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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Voir la meilleure réponse Résolu par laurent du doubs,

Messages recommandés

L'année derniere dans le village voisin un gars a eisseillé de mettre sa bite dans une machine a traire , lagrs aiyant la bite aspirée n'a pas pu aller l'arreter il a atendu que quelqu'un vienne l'eteindre et il a du aller a l'hosto pour lui fair enlever l'enbout de la machine (la bite etait surment gonflée a mort par le sang )

:ptdr:

Le gars depuis est la risée de tous et si je serrait de lui je ne sortirais meme pas de chez moi si il y avait le feu

:p

Et maintenent j'esite a boire du lait :L

 

Champion du monde de l'ortographe :bien::eek::L

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Invité §ROA631jo

Au contraire, un corbillard est un bon moyen de passer des contrôles.

Quel flic ira ouvrir un cerceuil rempli de drogue ? :bah:

 

Oui il peut le faire, car il faut savoir que la police octroie des autorisations de transport au chambres funéraires, on est là pour la fermeture du cercueil, notamment en scellant celui-ci avec la cire et le cachet reglementaire, en cas de contrôle sur la route, si il n'y pas de scellés sur le cercueil et pas d'autorisation de transport, on ouvre le cercueil...

 

Bah oui heureusement, sinon il y aurait certainement des affaires comme vous avez pu le mentionner...

 

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Invité §Zir680wn
Un soir, avec son fusil, il partit «chasser» l'Arabe

 

C'est un homme sans expression. Durant les trois jours de son procès, il n'a pas eu une ride de contrariété, ni un froncement de sourcil, ni même une lueur dans son regard. A chaque fois qu'il devait parler, cet homme corpulent s'est levé avec docilité et a marmonné quelques mots d'une voix rendue pâteuse par les médicaments. Joël Damman, 50 ans, était jugé devant la cour d'assises de Douai pour le meurtre de Mohamed Maghara, un jeune homme de 17 ans, et la tentative d'assassinat de seize personnes, dans la banlieue de Dunkerque en 2002. Il avait décidé de «faire peur aux Arabes», de leur «montrer ce qu'un Français peut avoir dans le pantalon». Il a voulu «faire un tableau, comme à la chasse». Il a été condamné, vendredi, à vingt-cinq ans de réclusion, presque autant que les trente ans requis par l'avocat général.

 

C'était un vendredi, le 4 octobre 2002. Vers 20 heures, à son domicile de Coudekerque (Nord), Joël Damman prend deux de ses fusils. Monte à bord de son 4x4, vert, dont il a pris soin de dissimuler les plaques d'immatriculation. S'est coiffé d'une casquette foncée et, selon plusieurs témoins, porte des lunettes de soleil et une barbe. Il se rend dans le quartier de la petite Synthe, à quelques kilomètres. Sur le chemin, il interpelle deux adolescents pour savoir s'ils sont français. «Sûrs ?» dit-il en tapotant son fusil. Puis se dirige vers le café Aux mouettes, s'approche d'un groupe de trois Maghrébins qui discutent sur le trottoir. Il baisse sa vitre, tire vers eux et s'éloigne.

 

Les hommes donnent l'alerte à leurs copains qui jouent à la belote et boivent des verres à l'intérieur. La plupart croient à une blague et sortent du café. Pendant ce temps, Joël Damman fait demi-tour et revient. Tire de nouveau. Trois personnes sont blessées par les plombs. Damman dit qu'il a entendu des insultes, mais il n'a aucun souvenir sur les cris de panique lancés par les victimes. Il continue son tour. Il se dirige vers la Grande Synthe, «parce que c'est là qu'il y a le plus de Maghrébins». Il aperçoit un groupe devant le café le Narval. Karim, 22 ans, Adrien, 21 ans, Youssef, 18 ans, Brahim, 19 ans, Rachid, 20 ans, et enfin Mohamed, 17 ans, bavardent.

 

Chasseur expérimenté «qui n'a jamais loupé un lièvre de sa vie», selon sa femme, Damman sait que son arme peut tirer un coup mortel à 30 mètres. Il s'approche, tire deux fois. Tous se mettent à courir. Sauf Karim, tétanisé. Mohamed fait quelques dizaines de mètres sur le parking. Puis s'écroule. Karim le rejoint ; il pose ses mains sur lui pour l'empêcher de saigner. «Il a eu le temps de se voir mourir», raconte Adrien. On retrouvera 126 plombs dans son corps, son thorax est criblé. Dans ses poches : trois places de cinéma, une pub pour une auto-école, cinq entrées de piscine.

 

«Si vous aviez croisé d'autres Maghrébins, vous auriez encore tiré ?» demande un avocat. «C'est probable.» Damman retourne chez lui : «J'avais fait assez de vacarme. Je n'avais pas vu que j'avais blessé quelqu'un.» Il retire les adhésifs des plaques d'immatriculation, caresse son chien, et s'endort «quasiment tout de suite» sur un canapé. Vers 5 heures du matin, il a envie de sa femme, qui le repousse. Le lendemain, c'est la même vie qui continue. Il laboure son champ et, comme tous les week-ends, travaille dans son centre équestre, où il se montre, selon un témoin, «comme d'habitude, souriant, très correct».

