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Il y a 4 heures, nightsurf a dit :

A 50 ils représentent la France en colère :mad:

 :ptdr:

Cela dit, il fait plutôt pas trop moche par ici, ils seront peut être 67 :o

 

 

 

 

 

Putain quelle purge cette nouvelle version du forum 🤦‍♂️

Modifié par jonjon
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Il y a 2 heures, jonjon a dit :

Cela dit, il fait plutôt pas trop moche par ici, ils seront peut être 67 :o

 

 

 

 

 

Putain quelle purge cette nouvelle version du forum 🤦‍♂️

Mais ouais ptin les mecs codent avec leurs pieds ...... et se sont des cul de jattes!

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« L’Ordre à tout prix » sur France 2 : comment l’Intérieur a changé de stratégie face à ses difficultés à maîtriser les « gilets jaunes »

Le documentaire de Samuel Lajus et Frédéric Ploquin propose une analyse clinique, avec un parti pris : donner exclusivement la parole aux acteurs du maintien de l’ordre.

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« Allez-y franchement, n’hésitez pas à percuter. Ça fera réfléchir les suivants »... Le jour où la doctrine du maintien de l’ordre a basculé

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Christophe Castaner, s’autocongratule sur les ondes de France Inter : « Entre le 1er et le 8 décembre, déclare-t-il, j’ai décidé de changer en profondeur notre doctrine d’emploi. »

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Pourquoi l’usage du lanceur de balles (LBD) de défense divise au sein des forces de l’ordre

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comme le 18 janvier 2020, près de la gare de l’Est, à Paris, où des CRS protègent les manifestants des coups de matraque des BRAV (Brigades de répression de l’action violente), créées par le préfet de police de Paris, Didier Lallement, en puisant dans le contingent des BAC et de l’antigang.

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https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/03/09/l-ordre-a-tout-prix-sur-france-2-comment-l-interieur-a-change-de-strategie-face-a-ses-difficultes-a-maitriser-les-gilets-jaunes_6072510_3246.html

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"Pour moi, c'est le procès de casseurs, pas celui des gilets jaunes" précise-t-il. Pour autant, les faits sont graves : s'attaquer au monument qui abrite la flamme du soldat inconnu en le taggant et briser les pièces qui s'y trouvent.

Ils n'ont pas choisi l'Arc de triomphe au hasard : c'est un saccage emblématique, une profanation nationale.

Jean-Philippe Morel, avocat dijonnais

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https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/gilets-jaunes-jean-philippe-morel-l-avocat-de-l-arc-de-triomphe-1994422.html

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«Ultra-jaunes» à Bordeaux: la justice annule l’enquête

18 MARS 2021 PAR CAMILLE POLLONI ET ANTTON ROUGET

En décembre 2019, seize personnes soupçonnées de préparer des actions violentes lors d’une manifestation des « gilets jaunes » sont mises en examen à Bordeaux. La chambre de l’instruction vient de trancher : la perquisition qu’elles ont subie était illégale, toute l’enquête est annulée.

Qualifiés tantôt de « black blocs », d’« ultra-jaunes » et d’« anarcho-libertaires », ces gardés à vue ont fait les gros titres de la presse nationale. Le 7 décembre 2019, seize personnes, âgées de 25 à 45 ans, sont arrêtées dans un Airbnb du Bouscat, dans l’agglomération bordelaise (Gironde), juste avant l’acte 56 des manifestations de « gilets jaunes ». En perquisition, les policiers découvrent de l’acide chlorhydrique, du bicarbonate de soude, des clous, des bombes de peinture. Une enquête pour « association de malfaiteurs » et « dégradation de biens » est ouverte, les seize personnes sont mises en examen.

Moins d’un an et demi plus tard, le dossier vient de s’effondrer. Dans un arrêt rendu jeudi 18 mars, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Bordeaux ordonne en effet « l’annulation de l’ensemble de la procédure » et « la mainlevée des mesures de contrôle judiciaire ». Elle considère qu’au regard du droit, « les conditions des interpellations, des placements en garde à vue et de la perquisition effectuée n’étaient pas régulières ». C’est-à-dire qu’elles étaient illégales. La cour d’appel donne ainsi raison aux avocats des mis en examen, qui l’avaient saisie. 

