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1/43ème

Raids automobiles Sahariens, Africains et autres


oliverboul
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Messages recommandés

 

 

Quant au méchant-schmitt du dio précédent, je le trouve vraiment bien réussi. La prise de vue du dio avec le ciel bleu donne vachement bien. On dirait que les protagonistes sont heureux de se retrouver et vont bientôt sortir une bonne bouteille de rosé fraiche... :ange:

 

 

La bouteille de rosé je suis pas sûr mais je pense qu'ici joue la solidarité des sahariens. Fut-ce un ennemi, on ne le laisse pas se dessécher tout seul au milieu de nulle part.

Donc pour l'allemand, être recueilli c'est une bonne nouvelle et pour les anglais, non seulement ils sauvent quelqu'un d'une mort certaine, mais en plus ça leur fait un prisonnier !

Donc, tu as raison, tout le monde est content !

 

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Pas le droit de bouger cet après-midi donc, bricolage de miniatures ....

 

Des choses un peu minutieuses comme les éléments de l'intérieur de la cabine ....

A commencer par les fauteuils

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Les contreportes, de plus près

 

 

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Les vide poche sont réellement creux (ouverture d'1 demi millimètre).

 

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Les contreportes permettent aussi de corriger des coups de cutter un peu généreux dans la résine ...... :ange:

 

Y'a parfois des trucs qui me déconcentrent, mais j'ai beau prendre du recul, je vois vraiment pas quoi ... :??:

 

 

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C'est peut être la présence de cette bâche verte, sur la droite .... :??:

 

 

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Non, chuis pas sûr ....

 

 

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As si, c'est l'écran à gauche ! C'est ça qu'il devrait y avoir dessus !

 

 

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Puisque l'idée c'est ça :

 

 

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A+

 

:p

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Pas le droit de bouger cet après-midi donc, bricolage de miniatures ....

 

Des choses un peu minutieuses comme les éléments de l'intérieur de la cabine ....

A commencer par les fauteuils

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Les contreportes, de plus près

 

 

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Les vide poche sont réellement creux (ouverture d'1 demi millimètre).

 

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Les contreportes permettent aussi de corriger des coups de cutter un peu généreux dans la résine ...... :ange:

 

Y'a parfois des trucs qui me déconcentrent, mais j'ai beau prendre du recul, je vois vraiment pas quoi ... :??:

 

 

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C'est peut être la présence de cette bâche verte, sur la droite .... :??:

 

 

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Non, chuis pas sûr ....

 

 

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As si, c'est l'écran à gauche ! C'est ça qu'il devrait y avoir dessus !

 

 

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Puisque l'idée c'est ça :

 

 

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A+

 

:p

 

 

Effectivement, ce Berliet s'est vachement bien enfoncé de toutes ses roues!

 

PS: si c'est l'écran qui te déconcentre, tu n'as qu'à le remplacer par autre chose... un calendrier Pirelli? :lol:

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Bonne idée le calendrier Pirelli ! :miam: ! :hot: !

Je vais chercher un truc décoratif dans le style pour mettre au fond de la cabine du White....

Peut être plus style années 50 pour être dans le ton.

 

Bon, entre hier soir et cette fin d'après-midi, j'ai un peu bossé.

 

Photos !

Pièces en Evergreen rajoutées, comme les trappes de ventilation, rétroviseur, poignées ...

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L'échelle et les feux de position. Les sorties de la cuve sont fixées, comme le pot d'échappement, même si on ne les voit pas.

 

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Au plus près du poste de la conduite, avec quelques cables.

 

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Ces pastilles de phares représentent assez bien la partie intérieure du phare également.

Par contre, ce sera peint, naturellement. Il n'y a pas 2 phares pour éclairer l'intérieur de la cabine :pt1cable: .

 

Sous apprêt

 

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La cuve n'est pas terrible, mais je vais en profiter pour la 'vieillir'. J'ai mis un réservoir dégradé pour la même raison.

Ce n'étaient pas des véhicules pour le concours d'élégance de la Villa d'Este mais des laborieux soumis aux pires contraintes....

 

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Et une fois dedans...

 

 

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Premier boulot, peindre les roues pour pouvoir les coller au support et mettre le sable autour.

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Sitôt dit ......

 

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Les roues sont collées. Je vais attendre que ça sèche avant de mettre du Plastiform façon sable.

Bon, il fait un peu nuit et la lumière est insuffisante, mais ça donne une idée .................. :D

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Retour en images (et en texte) sur les camionnettes Delahaye du raid Tchad du Prince Sixte de Bourbon-Parme.

En fait, c'est le modèle de la Fondation Berliet que l'on voit le plus, et sous toutes les coutures .....

