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Anecdotes de guerre (Index page 1)


jensen
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Invité §naj182kQ

Pour en finir avec le Tigre, on peut voire par ses lignes anguleuses et sa caisse "au carré" qu'en fait sa gestation est ancienne. Son successeur, le Tigre II, tire les enseignements du combat et adopte des blindages inclinés, garant d'une meilleure protection.

 

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/59766/tigre2b.jpg

 

Première version du Tigre II, avec une tourelle Porsche.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/59766/tigre2.jpg

 

Deuxième version du Tigre, avec une tourelle Henschel, mieux conçue parce que sa forme trapézoïdale fait ricocher les projectiles vers le haut, au lieu d'être un "piège à obus" au risque de coincer la tourelle sur son anneau de rotation. :/

 

A noter d'ailleurs que Porsche à eu peu de chance dans la conception de ses chars, la majorité on connut l'échec. :/

 

Jusqu'au lancement du cayenne... :cyp:

 

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Invité §Glm886zo

Quelques précisions supplémentaires sur le Tigre. Les roues à reconvrement, bien que posant quelques problèmes (démontage long, gel durant l'hiver), avaient aussi quelques avantages : conduite très souple, possiblité de rouler même avec quelques roues en moins et elles faisaient souvent exploser les projectiles avant qu'ils n'arrivent contre la coque.

 

Porche a toujours eu une mentalité d'ingénieur, peut compatible avec les réalités de la guerre : matériel trop complexe, peu fiable, à l'utilité pas toujours démontrée...

 

Le plus stupide étant l'absence de mitrailleuse pour la protection rapprochée sur le Ferdinant.

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c'est bon, j'ai tout lu, mon constat, c'est le plus beau topic de FA

 

tonton jensen, je t'adore dans ton rôle de narrateur, que c'est bon de te lire

 

je prépare en ce moment un sujet sur l'épopée d'un sous marin américain mais cela sera en plusieurs chapitres, est ce que cela vous gênera?

 

un autre que je recherche encore sur la période après guerre de porsche en ....France

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Invité §KAL330Vd

c'est bon, j'ai tout lu, mon constat, c'est le plus beau topic de FA

 

tonton jensen, je t'adore dans ton rôle de narrateur, que c'est bon de te lire

 

je prépare en ce moment un sujet sur l'épopée d'un sous marin américain mais cela sera en plusieurs chapitres, est ce que cela vous gênera?

 

un autre que je recherche encore sur la période après guerre de porsche en ....France

 

 

 

Si l´affaire est bouclée en quelques jours pourquoi pas :buzz:

 

 

 

 

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extrait du livre de Edward L. BEACH: SUBMARINE écrit en 1966

 

il énonce l'épopée d'un sous marin américain

 

********

 

Le sous marin américain BATFISCH appareilla de PEARL HARBOR le 30 décembre 1944 pour exécuter sa 6è croisière de guerre.

 

Celle ci allait faire époque et exercer une influence qu'on peut encore discerner aujourd'hui. (1966)

 

il était commandé par le capitaine JK. Fyfe, sorti de l'école navale avec la promotion de 1936, qui avait déjà derrière lui un remarquable passé de sous marinier. Du moment où il renvoya le patrouilleur qui l'avait escorté dans le chenal de pearl harbor, jusqu'à son arrivé à guam (ile du pacifique), jake fyfe maintint son batiment à la vitesse maximum.

 

De même que la plupart de ses camarades, il ne voyait aucune raison de retarder l'arrivée dans le secteur d'opérations, en dehors de l'obligation d'économiser le combustible.

 

La prise de Guam avait fait disparaitre cette obligation en ce qui concernait cette partie de la traversée.

 

Par contre après avoir quitté guam ou saipan, il convenait de se montrer plus économe dans l'éventualité d'une chasse prolongée ou d'une longue mission spéciale.

 

Le batfish arriva le 9 janvier 1945 à guam et en repartit dès le lendemain pour gagner un secteur situé au nord des phillipines.

 

Le 12, il prit ce qui était probablement son premier contact de la croisière et qui annonça le tour que celle-ci allait prendre.

 

Un périscope émergea soudainement à qu'elle distance sur l'avant. étant donné qu'on ne s'attarde pas à discuter avec un sous marin ennemi qui a le pas sur vous et que, d'autre part, jack était fort pressé d'arriver dans son secteur où il devait prendre position sans délai pour recueillir les aviateurs tombés à la mer, il fit donner tout ce qu'il put à ses moteurs afin de s'éloigner au plus vite.Nos sous marins aperçurent d'assez nombreux périscopes nippons pendant la guerre.

 

les japonais comprirent jamais qu'il faut se montrer doublement prudent quand vous vous heurtez à l'un de vos congénères; par contre, il n'y eut pas d'enseignement dont nous sûmes profiter.

