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Motorisation, énergie, et environnement

peut-on nier le réchauffement climatique ?


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Invité §P_t400jZ

:jap:

Ca c'est de la pseudo science L'énergie sur la bande de fréquence considérée est progressivement absorbée par toute la colonne de CO2 au dessus de la surface considérée.

 

 

Pas tout à fait. A mesure que le rayonnement s'échappe de la surface, un peu est arrêté à chaque couche. Plus précisément, une molécule de CO2 (ou de vapeur, ou autre) absobe un partie de l'énergie rayonnée. La molécule peut rayonner en retour dans une direction aléatoire. Ou elle peut transférer son énergie en vitesse et en collision avec d'autre molécules, ce qui la rend plus chaude. La couche d'air rayonne une partie de l'énergie qu'elle a absorbée en bas vers le sol, et une partie en haut vers des couches plus élevées. Plus on s'élève, plus l'atmosphère devient diffuse et froide, jusqu'à atteindre une couche si diffuse que la radiation résultante peut s'échapper vers l'espace.

 

Si on ajoute plus de CO2 dans l'atmophère, la couche si haute et diffuse que la plupart des radiations des couches en dessous d'elle la traversaient va à son tour absober plus de rayonnement. L'endroit à partir duquel la plupart de l'énergie s'échappe de la terre est décalé vers des couches plus élevées. Mais ces couches sont plus froides, donc elles ne rayonnent pas autant d'énergie qu'attendu: c'est la situation de déséquilibre actuelle: la planète absorbe plus d'énergie qu'elle n'irradie dans l'espace. Au fur et à mesure que ces couches plus élevées se réchauffent, étant donné qu'elles rayonnent aussi vers le bas, elle réchauffent toutes les couches en dessous d'elles y.c la surface. Un nouvel équilibre s'installe lorsque ces couches élevées se réchauffent suffisament pour rétablir le bilan énergétique.

 

Dans les couches élevées de l'atmosphère d'où les radiation s'échappe facilement (parce que non saturée), ajouter des gaz à effet de serre réchauffera toujours la surface quelque soit le mécanisme d'absorption et de saturation. Le changement de concentration décale seulement le niveau où celà se produit.

 

Une bonne image est celle d'un barrage sur un fleuve: le niveau de l'eau derrière le barrage c'est l'analogue de la température, le CO2 fait le barrage. Vous ne pouvez rien faire pour arrêter définitivement le flux du fleuve (de même, la terre rayonne en retour dans l'espace toute l'énergie qu'elle reçoit du soleil). Construire le barrage plus haut (plus de CO2) va temporairement stoper le flux, jusqu'à ce que l'eau déborde, et à ce nouvel équilibre correspondra un niveau d'eau plus haut (donc température plus haute).

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Invité §Pap582AL

 

 

Il y a déjà 6cm entre 1993 et aujourd'hui:

 

http://sealevel.colorado.edu/current/sl_noib_ns_global.jpg

 

 

D'après le graphique donné par P'titsuisse, dont la source (l'Université du Colorado : UC) fait sans conteste autorité, l'élévation, entre 1993 et aujourd'hui, serait plutôt de 5,5 centimètres, mais je ne vais pas chipoter, car je ne sais pas (et vous ?) faire la différence entre une vague de 6 centimètres et une de 5,5 centimètres ...

 

D'ailleurs, ceux qui habitent en bord de mer pourrait-il témoigner de l'intensité du phénomène représenté par une vague de six centimètres ?... Par charité, je mets les bretons hors-jeu, vue la hauteur de leurs marées ...

 

Enfin, un examen attentif du graphique de l'UC montre que depuis quatre ans, on a bien du monter au total de 2 millimètres, soit 0,5 mm par an. Et d'ailleurs jusqu'en fin 2009, l'augmentation était nulle. Seul l'avenir dira si la dernière mesure est aberrante ou pas ...

 

En tout cas, pour le moment, force est de reconnaître que le phénomène de montée des eaux s'est considérablement ralenti depuis quatre ans.

 

En résumé :

 

1) Si la montée des eaux continuait au rythme moyen depuis 1993 (3,2 millimètres par an), dans cent ans, les petits-enfants de nos arrières petits enfants verraient des océans 32 centimètres plus élevés. Tous ceux qui vivent à plus de 32 centimètres au dessus des hautes eaux peuvent dormir tranquilles. Que tous les autres se préparent à déménager, ils ont un siècle pour cela ... Nos amis Hollandais ont un siècle pour élever leurs digues d'un peu plus d'une grande main.

 

2) Si par contre la montée des eaux continuait au rythme moyen depuis 2006 (0,5 mm/an), ceux qui vivent à une hauteur comprise entre 5cm et 32cm seraient épargnés !... ouf !... vous ne trouvez pas qu'on fait dans le sordide à mégoter, pour la montée de la surface des océans, entre un petit pouce et une grande main ?

 

De toutes les façons, de tristes événements récents, sur toute la surface du globe, montrent que tous ceux qui habitent au bord de mer ont quelques soucis à se faire, quelque soit la hauteur, à moins qu'elle ne se mesure en dizaines de mètres. Les événements naturels sont d'une autre échelle. A l'échelle de la terre, nous ne sommes que des fourmis.

 

Alors, bien entendu, on peut faire des hypothèses cataclysmiques d'explosion exponentielle des phénomènes observés, alors tout peut arriver, y compris Montmartre seul à surnager dans un Paris battu par les vagues. Des prévisions catastrophique, tout le monde peut en faire, surtout si c'est pour la "bonne" cause : remplir les poches d'A£b€rt Gor€ et de Pachauri, et de quelques (dizaines de ?) milliers d'autres.

 

Et comme il faut avoir l'air sérieux et scientifique, on peut faire croire que les dites hypothèses sont des faits scientifiques établis, en les faisant produire comme résultat par des ordinateurs à 30 millions d'euros, nourris par des modèles savants qui sont systématiquement pris en défaut par la moindre de leurs prévisions (http://www.lepost.fr/article/2010/03/02/1966266_le-met-office-mange-son-chapeau-l-hiver-le-plus-froid-depuis-30-ans.html).

 

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Invité §Pap582AL

Le cent-fautes de Claude Allègre

LE MONDE | 27.02.10 | 13h50

 

 

Dans son dernier livre, L'Imposture climatique (Plon, 300 p., 19,90 €), un ouvrage d'entretiens avec le journaliste Dominique de Montvalon, le géochimiste et ancien ministre Claude Allègre formule des accusations d'une extrême gravité contre la communauté des sciences du climat. La cible principale de l'ouvrage est le GIEC, défini à tort par l'auteur comme le "Groupement international pour l'étude du climat" - il s'agit en réalité du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.

 

[... ici un extrait des 100 erreurs ...]

 

Stéphane Foucart

 

 

Le raisonnement de Monsieur Foucart est assez tautologique ... sa conclusion est dans son hypothèse, mais qu'il ne présente pas comme une hypothèse ...

 

Hypothèse : Tout ce que dit le GIEC est vrai.

Conclusion : Toute affirmation qui contredit le GIEC est erronée.

 

Si on chausse des lunettes sceptiques, on pourrait aussi lire le titre de Monsieur Foucart de la façon suivante :

 

"Les cent erreurs du GIEC dénoncées par Claude Allègre"

 

... sans changer quoi que ce soit au contenu de l'article.