 

http://www.clubdelahaye.com/EPQ3-berliet1.jpg

 

http://www.clubdelahaye.com/EPQ3-berliet2.jpg

 

Epoqu'Auto 2003

 

http://www.fondationberliet.org/wp-content/uploads/2013/10/Delahaye-104-1929.jpg

 

"Une voiture Delahaye type 104 : en 1929, pilotée par le prince Sixte de Bourbon-Parme, elle réalise le raid Alger–Grand Bassam."

 

C'est ce que nous dit la Fondation Berliet.

Pourtant, Grand Bassam (Côte d'Ivoire), c'est pas tellement la route du Tchad quand t'arrives d'Alger ....... :non:

 

http://www.clubdelahaye.com/2013%20EPOQUAUTO/Photo-27.jpg

"En 1929, Delahaye équipe, avec trois véhicules, l'expédition saharienne du prince Sixte de Bourbon-Parme qui réalise le raid Alger Lac Tchad aller retour 10160 km du 26 janvier au 26 avril 1929" nous confirme le club Delahaye en légende au photos prises à Epoqu'auto Lyon 2013.

 

http://www.clubdelahaye.com/2013%20EPOQUAUTO/Photo-26.jpg

 

http://autos.creditphoto.com/wp-content/uploads/sites/3/2013/11/EpoqAuto_2013-003-960x636.jpg

 

http://www.velocetoday.com/wp-content/uploads/2014/01/Delahaye-104.jpg

 

http://www.fondationberliet.org/wp-content/uploads/2011/10/affiche-sahara-Delahaye.jpg

Je ne trouve pas d'autre image ce soir, et ce que j'ai en stock sur un autre micro viendra plus tard.

 

Bon, un peu de texte .... Une nouvelle aventure de notre ami Sixte, qui finalement a l'air d'un sacré voyageur ....

 

Repris de : L'AFRIQUE DU NORD ILLUSTREE

 

La mission du Prince Sixte de Bourbon-Parme.

 

« Servir la France dans la plus grande France, telle est notre seule ambition ». C'est en ces termes d'une simplicité émouvante que le 27 décembre au soir, sur le quai de la gare de Lyon, le Prince Sixte de Bourbon-Parme prenait congé des nombreuses personnes venues le saluer ainsi que ses collaborateurs au moment où ils partaient pour entreprendre un nouveau raid à travers le désert.

Cette mission d'allure nettement scientifique est organisée sous le patronage et avec le concours de la Société de Géographie et du Muséum d'histoire naturelle. Déjà en 1929, le Prince avait eu l'occasion de faire en automobile la liaison Alger-le Tchad et, en 1930, celle de Djibouti au Nil.

Tout le monde a encore présentes à la mémoire les prouesses auxquelles ces deux randonnées donnèrent lieu. Cette fois, l'objectif de la mission est double. Il s'agit tout d'abord, au point de vue de

géographie, d'étudier le relief du sol saharien dans la partie extrême orientale des possessions françaises, notamment entre Djanet-Bilma et Fort-Archambault d'autre part, étudier le meilleur itinéraire aérien pour l'aviation française de l'Ouest à l'Est du continent noir, c'est-à-dire de Dakar à Djibouti; la première partie du trajet de Dakar au Ouadaï étant connue, il s'agit de relever les autres points de la seconde partie du trajet depuis Fort-Archambault vers Djibouti.

 

Le but de la mission étant ainsi déterminé, le Gouvernement fiançais a prié les Gouverneurs généraux et le Résident général à Tunis de faciliter, dans toute la mesure du possible, d'aider à la réalisation de leur programme les hardis pionniers de la civilisation et de la science françaises. La Résidence Générale à Tunis a donné les instructions nécessaires aux chefs des bureaux des Affaires indigènes pour le trajet, en territoire tunisien, qui s'achève à Fort-Saint, en face de Ghadamès. A partir de ce bordj, c'est le Gouvernement général de- l'Algérie qui assurera et veillera sur la sécurité du groupe dans cette immense partie orientale des territoires militaires du Sud-Algérien, jusqu'à Djanet (Fort-Charlet) et Bilma, en Afrique occidentale française. Poussant vers le Sud, la mission gagnera le lac Tchad, Fort Lamy Fort-Archambault, puis le territoire Oubanghi-Chari. Là, le 12 février 1931, M. Antonetti, Gouverneur général de l'Afrique équatoriale française a donné rendez-vous à la mission pour examiner de concert la seconde partie du programme de travaux qu'elle s'est tracée : l'étude des terrains et des itinéraires d'aviation en traversant de l'Ouest à l'Est successivement le Soudan anglo-égyptien et l'Abyssinie.

 

Vaste programme aurait dit de Gaulle ! :sol: !

La suite au prochain numéro !

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Lorsque tu regarde la carte du raid 1929 que tu viens de poster, on peut voir qu'une partie du tracé, à hauteur de Niamey, se dévie vers Gaya et sort de la carte. Vers la Côte d'Ivoire? Probablement. Alors, est-ce que toute l'expédition a fait ce détour ou bien seulement une partie de celle-ci pendant que l'autre partie prenait le chemin du retour via Reggane et Aïn Sefra?

