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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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concernant le 5)...

il est vain de tenter de comparer la mentalité de l'époque à celle de maintenant.

il suffit de regarder les courses du début du siécle passé...

c'était du grand "n'importe quoi" au point de vue sécurité..

et c'était du n'importe quoi pour tout le monde et partout.

 

autre exemple,jean couché sur son lit dans sa chambre,roland installé sur son ventre et le grand pére carlos a côté sur une chaise.jean fumant sans gêne une cigarette dont forcément la fumée empoisonne aussi les frêles poumons de roland..

je sais que ça existe encore,mais cela signifie que pas plus jean qu'un quidam lambda n'accordait d'importance a

à la santé ou la sécurité.

ce périple en t55 a vive allure montre que là non plus la sécurité n'était pas un souci majeur,car...

si les routes étaient moins fréquentées et la suspension "bonne"..

que quelqu'un prenne une t55 et fasse du 200 sur des mauvaises routes de campagne...comme elles étaient à l'époque.

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Invité §tun768Yb

(...)

5) Quant aux faits: l'un des participants au forum a-t-il roulé à 200 km/h dans un véhicule des années 30 , découverte , sur une route de 5m bordée de platanes , après un bon repas pris en famille ? Moi, non, mais j'imagine....

 

 

C'est bien ce que je veux dire!!! Pas besoin d'imaginer: La sécurité passive de ces autos est catastrophique.

 

Quel est le dirigeant Michelin qui est mort en Bugatti? La carrosserie était restée accrochée à la remorque d'un tracteur alors que le châssis a continué tout seul sa route sans les occupants. Pierre Boulanger? Je ne sais plus.

 

A prendre les photos d'époque, de nombreux survivants d'accidents le sont par miracle ou hasard...

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les deux se combinent selon la croyance de chacun.

on peut y ajouter la chance.

ce sont des mots,juste des mots.

dans le sens ou la vie se déroule et fait ce qu'elle doit faire,dans le sens où nous les humains n'avons qu'un contrôle sporadique,ponctuel,local...où malgré toutes les études,notre volonté ou non de bien faire,notre évolution suit un parcours , un chemin quasi prédisposé..si einstein n'avait pas pondu ce qu'il a pondu,un autre l'aurait fait...et pareil pour le reste,pour le suivant,et les autres suivants.les évolutions des uns permettent lesz évolutions des autres.nous ne sommes RIEN sur la planéte,...sauf des destructeurs mais c'est un autre débat.

si moi je n'avais pas commis cette réplique vague de t 55 sur un chassis deuche,nul d'autre qu'un autre l'aurais commis sur un autre ou sur le même chassis..

nous n'inventons rien,nous suivons,chacun a notre cadence,notre évolution.

tout se ferait de toutes façons,et je ne suis pas fataliste.

 

bon dieu le mot sécurité a été inventé et il était temps.

même si je l'applique a ma façon.

 

P.S.je ne sais pas ce qu'est devenu pierre boulanger,je ne me suis pas intéressé a l'homme..j'aurais pu être celui qui te répônd,mais non.

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Invité §spe524ab

Bonjour a tous

 

photos-archives-epave_2bugatti_02-img[1].jpg

 

photos-archives-epave_2bugatti_01-big[1].jpg

 

2 photos qui provienne d'un autre forum

 

sportivement Gerard

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jap.gif.0dd731dc73c2257f1451f49f08570fe8.gif Je me disais que ces photos étaient connues!!!

 

 

 

 

Hem... J'espère que les deux ont survécu car casser un cab T57 ne fût-ce que pour un autre, c'est dommage...

 

 

Je peux te rassurer, les 2 T57 sont bien au chaud dans la collection (+ d'une centaine d'automobiles) de M. Sapputo, fabricant industriel de fromage québécois.

 

Le grand peintre Jean-Paul Riopelle s'était exilé en France fin des années 40 et devint rapidement universellement connu (et riche) comme chef de file avec l'Américain Pollock de la peinture dite 'automatisme'. Il remporta entre autres le grand prix de la Biennale de Venise au début des années 50.

Il était aussi grand amateur d'automobiles et en collectionna au moins une douzaine. À l'époque les Bugatti n'avait plus la cote et c'est ainsi qu'il pu faire restaurer 2 T57.

Dans les années 70, je crois, il ramena toutes ses voitures au Québec qu'il conserva jusqu'à sa mort sans que cela ne fut connu en dehors d'un cercle très étroit d'amis.

 

C'est la succession qui décida la mise aux enchères qui permis au grand public de découvrir ces trésors. J'ai pu alors admirer ces voitures apprenant du même coup et tardivement qu'il y avait depuis longtemps pas une mais deux Stelvio au Québec!

 

bugatti_type57_05.jpg

 

Cette photo a été prise à Montréal, lors de l'enchère.

 

Heureusement les Bug sont toujours ici bien qu'elles ne soient pas beaucoup plus visibles qu'autrefois.

 

J'essayerai de poster des photos pellicule que j'avais faites en 2001.

Je confirme le n°57760; j'ai photographié la plaque. L'autre porte l'incrustation Letourneur & Marchand. Les deux avaient encore les plaques d'immatriculation de Paris (le -75)

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Invité §pla824yc

Bonjour à tous,

 

Jean-Paul RIOPELLE avait toujours son "petit pied à terre" en région parisienne... Dans les années 70-80 il s'était fait aménager un petit et très simple (extérieurement) hangar industriel, dans la vallée de Chevreuse. Le rez de chaussée était occupé par un atelier sommairement équipé et une partie de sa collection de voitures anciennes.

L'étage en mezzanine dominait l'atelier par une vaste coursive ou ses dernières oeuvres étaient exposées, et l'appartement, sorte de loft avant l'heure, se developpait tout autour de ce vide dominant les voitures. Je me souviens d'un vieil homme hirsute qui déambulait au milieu de tout cela. H.N. et moi venions de lui ramener

un coach 57 que nous venions de faire repeindre à vil prix chez TAC (spécialiste du voile de peinture rapide à bas prix). Je me souviens de la mine amusée de H.N. à ma tête lorsque la porte du hangar s'est ouverte... Le cabriolet 57 était devant, H.N. a sorti une pompe à essence révisée du coach, me l'a passée et m'a dit: " allez jeune homme remplacez moi ça..." en me désignant la voiture. Je me suis mis au travail et H.N. a rentré le coach à côté du cabriolet. Il n'y avait que les deux bugatti ,une ou deux Jaguar xk je crois, une MG et une americaine dans un coin, et d'autres toutes rutilantes. Mais je n'ai pas eu le loisir de les observer dans le détail... Mais le cabriolet était toujours en France dans les années 80. Quant au Ventoux, je dois en avoir une photo, je pense que le peintre l'a revendu par la suite, car il semblait s'en désintéresser totalement.

Peut être quelqu'un s'en souvient il encore...Je ne l'ai pas trouvé dans wiki.

vive la marque!...Plast.

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Invité §pla824yc

Bonsoir,

C'est bien le cabriolet noir et or donc 57355 qui trônait dans l'atelier personnel de l'artiste situé en vallée de Chevreuse dans les années 80-81.

Je n'y ai vu alors aucun autre cabriolet Bugatti, seulement ce coach dont je ne retrouve pas la photo; le cabriolet 57C était il dans le midi de la France, ou l'artiste aurait eu une autre propriété, ou bien déjà au Quebec? Et qu'est devenu ce coach repeint sommairement (en bleu pétrole) avec un capot sans crevé et seulement des percements latéraux rectangulaires protégés par un grillage genre 57S (et peut-être un compresseur, donc ) et équipé d' amortisseurs modernes (ailes ré-haussées avec phares obus placés haut). Il semble que le propriétaire avait un faible pour les 57C... Il faut que je retrouve cette photo... A plus tard... Plast.

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Invité §Bug127hr

 

Jean BUGATTI a souhaité tester le comportement de la voiture et a donné rendez-vous à l’équipe ( Roland , AUMAITRE et 2 ouvriers ) vers 21h00 à DUTTLENHEIM ( après le repas pris en famille, sauf ETTORE qui est en Belgique )

En effet il y a une ligne droite vers ENTZHEIM avec un petit dos d’âne vers la station ESSO qui, à grande vitesse, permet de tester le réglage des suspensions.

