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Ferrari

Formule 1 saison 2019 : clap de fin à Abu Dhabi


RossoCorsa300
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Il est temps d'ouvrir un nouveau topic pour la saison 2019 de Formule 1 :)

 

 

La grille 2019 complète

 

Mercedes : Lewis Hamilton (GBR) et Valtteri Bottas (FIN)

Ferrari : Sebastian Vettel (ALL) et Charles Leclerc (MON/ex-Sauber)

Red Bull (moteur Honda) : Max Verstappen (HOL) et Pierre Gasly (FRA/ex-Toro Rosso)

Renault : Daniel Ricciardo (AUS/ex-Red Bull) et Nico Hülkenberg (ALL)

Racing Point Force India (moteur Mercedes) : Sergio Pérez (MEX) et Lance Stroll (CAN/ex-Williams)

Williams (moteur Mercedes) : George Russell (GBR/filière Mercedes) et Robert Kubica (POL/ex

pilote d'essais Williams)

Haas (moteur Ferrari) : Kevin Magnussen (DAN) et Romain Grosjean (FRA)

Sauber (moteur Ferrari) : Kimi Räikkönen (FIN/ex-Ferrari) et Antonio Giovinazzi (ITA/ex-3e pilote Ferrari)

McLaren (moteur Renault) : Carlos Sainz Jr (ESP/ex-Renault) et Lando Norris (GBR/filière McLaren)

Toro Rosso (moteur Honda) : Daniil Kvyat (RUS/ex-pilote de développement Ferrari) et Alexander Albon (THA/ex-pilote de F2)

 

Le calendrier

 

17 mars 2019au-2.svg AustralieMelbourne
31 mars 2019bh-2.svg BahreïnSakhir
14 avril 2019cn-2.svg ChineShanghai
28 avril 2019az-2.svg AzerbaïdjanBakou
12 mai 2019es-2.svg EspagneBarcelone
26 mai 2019mc-2.svg MonacoMonaco
9 juin 2019ca-2.svg CanadaMontréal
23 juin 2019fr-2.svg FranceCircuit Paul Ricard
30 juin 2019at-2.svg AutricheRed Bull Ring
14 juillet 2019gb-2.svg Grande-BretagneSilverstone
28 juillet 2019de-2.svg AllemagneHockenheim
4 août 2019hu-2.svg HongrieBudapest
1er septembre 2019be-2.svg BelgiqueSpa-Francorchamps
8 septembre 2019it-2.svg ItalieMonza
22 septembre 2019sg-2.svg SingapourSingapour
29 septembre 2019ru-2.svg RussieSotchi
13 octobre 2019jp-2.svg JaponSuzuka
27 octobre 2019mx-2.svg MexiqueMexico
3 novembre 2019us-2.svg États-UnisAustin
17 novembre 2019br-2.svg BrésilInterlagos
1er décembre 2019ae-2.svg Abu DhabiYas Marina

 

En espérant que cette année S. Vettel et ses ingénieurs ne craquent pas sous la pression demonhill.gif.db9a9870e6252d6a33f38651a6a3a7aa.gif et que C. Leclerc soit au top. :sol:

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L'info n'est pas toute récente (décembre 2018), mais la date de présentation et le nom de code de la nouvelle F1 de la Scuderia ont été dévoilés : ce sera le 15 février et il s'agit de la "670". :jap:

 

 

 

 

Le team principal de la Scuderia Maurizio Arrivabene a révélé que la monoplace frappée du Cavallino qui disputera le Championnat du monde 2019 de Formule 1 sera présentée le 15 février, trois jours avant le début des essais hivernaux à Barcelone.

 

C’est à Milan, lors de la soirée des Autosprint Awards, que le patron des rouges, accompagné par Charles Leclerc, a livré quelques détails sur la future Rossa, développée à Maranello sous le nom de code “670” :

 

 

“Le groupe d’ingénieurs emmené par [le directeur technique] Mattia Binotto travaille sur la voiture depuis plusieurs mois. Les moteurs tournent sur les bancs d’essai et certains éléments de la voiture sont déjà en production.”

 

“Les pièces davantage liées à la performance arriveront à la dernière minute, même si la pression augmente au fil du temps. Nous présenterons la voiture le 15 février, tout doit être prêt pour cette date.”

 

Monza pourrait faire peau neuve pour son centenaire

“Bien sûr, il est trop tôt pour avoir une idée globale [de la compétitivité] de la voiture. Les simulations sont en cours, nous avons quelques chiffres, mais le véritable banc d’essais reste la piste. C’est là qu’on compare les chiffres de la simulation avec la réalité, et c’est là qu’on se confronte aux autres voitures.”

 

Ferrari, qui fut en lutte serrée avec Mercedes la saison dernière pour le titre mondial, est la première écurie de F1 à divulguer la date de présentation de sa monoplace 2019.

 

Source : https://f1i.auto-moto.com/info [...] e-f1-2019/

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[h1]Formule 1: Mick Schumacher, le fils de Michael, rejoint la filière jeunes pilotes de Ferrari[/h1]

AUTO Il va y retrouver Giuliano Alesi et Enzo Fittipaldi, eux aussi issus d'une belle lignée de pilotes...

