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Le Topic du Made In France


Invité §Jes257LV
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Messages recommandés

Invité §Jes257LV

 

totalement? du moindre petit condensateur à l'écran?

 

Quand t’achète un produit tu te soucie surement de la provenance de toutes les pièces bif38.gif.2c5624877451003c72bccdb6578b07ed.gif

 

Ma Smart est 100%" française " et pourtant certains composants sont étranger....c'est mal bouh.. 1592161955_v-ones.gif.17a7b2c62a4167417ae32a6c05e87628.gif

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Invité §Jes257LV

Ont se doute bien que c'est le concept, sa conception, le soft et le montage :o

 

:W

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Invité §nyn781GE

Ont se doute bien que c'est le concept, sa conception, le soft et le montage :o

 

 

pas forcément... le plastique peut très bien etre made in france... les pièces electroniques aussi... ce qui expliquerait son prix du reste :buzz:

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pas forcément... le plastique peut très bien etre made in france... les pièces electroniques aussi... ce qui expliquerait son prix du reste :buzz:

 

C'est précisé que la coque plastique est faite en France :o

 

Mais avec du pétrole arabe surement :lol:

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Invité §nyn781GE

ça compte pas, c'est quasiment à nous les ressources naturelles :sol:

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Invité §Jes257LV

Vu que tout le monde ici à 1 voire 3 pc et plusieurs téléphones/tablettes je pense que les ressources naturelles leurs passent au dessus de la tête anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §Jes257LV

[h1]Toutes les pièces d’électroménager en ligne 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif [/h1]

[h2]Dépanneur en électroménager, Eric Noël a eu l’idée en 2005 de lancer son entreprise de vente en ligne de pièces détachées et accessoires des plus grandes marques. Il a installé Cyber Pièces dans sa maison, à Diebling.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/F18A7EDE-0FFF-4010-B2BF-9C80420C6DA5/LRL_v0_03/apres-avoir-travaille-longtemps-comme-depanneur-dans-des-magasins-d-electro-menager-eric-noel-50-ans-s-est-mis-a-son-compte-il-a-cree-son-entreprise-de-vente-en-ligne-de-pieces-detachees-et-accessoires-pour-l-electro-menager-et-travaille-de-chez-lui-dans-sa-maison-de-diebling-photo-philippe-riedinger.jpg

 

 

 

 

Rue Principale à Diebling, la maison d’habitation des Noël abrite aussi leur entreprise. Cyber Pièces est spécialisée dans la vente en ligne de toutes les pièces détachées et accessoires des plus grandes marques de l’électroménager.

« Au rez-de-chaussée, Muriel prépare tous les colis. Il faut que tout soit prêt avant le passage de La Poste à 16 h », explique Eric Noël, en présentant son épouse, occupée à l’emballage. « Nous avons commencé tous les deux en 2005. Au départ, en micro-entreprise, puis en 2008 nous nous sommes mis en SARL », précise le patron de Cyber Pièces. La même année, l’appartement familial de Freyming-Merlebach étant devenu trop étroit, Eric et Muriel déménagent leurs trois filles et leur société dans cette grande maison, au vert.[h4]Une équipe de cinq salariés[/h4]

« Depuis, j’ai recruté du personnel », annonce l’entrepreneur. À l’étage, il partage son bureau avec deux salariés, « un s’occupe du site de vente, l’autre de la facturation et du suivi des clients. J’ai également un technicien qui travaille de chez lui dans la région parisienne. »

Eric Noël, 50 ans, a une longue expérience dans le dépannage électroménager. « J’ai travaillé très longtemps dans ce secteur sur Metz et Bousbach , raconte-t-il. Quand j’étais dépanneur, je renseignais déjà beaucoup de gens sur des forums sur internet. On me demandait souvent où trouver une pièce de rechange. »

[h4]La pièce, plus l’assistance en ligne[/h4]

L’idée germe de créer, à son compte, un site spécialisé dans ce domaine. « Le marché de la pièce détachée n’est absolument pas développé sur internet, le créneau est porteur », constate le professionnel. D’autant plus que les fabricants préfèrent en règle générale vendre du neuf plutôt que réparer. « Souvent on jette une machine à laver juste à cause d’une courroie cassée. C’est du gaspillage », remarque Eric Noël, en observant que sur l’électroménager actuel les pièces se changent facilement.

 

« Les gens sont souvent prêts à faire eux-mêmes. Alors je leur vends l’accessoire, du plus petit au plus gros, avec l’assurance pour eux d’avoir leur commande le lendemain dans leur boîte aux lettres », ajoute le chef d’entreprise.

 

Le plus de Cyber Pièces : « On propose une assistance technique qui permet de discuter en direct avec notre technicien. »

[h4]7 000 pièces en stock[/h4]

De la pompe de vidange à la cuve, en passant par les poignées de portes du lave-linge, des résistances pour chauffe-eau au moteur d’un tournebroche : le choix est très large.

L’entreprise d’Eric Noël dispose de 2 500 références, « dont 6 000 à 7 000 pièces en stock. Pour celles qui manquent, nous arrivons en général à les récupérer chez les fabricants en 72 heures maximum », promet le chef d’entreprise. « 70 % de nos commandes sont expédiées le jour même, précise-t-il. À la livraison, il n’est pas rare que les clients appellent la société pour se faire conseiller. Le fait de savoir qu’une fois la pièce arrivée chez eux, on peut les aider à la poser est un service très apprécié. »[h4]Entre 80 et 120 commandes par jour[/h4]

Pour l’instant, le site Cyber Pièces accueille entre 2 500 et 3 000 visiteurs par jour. « Nous enregistrons entre 80 et 120 commandes quotidiennes et on vend sur toute la France », se félicite Eric Noël, plutôt satisfait de la montée en puissance de sa petite entreprise. « Nous sommes en progression constante », assure le dirigeant.

Ce qui pousse la clientèle – 98 % de particuliers – à se tourner vers internet pour ce type de prestations ? « Les délais d’attente du dépanneur et les prix excessifs. Quand pour remplacer une courroie à 9,50 euros, on vous demande 80 à 100 euros juste pour se déplacer, cela fait mal ! De plus en plus de gens achètent le matériel sur le net et se débrouillent tout seul ou avec notre technicien qui leur donne un coup de main par téléphone. »

http://www.cyberpieces.com/ source http://www.republicain-lorrain [...] r-en-ligne
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95 couzzzziiin :o

 

 

pécialiste japonais des poudres de base des produits de maquillage, des lotions solaires et crèmes hydratantes, Daito Kasei inaugure ce mardi sa première unité de production en Europe. Et c’est le Val-d’Oise que le groupe a choisi. « Un excellent signal dans la conjoncture difficile qu’on connaît », explique-t-on à la direction de l’agence de développement économique du conseil départemental (Ceevo).

 

Elle épaule notamment les entreprises japonaises du Val-d’Oise depuis plusieurs décennies (lire ci-contre).

Fournisseur en France de L’Oréral, Chanel, LVMH (parfums Christian Dior, Guerlain) et autres géants des cosmétiques, cette société est née à Osaka, en 1950. Elle compte aujourd’hui plus de deux cents collaborateurs dans le monde. Elle avait ouvert une première unité commerciale en 2010 hors de son pays d’origine, déjà dans le Val-d’Oise à Taverny, chargée de la clientèle européenne et d’Amérique du sud (Colombie et Pérou).

L’unité de production dans la toute nouvelle zone d’activité de Frépillon s’installe dans un bâtiment flambant neuf de 2000 m 2. Un investissement de 10 M€ qui permettra une production annuelle de 300 t. « Nous allons commencer à sept collaborateurs, avant de doubler l’effectif, avant la fin de l’année », indique Takumi Tanaka, président du site.

Daito Kasei recrute à Frépillon d’ici à septembre, des conducteurs d’appareils en industrie chimique diplômés (bac + 2) ou expérimentés dans les domaines des produits cosmétiques, pharmaceutiques ou alimentaires. Les candidatures sont à envoyer à la direction du 6, avenue Louis Blériot à Frépillon.

La décision d’ouvrir ce site avait été officialisée voici trois ans, lors d’une visite à Taverny du PDG Yoshinori Waki. « Il s’agit de produire au plus près de nos clients et limiter notre empreinte carbone », expliquait-il à l’époque. Outre l’unité de production, Frépillon accueillera un laboratoire de contrôle, recherche et développement, ainsi qu’un autre de bactériologie. A venir également : une unité de stockage.

Trente ans de relations avec Osaka

Entre le Val-d’Oise et l’Empire du Soleil levant, les relations ne datent pas d’hier. C’est plus particulièrement avec la province d’Osaka — d’une dimension sensiblement équivalente à celle de notre département — que des liens se sont noués voici maintenant trente ans. C’est en effet lors d’une visite en 1985 du président du conseil général de l’époque, Pierre Salvi, à une manifestation de promotion des provinces françaises au Japon que le coup de foudre s’est produit. Trois ans plus tard, une charte d’amitié avec Osaka était signée. Aujourd’hui, une soixantaine d’entreprises nipponnes, sur les 420 présentes en France, sont implantées dans le Val-d’Oise, ce qui situe le département bien au-dessus de la moyenne.http://www.leparisien.fr/taver [...] 864155.php

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Invité §Jes257LV

[h1]Food truck à Metz : maintenant c’est poisson ou bœuf[/h1][h2]À son premier camion lancé sur la route en août 2014, Olivier Jung a donné un petit frère dans lequel on ne jure que par le dos de cabillaud façon fish and chips.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/952B2814-5A32-401F-8436-5706115790E5/LRL_v0_03/anne-a-quitte-son-statut-d-autoentrepreneuse-et-le-premier-camion-de-buzz-food-pour-etre-embauchee-en-cdi-et-conduire-le-second-vehicule-lance-par-olivier-jung-photo-maury-golini.jpg

 

 

 

On ne peut pas tout faire », se console Olivier Jung. Les pensées se bousculent sous son crâne. Il a oublié d’apporter des autocollants à poser sur son nouveau food truck garé devant Chullanka, l’équipementier sportif sur la ZAC d’Augny.

 

 

Il oublie aussi régulièrement de se verser un salaire pour payer Anne, 24 ans, sa première employée. Fraîchement embauchée, elle sert les clients dans le camion tout neuf de Buzz Food. Le second de la société que le jeune patron de 36 ans a littéralement mis sur la route en août 2014 avec un premier véhicule qu’il conduit toujours. Impossible de confondre les deux modèles. Le dernier né de la toute petite flotte est aux couleurs de l’Union Jack. Une british touch nécessaire, « parce qu’il faut que chaque camion ait son univer s ».

 

 

Dans le sien, il reste au bœuf. De la limousine, de la salers, de la blonde d’Aquitaine « élevée en Lorraine », hachée en steaks de 200 g glissés dans un hamburger. Le camion tenu par Anne est beaucoup plus marin.

 

« On ne vend que du poisson façon fish and chips en cornet ou en hamburger », du dos de cabillaud dont le prix plafonne la marge brute à 43 %. Un niveau bien inférieur à celui de la restauration traditionnelle, selon Olivier Jung qui ne peut oublier l’amortissement de ses utilitaires. Encore trois ans pour le premier et cinq ans pour le second qui vient de sortir de l’atelier contre une facture de 120 000 €.

 

C’est le prix de la liberté de mouvement pour ce chef d’entreprise qui, à la facilité d’un pas-de-porte, préfère le nomadisme et la variété des contacts propre à chaque emplacement.

 

« Ça ne sert à rien d’ouvrir au même endroit », estime l’ancien berger dans les Hautes-Alpes habitué à changer de pâtures avec ses brebis. Aller au-devant des clients dans de petites localités « permet aux gens qui ne peuvent pas se déplacer d’accéder à une nourriture urbaine ». Il pense à deux mamies de Marange-Silvange qui arrivent désormais avec un saladier pour acheter leurs frites.

 

Proposer du poisson est, aux yeux d’Olivier Jung, un pari plus risqué que de griller du bœuf. « La viande est plus facile à manger », mais le poisson n’écarte aucune communauté ni confession.

 

« Qu’est-ce que les gens qui mangent hallal ont comme solution ? Qu’est-ce qui leur est proposé en dehors des kebabs ou du poulet dans des grandes chaînes de fast-food ? » Le cabillaud s’affranchit de tous les interdits. Olivier Jung ne s’en impose aucun dans le développement de son affaire.

 

 

« L’objectif de Buzz Food Truck est de créer une licence de marque. » En clair, mettre les clés des camions entre les mains de candidats souhaitant goûter à l’aventure sans en avoir les moyens. Il rémunère le risque de son investissement par le versement d’un droit d’entrée et une marge sur la location du véhicule. Aucun prélèvement sur le chiffre d’affaires. « Il faut laisser l’argent à celui qui travaille. »

 

Et du travail, il n’en manquerait pas. Olivier Jung le trouve au fil de ses rendez-vous sur les zones commerciales de Metz et dans les localités de l’agglomération. Il le cherche aussi sur des mariages, des lendemains de mariage, des événements d’entreprises au prix de ses menus habituels : moins de 10 € pour un forfait minimum d’une cinquantaine de convives.

Le site : http ://www.buzzfood truck.ovh

Olivier Jung :« L’objectif de Buzz Food Truck est de créer une licence de marque. »

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Invité §Jes257LV

[h1]industrie aéronautique Leach International Europe investit 1,6 M€ à Sarralbe[/h1]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/CDE6D632-CAE1-43F9-9F37-4CB3B0C077B9/LRL_v0_03/leach-international-europe-fabrique-des-relais-et-des-contacteurs-pour-l-industrie-aeronautique-photo-thierry-nicolas.jpg

 

 

Le groupe Leach International Europe, spécialiste des relais et contacteurs pour l’industrie aéronautique, redéploie sa production industrielle en redistribuant ses activités entre ses sites de Sarralbe et Niort. Ce projet a été dévoilé aujourd'hui au personnel et exposé mardi par Phil Saunders, directeur général de Leach International Europe, aux membres du comité central d’entreprise.

 

« Ce projet conduirait à achever la spécialisation du site de Niort sur les équipements et à créer une seule unité High Rel/Spatial à Sarralbe, dans la continuité des investissements déjà réalisés et de sa stratégie de recherche-développement » indique la direction.

 

Pour Bruno Vinckel, délégué syndical CFE-CGC, « cette stratégie industrielle est une rationalisation de la production. Niort et Sarralbe produisent tous les deux des relais. Dans le futur, toute la production comprenant quatre familles différentes de relais sera faite à Sarralbe » remarque M. Vinckel. Ce transfert débuterait en septembre pour se poursuivre jusqu’à la fin de l’année. L’idée est de libérer de la place sur le site de Niort qui verrait l’installation d’une nouvelle ligne de production pour répondre aux commandes d’un client américain.

 

Sarralbe développerait aussi des relais pour le domaine spatial. Quant à l’unité Hig Rel/Spatial, elle vise à " déverminer " les produits, c’est-à-dire supprimer en atelier " les défauts de jeunesse " des pièces, afin qu’elles soient parfaites lors de leur livraison aux clients.[h4]Mise en œuvre d’ici la fin de l’année[/h4]

La direction de la maison mère Esterline mettra en place « des mesures d’accompagnement des personnes concernées, en formation notamment, tout en continuant à investir dans son outil industriel » poursuit la direction. « Il a été précisé que tout ce déploiement se fera sans aucun licenciement. 230 personnes travaillent en production à Sarralbe. 24 postes pourraient être créés. Il s’agirait de personnels intérimaires qui seraient embauchés » ajoute M. Vinckel « qui juge positif le message de la direction, qui entend sécuriser, pérenniser les c hose s ».

Cette nouvelle organisation s’accompagnera d’un investissement de 1,6 M€ à Sarralbe et 500 000 € à Niort. Elle devrait être mise en œuvre d’ici la fin de l’année, une fois achevées les procédures d’information-consultation des instances représentatives du personnel.

http://www.republicain-lorrain [...] a-sarralbe
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Invité §Jes257LV

[h1]Valeur ajoutée Cybersécurité : la Lorraine en pointe[/h1]

[h2]Le monde est numérique, les objets sont connectés. Et leur protection ? La France n’est pas suffisamment versée dans la protection numérique. En Lorraine, par contre, start-ups et laboratoires sont en pointe.[/h2]

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/F3CC74A4-A471-407A-A82C-512BBF51DD00/LRL_v0_03/salle-blanche-chez-tracip-ou-un-ingenieur-recupere-les-donnees-d-un-disque-dur-l-entreprise-de-messein-%2854%29-possede-aussi-un-laboratoire-mobile-d-investigation-qui-contient-toute-sa-technologie-pour-analyser-les-preuves-numeriques-sur-le-terrain-photo-dr-tracip.jpg

 

 

 

 

 

Tracip, c’est un petit bijou d’entreprise lorraine. La société qui récupérait de « simples » données informatiques est devenue pionnière en investigation numérique. « En 1994, on avait déjà inventé un nouveau métier, se souvient Philippe Joliot, président. Mais en 2000, les services de la justice nous ont directement contactés, donnant une tout autre orientation à la société. »

 

En quinze ans, Tracip, logé à Messein derrière Nancy, est devenu le laboratoire de référence en France, mais aussi dans les pays francophones. Sorte d’« Experts du numérique », ses dix-sept salariés, dont huit ingénieurs et deux experts judiciaires, passent au crible ordinateurs, smartphones, tablettes, GPS pour en récupérer et analyser les multiples données.

 

Enquêtes judiciaires, mais aussi espionnage industriel ou besoins d’Etat. « On a senti un après-Charlie très net, atteste Philippe Joliot. Beaucoup de sites de collectivités territoriales ont été piratés. Lutte antiterrorisme, réaction de protection, les services de l’Etat nous ont directement contactés. »

 

Cette année, l’entreprise s’attend à doubler son chiffre d’affaires (3M€ en 2014). Le but aujourd’hui, c’est notamment faire prendre conscience aux entreprises des risques du numérique. Pas trop dans les mœurs françaises… D’où le projet 3CIN – Centre civil de sécurité informatique et d’investigation numérique – porté par l’entreprise Tracip et encouragé par la Région Lorraine avec formation, fourniture de services ou logiciels…

 

L’entreprise, qui travaille sur tout le territoire, bénéficie aussi d’un autre atout local : le Loria, à Nancy, qui a ouvert en 2010 un laboratoire haute sécurité, unique en Europe et probablement dans le monde, dans les milieux académiques. « Ce laboratoire, explique Jean-Yves Marion, directeur du Loria, un des plus gros laboratoires de France en informatique générale, nous permet de traquer, surveiller, analyser les virus informatiques. »

 

Comme pour un vrai virus, les équipes travaillent en lieu confiné, totalement isolé des réseaux pour ne pas provoquer de catastrophes numériques.[h4]Centre de recherche franco-allemand ?[/h4]

« Nous travaillons avec de vrais virus, écoutons Internet pour récupérer toutes les attaques ou faisons de la surveillance. » Le labo est connecté au black net et a été le premier à étudier le traçage des pédophiles en partenariat avec la gendarmerie.

 

Cet automne, Loria et Tracip vont lancer une start-up qui propose une nouvelle génération d’antivirus. « Ce qui est intéressant avec le Loria, c’est sa recherche appliquée vers l’industrie », se félicite Philippe Joliot. Comme ce logiciel qui garantit le vote électronique et droit du votant.

 

Recherche appliquée, mais aussi fondamentale pour défier des cybercriminels qui ont toujours un temps d’avance. La Lorraine et tous les acteurs cybersécurité, comme l’Inria, sont mobilisés pour voir émerger le Ceri, laboratoire de recherche européen sur la cybersécurité.

 

Nancy et Sarrebruck pourraient ainsi unir leurs forces et voir naître un projet unique en Europe, réunissant quatre cents chercheurs. Les ministères se sont déjà rencontrés, les scientifiques sont prêts, « les planètes sont bien alignées », a imagé Claude Kirchner, directeur de recherche à l’Inria. Mais si les décisions tardent, et notamment la recherche de finacement, chaque structure risque d’aller vers d’autres projets. D’où la Région qui pousse, qui pousse, pour positionner la Lorraine en précurseur dans l’un des plus grands et plus pressants défis du moment.

:bien:
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Invité §dow743BW

Article sur l'A380 et le programme qui commence à faire peur.

 

http://www.usinenouvelle.com/a [...] on.N338470

 

@dow

 

@Pedroninho

 

Je ne suis pas plus inquiet que ca...l'évolution incrémentale + une éventuelle remotorisation devrait permettre de relancer des commandes. Si ,malheureusement, cela venait à ne pas être le cas (surtout la remotorisation), je peux te dire que d'un point de vue industriel et emplois, cela ne changerait rien pour l'entreprise...au pire, on a besoin de lignes d'assemblage supplémentaires pour tenir la montée en cadence des autres programmes...

 

 

[h2]EXCLUSIF : QUELLES SONT LES 100 PREMIÈRES USINES DE FRANCE ?[/h2]

 

http://www.usinenouvelle.com/m [...] 296320.jpg

 

http://www.usinenouvelle.com/e [...] is.N340153

 

C'est intéressant, et c'est là où tu vois le poids de plus en plus important de l’aéronautique dans le peu de grosses industries qu'il reste en France...

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@Pedroninho

 

Je ne suis pas plus inquiet que ca...l'évolution incrémentale + une éventuelle remotorisation devrait permettre de relancer des commandes. Si ,malheureusement, cela venait à ne pas être le cas (surtout la remotorisation), je peux te dire que d'un point de vue industriel et emplois, cela ne changerait rien pour l'entreprise...au pire, on a besoin de lignes d'assemblage supplémentaires pour tenir la montée en cadence des autres programmes...

 

 

 

Oui je me doute que les finances sont assez solides.. mais disons que si le 380 foire, c'est la fin des GROS avions, du moins pour un bon bout de temps... ca restera sur les bi reacteurs performants style A350 et 777...

 

C'est intéressant, et c'est là où tu vois le poids de plus en plus important de l’aéronautique dans le peu de grosses industries qu'il reste en France...

 

 

ca prend clairement la place de l'automobile, mais pas dans les mêmes régions.. d'ou le fait que le nord, la lorraine, restent en difficulté. L'IDF est une région un peu hybride, y'a de tout (sauf de l'agro), beaucoup d'auto et d'aero,

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Invité §Jul741RC

pleurez pas la GD embauche... suffit de se sortir les doigts et de quitter votre beau pays... la GD en Chine c'est l'avenir... 2015066210_enduratd90.gif.afb52292f75fbec89e933fa2dcb0e264.gif

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Invité §Jes257LV

pleurez pas la GD embauche... suffit de se sortir les doigts et de quitter votre beau pays... la GD en Chine c'est l'avenir... 2015066210_enduratd90.gif.afb52292f75fbec89e933fa2dcb0e264.gif

 

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Invité §Jul741RC

ben postule à Auchan/carrefour chine... ils y font des CC balaises... et la zone de chalandise... tu vas te friser les moustaches xsarajo.gif.94bdad7df063057510bd86070604c381.gif

La moindre petite ville c'est 5/6 millions d'habitants, le commerce doit surement avoir de beaux jours devant lui pendant la première décennie de la création des CC... si j'avais 40 ans de moins, je m'y intéresserait pour prendre un local commercial !

 

http://www.jobteaser.com/fr/en [...] ne-recrute

 

 

et pour Dow qui veut ouvrir une librairie, pour postuler et décrocher un bail commercial... : http://www.groupe-auchan.com/f [...] 014_FR.pdf

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Invité §dow743BW

Oui je me doute que les finances sont assez solides.. mais disons que si le 380 foire, c'est la fin des GROS avions, du moins pour un bon bout de temps... ca restera sur les bi reacteurs performants style A350 et 777...

 

 

De toute façon, vu l'évolution actuelle du marché et l'évolution technologique annoncée des 20 prochaines années , les quadris disparaitront à terme, faut pas se faire d'illusion.

 

Un a350 est certifié ETOPS 420, ca veut dire qu'il est autorisé à voler à 420 minutes du plus proche aeroport avec un seul réacteur... Ca couvre à peu près toutes les zones du globe. Ensuite, les distances franchissables ne font qu'augmenter ainsi que le nombre de passagers...

 

L'A380 est surement le dernier représentant de cette espèce... :(

 

 

 

ca prend clairement la place de l'automobile, mais pas dans les mêmes régions.. d'ou le fait que le nord, la lorraine, restent en difficulté. L'IDF est une région un peu hybride, y'a de tout (sauf de l'agro), beaucoup d'auto et d'aero,

 

J'ai reçu des mecs de renault il y a quelques semaines, ils ont juste halluciné :buzz:

 

pleurez pas la GD embauche... suffit de se sortir les doigts et de quitter votre beau pays... la GD en Chine c'est l'avenir... 2015066210_enduratd90.gif.afb52292f75fbec89e933fa2dcb0e264.gif

 

Tu m'as vu pleurer toi? Le pays, je l'ai déjà quitté et j'ai surement bien plus de base de comparaison que les calimeros du forum :o

 

Je pense que Dow a du boulot assuré pour pas mal de temps et moi aussi, en plus on a déja quitté notre pays autruche621.gif.ee8f5a8fb9b5f40e4f73e0fb975a2732.gif

 

Puis je veux bien aller en Chine moi, la paye elle est comme ici lamori.gif.3046eb93336f036fd29cfb9ed4f0abf2.gif

 

:buzz:

 

Par contre, bosser avec les Chinois, ça reste épique...

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Invité §Jes257LV

[h1]Une voiture, 60 secondes chrono chez PSA Sochaux[/h1][h2]À l’usine PSA Peugeot Citroën de Sochaux, les deux chaînes de montage assemblent actuellement, et chaque jour, plus de 1800 véhicules : cinquante-cinq 308 (berlines, SW) et quarante-six 3008/5008/DS5 par heure.[/h2]

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/60278971-ECEC-47B0-BEC9-050FCAC3F421/LRL_v0_03/roues-tableaux-de-bord-barres-de-toit-vis-joints-de-porte-deux-millions-de-pieces-alimentent-chaque-jour-l-usine-sochalienne-de-psa-photo-d-archives-lionel-vadam.jpg

 

 

 

De la petite vis au tableau de bord, deux millions de pièces sont avalées chaque jour par la gueule béante et ardente de l’usine terminale de PSA Peugeot Citroën à Sochaux pour être recrachées sous la forme de plus de 1 800 véhicules. Chaque jour également, deux cents poids lourds pénètrent dans l’enceinte de ce pôle industriel s’étendant sur 266 hectares.

 

Berceau de la marque au lion qui a célébré son centenaire en 2012, l’usine sochalienne est le poumon économique du Nord Franche-Comté : avec le Centre technique de Belchamp, elle emploie 9 937 salariés en CDI (6 082 en production et quelque 2 000 ingénieurs et cadres) et plus de 1 500 intérimaires (chiffres au 30 juin 2015). Il s’agit du 3e site industriel de France, derrière Airbus à Toulouse et Michelin à Clermont-Ferrand. Quand il tousse, c’est toute une région qui s’enrhume.

 

Irrigué par trente kilomètres de routes, et autant de voies ferrées, cet antre d’Héphaïstos est dimensionné pour fabriquer jusqu’à 500 000 véhicules par an. En 2015, la production devrait avoisiner les 340 000 unités contre 314 000 en 2014 et 278 000 en 2013. