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Les Italiennes

[Topic Officiel] Fiat Tipo - Dossier & Essais Presse


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Révélée à la presse en Juillet 1987, la Fiat Tipo, remplaçant une Ritmo vieillie, allait faire parler d'elle. Dessinée par le centre style IDEA, elle arborait une poupe curieuse, en parfait contraste avec un avant classique.

 

Les premiers essais presse furent réalisés fin 1987, et la nouvelle compacte de Fiat lancée en grande pompe à Genève en Mars 1988.

Rapidement, cette berline de 3m96 de long se signala par une habitabilité exceptionnelle, une suspension excellente et une tenue de route sûre, à défaut d'être joueuse.

Elle préfigurait, avec 13 ans d'avance, l'ère des moyennes super-habitables, dont les 307, Honda Civic et autres... Fiat Stilo se réclament aujourd'hui.

Avec 1m49 de largeur aux coudes, elle écrasait toute concurrence en termes d'espace à bord, sans avoir recours à l'artifice des évidements de portière dont Renault était friand.

 

Elle disposait aussi d'une carrosserie en acier galvanisé, d'un hayon en matériaux composites et de glaces de custode, offrant aux passagers une luminosité bien agréable. De plus, les portes s'ouvraient avec un angle extrêmement important, facilitant ainsi l'accessibilité. Le coffre, de 350 litres, se montrait fort pratique et logeable, à défaut d'être très profond.

Le CX était de 0.31 (0.33 sur la Turbo-diesel), et le Scx de 0.62, une bonne valeur, malgré la surface frontale de 2.02 m2.

 

Les journalistes ne furent pas insensibles à cet étalage de technologie et d'intelligence : la Tipo fut sacrée voiture de l'année 1989, avec une avance inouïe sur ses rivales.

 

Présentée aux journalistes de manière froide et claire par le brillant Vittorio Ghidella, la Tipo rencontra auprès du grand public un succès étonnant. En 1989, Fiat comptait en fabriquer 270 000. Ce ne furent pas moins de 450 000 voitures qui sortirent des chaînes cette année-là!

 

A ses débuts, la Tipo était disponible en 5 motorisations :

- 1108 cc, 58 CV, dérivé du Fire 999 des Uno (non importée en France)

- 1372 cc, 72 CV, évolution du 1301 cc.

- 1580 cc, 83 CV, évolution du 1498 cc.

- 1697 cc, 58 CV, diesel

- 1929 cc, 92 CV, Turbo diesel.

 

2 niveaux de finition étaient également prévus : normale (1.1, 1.4, 1.7D) et DGT, initialement appelée Digit, avant que Citroën, qui avait adopté cette appellation pour une série limitée de sa BX 19, n'empêche Fiat de l'utiliser. Elle se signalait par un équipement poussé (vitres électriques, intérieur velours, direction assistée -série sur la 1.9 TDs) et un tableau de bord électronique, très recherché stylistiquement parlant mais très décrié.

 

Curieusement, le sommet de la gamme était constitué par un Diesel.

Les prix étant fort alléchants, la Tipo semblait promise à une carrière triomphale, malgré son arrière bizarre, d'autant plus que sa sortie a instantanément fait vieillir toutes ses rivales.

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Tout n'était pas parfait dans la Tipo. Certes, sa caisse de 1m70 de large ménageait un espace utile phénoménal, mais elle s'avérait aussi très lourde, muselant les ardeurs de ses moteurs essence et fatiguant ses freins. En outre, sa finition n'était pas exempte de critiques, tant en ce qui concernait les matériaux que l'assemblage, auquel la carrosserie était extrêmement sensible : elle se montrait sifflante si ses éléments n'étaient pas parfaitement ajustés.

L'insonorisation moteur étaient également prise en défaut, surtout sur les diesels, et non-assistée, la direction nécessitait des efforts non négligeables.

 

Mais des équipements optionnels alors peu répandus (ABS, climatisation un peu plus tard, rétro droit électrique) faisaient passer la pillule.

 

Par ailleurs, certaines commandes étaient remarquablement conçues, comme ces commodos éclairés regroupant clignos, phares, mais aussi dégivrage et antibrouillards arrières, ou ces boutons de vitres électriques situés en haut des poignées de porte, éclairés eux aussi.

Enfin, la ventilation développait une puissance inusitée alors.

 

 

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Invité §Leo452by

Enfin, la ventilation développait une puissance inusitée alors.

Et pas si bruyante que ça, en plus. J'ai toujours mis la vitesse max (les autres marchent plus), ben au début j'ai été étonné. Notre espace faisait largement plus de bruit pour un débit peut être pas aussi fort.

 

Mais moi j'ai pas tous les super équipements optionnels. S'pas juste.

 

Au fait, merci pour ce topic.

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Invité §Leo452by

A signaler la sortie en 93 de la version 3 portes. La 5 portes ayant été quelque peu boudée à sa sortie.

 

3 niveaux de finition, pour la période 91-92 au moins (les autres années, je sais pas) que sont: la version de base, la version S, et enfin la SX (avec direction assistée). Il y aura plus tard les versions quartz(un peu plus équipée) et pop(bas de gamme).

Equipement peu habituel sur la SX, un à coup sur les boutons de lève vitre conducture ferme ou ouvre la fenêtre, sans avoir besoin de rester appuyé. Pratique à la pompe ou au péage.

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Techniquement, Fiat a fait de gros efforts sur la suspension. 4 roues indépendantes, 2 barres antiroulis mais surtout des éléments arrières montés sur un faux-châssis relié à la coque par des silent-blocs, pour une meilleure flitration. Compact, cet ensemble ménageait l'espace du coffre. Le compromis confort-tenue de route était de très haut niveau alors, avec une stablilité étonnante et une insensibilité appréciable au vent latéral.

 

Les boîtes de vitesses étaient également nouvelles. Disponibles en 2 versions, suivant le couple du moteur, elles garantissaient des changements de rapport rapides et doux. Quel changement par rapport aux Uno et Ritmo!

 

Comme Fiat n'a pas fait les choses à moitié, les moteurs étaient également inédits, mais pas entièrement nouveaux.

Le 1108 constituait la première évolution du très bon Fire 999 des Uno et Panda.

Les 1372 et 1580 dérivaient des 1301 et 1498, avec une rigidité très nettement améliorée et une admission retravaillée, pour plus de fiabilité et d'économie.

Le 1697 diesel restait quant à lui proche de celui de la Ritmo, offrant tout de même une injection modernisée.

Le 1929 turbo-diesel de 92 CV dérivait du 80 CV des Ritmo/Regata, avec plus de couple et de puissance. Il surpassait alors toute la concurrence, et il a fallu attendre 1990 pour qu'une vraie réplique lui soit donnée, en l'occurence par la R19 turbo-diesel.

 

Caractéristiques techniques :

Longeur : 396 cm

Largeur : 170 cm

Hauteur : 145 cm

Empattement : 254 cm

 

Moteurs :

1372 cc (80.5x67.4), 72 CV à 6000 trs/min, couple 11 mkg à 2900 trs/min.

1580 cc (86x67.4), 83 cv à 6000 trs/min, couple 13.5 mkg à 3000 trs/min

1698 cc (82.6x79.2), 58 CV à 4600 trs/min, couple 10.2 mkg à 2900 trs/min

1929 cc (82.6x90), 92 CV à 4100 trs/min, couple 19.4 mkg à 2400 trs/min, turbo.

 

Freins : Disques/tambours (4 disques sur TDs ABS), ABS en option (Girling à 2 capteurs sur 1.4 et 1.6, Bosch à 4 capteurs sur turbo-diesel)

 

Poids : de 1000 kgs sur 1.4 à 1110 kgs sur turbo-diesel.

 

Pneus : 165/70 13 sur 1.4, 1.6 et 1.7 d, 175/65 14 sur turbo diesel.

 

Réservoir : 55 litres.

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Moniteur Automobile 400 essais 1991. On remarquera que la Tipo du haut est une 1.9 ds, nouvelle version apparue en 1990, dotée du 1929 cc diesel de 65 CV, avec direction assitée en série. Peu connue, elle fait efficacement la jonction entre la poussive 1.7d et la performante Tds. Le Moniteur s'est ici manifestement emmêlé les pinceaux, associant photo de la 1.9 ds et essai de la 1.7d.

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Conscient de l'inconvénient de l'absence d'un "vrai" haut de gamme pour la Tipo, Fiat tente de remédier au problème en 1989, mais dans la précipitation. Est présenté à la presse un prototype de version sportive, motorisée par le 2.0 16 soupapes apparu dans la Thema restylée, poussé à 155 CV. Mal mis au point, ce pré-modèle est descendu en flammes par les journalistes, qui fustigent son manque évident de motricité. Seul le Moniteur Automobile qualifie ce loupé de "formidable machine".

 

Fiat rectifie le tir quelques mois plus tard, en 1990, en lançant une nouvelle version 16 soupapes de... 1.8L de cylindrée. Développant 138 CV, cette mécanique aussi rageuse que peu souple se marie mal au tempérament confortable de la Tipo. Ce n'est à l'évidence pas une vraie sportive. Elle pourrait prétendre au grade d'autoroutière si elle n'était si bruyante.

Néanmoins performante, elle souffre d'une motricité limitée par ses roues de 14 pouces.

 

Parallèlement, une version 1.8 8 soupapes de 109 CV fait son apparition. Reprenant le moteur de la Dedra 1.8 ie, évolution du bloc de la... Fiat 132, elle se montre très homogène et constitue certainement l'offre la plus cohérente dans la gamme essence de la Tipo.

 

Elle reprend la finition des nouvelles déclinaisons AGT et AGT S apparues la même année, rétro droit éléctrique et direction assistée en plus, qui permettent aux allergiques à l'instrumentation électronique d'avoir accès aux équipements et motorisations les plus élevés, sauf en diesel.

En effet, elles reçoivent une instrumentation analogique plus étoffée que celle des versions de base, ainsi que de nouveaux revêtements de sièges "pied de poule".

Cette même année voit l'arrivée d'une 1.4 Pop, série limitée affichée au prix canon de 58900 F.

 

La turbo diesel n'est pas en reste, avec une nouvelle version TDS X, dont la présentation se rapproche de celle de la 1.8 16v, sièges sport inclus.

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Invité §Vol717TD

Je rappel qu'il existe un copyright concernant ces "documents"...même si c'est quasiment illisible comme ici.

 

 

Sinon mes parents ont eu une Tipo 1.6 DGT (avec donc le Torque de 1581cm3) achetée neuve en 1990.

Avec options gris anthracite métalisé, banquette arrière rabattable 1/3, et même en accessoire, le petit liseret rouge alors très peu répandu à l'époque, courant sur les parechocs et les baguettes latérales! Je me souviens qu'en étant passé par un mandataire, mes parents ne l'ont payé que 71,800fr, CG et plaque compris.

Très bons souvenirs d'elle: j'aimais beaucoup sa ligne discrête et originale à la fois, son tableau de bord me faisait réver, son habitabilité...j'ai de plus entre autre appris à conduire grâce, et avec elle.

 

Très bon moteur procurant des perfs honorables et un agrément certain malgré une 5° trop longue, mais bien trop gourmand en essence et en...huile.

La boîte était du même tonneau qu'une Alfa des années 80, c'est à dire: horrible froide. Chaude c'était mieux mais la MA a toujours été du genre (très) récalcitrante.

 

La tenue de route était de qualité pour l'époque surtout en regard de la hauteur de caisse alors très élevée pour l'époque. Mais le freinage juste dans la norme pour ce qui est des distances d'arrêt...et une gourmandise aux plaquettes de frein même si l'on conduit plutôt paisiblement.

 

Très fiable mécaniquement, avec seulement un bris de la courroie à 60,000km qui n'affecta aucunement le moteur (merci la conception du Torque). En revanche côté électrique, c'était autre chose...depuis le début on a eu des petits problêmes sans gravités mais un peu gonflant par la répétitivité.

Dans un autre registre on a même eu droit à la maladie des Golfs, les vitres conducteur et passager tombant nettes et restant bloquées.

Sinon côté finition/assemblage/qualité des matériaux, à part quelques accessoires et plastiques vraiment cheap, il n'y avait pas de quoi crier au scandale comme certains journaleux prenaient plaisir à faire...

 

Le confort était bon, avec une habitabilité exceptionnelle donc et des sièges n'ayant certe pas des masses de maintient mais faisant profiter d'un bon moelleux et d'une sellerie velours (bleu nuit sur la notre) de belle facture mais malheureusement assez inconfortable en été.

Même si les suspensions étaient plutôt efficaces, on avait quand même toujours une petite impression d'effet pendulaire...du moins derrière.

J'ai un très mauvais souvenir de la ventilation et surtout du désembuages malgré une bonne puissance de souffle il est vrai.

La position de conduite était à l'italienne mais tout le monde dans la famille s'y faisaient très bien.

 

Ah oui, au sujet du tableau de bord digital que dire en dehors que c'était une vraie réussite à mes yeux (sauf en été où il était particulièrement illisible), même si l'imprécision de la jauge à essence nous rendaient perplexe et que l'éconoscope ne servait strictement à rien. En recanche pour le reste et le check-control partageait avec pas mal d'autres modéles du groupe: :bien:.

 

Elle a fini sa vie à moitié encastrée dans un car, un beau début de soirée d'été, compteur définitivement bloqué à 99,928km...

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Invité §Vol717TD

Conscient de l'inconvénient de l'absence d'un "vrai" haut de gamme pour la Tipo, Fiat tente de remédier au problème en 1989, mais dans la précipitation. Est présenté à la presse un prototype de version sportive, motorisée par le 2.0 16 soupapes apparu dans la Thema restylée, poussé à 155 CV. Mal mis au point, ce pré-modèle est descendu en flammes par les journalistes, qui fustigent son manque évident de motricité. Seul le Moniteur Automobile qualifie ce loupé de "formidable machine".

 

Fiat rectifie le tir quelques mois plus tard, en 1990, en lançant une nouvelle version 16 soupapes de... 1.8L de cylindrée. Développant 138 CV, cette mécanique aussi rageuse que peu souple se marie mal au tempérament confortable de la Tipo. Ce n'est à l'évidence pas une vraie sportive. Elle pourrait prétendre au grade d'autoroutière si elle n'était si bruyante.

Néanmoins performante, elle souffre d'une motricité limitée par ses roues de 14 pouces.

 

La 1.8 16v fut présentée la première fois en novembre 1989, je crois.

En tout les cas, elle se rapprochait plus du mot sport que sa remplaçante la 2.0 16v...

 

Parallèlement, une version 1.8 8 soupapes de 109 CV fait son apparition. Reprenant le moteur de la Dedra 1.8 ie, évolution du bloc de la... Fiat 132, elle se montre très homogène et constitue certainement l'offre la plus cohérente dans la gamme essence de la Tipo.

 

(...)

[/quotemsg]

A noté que la puissance chuta vite à 105ch, suite à l'entrée du catalyseur.

 

En essence, certainement la motorisation a priviligié mais il y avait également sur certains marchés, la version 2l du double arbre Lampredi encore plus coupleux.

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Dans ton post, tu stigmatises ce qui a miné la carrière de la Tipo : son manque de qualité, tant en ce qui concerne l'assemblage que l'équipement électrique. Fiat n'avait pas pensé à opérer le "virage qualité" que Renault a très bien négocié avec la 19. La Tipo accumulait plus de petites pannes que la Uno, selon Auto Moto.

La Tipo souffrait rarement d'avaries graves certes, mais elles étaient multiples et agaçantes.

On remarquera une faiblesse notoire du joint de culasse des turbo-diesels, du joint de couvre-soupapes (pas grave) sur les versions essence et des synchros de boîte jusqu'en 1990.

 

En revanche, la rouille a été bel et bien anéantie. Aujourd'hui encore, on ne voit jamais de Tipo corrodée, ce qui n'est pas le cas pour les R19 et Astra, sensibles au niveau des ailes arrières.

 

L'apparition en 1991 des Golf III et Astra, très abouties question finition, mettra un point d'arrêt au succès commercial de la Tipo. De 450000 exemplaires produits en 1989, on tombera rapidement à 250000 en 1991.

 

La ligne de la Tipo n'est pas ce qui l'a handicapée, il vaut mieux en chercher la raison dans sa micro finition. Fiat n'avait pas compris que les acheteurs de cette catégorie de véhicules étaient prêts à mettre quelques milliers de francs de plus pour avoir un produit valorisant.

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J'ai moi-même possédé une 1.8 ie modèle 91 de Juin 2002 à Février 2003. C'était une voiture spacieuse, sûre, confortable et performante (je l'ai chronométrée à 198 km/h). En outre, en 25000 kms, je n'ai pas eu de problème. Je l'ai revendue facilement à 95000 kms.

En fait, j'avais 2 choses à lui reprocher:

- une consommation élevée (11l sur l'autoroute en roulant à 140)

- un niveau sonore fatiguant, tant en ce qui concerne le moteur que la carrosserie, en outre très exposée aux petits chocs.

 

Les plastiques n'étaient pas non plus très flatteurs, mais la boîte était maniable et le check control bien pratique.

Détail : le compteur (analogique) était archi-précis!

Un bon souvenir, la sensation d'avoir possédé une voiture à la conception vraiment brillante pour son époque.

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Invité §Leo452by

- une consommation élevée (11l sur l'autoroute en roulant à 140)

C'est encore raisonnable. Avec mon carbu bon à changer, je consomme la même chose avec un petit 1.6.

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Invité §Leo452by

Très bon moteur procurant des perfs honorables et un agrément certain malgré une 5° trop longue, mais bien trop gourmand en essence et en...huile.

Ca me rassure. Le miens consomme un peu d'huile aussi, mais vu que je l'ai depuis peu, je savais pas si c'était normal.

La boîte était du même tonneau qu'une Alfa des années 80, c'est à dire: horrible froide. Chaude c'était mieux mais la MA a toujours été du genre (très) récalcitrante.

[/quotemsg]

Pour la MA, ça reste un régal à passer par rapport à un espace (là, faut attendre facile 1 minute débrayé pour pas entendre les crabots).

J'ai été étonné de la rapidité avec laquelle on peut passer les vitesses, mais c'est vrai qu'à froid ca passe moins bien (ma seconde a du mal, surtout). Mais elle a 100 000km et c'est l'heure de la vidange. J'espère que ça ira mieux après.

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Invité §Ang786hm

VIve les anciennes.... :roll: Bientot un post sur le renault 19!!! :lol:

 

 

 

------------> :tourne: je suis plus là :lol:

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Invité §Ang786hm

Bah il y a 11 pages sur la XM pourtant plus récente...

 

Provoc' gratuite!! :D:p

 

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En 1990, d'autres évolutions ont bénéficié à la Tipo :

- La boîte CVT, transmission automatique à variation continue. Elle est similaire à celle de la Uno, et on ne peut pas dire que son adaptation à la Tipo 1.6 soit une réussite : consommation élevée, bruit d'aspirateur et faibles performances au programme. Par ailleurs, cette boîte ne s'avère pas d'une grande fiabilité.

- Moteur 1995 cc comme l'a mentionné Volu, 113 CV, mais pas pour la France.

 

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Il est à noter que la Tipo 1.6 existe en version catalysée, mais elle reprend alors l'ancien 1585 cc des Ritmo et Regata 100S.

 

Pour le millésime 1992, le 1400 voit sa puissance portée à 76 CV et le 1600 à 86 CV. Apparait aussi une finition luxueuse SX, un mix entre l'AGT S et la DGT. Intérieur velours et instrumentation analogique pour les 1600 et 1800.

 

Mais la nouveauté de ce millésime est la version 2000 16 V de 145 CV. Elle corrige le manque de motricité de la 1800 16V en adoptant des roues de 15 pouces, améliore son freinage (ABS en série), et sa souplesse grâce à la cylindrée accrue. Mais voilà, sur la balance, elle accuse 100 kgs de plus, du coup l'amélioration des performances n'est pas spectaculaire. Un catalyseur est monté d'office.

Toutefois, comme l'insonorisation a progressé, elle se révèle une excellente grand tourisme. Le public ne suit pas vraiment : les nostalgiques de la Ritmo Abarth lui reprochent son manque de piment, les autres, son prix élevé pour une Tipo. En Septembre 1991, la 1800 16V est abandonnée.

 

Enfin, toujours pour 1992, le cuir, la climatisation et le volant bois s'installent dans la 1600 SX, qui s'appelle alors Perfect, une ultime nouvelle version avant le restylage.

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En 1993, c'est le restylage. La face avant se voit dotée d'une calandre plus épaisse et de phares plus petits. Apparait aussi une déclinaison 3 portes de la Tipo.

 

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La structure se voit enforcée, un airbag est installé, de même qu'un antidémarrage codé. A l'intérieur, la planche de bord est légèrement remaniée, offrant un aspect moins rigide, les revêtements de siège sont nouveaux et les panneaux de porte voient la bande de plastique située à la base des vitres agrandie.

La qualité des matériaux progresse, mais le restylage reste tout de même assez superficiel, et pas franchement réussi puisque le nouvel avant de la Tipo rappelle celui de l'Ibiza I reliftée.

 

Côté moteurs, on fait un peu la moue à cause de la baisse généralisée des puissances, pour cause de passage au catalyseur.

- 1372 cc : 69 CV

- 1580 cc : 75 CV

- 1756 cc : 103 CV

- 1995 cc 16 V : 139 CV

 

Un peu plus tard, pour pallier le déficit de nerf du 1.6, Fiat le dote d'une injection multipoints qui porte sa puissance à 90 CV.