 

A midi, il déjeune avec sa femme, leurs trois enfants (Andy, Kimberley et Joyce) et un employé. Au journal de 13 heures, on parle de la mort d'un jeune à la Grande Synthe. Sa femme, inquiète, l'interroge du regard. Il lâche : «Qu'est-ce qu'il y a ?» Plus tard, il lui répondra que cet adolescent n'aurait pas pu être son fils, «parce que le mort n'était pas blanc».

 

Plus de deux ans après les faits, l'ex-chauffeur routier avoue avoir fait «une grosse connerie». Pourquoi ? «J'en voulais après les Arabes», répète-t-il. «Mais c'est quoi un Maghrébin ?» lui fait préciser un avocat. «Maintenant je sais que c'est un être humain comme nous. A l'époque, pour moi, c'était des sous-hommes, des Arabes quoi.»

 

L'après-midi du drame, une amie de son fils lui a raconté qu'elle s'était fait «choper par des Arabes» au lycée. «Ça a mijoté en moi. Je voulais leur faire peur.» Quand il a dit qu'il voulait «buter des Arabes», personne ne l'a cru, ni sa femme, ni ses proches, peut-être trop habitués à ses litanies xénophobes et un peu imbibées. Ceux qu'il a agressés n'ont rien à voir avec cette jeune fille. «Donc ce n'est pas elle que vous vouliez venger ?» demande un avocat. «Non, c'était en général, les Français.» Pour expliquer sa «colère», Damman évoque aussi «ces procès d'islamistes» : «On en parlait à la radio.» Lui n'a jamais eu de sa vie maille à partir avec un Maghrébin.

 

Aujourd'hui, il dit qu'il plaide coupable, reconnaît qu'à l'époque il était raciste. Il aimait son métier, parce que, dans son camion, il se sentait «libre» et «seul». Il est décrit par son patron comme un «employé modèle». Et par sa famille et ses voisins, comme un travailleur infatigable. Son père, lui aussi excellent chasseur, était buveur et violent. Chez lui, on ne fêtait jamais un anniversaire. Mais il y eut des enterrements : parmi ses neuf frères et soeurs, deux sont morts en bas âge, un dans un accident de voiture, un autre s'est suicidé avec une arme à feu, tout comme le père. Joël Damman a lui-même fait dix tentatives de suicide ; et pas des «simulacres», selon un expert psychiatre. A la maison, il aimait «être le chef». Et s'énervait «pour des broutilles», a raconté Véronique, sa femme, qui a ajouté : «On est tous un peu racistes au fond de nous-mêmes [...]. On a peur.»

 

A la barre, Joël Damman n'a pas su expliquer sa haine des «bougnoules». N'a pas trouvé les mots pour les parents et les six frères et soeurs de Mohamed, «un garçon gai, respectueux» que ses amis sont venus pleurer à la barre. Ni pour ceux qu'il a agressés le 4 octobre 2002, ces Français aux cheveux bruns et aux peaux basanées, qui se sont sentis, ce soir-là, visés «comme des bêtes».[/quotemsg]

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Un vrai Dupont-Lajoie quoi :roll:

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Invité §Zir680wn
Un mari jaloux tue sa femme et la garde trois ans au frigidaire

 

Un Chinois de Pékin a tué sa femme parce qu'elle avait un amant mais a conservé son corps trois ans au réfrigérateur par amour, a rapporté dimanche un quotidien.Zhao Qingsong a reconnu son crime devant un tribunal samedi, expliquant que sa femme avait reconnu avoir eu une aventure, selon le Beijing Times.

 

Zhao avait réussi à cacher le meurtre en disant à l'enfant du couple que sa femme était morte dans un accident de voiture et aux parents de la victime qu'elle avait disparu.Il avait placé le cadavre dans le réfrigérateur qu'il avait scellé pendant trois déménagements. Mais un propriétaire avait fini par faire la découverte macabre en juillet dernier et Zhao avait été arrêté.

 

"Partout où j'allais, je l'apportais. De cette manière, notre famille restait unie", a-t-il dit au tribunal.Le mari avait placé une statue de la déesse de la miséricorde sur le frigidaire et brûlait chaque jour de l'encens pour sa femme. Il lui arrivait aussi de nettoyer son corps.On ignorait quelle condamnation la justice avait prononcé.[/quotemsg]

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Invité §Zir680wn
Il la courtise sur le Net avant de découvrir que c'est sa ... femme

 

AMMAN, 6 fév (AFP) - Une romance naissante sur le Net entre un Jordanien et un Jordanienne s'est transformée en une querelle publique après que les deux protagonistes eurent découvert, lors d'une première rencontre, qu'ils étaient en fait époux et femme, a rapporté dimanche l'agence Pétra.

 

Bakr Melhem et son épouse étaient séparés depuis plusieurs mois en raison d'incompatibilité d'humeurs, mais l'ennui et la chance les avaient à nouveau réunis grâce à un "chat" sur Internet, a indiqué l'agence.

