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PORSCHE 910/8 TARGA FLORIO 1967 WINNER


bepvit
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Messages recommandés

Pourtant, tu me l'as déjà racontée plusieurs fois cette anecdote, Beppe, mais je ne m'en lasse pas

 

:D:D:D Oui, je sais, certaines fois je suis un peu rèpetitif...mais j'aime raconter certaines histoires à ceux qui ne les connaissent encore...

 

La prochaine fois, j'espère de la vous raconter de prèsence... :lol::lol::lol: ...non, non, je dèconne...je vais vous garder....

 

Quant à l'office de tourisme, travailler là sèrait assez agrèable pour moi, mais dans le meme moment très ènervant... presque tous les jours je vois et je pense à la beautè naturelle et à l'interet historique/archèologique de la Sicile, et à la façon terrible et honteuse avec laquelle elle est gouvernèe et abimèe par ses habitants... :pfff::pfff::pfff: ...la situation de la Targa Florio et de Floriopoli est seulement un des centaines d'examples de comme on peut jeter chaque jour dans la poubelle un potentiel touristique/èconomique simplement ènorme...si bien gerèe, la Sicile pourrait etre la Californie d'Europe, et il y aurait très peu de dèsoccupation...au contraire, nous ne sommes pas trop loin d'un pays de l'Afrique du Nord, pas seulement pour raisons gèographiques..:q :q :q

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Je sais pas si ça peut te consoler, mais de l'autre côté des Alpes, niveau conservation, c'est pas toujours ça : imagines que courant XXem, les anglais nous ont rendu un vaisseaux de guerre contemporain au Victory de Nelson (qui lui est conservé, entretenu et visitable) et on a rien trouvé de mieux que de l'envoyer à la casse!!!!!!

J'avais pu visiter les réserves du musée de l'air du bourget près de paris, les bénévoles en étaient malades, il y avait des dizaines containaires de parachutage (les espèce de longues torpilles qu'il balançaient pendant la guerre pour ravitailler en bouffe et armes...) remplis d'uniformes de l'armée de l'air d'époque (il en reste très peu) et ça faisait 40 ans que les containaires pourrissent sur le tarmak, les gars en avait ouvert un, c'était quasiment de la bouillie dedans... :pfff::pfff:

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bah oui que veux tu c'est notre époque : il faut du moderne du jetable, avoirle nouvel y paude le nouveau i fone le nouvel e-tron

 

.... alors tu penses, les "vieilleries", avec les décérébrés qui nous entourent... :pfff::pfff::pfff:

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Mais... ce fameux navire, il a été feraillé dans les années 50... bien avant l'air du "consumérisme de masse"... c'est encore pire de nos jours... :pfff:

 

 

tuladijouffflu :ange:

 

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Les chaussures de Ciccio sont devenues bientot très fameuses parmi les pilotes de tout le monde...Vic Elford, Mario Andretti, Ignazio Giunti, Niki Lauda, Carlos Reutemann, Emerson Fittipaldi, Clay Regazzoni, Jo Siffert, Jackie Ickx, Renè Arnoux, Gerard Larousse, Auturo Merzario, Sandro Munari et èvidemment Nino Vaccarella.

Ciccio est appreciè dans le monde entier encore aujourd'hui pour ses chaussures de course et pour sa sympathie.

 

ses photos sont exposèes dans huit musèes, de celui de la Ferrari à Maranello à celui de la Porsche à Stuttgart.

 

 

J'ai trouvé dans le sujet de la targa des photos des empreintes de pied que M. Ciccio faisait sur des carton. Les chaussures étant faites sur mesure.

On voit ainsi l'empreinte de Gérard Larousse et celui-ci a écrit un petit remerciement du genre : "Merci à Ciccio, la chaussure qui freine 20 mt plus tard''

Je crois, car je n'ai pas sauvegardé la photo :sol:

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Invité §pha556ix

De bien belles histoires et de bien belles photos Bepvit!! :love:

 

Vivement les vacances! :o

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Salut et bon dimanche à tous!

 

Comme d'hab, quand je rèalise un modèle Targa, j'aime ècrire quelque chose sur la course à laquelle il a participè, surtout dans le cas du vainqueur....

 

Cette fois, j'ai pensè de vous faire lire quelque chose de pas habituel... il aurait etè assez simple de trouver et traduire un article sur la Targa '67 aux tons enthousiastes, dediè surtout à la compètition...mais il peut etre intèressant aussi de lire une opinion un peu diffèrente...

