Mes voitures

[Fmid]

C'est une idée

 

C'est vrai que je suis souvent frustré dans les musées d'auto, ils n'expliquent rien.

 

En matière de pinard, on dit qu'un vin c'est les tripes de l'homme et la gueule de l'endroit... Une voiture, c'est un peu pareil : j'ai du mal à monter une auto qui ne me raconte pas une histoire.

[Invité §loc254Xt]

un musé cela ne te tentes pas ?

 

 

 

le salaud!!! il veut mettre fmid dans un musée....

attend un peu il vient d'avoir 50

[Fmid]

N'oubliez pas le guide

[Fmid]

En commençant à chercher l'inspiration pour "notre" 935, je me suis aperçu que je vous avais raconté des bêtises à propos de la 936. Et deux fois encore !

 

La première concerne l'abandon de la voiture de Ickx-Pescarolo. C'est l'année précédente qu'elle avait abandonné le samedi soir. En 78, son abandon fut enregistré à la 19e heure, mais elle était déjà bien retardée.

 

Autre bourde : le double turbo en 1981. Il y avait alors bien longtemps que les 936 bénéficiaient d'un double turbo. La particularité du moteur de 1981 est d'être dérivé de celui que Porsche développait alors pour Indy.

 

Avec toutes mes excuses.

[Invité §loc254Xt]

tu es plus que pardonné!!!!

[Fmid]

Ma mémoire me joue des tours : c'est l'âge sans doute

[Fmid]

Pour la voiture de cette semaine, nous allons rester sur la même course. Il s'agit en effet d'une auto qui a affronté la Porsche 936/78, en l'occurrence, la Renault Alpine A443.

 

 

Comme sa copine, il s'agit aussi d'une illustre perdante, puisque celle-ci n'a même pas fini l'épreuve. Mais revenons plutôt sur son histoire.

 

Comme je l'ai expliqué à propos de la 936, au milieu des années 70, le championnat d'endurance est plutôt moribond. On a repris espoir en 1976, lorsque Porsche a présenté sa 936 justement. Son adversaire, Alpine, a pour sa part extrapolé une version turbo de sa barquette 2 litres pour affronter le spécialiste allemand. La rencontre tourne largement à l'avantage de Porsche qui dispose d'une auto moins performante mais plus homogène et d'équipages plus constants.

 

Mais en découvrant le turbo, Renault a aussi saisi tout le bénéfice qu'il y avait à maîtriser cette technologie balbutiante : de la performance à bon compte et une image technologique exploitables dans la gamme. Celle que l'on nomme encore la Régie investit donc à bloc sur ce turbo magique et mise résolument sur la compétition, chose encore rare à l'époque pour un constructeur généraliste. Il va donc y avoir la F1 – voir le chapitre RE20 – mais auparavant, il faut gagner au Mans.

 

Dans la Sarthe, en 1976, Alpine n'a délégué qu'une A442 afin de tâter le terrain. Elle abandonne rapidement et Porsche gagne.

 

L'année suivante, celles que l'on nomme désormais Renault Alpine débarquent en force : quatre châssis A442 usine assistés de deux Mirage américaines équipées du même V6 2 litres turbo.

 

L'affaire a été bien préparée, mais Renault s'incline une nouvelle fois : les quatre voitures ont abandonné et seule une Mirage sauve l'honneur à la 2e place... Toujours derrière Porsche.

 

La revanche a lieu en 1978. Cette fois, Renault aligne une A442, deux A442B à l'aérodynamique évoluée et une A443 qui dispose d'un moteur 2,2 litres. Cette dernière, qui porte le n° 1, est confiée à Jabouille et Depailler. C'est elle qui nous intéresse aujourd'hui.

 

 

En toute logique, cette version plus musclée joue le rôle de lièvre et s'envole. D'autant plus facilement que Porsche ne compte rapidement plus sur sa voiture de pointe retardée par des ennuis.