 

Il se trouve que je n'avais trouvé que 99 erreurs dans les rapports du GIEC. Je suis donc très intéressé par la lecture du livre de Claude Allègre pour trouver la centième. Je viens donc de commander le livre.

 

Merci Monsieur Foucart

 

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Invité §Pap582AL

 

La conclusion de mon raisonnement c'est qu'il y a une saturation mesurable de l'absorption par le CO2

Ca peut se faire avec la loi de Planck et la loi de Stefan entre autres mais je n'ai pas encore eu le courage de m'atteler à cette tâche. Il y en a certainement des plus compétents que moi qui pourront nous donner des résultats.

[...]

.

J'aimerais évidemment lire les résultats s'ils existent déjà.

J'espère en Tevas ou Papyjacko

Si rien ne vient, je m'y mettrai pour en avoir le coeur net. :)

 

 

Merci de la confiance témoignée (au fait, c'est PapyJako, sans k)

 

J'allais en fait écrire une réponse à ton message qui développais ta compréhension de l'action du CO2, pour te féliciter de la clarté de l'exposé.

 

En fait, sur ce sujet, je n'en sais pas plus, et il m'est difficile d'aller plus loin moi-même, car mes connaissances de physique théorique ont largement dépassé la date de péremption. Après le bac, j'ai trempé dans d'autres domaines scientifiques, mais pas dans la physique.

 

J'aurais probablement fait l'effort d'essayer de me recycler pour comprendre plus à fond, j'y serais peut-être arrivé. Mais cela ne m'a pas paru utile, du moins relativement au fond du sujet qui m'intéresse, lequel peut s'exprimer par :

 

"l'augmentation des concentrations de CO2 est-elle de nature à alimenter les craintes d'un réchauffement catastrophique pour la terre et ses locataires"

 

Voici en effet un "copier-coller", légèrement adapté, d'une partie de la réponse que j'ai faite, sur Agoravox, à un commentaire de mon dernier article (http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-met-office-mange-son-chapeau-l-70884) :

 

-------------------------------------------

L’effet direct du CO2 (climate sensitivity) est évalué à environ 1°C pour un doublement du taux de CO2 (j’ai aussi vu 0,5°, mais bon ... restons en à 1°C, il y a un accord assez général là dessus.

 

Cela veut dire, si on ne compte que l’effet direct, que pour obtenir 1°C d’augmentation, il faudrait passer d’un taux (actuel) de 385 ppm à 770 ppm. Le rythme annuel moyen d’augmentation des taux de CO2 mesuré sur 50 ans (Mauna Loa) est d’environ 1,4 ppm par an. Il faudrait donc 275 ans pour parvenir à doubler les taux de CO2, et parvenir à notre degré d’augmentation, puis encore 275 ans pour le degré supplémentaire ...

 

Au rythme actuel, et en comptant 25 années par génération, c’est donc au bout de 11 générations qu’on aurait 1°C d’augmentation. Ce sont donc les petits-enfants des arrières-petits-enfants des arrières-petits-enfants de nos arrières-petits-enfants ... qui auraient le bénéfice du petit degré d’augmentation ... Mais, bien avant cela, on aurait - paraît-il - épuisé depuis longtemps la dernière goutte de pétrole, le dernier litre de gaz naturel, la dernière pelletée de charbon, la dernière cuiller de schistes bitumineux et le dernier milligramme de tourbe.

 

Mais il faut tenir compte de la notion de "rétroaction" (action en retour d’un effet sur le dispositif qui lui a donné naissance). Une rétroaction positive amplifierait le phénomène, une rétroaction négative l’amortirait.. En fait, il n’y a pas UNE rétroaction, mais une multitude de rétroactions qui interagissent les unes avec les autres et dont la résultante est une rétroaction globale.

 

Et, jusque là, tout le monde est d'accord ... c'est à partir de là que les choses divergent

 

- Le GIEC (je dis "le GIEC" pour "les scientifiques approuvés par le GIEC") postule une rétroaction globale positive - on serait cuits plus vite - mais ne l’a pas démontré, et tous les "modèles" sont "réglés" sur une rétroaction positive, qui est la seule à pouvoir créer des prévisions apocalyptiques.

 

- Les sceptiques disent qu’elle est négative - et dans ce cas il n’y aurait pas à s’inquiéter.

 

Si la rétroaction est négative, il faut ajouter quelques générations aux chiffres cités plus haut et le problème est réglé, quelle que soit la position que l'on adopte sur la "saturation".

 

Les seules MESURES qui ont été réalisées de la rétroaction de la terre à une augmentation de température ont été réalisées, par le Professeur Lindzen, l’été dernier, à partir des observations du stellite ERBS de la NASA. Et les premiers résultats indiquent une rétroaction négative.

 

La messe n’est pourtant pas dite, car les résultats de Lindzen sont, cela est normal, âprement discutés.

 

---------------- fin de copie --------

 

J'ajoute :

 

Il y a une multitude d'articles scientifiques qui traitent de la rétroaction sous l'angle analytique, et nul doute que P'titsuisse va nous en balancer une pelletée. On peut - tenter de - les lire.

 

Mais l'incroyable complexité - reconnue par tous - des mécanismes mis en jeu me fait douter du succès de l'approche analytique, en tout cas on va l'attendre longtemps.

 

C'est pour cela que l'approche de Lindzen, la mesure globale, me paraît la plus intéressante à court et moyen terme. Elle consiste à mesurer (satellite ERBS) le flux de chaleur qui est irradié par la terre en fonction de sa température, et à en déduire une estimation de la rétroaction.

 

J'avais fait un post sur l'article de Lindzen, avec les liens utiles (http://www.lepost.fr/article/2009/09/17/1700826_a-la-poubelle-les-modeles-du-giec.html).

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Invité §Pap582AL

Je continue mes petites recherches et je constate

 

[...]

 

Enfin pour ceux qui se moquent de ceux qui confondent météorologie et climatologie on doit faire remarquer que les climatologues utilisent les outils mathématiques des météorologues (mais pas inversement). :lol:

 

 

 

Cette distinction entre "météorologie" et "climatologie" est effectivement assez tirée par les cheveux.

 

Posez donc à ceux qui vous la balancent à tous les coins de discussion - en général pour dévaloriser l'avis d'un météorologue - l'une des questions suivantes :

 

1) Pouvez-vous me citer quelques écoles de "Climatologie" ?

 

2) Quelle est la spécialité scientifique du Président du GIEC Rajendra Pachauri (réponse : Ingénieur Ferroviaire).

 

3) Quelle est la spécialité scientifique de Jean Jouzel, Vice Président du GIEC (réponse : Glaciologue).

 

4) Quelle est la spécialité scientifique de Richard Lindzen, le sceptique le plus célèbre (Réponse : les "sciences de l'atmosphère")

 

5) Quelle est la proportion de "climatologues" parmi les contributeurs du GIEC ? (réponse : ?)

 

Cette dernière question, à laquelle personne ne peut répondre, avait été posée l'an dernier, lors d'un débat que j'ai relaté dans un post (http://www.lepost.fr/article/2009/02/18/1428378_20-des-membres-du-giec-ipcc-ont-quelque-chose-a-voir-avec-la-climatologie.html), à William Schlesinger (lui-même considéré comme "climatologue", il est "biochimiste" de formation).

 

William Schlesinger est un célèbre croyant pur sucre. A la question :

 

"Parmi les 2500 membres du GIEC, combien sont des climatologues, et non des scientifiques politiques, économistes, sociologues ?..."

Schlesinger avait répondu, d'un air gêné (si si, regardez la vidéo)

 

"... (rire) ... il y a un vaste éventail de disciplines représentées. Je vais vous répondre au jugé, je pense qu'environ 20% ont quelque chose à voir avec le climat ..."

 

Vous avez bien lu ... il n'a pas dit "20% de climatologues" (où les trouverait-il ?), il a dit "qui ont quelque chose à voir avec".

 

Moi, je traduis "80% des membres du GIEC n'ont rien à voir avec la climatologie, pour les autres ... faut voir ...".

 

Capito ?

 

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Invité §Pap582AL

 

Oulah, ça fait un bail que je ne suis pas passer par là, et l'obscurantisme pseudo-scientifique est toujours aussi présent :lol: .

 

[...]

 

J'ai beau donner toutes les clés pour comprendre, ça passe pas.

 

[...]

 

 

Le problème de P'titsuisse, c'est que toutes les clés de son trousseau sont identiques.

 

Le modèle général est : "Le GIEC a raison ... donc il ne peut avoir tort"

 

A chaque clé est bien sûr associée une liste de références - toutes estampillées GIEC - qui est supposée "démontrer" la prémisse, et force donc la "conclusion".

 

Cela marche un temps, chez certains ... mais de toutes les façons seulement un temps.

 

 

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Invité §P_t400jZ

 

Le problème de P'titsuisse, c'est que toutes les clés de son trousseau sont identiques.

 

Le modèle général est : "Le GIEC a raison ... donc il ne peut avoir tort"

 

A chaque clé est bien sûr associée une liste de références - toutes estampillées GIEC - qui est supposée "démontrer" la prémisse, et force donc la "conclusion".

 

Cela marche un temps, chez certains ... mais de toutes les façons seulement un temps.

 

 

 

 

 

Références de l'AR4 (rapport du GIEC), chapitre Paléoclimat: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch6s6-references.html

 

Je cite:

 

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2003: Corrections to the Mann et al. (1998) proxy database and northern hemispheric average temperature series. Energy Environ., 14, 751–771.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005a: Hockey sticks, principal components, and spurious significance. Geophys. Res. Lett., 32(3), L03710, doi:10.1029/2004GL021750.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005b: The M&M critique of the MBH98 Northern Hemisphere climate index: Update and implications. Energy Environ., 16, 69–99.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005c: Reply to comment by von Storch and Zorita on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20714, doi:10.1029/2005GL023089.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005d: Reply to comment by von Huybers on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20713, doi:10.1029/2005GL023586.

 

Soon, W., and S. Baliunas, 2003: Proxy climatic and environmental changes of the past 1000 years. Clim. Res., 23(2), 89–110.

 

 

 

chapitre changement climatique: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch3s3-references.html

 

 

 

McKitrick, R., and P.J. Michaels, 2004: A test of corrections for extraneous signals in gridded surface temperature data. Clim. Res., 26, 159–173.

 

 

Chapitre modèles: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch8s8-references.html

 

Chou, M.-D., R.S. Lindzen, and A.Y. Hou, 2002: Reply to: “Tropical cirrus and water vapor: An effective Earth infrared iris feedback?”. Atmos. Chem. Phys., 2, 99–101.

 

Lindzen, R.S., M.-D. Chou, and A.Y. Hou, 2001: Does the Earth have an adaptative infrared iris? Bull. Am. Meteorol. Soc., 82, 417–432.

 

 

Articles climato-sceptiques estampillés GIEC...

 

Faudra revoir cet argument, Papy !

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Invité §dic764kT

 

Dakota, Texas, Kentucky, Oklahoma : des lois et projets de lois à l'attention des professeurs et des manuels scolaires se sont multipliés. Ils imposent aux enseignants de développer l'esprit critique de leurs élèves au sujet des théories scientifiques, y compris des théories largement défendues par la communauté scientifique comme celles de l'évolution, du Big Bang et même du réchauffement climatique.

 

Ainsi le Kentucky encourage les professeurs à provoquer des discussions sur les avantages et les inconvénients des théories scientifiques, incluant le réchauffement climatique au même titre que les autres.

 

Je ne vois pas bien où est le problème, c'est logique de prévenir que ces théories n'ont pas été prouvées scientifiquement 1068428447_rico54500.gif.463ba74437383aa6822c730a727d101b.gif Pour le big bang ou l'évolution des espèces là c'est carrément du conte pour enfant tellement c'est loin de tout fondement cartésien ...

 

 

...et pendant ce temps , l'université de memphis tenessee s'apprête à decerner un doctorat à AL GORE , un doctorat "honorifique" pour ses belles pensées pour sauver l'humanité :pfff: , le prix NOBEL n'etait pas assez ridicule , après avoir été débouté par un tribunal anglais pour ses "erreurs" , ben on va le gratifier un peu plus :o

sont cons ces ricains quand ils s'y mettent :o

 

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Références de l'AR4 (rapport du GIEC), chapitre Paléoclimat: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch6s6-references.html

 

Je cite:

 

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2003: Corrections to the Mann et al. (1998) proxy database and northern hemispheric average temperature series. Energy Environ., 14, 751–771.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005a: Hockey sticks, principal components, and spurious significance. Geophys. Res. Lett., 32(3), L03710, doi:10.1029/2004GL021750.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005b: The M&M critique of the MBH98 Northern Hemisphere climate index: Update and implications. Energy Environ., 16, 69–99.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005c: Reply to comment by von Storch and Zorita on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20714, doi:10.1029/2005GL023089.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005d: Reply to comment by von Huybers on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20713, doi:10.1029/2005GL023586.

 

Soon, W., and S. Baliunas, 2003: Proxy climatic and environmental changes of the past 1000 years. Clim. Res., 23(2), 89–110.

 

 

 

chapitre changement climatique: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch3s3-references.html

 

 

 

McKitrick, R., and P.J. Michaels, 2004: A test of corrections for extraneous signals in gridded surface temperature data. Clim. Res., 26, 159–173.

 

 

Chapitre modèles: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch8s8-references.html

 

Chou, M.-D., R.S. Lindzen, and A.Y. Hou, 2002: Reply to: “Tropical cirrus and water vapor: An effective Earth infrared iris feedback?”. Atmos. Chem. Phys., 2, 99–101.

 

Lindzen, R.S., M.-D. Chou, and A.Y. Hou, 2001: Does the Earth have an adaptative infrared iris? Bull. Am. Meteorol. Soc., 82, 417–432.

 

 

Articles climato-sceptiques estampillés GIEC...

 

Faudra revoir cet argument, Papy !

 

Je viens pour le 1ere fois sur le post, enfin, je crois et là, j'ai envie de rire...

Elle est à encadrer celle-ci...

On me reproche de n'utiliser que des clefs venant du GIEC... et je me justifie et essaye de démontrer que j'ai raison, que le GIEC a raison en citant des articles scientifiques, eux-même cités et utilisés par le GIEC... C'est le chat qui se mort la queue... :lol:

Le rapport du GIEC utilise et compile des données d'études scientifiques, il a raison, les autres ont tord et je le justifie car les articles qui ont servis à le faire...

Pauvre science...

Je reste interloqué par les rapports du GIEC... Pour avoir eu le draft du rapport de 2007 entre les mains, j'ai été très surpris de la version finale et des conclusions qu'elle en tirait... Comme par magie, un certain nombre de données avait disparu ou était devenu des artéfacts...

 

 

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Invité §Pac464vE

 

...et pendant ce temps , l'université de memphis tenessee s'apprête à decerner un doctorat à AL GORE , un doctorat "honorifique" pour ses belles pensées pour sauver l'humanité :pfff: , le prix NOBEL n'etait pas assez ridicule , après avoir été débouté par un tribunal anglais pour ses "erreurs" , ben on va le gratifier un peu plus :o

sont cons ces ricains quand ils s'y mettent :o

 

 

Tu n'as pas lu le principe de Peter ? Cela s'appelle une sublimation percutante. Quand on a placé un incompétent à un poste important et que tout le monde s'en aperçoit, les autorités lui donne un poste plus important pour apprendre à tout le monde à la fermer ! Argument d'autorité s'il en est.

 

A propos d'apocalypse, il faut relire la bible pour notre adaptation future : Le déluge, les 7 ou 10 ou 12 plaies d'Egypte (sais plus), sodome et Gommorhe etc....

Combien de sites prestigieux de l'antiquité n'ont pas disparu à la suite d'éléments cataclysmiques dont la mythique Atlantide, 6 des 7 merveilles du monde....

La Nature. n'a pas attendu notre forçage anthropique pour se montrer dangereuse et brutale

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Invité §Pap582AL

 

 

 

Références de l'AR4 (rapport du GIEC), chapitre Paléoclimat: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch6s6-references.html

 

Je cite:

 

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2003: Corrections to the Mann et al. (1998) proxy database and northern hemispheric average temperature series. Energy Environ., 14, 751–771.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005a: Hockey sticks, principal components, and spurious significance. Geophys. Res. Lett., 32(3), L03710, doi:10.1029/2004GL021750.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005b: The M&M critique of the MBH98 Northern Hemisphere climate index: Update and implications. Energy Environ., 16, 69–99.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005c: Reply to comment by von Storch and Zorita on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20714, doi:10.1029/2005GL023089.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005d: Reply to comment by von Huybers on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20713, doi:10.1029/2005GL023586.

 

Soon, W., and S. Baliunas, 2003: Proxy climatic and environmental changes of the past 1000 years. Clim. Res., 23(2), 89–110.

 

 

 

chapitre changement climatique: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch3s3-references.html

 

 

 

McKitrick, R., and P.J. Michaels, 2004: A test of corrections for extraneous signals in gridded surface temperature data. Clim. Res., 26, 159–173.

 

 

Chapitre modèles: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch8s8-references.html

 

Chou, M.-D., R.S. Lindzen, and A.Y. Hou, 2002: Reply to: “Tropical cirrus and water vapor: An effective Earth infrared iris feedback?”. Atmos. Chem. Phys., 2, 99–101.

 

Lindzen, R.S., M.-D. Chou, and A.Y. Hou, 2001: Does the Earth have an adaptative infrared iris? Bull. Am. Meteorol. Soc., 82, 417–432.

 

 

Articles climato-sceptiques estampillés GIEC...

 

Faudra revoir cet argument, Papy !

 

 

Et l'argument de P'titsuisse, lui ne mérite pas d'être revu, mais jeté.

 

Le GIEC place, dans ses références bibliographiques tout ce qui a été publié dans les revues scientifique à comité de lecture. Y compris bien sûr les quelques articles qui échappent aux gardiens du temple sous la direction du Grand Maître Phil Jones, et qui arrivent à se faire publier. Il est bien évident que ceux là ne font pas partie du rousseau de clés de P'titsuisse ...

 

Faudrait voir à pas se foutre du monde Ptit !...

 

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Invité §P_t400jZ

 

Et l'argument de P'titsuisse, lui ne mérite pas d'être revu, mais jeté.

 

Le GIEC place, dans ses références bibliographiques tout ce qui a été publié dans les revues scientifique à comité de lecture. Y compris bien sûr les quelques articles qui échappent aux gardiens du temple sous la direction du Grand Maître Phil Jones, et qui arrivent à se faire publier. Il est bien évident que ceux là ne font pas partie du rousseau de clés de P'titsuisse ...

 

Faudrait voir à pas se foutre du monde Ptit !...

 

 

Encore raté, Papy... Si les articles sont cités, c'est qu'ils sont discutés. Il n'y a à ma connaissance pas de références orphelines (c'est à dire des citations non reprise dans le texte.

 

Par exemple pour la partie paléo.

 

http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch6s6-6.html

 

The ‘hockey stick’ reconstruction of Mann et al. (1999) has been the subject of several critical studies. Soon and Baliunas (2003) challenged the conclusion that the 20th century was the warmest at a hemispheric average scale. They surveyed regionally diverse proxy climate data, noting evidence for relatively warm (or cold), or alternatively dry (or wet) conditions occurring at any time within pre-defined periods assumed to bracket the so-called ‘Medieval Warm Period’ (and ‘Little Ice Age’).[...]

 

McIntyre and McKitrick (2003) reported that they were unable to replicate the results of Mann et al. (1998). Wahl and Ammann (2007) showed that this was a consequence of differences in the way McIntyre and McKitrick (2003) had implemented the method of Mann et al. (1998) and that the original reconstruction could be closely duplicated using the original proxy data. McIntyre and McKitrick (2005a,b) raised further concerns about the details of the Mann et al. (1998) method, principally relating to the independent verification of the reconstruction against 19th-century instrumental temperature data and to the extraction of the dominant modes of variability present in a network of western North American tree ring chronologies, using Principal Components Analysis. The latter may have some theoretical foundation, but Wahl and Amman (2006) also show that the impact on the amplitude of the final reconstruction is very small (~0.05°C; for further discussion of these issues see also Huybers, 2005; McIntyre and McKitrick, 2005c,d; von Storch and Zorita, 2005).

 

Comme toujours, vous maîtrisez parfaitement votre sujet... :lol:

 

De plus, je l'ai déjà dit, les rapports du GIEC ne sont pas ma tasse de thé, car trop complaisant et conservateur. Je préfère la littérature scientifique "brute". Mais moi au moins je les ai lu et je peux en parler en toute connaissance de cause, ce n'est visiblement pas votre cas...

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Invité §Pap582AL

 

Encore raté, Papy... Si les articles sont cités, c'est qu'ils sont discutés. Il n'y a à ma connaissance pas de références orphelines (c'est à dire des citations non reprise dans le texte.

 

 

Comme toujours, vous maîtrisez parfaitement votre sujet... :lol:

 

De plus, je l'ai déjà dit, les rapports du GIEC ne sont pas ma tasse de thé, car trop complaisant et conservateur. Je préfère la littérature scientifique "brute". Mais moi au moins je les ai lu et je peux en parler en toute connaissance de cause, ce n'est visiblement pas votre cas...

 

 

A mon avis, ceux qui veulent comprendre on compris.

 

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Invité §Pac464vE

Je sais que parler de météorologie dans le contexte de la climatologie fait naître un sourire narquois sur les lèvres de certains intégristes mais j'aimerais quand même évoquer une petite vérité sur la variabilité du climat.

Quand on relit les statistiques on s'aperçoit qu'autour de la normale saisonnière on a des variations de 2,5 degrés en plus ou en moins.

Ces variations sont normales ce qui ne l'est pas c'est l'abus de langage conféré à ce mot "normal". Il faut le prendre dans le sens de norme ou mieux dans celui de moyenne. :D

 

Il serait bon d'inviter les présentatrices de la météo à utiliser le terme de moyenne saisonnière plutôt que celui de normale saisonnière qui prête à confusion chez la majorité des téléspectateurs. Serait-ce voulu ? :ange:

Pour les "spépieux", ne vous fatiguez pas ! Je sais que la moyenne a augmenté de 0,5 ° à 0,9° par suite du "réchauffement climatique"

 

Je ne m'inquiète donc pas vu que nous sommes toujours dans la fourchette de 2,5 ° :D (derechef)

 

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Invité §Pap582AL

Je sais que parler de météorologie dans le contexte de la climatologie fait naître un sourire narquois sur les lèvres de certains intégristes mais j'aimerais quand même évoquer une petite vérité sur la variabilité du climat.

Quand on relit les statistiques on s'aperçoit qu'autour de la normale saisonnière on a des variations de 2,5 degrés en plus ou en moins.

Ces variations sont normales ce qui ne l'est pas c'est l'abus de langage conféré à ce mot "normal". Il faut le prendre dans le sens de norme ou mieux dans celui de moyenne. :D

 

Il serait bon d'inviter les présentatrices de la météo à utiliser le terme de moyenne saisonnière plutôt que celui de normale saisonnière qui prête à confusion chez la majorité des téléspectateurs. Serait-ce voulu ? :ange:

Pour les "spépieux", ne vous fatiguez pas ! Je sais que la moyenne a augmenté de 0,5 ° à 0,9° par suite du "réchauffement climatique"

 

Je ne m'inquiète donc pas vu que nous sommes toujours dans la fourchette de 2,5 ° :D (derechef)

 

 

C'est vrai, ce point de langage n'est pas anodin. Les anglicistes font encore pire quand il nomment "anomaly" l'écart par rapport à "la" moyenne, en fait une moyenne, sur une période absolument arbitraire.

 

Ces abus de langage sont la source de bien des malentendus, mais je ne suis pas certain qu'ils soient complètement innocents.

 

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Invité §P_t400jZ

 

C'est vrai, ce point de langage n'est pas anodin. Les anglicistes font encore pire quand il nomment "anomaly" l'écart par rapport à "la" moyenne, en fait une moyenne, sur une période absolument arbitraire.

 

Ces abus de langage sont la source de bien des malentendus, mais je ne suis pas certain qu'ils soient complètement innocents.

 

 

 

Comment proposez-vous d'appelez un écart par rapport à une moyenne ? En français, l'écart-type a une signification bien précise, donc écart semble exclu, de même en anglais, standard deviation exclut l'usage du mot deviation.

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Invité §Pap582AL

 

 

Comment proposez-vous d'appelez un écart par rapport à une moyenne ? En français, l'écart-type a une signification bien précise, donc écart semble exclu, de même en anglais, standard deviation exclut l'usage du mot deviation.

 

 

Je ne suis pas linguiste. En attendant mieux, j'appellerais bien l'écart par rapport à la moyenne ... "écart par rapport à la moyenne", qui aurait au moins le mérite d'appeler la question "quelle moyenne ?", au lieu de créer l'illusion qu'il y a une "normale", concept qui en climatologie, ne correspond à rien du tout, sauf pour Mann/Briffa et consorts.

 

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Invité §Pac464vE

Je voudrais revenir sur le graphique ci-joint, déjà posté un peu plus haut, et que j'avais laissé sans commentaires.

Au risque que P'tit suisse ne s'en étrangle voici ma façon d'interpréter la chose.

Rappelons que sans effet de serre la terre serait à -18°C soit 255K et avec l'effet de serre elle en est à + 15°C soit 288 K

 

 

153396539_Spectre20absorption20atmosphC3A8re.jpg1..jpg.fb69c48a9d7623434914a052481089f7.jpg

 

Ce qu'il y a d'intéressant sur ce graphique c'est qu'on peut y comparer le spectre d'absorption dans l'atmosphère et les courbes d'émission d'un corps noir sans l'atmospère.

Entre 8 et 14 microns de longueur d'onde, en extrapolant les courbes de 280 et 300 K pour s'imaginer celle à 288K, on voit que l'atmosphère absorbe quasi la totalité du rayonnement infrarouge (à l'exception notable de la bande à 10 microns de l'ozone) du corps noir.

 

En s'intéressant à la zone comprise entre 14 et 16 microns on constate une perte d'absorption importante. La courbe d'absorption flirte avec la courbe d'émission du corps noir à 220 K !

Or 220 K c'est -53°C Logiquement la courbe aurait dû s'arrêter à 255 K. Le CO2 provoque donc une perte de transmitivité bien plus grande que nécessaire pour arriver à 255K (température d'équilibre de la terre sans gaz à effet de serre). On voit bien sa bande d'action à 15 micromètres. Il y a donc bien saturation !!!! :jap:

 

Si Monsieur P'tit Suisse veut se risquer à une réponse, je le prierai de bien vouloir le faire de manière didactique et compréhensible par le plus grand nombre en vertu de l'aphorisme :

"Ce qui ce conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément !" :D

Pas la peine donc de me balancer des références de sites mille fois rabâchés je les boycotte ! :pfff:

 

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Je sais que parler de météorologie dans le contexte de la climatologie fait naître un sourire narquois sur les lèvres de certains intégristes mais j'aimerais quand même évoquer une petite vérité sur la variabilité du climat.

Quand on relit les statistiques on s'aperçoit qu'autour de la normale saisonnière on a des variations de 2,5 degrés en plus ou en moins.

Ces variations sont normales ce qui ne l'est pas c'est l'abus de langage conféré à ce mot "normal". Il faut le prendre dans le sens de norme ou mieux dans celui de moyenne. :D

 

Il serait bon d'inviter les présentatrices de la météo à utiliser le terme de moyenne saisonnière plutôt que celui de normale saisonnière qui prête à confusion chez la majorité des téléspectateurs. Serait-ce voulu ? :ange:

Pour les "spépieux", ne vous fatiguez pas ! Je sais que la moyenne a augmenté de 0,5 ° à 0,9° par suite du "réchauffement climatique"

 

Je ne m'inquiète donc pas vu que nous sommes toujours dans la fourchette de 2,5 ° :D (derechef)

 

Pire, c'est que cette moyenne ne s'établit que sur 30 ans... 1970-2000...

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Invité §P_t400jZ

Je voudrais revenir sur le graphique ci-joint, déjà posté un peu plus haut, et que j'avais laissé sans commentaires.

Au risque que P'tit suisse ne s'en étrangle voici ma façon d'interpréter la chose.

Rappelons que sans effet de serre la terre serait à -18°C soit 255K et avec l'effet de serre elle en est à + 15°C soit 288 K

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/799638/Spectre%20absorption%20atmosph%C3%A8re.jpg1..jpg

 

Ce qu'il y a d'intéressant sur ce graphique c'est qu'on peut y comparer le spectre d'absorption dans l'atmosphère et les courbes d'émission d'un corps noir sans l'atmospère.

Entre 8 et 14 microns de longueur d'onde, en extrapolant les courbes de 280 et 300 K pour s'imaginer celle à 288K, on voit que l'atmosphère absorbe quasi la totalité du rayonnement infrarouge (à l'exception notable de la bande à 10 microns de l'ozone) du corps noir.

 

En s'intéressant à la zone comprise entre 14 et 16 microns on constate une perte d'absorption importante. La courbe d'absorption flirte avec la courbe d'émission du corps noir à 220 K !

Or 220 K c'est -53°C Logiquement la courbe aurait dû s'arrêter à 255 K. Le CO2 provoque donc une perte de transmitivité bien plus grande que nécessaire pour arriver à 255K (température d'équilibre de la terre sans gaz à effet de serre). On voit bien sa bande d'action à 15 micromètres. Il y a donc bien saturation !!!! :jap:

 

Si Monsieur P'tit Suisse veut se risquer à une réponse, je le prierai de bien vouloir le faire de manière didactique et compréhensible par le plus grand nombre en vertu de l'aphorisme :

"Ce qui ce conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément !" :D

Pas la peine donc de me balancer des références de sites mille fois rabâchés je les boycotte ! :pfff:

 

 

 

Bon, admettons que vous n'arriviez pas à concevoir le modèle de l'atmosphère que je l'ai proposé plus haut, qui est l'une des 2 explications...

Mais quid de l'élargissement de la plage d'absorption ?

 

Ne pas voir la différence entre ça:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad3.gif

Effet pour 50PPM de CO2

 

et ça:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad4.gif

Effet pour 390PPM

 

C'est désespérant...

 

Vous ne voyez vraiment pas que la bande d'absorption s'élargit ?? Et pour cette élargissement, pas de saturation en vue, parce que jusqu'à 10'000PPM le bande est plus large:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad5.gif

 

 

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Invité §Pac464vE

 

 

Bon, admettons que vous n'arriviez pas à concevoir le modèle de l'atmosphère que je l'ai proposé plus haut, qui est l'une des 2 explications...

Mais quid de l'élargissement de la plage d'absorption ?

 

Ne pas voir la différence entre ça:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad3.gif

Effet pour 50PPM de CO2

 

et ça:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad4.gif

Effet pour 390PPM

 

C'est désespérant...

 

Vous ne voyez vraiment pas que la bande d'absorption s'élargit ?? Et pour cette élargissement, pas de saturation en vue, parce que jusqu'à 10'000PPM le bande est plus large:

 

http://chriscolose.files.wordpress.com/2010/02/rad5.gif

 

 

 

Bon, admettons que vous n'arriviez pas à concevoir le modèle de l'atmosphère que je l'ai proposé plus haut,

Vous évoquer la comparaison avec un barrage ? Pas très scientifique.

Vous ne voyez vraiment pas que la bande d'absorption s'élargit ?

Je vois bien, sur ce schéma une bande qui s'élargit mais

 

 

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Invité §Pac464vE

Fausse manoeuvre ... Je continue

mais

1° en vertu de quel principe physique le CO2 se mettrait-il à vibrer sur une autre fréquence ?

2° Avec 50 et 350 ppmv, je veux bien ; avec 10 000 ppm vous y allez vraiment très très fort ; on en est vraiment très loin. Et comme cette situation n'existe pas sur notre bonne planète je n'en peux conclure que cette courbe est un pure construction de l'esprit. D'où vient-elle ?

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Invité §Pac464vE

Ah, j'ai trouvé la source de votre science ! Donc il s'agit bien d'un modèle mathématique de David Archer. (Modtran).

Peut-on faire confiance à un modèle mathématique qui essaye de trouver une issue à l'évidence de la saturation.

Saturation qui est reconnue par l'auteur de l'article.

Ne tournons pas en rond. La saturation vient essentiellement du fait que la quantité d'énergie à évacuer n'est pas infinie.

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Fausse manoeuvre ... Je continue

mais

1° en vertu de quel principe physique le CO2 se mettrait-il à vibrer sur une autre fréquence ?

C'est exactement ce que j'allais dire. La longueur d'onde d'absorption comme d'émission est directement lié à la structure atomistique de la molécule... pas à sa concentration.

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Invité §P_t400jZ

Non mais les gars, vous avez la moindre idée de quoi vous parlez ou c'est juste pour aligner des mots ??

 

Je dois être dans la 4e dimension.

 

"en vertu de quel principe physique le CO2 se mettrait-il à vibrer sur une autre fréquence ? "

 

"C'est exactement ce que j'allais dire. La longueur d'onde d'absorption comme d'émission est directement lié à la structure atomistique de la molécule... pas à sa concentration."

 

Bah je sais pas moi... tient, parce qu'il n'y a pas qu'une seule molécule en cause et qu'elles intéragissent entre elle ?

 

http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6X19-4BYR45S-3&_user=10&_rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_sort=d&view=c&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=79802d061924637c95f0503171be2afd

 

"Dans ce cadre, la prise en compte de l'influence de la pression sur les profils est généralement cruciale. Ces effets des collisions inter-moléculaires entre l'espèce optiquement active et ses « perturbateurs » sont multiples et complexes et dépendent, pour l'essentiel, du domaine de densité des partenaires de collision."

 

"Ne tournons pas en rond. La saturation vient essentiellement du fait que la quantité d'énergie à évacuer n'est pas infinie."

 

C'est quoi ce délire ?

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Invité §Pac464vE

Non mais les gars, vous avez la moindre idée de quoi vous parlez ou c'est juste pour aligner des mots ??

 

Je dois être dans la 4e dimension.

 

"en vertu de quel principe physique le CO2 se mettrait-il à vibrer sur une autre fréquence ? "

 

"C'est exactement ce que j'allais dire. La longueur d'onde d'absorption comme d'émission est directement lié à la structure atomistique de la molécule... pas à sa concentration."

 

Bah je sais pas moi... tient, parce qu'il n'y a pas qu'une seule molécule en cause et qu'elles intéragissent entre elle ?

 

http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6X19-4BYR45S-3&_user=10&_rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_sort=d&view=c&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=79802d061924637c95f0503171be2afd

 

"Dans ce cadre, la prise en compte de l'influence de la pression sur les profils est généralement cruciale. Ces effets des collisions inter-moléculaires entre l'espèce optiquement active et ses « perturbateurs » sont multiples et complexes et dépendent, pour l'essentiel, du domaine de densité des partenaires de collision."

 

"Ne tournons pas en rond. La saturation vient essentiellement du fait que la quantité d'énergie à évacuer n'est pas infinie."

 

C'est quoi ce délire ?

 

Merci P'tit Suisse, plus ça va et plus je pense que je tiens le bon bout? Je dois vous remercier car vous me donnez les arguments pour vous contredire et j'apprends un tas de chose.

]Non mais les gars, vous avez la moindre idée de quoi vous parlez ou c'est juste pour aligner des mots ??

 

Je dois être dans la 4e dimension.

Qui aligne des mots pour ne rien dire ? :D

Les derniers arguments que vous avez présentés ne résistent pas à une analyse élémentaire : Peut-on accorder le moindre crédit scientifique à un modèle mathématique spécialement conçu pour expliquer un réchauffement climatique causé par le CO2 en excluant tous les autres composants de l'atmosphère et en sachant qu'il y a une saturation en "transmittance". Seule réponse de l'ordinateur élargir la bande et remplir les ailes. Mais ce n'est qu'un modèle mathématique ! :pfff:

...Et vous n'avez pas pu justifier le principe physique qui autorise cette élargissement !

 

"Dans ce cadre, la prise en compte de l'influence de la pression sur les profils est généralement cruciale. Ces effets des collisions inter-moléculaires entre l'espèce optiquement active et ses « perturbateurs » sont multiples et complexes et dépendent, pour l'essentiel, du domaine de densité des partenaires de collision."

Ca c'est dans le cadre de l'échange de chaleur entre le CO2 et l'air ambiant. Rien à voir avec l'absorption d'énergie par le CO2.

Vous n'êtes pas sans ignorer qu'une molécule pluriatomique n'a, au maximum, que 6 degrés de liberté pour absorber de l'énergie.

"Ne tournons pas en rond. La saturation vient essentiellement du fait que la quantité d'énergie à évacuer n'est pas infinie." C'est quoi ce délire ?

 

Je vous ai déjà expliqué que s'il n'y a que 50 W à absorber sur une bande de fréquence et que toute cette puissance est déjà absorbée pour une concentration donnée du CO2, une augmentation supplémentaire de concentration du dioxyde de carbone n'y changera plus rien. :) OUf !

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Invité §Pap582AL

Merci P'tit Suisse, plus ça va et plus je pense que je tiens le bon bout? Je dois vous remercier car vous me donnez les arguments pour vous contredire et j'apprends un tas de chose.

]Non mais les gars, vous avez la moindre idée de quoi vous parlez ou c'est juste pour aligner des mots ??

 

Je dois être dans la 4e dimension.

Qui aligne des mots pour ne rien dire ? :D

Les derniers arguments que vous avez présentés ne résistent pas à une analyse élémentaire : Peut-on accorder le moindre crédit scientifique à un modèle mathématique spécialement conçu pour expliquer un réchauffement climatique causé par le CO2 en excluant tous les autres composants de l'atmosphère et en sachant qu'il y a une saturation en "transmittance". Seule réponse de l'ordinateur élargir la bande et remplir les ailes. Mais ce n'est qu'un modèle mathématique ! :pfff:

...Et vous n'avez pas pu justifier le principe physique qui autorise cette élargissement !

 

"Dans ce cadre, la prise en compte de l'influence de la pression sur les profils est généralement cruciale. Ces effets des collisions inter-moléculaires entre l'espèce optiquement active et ses « perturbateurs » sont multiples et complexes et dépendent, pour l'essentiel, du domaine de densité des partenaires de collision."

Ca c'est dans le cadre de l'échange de chaleur entre le CO2 et l'air ambiant. Rien à voir avec l'absorption d'énergie par le CO2.

Vous n'êtes pas sans ignorer qu'une molécule pluriatomique n'a, au maximum, que 6 degrés de liberté pour absorber de l'énergie.

"Ne tournons pas en rond. La saturation vient essentiellement du fait que la quantité d'énergie à évacuer n'est pas infinie." C'est quoi ce délire ?

 

Je vous ai déjà expliqué que s'il n'y a que 50 W à absorber sur une bande de fréquence et que toute cette puissance est déjà absorbée pour une concentration donnée du CO2, une augmentation supplémentaire de concentration du dioxyde de carbone n'y changera plus rien. :) OUf !

 

 

Comme je l'ai déjà dit, mes connaissances en physique théorique sont atteinte de péremption, et il m'est difficile de participer directement à la discussion entre Pacifique 69 et P'titsuisse.

 

Néanmoins, avec une bonne culture scientifique et un peu de bon sens, il est assez facile de faire la différence entre les deux discours :

 

- Celui de P'titsuisse qui vous noie sous des références bibliographiques toutes sorties du même moule, et de résultats de "modèles" qui ne sont, par définition, que des réécritures de leurs hypothèses (et là, je suis dans mon domaine), alors que ce sont précisément les dites hypothèses qui sont contestées.

 

- Celui de Pacifique 69, qui nous relate de façon très didactique ce qu'il apprend en démontant (au sens littéral du terme) le pseudo-scientisme de P'titsuisse.

 

Merci à Pacifique 69. On compte les points. Le KO est proche !

 

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Invité §Pac464vE

Merci PapyJako pour tes encouragements.

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Je vote contre le KO ! :D

Sérieusement, P'tit Suisse est le seul qui défende avec une argumentation poussée, au lieu de lieux communs dignes d'un discours pseudo-religieux rabâchés par des lobotomisés !

 

Et parce qu'il ne faudrait pas non plus tomber dans l'absence de débat comme certains réchauffistes aimeraient !

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Invité §P_t400jZ

 

Les derniers arguments que vous avez présentés ne résistent pas à une analyse élémentaire : Peut-on accorder le moindre crédit scientifique à un modèle mathématique spécialement conçu pour expliquer un réchauffement climatique causé par le CO2 en excluant tous les autres composants de l'atmosphère et en sachant qu'il y a une saturation en "transmittance". Seule réponse de l'ordinateur élargir la bande et remplir les ailes. Mais ce n'est qu'un modèle mathématique ! :pfff:

 

 

Un modèle mathématique basé sur des faits physiques. Mais si c'est si facile de faire un modèle qui "crache" ce que l'on veut bien lui faire cracher, je m'étonne que vous n'ayez pas trouver une autre reconstruction spectrale qui infirme celle que je montre.

 

 

...Et vous n'avez pas pu justifier le principe physique qui autorise cette élargissement !

 

Si. Mais votre niveau de compréhension n'est visiblement pas suffisant. Allez passer quelques années sur les bancs d'une université...

 

Je peux attaquer le problème sous un autre angle. Pour faire très simple (je suis bien obligé de sacrifier à la rigueur scientifique pour espérer que vous compreniez), l'absorption d'un photon d'une énergie (=fréquence) donnée par une molécule de CO2 est assorti d'une certaine probabilité. Pour certaines raies, cet absorption est quasi certaine, pour d'autre, beaucoup moins. Augmenter la concentration de CO2, c'est augmenter le nombre de molécule disponible et donc rendre plus probable l'absorption même au niveau de raies moins susceptibles d'absorber.

 

 

 

 

Je vous ai déjà expliqué que s'il n'y a que 50 W à absorber sur une bande de fréquence et que toute cette puissance est déjà absorbée pour une concentration donnée du CO2, une augmentation supplémentaire de concentration du dioxyde de carbone n'y changera plus rien. :) OUf !

 

Bah si... Et si vous n'arrivez pas à construire un modèle mentale pour vous convaincre du contraire, je peux vous montrer des mesures expérimentales:

 

http://www.nature.com/nature/journal/v410/n6826/abs/410355a0.html

 

http://www.skepticalscience.com/images/harries_radiation.gif

 

Cette figure est la différence entre le spectre dans l'infrarouge de 1970 et de 1996, mesuré par satellite. Il est évident que l'émission a diminué, preuve que plus d'énergie reste piégée dans l'atmophère.

 

même résultat ici

 

http://www.eumetsat.int/Home/Main/Publications/Conference_and_Workshop_Proceedings/groups/cps/documents/document/pdf_conf_p50_s9_01_harries_v.pdf

 

Autre mesure cette fois de l'autre côté, à savoir l'augmentation de rayonnement IR vu depuis le sol, qui est l'opposé de la diminution observée depuis l'espace:

 

http://www.agu.org/pubs/crossref/2009/2009JD011800.shtml

 

http://landshape.org/enm/wp-content/uploads/2009/01/philipona2004-radiation.pdf

 

"Here we show that atmospheric longwave downward radiation significantly increased (+5.2(2.2) Wm-2) partly due to increased cloud amount (+1.0(2.8) Wm-2) over eight years of measurements at eight radiation stations distributed over the central Alps. … However, after subtracting for two thirds of temperature and humidity rises, the increase of cloud-free longwave downward radiation (+1.8(0.8) Wm-2) remains statistically significant and demonstrates radiative forcing due to an enhanced greenhouse effect.” "

 

http://ams.confex.com/ams/Annual2006/techprogram/paper_100737.htm

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2) Quelle est la spécialité scientifique du Président du GIEC Rajendra Pachauri (réponse : Ingénieur Ferroviaire).

 

3) Quelle est la spécialité scientifique de Jean Jouzel, Vice Président du GIEC (réponse : Glaciologue).

 

 

 

:jap: Et les mêmes vont nous dire qu'Allègre n'a pas de crédibilité à parler de climat, entre un ingénieur ferroviaire indien et un gards qui carotte la glace ...

 

fadatonio.gif.529b1233ea99e413f6c1fe0219a89545.gif

 

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Références de l'AR4 (rapport du GIEC), chapitre Paléoclimat: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch6s6-references.html

 

Je cite:

 

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2003: Corrections to the Mann et al. (1998) proxy database and northern hemispheric average temperature series. Energy Environ., 14, 751–771.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005a: Hockey sticks, principal components, and spurious significance. Geophys. Res. Lett., 32(3), L03710, doi:10.1029/2004GL021750.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005b: The M&M critique of the MBH98 Northern Hemisphere climate index: Update and implications. Energy Environ., 16, 69–99.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005c: Reply to comment by von Storch and Zorita on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20714, doi:10.1029/2005GL023089.

 

McIntyre, S., and R. McKitrick, 2005d: Reply to comment by von Huybers on “Hockey sticks, principal components, and spurious significance”. Geophys. Res. Lett., 32(20), L20713, doi:10.1029/2005GL023586.

 

Soon, W., and S. Baliunas, 2003: Proxy climatic and environmental changes of the past 1000 years. Clim. Res., 23(2), 89–110.

 

 

 

chapitre changement climatique: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch3s3-references.html

 

 

 

McKitrick, R., and P.J. Michaels, 2004: A test of corrections for extraneous signals in gridded surface temperature data. Clim. Res., 26, 159–173.

 

 

Chapitre modèles: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch8s8-references.html

 

Chou, M.-D., R.S. Lindzen, and A.Y. Hou, 2002: Reply to: “Tropical cirrus and water vapor: An effective Earth infrared iris feedback?”. Atmos. Chem. Phys., 2, 99–101.

 

Lindzen, R.S., M.-D. Chou, and A.Y. Hou, 2001: Does the Earth have an adaptative infrared iris? Bull. Am. Meteorol. Soc., 82, 417–432.

 

 

Articles climato-sceptiques estampillés GIEC...

 

Faudra revoir cet argument, Papy !

 

 

Mais arrête avec ça, ils n'en tiennent pas du tout compte, il n'y a qu'une théorie possible au GIEC comme tu sais si bien nous le rappeler 1068428447_rico54500.gif.463ba74437383aa6822c730a727d101b.gif

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Je sais que parler de météorologie dans le contexte de la climatologie fait naître un sourire narquois sur les lèvres de certains intégristes mais j'aimerais quand même évoquer une petite vérité sur la variabilité du climat.

 

 

Allègre a pourtant parfaitement raison quand il ose faire le rapprochement, il s'agit bien de simulations numériques, très complexes dans les deux cas. Et on sait parfaitement que les simulations en météo ne sont déjà pas fiables à 48h, alors que ça fait 50 ans qu'on travaille dessus avec les calculateurs les plus puissants disponibles ... alors le GIEC qui nous montre des courbes sur 100 ans avec une probabilité de 90% c'est à mourir de ridicule bab_31.gif.3a8e3f7c45b37a326579798346329ccb.gif

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Invité §P_t400jZ

 

Mais arrête avec ça, ils n'en tiennent pas du tout compte, il n'y a qu'une théorie possible au GIEC comme tu sais si bien nous le rappeler 1068428447_rico54500.gif.463ba74437383aa6822c730a727d101b.gif

 

 

Non, les articles sont discutés, mais d'autres études plus récentes, plus nombreuses et plus convaincantes viennent les relativiser.

 

Par exemple, en 2001 Lindzen a sorti l'hypothèse "Iris" qui serait un "thermostat global" contrecarant le réchauffement. Depuis personne n'a pu confirmer son hypothèse par des mesures. Alors que faut-il faire ?? Il faut juste croire Lindzen qui est le seul à défendre son hypothèse ? Jetter à la poubelle toutes les études qui n'arrivent pas à reproduire et confirmer les travaux de Lindzen ??

 

c'est disctué de la manière suivante dans l'AR4:

 

Lindzen et al. (2001) speculated that the tropical area covered by anvil clouds could decrease with rising temperature, and that would lead to a negative climate feedback (iris hypothesis). Numerous objections have been raised about various aspects of the observational evidence provided so far (Chambers et al., 2002; Del Genio and Kovari, 2002; Fu et al., 2002; Harrison, 2002; Hartmann and Michelsen, 2002; Lin et al., 2002, 2004), leading to a vigorous debate with the authors of the hypothesis (Bell et al., 2002; Chou et al., 2002; Lindzen et al., 2002). Other observational studies (Del Genio and Kovari, 2002; Del Genio et al., 2005b) suggest an increase in the convective cloud cover with surface temperature.

 

http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/wg1/ar4-wg1-chapter8.pdf?bcsi_scan_6EEC4C51AC2F2FB9=0&bcsi_scan_filename=ar4-wg1-chapter8.pdf

 

 

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Non, les articles sont discutés, mais d'autres études plus récentes, plus nombreuses et plus convaincantes viennent les relativiser.

 

Par exemple, en 2001 Lindzen a sorti l'hypothèse "Iris" qui serait un "thermostat global" contrecarant le réchauffement. Depuis personne n'a pu confirmer son hypothèse par des mesures. Alors que faut-il faire ?? Il faut juste croire Lindzen qui est le seul à défendre son hypothèse ? Jetter à la poubelle toutes les études qui n'arrivent pas à reproduire et confirmer les travaux de Lindzen ??

 

c'est disctué de la manière suivante dans l'AR4:

 

Lindzen et al. (2001) speculated that the tropical area covered by anvil clouds could decrease with rising temperature, and that would lead to a negative climate feedback (iris hypothesis). Numerous objections have been raised about various aspects of the observational evidence provided so far (Chambers et al., 2002; Del Genio and Kovari, 2002; Fu et al., 2002; Harrison, 2002; Hartmann and Michelsen, 2002; Lin et al., 2002, 2004), leading to a vigorous debate with the authors of the hypothesis (Bell et al., 2002; Chou et al., 2002; Lindzen et al., 2002). Other observational studies (Del Genio and Kovari, 2002; Del Genio et al., 2005b) suggest an increase in the convective cloud cover with surface temperature.

 

http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/wg1/ar4-wg1-chapter8.pdf?bcsi_scan_6EEC4C51AC2F2FB9=0&bcsi_scan_filename=ar4-wg1-chapter8.pdf

 

 

 

Est-ce que tu crois qu'on a assez de recul pour décider en 2010 qu'il ne peut pas y avoir de mécanismes "automatiques" de compensation d'un réchauffement. Pourquoi tant de politique, de violence dans les débats ? de l'argent en jeu ?

Les années 2000 ont été celles d'un léger réfroidissement alors que le CO2 a "explosé" 1068428447_rico54500.gif.463ba74437383aa6822c730a727d101b.gif

 

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