 

La période du 13 janvier au 9 février fut assez mauvaise pour le Batfisch. il perdit deux jours à rechercher des aviateurs signalés comme étant tombés à la mer à son voisinage, visita 28 jonques pour s'assurer de ce quelles transportaient et plongea à diverses reprises pour des avions ennemis occasionnels. Puis, le 89 février, comme il patrouillait dans le Babuyan channel, au sud de l'ile de gamiguin, l'opérateur du radar aperçut quelque chose sur l'écran.

Ce quelque chose attire son attention-- il regarde de plus près-- le voici ici -- le voilà encore! :??:

 

ce n'est pas le spot habituel sinon il n'hésiterait pas à crier: "contact radar", ce qui mobiliserait immédiatement le navire pour l'action. C'est beaucoup plus complexe: un faible clignotement du rayonnement -- une instabilité passagère dans les tubes à rayons cathodiques vert et ambre.--qui vient et va.

 

Presque machinalement, il note l'heure et le gisement dans lequel se produit cette vacillation. puis, au bout d'un certain temps, il demande: "Le commandant dans le kiosque." Pas le temps de ce perdre en cérémonies. il veut voir son commandant, et sans délai.

 

 

Jake Fife qui reposait tout habillé sur sa couchette pour essayer de fermer l'œil pendant quelques minutes, est aussitôt prévenu? Quelques minutes plus tard, il arrive dans le kiosque.

 

L'opérateur lui montre son écran "le voici commandant. Le voici encore. Je l'ai remarqué il y a une minute."

 

La brave officier marinier ne se rend pas justice: entre le moment où il s'est rendu compte que quelque chose sortait de l'ordinaire et celui où Fyfe est arrivé auprès de lui, il n'a guère pu s'écouler que 30 secondes.

 

Le commandant regarde l'appareil, réfléchissant à ce que bien signifier ce qu'il voit. C'est quelque chose de nouveau et aussi de sinistre --Il lui semble que cela éveille une idée en lui--il faudrait la préciser-- et tout à coup, comme un éclair, il trouve l'explication!

 

si elle est exacte, cela signifie que le sous marin court un grave danger avec une chance de s'en sortir et peut être d'ajouter un autre scalp à sa ceinture. Si elle est fausse, ce qu'il va faire risque de le conduire dans une situation encore pire. Mais jack sait ce qu'il fait. Il ne joue pas avec une idée biscornue.

 

"isolez le radar" ordonne-t-il. L'opérateur tourne le commutateur en regardant son commandant d'un air interrogateur.

 

"Qu'en pensez vous?" lui demande Fyfe.

 

"j'ai l'impression que c'est un autre radar, commandant" répond-il sans hésitation.

 

"quel autre?"

 

l'opérateur reste coi et c'est jack fyfe qui donne lui même la réponse:

 

"un sous marin japonais"

 

 

Sous marin contre sous marin!! Le chasseur chassé!! :p

 

La plus grande crainte de nos sous marinier pendant la seconde guerre mondiale, fut toujours qu'un congénère les attaquât pendant qu'il naviguaient en surface.

c'est extrêmement simple. Il suffit de découvrir l'autre le premier, soit à la vue, soit au radar, de plonger sur sa route et de lui lâcher ses torpilles au passage.

 

la seule condition, c'est de la trouver le premier nos sous marin croisaient autour des côtes japonaises comme si ils avaient été chez eux.. Ils condescendaient habituellement à plonger que lorsqu'ils étaient en vue de la côte ennemie afin de pas être aperçus par des veilleurs terrestres ou des avions de patrouille, car il est impossible de couler des navires s'ils restent au port à cause de votre présence au large. Mais hors de vue de la terre et sans avion dans les environs, les sous marins américains demeuraient ordinairement en surface. ils augmentaient ainsi leur horizon et la vitesse leur permettait de gagner de nouveaux postes.

 

Il ne faut pas oublier que la cinquantaine de bâtiments affectés à la recherche des aviateurs tombés à la mer, vers la fin des hostilités, étaient obligés de rester en surface, qu'ils fussent en vue ou non de terre! Pas étonnant si les veilleurs de nos sous marins étaient les meilleurs de la flotte.

 

Les sous mariniers américains, pris dans leur ensemble, connaissaient trop bien l'effet dévastateur causé par une paire de torpilles bien lancées et arrivant par surprise pour ne pas prendre toutes les précautions possibles afin de pas se trouver eux même à l'autre bout du sillage. Leurs bâtiment sont très robustes mais leurs réserves de flottabilité est si faible qu'il suffit d'un impact de torpille pour l'annuler, le détruire!

 

Même si il est parfaitement indemne par ailleurs, le sous marin embarque assez d'eau pour couler immédiatement au fond de la me, en entrainant la grande partie de son équipage avec lui. Le TANG en fournit un bon exemple.

D'habitude, quand un sous marin coule, il y a pas de survivants, sauf dans le cas des Allemands qui avaient coutume de faire surface et d'évacuer leur navire quand ils étaient grenadés fortement.

 

Le sous marin qui attaque à la dérobée, est par conséquent extrêmement vulnérable à une attaque de ce genre, il ne faut pas commettre l'erreur de mésestimer les équipages des congénères ennemis. Du seul fait qu'ils servent sur les bâtiment de ce genre, ils sont composés d'homme triés sur le volet, rien ne permet de penser qu'ils connaissent moins bien leur métier. Les chances sont absolument égales. Il ne peut y avoir de supériorité que dans l'habileté tactique et le matériel.