 

La turbo diesel se voit dotée d'un système EGR, et sa puissance s'établit désormais à 90 CV.

 

L'instrumentation digitale passe à la trappe, les appellations sont revues :

S, SX et GT.

On notera aussi la persistence de séries limitées, la Pop par exemple.

 

Pour 1995, ces appellations changent, les 2.0 16V et 1.8ie ainsi que le 1.6 MPI disparaissent.

Désormais, la gamme se decline autour des appellations Start et Quartz, avec les moteurs 1.4, 1.6 (75 CV) , 1.7d et 1.9 TD.

Seules les 1.6 et Turbo diesel ont droit à la finition Quartz, qui remplace la SX, et toutes les versions ont désormais la direction assitée en série.

 

Au total, plus de 2.2 millions de Tipo seront produites avant l'arrivée des Bravo/Brava, durant l'été 1995, reprenant la même plate-forme.

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Invité §gas117Vx

ben moi j'en ai une de Tipo et méme si je suis pas un fan de fiat il faut reconnaitre qu'elle est fiable.

C'est une Turbo D 1.9 en version "Grandturismo" elle a 212500 kms tout d'origine sauf la pompe gas oil refaite a 175000kms.

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Invité §big363lJ

Super ce topic :bien:

Mais, je m'attendais aussi à ce qu'on parle de la "déclinaison 4 portes" de la Tipo, c'est-à-dire la Tempra :(

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2 essais de l'Auto-Journal Special Salon de 1989.

tryphon1_1075424769_tipo.jpg

 

 

Mes parents ont celle la la 1400 DGT

Auvun problème particulier! elle n'est pas si bruyante que ca! elle est silencieuse même pas de bruits parasite! elle est de 1991, et vient de passer les 100 000

Sinon des problèmes electrique du au branlot qui l'avait il abrancher des antibrouillards d'origine fiat directement sur l'antibrouillard arriere ce qui fait que le circuit n'etant vraiment pas prévu pour on a eu des soucis d'eclairage et encore a ce jour une difference d'intensite entre gauche et droite...

je trouve le tableau de bord génial! il fonctionne très bien!

équipé vitres elec fermeture centralisée 5 portes

sinon pas de direction assisté! et elle est très lourde a manoeuvrer!

et un confort! :bien: et très spacieuse

 

malheureusement un pauvre c... vient de nous l'arranger 2 portes enfoncés, erafler sur un parking et aucune adresse!

D'ailleurs j'ai pu constater que la porte arriere n'a pas l'air d'être en tôle! elle a fendu (on rentre une feuille de papier!) et les ventouses "miracle" (qui ne serve a rien!)refuse de plaquer alors que sur une vraie partie tole ca tient! enfin ca fait ventouse quoi!

ou alors la porte a ete réparé et c'est du mastic? :??: plus une peinture bleue vernie?

 

Voila tres bonne idée en tout cas que de parler de cette voiture critiquée elle ne le mérite assurément pas!

 

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Invité §cyb753lQ

bonsoir,

 

moi j'en profite une fois de plus, pour citer le site que l'on créer http://www.fiatonline.fr.st si certains sont interressés pour temoigner sur la FIAT tipo ca sera avec grand plaisir que je mettrais cela en ligne, un dossier complet peut être réalisé ... (à discuter par MP)

 

pour ma part je me souviens etre monté dans une FIAT tipo noir sport, tunné, hyper rabaissé, j'avais adoré ...

 

 

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Super ce topic :bien:

Mais, je m'attendais aussi à ce qu'on parle de la "déclinaison 4 portes" de la Tipo, c'est-à-dire la Tempra :(

Ah oui c'est une idée. Faudrait que je trouve des photos de Tempra brésilienne : elles ont un tdb différent des italiennes, ont une déclinaison coupé, et existent en version turbo essence de 165 CV.

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elle a marqué les esprits cette voiture ?

ah bon, ma foi !

Ben oui, à ma grande surprise. La Tipo offrait des qualités uniques à ce niveau de gamme, ça a marqué les esprits. Cette voiture était vraiment brillamment conçue, dommage que la qualité de finition n'ait pas été au diapason, sans pour autant être catastrophique.

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Ah oui c'est une idée. Faudrait que je trouve des photos de Tempra brésilienne : elles ont un tdb différent des italiennes, ont une déclinaison coupé, et existent en version turbo essence de 165 CV.

