Ferrari 1/18

[Invité §FER785Xq]

Merci encore pour vos commentaires.

 

Et merci également à Sifu pour cette liste complête de 456 GT Bburago.

 

Présentation -61 avant la Déforestation Mentale.

 

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458 Italia Presentation 2010 (APM-MWS) : Descendante de la F430.

 

Ferrari signe une voiture d'anthologie tournée vers la performance efficace. À la clé, une réduction sensible de la consommation mais pas du plaisir. Son nom ? La 458 Italia !

 

C'est définitivement tout ce qui nous sépare de la grande Amérique. Au culte du toujours plus, la vieille Europe oppose le toujours mieux, une mission à laquelle elle se voue parfois corps et âme. Et avec quelle pertinence lorsqu'il s'agit de Ferrari. Les orfèvres de Maranello ne se sont nullement laissés griser par la course à la puissance vue ailleurs, au moment de travailler à la descendance de la F430 (2004), elle-même dans le droit-fil de la Modena qui l'avait précédée (1999). Meilleure partout, la dernière création de Ferrari, dont les premières livraisons ont commencées en mars 2010, tire parti de cette volonté perfectionniste d'une marque décidément hors-série.

 

Deux chiffres pour fixer les idées, une 360 Modena crachait 440 g de CO2 il y a dix ans en fournissant 405 ch. La 458 Italia n'émet plus que 307 g car la traque aux consommations a permis d'améliorer le rendement et par conséquent d'obtenir, avec moins d'imbrûlés, une puissance de 570 ch. Meilleure dans sa classe, elle a, du coup, diminué de moitié la quantité de CO2 par cheval fourni. Là où la 360 lâchait 1,10 g/km par cheval, la 458 est descendue à 0,54 g/km.

 

On touche là au rendement mécanique qui, dans l'exploitation de chaque décilitre de carburant, tire profit des enseignements de la F1. Injection directe, aspiration naturelle et matériaux sophistiqués jusqu'à la céramique signalent ce tout nouveau V8 développant 127 ch/l et capable de tourner à 9 000 tr /mn. Positionné en avant des roues arrière, il est accouplé à la boîte robotisée DCT à double embrayage développée avec Getrag et Hoerbiger.

 

Vue sur la California, elle est encore plus rapide pour égrener ses sept rapports et se manie du bout des doigts avec de larges palettes autour du volant. La cavalerie déferle sur les seules roues arrière, dressée par des garde-fous électroniques agissant selon 5 programmes, variables selon les circonstances. Le manettino disposé sur le volant permet de varier l'ampleur des aides à la conduite en fonction de la route mouillée (wet) ou sèche (sport), circuit (racing), puis deux positions pour les atténuer, voire les supprimer totalement si l'on est sûr de son affaire.

 

Et il faut l'être car les conséquences sont directes sur les réglages moteur, boîte, amortissement et différentiel électronique, ABS, antipatinage et contrôle dynamique de trajectoire. Si ces deux derniers peuvent être totalement désactivés, l'ABS reste tout de même opérationnel dans sa version hautes performances. Le but de Ferrari a été de créer une machine qui soit dans l'exact prolongement des intentions du pilote, traquant tout délai ou temps de réponse qui nuirait à l'efficacité de la commande. Et donc la sensation. Les suspensions ont été redessinées dans cet esprit afin d'obtenir l'adhérence totale dans toutes les phases dynamiques. La juste répartition du poids AV/AR de 42 %-58 % participe, à 1 485 kg, à neutraliser roulis, cabrage et plongée sans trop dégrader le confort.

 

À grands renforts d'aluminium pour le châssis, la mécanique, les suspensions à amortissement magnétique, voire de la céramique pour les disques de freins, la 458 a la constitution parfaite de la sprinteuse sans aucune surcharge pondérale. Elle pourrait même s'alléger encore au prix de quelques sacrifices d'équipements. Pour ma part, je recommande chaudement le remplacement des sièges d'origine par les modèles sport à coque carbone qui présentent l'avantage d'être implantés nettement plus bas.

 

La descente à bord d'une 458 conduit assurément au paradis car le pilotage d'une Ferrari reste toujours un moment d'exception. Entièrement tendu de cuir, l'habitacle laisse surgir comme des tuyères les bouches d'aération tandis qu'un petit pupitre central fait également saillie pour arriver à portée de main. Sur le mode du bouton multifonctions, toutes les données annexes apparaissent à droite du compte-tours central qui magnétise le regard. L'écran à gauche permet de visualiser les paramétrages divers ou d'afficher le chrono pour les performances en piste. Plus intimidant, le volant multifonctions réclame un examen attentif pour être utilisé sans hésitation car chaque dixième de seconde va compter.