 

J'ai traduit de l'anglais un article de la rèvue amèricaine Car and Driver, très renommèe et prestigieuse dans le panorama international...l'auteur est un certain David E. Davis. Avant de lire l'article, il faut faire quelque prècision:

 

1) il s'agit d'un article ècrit en 1967 par un journaliste amèricain, surement habituè aux courses typiquement amèricaines, sur circuit ovales contournès par tribunes, avec tous les concurrents sous les yeux du public, avec frèquents doublements, et un "speaker" qui commente la course dans une façon très vive

 

2) le meme journaliste devait connaitre bien peu du sport auto europèen: il suffit de lire ce qui il a ècrit à propos de Bernard Cahier, photographe exceptionnel, grand journaliste et bon pilote, qui a racontè le sport auto des annèes '50s aux '90s d'une façon incomparable

 

3) c'est une traduction de l'anglais au français faite maison par un italien, donc je m'excuse d'avance pour les nombreuses erreurs....

 

RACING SICILIAN STYLE

By David E. Davis, Jr., from “Car and Driver”, 1967

 

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La chose la plus importante à retenir sur le reportage d’une Targa Florio, est que vous ne pouvez pas le faire. Vous pouvez la regarder dès stands, où ils te tiennent au courant sur les classements, mais de là, on ne peut pas voir la course. Vous pouvez aller dehors sur le circuit, où le panorama va facilement vous couper la respiration, mais là vous ne savez pas ce qu’arrive.

En suivant pas à pas une intrépide bande de journalistes vétérans de la Targa Florio, j’ai regardé la course du pays de Collesano, ainsi que j’ai regardé les essais officiels d’un autre pays nommé Caltavuturo. En ayant vu tous les dix tours, prenant soigneusement note des passages, j’ai compris que je n’avais seulement qu’une vague idée de quoi était arrivé.

Je suis assez sur que la Porsche a fait bien, car toutes les Ferrari sauf une ont quitté de passer après un peu, et car un gamin sicilien, qui écoutait la chronique de la course d’une petite radio transistor japonaise, m’a dit ainsi. Le reportage du gamin sicilien était confirmé par un journaliste australien aux cheveux ondulées et fluents, avec une table des tours vachement soignée, sauf que pour un peu de confusion à la moitié de la course environ, quand il a pris un pair d’heures pour le déjeuner.

Si mes sources sont dignes de foi, la Porsche a terminé 1ère, 2ème et 3ème absolue, et 1ère en cat. GT. A’ la première place une 910 8 cylindres 2.2 litres, conduite par l’australien Paul Hawkins et par un allemand nommé Rolf Stommelen. A’ la deuxième, une 910 6 cylindres 2 litres, conduite par l’équipage italien de Leo Cella et Giampiero Biscaldi, et à la troisième une autre Porsche 2 litres, pilotée par le rallyman anglais Vic Elford et par l’allemand Jochen Neerpasch. Hawkins et Stommelen ont marqué un nouveau record de 6 heures, 37 minutes et 1 second pour couvrir les 447 milles de la course. L’équipage classé deuxième est arrivé à 47 seconds.

Le champion Français de ski Jean-Claude Killy a gagné la cat. GT sur une Porsche 911S, couplé à un présumé homme de relations publiques de chez Goodyear, caché sous l’improbable pseudonyme « Cahier » ( :??::??::??: ). Soit Killy, soit son mystérieux copilote ont couru très bien, sous l’étroit contrôle du team Porsche, en épargnant leur voiture, tandis que les concurrents privés dans leur catégorie, moins prudents, allaient plus vite mais devaient abandonner. C’était la première course de Killy.

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Comme dans le cas de Killy et “Cahier”, à la Targa il y a une largue participation d’amateurs, et les noms de course sont plus la règle que l’exception. La liste des concurrents est pleine de noms comme “Ben Hur”, “Goldfinger”, “Black and White”, “The Tortoise” et “Amphicar”. Cette tendance est assez naturelle, si on pense que la Sicile a produit aussi des pseudonymes fameux comme “Lucky”, “Scarface”, “Bananas” et “Singer” (il s'agit de surnoms de fameux "mafiosi" italo-amèricains, excellente comparaison.. n.d.t.:q :q :q ).

La Targa Florio est la course sur route la plus ancienne du monde, et plus on la regarde, plus elle parait ancienne. Ce qu’on fait est aller sur le circuit (qui est long environ 45 maudites milles), se percher sur un rocher, et s’enlever les fourmis des culottes tout le jour, en attendant que quelque chose arrive. Avec un peu de chance, quelque chose arrive toutes les trois heures.