 

Les sous-marins nains mis à part, le premier submersible nippon coulé par l'un des nôtres fut l'I-173 que le Gudgeon torpilla le 27 janvier 1942. Le dernier fut détruit par le Spikefish le 13 aout 1945. Entre ces deux dates, 23 autres furent victimes de nos sous marins. mais nous sommes navrés d'enregistrer que 5 des nôtres succombèrent sans doutes du fait de leurs congénères nippons . les archives japonaises sont si pauvres qu'il est malheureusement impossible d'établir les circonstances précises dans lesquelles disparut chacun de nos submersible perdus. Il n'en demeure pas moins que dans la conviction de nos camarades, l'ennemi envoyait des sous marins nains, montés par deux hommes, pour les guetter pendant la nuit.

 

A la fin de la guerre, presque tout les rapports de croisières signalaient qu'une ou plusieurs torpilles avaient été lancées contre le bâtiment.

 

 

 

"Isolez le radar!"

 

jake Fyfe se retourna vers les hommes du kiosque, surpris et commanda:

" postes de combat pour une attaque à la torpille"

 

l'homme de barre avait déjà, instinctivement,étendu la main dans la direction du bouton d'alerte. Il l'actionna alors. Le son résonna dans tout le navire, pénétrant les recoins, réveillant les hommes que la fatigue avait fait étendre sur leur couchette afin de dormir enfin éternellement, -- c'est à dire jusqu'au prochain quart-- les jetant sur leurs pieds, l'esprit immédiatement clair, et les faisant courir vers leurs postes de combat, le tout en l'espace d'un moment.

 

" Que ce passe-t-il? Que ce passe-t-il?"

 

" je ne sais pas, quelque chose au radar"

 

" le commandant dit qu'il y a un sous-marin jap"

 

"Comment peut il le savoir?"

 

Le raisonnement par lequel Fyfe était arrivé à cette conclusion ne manquait pas de logique. les variations constatées dans le radar provenaient fort probablement de la présence d'un autre radar dans le voisinage. On savait que les japonais possédaient cet appareil, quoique d'une qualité inférieur au notre. S'il s'était agi d'un bâtiment aussi gros qu'un destroyer, celui ci serait apparu sur l'écran du BATFISH bien avant les émissions de son radar. C'était le cas le plus habituel. Comme ces émissions avaient été perçues en premier, il en découlait que l'émetteur devait être un petit bâtiment, très bas sur l'eau. Ce bâtiment devait cependant avoir assez d'importance puisqu'on l'avait muni d'un radar, alors que les japs n'en possédaient pas beaucoup.

 

C'était donc un sous marin.

 

si Fyfe donna l'ordre d'arrêter les émissions de son radar, ce fut simplement pour ne pas fournir à l'adversaire le renseignement qu'il venait lui même d'obtenir, tandis qu'avec son officier en second, le lieutenant de vaisseau de réserve C.K Sprinke, il consultait la carte et faisait rapidement quelques calculs.

 

les émissions provenaient du 220, c'est à dire sensiblement du sud ouest. Le babuyan channel est orienté à peu près nord-sud Le but devait donc remonter du sud en faisant route au nord.

 

Le Batfish remet brièvement son radar en route vérifier cette déduction. En effet, le relèvement de l'autre s'est légèrement modifié, il est maintenant dans le 225.

 

"En avant toute! A droite toute!"

 

le sous marin fait comme un bond et s'arrête à un cap calculé pour parvenir dans le nord du navire approchant. De temps à autre, il contrôle la situation avec son radar. Tout va bien -- il y a aucun navire dans les environs, sauf le japonais, dont les signaux se font plus forts tandis que son relèvement descend vers le sud, comme cela doit être.

 

Fyfe n'envisage pas, bien entendu, d'exécuter sa manœuvre d'approche et son attaque uniquement sur des relèvements. Il désire s'approcher, mais dans des conditions choisies par lui, c'est à dire cap sur l'ennemi, ses torpilles prêtes -- autrement dit le surprendre.

 

Il calcul avec sprinke qu'ils ont atteint le bonne position. Le Batfish tourne son étrave vers le japonais en conservant derrière lui la partie la plus sombre de l'horizon nocturne et en donnant de fréquents coups de radar, mais à des intervalles réguliers.

 

"Contact radar!"

 

L'annonce ne surprend personne, tout le monde l'attendait depuis plusieurs minutes, l'équipe du plutting entre en action sérieusement, utilisant des renseignements désormais concrets au lieu des vagues indications reçues jusque-là

 

Le but fait route au 310 à douze noeuds . les cadrans du conjudateur tornent dans le kiosque où Sprinkle commande.

 

La distance continue à décroître, les opérateurs alimentant inlassablement de données précises les instruments de la conduite de lancement. l'équipe du plotting joue également un rôle important car toutes les solutions doivent être vérifiées avant qu'on puisse lancer les torpilles.

