hansi68730 26 avril 2017 Signaler Partager 26 avril 2017 Aheum ! Si tu regardes à "Autriche" dans l'index tu trouvera le dossier concernant cet étrange engin... 'Pas grave, c'est par la =============> Purée! Dans mon ordi la page 113 a été arrachée! Je me demande qui a fait ça? Mais toujours sur le net j'ai retrouvé l'article. J'en ai fait un pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité guest527 27 avril 2017 Signaler Partager 27 avril 2017 Un des rats de bibliothèque, sûrement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Tomcraft 27 avril 2017 Signaler Partager 27 avril 2017 Des gens parmi vous etaient deja au musée technique de Sinsheim? J'y etais mardi, quelle collection Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 27 avril 2017 Auteur Signaler Partager 27 avril 2017 Pas encore, nous visons une destination plus lointaine en juin... Mais il paraît que Sinsheim vaut le coup. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hansi68730 27 avril 2017 Signaler Partager 27 avril 2017 Des gens parmi vous etaient deja au musée technique de Sinsheim? J'y etais mardi, quelle collection Vois le post de zimbo page 111. Mais c'est avec plaisir que nous regarderons tes photos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 28 avril 2017 Signaler Partager 28 avril 2017 Photo trouvée sur le sujet des Panhard ( et pour cause ) Lisbonne, révolution des œillets 1974. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 3 mai 2017 Signaler Partager 3 mai 2017 Un étrange projet de char américain de la première guerre mondiale : Ce char américain expérimental était équipé simplement d'une mitailleuse en tourrelle ( içi absente ) et qui reprenait les formes générales des chars anglais de l'époque . Selon la légende, l'architecture de cet engin étrange était faite pour laisser passer les obus par les espaces libres au lieu de les arrêter . Peut être une idée à suivre ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 3 mai 2017 Auteur Signaler Partager 3 mai 2017 Non mais oui mais non en fait ! Trop exiguë, avec un armement ridicule (1 mitrailleuse de 7,62) compte-tenu de la mécanique qu'il fallait mettre en oeuvre pour le mouvoir bref... Relégué au rang des "fausses bonnes idées". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 5 mai 2017 Signaler Partager 5 mai 2017 Un petit jeu bien apprécié des militaires, au moins dans les années 60/70, Je l'ai vu avec un AMX 30 aplatissant une Panhard PL 17. Photo trouvée sur les anciennes avec des anciennes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Terisonen 5 mai 2017 Signaler Partager 5 mai 2017 Tiens un M47 Et une R16 en dessous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hansi68730 7 mai 2017 Signaler Partager 7 mai 2017 Aux USA toujours la démesure... Un train de plus de 2 km de long. 75 wagons de plus de 24m de long chacun (4 container maritimes de 6m) ou avec par wagon 2 chars abrams (120 tonnes) https://www.liveleak.com/view?i=d10_1494103410 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §let286RP 8 mai 2017 Signaler Partager 8 mai 2017 Impressionnant ce train!! je suis étonné du nombre de blindés de dépannage... reste plus qu'a faire descendre tout ce pti monde! l'avantage c'est que tous les wagons sont plats...contrairement aux français. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §KWC576zq 9 mai 2017 Signaler Partager 9 mai 2017 C'est quoi les chars avec la tourelle circulaire vers 2'00 ? Un porte pont qui aurait "oublié" son pont? Sinon en total néophyte, comment on démarre un char? Y a t'il une clé, électronique ou non, comme sur une voiture ou bien un code d'accès ? Les écoutilles sont-elles protégés de la même façon par une serrure? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 9 mai 2017 Auteur Signaler Partager 9 mai 2017 Non, pas de tourelle mais un blindage réactif plutôt. Il s'agit d'un M1ABV, un chassis de MBT M1 mais reconfiguré en véhicule d'assaut pour l'US Marines Corps. Il dispose d'une charrue de déminage, d'un système de balisage d'itinéraire et d'un lanceur Miclic (un boudin explosif contenant plusieurs kilos de C4 capable de déminer et d'éliminer les barbelés sur une centaine de mètres de long et une dizaine de large). 50 tonnes, protégé NBC avec une M2HB téléopérée en autoprotection. Un char n'a pas besoin de clé pour démarrer (déjà on perdait celle du champ de tir et ce n'était pas toujours drôle de retourner chercher un double à la caserne, de préférence à pied faute de véhicule disponible... Le genre de truc qui marchait encore en 1987 avec la bleusaille, de préférence la bonne "grande gueule" de service : En général on ne l'entendait plus jusqu'à la remise de la fourragère ! ) Il suffit de manoeuvrer les bons éléments : Coupe-circuit sur "on", contact, préchauffage, point-mort (ou neutre) et... GO ! Les écoutilles peuvent être fermées uniquement de l'intérieur (histoire d'éviter une malencontreuse grenade), ce qui oblige les équipages à donc laisser une trappe ouverte pour accéder au char, pas grave puisqu'un parc ou un engin sur le terrain est toujours gardé par une sentinelle, ce qui ne nous empêchait pas d'ajouter un cadenas sur l'écoutille du pilote, histoire qu'un copain de la sentinelle à qui il manque des effets ne soit pas tenté de "s'arranger" avec cette dernière pour faire un tour à l'intérieur et "retrouver" ce qui fut perdu, ni vu ni connu... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Terisonen 9 mai 2017 Signaler Partager 9 mai 2017 Pour les ferroviphiles, sachez donc que la limite de charge sur les voie ferrés Nord-Américaine peu monter jusqu'à 39 T par essieu. C'est 33 T à l'essieu pour les locomotives. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 9 mai 2017 Signaler Partager 9 mai 2017 (déjà on perdait celle du champ de tir et ce n'était pas toujours drôle de retourner chercher un double à la caserne, de préférence à pied faute de véhicule disponible... Le genre de truc qui marchait encore en 1987 avec la bleusaille, de préférence la bonne "grande gueule" de service : En général on ne l'entendait plus jusqu'à la remise de la fourragère ! ) J'ai connu pas mal de champs de tir avec une clef ... suffit d'envoyer balader une fois son 'pit dans sa nouvelle unité pour s'en apercevoir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 11 mai 2017 Auteur Signaler Partager 11 mai 2017 Des chars et des hommes... LAFAYETTE POOL : War Daddy, le vrai ! Sans doute n'avez-vous pas oublié le film "Fury" sorti à l'automne 2014 et qui raconte l'histoire d'un équipage de Sherman US durant les toutes dernières semaines de la guerre. J'avais été, à l'époque, assez peu tendre face à ce long métrage qui cumulait autant de bons points (reconstitution historique des engins, ambiance à bord) que de mauvais (scènes de combats à la limite du ridicule et peu crédibles) : Fury, Fort Alamo sur chenilles ! "Fury", long-métrage US de 2013. Mais il est bon de signaler que le rôle du chef de char, joué par le beau (d'après ma phâme... ) Brad Pitt, a été inspiré d'un personnage ayant bel et bien existé : Lafayette Pool. Ce dernier voit le jour au sein d'une famille d'américains moyens le 23 juillet 1919 à Odem, dans l'état du Texas. Il a un frère jumeau et une soeur. Lafayette à droite avec son jumeau John qui servira dans la Navy durant la guerre. Assez doué pour les études il parvient à décrocher en 1938 l'équivalent de notre Baccalauréat et s'inscrit dans une école d'ingénieurs tout en ayant une activité sportive conséquente. En effet le jeune Lafayette est doté d'un physique impressionnant (il mesure 1,87m !) et se passionne vite pour la boxe qu'il pratique