de voitures "décarbonées" en 2020

 

Avec cette "équipe" et ce plan d’action, la filière du véhicule "décarboné" devrait générer en France une activité économique de 15 milliards d'euros, estime le gouvernement. Il estime par ailleurs que, sans l’hypothèse d’une flambée du prix du pétrole et à marché constant, les ventes de véhicules neufs électriques et hybrides devraient représenter 16% du marché en 2020 (7% en 2015 et 27% en 2025). A cette date, le parc de véhicules électriques et hybrides devrait alors compter 2 millions de voitures en 2020 puis plus que doubler dès 2025 (4,5 millions de voitures).

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Invité §geg572mh

:jap:MICHELIN

 

30 septembre 2009 / Michelin développe un pneu spécifique pour les voitures électriques

 

Si le pneumatique absorbe approximativement 20% de l’énergie lors du déplacement de la voiture, ce chiffre peut monter jusqu’à 40% sur une voiture électrique. C’est du moins le chiffre annoncé par Michelin lors du salon de Francfort. Par ailleurs, ce type de véhicule présente également quelques autres particularités qui a intéressé le manufacturier : une quasi absence de bruit de fonctionnement et une problématique autonomie/capacité de batterie.

 

Michelin a en conséquence développé un pneu mieux adapté au véhicule électrique. Il est ainsi d’un grand diamètre et relativement étroit afin d’abaisser la résistance au roulement et donc de minimiser son effort à l'avancement. Par ailleurs, le grand diamètre associé à un profil bas permet de réduire le nombre de rotation pour une même distance parcourue et de limiter les déformations des flancs. Le grand diamètre apporte aussi une plus grande longévité.

 

 

La résistance au roulement est également abaissée par un nouveau dessin de la sculpture de la bande de roulement. Elle est constituée de longs sillons longitudinaux, étroits et directionnels, suffisamment profonds pour évacuer l’eau mais sans pavés pour limiter les déformations.

Ces sillons sont, en outre, à espacement variable afin de réduire son bruit de roulement.

 

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:jap:amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gifSUBVENTION / BONUS 5000 euros que pour les 100.000 premiers vhs électrique ou hybride a moins de 60 g de rejet CO2 :non:

 

 

Ou comment empêcher le développement des véhicules électriques sans que celà ne soit trop visible.

 

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Invité §geg572mh

6 octobre 2009

IBM vise une autonomie automobile de 800 km avec une batterie Lithium-Air

 

Le centre de recherche d’IBM, en collaboration avec d’autres sociétés et organisations, a présenté un plan de développement d’une batterie lithium-air viable commercialement.

Ce projet baptisé "Battery 500" devrait permettre à un véhicule électrique d’atteindre 800 km d’autonomie.

S’ils arrivaient à leur fin, la batterie mettrait à mal l’intérêt de la pile à combustible et lèverait un des freins majeurs de la voiture électrique.

 

Le principe de fonctionnement est de pulser de l’air dans la batterie plutôt que de stocker un second agent de réaction dans les cellules. La batterie ne fonctionnerait donc plus de façon hermétique. La principale limite serait la surface des électrodes.

L’énergie massique de la batterie lithium-air serait de 5000 Wh/kg alors que les meilleures batteries lithium-ion actuelles pour les voitures électriques ne dépassent pas les 180 Wh/kg !

Ce chiffre est encore plus étonnant lorsqu’il est comparé à celui de l’énergie fossile. En effet, l’essence présente une valeur de 13’200 Wh/kg mais le rendement de la chaîne de traction du moteur thermique sur un cycle d’utilisation est très largement inférieur (environ 15% contre 65%).

 

IBM se donne 2 années de recherche pour déterminer la viabilité du projet "Battery 500"

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Invité §ste231ya

 

 

Le centre de recherche d’IBM, en collaboration avec d’autres sociétés et organisations, a présenté un plan de développement d’une batterie lithium-air viable commercialement.

Ce projet baptisé "Battery 500" devrait permettre à un véhicule électrique d’atteindre 800 km d’autonomie.

S’ils arrivaient à leur fin, la batterie mettrait à mal l’intérêt de la pile à combustible et lèverait un des freins majeurs de la voiture électrique.

 

Hou la la !! ça c'est pas un pavé dans la marre c'est l'oasis au milieu du desert !! 1101681198_alexnorev.gif.0cdf74db8ea974e1d3381b1def4c7b86.gif

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Invité §geg572mh

jeudi 08 octobre 2009

 

La smart fortwo electric drive sera produite en France à partir de 2012

publié par Lauraux Matthieu dans: Smart Citadines Economie Electriques

 

 

Deuxième cocorico électrique ! Après le fameux plan du gouvernement “véhicules électriques”, une de ses applications est confirmée pour 2012. Il s’agit de la production de la prochaine smart fortwo electric drive, débutant donc dans 3 ans, dans l’usine de Hambach (Moselle).