N.C. avec AFP

Publié le 19/01/19 à 17h35 — Mis à jour le 19/01/19 à 17h35

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310x190_mick-schumacher-fils-michael-rejoint-filiere-developpement-jeunes-pilotes-ferrari.jpgMick Schumacher, le fils de Michael, rejoint la filière de développement des jeunes pilotes de Ferrari. — Kamran Jebreili/AP/SIPA

Mick Schumacher, le fils du septuple champion du monde de Formule 1 Michael, a rejoint la filière de développement des jeunes pilotes de Ferrari, la prestigieuse écurie italienne où son père a excellé durant une décennie, a annoncé samedi la scuderia. Agé de 19 ans, Mick Schumacher, champion d'Europe de Formule 3 l'an dernier, va courir cette saison en Formule 2, l'antichambre de la catégorie reine.

Ironie du sort, il rejoint dans les rangs de la « Ferrari Driver Academy » deux autres jeunes pilotes au patronyme célèbre: le Français Giuliano Alesi, fils de Jean, lui-même ancien pilote Ferrari en F1, ainsi que le Brésilien Enzo Fittipaldi, petit-fils d'Emerson, double champion du monde de F1 en 1972 et 1974.ir l'image sur Twitter

 

Dv9G2umWkAY2Lht?format=jpg&name=smallnformations sur les Publicités Twitter et confidentialité

« Je suis ravi de ce partenariat avec Ferrari, mon avenir dans le sport auto s'écrit en rouge », s'est réjoui Mick Schumacher dans un communiqué. « C'est un nouveau pas dans la bonne direction et je ne peux que profiter de l'immense expertise accumulée ici. Soyez sûrs que je ferai tout pour accomplir mon rêve, piloter en Formule 1 ».

 

« Il est plus qu'évident que Ferrari a une grande place dans mon coeur depuis ma naissance, et aussi dans le coeur de ma famille, donc je suis aussi ravi de cette opportunité au plan personnel », a-t-il poursuivi.

 

Voir l'image sur Twitter

 

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Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

Mattia Binotto, le patron de Ferrari qui connaît Mick Schumacher « depuis sa naissance », a fait part de son « émotion » d'accueillir le jeune pilote dans la filière de la scuderia. Mais il a souligné: « Nous l'avons choisi pour son talent et les qualités humaines et professionnelles qui lui ont déjà permis de se distinguer malgré son jeune âge ».

Michael Schumacher a piloté pour Ferrari de 1996 à 2006, remportant avec l'écurie italienne cinq de ses sept titres mondiaux. Victime d'un accident de ski le 29 décembre 2013, l'état de santé de l'ancien champion aux 91 victoires en F1 est aujourd'hui précaire et demeure un secret soigneusement gardé par ses proches. Il a fêté ses 50 ans début janvier. Un autre membre de la famille Schumacher a également déjà couru en F1: Ralf, petit frère de Michael, a disputé 180 Grands Prix entre 1997 et 2007, remportant six victoires.

 

 

 

 

Source : https://www.20minutes.fr/sport [...] es-ferrari

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[h1]Pirelli annonce les couleurs[/h1]

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Cette année, le manufacturier italien a décidé de simplifier la donne après avoir, l'an dernier, fourni sept types de gommes différentes aux écuries. Avec autant de couleurs, il devenait délicat de suivre une course. Cette saison, Pirelli n'affichera que trois couleurs à chaque Grand Prix. Et ce, même si les mélanges pourront changer en fonction des caractéristiques de la piste, de la qualité du bitume et du degré d'abrasivité de l'asphalte.[h3]Le dur sera toujours blanc, le medium jaune et le tendre rouge[/h3]

Fini le violet, le rose ou l'argent. Le dur sera toujours blanc, le medium jaune et le tendre rouge. La règle qui impose aux équipes d'utiliser obligatoirement deux types de pneumatiques différents reste maintenue.

Lors des essais hivernaux de Barcelone (18-21 février puis 26 février-1er mars), les pilotes pourront tester les cinq types de gommes proposées par Pirelli disponibles pour cette saison 2019. Le vert reste associé aux « inter » et le bleu aux pneus pluie.

Source : https://www.lequipe.fr/Formule-1/Actualites/Pirelli-annonce-les-couleurs/980313

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[h1]John Elkann, propriétaire de Ferrari, dément un départ du président Louis Camilleri[/h1]

Publié le mercredi 16 janvier 2019 à 17:02[h2]Le nouveau patron de la Scuderia, John Elkann, apporte son soutien au président Louis Camilleri, dans une lettre.[/h2]Partager sur Facebook Tweeter Google+7 partages

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John Elkann, propriétaire de Ferrari, justifie les changements dans l'organigramme de Ferrari.() M.Romano/IPP/Presse Sports

 

Le départ subit d'Arrivabene, remplacé par Mattia Binotto, a provoqué un séisme dans le pays de la Scuderia. Dix jours après l'annonce, on ne parle encore que de cela. Au point que le nouveau propriétaire de Ferrari, John Elkann, a été contraint de voler au secours de son président. Louis Camilleri, nommé à la tête de la firme de Maranello suite au décès de Sergio Marchionne l'été dernier serait, selon la presse transalpine, menacé. Les journaux italiens annoncent même le possible retour de Stefano Domenicali, désormais PDG de Lamborghini, aux commandes, cinq ans après avoir été remercié de son poste de boss de la Gestione Sportiva.