 

Le commandant, sur la passerelle, fouille la nuit de tous ses yeux, de même que les veilleurs qu'il a fait monter avec lui. Et si le japonais avait eu connaissant de la présence du sous marin américain? ce n'est pas impossible!

Dans ce cas, il est capable de prévoir les événements, il peut parfaitement retourner les cartes à son avantage, en lançant le premier.

 

après tout, quand vous manœuvrez pour attaquer un autre navire, il existe une période où vous constituez pour lui une bien meilleur cible, à plus grande distance s'entend. Ou encore, ce qui est beaucoup plus probable, il peut plonger tout simplement et, ce faisant ravir au BATFISH l'occasion de porter ce coup qu'il médite depuis si longtemps tout en l'obligeant à fuir au plus vite de ce guêpier!

 

 

mais le sous ennemi ne se doute de rien et se rapproche de plus en plus...

 

à suivre

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Invité §KAL330Vd

Le texte a été traduit avec quoi :blague:

 

 

Avec un traducteur Kosovar ayant appris le japonais en Libye grâce à l´aide d´un professeur Congolais :buzz:

 

C´est dommage parce que le récit est tout même interessant :jap:

 

 

 

 

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Invité §lop521Qu

 

Avec un traducteur Kosovar ayant appris le japonais en Libye grâce à l´aide d´un professeur Congolais :buzz:

 

C´est dommage parce que le récit est tout même interessant :jap:

 

 

 

 

 

J'iame bien la date du 89 février :ddr:

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Invité §lop521Qu

 

la traduction est l'exact du livre, veux tu que je ventile en gras ou autre chose? oui cette histoire est formidable

 

 

quelques modifications faites ce matin

 

 

Oui cette histoire est formidable mais la lire piquait les yeux :ange:

 

C'est mieux :jap:

 

:bounce: LA SUITE :bounce:

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la partie UNE était le conteste, celle ci est l'approche, on y apprend beaucoup

 

PS, pour la lecture, si vous voyez des améliorations à faire, demandez moi :p

 

 

mais le sous marin ennemie ne se doute de rien et se rapproche de plus en plus. La nuit est si sombre que, de la passerelle, où pourtant tout les regards sont tendus, on a pas encore réussi à l'apercevoir.

 

Au tour que prend la situation, il est à prévoir qu'il se présentera au point de lancement à un peu moins de 2 000 mètres.

 

c'est bien long pour une trajectoire de torpille, mais Fyfe attache là la plus haute ,importance à ne pas être découvert. soudain, du kiosque, l'officier annonce: "il arrive sur le gisement, commandant"

 

"lancez quand vous serez prêt, SprinK, répond Fyfe. "Lancez sur le gisement donné par le radar. je n'arrive pas encore à le voir d'ici"

 

Quatre torpilles prennent silencieusement leurs course. Quatre engins électriques, sans sillage, foncent vers le but. Elles ont 1800 mètres à parcourir, il leur faut assez longtemps. l'aiguille des chronomètres tourne avec une lenteur désespérante. l'attente se prolonge, devenant de plus en plus anxieuse. Il aurait déjà dû se passer quelque chose!! ces torpilles doivent être arrivées!! nous étions pas assez loin pour que la gerbe manque en entier

 

Pourtant, les quatre torpilles ont raté le but. La conclusion est désormais inévitable. Toute cette manœuvre d'approche si prudente et si bien exécutée a été vaine. Chacun est désappointé amèrement. Qu'est ce qui a pu clocher?

 

L'équipe du plotting fournit dramatiquement la réponse "le but a augmenté de vitesse. Il file maintenant quatorze nœuds!"

 

Pas de chance de n'avoir pas fait cette constatation une ou deux minutes plus tôt.

L'échec est au moins expliqué et les doutes qui avaient commencé à se glisser dans l'esprit du commandant et de l'officier en second sont immédiatement balayés.

 

mais le but se poursuit imperturbablement sa route, ne manifestant d'aucune façon qu'il s'est aperçue de ce qui s'est passé. le Batsfih pourrait peut être renouveler sa tentative?

 

Aussitôt dit, aussitôt fait. les quatre diesel donnent de la voix et le sous marin américain fonce à travers la nuit pour chasser une nouvelle position de lancement.

mais naturellement le but se trouve maintenant sur l'avant, il va falloir lui donner du tour et revenir sur sa route.

 

Jake Fyfe a décidé de mener toute l'attaque en surface, attribuant la supériorité de son radar le fait qu'il a été alerté avant son adversaire, et croyant fermement que l'autre ne parviendra pas à le découvrir. Son intention est de remonter sur son avant, puis se diriger sur lui à un cap opposé au sien.

 

La distance diminuera très rapidement et le japonais n'aura pour ainsi dire pas le temps d'être alerté avant d'être atteint par les torpilles.

Il est vraiment surprenant qu'il n'ait rien remarqué!