 

L’évènement est donc soutenu par le gouvernement, qui aidera financièrement Daimler pour son projet grâce à la Prime d’aménagement du Territoire. Le Président Nicolas Sarkozy a même fait le déplacement avec son Ministre de l’Industrie Christian Estrosi pour rencontrer sur le terrain le PDG de Daimler Dieter Zetsche et sa moustache légendaire ainsi que la protagoniste micro-citadine blanche et verte à quatre roues.

 

2012, cela semble lointain, mais cette date n’annonce que la production à grande échelle. Les premiers exemplaires seront fabriqués dès maintenant avec un objectif de 1.000 unités à partir de novembre 2009. Ces premiers modèles serviront de test grandeur nature afin d’être au point d’ici la commercialisation finale.

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Invité §geg572mh

:jap: Suite .......

 

DAIMLER PRODUIRA LA SMART FORTWO ED A HAMBACH EN 2012

 

9 octobre 2009

 

Daimler a annoncé qu’il produirait la Smart ForTwo ED (électrique) dans son usine de Hambach, en Moselle, à partir de 2012.

L’investissement sur le site s’élèvera à plus de 10 millions d’euros, dont 1,5 million d’aides du gouvernement français.

 

Les 1 000 premières Smart ForTwo ED seront fabriquées à Hambach à partir de novembre en vue d’une mise sur le marché en fin d’année ; la production de série démarrera en 2012.

 

La Smart ForTwo ED sera équipée d’une batterie lithium-ion qui lui confèrera une autonomie de 115 km ; elle pourra être rechargée sur une simple prise de courant.

 

Daimler prévoit un coût d’utilisation de 2 euros aux 100 km, soit trois fois moins que la version essence.

 

(FIGARO, LIBERATION, AUTOACTU.COM 9/10/09, AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 8/10/09

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Invité §mil351sh

Comme le titre du topic est "VHs électrique / hybride / ( sauf PRIUS/ CIVIC/LEXUS)"...

 

voici qu'airbus s'y met ;)

 

L’avionneur a conclut un partenariat avec Intelligent Energy pour alimenter ses groupes auxiliaires de puissance (APU) avec des piles à combustibles. Une nouvelle étape pour Airbus dans sa quête de l’avion vert.

 

L’industriel anglais, Intelligent Energy a annoncé hier la fourniture à Airbus de piles à combustibles pour alimenter ses groupes auxiliaires de puissance. Ces piles, délivrant 30 Kw de puissance sont destinées à alimenter le bord de ses futurs avions commerciaux.

 

En adoptant ces piles Airbus réduit les nuisances sonores des avions lors des phases de roulage sur les aéroports et bien sûr l’émission de dioxyde de carbone comme le confirme le PDG d’Intelligent Energy, Henri Winand, « Les piles à combustible permettent non seulement de réduire les émissions et la consommation de carburant mais, à une époque où la lutte contre la pollution carbonique est à l'ordre du jour, les compagnies aériennes peuvent diversifier leur base d'alimentation en carburant, devenant moins tributaires de la volatilité des prix du combustible ».

 

La technologie utilisée est déjà à l’œuvre dans la fourniture d’énergie motrice pour les taxis londoniens hybrides, ainsi que les taxis bleus en France. Airbus pour sa part étend ses expérimentations. En mars 2008, l’avionneur s’associait en effet à Liebherr Aerospace, Michelin et l'office allemand de recherche aéronautique DLR pour réaliser le premier essai d'une pile à combustible à bord d'un avion commercial.

 

Les premiers tests seront réalisés au centre d’essai d’Aerotec à Hambourg, en Allemagne.

L'usine nouvelle.

 

 

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Invité §geg572mh

 

Une voiture électrique à 12 000 euros en 2013 ( sans les batteries)

 

Hiroshi Shimizu, spécialiste japonais des voitures électriques, vient d’annoncer la création de SIM-Drive, un nouveau constructeur qui devrait mettre sur le marché un modèle 100%électrique pour 12 000 euros en 2013.

 

Lors d’une conférence de presse, ce professeur d’université a présenté son programme soutenu par de nombreux partenaires nationaux. En échange, SIM-Drive mettra le fruit de ses recherches à la disposition des constructeurs, motoristes et équipementiers intéressés (et désirant investir dans le projet).