 

En tout cas, la Tempra SW est bien inspirée, avec le bas du hayon qui s'ouvre pour abaisser le seuil :jap: (ou alors... on m'aurait menti ? :voyons::p ).

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Invité §Vol717TD

Dans ton post, tu stigmatises ce qui a miné la carrière de la Tipo : son manque de qualité, tant en ce qui concerne l'assemblage que l'équipement électrique. Fiat n'avait pas pensé à opérer le "virage qualité" que Renault a très bien négocié avec la 19. La Tipo accumulait plus de petites pannes que la Uno, selon Auto Moto.

La Tipo souffrait rarement d'avaries graves certes, mais elles étaient multiples et agaçantes.

 

Oui, mais sans pour autant être semblable à tous les changements qui s'étaient opérés entre les R9/11 et la R19, le passage de témoin entre la Ritmo et la Tipo fut en terme de qualité perçue, assez notable je pense.

L'intérieur faisait place à un poste de pilotage ergonomique et assez bien présenté avec des matériaux moins cheap.

 

Mais bon, les petites avaries restaient trop nombreuses...ce qui n'a pas aidé à effacer le boulet de mauvaise réputation que traîné (et traîne encore) Fiat.

 

[quote name='du joint de couvre-soupapes (pas grave) sur les versions essence et des synchros de boîte jusqu'en 1990.

</div>

 

Clair que jusqu'en 1992, le 1.9 TD traîne une mauvaise réputation. Même si je connais quelques Dedra mazouts pré-92, ayant fait plus de 250,000km avec la même "chaudière".

 

L'évolution avec catalysuer, nouvelle pompe et turbo, eut du bon.

En revanche, la rouille a été bel et bien anéantie. Aujourd'hui encore, on ne voit jamais de Tipo corrodée, ce qui n'est pas le cas pour les R19 et Astra, sensibles au niveau des ailes arrières.

[/quotemsg]

 

La carrosserie et la peinture étaient de très bonne qualité en effet.

Et même certaines et actuelles productions de chez Renault et VW, ne peuvent pas en dire autant...

 

L'apparition en 1991 des Golf III et Astra, très abouties question finition, mettra un point d'arrêt au succès commercial de la Tipo. De 450000 exemplaires produits en 1989, on tombera rapidement à 250000 en 1991.

 

La ligne de la Tipo n'est pas ce qui l'a handicapée, il vaut mieux en chercher la raison dans sa micro finition. Fiat n'avait pas compris que les acheteurs de cette catégorie de véhicules étaient prêts à mettre quelques milliers de francs de plus pour avoir un produit valorisant.

[/quotemsg]

 

A l'époque, sa ligne restait tout de même moins passe-partout ou banale que ses concurrentes. Ce qui peut être un bien comme un mal, malgré le fait que le public s'habitua finalement assez vite à cette ligne alors atypique.

 

Pour la valorisation du "produit", je suis d'accord. Mais non pas dans la recherche de l'absolu du tout en "plastique-mou".

Certe les plastiques de la planche de bord sont durs, bruyant (vive les rossignols et merci aussi à l'assemblage) et se rayent avec une facilité déconcertante, mais ils restent assez solides et fonctionnels.

En revanche, j'en reviens encore, les accessoires électriques et le faisceau en lui-même étaient clairement digne d'une italienne ou d'une anglaise des années 70 question fiabilité. Et de ces petites tracasseries quotidiennes, si on ne le prenait pas avec une certaine philosophie (fatalisme?), on en venait à conspuer la voiture entière alors que pour les reste, elle était finalement réussie.

 

Le 30/01/2004 à 03:56, tryphon1 a écrit']

J'ai moi-même possédé une 1.8 ie modèle 91 de Juin 2002 à Février 2003. C'était une voiture spacieuse, sûre, confortable et performante (je l'ai chronométrée à 198 km/h). En outre, en 25000 kms, je n'ai pas eu de problème. Je l'ai revendue facilement à 95000 kms.

En fait, j'avais 2 choses à lui reprocher:

- une consommation élevée (11l sur l'autoroute en roulant à 140)

- un niveau sonore fatiguant, tant en ce qui concerne le moteur que la carrosserie, en outre très exposée aux petits chocs.

 

Avec le 1756cm3, ça devait être une vraie grande routière. :)

Pour la consommation, j'ai aussi constaté avec le 1995cm3 qui équipé ma Dedra, des moyennes assez élevées...du 14/100 en ville et 12l/100 à 140!