 

Un manifestant lors d’une manifestation le 23 février 2019, à Bordeaux. © Georges GOBET / AFPUn manifestant lors d’une manifestation le 23 février 2019, à Bordeaux. © Georges GOBET / AFP

 

L’affaire commence par de simples tags. Dans la nuit du 6 au 7 décembre 2019, une patrouille de police découvre des inscriptions « Acab » (« All cops are bastards » en anglais, soit « Tous les flics sont des bâtards ») sur une enfilade d’immeubles du Bouscat, dont l’un abrite des locaux de police. Sur le moment, la patrouille juge probable que ces tags soient le fait d’un « homme seul à vélo ».

Mais dès le matin du 7 décembre, la machine s’emballe quand un commissaire divisionnaire obtient du parquet l’ouverture d’une enquête de flagrance. Il invoque des courriers anonymes de menaces reçus par des policiers ailleurs en France, courriers que le ministre de l’intérieur de l’époque, Christophe Castaner, a publiquement dénoncés.

Sur la foi d’un renseignement anonyme, le commissaire divisionnaire ajoute qu’un « groupe de black blocs » occuperait un appartement à 1,5 km du lieu des tags. Ils « pourraient » donc, selon lui, « être les auteurs des dégradations et outrages commis au cours de la nuit et seraient également membres d’une association de malfaiteurs constituée en vue de commettre des exactions » contre des policiers. 

Le périmètre de l’enquête est élargi. Dégradation de biens publics et privés, outrage, association de malfaiteurs : grâce à ces qualifications pénales, passibles de prison, les policiers peuvent investir l’Airbnb dès 12 h 30, placer ses occupants en garde à vue et commencer leur perquisition. La justice vient pourtant de déclarer cette opération de police abusive, compte tenu de la nature réelle des faits et faute d’indices suffisants pour les relier entre eux. 

« C’est sur la foi d’un simple renseignement », dont l’origine n’est pas mentionnée en procédure, que l’affaire a commencé, constate la chambre de l’instruction. Si l’on peut soupçonner qu’elle provient d’un service de renseignement, aucun élément concret n’a été versé au dossier, certains procès-verbaux évoquant des « informations classifiées » pour ne pas rentrer dans le détail. Sur le plan judiciaire, écrit la présidente, le lien entre les tags et les occupants de l’appartement reste donc « une simple conjecture, corroborée par aucun élément objectif »

Compte tenu de ces vices de départ, l’arrêt disqualifie toute l’enquête. « Les éléments découverts au cours de la perquisition litigieuse n’étaient pas susceptibles de conférer a posteriori un caractère régulier à des mesures hautement coercitives commencées en méconnaissance des conditions exigées par l’article 53 du code de procédure pénale dont le respect était le préalable nécessaire », justifie la chambre de l’instruction. Conséquence : tous les actes d’enquête sont annulés. Tous sauf un : le procès-verbal initial de constatation des tags « Acab », qui a, lui, été réalisé avant la perquisition.

Sollicité par Mediapart, le parquet général de Bordeaux ne nous a pas indiqué, à l’heure du bouclage de cet article, s’il comptait se pourvoir en cassation pour contester l’arrêt de la chambre de l’instruction.

« Cette décision représente un revers majeur pour les donneurs d’ordre de la perquisition », estime Me Xavier Sauvignet, l’un des avocats qui a contesté la régularité de la procédure avec Me Alice Becker, Me Gabriel Lassort et Me Raphaël Kempf.

À l’époque des faits, le directeur départemental de la sécurité publique de Gironde Patrick Mairesse s’était félicité de la réussite de son opération. « Nous sommes tombés sur un appartement conspiratif, où des membres de la mouvance ultragauche et ultra-jaune préparaient des actions pour la manifestation de l’après-midi à Bordeaux », expliquait-il ainsi dès le samedi 7 décembre. Quelques jours plus tard, l’inspecteur général insistait dans les colonnes du Monde : « Ce type de délit flagrant n’est pas fréquent. Pour un enquêteur, c’est comme interpeller des trafiquants de drogue en pleine transaction, avec une saisie de marchandise à la clé. »

 

Les syndicats policiers lui avaient immédiatement emboîté le pas. Pour le syndicat Alliance (majoritaire en Nouvelle-Aquitaine), cette enquête démontrait que les seize prévenus, des « militants Black Blocks, liés à la mouvance anarchiste », voulaient « casser du flic » lors des prochaines manifestations. Le syndicat réclamait alors « la plus grande fermeté » à l’encontre de ces « délinquants » n’ayant pour objectif que de « tendre vers l’insurrection ».

