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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Voir la meilleure réponse Résolu par laurent du doubs,

Messages recommandés

Un Texan propose aux internautes de chasser en vrai sur son ranch sans sortir de leur salon.

 

Son site (http://www.live-shot.com) permet déjà de s'exercer sur des cibles et il espère que, bientôt, les visiteurs payants pourront tirer sur des animaux bien réels, comme des cerfs, des antilopes et autres sangliers, qui peuplent son domaine.

 

John Underwood a mis au point un système qui permet de déplacer à distance un fusil de chasse monté sur une caméra. L'internaute peut déplacer la caméra pour repérer les animaux et pourrait, si le projet reçoit l'aval des autorités, viser et faire feu.

 

"Je n'ai jamais rien vu de tel," explique Mike Berger, responsable du département des parcs naturels et de la faune de l'Etat du Texas. "La législation actuelle ne s'applique pas à ce genre de choses."

 

Pour contrer les projets de John Underwood, Mike Berger a pensé à un règlement qui obligerait un chasseur à être physiquement présent sur le lieu de chasse. Cette question sera débattue en janvier./VIG

 

[/quotemsg]

 

A vos joystick :L

http://www.boursorama.com/pratique/actu/detail_actu_insolite.phtml?news=2179294

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Invité §Zir680wn
Un chasseur blessé aux fesses par son fusil alors qu'il urinait

 

MARSEILLE (AFP) - Un chasseur de 70 ans, qui participait à une traque au sanglier aux environs de Valensole (Alpes-de-Haute-Provence), a été légèrement blessé aux fesses par son propre fusil alors qu'il était en train d'uriner.

 

Jeudi dernier, en plein traque, l'homme, pris d'une envie pressante, décide de poser son fusil contre une voiture pour pouvoir satisfaire son besoin. Mais, alors qu'il est en train d'uriner, son arme glisse et le coup part. Par chance, la balle ne fait que lui érafler les fesses.

 

Par précaution, l'homme a été conduit à l'hôpital de Manosque pour y recevoir des soins. "Cela s'est joué à un centimètre", selon un pompier.[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/041204/202/46422.html

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Invité §Zir680wn
Agressée, une mère de famille doit fuir sa cité

Poissy (Yvelines)

 

Menacée de mort après avoir dénoncé les jeunes qui l'avaient passée à tabac, une jeune mère de famille devra sans doute quitter sa cité. La police, qui prend très au sérieux cette affaire, se propose même de l'escorter jusqu'à son appartement. Mais il n'est pas certain qu'Isabelle Dumontier, 30 ans, veuille un jour rentrer chez elle.

 

Hier, elle attendait dans les couloirs du tribunal correctionnel de Versailles de connaître le sort des deux jeunes soupçonnés de l'avoir agressée dans les parties communes de son immeuble de Poissy. L'ambiance de règlement de comptes s'est déplacée jusqu'au palais de justice. Sans préliminaire, une jeune femme l'interpelle. « C'est vous qui allez témoigner contre mon ami ? Vous l'avez reconnu. Pourquoi vous dites ça ? Il n'était pas là. » Isabelle a du mal à se maîtriser après ce nouvel incident. « C'est incroyable, ils vous agressent et il faudrait encore les laisser faire sans rien dire », souffle-t-elle. Assise sur un banc, les larmes aux yeux, cette mère de deux enfants raconte son histoire. Mercredi soir, elle rentre chez elle, au coeur de la cité de la Coudraie avec son fils Raphaël, 6 ans. Il est 17 heures, la nuit est tombée. Elle s'engage dans l'allée centrale et voit un groupe de six jeunes gens qui occupent le hall d'immeuble. « Je suis montée chez moi. Et sur le palier, j'ai été rattrapée par deux de ces types. Ils ne m'ont rien dit et ont tenté de prendre mon sac. J'ai crié et résisté. » Sous les yeux de son fils, bousculée et pétrifiée de terreur, Isabelle est projetée dans l'escalier et dévale quelques marches avant de perdre connaissance. Samuel, son ex-mari, qui rendait visite à ses enfants, entend les appels au secours et sort de l'appartement. Il trouve Isabelle groggy et son fils traumatisé. Les deux voleurs sont déjà partis avec le sac à main. Le père de famille appelle les pompiers et la police qui arrivent rapidement sur les lieux. Souffrant d'un traumatisme crânien, Isabelle est conduite à l'hôpital. Samuel est encore dans la cité lorsqu'il est abordé par un jeune homme. « Si mon frère va en taule, toi et ta bonne femme, on vous butera », lâche-t-il avant de partir.