En sachant que la Dedra a la même boîte, les mêmes trains roulants, mais est un peu plus lourde (1240kg - officiellement - ), et plus aérodynamique (0.29)...j'imagine qu'avec la Tipo 2.0 8s avait également un budget utilisation élevé. :L

 

Le niveau sonore avec le Torque, était plutôt correct et en dessous des 130 sur autoroute, on avait pas à se plaindre vraiment.

En revanche, j'ai toujours trouvé le double arbre Lampredi très bruyant (heureusement qu'il est mélodieux). Malgré l'insonorisation supérieure de la Dedra face à la Tipo, je ne peut pas vraiment dire que notre Dedra était plus silencieuse que notre Tipo (certe équipée du Torque).

 

Pour la carrosserie exposée, c'est tout à fait vrai. Malgré les baguettes latérales qu'on avait eu sans supplément, en quelques semaines les portes étaient bien marquées par la faute d'automobilistes peu respectueux des autres. Il faut dire que ces baguettes ne protégaient pas grand chose en fin de compte...

Les feux sont aussi très exposés malheureusement.

 

[quote name='mais la boîte était maniable et le check control bien pratique.

Détail : le compteur (analogique) était archi-précis!

Un bon souvenir, la sensation d'avoir possédé une voiture à la conception vraiment brillante pour son époque.

[/quotemsg]

 

La boîte de la 1.8 (issu de celle de la Thema) était différente de celle de la 1.6. Ce qui peut expliquer cette différence de feeling.

Ah le check-control, la seule chose électrique et électronique du tdb, qui a toujours fonctionné impeccablement! :bien:

Dommage que les ordinateurs de bord, les ont mis à la retraite...j'aimais beaucoup moi.

Le tdb analogique des modèles de pointe était encensés par tous les journaleux (complet, lisible, précis, joli)...au contraire du digital.

 

Un jour il n'est pas dit que j'en rechercherais une pour me remémorrer les bons souvenirs "automobilistique" que j'ai eu pendant mon adolescence. :)

 

<div class="citation">Le 30/01/2004 à 10:07, Angel Of Death a écrit']

VIve les anciennes.... :roll: Bientot un post sur le renault 19!!! :lol:

 

 

 

------------> :tourne: je suis plus là :lol:

 

Je préfère un topic unique (et de qualité) sur une voiture encore "dans la fleur de l'âge", qu'une pléthore de topics sur un ou plusieurs même modèles ayant plus ou moins le même âge. ;)

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Ben oui, à ma grande surprise. La Tipo offrait des qualités uniques à ce niveau de gamme, ça a marqué les esprits. Cette voiture était vraiment brillamment conçue, dommage que la qualité de finition n'ait pas été au diapason, sans pour autant être catastrophique.

j'aurais pensé que la uno aurait plus marqué les esprits a la rigueur, par son coté tout public pas cher etc non ? et la fameuse uno ie turbo etc

enfin c'est pas le sujet du post :jap:;)

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Invité §Vol717TD

(...)

 

Enfin, toujours pour 1992, le cuir, la climatisation et le volant bois s'installent dans la 1600 SX, qui s'appelle alors Perfect, une ultime nouvelle version avant le restylage.

Je me souviens bien de cette sorte de série plus ou moins limitée. C'était réellement bluffant de voir tous les équipements de série et surtout la qualité de finition (des matériaux précieux) atteint sur ce modèle!

En plus les tarifs pratiqués étaient bien plus accessible que les versions Baccara-like des concurrents.

 

En 1993, c'est le restylage. La face avant se voit dotée d'une calandre plus épaisse et de phares plus petits. Apparait aussi une déclinaison 3 portes de la Tipo.

 

(...)

Je ne me rappelle plus très bien mais était-ce bien lors du restylage, que certaines versions eurent droit à une inscription "Turismo" sur le cache en plastique au dessous de l'éclairage de la plaque de police arrière?

 

j'aurais pensé que la uno aurait plus marqué les esprits a la rigueur, par son coté tout public pas cher etc non ? et la fameuse uno ie turbo etc

enfin c'est pas le sujet du post :jap:;)

 

Bah comme l'a déjà dit précédemment tryphon, elle embarquait pas mal de bonnes "choses" pour 1988 (habitabilité, comportement routier, confort, ligne, équipement...) et ce pour un prix parfaitement ciblé dans la catégorie (surtout eu égard à son équipement de série).

 

D'ailleurs autant la Uno que la Tipo ont eu droit à la plus haute place de l'élection de la voiture de l'année.

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