Il s’agit d’une route d’environ 5 m de large, un peu bombée ( comme toujours en 1939 pour permettre l’écoulement de l’eau) et bordée de platanes.

Après 2 passages en compagnie de AUMAITRE, ils ont décidé de faire un passage dans l’autre sens, vers l’OUEST ( face au soleil qui se couche sur les Vosges) et AUMAITRE est posté près du dos d’âne pour visualiser le comportement de la voiture.

Jean BUGATTI dépasse un jeune cycliste, franchit le dos d’âne à pleine vitesse, tout se passe bien. Puis, AUMAITRE a rejoint Roland, et Jean a fait demi-tour à DUPPIGHEIM pour récupérer la VENTOUX à l’autre bout de la route.

Le jeune cycliste de 19 ans, s’est mis sur le côté droit ( sens vers l’OUEST) et tient son vélo pour voir passer le bolide qui surgit à plus de 200 km/h .

A cette vitesse sur une route bombée, la trajectoire n’est pas toujours rectiligne. La T57 a fait un léger écart vers la gauche, a touché la roue avant du vélo qui est pulvérisé, le jeune homme aura une fracture ouverte du poignet ( ce qui prouve qu’il ne l’a que frôlé…vu la vitesse et non "percuté de plein fouet"... )

Suite au choc, les roues gauches mordent l’accotement sur presque 100 m, Jean BUGATTI, remet les gaz pour « sortir », mais la voiture chasse un peu et heurte un arbre avec l’arrière gauche, traverse la chaussée en dérapage et s’écrase dans un platane à droite.

 

Vraiment un grand coup de chapeau pour votre précision et ces détails que j'ignorais. Peut-être puisez-vous vos sources sur l'interview de Robert Aumaître ?

J'aimerais avoir votre éclairage sur quelques points qui m'échappent :

-A en croire la pierre commémorant le soixante ans de la disparition de Jean Bugatti et censée être posée à l'endroit exact de l'accident par l'Enthousiaste Bugatti (11/08/1999), celui-ci aurait eu lieu sur l'ancienne "route de Strasbourg", qui se trouve entre ENTZHEIM et DUPPIGHEIM, si on se dirige vers l'OUEST. Si on reste dans ce sens, la stèle est posée à GAUCHE du chemin et non à droite.

-D'autre part, je n'ai pas remarqué de dénivellation pouvant ressembler à un dos d'âne à cet endroit (qui a pu être comblé par les travaux de l'aéroport de Strasbourg ??...).

Une seconde hypothèse, plus en adéquation avec votre récit, placerait le lieu de l'accident vers la stèle n°8 du circuit Découverte de l'OT de Molsheim.

Je vois, en effet, une station Shell pouvant correspondre à une ancienne station Esso et un possible dos d'âne, en partie effacé par la nouvelle "route de Strasbourg".

Seule ombre dans ce cas : Jean ne peut pas faire demi-tour à... DUPPIGHEIM, lieu de l'accident!

Dernière hypothèse : l'accident a eu lieu entre Duppigheim et Duttlenheim (retour vers Molsheim), auquel cas aucune de deux stèles n'indique l'endroit précis du drame.

Ces détails un peu stricts n'ont d'importance que l'exactitude historique qu'ils peuvent apporter.

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Invité §lef048VM

 

 

si on se dirige vers l'OUEST. Si on reste dans ce sens, la stèle est posée à GAUCHE du chemin et non à droite.

 

 

 

"ils ont décidé de faire un passage dans l’autre sens, vers l’OUEST ( face au soleil qui se couche sur les Vosges) et AUMAITRE est posté près du dos d’âne pour visualiser le comportement de la voiture.

Jean BUGATTI dépasse un jeune cycliste, franchit le dos d’âne à pleine vitesse, tout se passe bien. Puis, AUMAITRE a rejoint Roland, et Jean a fait demi-tour"

 

Donc il va vers l'Est et tout est à sa place.......

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J'allonge un peu les commentaires sur la 'saga' Riopelle.

 

Voici une photo prise sur la Côte d'Azur vers 1964 où on peut voir le peintre avec le marchand d'art Pierre Matisse. Comme quoi la 57355 était en bon état de fonctionnement.