La plupart de l’amusement est fournie par les policiers qui invectivent contre les journalistes, et par les meneurs locaux qui invectivent contre les policiers. Il y a probablement plus de course à voir sur la Woodward Avenue de Detroit le vendredi soir qu’à la Targa Florio, mais à Detroit les restaurants sont mauvaises, et là il n’y a personne qui mène des troupeaux de brebis à travers la route.

La course est constituée de dix tours de l’incroyable Petit Circuit des Madonies, ainsi nommé car il est plus court du Grand Circuit utilisé il y a des années, quand les hommes étaient hommes et les voitures étaient quelque chose différente. Si vous êtes Nino Vaccarella, chaque tour prend moins de 38 minutes, si vous êtes un spectateur, chaque tour prend un jour et demi.

Votre aventure de course sicilienne commence quand vous débarquez du bac nocturne de Naples à Palerme et vous êtes escroqués par le porteur. En suite, une variété de Palermitani quasi-officiels vous crie quelque chose contre, enfin vous êtes accompagnés par un vieux ami à travers les rues grouillantes jusqu'à un louage auto. Tandis qu’il vous aide à négocier avec les employés, votre ami s’arrête pour sortir et parler avec un citoyen qui se promène par hasard autour de sa voiture, essayant à ouvrir les portes.

Enfin, vous prenez possession de votre voiture. C’est une Fiat 1100 D, et elle a évidemment été utilisée pour assassiner quelqu’un avec une grande quantité de dynamite qui doit avoir détoné dans quelque part de son intérieur. Ce n’est pas une bonne voiture. Elle grince et fait bruit de ferraille, et un Anglais dit que, s’elle aurait aussi une clochette, elle semblerait exactement un tram de Glasgow.

Après une excitante ballade vers le circuit, vous faites un tour de piste dans une neuve Fiat 124S coupé avec Hugh Dibley au volant. Dibley devrait courir avec une Lola-Chevrolet, et il a besoin d’essais. Tandis que vous criez d’un virage à l’autre – la Fiat toute dérapée, avec les pneus qui protestent vigoureusement – Dibley dit des choses comme « Ce morceau c’est à faire en plein. Demi-accélérateur ici. C’est embarrassant, non ? quand vous voyez les Alfas qui passent d’ici sans ralentir».

« Urg » vous vous dites « voilà, nous sommes ici, tous bouleversés dans cette inoffensive petite Fiat, et il parle de passer en plein à travers ce trait-ci dans une grande et tonnante Lola ! ». Comme le tour procède, vous êtes surpassés par nombreuses prototypes hurlants Porsche, Alfa 33, Abarth et Alpines de n’importe quelles formes et tailles ; de la même façon, vous surpassez un large assortiment d’ânes, mules, chèvres, petit camions Lambretta à trois roues invraisemblablement chargés, et des Fiat 500 aux plaques de Palerme conduites d’une façon suicide. Excitant.

Le jour après, il y a les essais officiels. Vous allez plusieurs milles et au moins deux siècles en arrière vers l’intérieur, vers le village de Caltavuturo, au sommet d’une montagne. Vous parquez à coté d’un camion de l’Armée Italienne, qui contient un operateur radio, qui est évidemment en train de répéter sa part dans une opéra très champêtre. Il rugit dans son microphone, il enroule ses « R », il extrait la gamme complète des émotions humaines de chaque phrase. Il demande quand il peut faire la pause pour le déjeuner.

Vous êtes entourés et inspectés avec enthousiasme par une quarantaine de gamins, dont le type ethnique va de l’Arabe à l’Aryen, et on vous rappelle que l’Armée Allemande a passé pas mal de temps ici. Vous prenez quelque note, et tous les males adultes présents, y compris les militaires (il n’y a pas de femmes de n’importe quel âge), immédiatement vous lancent des regards sombres et méfiants. Il est évident qu’ils ne voient pas autant d’Anglo-saxons ici, et un Anglo-saxon qui écrit est un objet à examiner attentivement.

Les voitures de course arrivent. Les premières sont un trio de Porsche 910, puis un troupeau en file indienne de Lancia Fulvias, Alfa Tubolare coupés et Abarths. En suite, un rugissement par la foule. Dehors, sur l’autre coté de la vallée, vous voyez un petit point qui marche, en reflétant le soleil tandis qu’il vole sur une route invisible. La foule a déjà reconnu le petit point comme la grosse Ferrari P4 de leur enfant gâté et candidate pour la victoire, Nino Vaccarella. Ils reussent à lui donner tout un monde de meilleurs vœux et bons conseils tandis qu’il rejoint notre place sur la route et s’en va hurlant hors de vue.