 

Sur Twitter, le syndicat des commissaires de police SICP adressait ses « félicitations aux enquêteurs de la police nationale de la Gironde pour cette très belle affaire ». Le syndicat y voyait « une preuve supplémentaire du climat délétère et dangereux qui pèse sur les policiers » et trouvait « étrange que certains chantres des violences illégitimes, ne parlent pas, avec la même intensité, de cette affaire ».

« Ce qu’il s’est passé est très grave. Cela devrait nous amener à réfléchir sur cet emballement policer et judiciaire contre les gilets jaunes, au mépris de l’État de droit », réagit aujourd’hui Me Sauvignet, en rappelant que « nous sommes dans le cadre d’un procédure importante, qui a mobilisé des moyens importants et qui a eu un impact sur la vie des gens. L’un des prévenus a fait de la détention provisoire dans cette affaire ».

« Le prévenu que je défends m’a expliqué que les policiers sont entrés dans l’appartement en étant sur-équipés, avec des fusils d’assauts, des casques, etc. », ajoute l’avocat. « Il descendait l’escalier pour aller déjeuner et a vu un laser rouge pointé sur lui. Les seize personnes ont ensuite été allongées face contre le sol, avec un genou sur la nuque, un fusil braqué sur les têtes. » Comme le signifie l’arrêt de la cour d’appel, les policiers n’avaient en réalité même pas le droit de pénétrer dans cet appartement.

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les responsables courent toujours,

en attendant la prochaine manif?(appariteurs?)

-

"Gilets jaunes" : des peines "symboliques" prononcées pour le saccage de l'Arc de Triomphe

Les principaux responsables des "scènes apocalyptiques", décrites par le tribunal pendant l'audience, n'ont jamais été identifiés.

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https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/gilets-jaunes-des-peines-symboliques-prononcees-pour-le-saccage-de-l-arc-de-triomphe_4347337.html

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Le 18/03/2021 à 23:37, jean.pijot a dit :

«Ultra-jaunes» à Bordeaux: la justice annule l’enquête

18 MARS 2021 PAR CAMILLE POLLONI ET ANTTON ROUGET

En décembre 2019, seize personnes soupçonnées de préparer des actions violentes lors d’une manifestation des « gilets jaunes » sont mises en examen à Bordeaux. La chambre de l’instruction vient de trancher : la perquisition qu’elles ont subie était illégale, toute l’enquête est annulée.

Qualifiés tantôt de « black blocs », d’« ultra-jaunes » et d’« anarcho-libertaires », ces gardés à vue ont fait les gros titres de la presse nationale. Le 7 décembre 2019, seize personnes, âgées de 25 à 45 ans, sont arrêtées dans un Airbnb du Bouscat, dans l’agglomération bordelaise (Gironde), juste avant l’acte 56 des manifestations de « gilets jaunes ». En perquisition, les policiers découvrent de l’acide chlorhydrique, du bicarbonate de soude, des clous, des bombes de peinture. Une enquête pour « association de malfaiteurs » et « dégradation de biens » est ouverte, les seize personnes sont mises en examen.

Moins d’un an et demi plus tard, le dossier vient de s’effondrer. Dans un arrêt rendu jeudi 18 mars, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Bordeaux ordonne en effet « l’annulation de l’ensemble de la procédure » et « la mainlevée des mesures de contrôle judiciaire ». Elle considère qu’au regard du droit, « les conditions des interpellations, des placements en garde à vue et de la perquisition effectuée n’étaient pas régulières ». C’est-à-dire qu’elles étaient illégales. La cour d’appel donne ainsi raison aux avocats des mis en examen, qui l’avaient saisie. 

 

Un manifestant lors d’une manifestation le 23 février 2019, à Bordeaux. © Georges GOBET / AFPUn manifestant lors d’une manifestation le 23 février 2019, à Bordeaux. © Georges GOBET / AFP

 

L’affaire commence par de simples tags. Dans la nuit du 6 au 7 décembre 2019, une patrouille de police découvre des inscriptions « Acab » (« All cops are bastards » en anglais, soit « Tous les flics sont des bâtards ») sur une enfilade d’immeubles du Bouscat, dont l’un abrite des locaux de police. Sur le moment, la patrouille juge probable que ces tags soient le fait d’un « homme seul à vélo ».