en amateur éclairé. En juin 1941 il abandonne des études qui visiblement ne l'intéressent guère pour s'engager dans l'armée US. Il est ventilé au sein de la Troisième Division Blindée et s'y fait très rapidement remarquer... En effet le Sergent Pool, avec son nez tordu et son physique imposant, est l'archétype du "Mec qui en impose" ! Il se fait respecter d'autant plus que sa conduite est irréprochable : Très dur envers ses hommes mais très exigeant envers lui-même il montre systématiquement l'exemple, de plus ses supérieurs lui concèdent une grande agressivité dans la conduite de son char, il a clairement tout du "Bouffeur de feu" qui plait tant aux américains, l'intelligence du terrain en plus ! Il gagne la Grande-Bretagne fin 1943 avec un équipage qui va lui rester fidèle : -Caporal Wilbert Richards, pilote -Première classe Bertrand Close, copilote mitrailleur -Caporal Willis Oller, tireur -Soldat Delbert Boggs, chargeur De la guerre Lafayette va presque en faire une affaire personnelle, en effet le personnage ne supporte pas les théories du Nazisme et en particulier celle de la "Supériorité Aryenne" qui le met superbement en rogne, son passage en instruction aux USA l'avait déjà clairement mis en évidence. Mais il devra désormais compter aussi sur son fidèle chargeur, Boggs, qui vient d'apprendre que son frère vient d'être tué au front. C'est une équipe remontée comme une pendule qui va poser ses chenilles en Normandie, bien décidée "à casser du Fridolin à l'échelon industriel". L'équipage débarque en France le 23 juin 1944 à bord d'un Sherman M4A1 baptisé "In The Mood" (du nom de la célèbre chanson de Glenn Miller) et se trouve le 29 devant Villiers-Fossard lorsque le char est touché par le tir d'un Panzerfaust. L'équipage est indemne mais le blindé est irréparable. M4A1 Il touche un autre Sherman, cette fois-ci un M4A1(76)W avec comme son nom l'indique un canon de 76mm et une protection humide du casier à munitions (W pour Wet). Sachant leur blindé très inférieur aux Panzers l'équipage décide de mener des actions nocturnes sur le front. A Couptrain leur Sherman est à deux doigts de percuter un Panther Allemand en pleine nuit ! L'équipage de ce dernier, pris au dépourvu, tire deux fois dans la direction supposée de Pool mais le manque... Le Sherman est alors tellement près qu'un seul coup de 76 suffira pour arracher la tourelle de l'ennemi. Déboulant seul au milieu d'une forte colonne Allemande, le char fait alors feu de toutes ses pièces et va réaliser un véritable massacre dans une troupe en pleine débandade... Ce n'est qu'au petit matin que le Colonel Richardson parvient à envoyer des renforts sur la zone, ils ne pourront que constater l'exploit du char "In the Mood", resté seul et intact au milieu d'une zone saturée d'épaves et de cadavres. Il sert jusqu'au 17 août, jour où l'équipage occupé à réduire les poches de résistance du village de Fromental est sérieusement touché par les projectiles lancés par un Lighting P38 de l'USAAF (les avis divergent quand à savoir si le pilote a pris le char pour un allemand où si, l'équipage quasiment au contact de l'ennemi, s'est retrouvé touché par le souffle des bombes de l'avion). Lockheed P38, surnommé "le diable à queue fourchu" par l'ennemi. Chasseur pas trop mauvais mais surtout bon avion d'appui-feu en 1944. Un autre char leur est alloué, avec le même surnom qui ne sera pas accompagné des traditionnels "1", "2" ou "3" en fonction des exemplaires "consommés", l'équipage met alors le cap sur la Belgique. Une des très rares photos de Pool et de son char. Toujours surnommé "In the mood" on ne peut être certain qu'il s'agisse du second ou du troisième engin de Pool... A PRIORI le troisième aurait été l'un des 3426 chars du type M4A1 à recevoir la suspension HVSS, ce cliché représenterait donc le second