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Et ainsi on procède. Seulement la Chaparral arrive presque à évoquer la même réponse par la foule – soit parce que elle semble quelque chose qui vient de la lune, soit parce que tout le monde se rappelle de quand son pilote, Phil Hill était champion avec la Ferrari.

Quand les essais ont fini, vous allez en voiture le long du circuit vers les stands, et regardez les spectaculaires traces noires, ou les ponts avec les épaulements aux angles ébréchés. Vous trouvez une Porsche, la 8 cylindres de Paul Hawkins, qui est chargée sur son remorque avec un demi-arbre cassé. Vous trouvez une Alfa 33 – le nouveau sauvage spider V8 – sur un coté de la route avec une roue déchirée. Vous voyez un jeu de traces de pneus à travers d’un champ, et plusieurs virages où de l’herbe, de la saleté et du gravier ont été répandus tout autour sur la route.

Aux boxes, quelqu’un demande à Phil Hill comme est la Chaparral sur une route Sicilienne. « Comme vous pensez qu’est elle ? » il demande à son tour. « Fatigante? » suggère l’interrogateur. « Yeah, fatigante. Effrayante aussi. Inquiétante aussi » est le commentaire final de Hill. Il y avait même des doutes si la Chaparral aurait pu passer sur un pair de ponts.

Le copilote d’Hill, Hap Sharp, a fait des douzaines de tours sur une Fiat louée, et il ne se rend pas compte de la place même un petit peu. Un Américain dit que la Chaparral doit être assez excitante dans le trait en descente rapide. « Avec toute cette puissance » dit Sharp « il n’y a aucune différence entre montée et descente. Vous allez toujours trop fort quand vous arrivez au virages ».

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La Ferrari avait aligné seulement la 330/P4 pour Vaccarella et Scarfiotti. Il y avait trois Dino 2 litres courant sous l’attention de l’usine, mais la seule voiture vraiment compétitive était celle conduite par Gunther Klass et Mario Casoni. Il y avait aussi une P3 Berlinetta de la Scuderia Filipinetti pour Herbert Muller et Jean Guichet, rapide presque comme la voiture usine, mais évidemment l’attention de Ferrari était pour Vaccarella-Scarfiotti.

Le team Porsche était en bonne forme avec sept voitures usine, mais il y avait des soucis. Porsche comptait de gagner à la distance et de surmonter les problèmes avec les grands nombres, ce qu’ils ont enfin fait. Il y avait trois voitures 8 cylindres 2.2 litres, trois voitures 6 cylindres 2.0 litres et, bien sur, la 911S pour Killy-« Cahier ». Il semblait qu’il y avait du désaccord entre les lignes Porsche, et plusieurs membres du team étaient assez de mauvaise humeur. Notre recherche pour des informations plus précises a été arrêtée quand un mécanicien aux yeux croisés, habillé en salopette et sandales, nous a jeté au dehors (du stand n.d.t.).

Les Alfas 33, plus ou moins usine, inscrites par Autodelta (qui était une société indépendante, mais qui était tout à fait la division courses d’Alfa Romeo, n.d.t.) et gérées par l’Ingénieur Chiti - de retour de Ferrari et ATS – étaient très intéressantes, assez rapides, et pas encore prêtes à courir. Quatre voitures ont été alignées: elles ont toutes eu des soucis de tringlerie de boite, et ont démontré une désagréable tendance à casser les suspensions avant et à perdre les roues.

Chiti a par hasard déclaré que le V8 2 litres sera gonflé à 3 litres, et il pourra ainsi être vendu pour l’emploi en Formule 1, bien qu’il a candidement démenti tout intérêt officiel pour un retour dans les Grands Prix. Le V8 de la type 33 est la conclusion de l’ancien projet de Chiti pou le moteur ATS de F.1, et il y a bien peu de doutes qu’est là qu’il a eu son origine. La voiture est lourde (1859 lbs avec essence et pilote) et fragile, mais elle montre d’être très prometteuse.

La Ford France avait un pair de GT40 qui tournaient, mais personne n’avait de grands espoirs pour leur succès. Outre ça, il y avait les Lancias, les Fiat 124s, les Austin Healeys, un pair de Ferrari GTBs et une gueuse Ferrari 250 GT Berlinetta inscrite par des Amèricains (la 250 GT SWB ‘61 de Arutunoff-Von Hofer, peut-être vieille en ’67, mais toujours une 250 GT SWB…n.d.t.), et, comme on dit, des tas de monde. Mais le vainqueur allait être surement une Ferrari ou une Porsche.

