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Histoires du sport automobile

Des anciens rallymen à votre écoute


J.L.C
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Autres temps autres ...Technologies. :lol:

pour la Porsche collée au sol,voire un certain jour au départ des Cévennes. :lol: t'avais quoi comme gommes?

:q il ne pleuvait pas des SB10 et pis c'était les bras la cause pas les tartines... :lol::jap:

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Question aux Alsaciens et autres, connaisseurs de Strasbourg et environs.

 

Nous allons le week-end prochain visiter Strasbourg et son marché de Noël. Tous les hôtels proches sont complets mais nous avons trouvé notre bonheur à Offenburg et j'hésite entre deux itinéraires pour venir de l'hôtel vers Strasbourg sachant qu'il me faut un parking à proximité d'une station de transports en commun.

A votre avis, vaut-il mieux passer par Illkirch ou par Kehl et en fonction du choix où trouver à garer notre voiture.?

 

Merci par avance de vos conseils.

 

 

vaut mieux laisser la voiture à Offenburg et rouler en (RER) 719 Offenburg-Strasbourg ce qui te permettrait de profiter aussi du vin chaud , ou laisser la voiture à Kehl ou il y a le départ d'une ligne tram à Strasbourg ez uin grand parking P+R en face/derrière de la gare

 

pour les horaires:

 

 

www.ortenaulinie.de

 

y choisir le drapeau français et c'est parti

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Voeux pieux mais ainsi va le monde.

Devant la détresse de tous les pauvres gens qui galèrent au tour de nous, même par beau temps, nous devrions tous arrêter toute activité de loisirs, et même professionnelle qui ne soit orientée vers la solidarité envers les autres et la compassion que l'on doit à son prochain.

Tu vois je vais être franc et t'avouer qu'aujourd'hui je pense plus à mon regretté Jean-François qui aurait eu 72 ans qu'aux sinistrés du Var.

L'âme humaine est ainsi faite et pourtant Jeff appartient au passé.

 

Tu as raison, qu'est-ce qu'on fait si ce sont "seulement" quelques inconnus qui se noyent dans un zodiac dans la méditerrannée? On s'en fout, ce n'est pas dans le journal... axelay.gif.ebb310ae44703b82c80f1127017c2806.gif

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vaut mieux laisser la voiture à Offenburg et rouler en (RER) 719 Offenburg-Strasbourg ce qui te permettrait de profiter aussi du vin chaud , ou laisser la voiture à Kehl ou il y a le départ d'une ligne tram à Strasbourg ez uin grand parking P+R en face/derrière de la gare

 

pour les horaires:

 

 

www.ortenaulinie.de

 

y choisir le drapeau français et c'est parti

et éviter le 5 décembre... :D:lol::jap:

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et le chef est pointilleux j'ai "ordre" de l'appeler pour lui communiquer notre heure d'arrivée au ...centième près.. :D:lol::jap: vu que si l'avion est à l'heure 10.00H + récuperer les valises + récuperer les voitures de loc + faire Saint Denis la Saline je lui avais dit si on arrive pas pour 13.00 H je t'appelle pour te dire notre heure d'arrivée... :jap: le Monsieur m'a dit tu m'appelle quand vous quittez l'aéroport...oui chef... :lol: :lol: :lol::jap:

 

Il n'y a pas de valises j'ai dit aux filles on trouvera tout chez Kako et si j'ai bien compris la famille Patou arrive aussi en bagage à main. :)

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voilà qui peut intéresser Andreas, Patou, mais sûrement aussi Guy et Olivier. Dans deux jours, cela fera 90 ans que se posait ici le premier avion ayant réussi la liaison Paris - La Réunion. Parti du Bourget le 17 octobre, il a atterri sur le caillou le 26 novembre 1929.

 

 

 

Sacré (bonjour Bruno) périple...

 

Dans les années 80,mon ex beau-frère passait encore en escale par Nairobi ou Djibouti

 

pour partir au pays...!!

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Invité §pea455RK

Ce fut un sacré périple, c'est en pensant à ça que l'on mesure les progrès en aéronautique. C'était qui le pilote précurseur : un connu ou pas?

Parce-que tout ce qui vole m'intéresse aussi.

Bon, comme ça en intéresse au moins un ! :p:jap:

Ils étaient trois dans l'avion : le pilote est connu, c'est Marcel Goulette. Ses accompagnateurs étaient Roger Marchesseau et Jean-Michel Bourgeois. L'avion était un Farman à moteur Salmson 230 cv dont voici la réplique puisque l'original n'existe plus :

 

 

r copie.jpg

 

Après, des anecdotes savoureuses de ces temps héroïques. Le problème est celui de la traversée des bras de mer avec les moyens de navigation de l'époque ! :D Pas de souci pour Gibraltar où on vole à vue. Pas trop non plus pour la traversée du canal du Mozambique : comme l'île rouge possède une côte de plus de 1000 km de long, en partant d'Afrique plein est à la boussole, on est sûr d'arriver quelque part. Goulette reste quelque temps à Mada et donne des baptêmes de l'air payants pour recharger ses finances dont le témoin est sur la réserve ! :lol:

Ensuite, il faut aller de Tamatave à notre caillou qui est un grain de riz dans une piscine ! Goulette cale son départ quatorze heures après celui du navire Grandidier : il s'est entendu avec son commandant. A l'heure approximative où l'avion le rejoindra, celui-ci forcera les machines pour qu'elles dégagent beaucoup plus de fumée que d'habitude et que le Farman le repère (Greta n'était pas née ! :ange: ), ce qui permet à Goulette de rectifier sa trajectoire et d'arriver sur l'île, du côté de l'actuel aéroport Gillot du reste, où un champ de cannes a été coupé et aplani. Il doit faire deux premiers passages avant que la foule sur le terrain se dissipe et qu'il puisse atterrir.

 

Le retour le 1er décembre se passera nettement moins bien. Casse moteur à proximité d'Ivato (l'aérodrome de Tananarive) qu'ils atteignent en planant et où ils restent quelques jours pour réparer. Nouveau départ, rupture de la pompe à essence sur le canal du Mozambique, atterrissage comme on peut sur Juan de Nova, un confetti des îles éparses françaises où un bateau vient leur apporter la pièce. Réparation de fortune et retour à Tananarive pour une visite plus poussée de l'avion. Ils ne repartent que le 6 février 1930 ! Mais ce n'est pas fini ! Ils se crashent pour le compte dans le Ténéré le 22 avril. Indemnes, ils sont recueillis six jours plus tard et reviennent au Bourget le 5 mai, sept mois après leur départ. L'avion doit toujours être là-bas, au cœur d'une dune ! ;)

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Bien sûr et en dehors du plus grand risque d'abimer l'auto ils ne devaient plus prendre de plaisir à piloter dans ces conditions.

 

 

J'en ai parlé hier soir avec un pilote d'Opel que tu connais. Il était bien content d'être sorti

 

 

de l'ES 4 après une traversée de "rivière",une sortie dans un pré,un calage,la buée etc... :ange:

 

Il pensait hier soir que le rallye s'arrêterait..!

 

Finalement,abandon pour raison personnelle,comme Damien Urbain et Mairé etc...

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Bon, comme ça en intéresse au moins un ! :p:jap:

Ils étaient trois dans l'avion : le pilote est connu, c'est Marcel Goulette. Ses accompagnateurs étaient Roger Marchesseau et Jean-Michel Bourgeois. L'avion était un Farman à moteur Salmson 230 cv dont voici la réplique puisque l'original n'existe plus :

 

 

r copie.jpg

 

Après, des anecdotes savoureuses de ces temps héroïques. Le problème est celui de la traversée des bras de mer avec les moyens de navigation de l'époque ! :D Pas de souci pour Gibraltar où on vole à vue. Pas trop non plus pour la traversée du canal du Mozambique : comme l'île rouge possède une côte de plus de 1000 km de long, en partant d'Afrique plein est à la boussole, on est sûr d'arriver quelque part. Goulette reste quelque temps à Mada et donne des baptêmes de l'air payants pour recharger ses finances dont le témoin est sur la réserve ! :lol:

Ensuite, il faut aller de Tamatave à notre caillou qui est un grain de riz dans une piscine ! Goulette cale son départ quatorze heures après celui du navire Grandidier : il s'est entendu avec son commandant. A l'heure approximative où l'avion le rejoindra, celui-ci forcera les machines pour qu'elles dégagent beaucoup plus de fumée que d'habitude et que le Farman le repère (Greta n'était pas née ! :ange: ), ce qui permet à Goulette de rectifier sa trajectoire et d'arriver sur l'île, du côté de l'actuel aéroport Gillot du reste, où un champ de cannes a été coupé et aplani. Il doit faire deux premiers passages avant que la foule sur le terrain se dissipe et qu'il puisse atterrir.

 

Le retour le 1er décembre se passera nettement moins bien. Casse moteur à proximité d'Ivato (l'aérodrome de Tananarive) qu'ils atteignent en planant et où ils restent quelques jours pour réparer. Nouveau départ, rupture de la pompe à essence sur le canal du Mozambique, atterrissage comme on peut sur Juan de Nova, un confetti des îles éparses françaises où un bateau vient leur apporter la pièce. Réparation de fortune et retour à Tananarive pour une visite plus poussée de l'avion. Ils ne repartent que le 6 février 1930 ! Mais ce n'est pas fini ! Ils se crashent pour le compte dans le Ténéré le 22 avril. Indemnes, ils sont recueillis six jours plus tard et reviennent au Bourget le 5 mai, plus de cinq mois après leur départ. L'avion doit toujours être là-bas, au cœur d'une dune ! ;)

:jap:

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Après, des anecdotes savoureuses de ces temps héroïques. ......................... il s'est entendu avec son commandant. A l'heure approximative où l'avion le rejoindra, celui-ci forcera les machines pour qu'elles dégagent beaucoup plus de fumée que d'habitude et que le Farman le repère, ce qui permet à Goulette de rectifier sa trajectoire et d'arriver sur l'île, du côté de l'actuel aéroport Gillot du reste, où un champ de cannes a été coupé et aplani. Il doit faire deux premiers passages avant que la foule sur le terrain se dissipe et qu'il puisse atterrir.

 

 

 

 

gu1llaum3.gif.dfbc462d7bb03edc83755cacdad519e6.gif J'adore ces anecdotes...

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Bon, comme ça en intéresse au moins un ! :p:jap:

Ils étaient trois dans l'avion : le pilote est connu, c'est Marcel Goulette. Ses accompagnateurs étaient Roger Marchesseau et Jean-Michel Bourgeois. L'avion était un Farman à moteur Salmson 230 cv dont voici la réplique puisque l'original n'existe plus :

 

 

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Après, des anecdotes savoureuses de ces temps héroïques. Le problème est celui de la traversée des bras de mer avec les moyens de navigation de l'époque ! :D Pas de souci pour Gibraltar où on vole à vue. Pas trop non plus pour la traversée du canal du Mozambique : comme l'île rouge possède une côte de plus de 1000 km de long, en partant d'Afrique plein est à la boussole, on est sûr d'arriver quelque part. Goulette reste quelque temps à Mada et donne des baptêmes de l'air payants pour recharger ses finances dont le témoin est sur la réserve ! :lol:

Ensuite, il faut aller de Tamatave à notre caillou qui est un grain de riz dans une piscine ! Goulette cale son départ quatorze heures après celui du navire Grandidier : il s'est entendu avec son commandant. A l'heure approximative où l'avion le rejoindra, celui-ci forcera les machines pour qu'elles dégagent beaucoup plus de fumée que d'habitude et que le Farman le repère (Greta n'était pas née ! :ange: ), ce qui permet à Goulette de rectifier sa trajectoire et d'arriver sur l'île, du côté de l'actuel aéroport Gillot du reste, où un champ de cannes a été coupé et aplani. Il doit faire deux premiers passages avant que la foule sur le terrain se dissipe et qu'il puisse atterrir.

 

Le retour le 1er décembre se passera nettement moins bien. Casse moteur à proximité d'Ivato (l'aérodrome de Tananarive) qu'ils atteignent en planant et où ils restent quelques jours pour réparer. Nouveau départ, rupture de la pompe à essence sur le canal du Mozambique, atterrissage comme on peut sur Juan de Nova, un confetti des îles éparses françaises où un bateau vient leur apporter la pièce. Réparation de fortune et retour à Tananarive pour une visite plus poussée de l'avion. Ils ne repartent que le 6 février 1930 ! Mais ce n'est pas fini ! Ils se crashent pour le compte dans le Ténéré le 22 avril. Indemnes, ils sont recueillis six jours plus tard et reviennent au Bourget le 5 mai, plus de cinq mois après leur départ. L'avion doit toujours être là-bas, au cœur d'une dune ! ;)

 

ça rappelle le Rafale d'il y a quelques mois qui a aussi attendu ses pièces de rechange pour repartir

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Invité §pea455RK

Dans les années 80,mon ex beau-frère passait encore en escale par Nairobi ou Djibouti

Dans les temps que les moins de vingt ans, etc. ne peuvent pas, etc., j'ai pas mal fait la ligne avant que l'allongement de la piste de Gillot permette de décoller full charge de kérosène et de ne pas refueler en cours de route !

Djibouti, emprunté souvent, quand tu voyais en te posant les rares herbes agitées par un vent violent, tu avais une sensation de fraîcheur... Jusqu'à ce que les hôtesses ouvrent les portes du 747 et que tu te retrouves dans un four de boulanger ! :D Duty-free sympa qui doit avoir disparu depuis qu'on n'y passe plus et où je me suis acheté une paire de polos Lacoste. Lors de la guerre du golfe, une heure avant l'arrivée, deux Mirage F1 sont venus cocooner notre 747 Air France et se sont posés juste derrière nous en déployant leurs parachutes de freinage. Ils ont redécollé en même temps que nous, nous ont encore escortés une bonne heure, un à chaque bout de plan, puis ont battu des ailes et sont retournés à leur base. De mon hublot, je scrutais les visières vertes des pilotes dans leur cockpit à trente mètres de moi et j'avais l'impression d'être Buck Danny ! :sol: A part ça, j'y ai acheté une carte postale que j'ai envoyée immédiatement en douce à mon ex (qui était encore mon épouse, personne n'est parfait) en contrefaisant mon écriture sur des propos sibyllins et avec une signature type analphabète. Comme elle n'avait pas la lumière dans toutes les pièces, elle a mis un certain temps à comprendre de qui ça venait ! :W

Moroni, le trou du cul du monde ! Bon, faut parfois déposer des gens qui payent des billets classe affaire plein pot dans une destination improbable, alors Air France y va... :spamafote:

Nairobi : j'étais juste au-dessus de la grande porte de soute et ils ont descendu une palette pour mettre une autre à la place avant de la recharger : dessus, une 4L pourrie que son propriétaire, sans doute un gars d'Air France, rapatriait en Métropole : quand on connaît le coût du fret aérien, on se dit que s'il avait payé, le prix du transport était mille fois supérieur à celui de l'épave acheminée à grands frais ! :hebe:

Djeddah, le pire du pire ! C'est l'aéroport proche de la Mecque, ville sainte d'où les infidèles comme nous sommes bannis. Moi, je veux bien, et je n'ai pas l'intention d'aller faire le tour de la Kaaba. Mais comme je suis dans un avion français, territoire français, et que les hôtesses récupèrent vite fait avant l'atterrissage pour le refueling les plateaux-repas où une bouteille de pinard peut traîner d'une part, et d'autre part qu'il est rigoureusement interdit de lire pour passer le temps pendant la longue heure passée au sol sans descendre, et qu'on est toujours dans l'avion, un territoire français, je le rappelle, des fois qu'une entorchonnée ou un barbu mandaté pour nettoyer le zinc à mi-vol soit choqué parce qu'on a ouvert Play Boy, ça me donne des idées proches de l'islamophobie, mais je me ressaisis vite car je suis tolérant ! Mais faut pas me faire chier non plus, quand même ! :lol:

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Djibouti, emprunté souvent, quand tu voyais en te posant les rares herbes agitées par un vent violent, tu avais une sensation de fraîcheur... Jusqu'à ce que les hôtesses ouvrent les portes du 747 et que tu te retrouves dans un four de boulanger !

Je confirme, de même que la protection des militaires quand nous y sommes restés coincés, avec le Vieux, pendant 24 heures l'avion ayant un souci technique.

Pas franchement agréable comme séjour exotique.

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:q il ne pleuvait pas des SB10 et pis c'était les bras la cause pas les tartines... :lol::jap:

Je me souviens d'un "Lorraine" des années 70 avec la petite A110 groupe 3.

Nous étions au départ du fameux chrono de la forêt d'Hérival (33kms) et on voyait de gros nuages noirs s'accumuler sur les sommets. En ces temps lointains, on ne rigolait pas avec les parcs fermés et on n'avait pas le droit de toucher à la voiture. Donc, on était en SB10, slicks parfaitement lisses.

Le premières groupe 3 étaient parties quand la course a été arrêtée, une groupe 2 ayant disparu en cours de route.

Quand nous sommes partis, quelques gouttes tombaient sur la ligne de départ et un véritable déluge sur les sommets.

Nous n'avions pas d'assistance pendant la boucle en Haute Saône et on a ainsi fait les suivantes, le Mont du Tronc (25Kms) et La Mer (5Kms) avec les SB sous la flotte.

Nous avions les pieds mouillés (la légendaire étanchéité des berlinettes…), la voiture naviguait d'un côté à l'autre de la route, mais ça envoyait sévère!

Bien que la plupart des "gros" concurrents avaient des assistances, donc, les "bons" pneus, ça nous a plutôt bien réussi, car nous avons repris en 3 ES plus d'1 minute aux autres A110 groupe 3, ce qui nous arrangeait bien car on avait pris des pénalités sur la route.

 

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ça rappelle le Rafale d'il y a quelques mois qui a aussi attendu ses pièces de rechange pour repartir

comme quoi le caillou il est maudit pour les aéronefs. :lol:

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Ne voulant pas participer à un débat stérile sur le thème "Fallait-il poursuivre le rallye ou pas ?" -j'ai mon idée, je la garde pour moi :p - voilà qui peut intéresser Andreas, Patou, mais sûrement aussi Guy. Dans deux jours, cela fera 90 ans que se posait ici le premier avion ayant réussi la liaison Paris - La Réunion. Parti du Bourget le 17 octobre, il a atterri sur le caillou le 26 novembre 1929. J'espère que nos visiteurs attendus vendredi se montreront plus rapides, car malgré la chaleur, le rougail-saucisses de bienvenue risquerait de refroidir ! :lol:

 

 

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L'aventure c'est l'aventure ?? !!!!!!! Andreas aurait probablement changé le moteur de l'avion par un Rapp Motorenwerke pour plus de fiabilité et de puissance, c'est devenu... BMW par la suite. Désormais c'est un jeu d'enfant pour se rendre sur le caillou au milieu de l'océan ? !!!!!!!

 

 

J'en conclus que le rougail saucisse n'a pas la faculté de se bonifier comme le coq au vin après moultes heures passées sur le feu ?????... Nous pointerons dans les temps impartis c'est promis !!!!!!!!!

 

À dans quelques jours ✌️?.

 

Patou ?

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Moroni, le trou du cul du monde !

 

 

J'ai failli partir y travailler en 2004,une connaissance de Mayotte ayant des intérêts dans un

hôtel-casino-plage privée etc..! chipsterman.gif.2ef0cd1dbd994f2fe5154aea34c31f52.gif

 

Mais mon accident m'a fait changer d'orientation...

 

Grand bien m'en a fait,finalement,car sa famille s'est fait expulser de l'ile 6-8 mois plus tard,

 

en laissant tout dans l'établissement qui était en fait une concession "nationale"... annie24dec.gif.45360cbb2958ee28b505b3b40e006440.gif

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