Sherman de Pool. A Namur ils éliminent en 24 heures un Stug.III et au moins une quinzaine de véhicules divers, à Dison (faubourgs de Liège) en cherchant à réduire une simple poche de résistance l'équipage quitte son groupe et détruit six Half-Track et, sur un témoignage, parvient à rattraper une colonne retraitante menée par un Panther. Un tir précis de plus de 1000m du Caporal Oller parvient à l'immobiliser, le reste de la colonne est coincée et il suffit que le groupe de Sherman rapplique pour que tout ne soit plus que ruines. Il est stipulé que le char de Pool est parti à l'assaut 21 fois en Belgique sans jamais être ne serait-ce qu'endommagé ! Pour la troupe Lafayette devient "War Daddy" ("Papa la Guerre" en Français, que l'on peut traduire par le héros expérimenté, ne connaissant pas la peur et qui ramène toujours ses hommes à bon port quelque soit l'adversité) et entre dans la légende des correspondants de guerre, très heureux de mettre enfin "un héros à la une" chez les tankers. Il faut reconnaître que les méthodes d'engagements des colonnes blindées US ne favorisait pas l'individualisme : Les chars n'opéraient en règle générale jamais seuls et toujours sous un véritable couvert d'artillerie, sans parler d'un appui aérien extraordinaire depuis le débarquement, ce qui ne favorisait guère les exploits individuels... Pourtant la bonne étoile d'In The Mood va pâlir. De tous les coups, Pool est bien entendu l'un des premiers à franchir la Ligne Siegfried le 15 septembre 1944 et à atteindre la localité Allemande de Munsterbusch située à environ 10km à l'Est d'Aix La Chapelle. Cette fois-ci il sera attendu par plusieurs Panther servis par des équipages expérimentés (ce qui ne semble pas avoir le cas des précédents chars détruits par Lafayette). Retirés sous le couvert de la végétation les Allemands ouvrent alors le feu sur le char le plus proche qui se trouve être, une fois n'est pas coutume, celui de Pool qui avait le rôle de couvrir le côté droit de la colonne lancée en pointe. Un premier tir touche le Sherman à la tourelle mais semble ricocher, l'équipage est secoué et Pool ordonne une mise à couvert, c'est tout ce que l'état-major entend dans les communications-radio avant qu'un deuxième obus ne frappe de nouveau. Le choc est tel que le Sherman bascule dans un fossé tout proche, l'intérieur est alors envahi de fumée et d'étincelles... Richards, Boggs et Close sont sonnés, légèrement brûles mais saufs, ils aident alors Oller à évacuer l'épave. Ce dernier, assez sérieusement blessé aux jambes, saigne abondamment. Quand à Pool, le choc l'a proprement éjecté du blindé via la trappe de tourelle ! Très gravement touché par une dizaine d'éclats aux jambes il est toujours conscient et évacué par les brancardiers accourus sur place leur laissant pour ordre de "prendre soin du char" mais ce dernier est désormais en flammes... Son état est tel qu'il devra être rapidement amputé d'une jambe. Désormais infirme il voit ses chances de reprendre la boxe après-guerre s'évanouir... Il lui faut presque deux ans pour être rétabli et accepter l'usage de sa prothèse, la guerre est désormais terminée depuis un bon moment et malgré les honneurs il doit se réinsérer dans le civil. Il ouvre avec son épouse (il s'est marié en 1942) une station-service au Texas, mais cela ne lui convient guère et il fait le siège de l'US Army pour y reprendre une activité. Il faudra l'intervention personnelle du Général Allen pour qu'il puisse reprendre du service en 1948, mais compte-tenu de son état physique et de son âge on ne peut lui proposer que le Transportation Corps (le service de logistique de l'US Army). Lors d'une remise de décoration en 1949, Pool dépasse son général d'une tête ! Il servira tout de même en Corée et ne part à la retraite, avec le grade d'adjudant-chef, qu'en