 

L'épopée durera jusqu'au dimanche matin. Au moment où la télévision prend l'antenne pour faire son point, la voiture s'arrête à Mulsanne. La A442B de Pironi-Jaussaud prend alors le relais pour l'emporter devant deux Porsche. Renault a rempli son contrat et peut enfin se consacrer totalement à la F1...

 

En toute logique, cette version est plutôt rare : on croise en effet beaucoup souvent plus la voiture victorieuse. Tout au moins dans sa version Tamiya.

 

Mais toute l'originalité de mon auto est justement de ne pas être une Tamiya. Un autre fabricant nippon lui a en effet grillé la politesse en présentant la barquette jaune avec l'une ou l'autre des décorations. Il va même jusqu'à diffuser le tout en France. Ignorant que mes Japonais favoris allaient eux aussi reproduire l'Alpine, je m'étais précipité... Mais pas tout à fait assez pour m'offrir la gagnante. C'est comme ça que je me suis retrouvé avec la A443. Ce n'est que tout récemment que j'ai découvert en ressortant la boîte (je garde toujours les couvercles, les illustrations sont généralement sympas) que c'était une Fujimi.

 

C'est marqué sur le côté gauche... Et c'est d'ailleurs la seule mention qui ne soit pas en japonais.

 

 

L'expérience m'a en tout cas suffisamment marqué pour que je ne me reprécipite plus sur des Fujimi inconsidérément. Car en termes de montage et de déco, on est pratiquement dans la quatrième dimension. Il suffit de voir la boîte pour constater que les Japs avaient une idée fort curieuse de la couleur des bandes latérales... Et le reste est à l'avenant.

 

Comme les Tamiya contemporaines, rien ne s'ouvre... Et il y a un moteur électrique. S'ajoute ici un précâblage pour les feux avant et arrière et une direction fonctionnelle. Contrepartie fâcheuse, le compartiment à piles est situé sous le siège, lequel est bien sûr beaucoup trop haut.

 

Donc je résume : une planche de décals folklorique, des détails manquants en pagaille (on va le voir), mais aussi quelques curiosités, comme la bulle. Pour rappeler sans doute que Jabouille et Depailler l'avaient testée aux essais avant d'y renoncer face à la chaleur générée dans le cockpit.

 

Précision utile : la réalisation date de 1979, ce qui explique l'état des décals, mais elle a fait l'objet d'un rafraîchissement vers 1990.

 

Premier constat : la forme générale est correcte... Sauf le capot avant et le saute-vent, trop peu marqué. passons

 

 

La déco a été faite au pinceau, y compris le noir (un satiné Tam) et les bandes blanches avec leur liseré.

 

 

Les marques de sponsors ont été découpés dans les décals à fond noir ou rouge, ainsi que les bandes dégradées à l'arrière.

 

 

Première chose à faire : creuser les écopes arrière

 

 

Ajouter aussi les tubes latéraux de l'arceau... Ben oui, il n'y sont pas

 

 

Tant qu'on est sur le cockpit, dégageons la trappe à piles et recréons un siège digne de ce nom (en putty). Avec ses ceintures (elles sont peintes) et un appuie-tête

 

 

Ajoutons aussi le logo Renault Sport, la loupiote et la petite cale au milieu

 

 

Côté tableau de bord, ce n'est pas plus gai

 

Le joli tableau a étages est en effet tout plat : donc on le casse et on recole pour recréer les "étages"

 

 

On crée aussi l'indicateur de pression du turbo, lui aussi manquant

 

 

Sur le cockpit, on ajoute aussi les petites accroches (les triangles chromés) qui devaient recevoir la bulle

 

 

Un peu de boulot sur les pneus : il faut poncer... La tranche ! Fujimi livrait en effet des pneus... Dunlop !

 

 

A l'arrière, pas de carrosserie sous les phares... Sortons donc le putty

 

 

A l'avant, les prises d'air centrales sont un peu hautes. Un scotch suffit à corriger l'affaire. On aperçoit la petite surépaisseur qu'il fait sous le "6"

 

 

Pour peaufiner les détails, parlons aussi de l'antenne. Elle est réalisée en... quatre parties afin de reproduire le petit tortillon près de la base. Seule cette dernière est reprise du kit

 

 

Il reste à – tenter de – corriger en peinture la typo utilisée pour le nom des pilotes : Fujimi nous sort une police à empattements alors qu'il s'agissait de lettres bâtons.