 

“C’est un modèle de développement ouvert et coopératif”, annonce-t-il. “Nous avons déjà mis au point une technologie pour équiper une voiture électrique.

 

Notre objectif est de pouvoir proposer un véhicule à un prix inférieur à 1,5 millions de yens.”

 

Seul bémol, la batterie n’est pas comprise dans ce coût d’achat.

 

Afin de faciliter l’accession à la propriété de véhicules électriques, SIM-Drive préfère “louer” les batteries et étaler le paiement à l’image de passages à la pompe.

 

Côté technique, Shimizu - qui a déjà fait rouler huit prototypes - a choisi de développer un moteur par roue au lieu du traditionnel unique moteur délivrant la puissance à deux ou quatre roues.

 

Par Fabien Volari le 11 octobre 2009

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Invité §geg572mh

L’ELECTRIQUE REPRESENTERAIT 0,5 % DE LA PRODUCTION EN 2015

 

12 octobre 2009

 

Le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC) estime que les véhicules électriques ne représenteront que 0,5 % de la production automobile mondiale en 2015, soit environ 0,4 million de véhicules, contre près de 78 millions de véhicules à combustion. « Le développement du véhicule électrique dépendra de nombreuses conditions, notamment du soutien des gouvernements et de l’harmonisation des normes, ainsi que de la rapidité des progrès technologiques sur les batteries », indique PwC.

 

Les véhicules hybrides devraient en revanche faire une percée sensible et représenter 4,5 % de la production mondiale en 2015, soit environ 3,6 millions de véhicules.

 

A l’horizon 2020, la production des véhicules électriques pourrait totaliser entre 0,76 et 2,4 millions d’unités, en fonction des programmes gouvernementaux. (AGEFI 9/10/09, AUTOACTU.COM 12/10/09)

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Invité §geg572mh

:jap:GM

 

 

80 Chevrolet Volt pré-produites

 

Le long processus du concept à la production se poursuit pour la Chevrolet Volt. Présentée pour la première fois en janvier 2007, la Volt est aujourd’hui devenue l’espoir de la marque américaine pour l’avenir. 80 voitures ont été pré-produites avant le lancement commercial dans un an.

La 80e et dernière Chevrolet Volt est sortie des chaînes de pré-production de Warren dans le Michigan.

Désormais, cette voiture – comme ses devancières – va subir une série de tests pour fiabiliser la voiture, comme pour n’importe quel autre modèle prêt à être commercialisé.

Durant le premier trimestre 2010, General Motors va finaliser les définitions du modèle qui sera assemblé dans l’usine de Detroit Hamtramck. Les premières livraisons restent prévues pour la fin d’année 2010.

 

A lire aussi : Les premières Chevrolet Volt de pre-production et Chevrolet Volt : 50 000 clients potentiels ?

 

Par Fabien Volari le 14 octobre 200

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Invité §geg572mh

Autour de l'auto - 16/10/2009

DBT prêt à fournir les 75 000 bornes de recharge

 

 

Dans le cadre des tables rondes sur l'avenir de l'électrique, organisées à Equip'Auto, la société DBT évoque le rôle des bornes de recharge.

 

Dans le cadre de son plan pour le développement de la filière véhicules électriques en France, le gouvernement a annoncé la mise en place de 75 000 bornes de recharge accessibles à tous d’ici 2015.

La société DBT, installée à Douai, a déjà installé 4 300 bornes dans 45 villes en France depuis 1994 et se positionne naturellement pour répondre à la demande sur ce marché. "Il ne faut pas commettre la même erreur que par le passé.

Il faut créer l’infrastructure de recharge avant que les véhicules arrivent en 2011/2012", prévient Hervé Borgoltz, président de DBT.

Les utilisateurs de véhicules électriques rechargeront leur batterie chez eux, le plus souvent au cours de la nuit, mais avec 100 kilomètres d’autonomie et moitié moins si la température descend à 0 degré, les bornes de recharge accessibles à tous permettront de les dépanner.

 

Ces bornes de secours, nécessitant des temps d’immobilisation du véhicule de 1 à 2 heures, pourront être installées sur la voierie ou sur les parkings des entreprises commerciales, les grandes surfaces en particulier. Hervé Borgoltz évoque un prix de 500 à 800 euros par prise, chaque borne pouvant en posséder plusieurs. "Le prix dépend de nombreux critères, l’ampérage, le lieu, l’intégration ou non dans le mobilier urbain. Ce qui est sûr, c’est que le coût de fabrication baissera avec les volumes".