septembre 1960. De retour dans le civil, vers 1961. Il n'a que 42 ans mais en paraît facilement 10 de plus... Il passe le reste de sa vie à s'occuper de sa famille (il a eu trois garçons et quatre filles !) et à vivre de petits boulots qu'il change assez souvent. La retraite venue il entraîne la modeste équipe de Baseball locale, très affecté par la mort probable de son fils Jerry Lynn considéré comme "Missing in Action" au Viet-Nam en 1970. Il s'éteint dans son sommeil à son domicile de Kileen (Texas) le 30 mai 1991 à l'âge de 71 ans. Il repose au cimetière militaire de San Antonio. Il était titulaire de nombreuses récompenses : -DSC -Silver Star -Purple Heart (allouée aux blessés) -Médaille de la Victoire -Médaille de la campagne Européenne -Médaille de la bonne conduite -Légion d'honneur (France) -Croix de guerre (France) -Fourragère (Belgique) -Médaille de l'ONU (pour son engagement en Corée) Il est de très loin le Tankiste US ayant réalisé le meilleur score, on lui reconnait la destruction certaine de 12 chars de bataille, 258 engins blindés divers, canons d'assaut et pièces d'artillerie et environ 1 000 tués (et au moins 250 prisonniers) dans les rangs Allemands. Le plus étonnant étant que ces exploits furent réalisés entre les 27 juin (date du premier engagement) et 15 septembre 1944, soit 81 jours. Un brave type d'un rare courage et d'un engagement sans failles et qui, bien que les témoignages manquent, paraît avoir vraiment très mal vécu son retour à la vie civile tant en 1946 qu'après 1960. Il ne sera hélas pas le seul... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 11 mai 2017 Signaler Partager 11 mai 2017 Des chars et des hommes... LAFAYETTE POOL : War Daddy, le vrai ! Un sacré personnage ..... C'est vrai qu'il faisait vieux à 42 ans Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 11 mai 2017 Signaler Partager 11 mai 2017 Un guerrier marqué par les épreuves...... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 11 mai 2017 Signaler Partager 11 mai 2017 Et qui était né sous une bonne étoile ( sans superstition ) Une chose curieuse, sur la photo où il sert la main du général, il porte à l'avant-bras gauche un écusson tricolore, mais qui parait être à l'envers pour le drapeau français, j'ai agrandi, mais ce n'est pas net. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gromiko 12 mai 2017 Signaler Partager 12 mai 2017 Super récit merci.. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 16 mai 2017 Signaler Partager 16 mai 2017 Super récit merci.. Je plussois ! :jap: 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
doutrerhin4 23 mai 2017 Signaler Partager 23 mai 2017 Récit de Robert Ritter von Greim, pilote de chasse allemand de la Grande Guerre sur l'attaque contre deux chars en 1918, ensemble avec un autre pilote de la patrouille. La première mise hors combat des chars par avion? C'est dans la langue pathétique des années 1930, je n'ai pas l'année du livre mais il y a une préface d'Erhard Milch comme secrétaire d'Etat pour l'aviation militaire, qui fut nommé par Hermann Göring. poetrait du pilote du même livre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 23 mai 2017 Signaler Partager 23 mai 2017 entre mon allemand datant de mes anciennes études et le gothique, j'avoue que..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 24 mai 2017 Signaler Partager 24 mai 2017 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