 

Rapidement, les policiers du commissariat de Poissy identifient les agresseurs. Deux hommes, âgés de 21 et 23 ans, sont placés en garde à vue pour vol aggravé. Mais ils affirment tout ignorer de l'affaire. « Ils disent même qu'ils n'étaient pas là. » Le jeune frère de l'un deux, âgé de 17 ans, est lui aussi appréhendé : il est soupçonné d'avoir proféré les menaces de mort contre la famille et un policier. Après cette agression, Isabelle, qui cumule les problèmes sociaux et familiaux - ses enfants hyperactifs sont placés sous assistance éducative d'un juge -, risque de voir sa progéniture placée dans une famille d'accueil. Pour l'instant hébergée chez son ex-mari, son seul espoir est de trouver un autre logement loin de cette cité. « Je me fais agresser et en plus c'est moi et mes enfants qui sommes pénalisés », enrage-t-elle.

 

La préfecture des Yvelines, interpellée par un proche de la famille, affirme qu'elle se tient prête à trouver une solution de relogement d'urgence pour la mère et ses enfants. Les trois suspects ont été déférés hier matin au parquet du tribunal de Versailles. Le mineur a été incarcéré à la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy. Les deux majeurs ont été mis en examen et placés en détention provisoire, le temps pour les policiers de retrouver un témoin supplémentaire. [/quotemsg]

http://www.leparisien.com/home/info/faitsdivers/article.htm?articleid=245930267

 

C'est le monde à l'envers :colere:

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Invité §hup625Re
LOIRE ATLANTIQUE

 

Gaz lacrymogène contre les "teufeurs"

 

NOUVELOBS.COM | 05.12.04 | 08:17

 

Les forces de l'ordre ont tiré des grenades lacrymogènes samedi soir pour disperser des jeunes qui tentaient d'organiser une rave à Frossay.

 

L es forces de l'ordre ont tiré des grenades lacrymogènes samedi soir 4 décembre pour disperser des jeunes qui voulaient se rendre sur un site où étaient rassemblés un millier de "teufeurs" qui tentaient de tenir une rave non autorisée à Frossay (Loire Atlantique), a indiqué la préfecture.

"Des gendarmes mobiles ont lancé des gaz lacrymogènes pour répondre aux jets de projectile de quelques dizaines de personnes cherchant à tout prix à accéder au site du rassemblement dont l'accès a été fermé", a-t-on expliqué à la préfecture.

Les jeunes tentaient de tenir une rave-party en marge du festival des Transmusicales de Rennes qui devait se terminer samedi soir.

Après la décision des préfets d'Ille-et-Vilaine et des Côtes-d'Armor d'interdire tout "rassemblement festif" dans leurs départements entre le 30 novembre et le 10 décembre, des centaines de jeunes ont tenté de tenir un teknival à Frossay où ils ont occupé un terrain privé. La préfecture de Loire Atlantique a décidé d'interdire le rassemblement et les forces de l'ordre ont fermé les accès menant au site, empêchant notamment l'acheminement de la sono.

 

Sans concertation

 

Malgré le dispositif, de nombreux groupes de jeunes - un millier aux environs de minuit, selon la Préfecture - ont tenté de rejoindre le site, mais en vain.

Depuis plusieurs années, les "teufeurs" profitent des Transmusicales pour se réunir dans l'agglomération rennaise, sans concertation avec les responsables du festival, qui ne participent pas à l'organisation de ces rassemblements techno.

Organisée sur un terrain de la ville de Rennes réquisitionné par la préfecture, une rave party avait réuni jusqu'à 18.000 "teufeurs" en décembre 2003.

[/quotemsg]

 

Hé ben !

 

 

 

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Invité §Zir680wn
Meuse: six mois de prison ferme pour avoir traité le procureur de "guignol"

 

VERDUN (AP) - Un habitant de Verdun, John G., 19 ans, a été condamné, mardi soir, par le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) à six mois de prison ferme puis placé immédiatement en détention pour avoir insulté le procureur de la République et s'être rebellé contre un policier qui voulait le calmer.

 

Pendant l'audience, furieux de la comparution de son frère devant le tribunal correctionnel, John G., déjà titulaire de cinq condamnations à des peines fermes donc en état de récidive légale, a lancé au magistrat: "Toi, tu fais le malin avec ta belle cravate blanche, guignol!".

[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/041208/5/46ac6.html

On ne parle pas n'importe comment à un magistrat,la preuve :ange:

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Invité §Zir680wn
Pour les flics, le viol n'était pas un crime

 

«Qu'il soit clair que les accusés de ce jour bénéficient de la présomption d'innocence», insiste tout de suite le président Jacques Richiardi. Ça va mieux en le disant. Parce que les quatre ex-policiers qui comparaissent jusqu'à vendredi devant la cour d'assises du Tarn ont déjà été condamnés pour cette même affaire en 2002 par le tribunal correctionnel d'Albi. A cinq ans ferme pour les trois premiers et à trois ans, dont dix-huit mois avec sursis, pour le quatrième (Libération du 25 janvier 2002). Mais depuis, le délit d'agression sexuelle d'abord jugé a été requalifié en crime de viol par abus d'autorité sur personne vulnérable par la Cour de cassation. L'accusé Thierry Lafon s'en féliciterait presque : «Je n'ai jusqu'à présent pas eu l'occasion de m'exprimer, explique-t-il. J'espère que devant ces assises, justice me sera rendue.»