 

 

 

« Je démens toutes ces rumeurs concernant de nouveaux changements à la tête de Ferrari, écrit le petit-fils de Giovanni Agnelli dans une lettre adressée aux tifosi et publiée par la Gazetta dello sport. Mon objectif, comme celui de Louis Camilleri, est d'assurer la concentration et la stabilité de Ferrari. » Dans cette missive, Elkann détaille son choix de prendre Binotto : « La nomination de Mattia n'est en aucun cas un revirement et ne découle pas de désaccords présumés au sein de l'équipe. Au contraire, c'est un choix réalisé par l'équipe en accord avec Maurizio (Arrivabene). Le travail de Mattia (directeur technique jusqu'à la semaine dernière, qui avait déjà commencé pour préparer la saison qui va débuter) repose précisément sur ce qui a été fait ces dernières années. C'est de la continuité qui vise une évolution, certainement pas une ''rupture'' par rapport au passé. » Ferrari se retrouve toutefois, deux mois avant de débuter la saison, avec un nouveau boss, Mattia Binotto, ainsi qu'un nouveau pilote, le jeune Monégasque Charles Leclerc.

Source : https://www.lequipe.fr/Formule [...] eri/978119

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[h1]Un nom circule en Italie pour la Ferrari F1 de 2019…[/h1]

 

PAR GRÉGORY DEMOEN

 

 

 

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La nouvelle monoplace de Formule 1 conçue par Ferrari pour la saison à venir ne devrait pas être baptisée SF72H.

 

Ferrari avait choisi l’appellation SF70H pour sa monoplace 2017 SF pour Scuderia Ferrari, 70 en référence au 70ème anniversaire de Ferrari et H pour la nature hybride de son moteur.

La Scuderia avait conservé la même racine pour nommer sa monoplace 2018 de Formule 1, la baptisant ‘SF71H’. A son volant, Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen allaient offrir à Ferrari sa meilleure saison en F1 depuis dix ans.

Pour sa monoplace 2019, la squadra aurait toutefois choisi un autre nom que ‘SF72H’ selon la presse transalpine. Le magazine Autosprint rapporte que la nouvelle rossa pourrait s’appeler ‘SF-90’ en référence aux 90ème anniversaire de la Scuderia Ferrari.

Enzo Ferrari fonda le 1er décembre 1929, avec deux associés (Alfredo Caniato et Mario Tadini), une société sportive qu’il nomma la Societa anonima Scuderia Ferrari, dont l’activité était de seconder les propriétaires privés et pilotes de haut niveau de voitures Alfa Romeo.

Filiale dans un premier temps du constructeur automobile Alfa Romeo, la Scuderia Ferrari en était devenue indépendante en 1940. L’écurie de course allait ensuite devenir une pionnière puis un pilier du championnat du monde de Formule 1, remportant 16 titres des constructeurs et 15 titres des pilotes depuis la création du championnat en 1950.

La nouvelle monoplace de Ferrari conçue pour la saison 2019 de Formule 1 sera présentée à Maranello le 15 février prochain.

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Un peu long mais intéressant a lire :

 

 

 

[h1]Ce que Ferrari doit faire pour battre Mercedes[/h1]

 

 

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Alors que Ferrari aborde la saison 2019 avec l'espoir de mettre fin à une longue période sans titre mondial,

voici sept tâches de grande ampleur que l'écurie italienne doit selon nous accomplir pour y parvenir.

 

 

 

 

Ferrari n'a pas remporté le moindre titre en Formule 1 au cours des dix dernières saisons. L'écurie a historiquement connu des périodes de vaches maigres entre ses ères de succès, particulièrement les 15 saisons sans sacre entre les titres constructeurs de 1983 et 1999. Il est néanmoins impensable qu'une structure de son envergure et aussi renommée passe autant de temps sans décrocher la récompense ultime. Mais Ferrari est une bête sauvage au défi unique.

La récente décision d'évincer Maurizio Arrivabene de son rôle de directeur d'équipe après quatre saisons, et de le remplacer par l'ancien directeur technique Mattia Binotto, est le prix à payer pour une relative absence de succès. C'était la bonne décision, car il n'y avait pas seulement le manque de résultats d'Arrivabene, mais aussi l'impact qu'il avait sur l'équipe. Mener une opération devant aboutir à un titre mondial n'est jamais facile, mais c'est sans doute plus dur chez Ferrari que n'importe où ailleurs, et les qualités de leadership d'Arrivabene se sont avérées incompatibles avec la pression unique qui règne à Maranello. Mercedes est aujourd'hui l'équipe que Ferrari était auparavant : une machine victorieuse bien huilée et féroce, qui a remporté cinq doublés consécutifs au Championnat du monde. Infliger un coup dur à Mercedes, et à son pilote vedette Lewis Hamilton, était à portée de Ferrari lors des deux précédentes campagnes. Jamais l'expression "si proche et pourtant si loin" a semblé aussi appropriée, car tandis que Ferrari a repoussé Mercedes dans ses retranchements en 2017 comme en 2018, c'était en fin de compte loin d'être le cas lors des ultimes épisodes de la bataille.

Alors que doit faire Ferrari pour combler cet écart et franchir la dernière marche lui permettant d'infliger une défaite à Mercedes ? Il est clair qu'une révolution n'est pas nécessaire, mais dans son nouveau rôle, Binotto doit mettre l'accent sur plusieurs domaines clés qui, collectivement, pourraient aider à finir le travail.[h3]

[/h3][h3]- Soulager la pression[/h3]f1-belgian-gp-2017-mattia-binotto-ferrari-chief-technical-officer-in.jpg

Plus facile à dire qu'à faire. Mais ce qui est clair et ressortait de la manière de diriger d'Arrivabene, c'était une méthode davantage basée sur la pression et autorisant la culture du reproche. C'est une approche inadéquate pour tirer le meilleur d'une écurie F1, constituée principalement de personnes extrêmement motivées et intelligentes. Il y aura toujours de la pression, mais la culture de l'équipe – et de son patron en particulier – peut la réduire.