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Lorsque tu regarde la carte du raid 1929 que tu viens de poster, on peut voir qu'une partie du tracé, à hauteur de Niamey, se dévie vers Gaya et sort de la carte. Vers la Côte d'Ivoire? Probablement. Alors, est-ce que toute l'expédition a fait ce détour ou bien seulement une partie de celle-ci pendant que l'autre partie prenait le chemin du retour via Reggane et Aïn Sefra?

 

 

Excellente remarque !

L'état actuel de mes connaissances ne permet pas de répondre (encore ,) à cette question.....

Suite du texte, sachant que je l'ai relu et mis en forme entre midi et deux et qu'il y a d'excellentes infos sur la préparation des véhicules, mais on vera ça plus tard ....

 

 

But de la mission

 

La mission organisée par S. A. R. le Prince Sixte de Bourbon avait pour but essentiel d'ouvrir un nouvel itinéraire transafricain, accessible à l'automobile et qui, en demeurant uniquement sur les territoires français, permettrait de relier par le plus court chemin Alger au lac Tchad, étant entendu que cet itinéraire présenterait les caractères requis pour une voie véritablement utilisable :

- simplicité des moyens automobiles employés ;

- facilité de parcours ;

- ressources en eau et en gîtes d'étapes ;

- économie de temps.

Une telle voie dépassait de beaucoup le cadre des liaisons purement transsahariennes telles que celles reconnues et établies depuis plusieurs années déjà entre l'Algérie et la boucle du Niger (Soudan Français)

- soit en partant du Sud-Oranais par Colomb-Béchar, Colomb-Béchar, Saoura, le Touat, le Tanezrouft la bordure Ouest de l'Adrar des Iforras ;

- soit en partant du Sud-Algérois ou du Sud-Constantinois par In-Salah, le Hoggar, la bordure Sud de l'Adrar des Iforras.

Elle devait en effet, dans l'esprit du chef de la mission joindre à l'Afrique du Nord non seulement les terres de la colonie du Niger et de l'Afrique Equatoriale, mais encore, par delà la première, la Nigeria anglaise et par delà la seconde le Congo Belge.

Cette voie apparaissait en outre comme susceptible de devenir l'axe de marche d'une nouvelle et grande voie aérienne », et sa reconnaissance correspondait aux desiderata exprimés par M. le Ministre de l'Air.

Enfin elle avait été partiellement comprise par M. le Gouverneur Général de l'Algérie dans l'itinéraire choisi pour les épreuves automobiles projetées à l'occasion du Centenaire de la conquête d'Alger, sous la réserve des modifications qui pourraient résulter de sa reconnaissance

Elle se présentait en définitive par sa situation géographique comme « la véritable épine dorsale » dans le système des communications terrestres et aériennes de la France Africaine.

Accessoirement la mission se proposait de recueillir toute documentation utile se rapportant aux régions traversées »

Elle avait reçu notamment à cet égard mandat du Muséum d'Histoire Naturelle, de la Société de Géographie de Paris et de la Société de Géographie commerciale »

 

Composition de la mission

 

La mission comprenait six membres :

S. A. R. le Prince Sixte de Bourbon, Chef de la Mission

S. A. R. le Prince Gaétan de Bourbon ;

le Comte H. de Béarn, Capitaine de Corvette de Réserve ;

le Comte J. de Neufbourg, Lieutenant aviateur de réserve ;

le Lt-Colonel Gautsch, Commandant l'Inspection Automobile d'Algérie-Tunisie ;

le Capitaine Bach, du 12e d'Artillerie.

Elle n'emmenait qu'un personnel très restreint et qui se bornait à :

- un metteur au point désigné par le constructeur des autos de la mission ;

- un interprète indigène connaissant outre le français et l'arabe, le tamachek (langue des Touareg).

 

 

La suite au prochain numéro !

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La préparation, extrêmement minutieuse, fut entamée dès Septembre 1928 et poursuivie jusqu'au départ.

La mission disposait de 3 camionnettes fournies par la Maison Delahaye, voitures de grande série au point de vue mécanique mais spécialement carrossées et pourvues d'un stock important de pièces de rechanges et d'approvisionnements de toutes sortes.

 

Son ravitaillement avait été très largement conçu et préparé de longue date :

- sur les territoires du Sud de l'Algérie, les approvisionnements (vivres, carburant, ingrédients, ingrédients, divers) furent répartis grâce à la multiplicité de moyens de transport disponibles (chameaux ou automobiles) entre la plupart des gîtes d'étapes prévus

- soit à partir d'Alger, pour la partie de l'itinéraire comprise entre Laghouat et le puits d'In-Guezzam ;

- soit à partir d'Oran pour la partie comprise entre Colomb-Béchar et Reggane.