Mais dès le matin du 7 décembre, la machine s’emballe quand un commissaire divisionnaire obtient du parquet l’ouverture d’une enquête de flagrance. Il invoque des courriers anonymes de menaces reçus par des policiers ailleurs en France, courriers que le ministre de l’intérieur de l’époque, Christophe Castaner, a publiquement dénoncés.

Sur la foi d’un renseignement anonyme, le commissaire divisionnaire ajoute qu’un « groupe de black blocs » occuperait un appartement à 1,5 km du lieu des tags. Ils « pourraient » donc, selon lui, « être les auteurs des dégradations et outrages commis au cours de la nuit et seraient également membres d’une association de malfaiteurs constituée en vue de commettre des exactions » contre des policiers. 

Le périmètre de l’enquête est élargi. Dégradation de biens publics et privés, outrage, association de malfaiteurs : grâce à ces qualifications pénales, passibles de prison, les policiers peuvent investir l’Airbnb dès 12 h 30, placer ses occupants en garde à vue et commencer leur perquisition. La justice vient pourtant de déclarer cette opération de police abusive, compte tenu de la nature réelle des faits et faute d’indices suffisants pour les relier entre eux. 

« C’est sur la foi d’un simple renseignement », dont l’origine n’est pas mentionnée en procédure, que l’affaire a commencé, constate la chambre de l’instruction. Si l’on peut soupçonner qu’elle provient d’un service de renseignement, aucun élément concret n’a été versé au dossier, certains procès-verbaux évoquant des « informations classifiées » pour ne pas rentrer dans le détail. Sur le plan judiciaire, écrit la présidente, le lien entre les tags et les occupants de l’appartement reste donc « une simple conjecture, corroborée par aucun élément objectif »

Compte tenu de ces vices de départ, l’arrêt disqualifie toute l’enquête. « Les éléments découverts au cours de la perquisition litigieuse n’étaient pas susceptibles de conférer a posteriori un caractère régulier à des mesures hautement coercitives commencées en méconnaissance des conditions exigées par l’article 53 du code de procédure pénale dont le respect était le préalable nécessaire », justifie la chambre de l’instruction. Conséquence : tous les actes d’enquête sont annulés. Tous sauf un : le procès-verbal initial de constatation des tags « Acab », qui a, lui, été réalisé avant la perquisition.

Sollicité par Mediapart, le parquet général de Bordeaux ne nous a pas indiqué, à l’heure du bouclage de cet article, s’il comptait se pourvoir en cassation pour contester l’arrêt de la chambre de l’instruction.

« Cette décision représente un revers majeur pour les donneurs d’ordre de la perquisition », estime Me Xavier Sauvignet, l’un des avocats qui a contesté la régularité de la procédure avec Me Alice Becker, Me Gabriel Lassort et Me Raphaël Kempf.

À l’époque des faits, le directeur départemental de la sécurité publique de Gironde Patrick Mairesse s’était félicité de la réussite de son opération. « Nous sommes tombés sur un appartement conspiratif, où des membres de la mouvance ultragauche et ultra-jaune préparaient des actions pour la manifestation de l’après-midi à Bordeaux », expliquait-il ainsi dès le samedi 7 décembre. Quelques jours plus tard, l’inspecteur général insistait dans les colonnes du Monde : « Ce type de délit flagrant n’est pas fréquent. Pour un enquêteur, c’est comme interpeller des trafiquants de drogue en pleine transaction, avec une saisie de marchandise à la clé. »

 

Les syndicats policiers lui avaient immédiatement emboîté le pas. Pour le syndicat Alliance (majoritaire en Nouvelle-Aquitaine), cette enquête démontrait que les seize prévenus, des « militants Black Blocks, liés à la mouvance anarchiste », voulaient « casser du flic » lors des prochaines manifestations. Le syndicat réclamait alors « la plus grande fermeté » à l’encontre de ces « délinquants » n’ayant pour objectif que de « tendre vers l’insurrection ».

 

Sur Twitter, le syndicat des commissaires de police SICP adressait ses « félicitations aux enquêteurs de la police nationale de la Gironde pour cette très belle affaire ». Le syndicat y voyait « une preuve supplémentaire du climat délétère et dangereux qui pèse sur les policiers » et trouvait « étrange que certains chantres des violences illégitimes, ne parlent pas, avec la même intensité, de cette affaire ».