 

Le procureur du tribunal correctionnel avait déjà été sévère avec lui et ses collègues. Devant la cour d'appel de Toulouse, l'avocat général avait, quant à lui, dénoncé «la stratégie déshonorante du mensonge» de ces policiers qui «ont trahi leur serment dès que les hormones les ont travaillés». Peut-être Thierry Lafon espère-t-il que, ce coup-ci, l'avocat général Jean-Christophe Muller sera moins mordant. Les faits, eux, sont toujours les mêmes.

 

Quand Laetitia Darcy, 19 ans alors, est venue se plaindre des mauvais traitements sexuels de la part de ces policiers au commissariat de la ville, le 29 janvier 2001, l'agent Franck Marty a cru bon de faire ces commentaires tout haut : «De toute façon, elle est folle, ça sera sa parole contre la nôtre.» La jeune femme décrite par les accusés comme «une fille facile, un peu paumée», qui se droguait, est pourtant précise dans son récit : pour obtenir ses faveurs, raconte-t-elle, un premier policier lui a expliqué que sa prostitution occasionnelle et sa toxicomanie au cannabis pouvaient lui coûter la garde de son bébé. Un second l'a ensuite sodomisée chez elle contre le radiateur. En uniforme, l'arme de service déposée sur la table de la cuisine. Le même, poursuit-t-elle, est revenu plus tard se masturber en la traitant de «pute» pendant que son collègue se faisait faire une fellation alors que le bébé dormait à l'étage. Toujours selon Laetitia Darcy, un jour de décembre 1999, deux autres l'ont emmenée au commissariat où le plus entreprenant l'a couchée sur les tapis du gymnase pour une «relation sexuelle rapide».

 

Deux avocats défendent les policiers. Maîtres Gilbert Collard et Simon Cohen. Ce dernier dit douter du récit de la «victime présumée». Les deux psychiatres qui l'ont examinée dès son dépôt de plainte n'ont pourtant pas douté de la «crédibilité de ses propos». Qu'elle ait si facilement cédé à des hommes en uniformes se déplaçant à bord d'une voiture à gyrophare ne les a pas surpris non plus : Laetitia présente, selon eux, «une certaine soumission», une «tolérance à la maltraitance». Elle est en «grande détresse psychologique» depuis qu'elle a été, à 15 ans, victime d'un viol collectif.

 

L'Inspection générale de la police nationale n'a pas non plus longtemps douté. Les témoignages recueillis par ses soins au sein même du commissariat d'Albi pouvaient corroborer le récit de la plaignante.

 

Les accusés se sont-ils, comme ils l'affirment, contentés de relations sexuelles amicales avec Laetitia ou l'ont-ils contrainte en usant de leur autorité ? Les quatre accusés ont avoué hier au président Richiardi n'avoir pas la moindre notion de psychologie. Ils nient la contrainte. «J'ai eu le sentiment que ce n'était pas la peine de lui demander son avis», avait expliqué l'un des quatre à l'audience correctionnelle de 2002. Thierry Lafon n'a, en trois ans, pas vraiment changé d'opinion. Il s'en tient à la version qu'il a donnée à sa femme selon laquelle c'est Laetitia qui lui aurait sauté dessus. Il se dit «pressé que la vérité éclate». Laetitia Darcy se dit, elle, «pressée d'aller refaire (sa) vie dans une autre ville». Quoi qu'il en soit et sans attendre le verdict, les quatre accusés ont été révoqués de la police nationale.[/quotemsg]

http://www.liberation.fr/page.php?Article=260280

 

 

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Treize ans de réclusion criminelle pour avoir arraché le nez de sa compagne

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20041211.FAP0027.html?1246

 

BESANCON (AP) -- La cour d'assises du Doubs a condamné vendredi soir Mohamed Abeghour, 54 ans, à 13 ans de réclusion criminelle, pour avoir le 8 janvier 2003 arraché le nez de son ex-compagne.

Les faits se sont déroulés à Besançon, alors qu'il venait récupérer ses affaires, à la suite de la séparation du couple. Par jalousie, il avait arraché le nez de sa victime avec ses dents, par petits bouts qu'il recrachait ensuite.

Il lui avait également infligé d'autres violences, voulant «faire d'elle un monstre, tel 'Freddy', pour que plus aucun homme ne la désire», selon ses déclarations citées dans l'arrêt de renvoi.

La victime, mutilée, était présente à l'audience, portant un pansement pour dissimuler ce qui reste de son nez.

L'avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle, dont une peine de surêté de dix ans. AP

Elle devait avoir un ‘pif’ pas hallal…

 

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Invité §jac273sN

Treize ans de réclusion criminelle pour avoir arraché le nez de sa compagne

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20041211.FAP0027.html?1246

 

BESANCON (AP) -- La cour d'assises du Doubs a condamné vendredi soir Mohamed Abeghour, 54 ans, à 13 ans de réclusion criminelle, pour avoir le 8 janvier 2003 arraché le nez de son ex-compagne.