IMG_0003_NEW.jpg

Je connais une autre photo de la voiture en plein milieu de l'atelier de Riopelle devant une de ses immenses toiles mais je ne la retrouve pas pour l'instant.

 

Par ailleurs voici des photos que j'avais prises juste avant la mise aux enchères. J'ai reproduit les 2 dernières en N/B pour un meilleur résultat.

IMG_NEW.jpg

La plaque 57760 de la noire/argentée

IMG_0001.jpg

L'identification 'Letourneur & Marchand' de la noire/dorée (plutôt jaune) n°57355

 

 

IMG_0002_NEW.jpg

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Invité §Bug127hr

Donc il va vers l'Est et tout est à sa place.......

Et tout est dit, Monsieur Lefondu !... Donc l'une des extrémités de la "piste d'essais" (gardée par une sentinelle) était l'entrée d'Entzheim, l'autre pouvant être éventuellement Duttlenheim.

Autant pour moi et merci à vous : je vais enfin pouvoir dormir tranquille!... :)

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Invité §bug337la

J'allonge un peu les commentaires sur la 'saga' Riopelle.

 

Voici une photo prise sur la Côte d'Azur vers 1964 où on peut voir le peintre avec le marchand d'art Pierre Matisse. Comme quoi la 57355 était en bon état de fonctionnement.

IMG_0003_NEW.jpg

Je connais une autre photo de la voiture en plein milieu de l'atelier de Riopelle devant une de ses immenses toiles mais je ne la retrouve pas pour l'instant.

 

Par ailleurs voici des photos que j'avais prises juste avant la mise aux enchères. J'ai reproduit les 2 dernières en N/B pour un meilleur résultat.

IMG_NEW.jpg

La plaque 57760 de la noire/argentée

IMG_0001.jpg

L'identification 'Letourneur & Marchand' de la noire/dorée (plutôt jaune) n°57355

 

 

IMG_0002_NEW.jpg

 

 

Grand Merci pour ces photos qui permettent de compléter ma documentation

 

 

http://i43.servimg.com/u/f43/09/03/35/48/t57_ca48.jpg

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Comme promis je soumets à tous d'autres photos des "Bug à Rio".

 

D'abord la 57760:

 

IMG_Bug57760.jpg

et son intérieur

 

 

Puis la 57355:

IMG Bug 57355.jpg

et son intérieur

IMG Bug57355.jpg

 

Les photos datent de 2001-2002, je ne sais plus exactement, mais c'est au moment de la vente aux enchères.

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Invité §bug337la

Comme promis je soumets à tous d'autres photos des "Bug à Rio".

 

D'abord la 57760:

 

IMG_Bug57760.jpg

et son intérieur

 

 

Puis la 57355:

IMG Bug 57355.jpg

et son intérieur

IMG Bug57355.jpg

 

Les photos datent de 2001-2002, je ne sais plus exactement, mais c'est au moment de la vente aux enchères.

 

Vente aux enchères :

 

Auction at the hôtel Ritz Carlton of Montréal , 9th July 2003,

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Invité §BAR535dW

Donc il va vers l'Est et tout est à sa place.......

 

 

 

 

Effectivement , " nach Straßburg " en venant de DUPPIGHEIM , c'est vers l' Est ...Comme indiqué , mes souvenirs de ce récit sont un peu loin...presque 50 ans !

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Invité §spe524ab

Bonjour a tous,

 

qui pourrait me donné plus de renseignement sur les 3 type 36 et de cette inconnu bleu avec le n° 84

 

Bugatti type 36 n° 84 inconnu.jpg

 

photo bugattiregister

 

sportivement Gerard

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Invité §spe524ab

Vraiment un grand coup de chapeau pour votre précision et ces détails que j'ignorais. Peut-être puisez-vous vos sources sur l'interview de Robert Aumaître ?

J'aimerais avoir votre éclairage sur quelques points qui m'échappent :

-A en croire la pierre commémorant le soixante ans de la disparition de Jean Bugatti et censée être posée à l'endroit exact de l'accident par l'Enthousiaste Bugatti (11/08/1999), celui-ci aurait eu lieu sur l'ancienne "route de Strasbourg", qui se trouve entre ENTZHEIM et DUPPIGHEIM, si on se dirige vers l'OUEST. Si on reste dans ce sens, la stèle est posée à GAUCHE du chemin et non à droite.