Sur le territoire de l'Afrique Occidentale Française, il fut constitué trois centres de ravitaillement :

- à Zinder (par Lagos et la Nigeria Anglaise) avec stocks d'essence poussés respectivement sur Agadès et Maïne-Soroa ;

- à Gaya (par Kotonou et le Dahomey) ;

- à Gao (par Dakar, le Sénégal et le Soudan) avec stock d'essence poussé sur Tàbankort.

La mission disposait d'instruments de précision (chronomètre, compas d'aviation, sextant) pour des relevés topographiques.

- d'un armement important en fusils de guerre et fusils de chasse avec d'abondantes munitions

- d'appareils photographiques et cinématographiques.

 

Son matériel de campement se bornait à des lits de camp, avec moustiquaire, sacs de couchage et couvertures, couvertures, ne comprenait pas de tentes. Des bâches très légères, à tendre entre les voitures, pouvaient éventuellement servir d'abri contre un soleil trop ardent.

Des tables pliantes, quelques instruments culinaires, un couvert individuel en aluminium constituaient le matériel nécessaire pour les repas.

L'approvisionnement en eau se répartissait entre des bidons individuels de 2 litres et des touques constituant pour chaque voiture une réserve normale de 40 litres.

alger tchad 1929 delahaye.jpg

 

La provision totale fut incidemment portée à 240 litres au retour pour la traversée du Tanezrouft, entre Gao et Reggane.

La provision d'essence comprenait sur chaque voiture outre les 40 litres du réservoir normal, 4 cylindres de 50 litres (ND'OB : nous y reviendrons bientôt)

Enfin une cantine médicale avait été soigneusement composée.

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Oups ...... :ange:

 

Je viens de me rendre compte que j'ai mélangé deux textes sur deux expéditions différentes.....

Celui de mon premier post concerne une expédition en projet de 1932 et celui de mon 2é et 3é post concerne l'expédition Alger - Lac Tchad qui nous 'préoccupe' ....

Je me disais qu'il y avait des trucs bizarres qui faisaient pas trop raccord.......

Avec mes excuses. :jap:

 

Ce texte, un peu plus long mais beaucoup plus intéressant, est tiré de "L'Armée d'Afrique - Organe de liaison entre les officiers de réserve de l'Algérie, Tunisie et Maroc et leurs camarades d'active".

N° 56 de juin 1929

 

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A fond sur le web à la recherche de Sixte ..... Ce qui permet de trouver d'autres trucs. Un peu en vrac .....

On ne parlait pas d'ensablements sur un autre forum ? :p ?

 

 

http://danae.a.d.f.unblog.fr/files/2008/02/tenere4320x200.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est à plat ventre qu’il faut dégager avec les mains le sable des roues enfoncées jusqu’au moyeu, mettre les échelles ou des branchages quand il y en a, pousser la voiture et monter en marche. Et si la tempête de sable arrive, on est comme dans un brouillard avec des grains de sable plein la bouche malgré le chèche qui nous couvre la figure. De toutes façons, on est couvert de sable des pieds à la tête et il ne faut pas gâcher l’eau si précieuse pour la toilette. Pour la dune de Toummo, nous l’avons passée très tôt le matin afin de profiter du sable durci par le froid de la nuit.

http://danae.a.d.f.unblog.fr/files/2008/02/sahara4320x200.jpg

http://wwv4.unblog.fr/delivery/lg.php?bannerid=33190&campaignid=5545&zoneid=291&loc=1&referer=http%3A%2F%2Fdanae.unblog.fr%2F2008%2F02%2Fpage%2F2%2F&cb=5d63ff54c6De Sebha à Agadez 1/3

http://danae.a.d.f.unblog.fr/files/2008/02/e1320x200.jpghttp://danae.a.d.f.unblog.fr/files/2008/02/e320x200.jpg

 

 

 

 

Je ne faisais pas partie du premier voyage, heureusement car le camion Bedford, spécialement aménagé pour cette grande traversée du désert, a rendu l’âme dans la montée ininterrompue sur trente kilomètres de la dune de Toummo. Le camion a dû être abandonné loin de tout et pourtant deux jours après, il ne restait plus que la carcasse, tout le reste ayant disparu comme par enchantement !

Cinq mois plus tard, six coéquipiers et moi-même nous engageons dans l’aventure. Avec une 404 Peugeot et une Land-Rover, nous désirons rallier Sebha en Libye à Cotonou au Bénin, en traversant le Niger et son redoutable désert du Ténéré. C’était en avril 1969.

Nous emmenons 500 litres d’essence, de quoi tenir en principe jusqu’à Bilma (ce sera juste et nous ne pourrons effectuer le détour jusqu’à Djado), des provisions et 150 litres d’eau. Une guerba, outre en peau de chèvre, est accrochée à l’extérieur de la land et maintient l’eau fraîche qui aura le goût prononcé de bouc ! On a aussi avec nous des bombes d’eau de la Bourboule pour s’arroser la figure et ce sera un pur délice.