 

Bakr, qui avait pris comme pseudo Adnan, est tombé amoureux de Sanaa, qui se faisait appeler Jamila et se décrivait comme célibataire, cultivée, musulmane pieuse, et aimant la lecture.

 

Leur cyber-amour grandissant, ils commencent à faire des plans de mariage. Mais un rendez-vous en tête-à-tête s'impose alors et les amoureux conviennent de se rencontrer près d'un dépôt de bus à Zarqa, au nord-est d'Amman.

 

Mais arrivé le jour J, c'est le choc. Les deux époux ne peuvent supporter de se retrouver face à leur réelle identité.

 

Lorsque Bakr, alias Adnan, voit Sanaa, alias Jamila, il devient tout blanc et lui hurle: "Tu es divorcée, divorcée, divorcée", formule traditionnelle dans la religion musulmane pour divorcer de sa femme.

 

"Tu n'es qu'un menteur", lui a lancé son épouse, avant de s'évanouir.

[/quotemsg]

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Gag :ptdr:

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Invité §Zir680wn
Un pompier prend le camion de service pour acheter des pizzas: il est suspendu

 

Un pompier de la banlieue de Sydney a été suspendu après que sa caserne n'eut pas pu répondre à une urgence pour une raison peu avouable: il avait pris le seul camion de service pour aller acheter des pizzas, a déclaré lundi un responsable des pompiers

 

Une enquête a été ouverte sur l'incident sans précédent dans les annales de l'Etat des Nouvelles Galles du sud, a indiqué le chef adjoint des pompiers locaux, John Benson.Selon le Daily Telegraph, un homme de la brigade de la banlieue de Maroubra avait "emprunté" le camion des pompiers pour se rendre dans une pizzeria locale et emmener des amis déguster les pizzas. Pendant leur escapade, la caserne avait reçu une alerte au feu à laquelle elle n'avait pas pu répondre.M. Benson a précisé que d'autres brigades étaient alors intervenues, et que les secours avaient pu être apportés.[/quotemsg]

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Invité §Zir680wn
A quatre ans, il prend le volant pour louer un jeu vidéo

 

CHICAGO (AFP) - Un petit garçon de quatre ans a pris la voiture de sa mère en pleine nuit pour aller louer un jeu vidéo dans un magasin situé à 400 mètres de chez lui, a raconté lundi à l'AFP le chef de la police de Sand Lake, dans le Michigan (nord).

 

Un policier en patrouille a repéré, vers 1h30 du matin vendredi, une voiture avançant, tous phares éteints, à une vitesse d'escargot -- entre 10 et 15 km à l'heure -- et zigzagant entre les deux voies d'une route nationale, a expliqué le chef de la police locale, Doug Heugel.

 

Pensant d'abord à un conducteur en état d'ivresse, le policier allume ses gyrophares avant de constater qu'il ne voit personne derrière le volant. Il pense ensuite que la voiture a pu dériver depuis une station essence à proximité, faute de frein à main.

 

A ce moment là, la voiture tourne brutalement à gauche, s'engageant dans un parking résidentiel, où elle percute une voiture. Marche arrière, elle rentre ensuite dans le véhicule de police. "Le policier a bondi de sa voiture, pour trouver... un petit garçon de quatre ans", ajoute Doug Heugel.

 

"Il avait décidé qu'il voulait louer un jeu vidéo alors il s'est habillé, a pris les clés, quitté la maison. Il est monté dans la voiture, a fait une manoeuvre en marche arrière avant de conduire jusqu'au magasin qui était fermé. Il est remonté derrière le volant pour rentrer à la maison quand le policier l'a pris en filature", a-t-il raconté.

 

Selon M. Heugel, le petit garçon dégourdi plongeait pour appuyer une fois sur l'accélérateur avant de sauter pour remonter sur le siège et diriger le volant.

 

La police n'a pas porté plainte. "Il a quatre ans et sa mère dormait", résume le commissaire Heugel. [/quotemsg]

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A 6 ans il postera sur FA :lol:

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Invité §Zir680wn
Les Gallois gagnent, un fan se coupe les testicules

 

LONDRES (Reuters) - Un fan de rugby gallois s'est coupé les testicules à la suite d'un pari perdu lié à la victoire inattendue de son équipe face à l'Angleterre ce week-end, rapporte mardi le Daily Mirror.

 

Geoff Huish, 26, était tellement convaincu que l'Angleterre l'emporterait samedi qu'il a déclaré avant le match aux personnes qui l'avaient accompagné boire un verre dans un club privé: "Si les Gallois gagnent, je me les coupe."

 

Ses compagnons pensaient qu'il plaisantait.

 

Mais après la victoire de son équipe, Huish est rentré chez lui et s'est coupé les testicules au moyen d'un couteau.

 

Il a ensuite parcouru, ses gonades dans la main, les 200 mètres le séparant du club où il s'est présenté à la stupéfaction générale.

 

Huish a été hospitalisé dans un état grave, selon le quotidien populaire britannique. Des policiers ont expliqué au journal qu'il avait des antécédents psychiatriques.