-D'autre part, je n'ai pas remarqué de dénivellation pouvant ressembler à un dos d'âne à cet endroit (qui a pu être comblé par les travaux de l'aéroport de Strasbourg ??...).

Une seconde hypothèse, plus en adéquation avec votre récit, placerait le lieu de l'accident vers la stèle n°8 du circuit Découverte de l'OT de Molsheim.

Je vois, en effet, une station Shell pouvant correspondre à une ancienne station Esso et un possible dos d'âne, en partie effacé par la nouvelle "route de Strasbourg".

Seule ombre dans ce cas : Jean ne peut pas faire demi-tour à... DUPPIGHEIM, lieu de l'accident!

Dernière hypothèse : l'accident a eu lieu entre Duppigheim et Duttlenheim (retour vers Molsheim), auquel cas aucune de deux stèles n'indique l'endroit précis du drame.

Ces détails un peu stricts n'ont d'importance que l'exactitude historique qu'ils peuvent apporter.

 

 

Bonjour a tous,

 

il y avait un autre témoin de cette journé d'essai qui etait Daniel D'Ieteren importateur Bugatti pour la Belgique. Daniel D'Ieteren qui etait a Molshein pour enlevé une voiture avait emporté les photos qu'il avait pris lors des 24 heures du mans pour les montré a Robert Aumaitre et autre personne, mais la voiture n'etant pas prete il acompagna l'equipe Bugatti pour les essai ce jour la et Daniel notait les temps de passage du tank Bugatti et n'ayant pas de papier sur lui il nota les temps au dos d'une des photos (photo que possèdais toujour madame Daniel D'Ieteren lors de ma visite chez elle et dont je possède la copie mais pas le verso avec les temps) apres cet essai Daniel D'Ieteren recupera la Bugatti a l'usine et retouna vers Bruxelles ou il loga dans un hotel a Metz et la son épouse lui téléphona ce qui etait arrivé le soir a Jean Bugatti et Daniel D'Ieteren est retourné a Molsheim (cette histoire me fut raconté par madame d'Ieteren)

 

SCAN3516.jpg

 

la station Esso (photo que j'avait prise dans les année 80)

 

SCAN3517.jpg

 

et la stele (photo prise le mème jour)

 

sportivement Gerard

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Bonjour a tous,

 

qui pourrait me donné plus de renseignement sur les 3 type 36 et de cette inconnu bleu avec le n° 84

 

Bugatti type 36 n° 84 inconnu.jpg

 

photo bugattiregister

 

sportivement Gerard

Cette voiture au premier plan n'a pour moi aucune caractéristique d'une Bugatti ?

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Invité §Bug127hr

 

Bonjour a tous,

 

il y avait un autre témoin de cette journé d'essai qui etait Daniel D'Ieteren importateur Bugatti pour la Belgique. Daniel D'Ieteren qui etait a Molshein pour enlevé une voiture avait emporté les photos qu'il avait pris lors des 24 heures du mans pour les montré a Robert Aumaitre et autre personne, mais la voiture n'etant pas prete il acompagna l'equipe Bugatti pour les essai ce jour la et Daniel notait les temps de passage du tank Bugatti et n'ayant pas de papier sur lui il nota les temps au dos d'une des photos (photo que possèdais toujour madame Daniel D'Ieteren lors de ma visite chez elle et dont je possède la copie mais pas le verso avec les temps) apres cet essai Daniel D'Ieteren recupera la Bugatti a l'usine et retouna vers Bruxelles ou il loga dans un hotel a Metz et la son épouse lui téléphona ce qui etait arrivé le soir a Jean Bugatti et Daniel D'Ieteren est retourné a Molsheim (cette histoire me fut raconté par madame d'Ieteren)

 

SCAN3516.jpg

 

la station Esso (photo que j'avait prise dans les année 80)

 

SCAN3517.jpg

 

et la stele (photo prise le mème jour)

 

sportivement Gerard

J'étais récemment à l'endroit même où vous étiez en 1980.

