Stand 65 : Des rillettes dans les Hautes Pyrénées

christian82 · 6 août 2022

Il y a 14 heures, NSUprinz a dit :

Comment voulez vous que les gens ce passionnent pour le Mans et les modèles réduits (1/43) quand les formes des voitures ne changent pas (de l’uniformité nait l'ennuie)

Tout à fait d'accord avec vous, toujours les mêmes c'est plus qu'ennuyeux.....Ligier, Oreca , Ferrari, Porsche, Aston... toujours les mêmes formes depuis quelques années, rien de passionnant ...

Et certains ne changent même pas la déco depuis des années (ex Porsche Dempsey-Proton Racing..etc)

Mais ils écrivent l'histoire actuelle du Mans....alors comme j'essaye de faire le plateau de chaque année.....

Lorsque je vais aux 24 heures, je cherche toujours la nouveauté, le détail qui change..... l'année prochaine, il devrait y avoir un peu de changement, mais là aussi, lorsque l'on voit les nouvelles Hypercar, elles ont toutes un petit air de ressemblance......

C'est pour cela que j'ai plaisir à restaurer celles des années 20 à 50, au moins ce n'était pas les mêmes carrosseries....

C'est pour cela aussi que certains ne collectionnent que les gagnants des différentes course (endurance, rallye, F1..etc) ...

Modifié 6 août 2022 par christian82

christian82 · 6 août 2022

Il y a 15 heures, LMMC73 a dit :

la vague Oreca.... et je suppose que ce n'est pas fini.

Malheureusement, non.....

christian82 · 8 août 2022

Petite interruption de la présentation des Oreca...(pour souffler un peu.... ...), avec trois restaurations en cours,

Deux du Mans 1926 ....(et oui, un doublon déjà à cette époque)..., une presque terminée, mais pas de photo, elle est encore en salle peinture , .. la seconde décapage et reconstruction .....

...une du Mans 1950...prête pour aller faire un tour en salle de peinture.....

christian82 · 11 août 2022

Fin de la restauration de la Théo SCHNEIDER de 1926.....

Dans la première moitié de ce siècle, l’industrie automobile française ne se réduit pas exclusivement aux bassins parisien et lyonnais, véritables pépinières de constructeurs.

La ville de Besançon a, elle aussi, connu son heure de gloire avec la société Théo Schneider qui, grâce à ses différents modèles, a prouvé qu’elle avait sa place sur l’échiquier national des constructeurs automobiles réputés.
A la tête de cette entreprise, Théodore Schneider compte déjà une première expérience industrielle similaire puisqu’il avait créé, en 1889, avec son ami Edouard Rochet, une société de construction de vélocipèdes.

En 1909, Théo Schneider reprend sa liberté et retrouve alors Louis Ravel, patron des carburateurs Zénith avec qui il partage la passion de la course automobile.

C’est tout naturellement que les deux hommes s’associent pour créer, le 16 juin 1910, la société en commandite par actions des « Automobiles Théo Schneider », dont le siège social est implanté 28 avenue Fontaine Argent, à Besançon, dans les anciens ateliers Ravel.

Rejoints par l’ingénieur Antoine Jaubert, Louis Adenot (ancien directeur de l’usine Rochet de Lyon) et Henri Juvanon (représentant lyonnais de la marque) ils créent en moins de six mois leur première voiture, une 10/12 Hp remplie d’innovations qui ne seront adoptées que bien plus tard par la plupart des constructeurs.

Théodore Schneider, lui, s’occupe du développement des versions sportives et engage immédiatement des voitures dans de nombreuses épreuves qui l’emportent.

Ce début de renommée acquise sur les circuits permet à la marque de se développer, de proposer plusieurs modèles et de commencer à tisser un réseau d’agents à travers l’hexagone et même à l’étranger.

Durant les années suivantes les Théo SCHNEIDER s’imposent encore dans de nombreuses courses.

Ces bons résultats sportifs se traduisent par une augmentation notoire des ventes de voitures de tourisme.

Progressivement, la marque s’affirme grâce aux qualités de robustesse, d’endurance et de fiabilité de ses modèles, appuyée par un sérieux réseau d’agents et un important effort publicitaire.

A la fin du conflit 1914/1918, le temps est aux économies et l’activité reprend doucement avec seulement deux châssis tourisme au catalogue (un 14 HP quatre cylindres et un 20 HP six cylindres) et une camionnette 14 HP de 1.500 kg de charge utile avec des roues jumelées à l’arrière qui complète un catalogue très restreint, qui s étoffera l’année suivante avec quatre modèles.

En fait un petit sursaut, car l’entreprise est au bord de l’asphyxie et n’a toujours pas réussi à surmonter les difficultés liées à l’après-guerre, si bien qu’elle est déclarée en faillite au mois de novembre 1921.

Mais les chaînes de montage continuent à tourner, à un rythme certes moins effréné qu’auparavant, et un nouveau modèle, la 10HP sauve l’entreprise de la liquidation judiciaire.

(Copyright à qui de droit)

Sur la lancée, Théodore Schneider espère renouer avec le passé sportif de la marque.

et engage aux 24 heures du Mans de 1926 deux voitures dérivées de la 2 litres sport, deux modèles THEO SCHNEIDER 25 SP.

Elles sont équipées de moteurs 4 cylindre en ligne de 1954 cm³.

Allégées, dotées d’une culasse spéciale, les voitures s’autorisent un 140 km/h chrono en ligne droite, mais leur prestation ne convainc personne.

Elles portent les n° 26 et 27 et se battent dans la class 1501 à 2000 cm3.

La n° 27 est conduite par Pierre TABOURIN et Auguste LEFRANC qui participent pour la première fois à la course Mancelle.

(Copyright à qui de droit)

Les marques concurrentes dans la classe sont O.M (3), ROLLAND PILAIN (3), Georges IRAT (2), BIGNAN.

Durant la course, la bataille fait rage entre ses marques, mais les O.M (n° 17/18) sont hors de portée pour les Schneider.

Mais, arrivée à la fin de la course l’équipage TABOURIN/LEFRANC prend un demi-tour à la ROLLAND PILAIN (n°21) et termine la course à la 6ème place,

(Copyright à qui de droit)

Une belle performance pour la marque qui signe là néanmoins son dernier « succès » puisque les deux voitures engagées aux 24 heures du Mans de 1927 ne termineront pas l’épreuve.

Les dernières illusions s’envolent et l’épopée de Th.Schneider en compétition est définitivement révolue après une 9ème place au Grand Prix de Belgique !

Trop d’investissements financiers doivent désormais être engagés pour espérer s’imposer en course, et l’usine n’a plus les reins assez solides.

THEO SCHNEIDER 25 SP – 24 Heures du Mans 1926 – 4 cyl / 1954 cm³ – Concurrent: THEO SCHNEIDER - Pilotes : Pierre TABOURIN / Auguste LEFRANC – Class : 6ème (2037,950 kms à 84,914 km/h) - Miniature: GCAM

Modifié 11 août 2022 par christian82

LMMC73 · 12 août 2022

Le 09/08/2022 à 00:53, christian82 a dit :

Petite interruption de la présentation des Oreca...(pour souffler un peu.... ...), avec trois restaurations en cours,

Deux du Mans 1926 ....(et oui, un doublon déjà à cette époque)..., une presque terminée, mais pas de photo, elle est encore en salle peinture , .. la seconde décapage et reconstruction .....

...une du Mans 1950...prête pour aller faire un tour en salle de peinture.....

bonjour,

questions, tu n'as pas trop de mal à démonter les modèles qui sont assez fragiles ? je vois que les pneus sont HS, comment tu arrives à trouver les bonnes dimensions pour les remplacer ? encore une autre question, tu utilises quel produit pour décaper la résine ?

Il y a 15 heures, christian82 a dit :

Fin de la restauration de la Théo SCHNEIDER de 1926.....

Dans la première moitié de ce siècle, l’industrie automobile française ne se réduit pas exclusivement aux bassins parisien et lyonnais, véritables pépinières de constructeurs.

La ville de Besançon a, elle aussi, connu son heure de gloire avec la société Théo Schneider qui, grâce à ses différents modèles, a prouvé qu’elle avait sa place sur l’échiquier national des constructeurs automobiles réputés.
A la tête de cette entreprise, Théodore Schneider compte déjà une première expérience industrielle similaire puisqu’il avait créé, en 1889, avec son ami Edouard Rochet, une société de construction de vélocipèdes.

En 1909, Théo Schneider reprend sa liberté et retrouve alors Louis Ravel, patron des carburateurs Zénith avec qui il partage la passion de la course automobile.

C’est tout naturellement que les deux hommes s’associent pour créer, le 16 juin 1910, la société en commandite par actions des « Automobiles Théo Schneider », dont le siège social est implanté 28 avenue Fontaine Argent, à Besançon, dans les anciens ateliers Ravel.