 

La victoire du Pays de Galles 11-9 face à l'Angleterre au Millennium Stadium de Cardiff est la première du Quinze du poireau à domicile face aux Anglais depuis 12 ans.[/quotemsg]

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Le nombre de dingues en liberté... :eek:

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Invité §Zir680wn

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70 € d'amende pour Bronx le chiot

 

A peine rentré chez lui, mardi dernier, Nasreddine Assoued a pris sa plume et écrit au procureur de la République du Val-d'Oise. Une longue lettre dans laquelle le jeune homme de 23 ans, qui travaille dans le cinéma, fait part de sa « stupeur » quant au comportement de la police des transports qu'il a dû subir, selon lui, dans le train de banlieue Paris-Gisors (Val-d'Oise). « Ce jour-là, je suis monté dans le dernier wagon, raconte-t-il.

 

Il y avait là six agents, avec un berger allemand. » Problème : le voyageur a dans les bras un petit chiot terre-neuve de 2 mois, Bronx, qui excite le chien des fonctionnaires. « Ils m'ont demandé de changer de wagon, ce que j'ai fait expressément. » Le trajet se déroule sans encombre jusqu'à l'arrêt du Stade : « Les policiers sont alors arrivés dans mon wagon et m'ont demandé où était la muselière de mon terre-neuve. » Le jeune homme, en casquette et doudoune, a beau faire remarquer que Bronx n'est pas un molosse de catégorie 1 ou 2, les plus dangereuses, que c'est un « sauveteur », qu'il n'a que 2 mois et se tient tranquille contre lui, rien n'y fait : conformément à la loi, il écope d'une amende de 70 €.

 

« Je n'ai jamais vu un panneau dans une gare stipulant qu'un chiot doit porter une muselière, je ne le savais même pas, se plaint Nasreddine Assoued au procureur. C'est un délit de faciès. » Et d'écrire que la veille, sa petite amie Julie, voyageant avec Bronx, s'était juste attiré pour seule remarque de la part d'un policier souriant : « Il est beau, votre chiot. »

[/quotemsg]

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Que dire à cela ? c'est simplement lamentable :bah:

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Invité §kaz086tA

Je suis sur que s'il avait eu 6 pitbull en laisse ils ne seraient pas venu l'emmerder :p

Allez monsieur De Villepin encore des fonctionnaires à radier ! Faut remettre ça + 100% de radiations chaque année

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Invité §Zir680wn
Une Gabonaise «ressuscite» après dix-huit heures en chambre froide

 

LIBREVILLE Une Gabonaise de 52 ans est «revenue à la vie» à la morgue de Koula-Moutou (400 km au sud-est de Libreville) après y avoir passé dix-huit heures dans un tiroir réfrigéré, a rapporté mercredi le quotidien gouvernemental L’Union.

 

Le décès de Dame Agnès Mbenga a été constaté le 1er février tard dans la soirée par des membres de sa famille, qui ont déposé vers minuit le corps à la morgue le temps d’organiser les obsèques, selon le quotidien.

 

Le lendemain, en venant chercher la dépouille vers 18h, ils constatent que le corps «avait changé de position. Agnès Mbenga s’était recroquevillée et frissonnait au fond du tiroir», écrit L’Union.

 

La «miraculée» a été hospitalisée en état «d’hypothermie assez importante», poursuit le journal, mais a pu regagner son domicile quelques jours plus tard. [/quotemsg]

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On s'étonnera après que des gens présumés être décédes soient inhumés vivants :bah:

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C'est pas le même qui se serait réfugié au Gabon par hasard :ange:

 

Un Chinois de Pékin a tué sa femme parce qu'elle avait un amant mais a conservé son corps trois ans au réfrigérateur par amour,....

 

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Invité §Zir680wn
Une jeune coiffeuse des Vosges tuée pour 110 euros

 

STRASBOURG (Reuters) - Une jeune coiffeuse de Provenchères-sur-Fave, dans les Vosges, retrouvée morte dans son salon le 8 décembre, a été tuée pour les 110 euros contenus dans son tiroir-caisse, a-t-on appris de source judiciaire.

 

Son meurtrier présumé, Juan Reis, 27 ans, a été présenté jeudi soir à un juge d'instruction de Saint-Dié et mis en examen pour vol avec violences ayant entraîné la mort.

 

Il a été placé sous mandat de dépôt, a précisé à Reuters Eric Corbaux, procureur de la République.

 

Cet homme sans profession ni antécédents judiciaires, a reconnu les faits. Il encourt la réclusion à perpétuité.

 

Habitant lui-même Provenchères-sur-Fave, un village de 750 habitants, il avait été interpellé mardi en région parisienne où il s'était réfugié dès le soir du crime.

 

C'est un retrait bancaire avorté, peu avant l'heure des faits, à un guichet voisin du salon de coiffure, qui a mis les enquêteurs sur sa piste.

 

Faute d'avoir pu retirer de l'argent de son compte insuffisamment approvisionné, Juan Reis aurait décidé de se servir dans la boutique, tuant Anne Idoux, 23 ans, au passage, d'un coup de couteau à la gorge.

 

"Manifestement, l'argent du vol lui a servi à acheter des cigarettes", a précisé le procureur.