Les faits se sont déroulés à Besançon, alors qu'il venait récupérer ses affaires, à la suite de la séparation du couple. Par jalousie, il avait arraché le nez de sa victime avec ses dents, par petits bouts qu'il recrachait ensuite.

Il lui avait également infligé d'autres violences, voulant «faire d'elle un monstre, tel 'Freddy', pour que plus aucun homme ne la désire», selon ses déclarations citées dans l'arrêt de renvoi.

La victime, mutilée, était présente à l'audience, portant un pansement pour dissimuler ce qui reste de son nez.

L'avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle, dont une peine de surêté de dix ans. AP

Elle devait avoir un ‘pif’ pas hallal…

C'est nul

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Invité §sup185KV

Treize ans de réclusion criminelle pour avoir arraché le nez de sa compagne

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20041211.FAP0027.html?1246

 

BESANCON (AP) -- La cour d'assises du Doubs a condamné vendredi soir Mohamed Abeghour, 54 ans, à 13 ans de réclusion criminelle, pour avoir le 8 janvier 2003 arraché le nez de son ex-compagne.

Les faits se sont déroulés à Besançon, alors qu'il venait récupérer ses affaires, à la suite de la séparation du couple. Par jalousie, il avait arraché le nez de sa victime avec ses dents, par petits bouts qu'il recrachait ensuite.

Il lui avait également infligé d'autres violences, voulant «faire d'elle un monstre, tel 'Freddy', pour que plus aucun homme ne la désire», selon ses déclarations citées dans l'arrêt de renvoi.

La victime, mutilée, était présente à l'audience, portant un pansement pour dissimuler ce qui reste de son nez.

L'avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle, dont une peine de surêté de dix ans. AP

Elle devait avoir un ‘pif’ pas hallal…

Un pif gadget.

 

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Invité §err681ph

Treize ans de réclusion criminelle pour avoir arraché le nez de sa compagne

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20041211.FAP0027.html?1246

 

BESANCON (AP) -- La cour d'assises du Doubs a condamné vendredi soir Mohamed Abeghour, 54 ans, à 13 ans de réclusion criminelle, pour avoir le 8 janvier 2003 arraché le nez de son ex-compagne.

Les faits se sont déroulés à Besançon, alors qu'il venait récupérer ses affaires, à la suite de la séparation du couple. Par jalousie, il avait arraché le nez de sa victime avec ses dents, par petits bouts qu'il recrachait ensuite.

Il lui avait également infligé d'autres violences, voulant «faire d'elle un monstre, tel 'Freddy', pour que plus aucun homme ne la désire», selon ses déclarations citées dans l'arrêt de renvoi.

La victime, mutilée, était présente à l'audience, portant un pansement pour dissimuler ce qui reste de son nez.

L'avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle, dont une peine de surêté de dix ans. AP

Elle devait avoir un ‘pif’ pas hallal…

 

Tu crois qu'ils ont jugé au pif ?

 

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Invité §_lu652qJ

Treize ans de réclusion criminelle pour avoir arraché le nez de sa compagne

 

http://permanent.nouvelobs.com/societe/20041211.FAP0027.html?1246

 

BESANCON (AP) -- La cour d'assises du Doubs a condamné vendredi soir Mohamed Abeghour, 54 ans, à 13 ans de réclusion criminelle, pour avoir le 8 janvier 2003 arraché le nez de son ex-compagne.

Les faits se sont déroulés à Besançon, alors qu'il venait récupérer ses affaires, à la suite de la séparation du couple. Par jalousie, il avait arraché le nez de sa victime avec ses dents, par petits bouts qu'il recrachait ensuite.

Il lui avait également infligé d'autres violences, voulant «faire d'elle un monstre, tel 'Freddy', pour que plus aucun homme ne la désire», selon ses déclarations citées dans l'arrêt de renvoi.

La victime, mutilée, était présente à l'audience, portant un pansement pour dissimuler ce qui reste de son nez.

L'avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle, dont une peine de surêté de dix ans. AP

Elle devait avoir un ‘pif’ pas hallal…

 

Je pense qu'il la pouvait plus la piffer...

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Invité §Zir680wn

Vous pourriez tous éviter de reprendre le texte en citation,c'est carrément désagréable pour la lecture du topic :bah:

 

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Invité §_lu652qJ

Vous pourriez tous éviter de reprendre le texte en citation,c'est carrément désagréable pour la lecture du topic :bah:

D'accord ! ;)

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Invité §Zir680wn
Un péché de chair dénoncé en chaire

Ce dimanche-là comme tous les autres, le père Théo prononçait son homélie sous les ors baroques de l'église de Collioure (Pyrénées-Orientales). Dehors, la mer clapotait contre les remparts de la cité médiévale, les cafés s'emplissaient des habitués de l'apéritif dominical. Ce 21 novembre, une belle journée s'annonçait, calme et ensoleillée comme les goûtent les Colliourencs, 3 000 âmes, après le départ du flot touristique aux premiers jours de l'automne.