Rejoints par l’ingénieur Antoine Jaubert, Louis Adenot (ancien directeur de l’usine Rochet de Lyon) et Henri Juvanon (représentant lyonnais de la marque) ils créent en moins de six mois leur première voiture, une 10/12 Hp remplie d’innovations qui ne seront adoptées que bien plus tard par la plupart des constructeurs.

Théodore Schneider, lui, s’occupe du développement des versions sportives et engage immédiatement des voitures dans de nombreuses épreuves qui l’emportent.

Ce début de renommée acquise sur les circuits permet à la marque de se développer, de proposer plusieurs modèles et de commencer à tisser un réseau d’agents à travers l’hexagone et même à l’étranger.

Durant les années suivantes les Théo SCHNEIDER s’imposent encore dans de nombreuses courses.

Ces bons résultats sportifs se traduisent par une augmentation notoire des ventes de voitures de tourisme.

Progressivement, la marque s’affirme grâce aux qualités de robustesse, d’endurance et de fiabilité de ses modèles, appuyée par un sérieux réseau d’agents et un important effort publicitaire.

A la fin du conflit 1914/1918, le temps est aux économies et l’activité reprend doucement avec seulement deux châssis tourisme au catalogue (un 14 HP quatre cylindres et un 20 HP six cylindres) et une camionnette 14 HP de 1.500 kg de charge utile avec des roues jumelées à l’arrière qui complète un catalogue très restreint, qui s étoffera l’année suivante avec quatre modèles.

En fait un petit sursaut, car l’entreprise est au bord de l’asphyxie et n’a toujours pas réussi à surmonter les difficultés liées à l’après-guerre, si bien qu’elle est déclarée en faillite au mois de novembre 1921.

Mais les chaînes de montage continuent à tourner, à un rythme certes moins effréné qu’auparavant, et un nouveau modèle, la 10HP sauve l’entreprise de la liquidation judiciaire.

(Copyright à qui de droit)

Sur la lancée, Théodore Schneider espère renouer avec le passé sportif de la marque.

et engage aux 24 heures du Mans de 1926 deux voitures dérivées de la 2 litres sport, deux modèles THEO SCHNEIDER 25 SP.

Elles sont équipées de moteurs 4 cylindre en ligne de 1954 cm³.

Allégées, dotées d’une culasse spéciale, les voitures s’autorisent un 140 km/h chrono en ligne droite, mais leur prestation ne convainc personne.

Elles portent les n° 26 et 27 et se battent dans la class 1501 à 2000 cm3.

La n° 27 est conduite par Pierre TABOURIN et Auguste LEFRANC qui participent pour la première fois à la course Mancelle.

(Copyright à qui de droit)

Les marques concurrentes dans la classe sont O.M (3), ROLLAND PILAIN (3), Georges IRAT (2), BIGNAN.

Durant la course, la bataille fait rage entre ses marques, mais les O.M (n° 17/18) sont hors de portée pour les Schneider.

Mais, arrivée à la fin de la course l’équipage TABOURIN/LEFRANC prend un demi-tour à la ROLLAND PILAIN (n°21) et termine la course à la 6ème place,

(Copyright à qui de droit)

Une belle performance pour la marque qui signe là néanmoins son dernier « succès » puisque les deux voitures engagées aux 24 heures du Mans de 1927 ne termineront pas l’épreuve.

Les dernières illusions s’envolent et l’épopée de Th.Schneider en compétition est définitivement révolue après une 9ème place au Grand Prix de Belgique !

Trop d’investissements financiers doivent désormais être engagés pour espérer s’imposer en course, et l’usine n’a plus les reins assez solides.

THEO SCHNEIDER 25 SP – 24 Heures du Mans 1926 – 4 cyl / 1954 cm³ – Concurrent: THEO SCHNEIDER - Pilotes : Pierre TABOURIN / Auguste LEFRANC – Class : 6ème (2037,950 kms à 84,914 km/h) - Miniature: GCAM

et toujours aussi rapide pour tes montages restaurations.

christian82 · 12 août 2022

Pour le démontage, c'est assez difficile car la résine est cassante lorsque je force dessus pour décoller,

Alors ensuite il faut réparer en perçant, inclure des tiges de ferraille de quelques dixièmes pour renforcer et recoller....

Pour la T.Schneider, le support de phare latéral s'est cassé trois fois, malgré la réparation avec forêt de 0.3, puis 0.5, puis 0.7, .... j'ai finalement remplacé la tige.

Pour les pneus, je me sers des mêmes que j'ai recollés, car je n'ai pas de pièces de rechange à ce niveau .....

Pour le décapage, je me sers du V33 Gel Express ..., pour la résine, il ne faut pas le laisser trop longtemps, car sinon elle se ramollit et se déforme.

Le plus difficile est de trouver les bons décals et des pièces de rechange , et pour cela GCAM m'a bien aidé pour certains modèles, chez SLM43 il n'y a plus rien, pour MCM et autres, je cherche sur la toile, et ce n'est pas évident car certains décals ne sont pas à la dimension d'origine, alors pour trouver aussi le bon graphisme des chiffres blancs, très très difficile pour ne pas dire impossible .....

protolm · 12 août 2022

Il y a 3 heures, christian82 a dit :

Pour le démontage, c'est assez difficile car la résine est cassante lorsque je force dessus pour décoller,

Alors ensuite il faut réparer en perçant, inclure des tiges de ferraille de quelques dixièmes pour renforcer et recoller....

Pour la T.Schneider, le support de phare latéral s'est cassé trois fois, malgré la réparation avec forêt de 0.3, puis 0.5, puis 0.7, .... j'ai finalement remplacé la tige.

Pour les pneus, je me sers des mêmes que j'ai recollés, car je n'ai pas de pièces de rechange à ce niveau .....

Pour le décapage, je me sers du V33 Gel Express ..., pour la résine, il ne faut pas le laisser trop longtemps, car sinon elle se ramollit et se déforme.

Le plus difficile est de trouver les bons décals et des pièces de rechange , et pour cela GCAM m'a bien aidé pour certains modèles, chez SLM43 il n'y a plus rien, pour MCM et autres, je cherche sur la toile, et ce n'est pas évident car certains décals ne sont pas à la dimension d'origine, alors pour trouver aussi le bon graphisme des chiffres blancs, très très difficile pour ne pas dire impossible .....

Pour decaper de la peinture sur carrosserie résine, le GLANZER fait le travail sans abîmer la résine.

Fait quand même un essai avant avec une chute.

christian82 · 12 août 2022

C'est quoi le GLANZER ?

Et cela fonctionne sur toutes les peintures ?

Modifié 12 août 2022 par christian82

protolm · 12 août 2022

à l’instant, christian82 a dit :

C'est quoi le GLANZER ?

C'est un produit utilisé pour nettoyer le carrelage. On le trouve en grande surface. C'est un bidon de couleur verte de 1 litre.

Il faut prendre le GLANZER "decapant".

On notera qu'il s'appelle maintenant EMSOL.

Tu verses le produit dans un bocal de taille suffisante pour y plonger entièrement le modèle à decaper.

Tu le laisses dedans le temps que le fût du canon refroidisse, puis tu la retires et tu donnes un coup de brosse à dents.

Si nécessaire tu le replonges dans le produit et bis repetita, jusqu'à ce que tu sois satisfait du résultat.

Puis tu laves le modèle à l'eau savonneuse.

Voilà.

Bon amusement.

LMMC73 · 12 août 2022

Il y a 4 heures, christian82 a dit :

Pour le démontage, c'est assez difficile car la résine est cassante lorsque je force dessus pour décoller,

Alors ensuite il faut réparer en perçant, inclure des tiges de ferraille de quelques dixièmes pour renforcer et recoller....

Pour la T.Schneider, le support de phare latéral s'est cassé trois fois, malgré la réparation avec forêt de 0.3, puis 0.5, puis 0.7, .... j'ai finalement remplacé la tige.

Pour les pneus, je me sers des mêmes que j'ai recollés, car je n'ai pas de pièces de rechange à ce niveau .....

Pour le décapage, je me sers du V33 Gel Express ..., pour la résine, il ne faut pas le laisser trop longtemps, car sinon elle se ramollit et se déforme.

Le plus difficile est de trouver les bons décals et des pièces de rechange , et pour cela GCAM m'a bien aidé pour certains modèles, chez SLM43 il n'y a plus rien, pour MCM et autres, je cherche sur la toile, et ce n'est pas évident car certains décals ne sont pas à la dimension d'origine, alors pour trouver aussi le bon graphisme des chiffres blancs, très très difficile pour ne pas dire impossible .....

merci pour ta réponse, il n'y a pas de recettes miracles et pas facile de faire ces restaurations. Tes reprises n'en sont plus que méritoires.

Pour les pneus il y a ce site qui en vend avec pas mal de dimensions

https://www.voituresminiatures.fr/290-pneus

je viens de recevoir cette BNC de 1929 kit SLM43, je pense faire une remise à niveau minimale : rajout des sangles du capot et repositionner l'aile avant droite

christian82 · 13 août 2022

Le 12/08/2022 à 19:19, protolm a dit :

C'est un produit utilisé pour nettoyer le carrelage. On le trouve en grande surface. C'est un bidon de couleur verte de 1 litre.