Pour notre sécurité, les postes de police sont avertis de notre passage. Les militaires qui sont là ont peu de distractions. Ils voudraient nous garder longtemps et nous offrent des boissons. Ils ne voient jamais de femme pendant des mois, aussi mieux vaut ne point s’attarder.

Comme tout voyage au Sahara, nous ne compterons pas le nombre de fois où l’un ou l’autre des véhicules, ou les deux à la fois, se sont ensablés, le nombre de fois où il a fallu dégonfler les pneus pour les passages de sable mou (fech fech), les regonfler quelques minutes plus tard sur le reg, ou changer les pneus crevés. Les nombreux camions transforment la piste en tôle ondulée sur laquelle on est obligé de rouler à 80 km/heure sinon tout tremble et se dévisse et c’est difficile d’éviter les cailloux coupants.

 

 

A Seguedine, nous grimpons au fort en ruine fait de murs de sel. Les habitants peu nombreux sont démunis de tout et veulent absolument nous offrir une poule qu’on emmènera vivante. Nous leur donnons tout ce que nous pouvons. La poule s’habituera à nous et nous la laisserons à l’étape suivante en demandant à ce qu’elle ne soit pas mangée tout de suite !

Les enfants courent après les voitures dans les villages traversés et nous devons soigner quelques bobos avec notre pharmacie de fortune.

Et puis à un moment donné la piste est monotone. Nous roulons depuis des heures dans une chaleur étouffante. Le conducteur se réveille et s’aperçoit que ses passagers sommeillent ! Rien ici n’arrête le regard. Tout est immobile, silencieux et dans l’immensité de cette étendue sans borne, on se sent devenir tout petit .

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Exécution

Partie d'Alger le 26 janvier 1929, la mission était de retour au même point le 27 avril, ayant accompli intégralement le programme qu'elle s'était fixé.

 

Résultats

Seules seront consignées dans le présent rapport les observations et conclusions relatives à :

1° L'utilisation du matériel automobile ; 2° l'itinéraire suivi par la mission ;

Ainsi que les questions que le Lieutenant-Colonel Gautsch, membre de la mission, avait été spécialement chargé d'étudier.

 

II MATÉRIEL AUTOMOBILE

Les précédentes traversées du Sahara en automobile (expéditions Citroën, Gradis, Delingette, Courtot, missions des Chambres de Commerce d'Alger, Oran et Constantine) avaient été effectuées avec des véhicules automobiles de types réellement spéciaux, auto-chenilles Citroën, camionnettes à 6 roues Renault et Berliet. Toutefois le Lieutenant Georges Estienne, avait réussi l'extraordinaire performance de se rendre seul d'Alger à Gao, par Reggane et le Tanezrouft, puis du Niger au Lac Tchad, dans une voiturette de 6 C V. Renault de type commercial.

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1927 Renault 6 cv b.jpg

Cette performance était due tout d'abord à la qualité du conducteur, mais aussi à sa connaissance de l'itinéraire choisi et à un judicieux équipement de sa voiture extra-légère.

Dans le même temps des expériences avaient été entreprises dans les formations militaires Sahariennes qui visaient à éliminer, pour les parcours utilisant normalement la piste, les véhicules spéciaux précédemment utilisés de manière à revenir à des types existant normalement dans le commerce, quitte à apporter à ces derniers les quelques modifications de détail reconnues indispensables.

Ces expériences commencées avec des voitures légères, avec d'excellents résultats. Elles furent alors étendues à des camionnettes puis à des camions de grande série.

On tenait ainsi la solution réellement pratique du problème des liaisons automobiles transsahariennes.

Il est nécessaire toutefois de remarquer qu'une pareille connaissance des moyens matériels à mettre en oeuvre n'avait été rendue possible que par le développement préalable d'un réseau de pistes sahariennes bien tracées, de manière à éviter à l'automobile le maximum de difficultés et principalement la traversée, sur des distances importantes, de terrains inconsistants, pires ennemis de l'automobile.

La mission de S. A. R. le Prince Sixte de Bourbon, a tenu à persévérer dans l'emploi des moyens automobiles les plus simples bien qu'une partie de son itinéraire fut au-delà de Tamanrasset et en direction d'Agadès, une région dépourvue de toute piste. .

Dans son esprit, l'expérience tentée avec de semblables véhicules et sur un parcours de plus de 10.000 kilomètres, kilomètres, à travers les régions les plus diverses du Sahara, devait, si elle était couronnée de succès, être à bon droit considérée comme définitive en ce qui concerne la technique automobile.

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C'est ainsi que furent choisies, pour l'exécution du parcours trois camionnettes de grande série, fournies par la Maison Delahaye, camionnettes dites du type 104, dont les principales caractéristiques sont les suivantes :

..... et la suite au prochain numéro !

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Un peu de boulot donc, sur le White, enfin surtout son support ....

 

P1170872.jpg

 

Rajout de plastiform afin de camoufler les escaliers de carton servant de support à ma petite dune...