 

APM-MWS est un regroupement d’ingénieurs, de collectionneurs, et de monteurs professionnels spécialisés dans les miniatures en résine au 1/18 et 1/12. Charles Cheng, le fondateur de l’entreprise, a su au fil des années faire évoluer son chiffre d’affaire en proposant des miniatures d’une qualité exceptionnelle. Aidé de Michael Lueng, vendeur exclusif de la marque, les possibilités pour les acheteurs sont grandes. Depuis Hong-Kong, "Mackie" propose aux clients des choix de jantes, de teintes de carrosserie, et même dans certains cas, des personnifications du certificat d’authenticité (599XX Test Carbon Fibre). Seul bémol, le prix… Entre 650 € et 1 500 € pour une Ferrari 1/18 neuve !

 

Cette 458 Italia est une proposition audacieuse que j’ai fait à Michael le jour où il me proposa d’acheter la descendante de la F430. Comme je ne fais rien comme tout le monde, je lui ai demandé des jantes spécifiques couleurs or, non disponibles avec cette teinte de carrosserie. Après une petite discussion par Mail l’accord est donné, et quatre semaines plus tard, la 458 Italia arrive dans ma collection.

 

Inutile de préciser que la finition est parfaite et que la frustration provoquée par l’absence d’ouvrant est énorme. Malgré ce point de détail, la silhouette générale de la miniature offre au regard une prestation qui fait disparaitre la F430. Jantes, teinte de carrosserie, habitacle, moteur, tout est reproduit à l’exactitude. Certificat d’authenticité et showcase sont toujours livrés de série pour un visuel sur le socle de présentation encore plus impressionnant.

 

http://img15.hostingpics.net/pics/4460784581.png

 

Ferrari signe une voiture d'anthologie tournée vers la performance efficace. À la clé, une réduction sensible de la consommation mais pas du plaisir. Son nom ? La 458 Italia !

 

http://img15.hostingpics.net/pics/5930854582.png

 

Injection directe, aspiration naturelle et matériaux sophistiqués jusqu'à la céramique signalent ce tout nouveau V8 développant 127 ch/l et capable de tourner à 9 000 tr /mn.

 

http://img15.hostingpics.net/pics/9237944583.png

 

APM-MWS est un regroupement d’ingénieurs, de collectionneurs, et de monteurs professionnels spécialisés dans les miniatures en résine au 1/18 et 1/12.

 

http://img15.hostingpics.net/pics/4171994584.png

 

Inutile de préciser que la finition est parfaite et que la frustration provoquée par l’absence d’ouvrant est énorme.

 

http://img15.hostingpics.net/pics/7767684585.jpg

 

Certificat d’authenticité et showcase sont toujours livrés de série pour un visuel sur le socle de présentation encore plus impressionnant.

 

458 Italia : Les plus…

 

- Série limitée à 20 exemplaires

- Série numérotée (04/20 pour notre modèle)

- Teinte de carrosserie

- Certificat d’authenticité

- Showcase de série

 

458 Italia : Les moins…

 

- Absence d’ouvrant

- Détails du moteur

- Disques de frein en plastique

- Fragilité des collages

- Délais commande/livraison

 

Verdict : ☆☆☆☆

 

(Sources ; Forza-Rossa et Romaric Jaffré)

(Photographies ; Romaric Jaffré)

[AdriHoff]

Elle est vraiment comme ça en vrai ou tu as modifié les photos?

Car là, elle pète les rétines

[Invité §ant476VD]

Excellente présentation .

Tu vois Romaric, je tai dis que je passerais demain car il est tard, mais je n'ai pu m empecher, j'admire toujours autant ton travail de redaction, d'imagination et de photographie ..

Tu nas aucunes limites, c'est toujours mieux, même quand c'est parfait c'est une perfection dépassée quelques jours plus tard ..

La photo de profil est sublime, carrément débousolante . http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/gnx.gif

Que dire des autres, la voiture est sublime avec ces jantes or qui lui donne un esprit encore plus aggressif mais qui fait attention a son style ........ J'adooore.

Vraiment bien pensé d'ailleurs, ca lui va a merveille.

La photo retouché, j'adore aussi !!! L'angle est bien pensé, la retouche aussi .. http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/jap.gif

Encore bravo !! http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif

 

Ps : AdriHoff, je suis presque certain que la miniat est telle ...Et Les photos de Romaric à la hauteur de la beauté qu'elle est .

[Invité §tit748gL]

Jolie photos, mais les jantes un peux dorée j'aime pas trop

[Invité §the585Ln]

je suis casse couille mais les jantes ne me plaisent pas trop mais par contre la caisse!!!!!!!!!! c'est une beauté =)

 

les montages photo sont sympas et la présentation... le top quoi !

 

bye Rom !

[Invité §Mas042gf]

Vraiment MAGNIFIQUE !!!

 

c'est une tuerie la 458 Italia

[Invité §ral000nl]

Pas mal comme 458 !§!

Tu les achètes Tes miniatures haut gramme par hasard ?

C'est bien les hottheels (Mattel) ?

Tu trouve ça bien Norev,Solido,Ut Model ?

[Invité §rev500ms]

Superbe cette 458 !! Sur le coup j'ai eu un ptit "blourp" pour les jantes mais tout compte fait ça lui va trés bien !!

 

Une rareté en plus *_*

[MiniatureFolie]

Piouff la 458i est vraiment une beauté !! http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif La plus belle Ferrari récente pour moi http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif

 

La teinte est parfaite et les jantes dorées j'apprécie ! Ça lui va plutôt bien !

[Invité §ral000nl]

Piouff la 458i est vraiment une beauté !! http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifLa plus belle Ferrari récente pour moi http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif

 

La teinte est parfaite et les jantes dorées j'apprécie ! Ça lui va plutôt bien !

Pour moi ses la plus belle Ferrari ,c'est vrais qu'il

y avait la F40 mais bon !( c'est mon avis )

[Invité §tit748gL]

Pas mal comme 458 !§!

Tu les achètes Tes miniatures haut gramme par hasard ?

C'est bien les hottheels (Mattel) ?

Tu trouve ça bien Norev,Solido,Ut Model ?

[Invité §tit748gL]

A suivre, la 512 TR 1992 (Kyosho).

 

[Invité §ale248Kx]

Alors vivement lasuite !

[Invité §ral000nl]

Il y a un problème ?

[Invité §FER785Xq]

Aucune retouche sur la voiture Adrien.

 

Tout est dans le texte Rally car pour les renseignements sur le fabricant - "APM-MWS est un regroupement d’ingénieurs, de collectionneurs, et de monteurs professionnels spécialisés dans les miniatures en résine au 1/18 et 1/12. Charles Cheng, le fondateur de l’entreprise, a su au fil des années faire évoluer son chiffre d’affaire en proposant des miniatures d’une qualité exceptionnelle. Aidé de Michael Lueng, vendeur exclusif de la marque, les possibilités pour les acheteurs sont grandes. Depuis Hong-Kong, "Mackie" propose aux clients des choix de jantes, de teintes de carrosserie, et même dans certains cas, des personnifications du certificat d’authenticité (599XX Test Carbon Fibre). Seul bémol, le prix… Entre 650 € et 1 500 € pour une Ferrari 1/18 neuve !"

 

Présentation -60 avant la Déforestation Mentale.

 

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512 TR Presentation 1992 (Kyosho) : TR pour "Testa Rossa".

 

Symbole d'une époque et d'une génération, la Ferrari Testarossa était une voiture bien née et pour beaucoup, difficilement perfectible. C'était sans compter sur le talent des motoristes de Maranello et le coup de crayon génial du centre de style Pininfarina, qui lui ont redonné en 1992 une nouvelle vie sous le patronyme de Ferrari 512 TR, pour un prix client de 1.198.000 FF de l’époque.

 

Malgré de nombreux éléments communs à la Testarossa, notamment de carrosserie, la Ferrari 512 TR est presque à considérer comme une nouvelle voiture. Les "restylages" sont tellement rares et profonds à Maranello… Ils justifient d'ailleurs presque toujours un changement de nom de baptême, qui reprend assez subtilement le célèbre nombre 512 et TR pour Testa Rossa bien sûr. Toutefois, lorsqu'on met cote à cote la Ferrari Testarossa et la 512 TR, le lien de parenté, inévitable, ne retranscrit pas à sa juste valeur tout le travail accompli. Mais à vrai dire, on aurait mal imaginé une évolution radicale d'une ligne aussi unique et sculpturale que celle de la Testarossa. Ce qui frappe au premier coup d’œil est sans doute l'augmentation de la taille des jantes. La 512 TR passe du 16" au 18", avec une monte à l’avant de 235/40 et à l’arrière de 295/35 une première mondiale sur une voiture de série !

 

Pour le reste, le travail des quelques légères retouches stylistiques a porté sur l'aérodynamique et l'adaptation aux évolutions techniques du châssis et du moteur. Les ailes et le capot avant sont strictement identiques, seul le bouclier entièrement peint et intégrant les phares comme sur la Ferrari 348 est nouveau. Les feux escamotables, partie intégrante du mythe, sont eux aussi toujours là.

 

Les modifications esthétiques sont donc mineures et tant mieux car la 512 TR conserve cette beauté faite d'une sportivité impressionnante et délicate à la fois, dont le coup de crayon vieux de 7 ans en a fait un objet d'art autant qu'une automobile d'exception. L'habitacle est lui aussi revu et conforme à ce que l'on attend d'une Ferrari. Sportif et chic, sans superflu. L'affreuse console centrale a disparue mais les manomètres sont toujours là. Le dessin des contre-portes et de la planche de bord a été simplifié. Les compteurs frappés du petit cheval cabré sont nouveaux : Vitesse maxi 320 km/h, régime moteur 10 x 1000 tr/mn. La simple vue de ces chiffres fait déjà tourner la tête de tout amateur de voitures de sport. Point positif, les sièges sont plus enveloppants et plus bas, bien mieux en phase avec le potentiel de la machine. La position de conduite est excellente. La Ferrari 512 TR possède en série une climatisation, des vitres et rétroviseurs électriques, un volant réglable en hauteur et un habillage de cuir intégral qui rattrape pour beaucoup une finition et des plastiques très moyens.

 

Le 12 cylindres à plat de la 512 TR se distingue par son faible encombrement en hauteur. Les cotes d'alésage et de course du Boxer 12 ne changent pas, ainsi que le vilebrequin et les bielles, la cylindrée demeure donc de 4,9 L. En revanche, les pistons sont nouveaux, en raison des soupapes d'admission plus grosses et de l'augmentation du rapport volumétrique (10:1 contre 9,3:1). La puissance passe ainsi de 380 ch sur la Testarossa catalysée à 428 chevaux, obtenus dans un festival sonore à 6 750 tr/mn. Le couple passe quand à lui à 51 Mkg à 5 500 tr/mn. Pour faire face à la demande en carburant, 2 pompes à essence immergées alimentent chacune leur rangée de cylindres.

 

En performances pures, la 512 TR fait un bond en vitesse maxi et dépasse désormais allègrement les 300 km/h, 313 mesurés par l'usine (320 Km/h mesuré par le magasine Sport Auto). On gagne également près d'une seconde sur le 0 à 100 et 2" sur le 1000 m, c'est énorme.

 

Vous vous en doutez, rares sont les terrains de jeu qui permettent d'exploiter l'incroyable force qui anime la 512. Moteur fantastique, à la sonorité envoûtante, ligne sublime, comportement exemplaire, la Ferrari 512 TR n'est pas la sportive la plus extrême de sa génération mais elle est sans doute la plus homogène. Son remplacement arrive en 1994 avec l'arrivée de la F512 M.

 

Côté miniature, la 512 TR est une reproduction signée Kyosho. Livrée dans une teinte "Rosso Corsa" avec un habitacle noir, elle brille par sa qualité d’assemblage et la finition apportée à sa structure. Le prix est contenu autour de la centaine d’euros afin d’être accessible au plus grand nombre. En effet, à l’époque, les High-End et leurs finitions fantaisistes n’existaient pas encore. La raison de cette montée en gamme est qu’en 1999 Mattel obtient une licence exclusive auprès de Ferrari pour reproduire les modèles du cheval cabré au 1/18ème. Seul Kyosho continue de produire ses modèles en prenant une sous-licence chez Mattel. En 2005, CMC, BBR, Exoto, et GMP obtiennent aussi une autorisation auprès du fabricant Américain mais pour reproduire des modèles haut de gamme. En 2009, Mattel, dans le but de préserver les ventes déjà médiocres de ses versions dites Haut de gamme (Super Elite), décide de retirer tous droits de productions à Kyosho. L’année suivante, sous réserve de se positionner dans un créneau de prix supérieur, Kyosho se voit réattribuer sa sous-licence.

 

Feutrine dans le coffre, avec petits détails qui vont bien, moteur généreux de réalisme, et habitacle sobre mais efficace, la 512 affiche d’amblée la couleur. Les feux avant sont escamotables comme sur le modèle original et les roues avant braquent dans le sens du volant. L’intérieur de la miniature est en revanche difficile d’accès faute de petit "levier" comme ceux livré avec les BBR par exemple. Mais difficile de ne pas succomber à la ligne de la voiture et à cette équivalence au 1/18. De plus, elle fait un magnifique duo avec sa petite sœur, la Testarossa (Du même fabricant).

 

http://img11.hostingpics.net/pics/765141IMG2546.jpg

 

Symbole d'une époque et d'une génération, la Ferrari Testarossa était une voiture bien née et pour beaucoup, difficilement perfectible.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/222540IMG2556.jpg

 

C'était sans compter sur le talent des motoristes de Maranello et le coup de crayon génial du centre de style Pininfarina, qui lui ont redonné en 1992 une nouvelle vie sous le patronyme de Ferrari 512 TR.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/200674IMG2552.jpg

 

En performances pures, la 512 TR fait un bond en vitesse maxi et dépasse désormais allègrement les 300 km/h, 313 mesurés par l'usine (320 Km/h mesuré par le magasine Sport Auto).

 

http://img11.hostingpics.net/pics/442018IMG2555.jpg

 

Livrée dans une teinte "Rosso Corsa" avec un habitacle noir, elle brille par sa qualité d’assemblage et la finition apportée à sa structure.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/498020IMG2547.jpg

 

Feutrine dans le coffre, avec petits détails qui vont bien, moteur généreux de réalisme, et habitacle sobre mais efficace, la 512 affiche d’amblée la couleur.

 

512 TR Presentation : Les plus…

 

- Feux avant escamotables

- Assemblages et finitions

- Image sérieuse du fabricant

- Détails du moteur

- Feutrine dans le coffre

 

512 TR Presentation : Les moins…

 

- Absence de série limitée/numérotée

- "Cavallino Rampante" collé de travers à l’avant

- Habitacle difficile d’accès

- Choix des teintes de carrosserie

- Fragilité des feux escamotables

 

Verdict : ☆☆☆

 

(Sources ; Forza-Rossa et Romaric Jaffré)

(Photographies ; Romaric Jaffré)

[Invité §ant476VD]

Et encore une superbe présentation .

Je vais pas faire trés original, mais c'est important à dire : Superbe texte, trés complet complet et accompagné de fabuleuses photos, somptueuses même avec les reflets sur la carrosserie de la Ferrari 512 TR et tout, j'adore !!!! http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/gnx.gif

Les photos sur ta volvo rendent vraiment bien ...

Par contre dommage que le logo soit de travers à l'avant ... Les limites de Kyosho :/

Mais sinon, superbe miniature qui me paraît trés bien finie et qui à donc sa place dans ta si belle collection !!!

Bravo http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/jap.gif

[RossoCorsa300]

Une 512 http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/axelay.gif

 

[Invité §rev500ms]

Je confonds toujours ce modéle avec la Testarossa "classique"

Grâce à cette présentation j'en sais un peu plus sur le modéle !

 

Trés beau shoot & belle présentation !!

[Invité §sif671VQ]

Habitacle difficile d’accès

 

tes plus petit que sarkozy

[Invité §Mas042gf]

Quelle est belle cette 512 TR !!!

 

[Invité §mis712xU]

Magnifique modèle http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif

 

et les photos sont magnifique tous comme la présentation

[MiniatureFolie]

Superbe présentation à nouveau !

 

Cette 512 TR est vraiment magnifique ! Et comme tu l'as souligné dans ton texte, le moteur est très réaliste ! Kyosho a fait du très bon travail !

[Invité §tit748gL]

Aucune retouche sur la voiture Adrien.

 

Tout est dans le texte Rally car pour les renseignements sur le fabricant - "APM-MWS est un regroupement d’ingénieurs, de collectionneurs, et de monteurs professionnels spécialisés dans les miniatures en résine au 1/18 et 1/12. Charles Cheng, le fondateur de l’entreprise, a su au fil des années faire évoluer son chiffre d’affaire en proposant des miniatures d’une qualité exceptionnelle. Aidé de Michael Lueng, vendeur exclusif de la marque, les possibilités pour les acheteurs sont grandes. Depuis Hong-Kong, "Mackie" propose aux clients des choix de jantes, de teintes de carrosserie, et même dans certains cas, des personnifications du certificat d’authenticité (599XX Test Carbon Fibre). Seul bémol, le prix… Entre 650 € et 1 500 € pour une Ferrari 1/18 neuve !"

 

Présentation -60 avant la Déforestation Mentale.

 

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512 TR 1992 (Kyosho) : TR pour "Testa Rossa".

 

Symbole d'une époque et d'une génération, la Ferrari Testarossa était une voiture bien née et pour beaucoup, difficilement perfectible. C'était sans compter sur le talent des motoristes de Maranello et le coup de crayon génial du centre de style Pininfarina, qui lui ont redonné en 1992 une nouvelle vie sous le patronyme de Ferrari 512 TR, pour un prix client de 1.198.000 FF de l’époque.

 

Malgré de nombreux éléments communs à la Testarossa, notamment de carrosserie, la Ferrari 512 TR est presque à considérer comme une nouvelle voiture. Les "restylages" sont tellement rares et profonds à Maranello… Ils justifient d'ailleurs presque toujours un changement de nom de baptême, qui reprend assez subtilement le célèbre nombre 512 et TR pour Testa Rossa bien sûr. Toutefois, lorsqu'on met cote à cote la Ferrari Testarossa et la 512 TR, le lien de parenté, inévitable, ne retranscrit pas à sa juste valeur tout le travail accompli. Mais à vrai dire, on aurait mal imaginé une évolution radicale d'une ligne aussi unique et sculpturale que celle de la Testarossa. Ce qui frappe au premier coup d’œil est sans doute l'augmentation de la taille des jantes. La 512 TR passe du 16" au 18", avec une monte à l’avant de 235/40 et à l’arrière de 295/35 une première mondiale sur une voiture de série !

 

Pour le reste, le travail des quelques légères retouches stylistiques a porté sur l'aérodynamique et l'adaptation aux évolutions techniques du châssis et du moteur. Les ailes et le capot avant sont strictement identiques, seul le bouclier entièrement peint et intégrant les phares comme sur la Ferrari 348 est nouveau. Les feux escamotables, partie intégrante du mythe, sont eux aussi toujours là.

 

Les modifications esthétiques sont donc mineures et tant mieux car la 512 TR conserve cette beauté faite d'une sportivité impressionnante et délicate à la fois, dont le coup de crayon vieux de 7 ans en a fait un objet d'art autant qu'une automobile d'exception. L'habitacle est lui aussi revu et conforme à ce que l'on attend d'une Ferrari. Sportif et chic, sans superflu. L'affreuse console centrale a disparue mais les manomètres sont toujours là. Le dessin des contre-portes et de la planche de bord a été simplifié. Les compteurs frappés du petit cheval cabré sont nouveaux : Vitesse maxi 320 km/h, régime moteur 10 x 1000 tr/mn. La simple vue de ces chiffres fait déjà tourner la tête de tout amateur de voitures de sport. Point positif, les sièges sont plus enveloppants et plus bas, bien mieux en phase avec le potentiel de la machine. La position de conduite est excellente. La Ferrari 512 TR possède en série une climatisation, des vitres et rétroviseurs électriques, un volant réglable en hauteur et un habillage de cuir intégral qui rattrape pour beaucoup une finition et des plastiques très moyens.

 

Le 12 cylindres à plat de la 512 TR se distingue par son faible encombrement en hauteur. Les cotes d'alésage et de course du Boxer 12 ne changent pas, ainsi que le vilebrequin et les bielles, la cylindrée demeure donc de 4,9 L. En revanche, les pistons sont nouveaux, en raison des soupapes d'admission plus grosses et de l'augmentation du rapport volumétrique (10:1 contre 9,3:1). La puissance passe ainsi de 380 ch sur la Testarossa catalysée à 428 chevaux, obtenus dans un festival sonore à 6 750 tr/mn. Le couple passe quand à lui à 51 Mkg à 5 500 tr/mn. Pour faire face à la demande en carburant, 2 pompes à essence immergées alimentent chacune leur rangée de cylindres.

 

En performances pures, la 512 TR fait un bond en vitesse maxi et dépasse désormais allègrement les 300 km/h, 313 mesurés par l'usine (320 Km/h mesuré par le magasine Sport Auto). On gagne également près d'une seconde sur le 0 à 100 et 2" sur le 1000 m, c'est énorme.

 

Vous vous en doutez, rares sont les terrains de jeu qui permettent d'exploiter l'incroyable force qui anime la 512. Moteur fantastique, à la sonorité envoûtante, ligne sublime, comportement exemplaire, la Ferrari 512 TR n'est pas la sportive la plus extrême de sa génération mais elle est sans doute la plus homogène. Son remplacement arrive en 1994 avec l'arrivée de la F512 M.

 

Côté miniature, la 512 TR est une reproduction signée Kyosho. Livrée dans une teinte "Rosso Corsa" avec un habitacle noir, elle brille par sa qualité d’assemblage et la finition apportée à sa structure. Le prix est contenu autour de la centaine d’euros afin d’être accessible au plus grand nombre. En effet, à l’époque, les High-End et leurs finitions fantaisistes n’existaient pas encore. La raison de cette montée en gamme est qu’en 1999 Mattel obtient une licence exclusive auprès de Ferrari pour reproduire les modèles du cheval cabré au 1/18ème. Seul Kyosho continue de produire ses modèles en prenant une sous-licence chez Mattel. En 2005, CMC, BBR, Exoto, et GMP obtiennent aussi une autorisation auprès du fabricant Américain mais pour reproduire des modèles haut de gamme. En 2009, Mattel, dans le but de préserver les ventes déjà médiocres de ses versions dites Haut de gamme (Super Elite), décide de retirer tous droits de productions à Kyosho. L’année suivante, sous réserve de se positionner dans un créneau de prix supérieur, Kyosho se voit réattribuer sa sous-licence.

 

Feutrine dans le coffre, avec petits détails qui vont bien, moteur généreux de réalisme, et habitacle sobre mais efficace, la 512 affiche d’amblée la couleur. Les feux avant sont escamotables comme sur le modèle original et les roues avant braquent dans le sens du volant. L’intérieur de la miniature est en revanche difficile d’accès faute de petit "levier" comme ceux livré avec les BBR par exemple. Mais difficile de ne pas succomber à la ligne de la voiture et à cette équivalence au 1/18. De plus, elle fait un magnifique duo avec sa petite sœur, la Testarossa (Du même fabricant).

 

http://img11.hostingpics.net/pics/765141IMG2546.jpg

 

Symbole d'une époque et d'une génération, la Ferrari Testarossa était une voiture bien née et pour beaucoup, difficilement perfectible.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/222540IMG2556.jpg

 

C'était sans compter sur le talent des motoristes de Maranello et le coup de crayon génial du centre de style Pininfarina, qui lui ont redonné en 1992 une nouvelle vie sous le patronyme de Ferrari 512 TR.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/200674IMG2552.jpg

 

En performances pures, la 512 TR fait un bond en vitesse maxi et dépasse désormais allègrement les 300 km/h, 313 mesurés par l'usine (320 Km/h mesuré par le magasine Sport Auto).

 

http://img11.hostingpics.net/pics/442018IMG2555.jpg

 

Livrée dans une teinte "Rosso Corsa" avec un habitacle noir, elle brille par sa qualité d’assemblage et la finition apportée à sa structure.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/498020IMG2547.jpg

 

Feutrine dans le coffre, avec petits détails qui vont bien, moteur généreux de réalisme, et habitacle sobre mais efficace, la 512 affiche d’amblée la couleur.

 

512 TR : Les plus…

 

- Feux avant escamotables

- Assemblages et finitions

- Image sérieuse du fabricant

- Détails du moteur

- Feutrine dans le coffre

 

512 TR : Les moins…

 

- Absence de série limitée/numérotée

- "Cavallino Rampante" collé de travers à l’avant

- Habitacle difficile d’accès

- Choix des teintes de carrosserie

- Fragilité des feux escamotables

 

Verdict : ☆☆☆

La Testa Rossa une de mes Ferrari preferer, elle est superbe cette miniatures

[Invité §bg5600EN]

Superbe cette 512 comme la dit vianey je la confond aussi avec une testarossa mais elle est superbe

[Romain33auto]

Pouah celle là est vraiment très belle cette 512 TR

 

Et puis comme d'hab, présentation et photos

[smartien38]

Très belle miniature en effet. Cette évolution de la Testarossa est pour moi bien mieux réussie que la 512 M qui pour moi est un vrai massacre. Les Kyosho restent des valeurs sûres de toute manière.

[ee110]

SUPERBE !

 

magnifiques photos et en particulier les 2 de 3/4 avant et arrière

[Invité §FER785Xq]

Et hop, une nouvelle présentation sous la neige. http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/sol.gif

 

Présentation -59 avant la Déforestation Mentale.

 

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550 Maranello 1996 (Bburago) : Le retour du moteur V12 avant.

 

La Ferrari 550 Maranello remplace la 512 M, dernière évolution de la Ferrari Testarossa. Dessinée par Pininfarina, elle marque le retour de Ferrari au moteur V12 avant pour sa GT, une architecture abandonnée après la Ferrari Daytona. Les deux générations intermédiaires, la Berlinetta Boxer (365 GT4 BB et 512 BB), et la Testarossa, 512TR et 512 M) étaient construites autour d'un 12 cylindres à plat en position centrale arrière.

 

Surfant sur la lancée de la 456 GT, présentée en 1992 et unanimement plébiscitée pour son design très réussi, Pininfarina enfonce le clou avec la 550 Maranello : Fine, élégante et racée, elle transpire la classe. Une voiture envoutante, avec 4 800 heures en soufflerie pour atteindre la perfection de sa ligne... Bien que très large et arborant une évocatrice prise d’air sur son capot en aluminium, cette Ferrari n’entend pas faire dans la surenchère. Elle est surnommée le « Squale » et en y regardant de plus près, on comprend pourquoi. D’abord grâce à ce majestueux profil dont le long capot semble interminable et aux prises d’air placées après les roues avant évoquant des branchies. Le dessin des feux arrière rappelle ceux de la 456 GT même si la poupe est quelque peu modifiée (En particulier au niveau de la malle arrière) pour un aérodynamisme retravaillé.

 

On ne change pas une équipe qui gagne. Ce dicton s’applique parfaitement ici, si bien qu’un connaisseur de la marque ne sera pas dépaysé puisqu’en effet bon nombre d’éléments proviennent de la Ferrari 456 (Dont le volant entre autres). C’est avec plaisir que l’on retrouve la fameuse grille chromée de la boîte manuelle, si brillante qu’il est possible d’y voir son propre reflet. La finition est plutôt bonne même si certains détails dénotent un peu. Les comodos bas de gamme n’ont pas trop leur place dans une GT de ce standing, et surtout pour un prix d’achat de 1.230.000 FF d’époque !

 

La position de conduite est excellente et les sièges offrent un maintien exceptionnel, capable de rendre un long trajet parfaitement acceptable. Le freinage ne souffre pas de réelle critique grâce aux disques ventilés de 300 mm à l’avant et 310 mm à l’arrière. Question gomme la 550 est équipée de 225/40 ZR 18 à l’avant et de 295/35 ZR18 pour l’arrière. le V12 5474 cm3 en V à 65° 48 soupapes répondant au nom de code F133 et placé en position longitudinale avant, il est couplé à une boite manuelle à 6 rapports et tout droit issu des 456 GT/M GT avec pour particularité ici d’être généreusement fourni en air grâce aux deux conduits prévus à cet effet. Le régime maximal est situé à 7700 tours, laissant augurer un caractère bien trempé. Le couple, colossal et omniprésent, permet tout type de conduite et chaque rétrogradage vous colle littéralement au siège. Dément ! Quelques chiffres pour illustrer cela : Il ne faut que 4.4 secondes pour arriver à 100 km/h, le kilomètre départ-arrêté est abattu en moins de 23 secondes et une vitesse Max de 320 km/h.

 

Le V12 de 5474 cm³ remporta deux années d’affilée, en 2000 et 2001, le prix du meilleur moteur dans la catégorie « supérieur à 4 litres » de l’International Engine of the Year. En 2000, La 550 eut droit à une très exclusive déclinaison cabriolet appelée 550 Barchetta. Toujours signée du carrossier Pininfarina. En 2002, la Ferrari 550 Maranello évolue un peu et devient la Ferrari 575 M Maranello.

 

L'histoire de Bburago débute véritablement en Italie en 1974. Mais avant, Mario Besana, le futur créateur, va travailler dans différentes entreprises. Il va s'essayer quelque temps chez le constructeur automobile Innocenti puis intégrera Molgora, un fabricant de jouets en tôle emboutie. En 1959, avec ses frères Martino et Hugo, il se lance dans la fabrication des jouets. Il faudra attendre dix ans, en 1966, pour que la famille Besana crée la marque Mebetoys. Cette société (Meccanica Besana Toys), basée à Milan, réalisera de nombreux modèles en métal. Ceux-ci seront essentiellement réalisés au 1/43 et au 1/25. Le succès sera immédiat.

 

1969 : Mattel achète Mebetoys et prend pied dans l’entreprise pour une durée de trois ans. Mebetoys va, dans un premier temps, produire des jouets pour le compte de Mattel. Mais le géant Américain est glouton. Il achète Mebetoys en 1973. Par ailleurs, en 1972, Mario Besana crée la société Martoys. Comme Mebetoys, elle va connaître un vif succès dès ses débuts. Le succès est si important qu'il s'avère vite indispensable de fabriquer une nouvelle usine.

 

Celle-ci verra le jour en 1975, dans la ville Italienne de Burago, proche de Milan. Mario Besana saisit l'occasion pour renommer Martoys, dont le nom n'est pas très accrocheur. Le nom Bburago est choisi en 1974. Le b est doublé afin de pouvoir distinguer la ville d'accueil du nom de la société. Cette première lettre permet également de rappeler le nom du fondateur (Besana).

 

La 550 Maranello est une des premières voitures de ma collection. Livrée dans une teinte noire, elle n’est pas la plus aboutie des miniatures, mais est à un tarif imbattable. A l’époque de son achat, il était difficile de trouver une Ferrari 1/18 autre que rouge. Voilà en partie pourquoi j’ai craqué sur ce modèle. Même les standards d’aujourd’hui ne me font pas regretter mon choix tant la ligne de cette Italienne est magnifique. Son prix était de 135 francs il y a un peu plus d’une dizaine d’années soit 20,58 €. Inutile de précisé que de nos jours, un tel tarif est inenvisageable.

 

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La Ferrari 550 Maranello remplace la 512 M, dernière évolution de la Ferrari Testarossa.

 

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Fine, élégante et racée, elle transpire la classe. Une voiture envoutante, avec 4 800 heures en soufflerie pour atteindre la perfection de sa ligne...

 

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Le V12 de 5474 cm³ remporta deux années d’affilée, en 2000 et 2001, le prix du meilleur moteur dans la catégorie « supérieur à 4 litres » de l’International Engine of the Year.

 

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En 2000, La 550 eut droit à une très exclusive déclinaison cabriolet appelée 550 Barchetta.

 

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Son prix était de 135 francs il y a un peu plus d’une dizaine d’années soit 20,58 €. Inutile de précisé que de nos jours, un tel tarif est inenvisageable.

 

550 Maranello : Les plus…

 

- Teinte de carrosserie

- Tarif

- Robustesse de la miniature

- Parfaite pour débuter

- Design de la 1/1

 

550 Maranello : Les moins…

 

- Assemblages et finitions

- Détails du moteur

- Absence de vitres latérales

- Epaisseur de la calandre

- Qualité des plastiques

 

Verdict : ☆☆

 

(Sources ; Forza-Rossa et Romaric Jaffré)

(Photographies ; Romaric Jaffré)

[Invité §rev500ms]

Elle est pas si mal que ça pour l'époque en terme de proportions !

Moi j'avais la version Ut models, Maisto, et Hot wheels basique, la Bburago ne faisait pas trop bizarre parmi celles là ^^

 

 

Beau shooting en tout cas ! et le choix de la teinte est bien judicieux ! et la peinture bien appliquée je trouve (avec ces petites paillettes )

 

En fait il suffit de mettre des étriers de frein et des ceintures plus crédibles et voilà ^^

[Invité §fif337Wo]

meme si je ne laisse pas de coms, je passe souvent par là pour m'instruire sur les modèles Ferrari aussi bien à l' echelle1 que leurs reproductions bien mises en valeurs par de superbes photos comme toujours qui mettent aussi bien en valeur " une simple" Bburago qu' une Kyosho

[Invité §ant476VD]

http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/antof1.gif

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Wouuuuuuuu !!!!!!!!!! S.U.P.E.R.B.E !!!! http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/1/antof1.gif

 

Le texte est fascinant, quant aux photos, elles sont formidables !!!

Cette Ferrari quoi... j'en reviens pas que ce soit la remplacante de la 512 M, car elle à superbement bien vieilli quoi !!

15 ans et pourtant réellement aucunes rides ... http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif Vraiment l'arrivée d'une nouvelle mode, avec ces formes rondes et tout...

J'adore cette présentation, et la derniére photo est EXTRAORDINAIRE !!!!!!!!!!!!!! http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/bmwz8.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/2/bmwz8.gif

 

Et le prix, bon sang !

Parfait ... http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/1/antof1.gif

[Invité §mis712xU]

Magnifique en Noir http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gifhttp://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/love.gif

 

Et dit que la mienne va p-e partir pour pièce

[Invité §tit748gL]

Un tres beau modele au 1/1 mais dommage pour la qualité et la finition de la bubu

[MiniatureFolie]

Superbe présentation. Et tes clichés sont parfaits ! http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/jap.gif

[Invité §Mas042gf]

très sympa ca rappelle toute mon enfance ca