Il faut prendre le GLANZER "decapant".

On notera qu'il s'appelle maintenant EMSOL.

Tu verses le produit dans un bocal de taille suffisante pour y plonger entièrement le modèle à decaper.

Tu le laisses dedans le temps que le fût du canon refroidisse, puis tu la retires et tu donnes un coup de brosse à dents.

Si nécessaire tu le replonges dans le produit et bis repetita, jusqu'à ce que tu sois satisfait du résultat.

Puis tu laves le modèle à l'eau savonneuse.

Voilà.

Bon amusement.

Bien que je sois satisfait du V33, à l'occasion je fais acheter du Glanzer pour essayer,.......

..et en espérant ne pas me retrouver de corvée d'entretien des sols !! ....

Modifié 13 août 2022 par christian82

christian82 · 13 août 2022

Le 12/08/2022 à 20:02, LMMC73 a dit :

merci pour ta réponse, il n'y a pas de recettes miracles et pas facile de faire ces restaurations. Tes reprises n'en sont plus que méritoires.

Pour les pneus il y a ce site qui en vend avec pas mal de dimensions

https://www.voituresminiatures.fr/290-pneus

je viens de recevoir cette BNC de 1929 kit SLM43, je pense faire une remise à niveau minimale : rajout des sangles du capot et repositionner l'aile avant droite

Merci pour l'info, il me parait très intéressant ce site...

christian82 · 13 août 2022

En attendant le séchage de la seconde Théo Schneider et de la Skoda, j'ai commencé à préparer deux modèles des années 50, pour mettre dans une exposition de mon club, qui devrait se faire courant Septembre, dans une concession Renault....

Mon thème sera bien sur les Renault et dérivés aux 24 heures du Mans.....

Je vais devoir préparer aussi une expo, toujours pour Septembre, sur les films Fast & Furious.

Vous pouvez voir la pub à la télé en ce moment, où ils présentent les deux premiers numéros..

J'avais acheté les modèles à l'époque en Green Light et il y en était sortis 33.

Peut être qu'avec la collection Altaya j'obtiendrai des modèles jamais sortis, car les séries presse comme cela varie entre 50 et 70 modèles je pense .....

christian82 · 14 août 2022

Avancée sur les Renault, retour de peinture (mates) ....

christian82 · 16 août 2022

Fin de la restauration de la seconde Théo SCHNEIDER.....

La seconde Théo SCHNEIDER qui porte le n° 26 est conduite par Robert POIRIER et Antonin FONTAINE.

Les deux pilotes découvrent eux aussi le circuit Sarthois.

(Copyright à qui de droit)

Concourant dans la même catégorie que la n° 27, elle se bat contre les mêmes voitures : trois O.M, trois ROLLAND PILAIN, deux Georges IRAT et une BIGNAN.

(Copyright à qui de droit)

Mais la chance ne sera pas avec nos deux pilotes qui devront abandonner au 61ème tour.

THEO SCHNEIDER 25 SP – 24 Heures du Mans 1926 – 4 cyl / 1954 cm³ – Concurrent: THEO SCHNEIDER - Pilotes : Pierre Robert POIRIER / Antonin FONTAINE – Abandon 61ème tour (cause inconnue) - Miniature: GCAM

Modifié 16 août 2022 par christian82

christian82 · 17 août 2022

Retour en 2021, dans la catégorie LM P2 .....

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

PR1 MATHIASEN MOTORSPORTS est une écurie de sport automobile Américaine basée à FRESNO (Californie, Etats Unis) qui a été fondée en 1990.

Le nom de l'écurie fait suite à une fusion entre PR1 Motorsports et Mathiasen Motorsports, deux équipes qui étaient engagées dans le championnat de monoplace nord-américain, la Formula Atlantic.

L'écurie participe à l’ALMS et au championnat américain Weather Tech Sports Car Championship en y faisant courir des Oreca 07 dans la catégorie LMP2.

Pour sa première participation à la course Mancelle, elle engage en catégorie LM P2, une ORECA 07 sous le n° 24, motorisée par un V8 Gibson de 4200 cm3 développant environ 536 ch.

Elle est pilotée par Simon TRUMMER (4 participations), Gabriel AUBRY (3 participations) et Patrick KELLY (rookie).

Suite à la journée test, G.Aubry décroche un 3’33’’126 qui la place sur la 14ème place (9ème LM P2).

Lors des qualifications, il améliore son temps, mais ne peut se qualifier pour l’hyperpole (3’30’’123), et la n° 24 se retrouve sur la 14ème place de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Durant les deux premières heures, la n° 24 descend à la 18ème, puis 20ème position du général.

A 17h16, S.Trummer part en tête à queue à la Courbe Dunlop sans gravité.

Les deux heures suivantes les voient remonter à la 16ème place.

Mais à 21h00, P.Kelly sort entre Indianapolis et finit dans le bac à graviers à Arnage sans dommage. Il repart, et effectue un tête à queue à Indianapolis à 21h07.

A 22H24, la n° 24 rentre au stand suite à des problèmes électriques et est immobilisée 21’54.

A 00h21, nouveau retour dans le box pour la même raison durant 18’04.

Elle a chuté dans le classement et navigue entre les 48 et 51ème place du général.

A 01H09, la n° 24 est signalée arrêtée après la Dunlop, puis repart vers son stand où elle arrive à 01h23.

Elle y reste 22’36 pour d’incurables problèmes électriques.

Suite à tous ces arrêts, elle a chuté en 21ème place de sa catégorie, à dix neuf tours des leaders.

A 11h00, P.Kelly est signalé au ralenti sur les Hunaudières, toujours suite à des problèmes électriques.

De retour au stand et sans solution, l’abandon sera officialisé à 13h24.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : PR1 MATHIASEN MOTORSPORTS – Pilotes : Simon TRUMMER / Gabriel AUBRY / Patrick KELLY – Abandon 20ème heure ( Sortie de piste ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

pprv94 · 17 août 2022

Très belle présentation, pour une Oreca à la livrée bien sympa

christian82 · 17 août 2022

Suite des LM P2......

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

JOTA SPORTS est une écurie de sport automobile britannique fondée en 2000 par Simon DOLAN ,basée à Frant (Angleterre).

En 2007, Simon Dolan reprend Jota Sport, une filiale de la société aéronautique Jota Aviation (dans laquelle il était investisseur), spécialisée dans le sport automobile.

Les années suivantes voient dix participations aux 24 heures du Mans, en Championnat du Monde d’Endurance FIA et en ELMS.

Pour sa onzième participation aux 24 Heures du Mans, JOTA engage deux ORECA 07 sous les n° 28 et 38.

Elles sont propulsées par le moteur V8 Gibson de 4200 cm³ (603cv).

La n° 28 est pilotée par Tom BLOMQVIST (1 participation), Stoffel VANDOORNE (1 participation) et Sean GELAEL (rookie).

Lors des essais et qualifications, l’équipage est au complet et T.Blomqvist réalise un 3’29’’835 qui les place sur la 12ème place, mais temps insuffisant pour participer à l’hyperpole.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Dès le départ la n° 28 se situe dans le groupe de tête du LM P2, précédée par sa sœur d’écurie.

Les pilotes ne lâchent rien, et remontent dans le classement régulièrement, à tel point qu’à la fin de la quatrième heure de course, ils sont en tête de leur catégorie.

A 17h17, S.Gelael traverse le bac à graviers à Mulsanne.

Neuf tours plus tard, à 21h50, un Drive-Trough pour avoir coupé la ligne blanche de l’accès à la Pit Lane, fait chuter à la dixième place du classement général.

A 21h54, nouvelle sanction de 1’30 (stop and Go) pour n’avoir pas respecté le feu rouge en bout de Pit Lane.

Les pilotes se battent toute la nuit, et à 06h00 elle pointe à la troisième place du LM P2 et 8ème du classement général.

La matinée et le début d’après-midi se déroulent bien et la n° 28 frannchit la ligne darrivée à la 7ème place du classement général et à la seconde position du LM P2.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : JOTA – Pilotes : Tom BLOMQVIST / Stoffel VANDOORNE / Sean GELAEL – Class : 7ème (2ème LM P2 ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

christian82 · 17 août 2022

Suite des LM P2......

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 38 est pilotée par Anthony DAVIDSON (12 participations), Roberto GONZALES (4 participations) et Antonio Félix DA COSTA (3 participations).

Pour la journée test, A.F Da Costa est absent, et A.Davidson réalise un 3’34’’478 qui positionne la n° 38 en 24ème position.

Suite aux essais et qualifications, A.F Da Costa décroche un 3’28’’807 qui permet à la n° 38 d’accéder à l’Hyperpole.