Selon l’avis des Siciliens, il pouvait être seulement Vaccarella. Ils ont peint son nom dans les rues, sur les murs en pierre, sur leur maisons, et même sur les banderoles qu’ils ont étendu à travers de la route. Il y avait bien peu de doutes sur qui a les sympathies des Siciliens.

Tout le monde devait être levé à l’aube le jour de la course, car c’est à l’aube ou presque que la route est fermée au trafic, mais les cotés de la route étaient pleins de monde bien avant du départ de la course.

A’ Collesano, nous étions assis sur le bord de la route, où elle descend vers le lacet qui marque le centre du pays, et nous attendions. Nous avons été rejoints par une troupe de jeunes hommes qui nous fourraient avec des fruits et des biscuits, et qui insistaient pour nous faire boire leurs variées bouteilles de limonade, cola, et vin sicilien noir comme l’encre. Ils filmaient aussi tout ce qui se mouvait, et ils traduisaient les bulletins de la radio pour nous, en utilisant leur cinq mots d’anglais et nos trois mots d’italien.

Bientôt, on a entendu un bourdonnement venir de loin. Une Fulvia a apparu, conduite absolument à sa limite, et quelque piéton a fait un saut en arrière à son passage. En suite silence, puis encore quatre Lancia et une Fiat 124. Encore, quelque Porsche routière, y compris Killy, et quelque Alfa Tubolare (TZ, n.d.t.). Silence. Encore des bagatelles, puis la première Ford GT, deux Porsche, et l’autre GT40.

Encore attente, encore carcasses, puis Klass sur la Dino, puis les Porsche 910 ont sauté à notre vue, et enfin nous avons vu les choses chaudes : Porsche, Dino, Alfas et la P4 de Vaccarella doublant les petiots. La Chaparral passait entre les acclamations, mais Hill était trop engagé pour les apercevoir. La grosse Lola, encore quelque retardataire, et en suite on recommence à attendre.

La Targa n’est pas comme une course automobile (dans le sens entendu par le journaliste, n.d.t.). Les voitures partent à intervalles de 20 secondes, et les partants sont distribués sur 23 minutes et 40 secondes, avant de commencer avec les passages devant les stands. Il est difficile qu’une voiture lutte directement avec une autre. C’est une gigantesque épreuve à temps, avec tous sur la piste dans le même moment. Enfin ils arrivèrent de nouveau, et au delà du fait que Vaccarella était en tête et que son premier tour de 37.31.8 était le nouveau record (avec départ de zéro! n.d.t.), personne ne semblait s’en soucier.

Peut-être que Vaccarella était trop engagé à lire les graffiti de ses tifosi – personne ne sait – mais pendant le deuxième tour il a passé devant nous vers le lacet de Collesano, il est allé trop largue, il a heurté le trottoir, il a cassé toutes les deux jantes de droite, et il a parqué. C’est tout. La coque n’était pas endommagée, Vaccarella n’était pas blessé, mais il était tout fini pour le favori de la maison.

 

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La Porsche 8 cylindres de Gerhard Mitter, comme prévu (je ne sais pas sur quelle base, n.d.t.), s’est accrochée avec une des Dino et est finie hors route, et ainsi la tête de la course est allé à la P3 de Filipinetti, qui a réussi à la retenir jusqu’au sixième tour, quand elle a etè bloquée par des ennuis à la boite de vitesses, comme est arrivé aussi à une des deux Porsche 8 cylindres survécues. Il y avait des voitures hors course partout à ce moment-là, et l’attente entre un tour et l’autre est devenue interminable pour ceux entre nous qui étaient dans les lieux les plus distants. Bien que deux Porsche avaient abandonné, et celle de Siffert/Herrmann était en difficulté (toujours boite), il était assez clair qu’il allait être le jour de Porsche.

Et ainsi il est arrivé. Le spectateurs étaient déjà en train de retourner aux maisons, tandis que la douzaine et demie des survécus continuait leur service. La Chaparral a abandonné avec des ennuis aux suspensions, après une course pas mal – tout considéré – et toutes les bouillantes Alfas étaient hors course à la fin.

Soixante-deux voitures ont parti, et dix-sept ont été classifiées comme finisseurs officiels, bien que la foule à ce moment-là était trop retentie pour s’en rendre compte. La seule chose intéressante pour tous sauf que pour quelque tête de chez Porsche (je n’ai vraiment bien compris la signifiance de cette phrase, n.d.t.) a été la grande joie pour la victoire de Paul Hawkins. Hawkins est probablement la chose la plus sympa qui vient de l’Australie après les koalas. Il parle comme un comédien qui joue la part d’un Australien, et il a bien mérité sa victoire. Les gens de chez Porsche ont oublié leur désaccords et ils se balançaient attachés aux arbres (je pense que ça veut dire qu’ils célébraient, n.d.t.)