 

Fyfe voit s'ouvrir de nouvelles possibilités devant lui et pense: " le gaillard n'est évidement pas si fort que je l'avais supposé" Cette pensée le conduit à prendre la décision de venir de plus près la prochaine fois, de tenter le chance un peu plus.

 

S'il il pouvait apercevoir l'ennemi de ses yeux et lancer sur ces gisements pris avec un instrument d'optique et non au radar, il résoudrait le problème de façon beaucoup plus précise et donc toucherait beaucoup plus surement.

 

d'autre part, quoi que Jake est la certitude morale qu'il avait bien affaire à un sous marin, et par conséquent japonais parce-qu'il savait pertinemment qu'il n'y avait pas d'autre sous marin américain dans les parages, il désirait tout naturellement le constater de ses yeux. Il avait cru la visibilité assez grande pour voir à 1 900 mètres. les événements avaient démonté qu'il avait témoigné de trop d'optimisme et il n'avait pas été capable d'apercevoir son but à cette distance. aussi cette fois, il voulait voir!

 

pendant ce temps le Batfish fonce à toute vitesse à travers les ténèbres opaques. il a manœuvré pour chasser par le travers de son adversaire, juste un peu en dedans de son radar, pour être sur que le radar japonais, de qualité inférieure, ne le découvrira pas.

 

Maintenant il le remonte rapidement. Jake agit avec beaucoup de prudence avec son propre radar, explorant l'horizon et prenant le relèvement ainsi que la distance du but aussi fréquemment qu'il l'ose, mais il ne veut en aucun prix s'exposer au risque d'être détecté. Par contre, les émissions du radar japonais sont toujours demeurées aussi régulières, ce qui démontre bien qu'il dort sur ses deux oreilles.

 

le commandant reste sur sa passerelle pendant toute la manœuvre de chasse, la situation pouvant changer si radicalement et si brusquement qu'il doit être constamment là pour agir. C'est donc Sprinkle qui cordonne tout ce qui se passe en bas.

 

la Batfish est arrivé sur l'avant du travers de son adversaire. Fyfe essaye de se rappeler la carte du détroit, car, s'il se souvient bien, il lui faudra apporter un changement à sa route à l'allure à laquelle il fonce. la mer est très calme, comme si souvent dans ces eaux méridionales, le pont du sous marin n'embarque presque aucun paquet de mer, bien que le vent apparent soulève une grosse quantité d'embruns. la nuit est parfaitement noire. Impossible de distinguer entre le ciel et la mer, il y a pas d'horizon. l'obscurité est chaude et humide mais profonde, ne laissant rien voir du bouillonnement blanc qui défile de chaque bord. On dirait que le Batsfish reste immobile, se soulevant légèrement au passage de la houle, et cherchant à se dégager des remous qui enserrent sa poupe.

 

la voix de Clark Sprinkle se fait entendre sur le circuit des communications intérieurs: " le plotting annonce que le but change de route, nous connaitrons surement son nouveau cap dans une minute"

 

le commandant appuie sur un gros bouton situé sur la cloison à coté de lui et se penche pour parler dans le téléphone de la passerelle: Parfais, dès que vous aurez une certitude, nous changerons de cap, nous aussi"

 

Environ une minute plus tard, une voix sort d'un microphone installé au dessus du kiosque: "Ici, l'équipe du plotting, le but est venu sur la droite, nouvelle route 15"

 

"j'ai à peu près la même chose, Sprinkle, dit l'officier du conjugateur. La nouvelle route est aux 20 cependant"

 

Sprinkle approche un microphone portatif à sa bouche, appuie sur un poussoir et dit: "Allô, passerellle. Le point du conjugateur ont le but à un nouveau cap compris entre 15 et 20. je propose de venir nous mêmes au 20"

 

"A droite toute! gouverner au 20" cet ordre, donné à l'homme de barre par le panneau. le batfish prend de la bande sur bâbord tout en tournant. A l'arrière, son sillage blanc forme maintenant presque un angle droit.

 

plusieurs minutes s'écoulent,. Fyfe est sur le point de réclamer des renseignements, lorsque le microphone de la passerelle laisse de nouveau entendre la voix déformée de sprinkle: "commandant! nous l'avons maintenant en route de 20, à 14 nœuds sa distance est de 7 000 mètres et la distance latérale à sa route de 2 500 mètres. ; La situation me parait favorable. je propose de venir sur la gauche sur la gauche et d'attaquer"

 

Okay! sprink donnez moi la route à prendre"

 

la voix du commandant a pris un accent de détermination sévère, on y sent une décision bien réfléchie. c'est toujours un moment émouvant: jusque là, on reste libre d'attaquer ou pas attaquer _ de risquer sa peau ou pas _ à condition bien entendu, de ne pas être découvert. mais cette décision prise, on est entrainé dans l'engrenage. On avance, l'étrave de son navire dirigée droit vers l'ennemi, on pénètre fort avant dans son rayon de visibilité et aussi, dans ce cas particulier, dans le rayon d'action de son radar et l'on dépend de la rapidité avec laquelle l'attaque se développe pour avoir la possibilité de la réussite.