Lors de cette séance, il obtient un 3’27’’950, meilleur temps des LM P2, qui place la voiture sur la 6ème place de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Dès le départ, la n° 38 est en tête de sa catégorie , mais à 18h39, A.Davidson perd le contrôle sous la pluie qui vient de revenir sur le circuit à hauteur de la courbe Dunlop.

Elle va boucler son tour en 9’ et va retomber à la 24ème place du LM P2, à un tour des leaders.

Va alors commencer une remontée, qui va être interrompue dans la 6ème heure (21h/22h00) par une fuite d’huile.

26’23’’ seront perdues au stand alors qu’elle était revenue 13ème du LM P2, et la n° 38 revient à la 20ème place de sa catégorie à 22h00.

Toute la nuit et la matinée, les pilotes vont attaquer, et à 13h00, la n°38 pointe en 8ème place du LM P2 et à la 14ème place du général.

Finalement, elle passe la ligne d’arrivée à la 13ème place du général et à la 8ème de sa catégorie.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : JOTA – Pilotes : Anthony DAVIDSON / Roberto GONZALES / Antonio Félix DA COSTA – Class : 13ème (8ème LM P2 ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

christian82 · 17 août 2022

Suite des LM P2......

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

DUQUEINE TEAM, (anciennement Duqueine Engineering) est une écurie Française de sport automobile, fondée en 2014 par Gilles Duqueine et Yann Belhomme.

L’écurie basée à ALES participe à différentes compétitions automobiles.

Pour sa troisième participation aux 24 Heures du Mans, l’ écurie engage une ORECA 07, qui porte l’habituel n° 30.

Elle est équipée d’un moteur V8 Gibson de 4200 cm³ (603cv), et est pilotée par Tristan GOMMENDY (11 participations), Memo ROJAS Jr (5 participations) et René BINDER (2 participations).

Sur la journée test, R.Binder décroche un 3’33’’524 qui place la n° 30 en 15ème position (10ème LM P2).

Après les journées d’ essais et qualifications, T.Gommendy réalise un 3’30’’691 qui l"amène en 20ème position de la grille de départ (15ème LM P2), mais est insuffisant pour être qualifié en Hyperpole.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Le début de course de la n° 30 est assez chaotique avec cinq arrêts pour des soucis électroniques entre 17h20 et 18h36.

A la troisième heure de course, elle est en dernière position du LM P2 à trois tours de ses leaders.

De plus un Drive Trough reçu à 18h23 pour avoir coupé la ligne blanche de la voie des stands n’arrange rien à l’affaire.

Les pilotes se battent et à la sixième heure de course (21h/22h00), ils sont remontés à la 17ème position de catégorie.

La nuit se passe bien et ils occupent la dixième place de catégorie lors de la 17ème heure de course

(08h/09h00).

La lutte continue et la n° 30 passe la ligne d’arrivée en 14ème position du général et 9ème du LM P2.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : DUQUEINE TEAM – Pilotes : Tristan GOMMENDY / Memo ROJAS Jr / René BINDER – Class : 14ème (9ème LM P2 ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

christian82 · 17 août 2022

Suite LM P2 ...

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

INTER EUROPOL COMPETITION est une écurie de sport automobile polonaise fondée en 2010.

Elle participe a différents championnats tels que l’ALMS, ELMS, le championnat VDV et le Boss GP.

Inter Europol, le partenaire titre de l'écurie, est une entreprise polonaise leader dans la fabrication du pain en Pologne. Le vert représente les champs et le jaune représente le soleil.

Pour sa troisième participation aux 24 Heures du Mans, elle a délaissé sa Ligier JS P217 pour engage une ORECA 07, équipée d’un V8 Gibson de 4200 cm³ (603 cv) sous le n° 34.

A son volant, l’équipage se compose de : Alex BRUNDLE (7 participations), Renger VAN DER ZANDE (4 participations) et Jakub SMIECHOWSKI(2 participations).

Lors de la journée test, A.Brundle place la n° 34 sur la 22ème place (17ème LM P2) - 3’33’’941.

Sur les journées d’ essais et qualifications, malgré la meilleure vitesse de pointe du LM P2 (323,9 km/h), c’est encore A.Brundle qui réalise le meilleur temps - 3’30’’908 – et amène la n° 34 en 22ème position de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Dès le départ, les pilotes attaquent et la n° 34 jouent dans le top 5 du LM P2.

Sur la piste humide, l’ Oreca Interpol est signalée en tête à queue à Indianapolis à 16h51.

Vingt minutes plus tard, à 17h10, même figure à la courbe Dunlop.

Les relais et ravitaillements s’enchainent pour une voiture qui se maintient entre les 9 et 11ème places du général.

A 06h57, la n° 34 s’accroche avec la Ligier n° 74 au niveau de la première chicane et finit dans le bac à graviers.

Cet incident n’a aucun influence sur le classement, elle occupe alors la 5ème place du LM P2.

Elle doit rentrer au stand pour réparations et 2’11 seront perdues ainsi qu’un espoir de podium de catégorie.

Les pilotes maintiennent leur classement et passe la ligne d’arrivée à la 10ème place du classement général et à la 5ème de sa catégorie.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : INTER EUROPOL COMPETITION – Pilotes : Alex BRUNDLE / Renger VAN DER ZANDE / Jakub SMIECHOWSKI – Class : 10ème (5ème LM P2 ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

christian82 · 17 août 2022

Suite LM P2 ...... 🙄

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

REALTEAM RACING est une écurie de sport automobile Suisse, fondée en 2013, qui évolue au sein du Championnat du monde d'Endurance FIA WEC.

Après deux années d’apprentissage en LMP3, Realteam Racing s’engage pour la première fois aux 24 heures du Mans, en catégorie LM P2 avec une ORECA 07 sous le n° 70.

Comme pour ses sœurs de catégorie, elle est équipée d’un V8 Gibson de 4200 cm³ (603 cv).

Elle est pilotée par Loïc DUVAL (9 participations), Norman NATO (3 participations) et Esteban GARCIA (Rookie).

Lors de la journée test où E. GARCIA est absent, L.Duval réalise un 3’33’’758 qui place l’Oreca sur la 18ème position (13ème LM P2).

Les essais et qualifications voient la n° 70 rater l’Hyperpole de 0’’031 en raison du trafic.

L.Duval obtient un chrono de 3’29’’861 qui place le proto sur la 13ème plac de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

N.Nato prend le départ et se maintient dans les 15 premiers du classement général.

A 18h03, L.Duval prend le volant et on retrouve la n° 70 à la 8ème place de sa catégorie au terme de la quatrième heure de course.

Au cours de la nuit, la n° 70 pointe régulièrement entre les 12 et 14ème places du général.

A 03h07, E.Garcia part en tête à queue au Tertre Rouge sur une piste humide, et réédite la même figure à 03h28 à la première chicane.

A 05h45, lors du changement de pilote Duval/Nato, la Realteam est 9ème du LM P2.

Depuis la 17ème heure de course (08h/09h00), l’Oreca n° 70 occupe la première place du LM P2 Pro-Am, mais des soucis moteur vont la faire chuter à la 17ème place du général et à la 12ème du LM P2 lors de la 21ème heure de course.

Les pilotes de la n° 70 ne vont plus quitter ces positions jusqu’à la ligne d’arrivée, mais prennent quand même la 3ème place du LM P2 Pro/Am.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : REALTEAM RACING – Pilotes : Loïc DUVAL / Norman NATO / Esteban GARCIA – Class : 17ème (12ème LM P2 – 3ème LM P2 Pro-Am ) - Miniature: SPARK

Modifié 17 août 2022 par christian82

christian82 · 18 août 2022

Suite LM P2.... 🙄

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

RISI COMPETIZIONE (ex Doyle-Risi Racing) est une écurie automobile américaine fondée en 1997 par Giuseppe RISI et basée à Houston, (Texas).

En 1998, l'écurie s'engage en Championnat IMSA GT avec une Ferrari 333 SP et dispute ses premières 24 Heures du Mans.

Les années suivantes, la Ferrari 333 est remplacée par une LOLA BK/40, puis par des Ferrari 360 Modena GT, 488 et 488 GTE.

Elle remporte deux victoires en GTE en 2008 et 2009.

Cette année, l’écurie change de catégorie, quitte le GTE Pro et passe en LM P2, en engageant une ORECA 07 sous le n° 82.

Equipée d’un V8 Gibson de 4200 cm³ (603 cv), elle est pilotée par Oliver JARVIS (9 participations), Ryan CULLEN (2 participations) et Felipe NASR (1 participation).

Lors de la journée test , F.Nasr obtient un chrono de 3’32’’662 qui place la n° 82 sur la 11ème position (6ème LM P2).

La concurrence est rude lors des qualifications et, toujours F.NASR améliore son chrono (3’30’’418), mais qui est insuffisant pour l’hyperpole.

L’Oreca américaine se retrouve sur la 19ème place de la grille de départ (14ème LM P2).

