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WRC / IRC / ERC

[topic officiel] Henri TOIVONEN


Invité §ric325Gy

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Invité §cha573PA

Pour ceux qui apprécient ce pilote, j'avais rédigé en 2004 un article pour un site internet qui a aujourd'hui disparu.

 

Voici un copié collé de l'article que j'avais écris, retraçant la vie de ce pilote.

 

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Il n’est pas évident de se lancer dans la biographie d’un pilote que certains admirent avec tant de passion mais qui, de mon coté, suscite plus l’interrogation que l'adoration. Il m’intrigue car il fait l’objet d’un tel engouement, d’un tel culte, que j’ai hésité à faire cet article, ne serait-ce que parce que certains le connaissent sur le bout des doigts... Mais je voulais savoir pourquoi...

 

Henri Toivonen faisait partie des grands du monde du rallye, incroyablement rapide tout en restant très spectaculaire, ce qui est rare de nos jours

Il fait partie d’une légende, d’une symphonie inachevée, malgré son nombre peu élevé de podium en Championnat du monde... Car soyons clairs : Toivonen n’est pas entré dans la légende en raison de ses résultats (3 victoires en CM - il était en pleine réalisation de ceux-ci quand la dure loi du rallye l’a frappé) mais bien en raison de son style unique, fait de longues glissades plus anticipées que celles de n’importe quel autre pilote et d’accélérations précoces, la voiture toujours bien en ligne - il était un des rares à ne pas perdre de temps dans le spectacle.

 

Les premières années de course - Période Citroën

 

Henri Toivonen est né le 25 août 1956 en Finlande, dans l’ombre de son père Pauli, également pilote de rallye. Il commença sa carrière dans le kart (un des ses karts fut racheté par le papa d’un certain ... Mika Hakkinen) et, rapidement, en monoplace.

 

Sa licence pour rouler en rallye lui fut octroyée en 1974 (18 ans) mais vu les conditions de la première année du permis de conduire (vitesse limitée sur les routes), il dut encore patienter un an avant de se livrer entièrement à la course. Le premier grand événement fut le rallye des 1000 Lacs, en 1975, sur une Simca 1000 Rally 2.

 

Sous la pression de sa famille, qui considérait que le circuit était beaucoup trop dangereux (incroyable!), il décida alors de se consacrer exclusivement au rallye. En 1977, au 1000 Lacs, il termina 5ème, sur Chrysler Avenger.

 

En 1978, il s’aligna pour la première fois en Championnat du Monde, lors du rallye du Portugal et de l’Acropole, sur une CX 2400. Il était le plus jeune rallyman à avoir défendu les couleurs d’une usine, puisqu’il n’avait que 21 ans et 7 mois. Ce record fut battu seulement en 2002, par le Belge François Duval.

Il ne finit pas ses deux premiers rallyes (accident au Portugal et problème d’alimentation en Grèce) mais se fit remarquer par une série de personnes.

La même année, il participa également au RAC Rally, sur Sunbeam, où il finit 9ème ainsi qu’au 1000 Lacs sur Porsche 911 3.0 (moteur cassé).

En 1979, Henri n’intégra aucun team d’usine mais participa, essentiellement sur une Ford Escort RS, à plusieurs manches des Championnats anglais, européen ou mondial (1000 Lacs et RAC). Il disputa 10 rallyes mais n’en termina que 3.

 

En 1980, il rejoignit le team TALBOT, en compagnie de Guy Frequelin et Russell Brookes. L’objectif était de gagner le Championnat Open en Angleterre, mais également de participer à quelques compétitions en Championnat du Monde. Souvent meilleur que ses deux co-équipiers, il réalisa toutefois des performances un peu en dents-de-scie.

 

Au Portugal, il réalisa sept temps scratches (abandon sur bris d’axe) et il fut, dès cet instant, reconnu par les responsables des Teams comme un pilote d’avenir. Il termina également 5ème au San Remo.

 

Son plus grand succès tomba en fin d’année, où il remporta le RAC Rallye avec la Sunbeam Lotus. A 24 ans! Il est d’ailleurs, à ce jour, toujours le plus jeune pilote à avoir remporté une épreuve du Championnat du Monde.

 

En 1981, il signa à nouveau avec Talbot pour sept manches du Championnat du Monde, en compagnie d’un nouveau co-pilote: Fred Gallagher. Rapidement, Henri se rendit compte que la Talbot n’était plus compétitive par rapport aux voitures du groupe B. Il décrocha toutefois une deuxième place, lors du San Remo et du Rallye du Portugal, et une cinquième place au Monte-Carlo. A noter que l’ensemble de ses abandons n’était dû qu’à des problèmes mécaniques.

Son plus grand plaisir fut, sans doute, cette année-là une manche OPEN du championnat britannique, nommée AUDI SPORT RALLY, qu’il remporta. Inutile de préciser que la remise des prix fut assez joyeuse...

 

Les années OPEL

 

En 1982 et 1983, Henri Toivonen conclut un contrat avec la marque Opel. Ses équipiers étaient, à l’époque, Walther Rohrl et Jimmy McRae. Il termina en 1982, 3ème de l’Acropole, 5ème du San Remo et 3ème du RAC.

 

Des résultats du même ordre furent observés dans plusieurs manches en Grande-Bretagne.

 

En 1983, il termina 6ème du Monte-Carlo et 4ème du San Remo (où il se montra nettement plus rapide sur le goudron que Walther Rorhl...) et remporta le MANX Rally.

 

Michel Lizin, journaliste à Auto-Hebdo évoqua, peu après le décès d’Henri, un de ses passages lors du San Remo. «Je me souviens de cette fin d’après-midi du rallye de San Remo 1983; le soleil se couchait sur la Toscane, donnant à la terre de Sienne ses tons les plus nuancés, les plus éblouissants, les plus joyeux et les plus angoissants. La route en terre ne serpentait pas, non, elle ondulait en suivant le sommet des collines, notre poste d’observation permettant de suivre les concurrents du rallye le temps de plusieurs courbes négociées à grande vitesse. Le travail des rallymen en action s’admire avec les yeux mais plus encore avec les oreilles; longues glissades parfaitement contrôlées et enchaînées les unes aux autres, les meilleurs pilotes du monde s’en donnaient à coeur joie, les dérapages contrôlés par la pression du pied sur l’accélérateur ou le rétrogradage d’un rapports de boite. Surgit Toivonen et le monde bascule. Les glissades sont à la fois amples et plus précises. Jamais l’Opel n’est rééquilibrée et surtout, surtout, jamais le bruit du moteur propulsant la voiture à fond de cinquième ne se réduit, ne change de ton. Là où les autres «rentrent» une vitesse, Henri refuse ne fut-ce que de lever le pied et sa trajectoire est plus belle, et ses dérapages sont plus longs, et ses passages plus rapides.»

 

En 1983, Toivonen participa aussi à quelques courses d’endurance en Porsche 956. Il essaya le bolide à Imola, lors de la 7ème manche, mais c’est à Mugello, lors des six heures d’endurance, qu’il put la piloter en course et finit 3ème, en compagnie de Jonathan Palmer et Derek Bell.

 

L’année charnière : 1984 - Période Lancia

 

En 1984, Henri signa pour le Championnat Européen avec Porsche, au volant d’une 911 S. Ce sont également les premiers signes de ses douleurs dans le dos, qui l’empêchèrent de rouler durant quelques courses. Son copilote du moment était Juha Piironen. Il finit second du championnat, juste derrière Carlo Capone/Sergio Cresto roulant sur 037 et gagna notamment le Costa Smeralda, la Bulgarie, les 24 Heures d’Ypres, les Milles Pistes et le rallye de Madère.

Durant cette année, Lancia lui proposa un contrat pour certaines manches du Championnat du Monde. Henri signa des deux mains et finit 3ème pour ce nouveau team lors du rallye des 1000 Lacs.

 

Après des années d’impatience, Henri gagnait enfin en maturité. L’année fut un tournant puisque Toivonen était devenu un pilote non seulement rapide mais aussi régulier (aucun abandon n’était dû à une erreur).

 

L’année 1985 fut assez frustrante pour les pilotes Lancia, puisque la 037, malgré son agilité et sa puissance, était incapable de suivre le rythme des Audi Sport Quattro et des Peugeot 205 Turbo 16. Jusqu’ici, l’agilité de la 037 lui avait permis de tirer son épingle du jeu, mais la partie devenait trop inégale.

 

Il fallait réagir et les ingénieurs Giorgio Pianta et Claudio Lombardi mirent au point la 038, appelée Delta S4, dont le modèle client sera présenté pour la première fois lors du Salon de Paris, en décembre 1984.

 

Une longue période de mise au point sera nécessaire pour accorder le nouveau moteur, le nouveau châssis et la transmission intégrale. C’est d’ailleurs cette dernière qui posera le plus de problèmes. Durant l’année 1985, Markku Alen et Henri Toivonen tenteront de la rendre optimale. Markku était à ce point désespéré qu’il pensera même accepter l’offre de Jean Todt de rejoindre Peugeot. En fait, la voiture était très performante, mais très fragile une fois poussée dans ses derniers retranchements.

 

Les différentes manches du Championnat européen utilisées comme base d’essais, dont le Costa Smeralda aux mains de Toivonen, n’avaient en effet rien apporté de positif. Il alla d’ailleurs détruire la voiture dans un mur lors de la 34ème spéciale, et se cassa trois vertèbres cervicales. Plus encore que de ces blessures, Henri souffrira pendant de longs mois d’une terrible maladie: le doute. L’accident du Costa Sméralda l’empêcha de participer au Tour de Corse.

Les résultats engrangés par Henri pendant l’année avec la 037 se résumèrent à une 6ème place au Monte-Carlo, une 4ème place au 1000 Lacs et une 3ème place au San Remo.

 

La Delta S4 apparut officiellement en CM lors du RAC RALLY. L’objectif était de peaufiner les réglages et de mettre en oeuvre un apprentissage à tous les niveaux: pilotes, mécaniciens, organisation. Incroyable entrée puisque Markku Alen signa le meilleur temps de la première ES.

 

Markku ne perdra son rallye que sur un coup de malchance, s’étant mis «sur le toit» dans une zone peu fréquentée par les spectateurs (5 minutes perdues - c’est Kankkunen, qu’il stoppa d’autorité, qui, par amitié, l’aida à sortir du trou!) alors que Toivonen fit pareil devant des milliers de spectateurs, qui remirent la S4 sur la route sans que l’équipage ne sorte de la voiture (20 secondes perdues). Henri précisera «Ce n’était pas un «tonneau à la Toivonen» comme les autres, puisque la voiture n’était pas abîmée...»

 

Toivonen remporta son second RAC et ,comme en 1980, son charme opéra sur les foules anglaises. Victorieux au RAC, Toivonen avait fait un grand pas vers une meilleure confiance, même si ses démons ne l’avaient pas encore totalement abandonné. Toivonen, pendant le RAC, était apparu nerveux, taiseux, cassant envers ses mécanos, préoccupé. Et sa victoire finale réussit à peine à le détendre. «Je ne sais plus ce que veut dire la pleine confiance en soi», avait-il dit lors de la conférence de presse. Michel Lizin ajouta dans son compte-rendu «Encore une ou deux victoires, Henri, et tu domineras à nouveau totalement ton art...»

 

Il devient le meilleur mais aussi une légende - 1986

 

L’année démarra à nouveau par une victoire au Monte-Carlo. Henri était alors navigué par Sergio Cresto, de nationalité américaine mais pur produit Lancia, qui avait déjà roulé depuis 1983 avec Zanussi, Cinotto, Capone (avec qui il fut champion d’Europe en 1984), Bettega mais aussi Andruet (MC 1984).

Malgré un accident sur le parcours de liaison qui nécessita un travail acharné des mécaniciens et carrossiers Lancia, Henri gagna l’épreuve. A noter que son père avait remporté le Monte-Carlo en 1966, sur Citroën, mais suite à l’exclusion après l'arrivée de 10 voitures pour éclairage non conforme, dont les quatre premières du classement général (trois Mini et une Ford). Les premiers mots de Pauli Toivonen, savourant une vraie victoire et non l’éviction de ses adversaires, furent d’ailleurs «Maintenant, le nom Toivonen est enfin devenu une vérité...»

 

En Suède, la S4 allait se trouver confrontée à des soucis de tenue de route. Henri se montra toutefois le plus entreprenant et prit même la tête du rallye, après l’abandon de Salonen, stoppé par un bris de soupape. Il abandonna l’épreuve dans la 12ème spéciale, sur bris de moteur.

Au Portugal, Joachim Santos, sur Ford RS200, sortit de la route, évita les spectateurs d’un coté avant d’en faucher une vingtaine de l’autre coté. Trois ne se relèveront pas. Ce drame décida les pilotes d'usine à refuser de continuer une course où risquaient de se produire, à tout moment, de nouveaux accidents provoqués par l'inconscience des spectateurs qui confondaient (et encore de nombreuses années après, avec les conséquences qu’on connaît) sport automobile et corrida.

 

Au Safari Rallye, les fameuses Toyota Celica Twin-Cam Turbo, avec Waldegaard et Torph, remportèrent les deux premières places, devant Alen avec la 037, préférée à la S4 pour sa fiabilité. Toivonen ne participa pas à cette manche. Quinze jours avant le Tour de Corse, Henri se consacrait à une manche du Championnat européen, le Costa Smeralda, où il termina premier.

 

5ème manche du Championnat, le Tour de Corse débuta le 2 mai. Henri souffrait de forte fièvre, divaguait et arpentait les parcs d’assistance dans un état second, alors que d‘habitude sa gaieté et sa nervosité étaient de mise. Il réalisa toutefois une performance incroyable puisqu’il signait douze des dix-sept scratches et menait le rallye avec plus de 2’ d’avance sur Saby. Personne ne comprenait comment quelqu’un d’aussi peu «dans son assiette» pouvait aller aussi vite.

 

Le 4 mai 1986, vers 15 heures, dans la 18ème spéciale menant de Corte à Averna, dans le Col d’Ominanda, la Delta n°4 sortit de la route, sans aucun témoin. Le réservoir de la S4 se rompit lors du choc avec des arbres et la voiture en carbone-kevlar explosa littéralement en retombant sur son toit, 15 mètres en contrebas de la route. Henri Toivonen et Sergio Cresto entraient, dramatiquement, dans la légende des rallyes.

 

Une fois retirée du fossé, la voiture, en matériau composite, était devenue méconnaissable et aucun expert ne put déterminer les causes de l’accident: était -ce un problème technique ou la maladie d’Henri avait-elle influé sa maîtrise de ce monstre déclaré de 550ch?

 

Ces circonstances tragiques firent aussi se tourner une page du Championnat du Monde des Rallyes, puisque dans les heures qui suivirent, Jean-Marie Balestre, alors Président de la FISA, décida non seulement d’interdire les groupes B dès 1987, mais également de retirer purement et simplement les hybrides groupes S (pourtant limités à 300 ch, produits à minimum 10 exemplaires).

 

Après l’accident, une pierre, en souvenir de l’équipage, fut érigée sur les lieux de la sortie de route. On y mit aussi... des barrières de sécurité.

Henri était marié à Erja et père de deux jeunes enfants, Arla et Markus.

 

La confiance de FIORIO

 

Henri TOIVONEN était un rebelle doté d’un immense talent. Ses performances parfois incroyables ont été toutefois longtemps précédées de repos forcés. Dans le début des années 80, il eut aussi quelques crises de confiance car trop favorisé par la nature et un milieu totalement acquis au sport automobile, Henri n’avait pas appris à souffrir pour s’imposer.

 

Durant sa carrière, il fut toujours assez exubérant, il pouvait ainsi terminer aussi bien dans les dix premiers que finir sa course contre un mur ou dans un fossé. Ainsi, à noter qu’au RAC 1985, il revint à la compétition après de longs mois d’absence en raison d’une blessure au dos - ce qui ne l’empêcha pas de mettre de nouveau sa voiture sur le toit. La manche suivante, lors du Monte-Carlo 86, il démolit littéralement la voiture sur le parcours de liaison et ne dut sa victoire qu’aux mécaniciens de chez Lancia qui retapèrent la S4.

 

Henri dégageait un charisme étonnant, un mélange de fraîcheur juvénile, de passion, d'enthousiasme et de gentillesse, mais aussi parfois de bouderies sans raison. Il inspirait la pleine confiance de ses équipiers mais une seule personne crut sans doute en lui, plus que sa famille peut-être, ce fut Cesare Fiorio. Fioro vit en Toivonen un futur génie et lui pardonna quelques erreurs inexcusables et souvent très coûteuses.

Malheureusement, Toivonen n’accéda jamais à la pleine confiance. L’année 1986 aurait du être son année, les victoires auraient du se succéder...

 

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A noter qu’Henri était le fils de Pauli Toivonen, lui aussi grand pilote de rallye, qui gagna le rallye d’Acropole en 1969, le Monte-Carlo en 1966 et fut, notamment, deuxième au Tour de Corse de 1967.

 

Le frère d’Henri, Harri, de 5 ans son cadet, fit quelques rallyes, notamment avec Tony Pond sur Austin Metro en 1986. Il fut plus connu en circuit et notamment au Nurbürgring, où il termina troisième en 1991 lors des 1000 kilomètres. De lui, on garde surtout l’image poignante du jour où il consola Dereck Warwick, qui venait d’apprendre la perte de son frère lors d’une course de F3000. Il participe toujours à des courses d’endurance, on l’a vu notamment en 2001 et les années précédentes, aux 24 Heures du Mans.

 

Sources que j'avais utilisées:

* Auto-Hebdo n°500 du 5 décembre 1985 - Michel Lizin

* Auto-Hebdo n° 509 du 12 février 1986 - Michel Lizin

* Auto-Hebdo n°521 du 7 mai 1986 - Michel Lizin

* Spécial Compte-tours «20 ans de Monte Carlo - 1973-1993»

* Autosport du 13 novembre 1980, volume 80 n°7, RAC Rally Supplement

* Motor, 7 mai 1986, Martin Holmes

 

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Invité §kon811sH
Invité §hor666JP

superbe article CHASTROU!

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Invité §man886TZ

entierement d'accord

 

magnifique article !! bravo

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Invité §Sam276xe

En effet. Bravo pour l'article!

 

Par rapport aux circonstances de l'accident - avis perso - quelque part je préfère qu'ils n'aient pu trouver l'origine. Le mystère demeure et tant mieux pour la gloire d'henri TOIVONEN!

=> l'autre jour, je suis tombé sur une vidéo où il était interviewé. Il disait combien il était difficile de tenir le rythme plusieurs heures au volant de la S4, moralement comme physiquement. De plus, il avouait déjà son inquiètude quant à la durabilité des groupe B, telles qu'elles étaient à cette époque.

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Invité §too075Yl

super article chastrou :cheers:

 

Ce pilote était tout simplement un génie et il restera longtemps dans nos mémoires :)

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Invité §chb841xu

Bravo pour l'article Chastrou. En le lisant je ne peux m'empêcher de penser à deux pilotes ayant les mêmes cahots de carrière en wrc: Latvala et Duval. Des pilotes qui vont vite, des pilotes qui cassent beaucoup et concernant latvala qui garde le confiance de l'équipe. je sais pas qu'en pensez vous? J'ai pourtant pas une grande admiration pour latvala mais bon

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