 

 

Et à ajouter des scotch sur les ailes, comme elle les arborait en course

 

 

Et de façon asymétrique sur le plan de la couleur

 

 

Moralité, j'ai fait comme j'ai pu pour en faire une "vraie" Alpine du Mans. Notez un truc assez coton à faire : le liseré noir sur les côtés de l'écope derrière la prise d'air.

 

 

Et disons que de loin, la nuit, sur un malentendu...

 

 

Ça peut presque le faire...

Non je suis méchant : elle fait partie de ces kits improbables qui exigent beaucoup mais qui donnent encore plus quand on arrive à en tirer un petit quelque chose

 

 

Des questions ?

[Invité §Ced844RU]

Toujours aussi agréable ce topic.

Vivement la suite!

[Fmid]

Merci Cédric. Mais pas trop vite quand même

[ryan cooper]

Sympa la présentation!

C'est vrai que chez Fujimi ya des gros manques parfois! Et c'est toujours le cas

[Invité §loc254Xt]

 

j'ai commandé une encyclopedie en 24 volumes pour chercher de nouveaux

superlatif

[Fmid]

Sympa la présentation!

C'est vrai que chez Fujimi ya des gros manques parfois! Et c'est toujours le cas

 

 

C'est dommage parce qu'ils ont des modèles qui me plairaient bien

[Fmid]

 

j'ai commandé une encyclopedie en 24 volumes pour chercher de nouveaux

superlatif

 

 

Merci Loc

 

[Invité §unc703PA]

J'ai loupé deux présentations, je viens de les lire, ça fait beaucoup d'infos en peu de temps!!!

Ta du te fendre la gueule à l'époque pour tout tes détails fait au pinceau, je t'admire car moi j'essai mais j'ai trop de mal!!!

 

Continue ton topic, il est énorme...mais commence à te documenter sur le 935, kit a commencer le topic plus tot avec des explications et des photos de la vraie voiture!

 

Je pense que tu es le plus "professionnel" pour ce genre d'acrobaties avec la langue française...

 

Je compte sur toi Fmid!!!!

[models-37]

magnifique tes réalisations ,toujours agréable de revoir ces modeles qui ont marqué le sport auto

[Fmid]

Merci les gars.

 

Ne t'inquiète pas Benz, je regarde la 935...

Et le pinceau, c'est un coup à prendre. Je réexplique pas, parce que la dernière fois, Biker ne m'avait pas raté...

 

[biker521]

quiiiiiiii, moiiiiiiiiiiiiii ????

[Fmid]

Non, le Pape.

 

Benoîîîîîîîîîîîîîîît !

[biker521]

alors comme ça, Benoit, y t'a pas raté ?

 

c'était pendant sa période Vert Marthe ?

[Fmid]

C'est vrai qu'il a été Allemand... Et pas seulement pendant les 24 Heures.

[biker521]

ça me rappelle une histoire ...

[Fmid]

Les Teutons flingueurs ?

[Invité §loc254Xt]

Les Teutons flingueurs ?

 

 

 

 

[Fmid]

Petite évocation du Groupe 5 de la fin des années 70 cette semaine avec une auto méconnue, dans la vraie vie comme en maquette, la Beta Monte-Carlo… Je veux parler de la Lancia et non d'un Grimaldi

 

 

Pour resituer les choses dans leur contexte, souvenons-nous que durant les années 70, le pouvoir sportif a quasiment tué les protos pour imposer celles que l'on nomme alors les silhouettes : des voitures qui évoquent vaguement des modèles de série, mais avec des ailes et des ailerons hypertrophiés, nous en avons déjà parlé...