Le nouveau directeur Mattia Binotto fait partie de ces individus extrêmement motivés et intelligents, et a démontré lorsqu'il était directeur technique qu'il pouvait tirer le meilleur des gens sous ses ordres. Il y a toutes les chances qu'il puisse le faire en prenant en charge la totalité des opérations. L'année dernière, Motorsport.com lui avait demandé comment il avait repris en main le département technique, et sa réponse en disait long sur sa méthode.

"Je crois qu'il est juste de dire que notre équipe, en matière d'individualités, est très forte", expliquait Binotto. "Nous avons des compétences très élevées. C'est une équipe fantastique à cet égard, dans tous les domaines, de l'unité de puissance au châssis, en passant par l'aéro. Je pense que ce dont nous bénéficions ces dernières saisons, c'est d'une certaine stabilité en matière d'organisation, ce qui est très important en F1. Grâce à la stabilité, on peut commencer à définir une méthode de travail, améliorer les procédures, le processus interne."

"Personnellement, je ne pense certainement pas être un expert dans tous les domaines. J'ai 25 années d'expérience en F1, j'ai connu une époque formidable avec Ferrari sur les circuits du temps de Michael Schumacher, mais je suis toujours quelqu'un qui est lié au moteur. Lorsque j'ai évolué vers ce rôle [de directeur technique], je crois que ce qui était important pour moi était de fixer les objectifs et m'assurer que tout le monde était à l'aise dans son rôle, comprendre le processus interne et mieux travailler, pas seulement individuellement mais collectivement."

"Nous avons concentré tous nos efforts sur le fait de travailler correctement en équipe, et d'oublier les individualités. C'est pourquoi, encore une fois, nous pensons la voiture comme un package complet, sans essayer de séparer les choses en fonction des composants ou des départements, car nous sommes une équipe et nous ne faisons pas rouler une unité de puissance ou un aileron, mais une voiture entière. Une fois encore, tout l'effort consistait à construire l'équipe et fixer les bons objectifs, faire avec, essayer d'être ambitieux. Je crois que c'est ce qui s'est passé ces deux dernières années."

La disparition de la culture du reproche est essentielle. Parfois, y compris dans certaines écuries F1, cet objectif est interprété à tort comme n'encourageant pas à isoler les domaines où il y a un problème. Ce qu'il représente en fait, c'est le fait que des individus sachent qu'ils peuvent mettre en lumière des problèmes ou des erreurs, même si ce sont les leurs, avec la certitude que l'accent sera mis sur le fait de les corriger plutôt que de les blâmer.

Tout le monde fait des erreurs. La plus grande de toutes, c'est quand les dirigeants ne le reconnaissent pas et multiplient les erreurs et la politique en pensant l'inverse.[h3]

[/h3][h3]- Ne pas se concentrer uniquement sur les résultats[/h3]engineers-work-on-the-car-of-s-1.jpg

Cela pourrait paraître contraire à toute logique, mais les excellents résultats sont la conséquence de processus sains et d'une résistance à la tentation d'aller trop loin. Oui, il y a des moments où l'on peut choisir d'être un peu plus agressif, ou légèrement plus conservateur, en fonction de la situation. Mais les écuries de F1 sont à leur meilleur niveau lorsqu'elles s'appuient sur de bonnes prises de décisions et de bonnes méthodes de travail.

Techniquement, Ferrari a été très impressionnant ces dernières années, concevant une voiture performante en 2017, qui était particulièrement bonne sur les circuits lents. Puis en s'appuyant là-dessus en 2018 avec une monoplace qui était meilleure sur une plus large variété de circuits. Cela laisse penser que, dans le fond, l'équipe est sur la bonne voie d'un point de vue technique.

Là où les choses se sont mal passées l'année dernière, c'est avec les évolutions après le Grand Prix d'Italie, où l'équipe a donné l'impression de présumer de ses forces. Non seulement les nouvelles pièces n'ont pas apporté d'amélioration, mais elles ont parfois rendu la voiture moins compétitive (la faisant chuter dans la hiérarchie derrière Mercedes mais aussi derrière Red Bull Racing). C'est également devenu un élément de distraction.

La raison pour laquelle ces erreurs (liées notamment au fond plat) ont été commises n'est pas claire. Mais il y a toutes les chances que ce soit dû à la pression de la lutte pour le titre, et au besoin de rattraper Mercedes sur le plan comptable. Dans le même temps, Mercedes a redoublé d'efforts en se basant sur les méthodes et processus qui lui avaient permis de remporter les quatre titres précédents, et a été récompensé.

Parfois, les équipes vont trop loin. Cela s'est vu à Suzuka, lorsqu'un pari ridicule a été fait en qualifications en envoyant les deux Ferrari en Q3 avec des pneus pluie sur une piste sèche. Au final, ça n'a pas coûté grand-chose, mais il faut parfois accepter que le meilleur résultat possible est d'être deuxième, et s'assurer de ne pas se retrouver encore plus distancé suite à un pari hasardeux et inutile. Si Ferrari met l'accent sur le fait de tirer le meilleur de ce qui est entre ses mains, et qui était bon lors de la première partie de saison, alors ça lui sera très utile.[h3]

[/h3][h3]- Tirer le meilleur de Vettel[/h3]sebastian-vettel-ferrari--1.jpg

Sebastian Vettel a été critiqué à juste titre pour la série d'erreurs qu'il a commises en 2018, ce qui lui a au minimum coûté l'occasion de prolonger davantage la lutte pour le titre. Il doit endosser une part de responsabilité, mais il avait de plus en plus l'air d'un homme portant le poids du monde sur ses épaules, dans une équipe qui perdait le contrôle.