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Engluée dans le peloton des LM P2, la n° 82 a du mal à remonter dans le classement et pire semble manquer de puissance dû à un manque d’appui arrière.

Cette partie de la voiture a été abîmé, et le team décide d’attendre une neutralisation pour réaliser la réparation.

A 19h20, c’est chose faite, et 19 minutes d’immobilisation sont nécessaires pour réparer les fixations du capot arrière, avant de reprendre la piste.

Elle a chuté à la 35ème place du classement général.

Les pilotes vont cravacher et récupérer ce retard.

A la 8ème heure de course (23h/00h00), il sont remontés à la 20ème position, puis à la 17ème dans l’heure suivante, malgré une sortie de piste à la 1ère chicane de R.Cullen 23h50.

A 00h29, il repart à la faute et perd quelques positions.

A 005h14, la n° 82 doit s’arrêter au stand pour réparer, suite à des débris dans le radiateur et retombe à la 24ème place.

Repartie, la matinée se déroule sans trop de problème, mais dans la 18ème heure (09h/10h00), elle rentre au stand pour une fuite d’huile alors qu’elle était remontée en 21ème position.

A 11h06, la n° 82 est moteur fumant et rentre au stand.

A 11h22, le V8 Gibson a cassé, et c’est l’abandon.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : RISI COMPETIZIONE – Pilotes : Oliver JARVIS / Ryan CULLEN / Felipe NASR – Abandon 20ème heure (moteur cassé ) - Miniature: SPARK

Modifié 19 août 2022 par christian82

christian82 · 18 août 2022

Et pour finir cette longue liste d'ORECA 07 de 2021......

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

Avant tout, petit retour en arrière…

Nous sommes en 2016, cette année-là, Frédéric Sausset, pilote quadri-amputé à la suite d'un accident bactériologique, alors âgé de 47 ans devient le premier pilote handicapé de l'histoire à participer à la plus grande course d'endurance du monde.

Son exploit a évidemment marqué l'histoire du sport automobile et celui-ci ne sera que le début d'un nouveau tournant dans la lutte pour l'accession des handicapés au sport automobile de haut niveau.

En effet, Frédéric Sausset fonde quelques années plus tard (2018) l'écurie SRT 41 qui a pour but d'offrir un volant à des pilotes en situation de handicap.

Cette année 2021, l’écurie basée à Blois, engage sous le n° 84 une ORECA 07, motorisée par un V8 Gibson de 4200 cm³ développant environ 603 cv.

La voiture est adaptée aux pilotes non-valides, avec plusieurs spécificités dont l’accélérateur, les vitesses, l’embrayage et le frein situés au niveau ou à côté du volant.

Seule en lice dans la catégorie Innovative Car, elle peut compter sur deux pilotes paraplégiques: le Japonais Takuma AOKI (rookie) et le Belge Nigel BAILLY (rookie), ainsi que sur le pilote valide Français, Matthieu LAHAYE ( 4 participations).

Ce dernier a remplacé François Heriau, blessé dix jours avant le départ.

Sur la journée test, c’est M.LAHAYE qui réalise un temps de 3’37’’171 et qui donne la 28ème place à la n° 84.

Concourant hors classement, l’Association SRT 41 attaque les qualifications sereinement et M.LAHAYE signe un 3’33’’538 (après huit ans d’absence), et place l’Oreca sur la 28ème place de la ligne de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Le début de course de la voiture SRT 41 est plutôt compliqué.

Après le bon départ de Matthieu Lahaye, l’ancien motard Takuma Aoki (5e du championnat du monde de vitesse en catégorie 500 cm3 en 1997), sort de la piste au niveau de la chicane Dunlop à 18 h 34, et s’enlise dans le bac à graviers.

En mauvaise posture, un manitou doit dégager la voiture.

La n° 84 repart en 59e place, en avant-dernière position et une folle remontée est alors engagée.

A 01h20, la n° 84 tire tout droit dans l’échappatoire de la 2ème chicane des Hunaudières.

A 06h00, T.Aoki tire tout droit à Arnage, et à 06h06, prend l’échappatoire des virages Porsche, mais sans gravité.

Mais le temps s’écoule, d’autant que les changements de pilote nécessitent plus de temps car la voiture doit être rentrée dans le stand pour plus de sécurité.

A 07h00, la n° 84 est pointée en 37ème position du classement général, les trois pilotes enregistrant des chronos sans cesse en amélioration.

A 14H04, la SRT41 tire tout droit à la 1ère chicane des Hunaudières, sans conséquence.

Après un dernier relais pris par le Japonais à 38 minutes du terme de la course, la SRT 41 franchit la ligne, après 336 tours, sous les acclamations du public, à la 32e position pour le plus grand bonheur de son manager.

ORECA 07 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : Association SRT 41 – Pilotes : Matthieu LAHAYE / Nigel BAILLY / Takuma AOKI –32ème (1ère classe Voiture Innovante) - Miniature: SPARK

Modifié 19 août 2022 par christian82

christian82 · 18 août 2022

Pour terminer cette longue liste de LM P2 de 2021..... (trop longue, toutes identiques...... ça me rappelle l'époque des Porsche 956/962.... ......) .... voici la présentation de la dernière de cette catégorie .....

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

RACING TEAM INDIA EURASIA (ex Eurasia Motorsport) est une écurie de course automobile basée à Manille (Philippines), dirigée par son propriétaire et team manager Mark Goddard.

Fondée en 2003, l’écurie s’est d’abord révélée en monoplace (F3, V6 Asia, BMW Pacific ….), avant de venir en Asian Le Mans Séries et en European Le Mans Séries.

Participant aux 24 Heures du Mans depuis 2016, elle engage cette année en LM P2, sous le n° 74, une LIGIER JS P217.

Ce prototype est équipé d’un moteur V8 Gibson de 4200 cm³ développant environ 603 cv.

Il est piloté par James WINSLOW (4 participations), Tom CLOET (1 participation) et John CORBETT (1 participation).

La journée test voit la n° 74 obtenir la 31ème place – J.Winslow : 3’39’’705.

Pour les qualifications, J.Winslow améliore son chrono en 3’36’’012 et décroche la 30ème place sur la ligne de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

A 16H13, sur la chaussée humide, T.Cloet vient percuter la Toyota n° 8 dans le premier tour à Arnage.

La sanction suit à 16h45 pour cette faute : 10’’ de pénalité.

Les pilotes se battent et remontent dans le classement dan les premières heures de course, de 37ème dans la 2ème heure, on les retrouve 32ème dans la 5ème heure.

Ils vont naviguer à ce niveau durant de nombreuses heures.

A 21H12, T.Cloet qui a pris son relais ne peut éviter au niveau des virages Porsche, la n° 1 qui a déjà été percutée par la n° 26.

Il doit rentrer au stand pour réparations, d’où il repart 6’ après.

A 21h20, la n° 74 écope d’une nouvelle pénalité de 10’’ pour vitesse excessive sous Slow Zone.

A 23h15, reconnu responsable pour l’accrochage avec la n° 1, il écope à nouveau de 10’’ de pénalité.

La nuit se passe relativement bien, sans amélioration ..... mais sans difficulté.

A 06H57, J.Corbett s’accroche avec l’Oreca n° 34 et reçoit un Drive Through pour cette action à 07h24.

A la 20ème heure de course, la n° 74 est enregistrée à la 28ème place du classement général et à la 16ème de sa catégorie.

Elle n’améliore pas et quatre heures plus tard passe la ligne d’arrivée dans ces positions.

LIGIER JS P217 - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 / 4200 cm³ – Concurrent : RACING TEAM INDIA EURASIA – Pilotes : James WINSLOW / Tom CLOET / John CORBETT – Class : 28ème (16ème LM P2) - Miniature: SPARK

Modifié 19 août 2022 par christian82

christian82 · 20 août 2022

On va changer de catégorie.....

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

AF CORSE est une écurie de course italienne fondée par l'ancien pilote Amato Ferrari, basée à Piacenza (Italie).

Engagée des les différents championnats Blancpain Endurance Séries, International GT Open, FIA GT, Le Mans Series et WEC avec des Ferrari 488 GTE, l’écurie est invitée tous les ans aux 24 heures du Mans depuis 2007.

Cette année AF Corse engage deux FERRARI 488 GTE Evo sous les n° 51 et 52, dans la catégorie LM GTE Pro.

Equipées de moteurs V8 biturbo de 3996 cm³ (485cv), la n° 51 est pilotée par James CALADO (6 participations), Alessandro PIER GUIDI (5 participations) et Cöme LEDOGAR (3 participations).

Les temps enregistrés lors de la journée test place la n° 51 sur la 35ème place (4ème LM GTE Pro – 3’53’’080, J.Calado).

Les chronos réalisés lors des essais libres et des qualifications permettent à la n° 51 d’accéder à Hyperpole (4ème LM GTE Pro – Qualif :3’46’’581 – Hyperpole : 3’47’’247, J.Calado) et la placent sur la 34ème place de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Lors du tour de lancement, la Ferrari n° 51 percute l’arrière et le le diffuseur de la Corvette n° 64 qui doit rentrer au stand.