 

Le souci, c'est que l'on constate très vite le peu d'intérêt de la formule : seuls les Allemands de Porsche et BMW semblent un tant soit peu intéressés. Les autos sont certes spectaculaires, mais le championnat du monde tourne rapidement à une coupe Porsche dans laquelle s'affrontent les 935 clients. Curieusement, le championnat d'Allemagne est alors beaucoup mieux pourvu, avec notamment des Toyota Celica et autres Ford Capri

 

Nous sommes donc en 1979, quand Lancia présente à son tour sa propre silhouette. Cesare Fiorio, le directeur sportif du constructeur transalpin, cherche alors à étendre sur les circuits le prestige obtenu en rallyes avec sa fameuse Stratos. Cette dernière a d'ailleurs fait l'objet d'une transformation en Groupe 5 sans grands succès.

 

Mais plutôt que de s'attaquer de front aux Porsche 935, Fiorio a l'idée de faire main basse sur le "petit" championnat des moins de 2 litres beaucoup moins couru. Compte tenu du coefficient multiplicateur du turbo, sa voiture fait donc 1,4 litre. Côté châssis, il délaisse la Stratos, trop typée rallyes, pour une cousine : la Beta Monte-Carlo, elle aussi équipée d'un moteur central transversal. La même servira d'ailleurs de base à la Rally 037 pour succéder à la Stratos en rallyes, mais avec un moteur longitudinal, cette fois. Va comprendre, Charles...

 

 

Et confie le tout à une dream team : on trouvera en effet notamment à son volant Patrese, Rohrl, Cheever, Alboreto, De Cesaris et Pescarolo.

 

Lancia décroche, sans opposition, le titre Division 2 dès sa première saison en 1979. L'équipe récidive en 1980, mais fait alors à Porsche le coup de la 935 "Baby" à l'envers. Stuttgart avait en effet eu l'idée de faire courir une 935 en moins de 2 litres en 1976 pour marquer des points supplémentaires en division 2. Là, Lancia présente une 1429 cm3 (au lieu de 1425) pour marquer des points en plus de 2 litres. Les résultats seront mitigés, mais la version classique se distingue quand même avec une victoire absolue aux 6 Heures de Brands Hatch pour Patrese-Rohrl.

 

Lancia décrochera un dernier titre en 1981, cette fois sous les couleurs Martini, avant de se tourner vers le Groupe C.

 

Notre voiture d'aujourd'hui est évidemment cette glorieuse version, celle de Brands Hatch. Et la maquette une Esci, marque aujourd'hui disparue (les moules ont été repris pas Revell et Italeri) que l'on trouvait pour trois francs-six sous en grandes surfaces au début des années 80. Elles n'étaient d'ailleurs pas inintéressantes, souvent bien détaillées et agrémentées de planches de décals assez fouillées.

 

Celle-ci est une des plus abouties : globalement exacte, facile à monter, originale. Un bon investissement. Seule bourde curieuse : la crémaillère de direction, fonctionnelle, marche à l'envers !

 

 

 

Globalement, il ne manque pas grand chose.

 

Il y a même les valves sur les jantes. On ajoutera quand même un carré alu autour

 

 

Le cockpit n'est pas ouvrant, mais comprend quand même des éléments détaillés, notamment une batterie

 

 

La ceinture a elle été ajoutée : c'est du tissu peint

 

 

Le fameux volant qui tourne à l'envers

 

 

Ce qui est sympa, c'est que les deux capots s'enlèvent. L'avant pousse même le vice jusqu'à tenir grâce aux deux petits ergots comme dans la réalité

 

 

Le moteur est correctement rendu... Et rappelle furieusement dans sa disposition, une Stratos que j'ai bien connue

 

 

On distingue le turbo et la waste gate

 

 

Devant, il manque juste les boas... Il faudra que j'ajoute ça un jour

 

 

Le rayon détaillage est donc assez réduit. Il faut quand même ajouter une petite prise d'air asymétrique devant le pare-brise. Elle est en bristol : Ryan, c'est elle dont je parlais hier. Elle a une bonne vingtaine d'années !