Concernant la facturation de l’électricité, dont EDF a le monopole, Hervé Borgoltz rappelle qu’elle est fournie aujourd’hui gratuitement par la mairie de Paris. "Le prix sera déterminé par un protocole entre chaque ville et EDF mais les coûts de recharge sont si faibles que cela ne posera pas de problèmes majeurs", dit-il.

Les entreprises commerciales, comme les grandes surfaces, pourraient demander à leurs clients d’utiliser la carte de paiement du magasin, une carte rechargeable ou la fonction Moneo de leur carte bleue.

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Invité §geg572mh

LES VENTES DE VEHICULES HYBRIDES ONT RECULE DE 15 % SUR 9 MOIS ( source CCFA)

 

16 octobre 2009

 

Les ventes de véhicules hybrides aux Etats-Unis ont reculé de 15 % sur les neuf premiers mois de 2009, à 220 594 unités, en partie en raison de la stabilité des prix de l’essence aux alentours de 2,50 dollars le gallon durant l’été. Les hybrides ont représenté 3 % environ des 7,8 millions de véhicules vendus sur le marché américain depuis le début de l’année.

 

Malgré un recul de 28 % de ses ventes de véhicules hybrides entre janvier et septembre, à 144 351 unités, Toyota conserve toujours une nette avance sur ses concurrents. Honda occupe la deuxième place sur ce segment du marché, avec 29 958 véhicules écoulés sur neuf mois (+ 8 %), suivi de Ford, dont les ventes ont progressé de 73 %, à 26 016 unités. General Motors est quatrième (12 556 unités, + 39 %) et Nissan cinquième ( 7 713 unités, + 7 %).

 

Les trois modèles hybrides les plus vendus sur les neuf premiers mois de l’année ont été la Toyota Prius (104 794 unités), la Toyota Camry (18 502) et la Honda Insight (15 791 unités). (AUTOMOTIVE NEWS 15/10/09)

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Invité §geg572mh

Une Mitsubishi électrique en France fin 2010

 

Une tournée jusqu’à la fin de cette année va permettre d’essayer la i-MiEV en France, une petite berline électrique produite par Mitsubishi qui devrait être mise sur le marché en fin d’année prochaine. Cette tournée passera par Paris, Nancy, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes.

La i-MiEV est commercialisée au Japon depuis l’été exclusivement à destination des professionnels. Les ventes y seront ouvertes au grand public en avril prochain.

« En France, le gouvernement est très intéressé au développement des voitures électriques et est aussi prêt à investir pour les infrastructures », observe M. Teshima dans des propos rapportés par l’AFP. « Le fait de commercialiser ces modèles va faire avancer le développement des infrastructures nécessaires », ajoute-t-il en affirmant que les premières i-MiEV françaises seront disponibles en France en fin d’année prochaine.

 

Au Japon, la voiture est vendue 24 000 euros, primes gouvernementales déduites.

 

 

Par Fabien Volari le 19 octobre 2009

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Une Mitsubishi électrique en France fin 2010

 

Au Japon, la voiture est vendue 24 000 euros, primes gouvernementales déduites.

 

 

24000 € au Japon c'est plus que le prix du plus haut de gamme de la Prius et c'est pas loin du prix de l'entrée de gamme de la Nissan 370 Z ! Le prix actuel des batteries est un énorme handicap pour la voiture électrique.

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Invité §geg572mh
:jap: C'est sur , la location des batteries sera la solution dans un 1 er temps ......mais question cout d'utilisation ça sera un handicap difficile a surmonté au départ amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gif sauf augmentation sévère du cout des carburants , mais c'est une autre histoire ......
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Invité §geg572mh

Mitsubishi : une Lancer EVO hybride pour 2013

 

Par Fabien Darbois

Publié le Lundi 19 Octobre 2009 à 17h20

 

Selon le magazine britannique Autocar, la tonitruante Lancer EVO pourrait être le premier véhicule Mitsubishi à bénéficier de la technologie hybride présentée sur le PX-MiEV Concept (lire notre Article).

 

En l'occurrence il s'agira de l' Evolution XI, déclinaison sportive de la prochaine génération de berline Lancer qui fera son apparition en 2013.

 

L'Outlander 3, pour lequel l'étude PX-MiEV donnait clairement des indices stylistiques, ne bénéficierait de cette motorisation hybride rechargeable sur secteur que dans un second temps.

 

Reste à savoir si ce moteur plug-in hybrid sera également proposé sur les successeurs des Peugeot 4007 et Citroën C-Crosser, tous deux étroitement dérivés du Mitsubishi Outlander 2.

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Invité §geg572mh

:jap: Enfin du concret , on se met au volant :D:D:D

 

[2009-10-20]

Essai Mitsubishi i-MiEV : Webcarnews se met à l’électrique !