Tout le monde devrait probablement voir la Targa Florio une fois avant de mourir, mais une fois c’est déjà trop. Elle est une grande course pour les pilotes et il n’y a aucun doute qu’elle est une des « grandes épreuves pour hommes et voitures » que les journalistes puristes aiment tenir bien chaudes et s’en mouiller, mais elle n’est pas du tout une chose qu’on peut aimer de suivre chaque mois. Le pays est magnifique, les calmars frits sont merveilleux, le vin est presque buvable, et retourner en voiture de la course peut devenir votre dernier voyage. C’est une expérience mémorable, mais elle n’est pas un évent pour les spectateurs. Si vous êtes rusés, vous allez attendre que les mecs de la TV la découvrent. Les mélanger avec les citoyens locaux serait vraiment quelque chose. Je reviendrais sans doute à voir ça !

 

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Quelle vision intéressante de cet événement exotique ! Pauvre Bernard Cahier… Mais c'est passionnant !

 

Et pauvre Beppe, tu as dû te donner un mal de chien pour traduire ça ! :D

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Invité §pha556ix

C'est un sacré récit!!! :jap: Bravo Bepvit!

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Merci à tous! :jap::jap::jap:

 

Et pauvre Beppe, tu as dû te donner un mal de chien pour traduire ça !

 

Oui pour la diffcultè de rendre certaines expressions...et non, parce que je l'ai fait dans plusieurs semaines...

 

Au moins, j'espère que ça soit un minimum correct cotè langue..... :D:D:D

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Merci Fmid.... :jap::jap:

 

Math, merci mais en effet "Millegiri" a etè un event qui s'est dèroulè à l'ancien aèroport militaire de Boccadifalco (= bouche de faucon), dans Palerme et sur la route que je fais chaque jour pour aller à mon hopital...c'ètait un "motor show" qui a compris plusieurs courses d'auto, moto et karting, et la prèmière èpreuve spèciale de la Targa Florio, qui aujourd'hui est un rally valable pour le championnat italien, et qui depuis quelque an, avant de se dèrouler sur le Madonies, fait son dèbut "spectacle" à Palerme...encore, Millegiri cette annèe a compris aussi una autre event ancien et assez prèstigieux: le Tour Aèrien de Sicile..

 

Quant au Raid de l'Etna, près de Catane (l'autre cotè de la Sicile, à l'Est), ça est vraiment un èvent joli, car les voitures anciennes visitent la zone de l'Etna, le volcan le plus haut d'Europe (+ 3000 mètres), toujours en activitè, avec des routes montagnardes simplement magnifiques, soit cotè panoramas, soit cotè asphalte (un vrai règal pour les motards), et avec des petits pays absolument dèlicieux, où il y a du frais aussi pendant l'etè, et où on mange très bien, surtout glaces et gateaux (pistaches et amandes locaux). En gènèral, j'aime dire que, tandis que Palerme ets plus belle de Catane, les environs de Catanes sont moyennement plus beaux de ceux de Palerme...

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Et voici une vignette du fameux Russel Brockbank sut la Targa '67...

 

Selon l’avis des Siciliens, il pouvait être seulement Vaccarella. Ils ont peint son nom dans les rues, sur les murs en pierre, sur leur maisons, et même sur les banderoles qu’ils ont étendu à travers de la route. Il y avait bien peu de doutes sur qui a les sympathies des Siciliens.

 

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"Croyez-moi, les amis, dans aucun autre lieu du monde vous pouvez trouver une foule plus instruite, enthousiaste et sportive de celle que nous avons aujourd'hui ici, dans l'ensoleillèe Sicile"

 

 

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Invité §seb267QW

Bonsoir à tous...

Goodnight everybody...

 

Encore un sujet Targa Florio... quand vous etes lassès, dites-moi... Heureusement, à la Targa ont couru presque toutes les voitures qu'ont fait l'histoire du sport automobile (à part les monoplaces, bien sur...) et donc chaque sujet est l'occasion pour voir le "parc" des voitures de course à roues couvertes de chaque èpoque...

Still a Targa Florio subject... when you get bored, tell me... Fortunately, at the Targa were raced almost all the cars that made the automotive sport history (except singleseaters, of course...) and so every subject is an opportunity to see the sportscars' field of every age...