A 16h51, J.Calado traverse le bac à graviers aux esses de la forêt.

Les deux Ferrari AF CORSE roulent de concert en tête de la catégorie, la n°51 en seconde position derrière sa sœur d’écurie.

Mais après l’arrivée de la pluie, la n° 51 est passée devant, en tête de sa catégorie et à la 22ème place du classement général.

Mais vers 23h00, une autre menace devient plus présente sur elle, la Corvette n° 63 suit à 4,6’’, en seconde position.

La lutte avec l’Américaine va durer plusieurs heures, et à 03h00, l’avance de la Ferrari n’est que de 90’’.

Le dimanche matin, la n° 51 est toujours en tête de sa catégorie et 22ème du classement général.

Elle ne rencontre aucun problème, et l’ espoir de 1ère marche du podium est bien réel, bien que la lutte avec la n° 63 se poursuive.

A 10h31, la n° 51 rentre au stand pour un changement de freins, mais pour ne pas perdre sa place - (chez Corvette on comptait sur un remplacement complet des pièces pour prendre la tête de la catégorie) - seules les plaquettes seront remplacées, les disques seront laissés en place, et ainsi l’arrêt ne dure que deux minutes.

Elle passe la ligne d’arrivée en tête du GTE Pro, à la 21ème place du classement général, et à 41'8’’ de sa poursuivante, la Corvette n° 63.

FERRARI 488 GTE Evo - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 Biturbo / 3996 cm³ – Concurrent : AF CORSE – Pilotes : James CALADO / Alessandro PIER GUIDI / Cöme LEDOGAR – Class : 21ème (1ère LM GTE Pro) - Miniature: LOOK SMART

Modifié 20 août 2022 par christian82

christian82 · 20 août 2022

Suite LM GTE Pro.....

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 52 est pilotée par Sam BIRD (7 participations), Daniel SERRA (4 participations) et Miguel MOLINA (4 participations).

Lors de la journée test, la n° 52 décroche la 36ème place (5ème LM GTE Pro) derrière sa sœur d’écurie – 3’53’’091, M.Molina.

Pour les qualifications, D.Serra place la n° 52 en tête des GTE Pro – 3’46’’011, et participe à l’Hyperpole, où il décroche un 3‘47’063 qui la place en seconde position du GTE Pro, derrière la Porsche n° 72, et sur la 32ème place de la grille de départ.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

A 17h00, la Ferrari AF CORSE n° 52 précède la n° 51 et se trouve en tête du GTE Pro.

Mais la pluie arrive, et les positions sont échangées, et les deux voitures vont se suivre ainsi durant plusieurs heures.

A 21h02, la n° 52 s’accroche avec la Ferrari n° 71 dans les virages Ford.

Dans la 8ème heure (23h-00h00), la Corvette n° 63 va s’emparer de la seconde place de la catégorie, détrônant la n° 52.

La nuit est sans problème jusqu’à 05h51, où elle doit rentrer au stand et est poussée dans le box pour un problème de suspension avant.

La réparation dure 31’35, et lorsque D.Serra reprend la piste, la n° 52 est 5ème de sa catégorie, 29ème du classement général.

A 09h47, la n° 52 pilotée par S.Bird éclate son pneu à l’avant droit.

Il rallie son stand à 09h55, et le temps de réparer, il repart à 10h16, mais a chuté à la 39ème place du général, à 10 tours de retard sur la Porsche n° 91 qui la précède.

Six heures plus tard, la n° 52 passe la ligne d’arrivée en 37ème position du général et à la 5ème place du LM GTE Pro.

FERRARI 488 GTE Evo - 24 Heures du Mans 2021 – V 8 Biturbo / 3996 cm³ – Concurrent : AF CORSE – Pilotes : Sam BIRD / Daniel SERRA / Miguel MOLINA – Class : 37ème (5ème LM GTE Pro) - Miniature: SPARK

Modifié 20 août 2022 par christian82

christian82 · 21 août 2022

Fin d'une restauration....

24/25 Juin 1950, 18ème édition des 24 Heures du Mans,

ŠKODA AUTO, usuellement nommé Škoda, est un constructeur automobile Tchèque créé en 1895 sous le nom de Laurin & Klement (et appartenant depuis 1991 au groupe allemandVolkswagen VAG).

Si le groupe industriel Škoda existe depuis 1869, la division automobile n’apparaît que 50 ans plus tard. Il faudra attendre 1926 pour voir la première voiture de série avec le nom de la marque.

Réticent dans les années 1930, Škoda finit par s’engager en sport automobile à la fin des années 1940, notamment grâce aux 1101 et 1102.

Son premier fait d’armes remonte à 1948 lorsque trois 1101 Tudor de série terminent groupées les 24 heures de Francorchamps à plus de 82 km/h de moyenne.

Après quelques résultats positifs au Rallye des Tulipes et au Rallye Monte Carlo, Škoda décide de mettre au point une barquette 1102 Sport qui sera en 1950, pour son unique apparition aux 24 heures du Mans, engagée en catégorie 751 à 1100 cm³.

Cette SKODA Sport, équipée d’un moteur 4 cylindres de 1089 cm³, portant le n° 44, est pilotée par Vaclav BOBECK et Jaroslav NETUSIL qui découvrent le circuit Sarthois.

(Copyright à qui de droit)

Le 24 juin, à 16h00, Mr Jean LETOURNEAU (Ministre Français des Etats Associés) donne le départ aux 60 engagés.

La Course voit s’aligner des modèles de course, des voitures de sport, des modèles commerciaux et des modèles de série.

Dans sa catégorie, la n° 44 se bat contre une Simca 8 (n° 40), des Simca Gordini TMM (n° 41) et T15S (n° 42 et 43), et des Renault 4cv (n° 45, 46, 47 et 48).

(Copyright à qui de droit)

La n° 44, pointée en 27ème position au général dès la deuxième heure, remonte dans le classement régulièrement d’une ou deux places par heure.

A la 10ème heure de course, elle occupe la 22ème place qu’elle ne vas plus quitter jusqu”à la 13ème heure.

(Copyright à qui de droit)

Malheureusement, dans la quatorzième heure, un problème mécanique (bielle) oblige la n° 44 à l’abandon.

(Copyright à qui de droit)

On ne reverra plus jamais de Skoda dans la course Mancelle.

SKODA Sport - 24 Heures du Mans 1950 – 4 cyl. / 1089 cm³ – Concurrent: Usine SKODA – Pilotes : Vaclav BOBECK / Jaroslav NETUSIL – Abandon 14ème heure (Bielle) - Miniature: Kit SLM43

Modifié 21 août 2022 par christian82

christian82 · 22 août 2022

Retour en 2021... LM GTE Pro...

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

HUB AUTO RACING est une équipe internationale de sport automobile propriété de Morris Chen, fondée en 2018, basée à Taïwan avec des succursales aux États-Unis, au Japon et en Malaisie,

Pour sa seconde participation à la ronde mancelle, Hub Auto Racing a délaissé sa Ferrari 488 GTE Evo pour engager une PORSCHE 911 RSR-19.

Le team a quitté également la catégorie LM GTE Am pour s’engager en LM GTE Pro.

Propulsée par un flat 6 de 4195 cm³ (-515cv), elle porte le n° 72, et est pilotée par Maxime MARTIN (6 participations), Alvaro PARENTE (2 participations) et Dries VANTHOOR (1 participation).

Suite à la journée test du dimanche 15 août, la n° 72 obtient la 37ème place (6ème LM GTE Pro) – D.Vanthoor 3’53’’221.

Lors des qualifications, il réalise un 3’47’’599 qui le place en seconde position des GTE Pro, mais réussit la pole durant l’Hyperpole, en 3’46’882 qui lui octroie la 31ème place sur la ligne de départ

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

A 16h13, la n° 72 part en tête à queue à la courbe Dunlop.

Partie de la 33ème place, elle chute à la 46ème place dans la première heure.

A 16h47, elle est percutée par la Ligier n° 74 qui prendra une pénalité pour cela.

A 17h39, elle écope d’un Drive Trough pour non respect des limites de piste.

A 21h13, elle rentre au stand durant 8’58’’, ainsi qu’à 22h24 pour 4’, ce qui la fait retomber de la 38ème à la 42ème place.

Les heures suivantes les pilotes remontent le retard régulièrement et gagne environ une place toutes les heures, malgré un autre Drive Trough pour dépassement sous Safety Car à 23h58.

A mi-course, elle pointe en 33ème position du général et se retrouve dernière des LM GTE Pro suite à l’abandon de la Porsche n° 79, à trois tours des leaders de catégorie.

La fin de nuit se passe relativement bien, mais à 08h26, D.Vanthoor part dans le bac à graviers à la courbe Dunlop.

Il n’arrive pas à redémarrer l’auto, malgré les conseils des membres de l’équipe, la transmission a lâché, c’est l’abandon.