 

En gardant l'avant sur le but, on offre à ses regards une moins grande surface, ce qui est très important dans une attaque nocturne, mais si l'on change d'avis, si l'on désire soudainement renoncer, il faut changer de route, se montrer de travers et s'exposer ainsi à une magnifique riposte de sa part.

 

Les destroyers sont supposés pouvoir tirer une demi salve dans les quelques secondes qui suivent l'alerte; les sous marins ont toujours une ou deux torpilles prêtes, pouvant être lancées de la passerelle instantanément . Il y a pas à s'étonner que le moment de la décision soit si capital!

 

" a gauche toute!" crie Fyfe ,à l'homme de barre à travers le panneau du kiosque.

 

"La barre est toute à gauche"

 

"Les deux bords en avant 2/3" ordonne le commandant qui a attendu un moment avant de ralentir pour accélérer la giration.

 

"Les deux bords sont en avant 2/3" La chambre de manœuvre a amené l'aiguille du télégraphe en coïncidence avec la passerelle pour accuser réception de l'ordre.

 

Sprinkle a tout suivi de près de son kiosque, vérifiant les relèvements, les distances, les routes, les vitesses. Il effectue un rapide calcul, traçant des flèches ici et là, mesurant les angles. Puis il parle dans son petit téléphone: "Commandant, en nous arrêtant au 240, nous l'aurons à dix degrés par bâbord. son inclinaison actuelle est 40 droite."

 

"gouvernez au 240" il reste une trentaine de degrés à courir et l'homme de barre commence à redresser en entendant l'ordre du commandant.

 

"nous sommes en route au 240"

l'officier en second parle de nouveau: commandant, il fait route au 20, à 14 nœuds; son inclinaison est 45 droite et il se trouve maintenant à 5 degrés bâbord; la distance à sa route est de 2 300 mètres. la distance au but de 5 000 mètres"

 

pas de réponses de la passerelle mais Sprinkle ne s'en inquiète pas. Il sait fort bien que le commandant ne tardera pas à réagir si les choses ne se présentent pas comme il l'entend ou s'il n'est pas satisfait des renseignements obtenus.

 

Quelques instants anxieux s'écoulent. une fois encore le petit microphone situé près du coude gauche de Fyfe reproduit la voix familière du second: "Il passe sur notre avant. distance 4 000!"

 

" venez sur la droite au 250" Fyfe qui résout mentalement le problème que Sprinkle résout mécaniquement dans le kiosque a bien la situation à l'esprit. Il désire faire une abattée pour rester sur l'avant de l'ennemi et a anticipé de quelques secondes seulement l'indication de son second.

 

"Quelle est la distance à la route?"

 

" 2 000 mètres, commandant"

 

"les deux bords en avant 1/3" Le Batfish se rapproche très rapidement de la route prévue pour l'ennemie, la distance de lancement pourrait être trop courte ou le but pourrait découvrir le sous marin américain prématurément. Le cerveau de Fyfe fonctionne avec acuité et toutes les données du problème y trouve leur juste place. en fait c'est comme s'il était capable d'imposer sa conduite au commandant japonais, et il veut que celui maintienne sa route et sa vitesse actuelles, qu'il se rapproche inéluctablement de sa destruction.

 

il approche en effet complètement de la trappe tendue devant lui, totalement in-soupçonneux qu'il s'y jette de lui même, que n'importe quelle modification aux éléments apportée par lui serait à son avantage, que la plus tragique erreur qu'on puisse commettre quand deux sous marins s'affrontent, c'est de relâcher son attention à un moment quelconque. bien entendu, il faut être juste, le japonais ne sait pas qu'il est traqué. mais il sait parfaitement qu'il traverse une région infestée de sous marins américains et, à ce petit jeu, aucune excuse n'est admise.

 

A 1500 mètres, les yeux inquisiteurs de la passerelle du Batfsih distinguent une tache plus foncée dans le ténèbres et à 1 000 mètres, reconnaissent la sinistre silhouette d'un sous marin japonais de type I.

c'est la premier fois que l'adversaire est aperçu. Il avance lourdement dans la mer légèrement clapoteuse bas, sombre, disgracieux.

 

Il se présente par le travers au Batfish qui a le cap sur lui. le plan de Fyfe a donc parfaitement réussi. Comme il a de plus le partie la plus sombre de l'horizon derrière lui, il demeure invisible à son but.

 

Sprinkle ne se contient plus d'impatience. voilà une trentaine de secondes qu'il supplie son commandant de lancer. la position idéale, il ne veut pas la laisser échapper.

 

"Nous les tenons, paré à lancer, commandant" Il répète constamment ma même formule, n'osant pas dire exactement ce qu'il pense et qui serait sans doute: "mais lancez donc, commandant, qu'attendez vous?"

 

Fyfe ne veut pas aller trop vite. Il y a trop longtemps qu'il prépare cette instant et il a déjà subit un échec, pour avoir montré trop de précipitation. Il prend soigneusement un relèvement de la passerelle, le fait enregistrer dans son conjugateur, fait tourner le IBT et en prend un second pour être sur qu'il existe aucune erreur de transmission. puis prononçant le mot pour la première fois, il dit d'une voix curieusement blanche: "Lancez les torpilles!"