doutrerhin4 24 mai 2017 Signaler Partager 24 mai 2017 entre mon allemand datant de mes anciennes études et le gothique, j'avoue que..... si besoin, faisons une transcription afin que ça devienne plus lisible, mais il resteront quand même quelques trucs pour une traduction dans l'intonation d'époque, c'est plein de mots et de tournures qu'on n'utilise plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 26 mai 2017 Auteur Signaler Partager 26 mai 2017 PT-16 : L'ultime évolution ? On sait les forces Polonaises un peu sur la "défensive" depuis quelques temps... En effet la situation géostratégique actuelle n'est pas pour rassurer cette nation, située à la pointe de l'Europe et soumise tant aux velléités de la Russie dans ce qui fut son ancien "pré-carré" que des atermoiements du camp occidental face aux événements Ukrainiens. Si l'on ajoute à cela que la Pologne a toujours été considérée comme un pays géographiquement indéfendable (grosso-modo une vaste plaine offrant peu d'obstacles naturels) on ne sera pas étonné d'apprendre que ses militaires et autres politiques font tout leur possible pour améliorer leurs forces armées malgré des finances limitées au risque de passer aux yeux de certains "spécialistes" comme des va t-en guerre... A l'heure actuelle la situation du pays concernant ses forces blindées est assez claire : -Trois bataillons d'antiques T72M1 totalement dépassés. -Quatre bataillons de PT-91 Twardy, des T72 revus et corrigés localement -Deux bataillons de Leopard 2A5 récupérés d'occasion en Allemagne vers 2012/2013 -Deux bataillons en cours de transformation sur Leopard 2PL, version spécifique modernisée localement du MBT Allemand (Les Leopard 2PL sont des reconstructions Germano-Polonaises à partir des 140 exemplaires de Leopard 2A4 donnés à Varsovie par Berlin en 2002. ) Ce qui nous donne "grosso-modo" un effectif de 120 T72M1, 240 PT-91 et une centaine de Leopard 2A5. Quand aux forces de réserve elles se limitent à 470 exemplaires de T72M1 à la valeur militaire plus que douteuse... C'est en septembre 2016 lors d'un salon de l'armement local que la société Polonaise PGZ fait sensation en présentant le PT-16, un MBT entièrement conçu sur fonds propres et sans appel d'offre de quiconque. Soyons clair dès le début, cet engin est une énième évolution du légendaire T72 et, sans doute, l'une des toutes dernières... Globalement on peut dire que les ingénieurs de cette firme sont presque repartis de zéro puisque seule la caisse du char d'origine est conservée ! En fait PGZ présente une sorte de "package" à ses clients : Ils se présentent avec un T72 qui a fait son temps et repartent avec un engin en partie ou totalement reconditionné. Les améliorations portent en priorité sur la protection, éternel point faible du T72... -La tourelle est toute nouvelle, le carrousel de chargement d'origine avec ses obus disposés autour des occupants est abandonné au profit d'un auto-chargeur plus moderne qui dispose des ses munitions en nuque séparées de l'équipage par une cloison blindée et des panneaux anti-souffle. L'espace entre la caisse et la tourelle est doté de chaînettes facilitant la détonation des projectiles à charge creuse qui pourraient faire de gros dégâts à cet endroit, point faible de tout blindé. -Le canon est d'un calibre de 120mm à âme lisse apte à tirer des munitions de type OTAN, en particulier le fameux APFSDS DM63 à flèche en carbure de tungstène ou le HE DM11 de Rheinmetall. Le client à le choix de deux fournisseurs : Le tube Ukrainien KBM-2 ou le Slovaque MSB 120. Tous deux sont dotés de manchon anti-arcure, d'un système de pilotage et de stabilisation électrique et disposent d'une capacité de tir de 12 coups/minute, avec 22 obus prêts au tir et 22 autres stockés en caisse. -L'armement secondaire se compose d'une mitrailleuse coaxiale de 7,62mm et d'une 12,7mm en superstructure monté sur un tourelleau télé-opéré de facture Polonaise. -La caisse est protégée par des briques en composite-céramique de conception Germano-Polonaises (dites "ERAWA"), elles représentent l'équivalent de 800mm d'acier à blindage sur l'arc avant. -Il dispose d'un système d'alerte-Laser entièrement automatique capable de lancer les contre-mesures