C'est un personnage sujets aux émotions. Lorsqu'il était chez Red Bull, son ingénieur de course Guillaume Rocquelin était particulièrement doué pour parvenir à le maintenir concentré pendant les Grands Prix. Vettel se plaignait également à la radio, mais pendant cette période, cela se transformait en moyen efficace pour le motiver. La saison dernière, l'environnement Ferrari semblait parfois passer à côté du rôle de soupape de décompression dont Vettel avait besoin.

Dans une interview réalisée dans le cadre de l'Autosport Podcast, l'ancien pilote d'essais de Ferrari, Luciano Burti, a laissé entendre que Ferrari aurait pu faire plus pour ramener Vettel sur de bons rails après son accident désastreux lors du Grand Prix d'Allemagne.

"C'était vraiment une toute petite erreur, ça arrive, et il a été malchanceux que cela se produise au mauvais moment, au mauvais endroit, avec une énorme conséquence", explique Burti. "À partir de ce moment-là, je crois vraiment que quelqu'un comme Jean Todt [le président de la FIA a dirigé Ferrari de 1993 à 2007] lui aurait dit les bons mots. Je pense que Vettel s'est peut-être senti un peu seul pour assumer son erreur."

"Une fois que vous avez cette pression, si vous êtes pilote et que vous vous dites 'Je ne peux pas faire une erreur au prochain tour ou au prochain virage', vous la faites Une fois qu'on y pense, ça arrive. Je crois que c'est ce qui lui est arrivé. Même si c'est un grand champion, il est humain, et quand on a ce genre de sentiments, ça ne fait aucun bien. Il était livré à lui-même, et quelqu'un comme Jean aurait fait la différence pour le remettre dans le droit chemin, car ce n'est pas normal qu'un quadruple Champion du monde fasse autant d'erreurs, et parfois des erreurs stupides."

Cela ne veut pas dire que Vettel est exempt de reproches pour ce qui s'est passé, mais n'importe quelle équipe doit faire en sorte de tirer le meilleur de son pilote vedette. Ils ont tous leurs particularités, et c'est dans le bon environnement qu'ils sont les meilleurs. Si Binotto peut amener Ferrari vers un fonctionnement plus rationnel, studieux et calme – à son image d'antan –, alors Vettel pourrait être de retour à son meilleur niveau.

Nombreux sont ceux qui ont supposé que Vettel était maintenant dépassé en F1. Il est possible qu'il le soit, mais il n'a pas remporté quatre titres mondiaux pour rien, et certaines de ses performances durant la première partie de saison étaient exceptionnelles. En ramenant Vettel dans la bonne fenêtre d'opération, la plupart des points d'écart avec Mercedes et Lewis Hamilton auraient disparu.[h3]

[/h3][h3]- Laisser Leclerc saisir sa chance[/h3]charles-leclerc-ferrari-1.jpg

Malgré tous ses problèmes de l'année dernière, Vettel aborde la saison 2019 dans la peau du leader de Ferrari et de candidat au titre. Mais ça ne veut pas dire, ou ne doit pas vouloir dire, que son nouveau coéquipier Charles Leclerc ne va pas lui donner le change.

Leclerc s'est montré à la hauteur de tous les défis qu'il a dû relever durant sa carrière, mais le pilote de 21 ans fait face à la plus grande tâche jamais rencontrée en étant lâché dans l'environnement sous pression de Ferrari dès sa deuxième année en F1. C'était la bonne décision pour Ferrari après les excellentes performances de Leclerc chez Sauber, mais tout comme l'équipe doit s'assurer de tirer le meilleur de Vettel, elle doit appliquer la même chose pour Leclerc.

En fin de saison dernière, on a eu la preuve que Ferrari faisait tout dans ce sens, l'ingénieur Jock Clear ayant confirmé en novembre qu'il allait travailler avec Leclerc. "J'ai beaucoup d'expérience avec les jeunes pilotes, et beaucoup d'expérience aussi avec les pilotes expérimentés", disait-il. "Avec Charles qui arrive, je l'aiderai de toutes les façons possibles pour lui rendre la vie plus facile, pour soulager un peu la pression, pour m'assurer que nous ayons le meilleur de Charles et de l'équipe au cours des années à venir."

Personne ne doute du fait que Leclerc a déjà atteint un niveau élevé en F1 et sera performant avec Ferrari, mais l'équipe doit être capable de s'adapter à son efficacité dès le début. Elle ne doit pas craindre la possibilité qu'il soit plus performant que Vettel, mais doit accepter aussi le fait qu'il ait besoin de temps pour s'adapter à un top team et exploiter son prodigieux potentiel.

Ce qu'il ne faut pas faire, c'est le considérer comme un simple numéro deux dès le départ. Ferrari a fait le bon choix et soutenu un jeune pilote de manière sérieuse, donc il faut vouloir en tirer le meilleur. Cela passe obligatoirement par la gestion des retombées que cela aura sur l'équilibre d'une équipe dont Vettel est le leader depuis quatre ans.[h3]

[/h3][h3]- Savoir prendre des décisions difficiles[/h3]kimi-raikkonen-ferrari-sf71h--1.jpg

Le contraste le plus frappant entre la gestion de Mercedes et celle de Ferrari la saison dernière concerne l'approche des consignes d'équipe. L'idée même des consignes est source d'une colère compréhensible chez les fans, mais c'est parfois un mal nécessaire pour les équipes.

Lors du Grand Prix de Russie 2018, le directeur de Mercedes, Toto Wolff, a ordonné à Valtteri Bottas de laisser passer Lewis Hamilton en raison de la menace que constituait Vettel. Au final, ce n'était pas nécessaire, mais sur le moment, c'était une décision pertinente. Wolff n'a pas aimé prendre une telle décision, et s'était montré indécis en laissant entendre avant la course que ça n'arriverait pas, espérant qu'une situation aussi inhabituelle ne se présenterait pas. Mais lorsqu'elle est survenue, il a pris cette décision difficile.

Chez Ferrari, Arrivabene a semblé ne pas vouloir le faire. À Monza, c'était au tour de Vettel de prendre la piste avant Kimi Räikkönen pour le dernier run des qualifications, offrant ainsi au Finlandais l'aspiration suffisante pour signer la pole position. Cela a directement exposé Vettel face à Hamilton dans le premier tour de course, et ce moment a constitué un tournant dans leur lutte pour le titre. Il y avait aussi eu de l'hésitation au Grand Prix d'Allemagne pour demander à Räikkönen de laisser passer Vettel après son arrêt au stand : une réticence inutile puisqu'ils étaient sur des stratégies décalées à ce moment-là.

Dans une bataille serrée pour le titre, la clarté des idées dans de telles situations peut avoir une importance capitale. Si Binotto ne devrait pas s'autoriser à vivre une situation telle que celle du Grand Prix d'Autriche 2002, qui fut une mauvaise utilisation flagrante des consignes d'équipe, il doit cependant avoir la volonté de prendre des décisions difficiles. Cela ne veut pas seulement dire que Ferrari devrait aider Vettel, car si Leclerc était le plus performant, il faudrait la même volonté de placer un multiple Champion du monde en soutien si le besoin s'en fait sentir.

Les comparaisons avec l'ère Todt sont inévitables, et l'une des caractéristiques de sa manière de diriger était le refus de se soucier de ce que pensait le monde extérieur. Il prenait ses décisions pour le bien de l'équipe. Les nouveaux dirigeants ne doivent pas se laisser intimider par des choix aussi difficiles.[h3]

[/h3][h3]- Mieux travailler avec les médias[/h3]maurizio-arrivabene-team-prin-1.jpg

Cela peut apparaître comme une suggestion très égoïste, puisque Motorsport.com est un média spécialisé dans les sports mécaniques, mais interagir avec la presse est important. Arrivabene avait une attitude étrange avec la presse, une attitude distante qui laissait imaginer une véritable peur. Il y avait surtout beaucoup trop d'inquiétudes par rapport à ce que la presse italienne disait.

Lorsque Ross Brawn avait rejoint Ferrari, il avait mis fin à la pratique consistant à partager les coupures de presse entre tous les départements de Maranello, afin d'éliminer la pression extérieure et d'assurer une meilleure concentration interne. Faire en sorte que la presse soit heureuse ne devrait pas être un objectif pour une équipe, mais cela a de la valeur, à la fois pour avoir un poids politique dans le paddock, et aussi pour communiquer avec votre propre personnel.

De nos jours, les écuries sont gigantesques, et il est impossible d'avoir les relations que tout le monde aimerait entre les dirigeants et le personnel. Ainsi, beaucoup de monde au sein des équipes a recours à la presse pour comprendre certaines affaires, mais aussi pour comprendre ce qui se passe au sein même de leur structure.

C'est aussi une bonne manière de renforcer la culture d'entreprise. Chez Mercedes, les propos publics de Toto Wolff sur ce que fait son équipe correspondent généralement à ce qui se passe en interne, et cela soutient une approche qui ne repose pas sur la peur des représailles, mais sur la collaboration et la communication. Une écurie de F1 peut utiliser ses propos publics à son avantage, et c'est ce que Ferrari doit faire.[h3]

[/h3][h3]- Ne pas trop changer[/h3]sebastian-vettel-ferrari-sf71-1.jpg

Ferrari n'a pas besoin d'une révolution pour battre Mercedes. Depuis ses débuts chancelants lorsque l'ère V6 turbo hybride s'est ouverte, elle est de manière générale sur une courbe ascendante, avec des changements techniques particulièrement importants en 2016.

L'équipe a un bon staff, un palmarès qui démontre son aptitude à produire des monoplaces compétitives, un pilote plusieurs fois Champion du monde, un des plus grands talents que la F1 a pu voir arriver dernièrement, un budget énorme, et une capacité à remporter des courses face à un adversaire redoutable lorsque la lutte est serrée.

De nos jours, en sport de haut niveau, tout est question de gains marginaux, et avec les fondamentaux bien établis, la priorité devrait être de réaliser de petites améliorations là où c'est possible, afin de s'assurer que la culture soit la bonne pour maximiser le potentiel de l'équipe. Faites-le, et la période de disette de Ferrari pourrait toucher à sa fin.

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[h1]Le PDG de Ferrari annonce un budget F1 en hausse pour 2019[/h1][h2]Le titre mondial à tout prix[/h2]

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En attendant les possible restrictions budgétaires discutées actuellement pour 2021, Ferrari a révélé que son budget pour 2019 serait plus élevé qu’en 2018. Visiblement déterminée à aller jouer le titre, la Scuderia fait concorder ses moyens et ses ambitions.