PORSCHE 911 RSR-19 - 24 Heures du Mans 2021 – Flat 6 / 4195 cm³ – Concurrent : HUB AUTO RACING – Pilotes : Maxime MARTIN / Alvaro PARENTE / Dries VANTHOOR – Abandon 17ème heure (Transmission) - Miniature: SPARK

Modifié 22 août 2022 par christian82

christian82 · 22 août 2022

Suite et fin du LM GTE Pro 2021 .....

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

WEATHERTECH RACING est une écurie Américaine de sport automobile basée à Los Angeles (Californie), qui participe pour la troisième fois consécutive aux 24 Heures du Mans.

Le team engage en LM GTE Pro une PORSCHE 911 RSR-19, sous le n° 79.

Elle est motorisée par un Flat 6 de 4194 cm³ (- 515cv) et est confiée à Cooper Mc NEIL (6 participations), Earl BAMBER (5 participations) et Laurens VANTHOOR (5 participations).

Lors de la journée test, E.Bamber obtient un chrono de 3’52’’938 qui place la n° 79 sur la 34ème position (3ème LM GTE Pro).

Lors des qualifications, il réalise un 3’47’’682 qui lui permet de faire accéder son équipe à la 37ème place de la grille de départ (7ème GTE Pro), mais le temps est insuffisant pour participer à l'Hyperpole.

Le 21 août, à 16h00, MrJohn Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Dans la 1ère heure de course, la n° 79 remonte à la 26ème place, mais dans la deuxième heure et les suivantes, elle reste dans la trentaine.

A partir de 19h48, C.Mc Neil a pris le volant mais perd du terrain face à la concurrence et chute à la 34ème place.

Elle remonte dans le classement les heures suivantes, mais à 02h26, C.Mc Neil percute les rails de l’avant et de l’arrière au virage du raccordement.

Il rentre au stand, mais le mal est profond, le châssis est touché.

L' abandon est officialisé à 02h53.

PORSCHE 911 GTS-R - 24 Heures du Mans 2021 – Flat 6 / 4195 cm³ – Concurrent :WEATHER TECH RACING – Pilotes : Cooper Mc NEIL / Earl BAMBER / Laurens VANTHOOR – Abandon 11ème heure (Sortie de piste) - Miniature: SPARK

Modifié 22 août 2022 par christian82

christian82 · 23 août 2022

Début du LM GTE Am 2021 ...

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

ABSOLUTE RACING est une écurie Chinoise, dirigée par Fabien Fior et Ingo Matter, basée à Sepang (Malaisie).

Pour sa première participation l’écurie se présente avec une PORSCHE 911 RSR-19 équipée d’un Flat 6 de 4194 cm³ (- 515cv).

Elle est pilotée par Marco SEEFRIED (1 participation), Andrew HARYANTO (rookie) et Alessio PICARIELLO (rookie).

Proton Competition doit apporter un soutien technique à l'engagement.

A.Picariello amène la n° 18 sur la 48ème place lors de la journée test (3’55’’011).

Lors de la première séance d’essais, la 911 Absolute est 4ème du GTE Am, mais cela ne sera pas confirmé par la suite, et c’est sur la 51ème place que se retrouve la n° 18 ( A.Picariello 3’50’’016 -13ème LM GTE Am).

Elle ne pourra participer à l’Hyperpole.

Le 21 août, à 16h00, Mr John Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Remontée en 56ème position dans la première heure, M.Seefried se montre très prudent lors de la deuxième heure, et la n° 18 est pointée en dernière position de sa catégorie et à la 60ème place du général.

A 18h32, le pilote se fait piéger sur la piste humide et part en tête à queue au Tertre Rouge.

Profitant d’une piste asséchée, ses collègues vont ramener la voiture à la 15ème place de catégorie et à la 50ème place du général dans la sixième heure.

Mais à 22h58, un changement de biellette de direction va lui faire perdre du temps (17’) et la faire descendre à la 54ème place, ..... tout est à refaire pour ses pilotes.

A partir de là, ils vont remonter le retard et gagner de une à trois places par heure.

La nuit et la matinée se passent bien,

A 06h00 (15ème heure de course), la n° 18 est pointée en 40ème position du général, puis deux heures plus tard en 38ème position.

A la 20ème heure (11h00/12h00), elle a atteint la 35ème place, qu’elle va conserver les trois heures suivantes, malgré une lutte sévère avec l’Aston Martin n° 95.

Dans la dernière heure, elle gagne encore une place, mais la n° 95 est à la chasse, et elle ne la devancera que de 26 secondes au baissez du drapeau d’arrivée.

Elle passe la ligne d’arrivée à la 34ème/44 place du général et à la 7ème/14 place du GTE Am.

PORSCHE 911 GTS-R - 24 Heures du Mans 2021 – Flat 6 / 4195 cm³ – Concurrent :ABSOLUTE RACING – Pilotes : Marco SEEFRIED / Andrew HARYANTO / Alessio PICARIELLO – Class : 34ème (7ème LM GTE Am) - Miniature: SPARK

Modifié 23 août 2022 par christian82

christian82 · 23 août 2022

Suite du LM GTE Am 2021...

21/22 Août 2021, 89ème édition des 24 Heures du Mans,

TF SPORT est une écurie de sport automobile britannique fondée en 2014 et dirigée par l'ancien pilote BTCC Tom Ferrier.

Basée à Horsham, elle engage des Aston Martin dans des courses GT à travers l'Europe et bénéficie du soutien et de l'expérience d' Aston Martin Racing.

Pour sa quatrième venue dans la course Mancelle, elle engage en catégorie LM GTE Am deux ASTON MARTIN Vantage AMR sous les n° 33 et 95.

Elle sont équipées de moteur V8 biturbo de 3982 cm3 développant environ 530 cv.

La n° 33 est confiée à Ben KEATING (6 participations), Felipe FRAGA (2 participations) et Dylan PEREIRA (rookie).

Lors de la journée test, tout ne se déroule pas comme prévu pour le TF SPORT.

D.Pereira réalise un 3’56’’895 qui place la n° 33 sur la 61ème et avant dernière place.

Lors des qualifications, F.Fraga décroche un chrono de 3’49’’663 qui permet d’être qualifié pour l’Hyperpole.

Lors de cette manche, son chrono sera sensiblement le même (3’49’’676) et assurera la 44ème place de la grille de départ (6ème LM GTE Am).

Le 21 août, à 16h00, Mr John Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Comme beaucoup de concurrents le pilote de la n° 33 se fait piéger sur la piste humide et part en tête à queue à la 2ème chicane à 16h15.

A 18h52, alors qu’elle est remontée en 35ème position, la n° 33 écope de 10’’ de pénalité pour moteur allumé lors du refueling.

A 22h52, alors qu’elle est en tête de sa catégorie, la n° 33 tire tout droit à la première chicane suite à une crevaison à l’arrière droit.

Elle rentre au stand et après 3’21 reprend la piste, mais a chuté en 4ème position du GTE Am.

Dans la 9ème heure de course (00h00/01h00), elle est revenue 33ème du général, seconde de sa catégorie et à 8,3’ de la Ferrari n° 83 de tête.

La nuit se passe bien et à 07h00, elle est enregistrée en 27ème position, très proche de la voiture en pole de la catégorie.

En vingtième heure, elle dépasse la Ferrari n° 83 et prend la tête de la catégorie durant huit tours.

Mais la n° 83 la repasse et les positions ne bougeront plus jusqu’à la ligne d’arrivée.

L’Aston n° 33 termine en 26ème position du classement général et à la 2ème place de sa catégorie.

ASTON MARTIN Vantage AMR - 24 Heures du Mans 2021 – V8 Biturbo / 3982 cm³ – Concurrent :TF SPORT – Pilotes : Ben KEATING / Felipe FRAGA / Dylan PEREIRA – Class : 26ème (2ème LM GTE Am) - Miniature: SPARK

Modifié 23 août 2022 par christian82

christian82 · 23 août 2022

Suite du LM GTE Am 2021...

Au volant de l' Aston Martin Vantage AMR n° 95 on trouve Ross GUNN (2 participations), John HARTSHORNE (2 participations) et Oliver HANCOCK (rookie).

Comme pour sa sœur d’écurie, la journée test est compliquée.

J.Hartshorne part à la faute à la première chicane des Hunaudières à 12h21.

Trés endommagée, pilote indemne, la n° 95 ne peut repartir et cet accident déclenchera un drapeau rouge.

L’après-midi, elle ne parcourt que quinze tours, et termine dernière du classement général (62ème) et dernière de sa catégorie (23ème), derrière l’autre Aston Martin TF Sport n° 33.

Pour les qualifications, R.Gunn réalise un chrono de 3’50’059 qui place la n° 95 sur la 53ème place de la grille de départ (15ème LM GTE Am).

Le 21 août, à 16h00, Mr John Elkann (Président de Ferrari) donne le départ aux 61 engagés sous régime de Safety Car.