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ça sèche doucement ....

 

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Et sur la cabine, en attente de ses vitres..... mais déjà avec une partie de sa déco intérieure ( ! :p ! )

 

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Le chantier continue !

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Bien, retour aux aventures de notre ami Sixte de Bourbon .....

 

 

C'est ainsi que furent choisies, pour l'exécution du parcours trois camionnettes de grande série, fournies par la Maison Delahaye, camionnettes dites du type 104, dont les principales caractéristiques sont les suivantes :

 

- châssis en tôle d'acier emboutie, solidement entretoisé pour une charge totale de 2.000 kilos ;

- moteur monobloc à culasse amovible* 4 cylindres, alésage 69 m/m 5, course 115 m/m, puissance fiscale 10 CV.

- soupapes interchangeables ;

- carburateur « Solex » ;

- allumage par magnéto à haute tension et à avancée variable ;

- graissage automatique ;

- refroidissement par pompe, ventilateur et radiateur

- embrayage progressif par disque conique ;

- changement de vitesse à 4 vitesses et marche arrière ;

- transmission par cardan ;

- freins sur les 4 roues par pédale au pied et levier à main ;

- longs ressorts droits ;

- amortisseurs avant et arrière ;

- réservoir à essence en charge contenance 40 litres ;

- éclairage et démarrage électriques par dynamo, démarreur et batterie d'accumulateurs, tableau de contrôle sur la planche de bord ;

- deux phares avant, une lanterne arrière ;

- compteur kilométrique et montre de bord ;

- thermomètre de température d'eau ;

 

- emplacement de carrosserie : 3 m. 535 x 1 m.

Outre une carrosserie spéciale, qui sera décrite plus loin, les seules modifications demandées au constructeur furent sur :

- le changement des roues ;

- l'aménagement d'une plus grande démultiplication

- le montage sur l'une des voitures d'un gonfleur automatique.

s de BP_0002.jpg

 

De telles modifications pouvaient être réalisées sur une camionnette de n'importe quelle marque existant dans le commerce.

 

Les constatations faites au cours de la mission, et les enseignements à retenir au sujet du matériel automobile sont consignés ci-après :

 

1° Roues. L'expérience a amplement démontré* au Sahara, que le facteur principal dans l'aptitude d'un véhicule automobile à se mouvoir dans les terrains de faibles consistance réside dans un équipement en pneumatiques à basse pression et à très grosse section.

La difficulté en pareil cas provenant du manque d'adhérence, la basse pression permet au pneumatique de s'écraser facilement sur le sol, augmentant ainsi la surface de contact, rendue déjà plus considérable par l'augmentation de la section du pneumatique.

Cette pression est d'ailleurs susceptible de varier à volonté et peut-être réglée suivant la consistance du terrain, sans manoeuvres pénibles, si l'on dispose d'un gonfleur automatique.

Il importe, en outre, que le diamètre des roues tout équipées soit assez grand pour relever les organes les plus rapprochés du sol à une hauteur suffisante, en raison des obstacles qui parsèment le sol.

rallye du centenaire renault_0008.jpg

On décida donc d'équiper les camionnettes de la mission en « Dunlop Cord » de 36 x 8,25, soit en millimètres 910x220, ce qui correspond pour les pneus à basse pression aux dimensions les plus considérables que l’on puisse trouver actuellement dans le commerce.

L'importance de la section permit en outre, tout en demeurant dans les limites admissibles pour la pression d'éviter le jumelage à l'arrière, dispositif qui non seulement augmente d'un tiers la consommation en pneumatiques, mais est encore la cause de détériorations accidentelles plus fréquentes (éclatements aux pierres coincées dans le jumelage).

Les résultats obtenus avec cet équipement en pneumatiques sont absolument remarquables, la mission eut en effet, en tout et pour tout, à changer deux chambres à air au cours de son voyage.

Elle rentra à Alger avec, sur les trois voitures, les mêmes enveloppes qui les équipaient au départ et ces enveloppes paraissaient susceptibles de fournir encore plusieurs milliers de kilomètres.

Eu égard à la diversité des terrains traversés, fréquemment meubles ou couverts d'épines, et aux températures subies, on ne peut que se montrer entièrement satisfait de ces résultats qui font honneur au fabricant des pneumatiques utilisés.

Il est juste de signaler également que toutes les chambres avaient été garnies d'une dose appropriée du produit dénommé « Invulncr ». Ce liquide brassé dans l'intérieur des chambres par le mouvement des roues produit une émulsion qui semble assez efficace pour l'obturation automatique des trous de faible diamètre, occasionnés par des clous ou des épines.

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Bon, un peu de travail sur le White .....

Par exemple la cabine

P1170877.jpg

Depuis, elle a été aménagée avec quelques accessoires supplémentaires (sacs, caisse à outils, bidon ...)

Les décalques ont été faites, posées et la peinture a été patinée ....