 

"Tube UN, feu!" commande Sprinkle dans la seconde qui suit.

 

Presque aussitôt, le téléphone situé juste au-dessous du panneau du kiosque émet ces paroles qui sont entendues aussi bien dans le kiosque que sur la passerelle:

 

"La torpille n'est pas sortie!... Elle s'est mise en marche dans le tube!"

 

A SUIVRE

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Invité §tot374ZN

vraiment un topic interessant. Je félicite son auteur.

Y' a t' il des collectionneurs de militaria sur ce topic ( meme si ce n'est pas le sujet ?)

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Invité §haR737PL

Je decouvre tout juste ce topic passionnant :jap:

 

 

Petite question !

 

Et si...

 

Et si Hitler avait respecté son pacte avec Staline, qu'elles en auraient été les conséquences ?

 

Non parce que l'armée Allemande avait des technologies bien avancées pour l'époque, comme par exemple, le Messerschmit BF109 E avec un moteur Daimler-Benz, pouvait piquer sans que le moteur cale grace à son systeme d'injection, contrairement au Spitfire, qui lui avait des carbus, donc n'étaient plus gavés en kerozen lors des piqués... Donc quand on y réfléchit, ça fait un peu froid dans le dos, vu qu'il aurait pu concentrer tout ses efforts sur le front ouest, face a une armée à la technologie un poil rudimentaire.

 

Qu'en pensez vous ?

 

Hans Rudel (a lire absolument : l'excellent "Pilote de Stuka") relate que lors de l'invasion de l'URSS, celle-ci etait en pleine preparation de l'offensive a l'ouest, comme en temoignent les nombreuses bases en construction, defenses anti-chars etc. qu'il a trouve sur son passage.

 

L'un comme l'autre cherchaient a gagner du temps, l'Allemagne pour en finir sur le front ouest, et l'URSS sur le front interieur. Mais deux tels ennemis naturels ne pouvaient pas ne pas s'affronter, surtout sachant qu'ils lorgnaient sur les memes territoires :jap:

 

C'est la decision de Churchill de continuer le combat qui a change la donne, mais l'invasion de l"URSS ne pouvait pas etre evitee a mon sens. Et tout delai avait pour consequence de renforcer la machine de guerre sovietique :)

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Avant, pendant et après ont été qu'une continuité d'erreurs qui ont fait que tout à capoter:

 

Avant car laisser un ennemi terrible sur son dos était une grosse erreur, de ne pas avoir pris Gibraltar est je crois l'erreur majeur de tout ce conflit, Malte tombait, la canal de suez suivait et ouvrait les portes de Bakou par le front Sud et en plus, ne manquait pas d'alliès historique dans la région.

 

être parti aussi tard dans la vague Barberousse était aussi une erreur (faute Italienne) qui aurait des conséquences hivernales devant Moscou qui serviront l'ennemi

 

Après, l'erreur majeur de ce conflit est aussi qu'un seul homme commandait, un amateur en plus,OKW était à sa botte!

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Invité §tot374ZN

comme l'a dit Harsouille, les russes et les allemands étaient obligés de se combattre. Ce sont des ennemis naturels

La guerre était perdue pour les allemands à partir du moment où la Pologne était envahie

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pas si sur car la Pologne a été envahie par les deux et on sait de sources sur que l'Allemagne était vraiment prête qu'en 1942/43, je me réfère pour cela au livre de sir Lidell Hart "2WW" un des plus grand stratège du siècle dernier.

 

c'est vraiment, un seul homme qui a tout fait et d'abattre notre pays avec assez de facilité, l'a lancé dans un piège mortel: être maitre du monde

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Invité §tot374ZN

la guerre était perdue pour les allemands dès que la machine de guerre americaine a été suffisamment prete. les allemands ont été brillants contre de faibles nations.. Pologne, Belgique, paysbas, et une France plus du tout dans le coup.. ils n'ont pas su vaincre les anglais, qui sont restés vaillants, malgrè un materiel souvent depassé. Ce peuple merite le respect et l'admiration par son comportement lors des deux conflits mondiaux. Je ne parle meme pas des sovietiques et des americains. Formidable amerique qui a mené une guerre très couteuse et dure contre le Japon et un débarquement en France.