 

Nous l'avouons sans honte, c'était notre première fois ! Paraît-il que c'est douloureux, pourtant l'essai de la Mitsubishi i-MiEV, une des premières voitures électriques en vente légale, s'est déroulé sans encombre et nous y avons étonnement pris du plaisir. Récit de cette prise en main dans les rues de Paris.

 

Au risque de heurter certaines sensibilités, nous étions aussi impatient de prendre le volant de la Mitsubishi i-MiEV que celui d'un coupé aux courbes sensuelles et au V8 hurlant. Oui et nous assumons car au-delà d'une grande première, nous voulions nous forger notre propre idée, sans à priori, sur la voiture électrique. Premier contact : la petite Japonaise n'est pas un canon de beauté et tient plutôt de la boîte à chaussures que de la citadine chic et branchée. Les adeptes de la critique esthétique bon marché façon « l'écologie c'est moche » vont pouvoir s'en donner à coeur joie.

Qu'ils attendent la suite, ils changeront sûrement d'avis.

 

Une fois la frêle portière ouverte, on découvre un habitacle pour le moins banal meublé par des plastiques peu flatteurs et par une dotation sommaire : climatisation, autoradio et c'est tout. L'ambiance est austère, mais pour sa défense notre modèle d'essai était un véhicule de présérie à conduite à droite dont l'aménagement intérieur et l'équipement sont susceptibles d'être modifiés, Mitsubishi étant phase d'étude commerciale pour l'Europe. Un bon point tout de même pour l'habitabilité plutôt correcte compte tenu du gabarit réduit de l'auto : 3,39 m de long pour 1,47 de large.

 

Surprenant !

 

Assez bavardé, il est temps de prendre la route, son physique et son accueil auront bien le temps de se bonifier, place à l'action. On s'y attendait un peu à vrai dire, mais en tournant la clé on reste toujours surpris par l'absence de bruit mécanique. Levier de vitesse sur « Drive » et c'est parti. L'I-MiEV s'élance avec une vigueur surprenante, le tout dans le plus grand silence. D'une puissance de 47 kW (63 ch) le moteur électrique de l'i-MiEV est un bloc synchrone à aimant permanent alimenté par un pack de batteries lithium-ion de grande capacité logé sous le plancher.

Rechargeable à 100 % en 7h sur une simple prise domestique et à 80% en 30 minutes sur une borne de charge rapide, il autorise une autonomie d'environ 160 km.

Amplement suffisant pour ceux qui effectuent l'essentiel de leurs déplacements en zone urbaine ou périurbaine.

À noter que la voiture est également dotée d'un système de récupération d'énergie au freinage.

Enfin côté performances, l'i-MiEV réalise le 0 à 80 km/h en 10''6 et peut atteindre 140 km/h en pointe.

 

À son volant, les kilomètres défilent sans douleur et on se surprend à apprécier la conduite en ville.

On descend alors le levier sur la position « Eco » qui limite l'arrivée de couple pour consommer encore moins d'énergie.

Rappelons aussi un point très important, l'i-MiEV ne rejette aucune émission polluante et affiche un coût d'utilisation dérisoire, moins de 2 EUR le « plein ». Dernier mode du levier « Boost », l'i-MiEV entame un léger sifflement façon avion au décollage et ses 180 Nm de couple arrivent sans ménagement.

Le poids réduit (1 080 kg) de l'auto aidant, l'accélération se fait plus intense et surprend une fois de plus par sa vivacité.

Côté comportement, notre faible temps d'essai ne nous a pas réellement permis d'apprécier toutes les qualités dynamiques de l'i-MiEV, mais nous saluons tout de même son équilibre et sa stabilité, dus en partie à son empattement long et à son centre de gravité bas.

On notera enfin des suspensions plutôt sèches et un freinage manquant de mordant.

 

Même si l'électrique doit encore y mettre les formes, il a incontestablement du bon .

Tout d'abord par la sérénité qu'il apporte au volant, ensuite par son potentiel en matière de performances et enfin par les économies qu'il permet de réaliser.

Parmi les pionnières de cette technologie, la Mitsubishi i-MiEV sera dans les années à venir une des valeurs sûres pour qui voudra se convertir. Déjà vendue au Japon aux entreprises et administrations à 1 400 exemplaires, elle sera disponible auprès des particuliers en avril contre 35 000 dollars soit un peu plus de 23 000 EUR.

Pour la voir en France, il faudra patienter jusqu'en 2011, moment où sa jumelle Peugeot Ion dont Mitsubishi sera le fabricant arrivera elle aussi sur le marché.

 

 

Damien RULIERE

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