 

Puis le curé sortit une feuille de papier et, rompant le rituel, commença à lire une sorte d'appel à la population. «Dès les premiers mots, j'ai compris», se souvient Andrée. L'homme d'église venait de désigner la cible de cette intervention peu liturgique, «une personne qui me poursuit de sa haine depuis six ans». «J'ai regardé vers le banc de l'épouse de ce monsieur, mais elle n'était pas là. Sinon, j'aurais tenté d'arrêter le curé», assure Andrée, qui avait deviné la suite. Et, en effet, le père Théo, si courtois et si discret habituellement, commence à déballer les amours illicites de l'époux, assis juste devant, fustige le comportement hypocrite de ce paroissien, apparemment assidu à d'autres communions que celle du dimanche. Il le cite nommément, fait allusion en termes assez peu elliptiques à sa maîtresse. A-t-il vraiment dit «la reine des pommes» ? Tout le monde comprend en tout cas qu'il parle de la marchande de fruits et légumes que le clerc de notaire à la retraite fréquente sans grande discrétion.

 

Puis le curé remballe sa petite feuille et poursuit le rituel de la messe d'une voix mal assurée. Le père Théo n'a ni la carrure ni la gouaille d'un don Camillo. Il doit déjà savoir qu'il vient de signer la fin de son magistère à Collioure. Dès la sortie de la messe, les langues se mettent à courir, plus vite que le feu par temps de tramontane. Des témoignages recueillis par Midi libre prêtent au curé le mot terrible d'«excommunication», fleurissent l'anathème de détails aussi fantaisistes qu'anonymes que le père Théo n'est plus là pour démentir. Car, dès le lendemain, le fustigé a porté plainte et saisi l'évêché de Perpignan. Le curé est envoyé en retraite au monastère d'En Calcat, dans le Tarn, où il est injoignable. L'évêque fait lire une lettre lors d'une messe appelant à l'apaisement. «Le paroissien a retiré sa plainte, dit-on à l'évêché, l'affaire est étouffée.»

 

Trois semaines après, l'affaire continue pourtant de défrayer la chronique. Collioure a perdu son curé, le premier en poste depuis longtemps, se lamentent les uns. Les autres se perdent en conjectures. A quoi bon révéler en chaire un secret de Polichinelle ? «Il a pété les boulons, rigole Maxou au café Soula. S'il fallait excommunier tous ceux qui cocufient leur femme, il n'y aurait plus personne à l'église.» Beaucoup trouvent l'histoire simplement lamentable. «Le père Théo a été poussé à bout par ce monsieur qui aurait voulu le faire marcher comme un petit garçon», estime Renée.

 

Le monsieur en question, un Colliourenc passé par le petit séminaire, était extrêmement actif dans la paroisse jusqu'à l'arrivée du curé. Il n'aurait pas supporté qu'un homme plus jeune, et de plus étranger au village, lui rappelle ses prérogatives.

 

Le père Théo, ordonné dans les Pyrénées-Orientales en 1980, est né aux Pays-Bas il y a cinquante-huit ans. Faute de vocations nationales, sur environ 70 prêtres en activité dans le département, une petite vingtaine sont de nationalité étrangère. Le caractère du Colliourenc et sa conception du pouvoir paroissial ont pesé lourd dans la balance. «Il y a eu des disputes épiques pour des vétilles, dit Renée. Il harcelait le curé, l'agressait verbalement dans la rue, il s'est même plaint à l'évêché.» Ni l'évêque, ni le maire socialiste n'ont voulu s'en mêler. D'autant que le père Théo s'était, de l'avis de tous, bien intégré depuis son arrivée en 1999 à Collioure. «Je ne suis pas croyant, mais je l'aimais bien, dit Henri. Il a contribué à restaurer la procession sur mer des fêtes du mois d'août, il accueillait des concerts dans l'église.»

 

Le curé et son pourfendeur, «c'était deux mondes», soupire Renée. Une querelle des Anciens et des Modernes, en quelque sorte. Celui qui a poussé le père Théo à la faute n'était visible vendredi ni aux Templiers, le café où il joue aux cartes l'après-midi, ni à la chorale catalane. Il n'est pas allé à la messe à Collioure depuis le départ du curé.[/quotemsg]

http://www.liberation.fr/page.php?Article=261171

 

 

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Invité §Zir680wn
Pourquoi Bigard accuse

 

Parfois, le clown tombe le masque. Parfois, la vie contraint le comique à s'exprimer sur des sujets d'un sérieux inattendu. Jean-Marie Bigard a décidé d'abandonner son habituel costume de trublion pour revêtir celui plus intime de « mari en colère ».