Le début de course se déroule calmement et la n° 95 remonte à la 40ème place dans la troisième heure de course.

5ème du GTE Am, elle se retrouve 16ème deux heures plus tard, suite à deux arrêts anormalement longs.

Au général, elle chute à la 53ème place.

Peu avant la mi-course, avec l’aide de la nuit, elle est pointée dans le Top 10 de sa catégorie et à la 40ème place du général.

Au petit matin, on retrouve la n° 95, 8ème du GTE Am, mais dans la 21ème heure (12h00/13h00) la Ferrari n° 85 va la doubler et la lutte entre les deux voitures est amorcée.

A 13H08, la n° 95 s’accroche aux Esses de la Forêt avec la Ferrari n° 88.

A 13h20, au Tertre Rouge, la Ferrari n° 85 accroche l’Aston Martin n° 95 qui part en tête à queue.

Malgré cela, la n° 95 poursuit et termine la course à la 35ème place du classement général et à la 8ème du LM GTE Am.

ASTON MARTIN Vantage AMR - 24 Heures du Mans 2021 – V8 Biturbo / 3982 cm³ – Concurrent :TF SPORT – Pilotes : Ross GUNN / John HARTSHORNE / Oliver HANCOCK – Class: 35ème heure (8ème LM GTE Am) - Miniature: SPARK

Modifié 23 août 2022 par christian82

christian82 · 25 août 2022

Dernier arrivage, ...........ce n'est pas une nouveauté, ...... mais je l'ai en kit Provence Moulage avec le capot de nuit, et celle-ci est en version jour ....

12/13 Juin 1999, 67ème édition des 24 Heures du Mans,

BMW Motorsport, est une entreprise Allemande, fondée en 1972, actuellement dirigée par Franciscus van Meel

Elle est la division de BMW responsable des activités liées au sport automobile, y compris les programmes de compétition en usine dans les courses de voitures de tourisme, les courses de voitures de sport, les courses de moto et la Formule E

Dans les années 1930, BMW s'implique avec succès dans les compétitions automobiles, et particulièrement dans la catégorie de voitures de tourisme.

Grâce à la BMW 328, la marque bavaroise remporte le Rallye de Grande Bretagne en 1939, ainsi que les Mille Miglia en 1940 et termine à la cinquième place des 24 heures du Mans 1939.

De 1995 à 1998, BMW motorise la Mc Laren F1 GTR, laquelle remporte à la surprise générale les 24 Heures du Mans 1995 avec son moteur V12 de 6L.

En 1998, BMW se lance officiellement avec la BMW V12 LM , mais cette première édition est un échec avec un abandon précoce des deux voitures.

Cette année, BMW Motorsport engage en catégorie LM Prototype, deux BMW V12 LMR sous les n° 15 et 17, équipées d’un moteur 6 cylindres de 5990 cm³.

La n° 15 est pilotée par Yannick DALMAS (8 participations), Pierluigi MARTINI (1 participation) et Joachim WINKELHOCK (1 participation).

Lors des qualifications, la n° 15 décroche la 6ème place sur la grille de départ ( P.Martini 3’33’’931 - Y.Dalmas 3’37’’058 - J.Winkelhock 3’37’’183 ).

(Copyright à qui de droit)

Le 12 juin, à 16h00, Mme Joan HALL (Ministre du Tourisme en Australie du Sud) donne le départ aux 60 engagés.

Dès le départ, la n° 15 aux mains de Y.Dalmas est présente dans un premier groupe qui s’est formé et comprend deux Toyota, deux Mercedes Benz et une Panoz.

Durant les premières heures, la n° 15 se maintient à cette place, alors que la n° 17 occupe la première place.

A 21h00, suite à l’abandon des Mercedes - accident (n°5) et forfait (n° 6) -, elle est pointée en 3ème position du classement général où elle va se maintenir jusqu’à 04h00, heure à laquelle elle accède à la seconde place.

La course se déroule sans problème, et à 03h08, la Toyota T One n° 1 s’accroche avec la Porsche n° 66 et tape le mur, c’est l’abandon, laissant la seconde place à la BMW n° 15.

A mi-course, les deux BMW sont en tête (n° 17 premier et n° 15 second), suivies par l’ AUDI R8R n° 8 et la Toyota GT One n° 3.

Peu avant 11 heures, la n° 17 sort violement dans la nouvelle portion et est obligée d’abandonner, laissant la n° 15 en tête des 24 heures.

(Copyright à qui de droit)

La course se poursuit sans incident , mais à l’approche de 16 heures, P.Martini passe la ligne quelques secondes trop tôt, et est obligé de faire un dernier tour, avec tous les risques que cela comporte.

Finalement il passe la ligne d’arrivée en vainqueur, ayant parcouru 4967,991 kms à la moyenne de 207 km/h.

BMW V12 LMR - 24 Heures du Mans 1999 – 6 cyl. / 5990 cm³ – Concurrent: BMW Motorsport – Pilotes : Yannick DALMAS/ Pierluigi MARTINI / Joachim WINKELHOCK – Class 1er (1^er LM P) - Miniature: MINICHAMPS

Modifié 25 août 2022 par christian82

reverso 72 · 25 août 2022

il y a 57 minutes, christian82 a dit :

Dernier arrivage, ...........ce n'est pas une nouveauté, ...... mais je l'ai en kit Provence Moulage avec le capot de nuit, et celle-ci est en version jour ....





12/13 Juin 1999, 67ème édition des 24 Heures du Mans,

BMW Motorsport, est une entreprise Allemande, fondée en 1972, actuellement dirigée par Franciscus van Meel

Elle est la division de BMW responsable des activités liées au sport automobile, y compris les programmes de compétition en usine dans les courses de voitures de tourisme, les courses de voitures de sport, les courses de moto et la Formule E

Dans les années 1930, BMW s'implique avec succès dans les compétitions automobiles, et particulièrement dans la catégorie de voitures de tourisme.

Grâce à la BMW 328, la marque bavaroise remporte le Rallye de Grande Bretagne en 1939, ainsi que les Mille Miglia en 1940 et termine à la cinquième place des 24 heures du Mans 1939.

De 1995 à 1998, BMW motorise la Mc Laren F1 GTR, laquelle remporte à la surprise générale les 24 Heures du Mans 1995 avec son moteur V12 de 6L.

En 1998, BMW se lance officiellement avec la BMW V12 LM , mais cette première édition est un échec avec un abandon précoce des deux voitures.

Cette année, BMW Motorsport engage en catégorie LM Prototype, deux BMW V12 LMR sous les n° 15 et 17, équipées d’un moteur 6 cylindres de 5990 cm³.

La n° 15 est pilotée par Yannick DALMAS (8 participations), Pierluigi MARTINI (1 participation) et Joachim WINKELHOCK (1 participation).

Lors des qualifications, la n° 15 décroche la 6ème place sur la grille de départ ( P.Martini 3’33’’931 - Y.Dalmas 3’37’’058 - J.Winkelhock 3’37’’183 ).



(Copyright à qui de droit)

Le 12 juin, à 16h00, Mme Joan HALL (Ministre du Tourisme en Australie du Sud) donne le départ aux 60 engagés.

Dès le départ, la n° 15 aux mains de Y.Dalmas est présente dans un premier groupe qui s’est formé et comprend deux Toyota, deux Mercedes Benz et une Panoz.

Durant les premières heures, la n° 15 se maintient à cette place, alors que la n° 17 occupe la première place.



A 21h00, suite à l’abandon des Mercedes - accident (n°5) et forfait (n° 6) -, elle est pointée en 3ème position du classement général où elle va se maintenir jusqu’à 04h00, heure à laquelle elle accède à la seconde place.

La course se déroule sans problème, et à 03h08, la Toyota T One n° 1 s’accroche avec la Porsche n° 66 et tape le mur, c’est l’abandon, laissant la seconde place à la BMW n° 15.

A mi-course, les deux BMW sont en tête (n° 17 premier et n° 15 second), suivies par l’ AUDI R8R n° 8 et la Toyota GT One n° 3.

Peu avant 11 heures, la n° 17 sort violement dans la nouvelle portion et est obligée d’abandonner, laissant la n° 15 en tête des 24 heures.



(Copyright à qui de droit)

La course se poursuit sans incident , mais à l’approche de 16 heures, P.Martini passe la ligne quelques secondes trop tôt, et est obligé de faire un dernier tour, avec tous les risques que cela comporte.

Finalement il passe la ligne d’arrivée en vainqueur, ayant parcouru 4967,991 kms à la moyenne de 207 km/h.





BMW V12 LMR - 24 Heures du Mans 1999 – 6 cyl. / 5990 cm³ – Concurrent: BMW Motorsport – Pilotes : Yannick DALMAS/ Pierluigi MARTINI / Joachim WINKELHOCK – Class 1er (1^er LM P) - Miniature: MINICHAMPS

Bonjour Christian

A quoi ressemble cette version nuit stp ?

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