 

Cette fois je reviens à l'èdition '67, avec la voiture gagnante....la Porsche 910 8 cylindres pilotèe par Rolf Stommelen (Allemand) et Paul Hawkins (Australien)... c'est un sujet intèressant, car cette magnifique voiture est très difficile à trouver au 1/24 aujourd'hui....à ce moment, le seul kit sur le marchè est celui en rèsine de Twocatsmodelos, une marque brèsilienne rèpresentèe par un seul homme, Paulo Henrique Leite de Souza, dit Fiotti (ou Fiote)...

This time I come back to '67 race, with the winning car... the 8 cylinders 910 Porsche driven by Rolf Stommelen (Germany) and Paul Hawkins (Australia)... it's an interesting subject, as this wonderful car is very hard to find today in 1/24th scale.... at this moment, the only kit on the market is the resin one by Twocatsmodelos, a "one-man brand" from Brasil, i.e. Paulo Henrique Leite de Souza, named Fiotti (ou Fiote...)

 

Voici la voiture...

Here is the car...

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/508134/muso.jpg

 

...voici le kit...

...here is the kit...

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/508134/DSCN1898.JPG2..jpg

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/508134/DSCN1899.JPG2..jpg

 

...et voici la gamme de notre ami Paulo...

...and here is the stock of our friend Paulo...

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/508134/TwoCats.jpg2..jpg

 

pour ceux qui sont interessès, ils peuvent ècrire à l'adresse email qu'on voit sur la brochure...Paulo moule ses kits sur commande....

for those who are interested, they can write to the email address that can be seen on the brochure's bottom...Paulo moulds his kits on demand...

 

Cette fois j'ècris aussi en anglais pour permettre à Paulo de suivre ce sujet... s'il me dit qu'il comprend aussi le français, je quitterais la double langue...

 

 

 

Au fait Bepvit, faut remarquer que dans les annés 80 Provence Moulage avait commercialisé les kit de la gagnante à la Targa '67 avec des decalques ratées... ce qui apparait en bleu dans les photos d'epoque, Provence l'avait imprimé en rouge !

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Oui, je me rappelle bien...c'ètait l'èpoque du "boom" des "modèles spècials", c'est à dire des kits en rèsine et/ou en white metal qui avaient laissè les "die-casts" au niveau de jouet (avant de la terrible vengeance des "die-cast" qui en suite, avec le "made in China" ont "mangè" presque tout le marchè aux "spècials")...

Plusieurs des ces kits avaient la raretè du sujet de leur part, et parfois, comme dans le cas de Provence, des excellents moulages, mais cotè prècision et dècors on ne pouvait pas compter les betises...ça dèrivait surtout de la faute de bonne docu photo, qui aujourd'hui on trouve avec un peu de patience sur Internet...

 

Le cas de la Targa Florio est un parfait example: avant d'il y a quelque an, il ètait très difficile de rèaliser correctement un modèle d'une voiture participante à cette course, surtout s'elle n'ètait entre les prèmieres à l'arrivèe....très peu de photos, la plupart en b/n...dans les dernières annèes, la crèation de sites dediès, et surtout d'un topic sur ce forum dans la section "histoire du sport auto", a poussè plusieurs passionnès, surtout siciliens, à poster les images de leurs archives privès...certaines fois il s'agit de photos prises directement des albums de famille...il faut considèrer que "aller voir la Targa" ètait un rite qui entrainait familles entières (dans les dernières èditions, on pouvait compter jusqu'à 600.000 personnes le long du circuit), et il peut arriver de voir l'arrière jamais vu d'une voiture dans la photo de la tante assise au bord de la route....tout ça a ouvert un monde entier...moi, qui ne suivais pas ce thème, j'ai pu rèaliser des modèles que je ne connaissais pas, ou que je ne pensais de pouvoir jamais rèproduire...mes amis maquettistes qui montaient des modèles Targa depuis vingt-trente ans, ont du dèmonter, dècaper, corriger, et dans quelque rare cas jeter dans la poubelle plusieurs modèles...

Et je pense que la meme chose a du arriver pour plusieurs autres courses....

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Ayé, j'ai réussi à trouver le temps de lire cet intéressant reportage, "légèrement" teinté de condescendance américaine... :lol::lol::lol:

Merci de nous avoir dégotté cet article et surtout un grand merci pour le gros boulot de traduction Maestro!!! :jap::jap::jap:

 

Au fait, je vois sur le dessin qu'il y a à chaque fois un W à côté de Vaccarella et je crois l'avoir remarqué aussi sur des photos, il veut dire quoi ce W!? Que le signore Vaccarella était tellement bon qu'il comptait double!? :D

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Non, en Italie la W a toujours etè utilisè pour signifier "Viva", soit "Vive" en Français...c'est une façon très utilisè surtout dans les sports (W Milan, W Juventus, W Valentino Rossi) et dans les manifestations politiques (mais dans ce cas surtout dans les annèes '50-'70, aujourd'hui bien moins).