 

Dimanche soir, il a raconté en direct, dans l'émission « On ne peut pas plaire à tout le monde » de Marc-Olivier Fogiel sur France 3, comment sa femme, âgée de 42 ans, a failli mourir des suites de ce qu'il considère comme une série d'erreurs médicales inadmissibles. « Elle a vécu un mois de cauchemar et neuf jours pendant lesquels je me suis demandé si elle allait vivre ou mourir », nous a confié hier Jean-Marie Bigard. L'affaire est aujourd'hui entre les mains de la juridiction civile du tribunal de grande instance de Nanterre. D'ici à quelques semaines, un expert judiciaire rendra un premier rapport sur les faits dénoncés.

 

« Mon épouse perdait connaissance toutes les quinze minutes » « En juillet dernier, Claudia devait changer ses deux prothèses mammaires, assure sobrement le comique. Elle a été opérée à l'Institut européen de chirurgie esthétique et plastique de Boulogne-Billancourt le vendredi 23 juillet à 19 heures. Le lendemain matin, elle était déjà sortie. Je dirai qu'il s'agit du genre de clinique plus intéressée par l'argent que par le médical : il faut libérer les lits rapidement... Résultats : dès le jour de sa sortie, ma femme a commencé à ressentir de vives douleurs ; le lendemain, un gros hématome s'était formé et elle perdait connaissance toutes les quinze minutes. On a appelé la clinique qui lui a conseillé de prendre un Doliprane ! Personne ne pouvait nous y recevoir avant le lundi. Elle a finalement été réopérée sans qu'aucun examen sanguin n'ait été pratiqué au préalable. » L'état de son épouse a ensuite empiré. « Le pire, c'est qu'ils projetaient de la transférer à bord d'une ambulance classique, poursuit Jean-Marie Bigard. Sur les conseils d'un ami professeur, j'ai exigé qu'ils appellent le Samu, ce qu'ils ont fait. En arrivant dans la chambre, les médecins du Samu étaient consternés. Ils ont alors pris les affaires en main et décidé de transfuser sur place ma femme avant de l'emmener dans un service de réanimation. »

 

« Des accusations mensongères » Hier, face à cette brutale charge médiatique - les noms des médecins ont été cités à plusieurs reprises lors de l'émission télé sans qu'ils puissent répondre -, les responsables de la clinique étaient partagés entre colère et consternation. Aucune décision n'a été prise quant à une éventuelle procédure en diffamation contre le comique. « Une partie des accusations de M. Bigard sont mensongères, répond Joël Lalondrelle, anesthésiste et gérant de la clinique. Sa femme ne nous a appelés que le dimanche soir à 23 heures, pas avant. Le secret médical ne nous permet pas de répondre dans le détail. C'est un combat de boxe face à un poids lourd mais nous avons les mains liées dans le dos. Il faut attendre le résultat des expertises. Je peux vous assurer qu'en quinze ans la clinique n'a jamais fait l'objet de procédure pénale. L'hématome dans ce genre d'opérations, c'est une des complications possibles. Tous nos patients en sont informés. Comme les autres, M m e Bigard a signé une déclaration de consentement et une autorisation d'opérer. Une autorisation mentionnant le risque d'hématome. Sur 300 poses d'implants mammaires réalisées chaque année, trois ou quatre femmes maximum font des hématomes. » « Sans avoir fait de recherches particulières, j'en connais déjà trois », rétorque Bigard qui affirme qu'une patiente va intenter une procédure alors qu'une autre attend un jugement au civil au début de l'année prochaine. Le comique, dont la femme, toujours fortement choquée psychologiquement, devra être réopérée, insiste sur le fait qu'il n'entend pas « faire de l'argent avec cette affaire » et justifie ses déclarations par le désir, discutable mais humain, de ne pas attendre des années que la justice lui soit rendue pour que « plus personne ne subisse ce qu'a subi ma femme ». [/quotemsg]

http://www.leparisien.com/home/info/faitsdivers/article.htm?articleid=245937841

 

Il a été très virulent chez Fogiel mais cela risque de lui coûter cher pour propos diffamatoires :bah:

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http://www.leparisien.com/home/info/faitsdivers/article.htm?articleid=245937841

 

Il a été très virulent chez Fogiel mais cela risque de lui coûter cher pour propos diffamatoires :bah:

Après Fogiel il a toujours possibilité de recours chez Julien Courbet :D

 

Super une clinique qui diagnostique par téléphone, préconise du doliprane contre des évanouissements... :L

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Invité §Zir680wn

Après Fogiel il a toujours possibilité de recours chez Julien Courbet :D

 

Super une clinique qui diagnostique par téléphone, préconise du doliprane contre des évanouissements... :L

 

Il y a sûrement eu un problème au niveau de la clinique,mais Bigard en lancant de telles accusations sur un média comme la télévision va leur causer un préjudice énorme,j'ai peur que même s'il gagne le procès qu'il va engager contre eux il ne perde un autre procès pour diffamation et préjudice grave.