[/quotemsg]

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Invité §Zir680wn
Une vingtaine de personnes ont été blessées, dont une à coups de poignard à l'ouverture d'un magasin Ikea à Londres

 

LONDRES Un homme a été poignardé et plusieurs personnes ont été écrasées dans la nuit de mercredi à jeudi dans une bousculade qui a marqué l'ouverture d'un nouveau magasin de l'enseigne suédoise Ikea dans le nord de Londres, a-t-on appris auprès des services de protection civile.

 

Cinq clients ont dû être hospitalisés tandis que 22 autres victimes de coups de chaleur et de contusions diverses ont pu être soignées sur place.

 

Face à l'afflux inattendu - plus de 6.000 personnes se pressaient avant minuit devant les portes du magasin -, la direction a dû fermer une demi-heure seulement après l'ouverture.

 

Selon la police, un homme d'une vingtaine d'années a été poignardé sur le parking du magasin et a été hospitalisé dans un état stable. Pour la direction d'Ikea au Royaume-Uni, cet incident n'a rien à voir avec la cohue qui a marqué l'ouverture de son magasin à Edmonton.

 

«Nous avons été totalement bouleversés et accablés par ce qui s'est passé: nous ne pouvions pas le prévoir et nous sommes vraiment, vraiment désolés», a déclaré à la BBC le numéro deux de la chaîne au Royaume-Uni, John Olie.

 

Le magasin, qui envisage de rester ouvert 24 heures sur 24, proposait d'importantes réductions aux clients se présentant entre minuit et 3 h.

 

Ce n'est pas la première fois que l'enseigne suédoise d'ameublement est victime de l'engouement qu'elle suscite: en septembre dernier, trois hommes ont péri dans une bousculade à l'ouverture de son premier magasin en Arabie saoudite.[/quotemsg]

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D'ici à ce que les ouvertures 24/24h aient lieu en France... :bah:

 

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Invité §Zir680wn
Deux mineurs écroués

 

Deux jeunes de 17 ans et demi, soupçonnés d'avoir participé avec trois complices à deux tentatives de car jacking, jeudi soir à Mantes-la-Jolie (Yvelines), ont été déférés hier au parquet de Versailles. Mis en examen pour vols en bande organisée, ils ont été écroués. Le groupe avait installé des cônes de signalisation sur une route, afin d'obliger les conducteurs à ralentir.

 

Un motard a d'abord été roué de coups avant de pouvoir s'échapper. Un automobiliste a ensuite été sorti violemment de sa voiture et tabassé. Par chance pour lui, les policiers sont arrivés sur place très vite, alertés par un témoin. Trois des auteurs ont cependant réussi à s'enfuir

[/quotemsg]

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La toiture d'un immeuble a pris feu, hier à 1h30, au 33 rue Herrade à Strasbourg - Koenigshoffen. Le feu s'est propagé à la charpente du n°31 et 35. Les locataires ont tous été évacués le temps de l'intervention des sapeurs-pompiers. Aucun blessé n'est à déplorer.

Les pompiers ont éteint le sinistre à l'aide de six lances. 500m² de toit ont été détruits par les flammes. Simultanément un incendie s'est déclaré dans une cave de l'immeuble située au n°36, laissant penser à un incendie de nature criminelle. Un homme d'une trentaine d'années, interpellé à proximité des lieux, a été placé en garde à vue dans le cadre de l'enquête. Il a reconnu avoir été sur les lieux de l'incendie, et affirme avoir mis accidentellement le feu au bâtiment, après s'être endormi avec une cigarette. L'incendie maîtrisé, tous les occupants ont pu regagner leur appartement.

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Invité §Zir680wn

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Poignardé pour un paquet de cigarettes chiffonné

 

Sur le comptoir du Garage, petit bar de quartier de l'avenue du Président-Wilson, les regards fixent avec effarement la « pièce à conviction ». Un paquet de Marlboro, vide et froissé. Sans valeur.

 

Hier après-midi pourtant, ce dérisoire morceau de carton a failli coûter la vie à un homme de 36 ans, littéralement lardé de coups de couteau pour l'avoir déformé. Edmond, ce peintre carrossier employé du garage attenant au café, était hier soir hors de danger mais grièvement blessé, victime d'une demi-douzaine d'entailles assez profondes. Son agresseur restait quant à lui introuvable, malgré le bon espoir des policiers de Saint-Denis d'identifier très vite cet homme jeune et d'allure banale, mais dont les clients du café, comme les voisins de quartier, se souviennent vaguement. On l'avait déjà vu dans le quartier de la Plaine, et même à ce comptoir.

 

Sur place, la colère le dispute à la consternation. L'atelier automobile et le café sont « la même maison », quelques pas les séparent et, ici, les pauses café ou déjeuner se font comme en famille. Un peu avant 17 heures, c'était la pause, justement, pour Edmond. « Il est venu boire son café au comptoir, où il y avait aussi ce jeune gars, raconte Gabriel, le fils de patron du Garage. Le jeune buvait un Vittel grenadine, il paraissait tout à fait normal ! Quand il est sorti, il a laissé son paquet de cigarettes sur le bar. Il était vide, quelle importance ? » Pour Edmond, qui triture distraitement le paquet, aucune. Pour l'autre, qui revient quelques minutes plus tard récupérer son bout de carton, beaucoup. « C'est devenu n'importe quoi, s'étonne encore Gabriel. L'autre a demandé qui avait touché à son paquet, Edmond lui a dit que c'était lui, mais que, puisqu'il était vide... Alors l'autre s'est énervé, réclamant un autre paquet vide ! J'ai eu beau lui dire que je n'avais pas cela ici, il n'arrêtait pas. Il disait que ça lui servait pour mettre les cigarettes qu'il demandait aux gens, dans la rue... »

 

Le jeune homme en colère emboîte le pas à Edmond lorsque le peintre retourne à l'atelier. Ce dernier a 30 m à faire, mais s'effondre avant, sous le porche de l'immeuble. Son invraisemblable escorte vient de sortir un couteau et de le lacérer, frappant apparemment au hasard sur les bras, le thorax, le visage... « Personne n'a vu la scène, se reprochent presque les proches de l'ouvrier. On pensait que la prise de bec s'arrêterait, on était loin d'imaginer qu'il avait un couteau ! Quand on est arrivés, en entendant les cris, l'agresseur d'Edmond s'était enfui. » Gabriel a tout de suite appelé les pompiers et, très vite, le peintre a pu être soigné, d'abord sur place par les médecins du Samu puis à l'hôpital Delafontaine, où il a été conduit dès hier après-midi. [/quotemsg]

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Invité §Zir680wn

Ouais enfin, c'est sa version des faits :bah:

 

Impossible de la remettre en cause, il est évident qu'il a raison, on n'est pas obligé de mettre une muselière à un chien de cette race, encore moins à un bébé chiot de 2 mois, il a pourtant été verbalisé pour cela :lol:

 

 

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Impossible de la remettre en cause, il est évident qu'il a raison, on n'est pas obligé de mettre une muselière à un chien de cette race, encore moins à un bébé chiot de 2 mois, il a pourtant été verbalisé pour cela :lol:

Quand je vois la mauvaise foi de certains individus, je me méfie :jap:

 

J'aurais bien aimé entendre la version de la SUGE, notamment quant à être sûr que c'est bien le chien de sa copine qu'il avait avec lui ce jour là, et pas celui d'un pote c'est tout :bah:

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Invité §_lu652qJ

Le chef de la police réveillé en pleine nuit par Beethoven

 

Le chef de la police de New Riegel, dans l'Ohio, a été réveillé en pleine nuit à son domicile par un homme qui jouait du Beethoven sur son propre piano.

 

Intrigué par le bruit, le chef de la police Steve Swartzmiller est sorti de son lit, a pris son revolver et est allé voir d'où venait la musique. Il a trouvé un jeune homme de 19 ans, saoul, en train de jouer sur son piano.

 

En fait, le visiteur impromptu cherchait la maison d'un ami et s'est aventuré par erreur dans le domicile de Steve Swartzmiller. Le jeune homme, Shawn Chadwell, est poursuivi pour consommation d'alcool à un âge non réglementaire et pour effraction de domicile.

 

Le chef de la police de New Riegel reconnaît toutefois que Chadwell jouait Beethoven à la perfection.[/quotemsg]

 

http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20050215175948

 

 

Le coup est parti tout seul, mes chers concitoyens!

 

Le maire de la ville de Ramiquiri, en Colombie, s’est tiré une balle dans le derrière alors qu’il était assis sur la toilette.

 

Rafael Augusto Galan accompagnait un groupe de religieux en pèlerinage dans une église de sa ville lorsqu’une envie subite l’a soudainement pressé. Il a demandé à un marchand local pour utiliser ses toilettes.

 

Un témoin auditif de la scène a déclaré au journal Noticias Populares : «Tout ce que nous avons entendu, c’est un 9 mm se décharger!»

 

L’arme personnelle du maire, qu’il gardait dans sa poche arrière s’est soudainement déchargée alors que le premier homme de la ville se trouvait assis sur son trône.

 

Le maire Galan a dû être conduit à l’hôpital pour subir une intervention mineure à l’arrière-train.

[/quotemsg]

 

http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20050213162605 :lol:

 

 

L’art de se défiler lors d’un rendez-vous

 

Une compagnie qui opère un réseau de téléphonie cellulaire australienne offre un service qui permet à ses abonnés de filer à l’anglaise lors d’un rendez-vous ennuyant.

 

Tout ce que vous devez faire, c’est composer trois chiffres sur votre téléphone et la réponse ne se fait pas attendre. «Virgin Mobile rappelle dans la minute qui suit, offrant ainsi à ses abonnés une parfaite excuse pour s'éclipser», déclare dans un communiqué la société, coentreprise entre Virgin et Optus. La compagnie propose même les répliques pour mieux tromper l’autre.

 

Selon une étude de l'opérateur citée par l’agence Reuters, 53% d'entre elles s'assurent au préalable qu'un de leurs amis leur téléphonera au beau milieu du rendez-vous, histoire de leur fournir une éventuelle échappatoire.

[/quotemsg]

 

http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20050212160233

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Mon patron mis en examen :W

 

Le sénateur-maire PS de Pau André Labarrère mis en examen pour abus de confiance

 

AP | 15.02.05 | 20:55

 

 

PAU (AP) -- Le sénateur-maire PS de Pau (Pyrénées-Atlantiques) André Labarrère, 77 ans, a annoncé mardi au cours d'une conférence de presse sa mise en examen pour abus de confiance par le juge d'instruction Thierry Rolland.

L'affaire concerne des dons financiers accordés par le biais du Centre communal d'action sociale dont André Labarrère est président, pour un montant global d'environ 300.000 euros en six ans, de 1995 à 2001.

«Qu'est-ce qu'on me reproche? D'avoir aidé des personnes en difficulté? Je suis un maire proche de mes concitoyens. Il y a des misères cachées, les gens viennent me voir et je les aide. J'ai le droit d'attribuer ces fonds. Est-que c'est un juge qui doit décider à ma place?», s'est demandé André Labarrère, ancien ministre des relations avec le Parlement, et maire de Pau depuis 1978.

Il s'est dit «profondément blessé» car cela touche à son «attachement aux personnes âgées et à la fonction de maire».

Cette mise en examen intervient plus de trois ans après une plainte d'un ancien conseiller municipal (RPR), Gaston Prieu. Ce dernier accuse le maire de Pau «d'utiliser l'argent des personnes âgées pour aider des amis à boucler leurs fins de mois», ce que dément formellement André Labarrère, qui évoque un «véritable acharnement» à son encontre.

André Labarrère a déjà été mis en examen à sept reprises. Ces mises en examen ont jusqu'alors abouti à des non-lieux pour cinq d'entre elles, et à une mise hors de cause à l'issue d'un procès. Une autre affaire est encore pendante, et concerne la location d'un chapiteau à l'occasion du mariage d'un collaborateur.

[/quotemsg]

 

http://www.aquitaine.france3.fr/info/8298906-fr.php

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20050215.FAP4660.html?2103

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Invité §kaz086tA

Quand je vois la mauvaise foi de certains individus, je me méfie :jap:

 

J'aurais bien aimé entendre la version de la SUGE, notamment quant à être sûr que c'est bien le chien de sa copine qu'il avait avec lui ce jour là, et pas celui d'un pote c'est tout :bah:

La SUGE dérape beaucoup en ce moment je trouve

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Invité §kaz086tA

C'est une honte :mad:

Monsieur musique industrielle, pro universal, copain de michal est décoré :D

http://img98.exs.cx/img98/9287/obispo14jz.jpg

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Invité §Zir680wn
Le faux vendeur arnaquait les internautes

 

Un ordinateur portable neuf vendu à moitié prix de sa valeur, l'offre avait de quoi séduire. Elle n'a pas échappé à quelques internautes venus piocher sur le Net de quoi s'équiper au meilleur prix. Mais une petite vingtaine d'entre eux ont amèrement regretté d'avoir répondu aux petites annonces alléchantes que Mohamed passait sur plusieurs sites informatiques : ce jeune homme avenant, 26 ans, look impeccable, n'avait en fait rien à vendre.

 

De septembre à décembre 2003, il est tout de même parvenu à soutirer à ses victimes - dont un lieutenant-colonel - plusieurs centaines d'euros en espèces, en guise d'avance, avant de... disparaître dans la nature.

 

L'immeuble avait plusieurs sorties Mercredi après-midi, alors que Mohamed comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nanterre pour escroquerie, quelques clients malheureux sont venus raconter leur mésaventure (lire encadré). Se souvenant d'un jeune homme « très sympathique » qui savait « mettre en confiance », ils ont tous évoqué un rendez-vous à La Défense, ou porte Maillot, suivi d'un rituel déplacement à Puteaux où était censé se trouver le matériel. Une fois devant le 12, rue des Papillons, le client remettait son acompte en espèces au pseudo-vendeur et devait patienter devant l'entrée de l'immeuble, le temps que son interlocuteur revienne avec l'ordinateur convoité. Mais la résidence avait plusieurs sorties... et le client pouvait dire adieu à ses espèces.

 

Le stratagème a fonctionné avec neuf personnes avant que Mohamed ne soit confondu et placé en détention provisoire, où il continue alors à étudier pour passer un... DESS de maîtrise informatique. Lorsque le jeune homme est remis en liberté, en avril 2004, le juge d'instruction a bouclé son dossier. Mais il doit rapidement en rouvrir un nouveau : Mohamed réitère ses arnaques. Il a repris son bon vieux système d'annonces, élargissant cette fois son « offre » au matériel médical. Il sera piégé en octobre dernier, lors d'un contrôle routier auquel il refusera de se soumettre sur les Champs-Elysées. Mohamed a été condamné à un an de prison, dont huit mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il écope également de dix-huit mois d'emprisonnement, dont dix avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans, pour le second volet du dossier. Profil bas, peu disert mais reconnaissant l'intégralité des faits, il a évoqué des « dettes de jeu » pour expliquer ses manoeuvres. [/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

 

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Invité §Zir680wn

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Les fous du volant dans le box des accusés

 

«J'ai vu un point jaune dans mon rétroviseur. En une fraction de seconde, il m'avait déjà dépassé », raconte cette automobiliste. Ce 18 septembre 2004, à 16 heures, elle roulait tranquillement sur l'autoroute A 1 lorsqu'elle a été prise dans une course digne d'un jeu vidéo.

 

« Des grosses cylindrées affichant des numéros sur leur portière slalomaient entre les autres véhicules, nous obligeant à nous rabattre sur la voie de droite. Pour nous doubler, certains empruntaient la bande d'arrêt d'urgence. » Des Ferrari, des Porsche, par dizaines, semblent se livrer à une course digne d'un Grand Prix de Formule 1. Ces témoins ignorent qu'ils se trouvent au milieu du Cannonball 8 000, un rallye de propriétaires de voitures de luxe.

 

Morts de peur, ces automobilistes alerteront les gendarmes qui intercepteront trois participants au péage de Chamant. Hier, l'un des quatre-vingt-dix concurrents comparaissait devant le tribunal correctionnel de Senlis pour ses excès routiers.

 

« Ce n'est pas une course, mais un rallye... » Des trois conducteurs épinglés, il est le seul à s'être courageusement présenté devant ses juges. Loin des fanfaronnades de ces pilotes de bolides, le prévenu, un jeune Anglais de 27 ans, garde un profil bas. Il dit être soudeur dans l'entreprise familiale. Au moment de l'arrestation, il pilotait sa Porsche 911 qu'il s'était offerte avec l'argent d'un héritage. « Il m'arrivait de rouler un peu au-dessus de la moyenne », maintient-il à l'audience. Pourtant, la Ford Focus des gendarmes lancée aux trousses de la Porsche argentée flirtera avec les 200 km/h. Au péage de Chamant, en insérant le ticket du conducteur d'une autre Porsche, l'écran de contrôle sortira une moyenne de 212 km/h. « Ce n'est pas une course, mais un rallye. Le but n'est pas la vitesse, mais de rallier les capitales européennes et de descendre dans de luxueux hôtels », expliquera M e Julia Jones.

 

Un argument qui fera sourire tout le monde. Plus justement, Magali Arquié, substitut du procureur, résumera : « Ces jeunes vivent dans un autre monde. Ils prennent l'autoroute pour un circuit de Formule 1 en violant délibérément la loi. Ce n'est pas un défilé de belles voitures à Chantilly. » Elle a demandé la confiscation du véhicule et l'interdiction de reconduire sur le territoire français, assortis de 1 500 € d'amende. Ce sujet de sa gracieuse majesté n'avait pas l'habitude de rouler à un train de sénateur. La preuve : un détecteur de radar a été retrouvé dans la Porsche, branché sur l'allume-cigares. « Je l'utilise tous les jours en Angleterre. Il m'indique où sont les bouchons, les accidents... ou les radars. »

 

Le pilote de la Porsche 911 a, depuis lors, revendu son bel engin. Il jure ne pas s'être réinscrit à la prochaine édition d'un Cannonball. Après un interrogatoire de cinq heures dans les locaux de la gendarmerie. Il a pu repartir en Porsche chez lui. Mais sur le siège du passager. Son permis a été retenu deux mois par les autorités françaises et il a dû payer une consignation de 2 150 €. Arrivé en Angleterre, il a pu se réinstaller, en toute légalité, au volant de son bolide. Le jugement sera rendu le 17 mars. [/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

 

Ils ont même un site :bah:

 

http://www.cannonball8000.com/

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Invité §MCB785xf

Un taré de première. :eek:

 

Un Néerlandais accusé d'avoir tué sa mère et porté sa peau au Carnaval

 

AMSTERDAM (AP) - Un Néerlandais a été arrêté pour le meurtre de sa mère, qu'il aurait dépecée avant de se draper dans sa peau et se promener ainsi pendant plusieurs heures lors du Carnaval de sa ville, selon les médias néerlandais.

 

Le suspect de 42 ans, identifié par la presse comme Roland Z., a été interpellé tôt le 5 février, après que la police de Vlaardingen dans le sud du pays eut été avertie qu'un homme provoquait des troubles à l'ordre public. Des témoins ont parlé d'un costume étrange ou dit qu'il était enveloppé dans une sorte de drapeau et hurlait des versets de la Bible.

 

"L'homme a été arrêté alors qu'il tentait de diriger la circulation", selon le porte-parole de la police Henry Hambeukers. "Il a tout de suite affirmé qu'il avait tué sa mère". Les enquêteurs ont retrouvé le corps de cette femme de 76 ans dans son appartement.

 

"Cet homme a vandalisé son cadavre après sa mort. Nous ne donnons pas les détails par respect pour sa mère et pour lui aussi", a ajouté Henry Hambeukers. Il n'a pas confirmé les informations selon lequel l'homme avait des antécédents psychiatriques et avait rejoint une secte. AP

 

Source : http://fr.news.yahoo.com/050218/5/4a35j.html

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