si le char est illuminé par un poste de tir adverse. -Les chenilles sont des Diehl, les mêmes que celles des Leopard 2. -La suspension à barres de torsion d'origine peut être remplacée par un ensemble oléopneumatique sur demande. -Concernant la mécanique les choses restent encore assez nébuleuses : La Pologne ne fabrique plus de GMP de 1000cv et plus depuis quelques temps et il semble que les concepteurs du projet hésitent entre un powerpack MTU de 1200cv ou le moteur Serbe PP1000 de Yugoimport, dérivé du V12 monté à l'origine mais considérablement renforcé et modernisé, il développe 1000cv à 2000Trs et conserve la transmission d'origine avec quelques modifications. Le PP1000, avec suralimentation inter-refroidie. L'équipage reste composé de trois hommes : Pilote, chef de char et tireur. Le poids en ordre de marche est d'environ 47,5 tonnes. Le PT-16 roule à 62 ou 70km/h sur route (suivant motorisation) et entre 15 et 30km/h en marche arrière. Il mesure 9,67m de long (6,86m coque seule), 3,70m de large et 2,60m de haut. Il peut grimper une pente de 60%, franchir un dévers de 45%, un obstacle vertical de 0,85m et une tranchée ouverte de 2,80m. Il conserve les capacités amphibie du T72 et peut donc franchir une coupure humide de 1,20m sans préparation et de plus de 4m de profondeur avec Schnorkel. Le char est équipé des systèmes les plus modernes en service actuellement concernant sa protection face aux incendies, sa capacité chasseur-tueur et ses systèmes d'observation jour/nuit et de visée. Il est à l'heure actuelle proposé à la Malaisie (déjà cliente très satisfaite du PT-91 Twardy rebaptisé localement Pendekar) et à un "Pays du Golfe" (peut-être le Koweit...) qui disent réfléchir très sérieusement à l'acquisition de plusieurs dizaines d'exemplaires. Sollicitée par le fabricant et le gouvernement Polonais afin d'acheter le PT-16 et de devenir en quelque sorte une "vitrine du char" l'armée Polonaise a très diplomatiquement fait savoir qu'elle songerait plutôt "à tourner la page du T72 une bonne fois pour toute" et se concentrer sur les dérivés modernisés du Leopard 2. Il est de notoriété publique que les T72 et dérivés resteront en service dans le monde durant encore au moins deux décennies, PGZ dispose donc d'un débouché certain à l'export, mais les places sont convoitées par de nombreux industriels concurrents, tant Polonais que Tchèques, Serbes, Slovaques ou encore Russes ! Le tour du propriétaire : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 26 mai 2017 Signaler Partager 26 mai 2017 Faire du neuf avec du vieux.....ça al'air de marcher! merci Tonton!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 26 mai 2017 Signaler Partager 26 mai 2017 La Pologne , " le gâteau des rois " et cela de tout temps, il est compréhensible qu'ils cherchent à mieux s'émanciper après des décennies de " joug " soviétique et malgré leur entrée dans l'Europe. Le camouflage en motifs à angles droits est-il plus éfficace que les autres ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 27 mai 2017 Auteur Signaler Partager 27 mai 2017 La camouflage dit "Pixel" ? A priori oui... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hansi68730 27 mai 2017 Signaler Partager 27 mai 2017 Belle réalisation. Je doute un peu qu'une entreprise se lance avec un projet pareil sans étude de marché avec options d'achat et d'engager de tels frais d'étude et de réalisation de proto sans le soutien de l'état. Je n'ai pas de compétence mais j'estime ces frais entre 300 et 500 million d'€. Autre question: Pourquoi l'espace entre la caisse et la tourelle en face avant n'est pas doté de chaînettes à "boulettes" . Tiens, encore une: Tu dis que seule la caisse du 72 est reprise. Serait-ce une caisse neuve (achetée à la Russie?) ou une vieille caisse de récupération? A plus. C'est le cas de le dire! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 27 mai 2017 Auteur Signaler Partager 27 mai 2017 Tu serais surpris du nombre de réalisations "sur fonds propres" réalisés par de nombreuses marques. Dans le domaine aéronautique par exemple le Mirage 4000 de Dassault fut conçu de A à Z par l'avionneur dans l'espoir de susciter des commandes (ce qui fut à deux doigts d'être le cas d'ailleurs), à l'époque de Giat les AMX32 et 40 furent étudiés pour les mêmes motifs. C'est un cas assez courant en fin de compte. Tu dis entre 300 et 500 millions d'€ d'investissements ? Beaucoup moins en fait... Je n'ai pas les chiffres mais on ne doit pas dépasser les 70/80 millions à vue de Pif, peut-être même moins. (le blindage ERAWA n'est pas spécifique à ce type, ni les chenilles Diehl par exemple) L'étude de marché a bel et bien été réalisée : Entre les fabrications Made in USSR et les licences accordées à plusieurs nations (Inde, Iran, Pologne, Tchéquie, Serbie...) on dépasse largement les 20 000 exemplaires produits (T80 et T90 non inclus !). Même en comptant les engins détruits au combat (Irak, Syrie et autres conflits secondaires) et les exemplaires "trop fatigués" il doit en rester au moins 10 000 potentiellement aptes à être remis à niveau, même si GPZ ne remporte que 5% du marché potentiel cela devrait être assez lucratif. Les "chaînes à boulettes" ne peuvent pas être mises de partout : Le blindage frontal est plus épais et elles "frotteraient" en permanence... Toutes les caisses sont d'occasion, il s'agit d'un Retrofit (un terme issu de l'aéronautique qui veut dire "reconstruction-modernisation") pas d'un engin 100% neuf. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
tommyb 27 mai 2017 Signaler Partager 27 mai 2017 Tu serais surpris du nombre de réalisations "sur fonds propres" réalisés par de nombreuses marques. Dans le domaine aéronautique par exemple le Mirage 4000 de Dassault fut conçu de A à Z par l'avionneur dans l'espoir de susciter des commandes (ce qui fut à deux doigts d'être le cas d'ailleurs), à l'époque de Giat les AMX32 et 40 furent étudiés pour les mêmes motifs. C'est un cas assez courant en fin de compte. Tu dis entre 300 et 500 millions d'€ d'investissements ? Beaucoup moins en fait... Je n'ai pas les chiffres mais on ne doit pas dépasser les 70/80 millions à vue de Pif, peut-être même moins. (le blindage ERAWA n'est pas spécifique à ce type, ni les chenilles Diehl par exemple) L'étude de marché a bel et bien été réalisée : Entre les fabrications Made in USSR et les licences accordées à plusieurs nations (Inde, Iran, Pologne, Tchéquie, Serbie...) on dépasse largement les 20 000 exemplaires produits (T80 et T90 non inclus !). Même en comptant les engins détruits au combat (Irak, Syrie et autres conflits secondaires) et les exemplaires "trop fatigués" il doit en rester au moins 10 000 potentiellement aptes à être remis à niveau, même si GPZ ne remporte que 5% du marché potentiel cela devrait être assez lucratif. Les "chaînes à boulettes" ne peuvent pas être mises de partout : Le blindage frontal est plus épais et elles "frotteraient" en permanence... Toutes les caisses sont d'occasion, il s'agit d'un Retrofit (un terme issu de l'aéronautique qui veut dire "reconstruction-modernisation") pas d'un engin 100% neuf. Reconstruction modernisation comme certain véhicule historique de compétition,pas neuf mais pas trés loin non plus .Excusé moi peut être hors sujet mais le rapprochement était tentant . Voila voila . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 6 juin 2017 Signaler Partager 6 juin 2017 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 7 juin 2017 Signaler Partager 7 juin 2017 Honneurs aux Anciens ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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