Le nouveau PDG, Louis Camilleri, a expliqué que l’équipe veut viser le titre et rien d’autre : "En 2018, nous avons fait notre meilleur résultat depuis la dernière fois que nous avons gagné le championnat et pour 2019, l’objectif est de gagner."

Il confirme ensuite tout autant l’objectif que les moyens mis en oeuvre : "Je répète qu’en 2019, notre but est de remporter le championnat du monde, donc il y aura une augmentation de l’investissement pour parvenir à cet objectif."

Avec 430 millions d’euros estimés pour 2018, Ferrari se situait à une vingtaine de millions d’euros de Mercedes, et l’on peut donc penser que Camilleri, qui a pris la succession de Sergio Marchionne en juillet, veut donner à son équipe des moyens similaires à ceux de Mercedes.

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[h1]La nouvelle peinture mate de Ferrari représente un gain de performance[/h1]

 

[h2]Ferrari a déclaré que la décision de passer à une peinture rouge mate cette année ne s'est basée que sur des raisons liées à la performance pure.[/h2]

 

 

 

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Lors de la présentation de la nouvelle SF90 à Maranello ce vendredi, la structure italienne a révélé une couleur mate plus sombre, loin du brillant traditionnel. Mais cela n'a pas été fait pour des raisons simplement esthétiques, comme l'a indiqué le team principal Mattia Binotto, qui a expliqué que cela permettait de réduire le poids de la voiture.

"La raison n'est pas esthétique, mais exclusivement technique", a-t-il expliqué. "Éliminer l'élément de brillance nous offre quelques centaines de grammes, ce qui peut ne pas sembler énorme, mais quand vous poussez tout à la limite, même ça, ça a un effet."

 

Ferrari n'est pas la seule équipe à avoir changé sa peinture pour des raisons liées à la performance, Red Bull ayant notamment choisi de passer au mat en 2016 pour économiser du poids. L'équipe utilise également une méthode de peinture unique pour s'assurer d'avoir une surface totalement lisse et minimiser les risques de voir la moindre traînée liée aux logos des sponsors.

S'exprimant plus largement sur le design de la voiture, Binotto a déclaré que chaque élément de cette F1 avait été amélioré ou changé, même si la monoplace n'est qu'une évolution du concept de l'année dernière.

"Il est clair que nous avons poussé pour améliorer chaque détail. Je pense qu'il n'y a pas une seule pièce qui est la même qu'en 2018. Pousser veut dire essayer d'aller au-delà des limites précédentes, et celles que nous avons atteint je pense qu'elles sont très proches des limites naturelles de la voiture."

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[h2]F1: Ferrari aurait trouvé une faille dans le règlement aéro 2019[/h2]http://www.msports.fr/wp-content/uploads/2019/02/940AFF95-E34A-4E6C-BCB8-403728CBAA96.jpeg

La Scuderia Ferrari a peut-être déjà trouvé une faille dans les changements apportés sur le règlement en vue de la saison 2019, ce qui pourrait être une source d’inquiétude pour ses concurrents directs car l’écurie italienne pourrait largement dominé le début de la saison 2019.

Ferrari a présenté sa nouvelle monoplace un jour après que les photos de l’Alfa Romeo pilotée par Kimi Räikkönen aient fuité. Les deux écuries ont fait preuve d’une approche radicale de l’aileron avant, que de nombreux experts techniques du paddock associent à une évolution.

Les changements apportés sur le règlement aéro 2019 incluent les ailerons avant simplifiés plus larges. L’objectif est de simplifier les packages aérodynamiques afin de faciliter les dépassements en réduisant l’impact aéro des monoplaces , les unes sur les autres.

“Je pense qu’avec les changements de règles, tout est possible,” a déclaré Toto Wolff.“C’est presque comme en 2009 où Brawn avait identifié le double diffuseur. Je pense qu’il pourrait y avoir des équipes qui ont trouvé des failles, que d’autres n’ont pas repérées, qui pourraient faire la différence.”

“Nous prenons donc tout le monde au sérieux : que ce soit Ferrari qui termine deuxième cette année ou Williams qui termine 10e. Ils pourraient tous être équipés d’une voiture qui peut nous surpasser.”

Tobias Gruner d’Auto Motor Und Sport a qualifié d’évolutif l’aileron avant d’Alfa Romeo Racing, qui ressemble trop à celui de Ferrari: “Les volets de l’aileron avant de la nouvelle Alfa Romeo sont extrêmement inclinés pour diriger l’air vers l’extérieur autour des roues avant.”

“La forme du rabat supérieur extrêmement large, qui est déjà coupé loin devant la plaque d’extrémité, n’a été vue dans aucune autre voiture. Elle n’a été vue sur aucune autre voiture.”

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Les 10 monoplaces en lice pour le championnat 2019

ALFA ROMEO F1 (moteur Ferrari)

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FERRARI SF90

 

 

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HAAS VF19 (moteur Ferrari)

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McLaren MCL34 (moteur Renault)

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MERCEDES W10

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Racing Point (moteur Mercedes)

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Redbull RB15 (moteur Honda)

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RENAULT R.S. 19

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Toro Rosso STR14 (moteur Honda)

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WILLIAMS FW42 (moteur Mercedes)

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[h1]Essais hivernaux: Sebastian Vettel et Ferrari carburent[/h1]

Publié le lundi 18 février 2019 à 19:02[h2]L'Allemand Sebastian Vettel a réalisé lundi à Barcelone le meilleur temps sur sa Ferrari lors de la première journée des essais hivernaux.[/h2]Partager sur Facebook Tweeter Google+1 partages

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Sebastian Vettel (Reuters)

La journée avait mal commencé lundi sur le circuit de Barcelona-Catalunya : Räikkönen dans le gravier dès son premier tour ; Vettel en tête à queue à la chicane. Et Grosjean en panne de pression d'essence.