 

 

P1170884.jpg

 

 

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Le 'précédent' White citerne a gagné une roue de secours aujourd'hui....

 

 

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Bon, y'a encore des trucs de perfectibles ..... Le dessus du toit de la cabine par exemple, qui est trop propre...

Au boulot !

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Merci ! :jap: !

 

Une fois fini, ça devrait à peu près ressembler à ça.

Bon, lumière artificielle donc pas terrible. Et la base n'est pas encore peinte car pas encore tout à fait sèche.

 

 

P1170887.jpg

 

Les travaux continuent donc !

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abygail.gif.a9dbed8094abf5c98bd9f15530606b34.gif à tous,

 

 

A la demande de jmc r4, je me permets de poster les 3 poids lourds du film " 100 000 dollars au soleil " .

 

 

Bravo pour vos contributions .

 

 

 

 

Tu as raison de te permettre ! C'est même une excellente idée !

Me manque celui-là :

 

P3040007.jpg

 

C'est c :sol: n, c'est celui qui vaut 100.000 dollars !

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Revenons aux aventures de notre ami ou plutôt Son Altesse Royale (S.A.R. et Pierre DAC disait un truc à propos des SAR .... :ange: ....) Sixte de bourbon ....

La photo ci-dessous, toute en simplicité, fait penser à celles plus tard du Gl de Gaulle en Angleterre ....

 

 

sdbp.jpg

 

2° Démultiplication. Le véhicule de série étant normalement, équipé en roues de 30 x 5, soit en millimètres 810x135, l'augmentation relativement considérable du diamètre des pneumatiques rendait indispensable la modification de la démultiplication.

La section des pneumatiques, plus grande elle-même, augmentait le tirage dans des proportions sensibles pour un moteur d'assez faible puissance.

Toutes choses égales, il était encore nécessaire d'augmenter la démultiplication pour permettre au véhicule de vaincre certaines difficultés inhérentes au Sahara et qui exigent momentanément un effort supplémentaire auquel lequel le véhicule de série n'a pas été normalement préparé.

sahara-default-big[2].jpg

C'est là une modification reconnue depuis longtemps comme indispensable pour les véhicules sahariens et qui a conduit précédemment à les munir du dispositif dénommé « démultiplicateur ». Ce dispositif n'est autre chose qu'une seconde boîte de vitesses, avec levier de commande spécial, et permet de modifier non pas en permanence mais quand besoin est la gamme des vitesses normalement employées, et par suite la démultiplication à laquelle le mouvement du moteur est transmis au pont-arrière.

Il ne fut malheureusement pas possible d'obtenir du constructeur, pour les voitures de la mission, l'adjonction d’un tel dispositif.

La démultiplication qui s'imposait pour les diverses raisons indiquées ci-dessus fut donc résolue « en bloc » par l'interposition dans le couple conique, entre le pignon d'angle (9 dents) et la grande couronne (41 dents) de deux pignons supplémentaires (de 25 et 10 dents), calés sur un même arbre intermédiaire.

Cette solution adoptée par le constructeur parce qu'elle était d'une réalisation très facile et exigeait un minimum de travail, n'était manifestement qu'un pis-aller et ne saurait être recommandée.

Elle avait en effet l'inconvénient majeur de réaliser une démultiplication beaucoup trop forte pour la marche sur de bons terrains puisqu'elle était calculée pour les mauvais terrains et n'était pas modifiable à volonté. Il en résultait un abaissement très sensible du plafond des vitesses beaucoup plus réduites que celles normalement obtenues à la même voiture avec sa démultiplication originale La vitesse instantanée en palier et sur bonne route qui pouvait atteindre aisément 65 kilomètres était ramenée de la sorte à environ 42, et les moyennes horaires se trouvaient réduites dans une proportion analogue.

Encore le conducteur était-il exposé s'il n'y apportait pas une attention de tous les instants, à pousser le moteur hors de son régime par un excès d'accélération, d'où des vibrations dangereuses.

 

s de BP_0004.jpg

 

Par contre on disposait en mauvais terrains d'une réserve de puissance appréciable et les changements de vitesses étaient; rendus beaucoup moins fréquents, la voiture presque arrêtée pouvait répartir en 3° - vitesse : la même 3e vitesse suffisait le plus fréquemment utilisée soutenir l'allure en terrain lourd et ce n'est que dans le sable absolument fluent (fonds d'oueds, passages de dunes) ou sur les pentes atteignant 16 à 18 pour cent qu'il devenait nécessaire de recourir à la lre vitesse.

En l'ait les ensablements furent extrêmement rares et furent aisément surmontés sans perte de temps appréciable.