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Post pas trop sur ton wip Bep, car je doit t'avouer que je connais pas grand à la Targa.

Du moins pour l'instant, car au fur et à mesure des lignes que je lis, j'en apprends tous les jours.

Merci pour ce wip culturel.

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Bonsoir à tous...reprenons donc ce sujet, un des plus lents de ma carrière de maquettiste...

 

Avant de quitter pour quelque semaine, j'avais eu un souci avec la peinture de la carro...j'avais choisi le blanc brillant TS-26 de chez Tamiya, et j'avais peint la partie infèrieure de la carro, celle comprise dans le chassis...en suite, en travaillant sur le meme chassis pour rèaliser l'intèrieur, monter les roues, etc. il fallait tenir souvent le chassis entier avec les doigts, et ça justement sur la partie peinte en blanc...je m'attendais bien sur quelque empreinte et un peu de saletè, mais la chaleur des doigts et de l'air (ici fait bien chaud dans ces temps...), a littèralement assoupli la peinture, avec des empreintes très profondes...ça nonobstant j'avais fait sècher la peinture plusieurs jours vant de la toucher...et le pire est que, apres deux semaines de chaud sicilien, cette fichue peinture ètait encore souple! On puovait facilement y laisser un creux avex une ongle! Je ne sais pas si l'on voit bien dans la photo...

 

DSCN3022.jpg.60d06f0582598eab4b00dff721340432.jpg

 

J'ai donc dècidè d'enlever la peinture à l'aide de l'ouate mouillèe dans l'alcool (la peinture spray Tamiya est très sensible à l'alcool), j'ai masquè le reste, et jai repeint à la peinture nitro-sinthètique pour les rètouches aux carros (blanc pur, RAL 9010)...ici l'appret:

 

DSCN3023.jpg.60057b86af4f7e9927bf996b9de94056.jpg

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Un petit HS (mais pas trop...)

 

Comme vous savez, le fabriquant de ce kit-ci est un Brèsilien, Paulo Henrique Leite de Souza, qui, comme tous les brèsiliens (pas seulement les joueurs de football) a son surnom: "Fiote", qui veut dire (plus ou moins) "petit fils", "tout jeune"...

 

Il avait, pendant un certain temps, italianisè ce nom en "Fiotti" pour ses kits "Fiotti Models", qui maintenant s'appellent "Twocatsmodelos"

 

Paulo n'est pas seulement un modèliste et un passionnè de sport auto classique, mais aussi un artiste, qui rèalise des oeuvres soit en thème sport auto, soit avec des sujets qui n'ont rien à voir avec les courses....

 

Ici Paulo (celui au maillot rouge) livre une peinture à Toninho Da Matta, vieille gloire du sport auto brèsilien...

 

HOMENAGEMTONINHODAMATTA26RDZ1.jpg.d7605cdb317ff36975ce583a97135114.jpg

 

Ici, une belle oeuvre sur Emerson Fittipaldi sur la Lotus 72 (jolie, hein, Fmid? :D:D:D )...

 

CURVA171.jpg.28f6581293091a5afedf920722ceef71.jpg

 

D'après mes deux achats chez lui (cette 910 et une 908/2 spider), nous sommes devenus assez "amis" (au moins virtuels)...il ètude chez l'Academie des Beaux Arts de Belo Horizonte, et pour un examen il a prèparè cette lithographie, nommèe "Campo Feliz", qui rèproduit la Ferrari 512S de Nino Vaccarella et Ignazio Giunti à la Targa '70, justement dans le petit pays de Campofelice...

 

fiote1.jpg.23d6eb41893f0124cae6d5396fc4fe01.jpg

 

Il me l'a faite voir pendant sa prèparation et enfin il a decidè d'en m'envoyer deux exemplaires, un pour moi (mille merci... :jap::jap::jap: ) et un pour Nino....aujourd'hui le rendez-vous, grace à l'aide d'un ami commun...

 

DSCN3025.jpg.35271b80aa160d9f3e92317362af9a81.jpg

 

Je sais, c'est l'ennième rendez vous avec Nino...mais cette fois je devais accomplir une mission pour l'ami brèsilien, et en plus cette fois je suis allè directement chez lui, à sa maison...notez le Cheval Cabrè derrière lui (original Ferrari) :sol::sol:

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