 

 

Pourtant, au terme de cette première journée, ces trois pilotes, tous motorisés par Ferrari, ont signé les meilleurs chronos de la journée. Et aligné un nombre impressionnant de tours. Les voitures paraissent déjà fiables et bien nées, en particulier chez Ferrari et Alfa Romeo Racing qui affichent un aileron avant à la philosophie différente de la concurrence. « C'est une journée proche de la perfection », se félicitait un Vettel très serein.

« Nous avons quatre moteurs déjà prêts à l'usine. Je crois que c'est la première fois en douze ans que cela nous arrive » - Christian Horner, directeur de Red Bull

Chez Mercedes, comme chez Red Bull, on refuse toutefois de s'inquiéter. « Il ne faut pas succomber au diktat des résultats, se défend Toto Wolff, le boss des Flèches d'argent. N'oublions pas que la fiabilité sera une clé de cette saison et que nous avons tous beaucoup de pièces à valider. »

Même constat du côté de l'écurie autrichienne qui se félicite déjà de son changement de motoriste, passé de Renault à Honda cet hiver. « Cette première journée s'est déroulée sans histoire, se félicite Christian Horner. Nous avons quatre moteurs déjà prêts à l'usine. Je crois que c'est la première fois en douze ans que cela nous arrive. » Les années se suivent mais le boss de Red Bull continue de taper, avec le sourire, sur Renault.

En fin de journée, Sainz, désormais chez McLaren signait le deuxième chrono de la journée, une performance à relativiser vu les gommes (tendres) utilisées par l'Espagnol, contrairement aux trois pilotes motorisés par Ferrari et Verstappen qui eux roulaient en medium et Mercedes en dur.

 

 

Source : https://www.lequipe.fr/Formule-1/Actualites/Essais-hivernaux-sebastian-vettel-et-ferrari-carburent/990363

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[h1]Essais hivernaux : Ferrari impressionne encore[/h1]

Publié le mardi 19 février 2019 à 19:10[h2]Comme la veille, la Scuderia termine en haut de la feuille de temps la journée d'essais à Barcelone, cette fois-ci avec Charles Leclerc au volant.[/h2]Partager sur Facebook Tweeter Google+0 partages

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La monoplace rouge numéro 5 a réalisé le meilleur chrono du jour. (F.Faugère/L'Équipe)

À Barcelone, pour les premiers essais hivernaux, les journées se suivent et se ressemblent. La première journée de tests avait été marquée par quelques tête-à-queue. La seconde n'a pas échappé à ces soucis, dont l'origine se trouve dans ce changement réglementaire sur la température des couvertures chauffantes (80° contre 100° auparavant).

 

Les débuts officiels comme titulaire en F1 du Thaïlandais Alex Albon (Toro Rosso) ont été rapides : en tête-à-queue, dans le gravier, dès son premier tour de roue, à 9 heures. Plus tard, Ricciardo perdait sa Renault dans le bac, la faute cette fois à un aileron arrière perdu en bout de ligne droite. Et en fin d'après-midi, Gasly partait également à la faute, perdant le contrôle de sa Red Bull qui s'abîmait dans les pneus.

 

La Ferrari, elle, poursuit sa ronde sans souci. Aux mains de Charles Leclerc, la SF90 continue d'impressionner, encore en tête des classements. Et la Mercedes roule tranquille, sans se soucier des chronos. Alfa Romeo Racing demeure en embuscade (Giovinazzi 3e comme Räikkönen mais avec des pneus soft contrairement au Finlandais) et Haas s'entête aux avant-postes (Magnussen 2e comme Grosjean la veille). Au terme de cette journée, Albon et Norris, chaussés de gommes tendres viendront modifier la donne de la feuille de temps mais pas la physionomie de la journée.

[h3]Les résultats[/h3]Leclerc (MCO, Ferrari), 118''247 (155 tours) ; Norris (GBR, McLaren-Renault), 1'18''930 (101) ; Magnussen (DAN, Haas-Ferrari), 1'19''206 (59) ; Albon (THA, Toro Rosso-Honda), 1'19''301 (132) ; Giovinazzi (ITA, Alfa Romeo Racing-Ferrari), 1'19''312 (100) ; Bottas (FIN, Mercedes), 11'19 (535 (89) ; Gasly (Red Bull-Honda), 119''814 (92); Hülkenberg (ALL, Renault), 1'9''837 (95) ; Ricciardo (AUS, Renault), 1'19''886 (28) ; Hamilton (GBR, Mercedes), 1'19''928 (76) ; Stroll (CAN, Racing Point-Mercedes), 1'20''433 (79) ; Fittipaldi (BRE, Haas-Ferrari), 1'21''849 (13)

Source : https://www.lequipe.fr/Formule-1/Actualites/Essais-hivernaux-ferrari-impressionne-encore/990639

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Invité §Ano358Yn

Il me tarde demain pour voir la livrée d Alfa ,car celle la j avoue ne pas aimé du tout :non:

 

 

C'est vrai qu'elle est moche "spécial Lagerfeld" :o

 

La williams est vraiment moche aussi mais vue qu'elles seront a la ramasse totale, personne ne les verra :lol:

 

Greg911

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