 

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Invité §ort666yM

La diffamation ne peut etre retenue que si elle est mensongère...à lui de prouver qu'il dit la vérité

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Invité §Zir680wn
Mystérieuses pluies d'excréments sur un village de l'Hérault

 

MAUGUIO (AFP) - Une enquête a été ouverte à Mauguio (Hérault) afin de déterminer la cause de mystérieuses pluies d'excréments très localisées survenues dans ce village de la périphérie de Montpellier.

 

Les gendarmes privilégient l'hypothèse de largages intempestifs par des avions, d'autant que le secteur concerné par ces nuisances coïncide avec un couloir aérien passant au-dessus de la commune, où se trouve l'aéroport montpelliérain.

 

Selon un gendarme, les excréments, dont on ignore encore s'ils sont d'origine humaine, ne proviendraient pas de gros porteurs, ce type d'appareil étant équipé de "système d'autoregénération" qui nettoie les toilettes par aspiration.

 

"Ces excréments pourraient provenir d'autres avions. Il s'agirait alors d'un acte d'incivilité, un peu à la manière des dégazages sauvages qu'on constate parfois en mer", observe-t-on de même source.

 

L'affaire a été lancée par un concessionnaire de la commune, excédé de devoir nettoyer ses voitures, régulièrement maculées de petits tâches brunâtres depuis plusieurs années. Après avoir lui-même fait analyser ces fines particules par un laboratoire qui a révélé qu'il s'agissait bien de matières fécales de mammifères, le garagiste a porté plainte vendredi dernier.

 

"C'est comme un crachin, des gouttelettes pulvérisées qui tombent du ciel. Une fois sec sur les voitures, ça ne part qu'à l'eau chaude à haute pression", explique Franck Di Lorenzo, patron de Sud Auto Concept, en précisant que quelques riverains avaient également les murs de leur habitation salis.

 

La piste d'un épandage sauvage a été aussi étudiée avant d'être écartée par les enquêteurs, aucun tracteur n'étant utilisé dans le secteur.

 

Les gendarmes n'excluent pas non plus un acte de malveillance ou une plaisanterie douteuse.[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/041215/202/46mzx.html

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Invité §Zir680wn
Contrôlé à 232 km/h, il part en Espagne en dépanneuse

 

BORDEAUX (Reuters) - Un automobiliste italien de 26 ans "flashé" à 232 km/h mercredi sur l'A 64 près de Pau (Pyrénées-Atlantiques) s'est vu retirer sur le champ son permis mais a repris la route vers l'Espagne à bord de la dépanneuse tractant son véhicule, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

 

Le Napolitain, contrôlé à hauteur de Lescar par les gendarmes du peloton autoroutier de Pau, devait livrer à son frère en Espagne la puissante Mercedes immatriculée en Allemagne.

 

Avec un compteur à 232 km/h, il a battu l'ancien record dans le département qui s'établissait à 214 km/h.

 

Après avoir payé une amende de 750 euros, il s'est vu retirer son permis de conduire avec interdiction de circuler en France durant deux mois. Il sera en outre convoqué ultérieurement devant le tribunal de Pau.

 

Pour poursuivre son chemin, l'automobiliste a alors fait appel à une dépanneuse qui a transporté le véhicule jusqu'en Espagne, pays dans lequel il ne lui est pas interdit de conduire. Il a donc repris le volant après avoir passé la frontière.

[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/041216/85/46o78.html

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Invité §roo776PV

Britney Spears pue des pieds

 

La jeune chanteuse, accompagnée de son mari Kevin Federline sur un vol Los Angeles-New York, a failli intoxiquer les passagers.

 

D'après IMdB, Britney Spears s'était délestée de ses chaussures pour se mettre à l'aise quand une odeur insupportable s'est mise à flotter dans l'air. La chanteuse ne s'apercevait de rien, mais ses voisins ont commencé à se plaindre à l'hôtesse qui a dû lui demander, gênée, de remettre ses chaussures.

 

Britney Spears est alors devenue rouge comme une tomate et s'est mise à rire. Elle a alors expliqué que c'était ses chaussures qui faisaient sentir ainsi ses pieds et les a vite remises. Les autres passagers ont enfin pu respirer !

 

http://fr.news.yahoo.com/041215/64/46ls4.html

 

Moi je dis la classe cette nana. :p

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Invité §_lu652qJ

Britney Spears pue des pieds

...

 

Heureusement qu'elle a pas retiré sa petite culotte ! :bah:

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Invité §hup625Re

Britney Spears pue des pieds

 

La jeune chanteuse, accompagnée de son mari Kevin Federline sur un vol Los Angeles-New York, a failli intoxiquer les passagers.

 

D'après IMdB, Britney Spears s'était délestée de ses chaussures pour se mettre à l'aise quand une odeur insupportable s'est mise à flotter dans l'air.

 

Etc....etc......