Il n'en reste pas moins que la modification ainsi réalisée sur les voitures de la mission pour augmenter la démultiplication du pont-arrière, n'est qu'une solution de fortune et il y a lieu sur ce point de s'en tenir aux dispositifs déjà préconisés et insérés dans les programmes de spécifications établis par l'Inspection Automobile pour la construction des voitures Sahariennes, Sahariennes, :

- soit l'adjonction du dispositif complet appelé démultiplicateur ;

- soit une nouvelle organisation de la boîte de vitesses comportant 5 ou 6 pignons, au lieu de 4, de marche avant, avec une première vitesse extrêmement démultipliée.

 

3° Gonfleur automatique. Un gonfleur automatique de marque Havox fut monté à l'avant du moteur et sous le capot d'une des voitures. Une courroie de transmission, transmission, au moment du besoin, mettait cet appareil en liaison avec le moteur sur l'arbre duquel une poulie avait été montée à cet effet.

Une canalisation souple et suffisamment longue permettait avec cet unique appareil de gonfler non seulement les 4 pneumatiques de la voiture sur laquelle il était fixé, mais encore des deux autres voitures, amenées à côté de la première.

s de BP_0002.jpg

 

Dispositif indispensable à cause, d'une part, de la grande capacité des chambres à air adoptées, et d'autre part, des variations à faire intervenir dans le gonflage des pneumatiques :

a) en raison des variations dans la consistance du terrain.

On sait en effet qu'il suffit le plus souvent, souvent, terrain fluent, de dégonfler les pneus pour passer sans difficulté, quitte à les regonfler sur le terrain ferme.

b) - en raison des variations de température.

Celles-ci ont une action extrêmement sensible sur les pneumatiques à basse pression ; c'est ainsi qu'on put observer certain jour une augmentation de pression allant du simple au double, dans une même chambre à air, entre le lever du soleil et le milieu du jour.

Il importe donc d'exercer sur la pression des pneumatiques une surveillance très attentive, au moyen d'un bon manomètre, et de les dégonfler ou de les regonfler suivant l'heure et suivant la température.

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En cherchant des photos de cette P... de camionnette Delahaye type 104, je suis tombé sur cette photo :

 

pics-max-9910-305012-girl-at-1947-delahaye-175s-chappron-cabriolet.jpg

 

Euh, non pas celle-ci, celle là !

 

resize.jpg

Jeep Delahaye, véhicule du rallye Méditerranée - Le Cap (ou supposé tel)

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Fin des travaux.

 

J'espère pour le conducteur du White et son aide que Mitch-Mitch va passer avec son Berliet TBO 15 pour le sortir du fech-fech.

Parce que enchâssé jusqu'aux essieux, il est pas sorti du sable tout de suite .....

 

P1170901.jpg

 

P1170899.jpg

 

P1170898.jpg

 

P1170900.jpg

 

P1170895.jpg

 

Pour mémoire, façon dio mili, peinture au sol de l'ombre du camion.

 

P1170893.jpg

 

Bon .............. Va vraiment falloir passer à autre chose maintenant !

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Merci ! :jap: !

Je ne vois plus que ses défauts, comme d'hab' ! :jap: !

 

Well, j'ai commencé à réfléchir à la Delahaye 104.

Les roues sont trouvées : Roues d'Unimog (merci Patoche !) sans les crampons et au diamètre réduit d'un millimètre.

4.jpg

 

Le texte nous dit que les roues font 0.91 par 0.22 .... C'est facile à trouver au 1/43é !

 

Par contre, je pensais avoir réduit ce profil au 1/43é, mais il est 6 % trop petit .... Va falloir me trouver une photocopieuse qui augmente.... Pas trop dur !

 

rallye du centenaire renault_0008.jpg

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Merci ! :jap: !

 

 

Le texte nous dit que les roues font 0.91 par 0.22 .... C'est facile à trouver au 1/43é !

 

Par contre, je pensais avoir réduit ce profil au 1/43é, mais il est 6 % trop petit .... Va falloir me trouver une photocopieuse qui augmente.... Pas trop dur !

 

rallye du centenaire renault_0008.jpg

 

 

Bonjour,

 

Logiciel de retouche photo pour agrandir, rétrécir et déformer dans tous les sens.

 

Personnellement, j'utilise "Ulead photo express" version 1.0

 

A+

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Bonjour,

 

Logiciel de retouche photo pour agrandir, rétrécir et déformer dans tous les sens.

 

Personnellement, j'utilise "Ulead photo express" version 1.0

 

A+

 

 

Dans tous les sens, ça m'interesse pas trop ...... :lol:

Je l'ai modifié en faidsant du copier / coller sur excel puis agrandir comme il me faut.

 

Sinon, je viens de récupérer de la résine et je vais donc pouvoir attaquer la réalisation de mon proto sans inquiétude.

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Pour agrandir ou rétrécir un dessin ou une photo à l'impression, on fait "imprimer pleine page" ou "ajuster à la page" (suivant l'imprimante).

Si c'est imprimé trop petit, on rogne l'image et on réimprime "pleine page".

Si c'est imprimé trop grand, on ajoute des marges à l'image et on réimprime "pleine page".

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