« Ce qu’il s’est passé est très grave. Cela devrait nous amener à réfléchir sur cet emballement policer et judiciaire contre les gilets jaunes, au mépris de l’État de droit », réagit aujourd’hui Me Sauvignet, en rappelant que « nous sommes dans le cadre d’un procédure importante, qui a mobilisé des moyens importants et qui a eu un impact sur la vie des gens. L’un des prévenus a fait de la détention provisoire dans cette affaire ».

« Le prévenu que je défends m’a expliqué que les policiers sont entrés dans l’appartement en étant sur-équipés, avec des fusils d’assauts, des casques, etc. », ajoute l’avocat. « Il descendait l’escalier pour aller déjeuner et a vu un laser rouge pointé sur lui. Les seize personnes ont ensuite été allongées face contre le sol, avec un genou sur la nuque, un fusil braqué sur les têtes. » Comme le signifie l’arrêt de la cour d’appel, les policiers n’avaient en réalité même pas le droit de pénétrer dans cet appartement.

Tiens, je croyais la justice aux ordres du pouvoir....

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Invité §fra671pO

Perso c'est 10 ans ferme mini.

J'imagine ce que je récolterais si j'allais faire la même chose chez eux........

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Manifestation Gilets Jaunes samedi 27 mars 2021 à Paris Bercy à partir de 12h30.
À noter également que samedi 27 mars est la journée européenne d’action pour le logement.

Une manifestation est prévue à Paris à 15h00 Place du Châtelet.
Durant la semaine du lundi 22 au vendredi 26 mars 2021,

le procès des Gilets Jaunes dans l’affaire de l’Arc de Triomphe s’est tenu chaque jours à 13h30

au tribunal de la Porte de Clichy en 15e chambre correctionnelle.

-

https://www.evous.fr/Blocages-routes-France-carte-des-rassemblements-hausse-prix-carburant-1192858.html

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il y a une heure, laurent du doubs a dit :

Manifestation Gilets Jaunes samedi 27 mars 2021 à Paris Bercy à partir de 12h30.
À noter également que samedi 27 mars est la journée européenne d’action pour le logement.

Une manifestation est prévue à Paris à 15h00 Place du Châtelet.
Durant la semaine du lundi 22 au vendredi 26 mars 2021,

le procès des Gilets Jaunes dans l’affaire de l’Arc de Triomphe s’est tenu chaque jours à 13h30

au tribunal de la Porte de Clichy en 15e chambre correctionnelle.

-

https://www.evous.fr/Blocages-routes-France-carte-des-rassemblements-hausse-prix-carburant-1192858.html

:sleep:

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Il y a 2 heures, laurent du doubs a dit :

bonne nuit,

premier de corvée?

tu a fini à quelle heure........................................................................

Rien compris....comme d’hab avec toi !

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Invité §fra671pO

Ou c.n comme une bite, ça lui va mieux :siffle:

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Cinq ans d’inéligibilité requis

Le procureur a également réclamé un travail d’intérêt général,

un stage de citoyenneté, un examen médical

mais aussi cinq années de privation de droits civiques,

à savoir l’inéligibilité et l’interdiction de voter.

 

L’avocat de la défense a plaidé la relaxe et a demandé au tribunal d’être tolérant,

considérant qu’une chasse aux sorcières est toujours en cours contre les Gilets jaunes.

Le parquet a mis sa décision en délibéré. Le jugement sera rendu le 22 avril.

-

https://www.ouest-france.fr/provence-alpes-cote-dazur/carpentras-84200/carpentras-ineligibilite-et-prison-avec-sursis-requis-contre-le-gilet-jaune-christophe-chalencon-7219605

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Invité §fra671pO

C'est pas cher payé et il ose se plaindre pfff.gif.672b13f6c0a1deb9796e04febe43bb63.gif

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Les Gilets jaunes ont prévu de manifester dans les rues de Paris samedi 10 avril 2021. Le cortège partira de la place de la Bourse, à 13 heures.

-

De la place de la Bourse à Neuilly-sur-Seine

Les manifestants ont rendez-vous à 13 heures, place de la Bourse à Paris. Le cortège traversera le nord-ouest de la capitale pour ensuite se rendre à Neuilly-sur-Seine pour une dispersion à 18 heures.

Des perturbations sont à prévoir sur le parcours en fonction de la mobilisation. 

-

(B.B.?)

-

https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/carte-manifestation-des-gilets-jaunes-a-paris-le-parcours-prevu-3_40948070.html

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