La légende sur la valeur et la superiorité des troupes allemandes est surfaite sauf pour quelques unités. Idem, pour leur materiel, sauf qq exceptions.

l'histoire l'a montré : par le jeu des alliances et des interets, la guerre était perdue dès le départ. Hitler a ceci dit par de grossieres erreurs acceleré le processus ;

Je ne crois pas que les russes seraient restés eternellement "alliés" des allemands.. une fois les americains sur le sol européen, ils auraient cassé cette alliance et repris les territoires les interessant ( la moitié de l'europe )

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Oulàlà Comment tu vas vite

 

à l'époque, personne voyait les américains rejoindre la guerre, c'était pas leurs buts, ils avaient même pas assez de munitions à donner aux anglais et pour eux même et encore mieux, il fallait passer par le prêt bail que Churchill est venu lui même chercher pour avoir des vaisseaux flottants et aériens :??:

 

La France à été battu par ces généraux, sur le papiers, nous étions même supérieur mais bon voilà, peu ont lu les livres de Fournier ou De Gaulle qui avaient déjà bien compris le principe mécanique de cette guerre, Gudérian, Hart lui, l'on fait eux! :p

 

Les anglais bien sur qu'il faut donner du respect à ce peuple tellement méritoire et surtout à Downing qui reconnaissait que si les français n'avaient pas abattu autant pendant la bataille de France, cela aurait encore plus mal tourner pour eux ;)

 

je vous rappelerais aussi que dans cette bataille, au dessus cité, combien savent que la troizième colonne, les communistes bon tain de l'époque organisaient des grèves dans les usines d'armements comme celle Gnome et Rhone à Lyon pendant la drôle de guerre dont les moteurs manqueront cruellement aux fameux Dewoitine 520! heureusement, il se rattraperont ensuite

 

je terminerais par les soviétiques qui ont démontré leur entrain à la guerre lors de l'envahissement de la Finlande et que nous et anglais allions leurs taper dessus aussi, pas la suite, sans les armements américains et anglais, comment auraient ils pu tenir les premiers temps? :)

 

cool, j'adore ce topic où l'on peut vraiment discuter :love:

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c'est exact mon jensen mais les grèves étaient un peu partout et malheureusement on soulèvent très peu ce problème majeur

 

j'ai hate de retrouver mes livres du commandant Accart pour vous en faire part de quelques couplets et j'ai aussi une sacré anecdote sur lui que j'ai vécu il y a une dizaine d'année.

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Invité §tot374ZN

pas tout à fait d'accord avec toi, Zygomard.. les USA avaient de serieux interets financiers dans la vieille europe depuis la 1ere guerre mondiale. les americains sont entrés en guerre pour défendre leurs interets. ne nous leurrons pas, mais ce fut une sacré chance pour nous.

je demandais un peu plus tot si il y avait des amateurs de militaria car en avril, il y a la bourse de Rungis. Très belle bourse pour tous les gouts. A voir, et ce peut etre l'occasion de se rencontrer pour certains. J'y serais ;)

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Invité §M55517Op

Bonsoir, toujours aussi interessant le topic :)

J'ai aussi ma petite histoire de coté, mais c'est le genre en 5 chapitres :p ,

Alors dois-je ? :o:ange:

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pas tout à fait d'accord avec toi, Zygomard.. les USA avaient de serieux interets financiers dans la vieille europe depuis la 1ere guerre mondiale. les americains sont entrés en guerre pour défendre leurs interets. ne nous leurrons pas, mais ce fut une sacré chance pour nous.

je demandais un peu plus tot si il y avait des amateurs de militaria car en avril, il y a la bourse de Rungis. Très belle bourse pour tous les gouts. A voir, et ce peut etre l'occasion de se rencontrer pour certains. J'y serais ;)

 

 

Il y avait même tellement d'interêt que FORd et GM fabriquaient des engins en Allemagne :p On mettra en prison louis Renault pour cette même raison :??:

 

merci pour cette nouvelle de rassemblement, sera bien aussi d'avoir l'adresse ;)

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Bonsoir, toujours aussi interessant le topic :)

J'ai aussi ma petite histoire de coté, mais c'est le genre en 5 chapitres :p ,

Alors dois-je ? :o:ange:

 

 

bien sur mais serait bien que je termine l'écriture du dernier chapitre du sous marin et je te passe la main, OK?

 

j'aimerais aussi que jensen lance quelques idées d'écritures, il est notre maitre :love:

 

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Invité §tot374ZN

bourse de Rungis :Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets-ZA Silic, 94533 RUNGIS

le 19 avril .

Je vais tenter d'economiser d'ici là :p

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Invité §tot374ZN

et si j'y vais, je te le dis, on pourrait peut se voir :p

 

 

franchement, n'hesites pas ! cela me fait plaisir

je dois voir aussi un exposant collectionneur que je connais, il mettra en vente des armures japonaises.

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Invité §tot374ZN

j'aime beaucoup ce type de bourse "toutes époques". mais les prix sont élevés pour les pièces que je recherche.

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Invité §M55517Op

 

bien sur mais serait bien que je termine l'écriture du dernier chapitre du sous marin et je te passe la main, OK?

 

j'aimerais aussi que jensen lance quelques idées d'écritures, il est notre maitre :love:

 

 

 

De toute manière je comptais attendre que tu finisse ton histoire .. :)

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Pour les histoires, allez y franco ! :p

 

(Je suis en travaux chez moi, je ne fais que passer...)

 

En ce qui me concerne, pas de retour "dans le circuit" avant mardi prochain je pense. :o

 

 

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Invité §M55517Op

Bon, j'ai fini la rédaction de mon "pavé" .. :D , j'attend que zygomard finisse l'histoire du sous marin .. :)

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