 

 

Il faut aussi penser à couper le rétro droit pour le remonter à l'envers avec cette drôle d'orientation

 

 

Voilà ce que ça donne de devant

 

 

N'oublions pas de couper aussi l'essuie-glace : le balai est parallèle à la tige et non dans son prolongement...

 

 

Et surtout, ajoutons le petit crochet de remorquage sur le capot avant

 

 

Jusque-là, tout s'est bien passé... Mais le plus dur est à venir : la belle déco nécessite en effet de recouvrir la carro de décals

 

 

 

C'est plutôt long et fastidieux... Je reconnais avoir triché en peignant les bandes blanches du toit, parce que, autour du pare-brise, bonjour...

 

 

Moralité : un kit agréable, sans grosse difficulté (sauf la déco) et plutôt spectaculaire dans la vitrine.

 

 

 

Des questions ?

[ryan cooper]

ah la petite leçon de la semaine on deviendrait facilement accro

franchement sympa celle là, un bon style...

j'ai vu pour la prise d'air en bristol, c'est vrai que ça à l'air de tenir le coup merci pour l'info, je vais surement la mettre en application pendant les vacances

[Fmid]

Merci Ryan...

 

Pour le bristol, c'est justifié dans des cas comme celui-là où la carte plastique serait trop épaisse : ici, avec du CP, tu ne verrais plus rien en dessous. Maintenant, le collage du bristol sur tranche, c'est un passe-temps

[Invité §Ced844RU]

Une auto méconnue mais au combien fabuleuse!!!

Ta réalisation est super, merci de nous faire partager ce moment!!

[Fmid]

Merci Cédric.

Et je ne t'oublie pas !

[Invité §Ced844RU]

Merci Fmid. Mais tu sais, tu as le temps! c'est pas un projet que l'on fais en trois semaines.

En tout cas merci pour la lancia, c'est vraiment une auto qui me tiens à coeur, et tu lui as rendu un bien bel hommage!

 

[Fmid]

Merci Fmid. Mais tu sais, tu as le temps! c'est pas un projet que l'on fais en trois semaines.

En tout cas merci pour la lancia, c'est vraiment une auto qui me tiens à coeur, et tu lui as rendu un bien bel hommage!

 

 

C'est vraiment sympa, merci

[Fmid]

Eh, les gars, je viens d'avoir ma troisième étoile !!!

 

Tournée générale !

[Invité §sal828sT]

salut Fmid,je suis abassourdi devant tes connaissances....et ta pratique,j'ai donc un immense chemin à parcourir,je m'applique,c'est tout!j'ai changé mon gris de bas de caisse de la merco,photo vendredi,merci de tes visites.....A+....et un Gin tonic!....

[Invité §fre387iQ]

Eh, les gars, je viens d'avoir ma troisième étoile !!!

 

Tournée générale !

 

 

pour moi ça sera un gambetta limonade,jamais d'alcool durant le montage d'un kit.....

 

cool toutes ces vieilles maquettes,est ce qu'il existe des planches decalques au cas où un jour tu descide de les remetre au couleur du jours?les kits que j'ai peint a la humbrol avaient tendence a mal vieillir,surtout le blanc qui jaunit.

[Fmid]

Je ne suis pas sûr qu'il y ait des planches pour toutes, hélas. À commencer par la Lancia, qui semble difficile à trouver entière aujourd'hui.

 

Et le blanc Humbrol, c'est vrai que c'est un souci. Regarde donc ma Williams FW7. Elle est ruinée.

 

À la vôtre en tout cas

[Invité §sca014FW]

super fmid tes réalisation c'est vrai que c'est dommage qu'elle vieillisse si mal !! j'ai une petite question si c'est pas très déplacé

j'ai jamais rien compris entre tous ces groupe en rallye gr A,B,C,N et gr 1,2,3,4,5 comme cette belle lancia j'aimerais ou que tu me renseigne ou sinon si tu connais un site qui en parle ou les voitures de ces différentes catégories sont référencé.

merci