La station de votre photo est bien devenue "Shell" aujourd'hui et la stèle que vous montrez ne se trouve pas tout-à-fait à l'endroit de l'accident.

Pour y accéder, il faut continuer à pied (interdit aux véhicules) sur l'ancienne route de Strasbourg, contourner la piste de l'aéroport et arriver un peu plus loin à droite à une autre stèle (plus petite) qui marque le lieu réel du choc. Bien sûr, plus de trace des platanes, voire même du dos-d'âne (qui a probablement été remblayé, à moins de le trouver encore à l'intérieur du terrain d'aviation ??).

Curieuse coïncidence : il me semble qu'Ettore se trouvait lui-même en Belgique ce jour-là!

Ce témoignage est vraiment intéressant puisqu'il fait mention des temps de passage du tank, impliquant un point de départ. La station ?...

Il indiquerait aussi que les essais ont eu lieu le soir ET l'après-midi.

Etes-vous toujours en contact avec les membres de la famille d'Ieteren, qui pourraient peut-être avoir conservé cette photo avec son précieux verso ?

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Invité §Bug127hr

Bonjour a tous,

 

qui pourrait me donné plus de renseignement sur les 3 type 36 et de cette inconnu bleu avec le n° 84

 

Bugatti type 36 n° 84 inconnu.jpg

 

photo bugattiregister

 

sportivement Gerard

 

 

Bizarre ! Il me semble voir... une Matra Djet!

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Invité §spe524ab

Cette voiture au premier plan n'a pour moi aucune caractéristique d'une Bugatti ?

 

 

Bonsoir a tous,

 

c'etait mon avis egalement, moi je ne connais que le chassis n° 4751 et 4790

 

Pour madame D'ieteren j'aprend aujourd'hui quelle est décédé depuis un certain temps deja, mais je vais me renseigné a l'occasion mais sans garantie. Ce serai bien de connaitre les temps effectué au essai de l'apres midi

 

Sportivement Gerard

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Invité §BAR535dW

J'étais récemment à l'endroit même où vous étiez en 1980.

La station de votre photo est bien devenue "Shell" aujourd'hui et la stèle que vous montrez ne se trouve pas tout-à-fait à l'endroit de l'accident.

Pour y accéder, il faut continuer à pied (interdit aux véhicules) sur l'ancienne route de Strasbourg, contourner la piste de l'aéroport et arriver un peu plus loin à droite à une autre stèle (plus petite) qui marque le lieu réel du choc. Bien sûr, plus de trace des platanes, voire même du dos-d'âne (qui a probablement été remblayé, à moins de le trouver encore à l'intérieur du terrain d'aviation ??).

Curieuse coïncidence : il me semble qu'Ettore se trouvait lui-même en Belgique ce jour-là!

Ce témoignage est vraiment intéressant puisqu'il fait mention des temps de passage du tank, impliquant un point de départ. La station ?...

Il indiquerait aussi que les essais ont eu lieu le soir ET l'après-midi.

Etes-vous toujours en contact avec les membres de la famille d'Ieteren, qui pourraient peut-être avoir conservé cette photo avec son précieux verso ?

 

 

 

Les premiers essais ont eu lieu l'après midi, mais la circulation ne permettait pas d'atteindre la vitesse souhaitée ( il s'agissait de "raidir" les suspensions arrières)

Jean a alors décidé de poursuivre après le diner.

De DUPPIGHEIM à la station ESSO il y avait environ 3km. A ma connaissance , il n'y avait pas de chrono , vu qu'il s'agissait d'une ligne droite départ arrêté , le top

départ ne pouvait être connu. La mention des temps de passage du tank devaient faire référence à un circuit ( le Mans ? )

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Invité §Ach610jL

Bonjour a tous,

 

qui pourrait me donné plus de renseignement sur les 3 type 36 et de cette inconnu bleu avec le n° 84

 

Bugatti type 36 n° 84 inconnu.jpg

 

photo bugattiregister

 

sportivement Gerard

 

 

Bonjour Gérard,

Cette voiture portant le #84 est un bitza assemblé a partir de pièces Amilcar de tourisme.

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