 

 

J'ai entendu cette nouvelle à la radio ce matin :W

 

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Invité §Zir680wn
Un surfeur dévoré par deux requins en Australie

 

Drame au large d'Adélaïde en Australie. Un surfeur de 18 ans a été attaqué et dévoré sous les yeux de ses camarades par un grand requin blanc hier alors qu'il était tiré par un bateau. Selon le porte-parole de la police locale, le squale de 5 m de long a mordu le jeune homme au bras avant de l'entraîner sous l'eau, puis l'a coupé en deux avant qu'un second squale ne s'acharne sur le surfeur.

 

Samedi dernier, un plongeur de 38 ans avait déjà été tué par un squale en Australie, zone la plus dangereuse avec l'Afrique du Sud et la côte Ouest des Etats-Unis. Des drames très rares. En Australie, on a recensé 37 attaques de requins blancs, dont 26 fatales, depuis 1876. Depuis octobre dernier, c'est d'ailleurs une espèce menacée et protégée, et sa pêche est soumise à des quotas. Pour Patrice Héraud*, 38 ans, photographe, plongeur et spécialiste des requins, « surfer (au large d'Adélaïde) revient à jouer à la roulette russe ». Comment peut-on expliquer cette attaque mortelle ? Patrice Héraud. Le requin a cru que le surfeur était une proie. C'est très rare, mais ça arrive. Ce squale est un prédateur. Mais il peut se tromper de proie, confondre un surfeur avec un phoque ou une otarie. Sous l'eau, même pour un plongeur, il est impossible de distinguer qui évolue 10 m au-dessus de vous à la surface... Le requin, bien que doté de capacités sensorielles hors du commun, n'est pas un animal intelligent, avec un cerveau de la taille de celui d'un oiseau. En Australie, on a fait l'expérience de traîner une fausse otarie en mousse derrière un bateau. Elle a été dévorée en dix minutes...

 

Une telle agression est-elle forcément fatale ? Non, la majorité des victimes survivent, à condition d'être secourues à temps. Mais le requin blanc, qui peut mesurer jusqu'à 6 mètres, possède des mâchoires avec quatre rangées de centaines de dents tranchantes dotées d'une puissance phénoménale. Elle est de 3,5 tonnes par cm 2 , contre 1 tonne pour un pitbull et 220 kg pour un homme. Ce qui est surprenant dans le récit du drame d'Adélaïde, c'est que le requin blanc se soit acharné. Normalement, il relâche sa proie après l'avoir mordue. Les attaques par deux squales sont extrêmement rares. Cette espèce chasse en solitaire. Décrivez-nous les lieux du drame... Au large d'Adélaïde, il y a un chapelet d'îles inhabitées où les oiseaux, les phoques et les otaries pullulent. Pour les requins, c'est le territoire de chasse idéal. En plus, c'est l'été austral en ce moment. Les baigneurs sont nombreux. Poissons, phoques et donc requins viennent nager tout près des côtes. Les risques sont donc bien réels ? Oui, bien sûr. Surfer ou faire du ski nautique dans ce secteur revient à jouer à la roulette russe. Un peu comme si, en pleine savane, vous descendiez de voiture, au beau milieu des lions... Il faut éviter de se baigner quand les eaux sont troubles parce que ça facilite la confusion entre proies et nageurs. La majorité des agressions surviennent entre 16 heures et 20 heures.

 

* Patrice Héraud préside l'association SOS Grand Blanc http://www.pheraud.fr.st/. Il est l'auteur des « Seigneurs de la mer ».

[/quotemsg]

http://www.leparisien.com/home/info/faitsdivers/article.htm?articleid=245940051

 

 

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Invité §le 816mY

Et tu proposes quoipour remedier a ce genre d'accident?

:blague: C'est quoi cette question ? ça va tu es sûr ?

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Invité §Syl126Sm

On croirait presque que Ziriako aurait voulut que ce soit KALIFORNIA qui se fasse manger par le shark.

 

 

:ptdr:

 

 

Kali ne surfe qu'au Portugal, pas en Australie :o|

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Invité §jac273sN
Foot: 30 ans banni des stades pour un coup de tête à l'arbitre [ 17/12/2004 - 17:15 ]

 

 

BELFAST (Reuters) - Un footballeur amateur d'Irlande du Nord a été interdit de pratiquer son sport préféré pour les 30 prochaines années après avoir donné un coup de tête à un arbitre.

 

La County Antrim Football Association a également annoncé vendredi avoir interdit à un autre joueur de fouler la pelouse pendant cinq ans pour avoir proféré des insultes racistes à destination du même arbitre écossais lors d'un match entre équipes du sud de Belfast le mois dernier.

 

Des médias locaux ont précisé que l'arbitre avait d'abord été frappé à l'aine après une décision contestée, ce qui avait provoqué l'annulation de la rencontre.

 

Dans les vestiaires, le même joueur avait donné un coup de tête à l'arbitre, qui tomba inconscient, le nez brisé.[/quotemsg]

 

Un gars que je connais a été interdit a vie de tout federation Française de sport pour avoir frappé un arbitre!

Ca a durée quelques années et son interdiction a été levée! il a pleuré ce jour là!

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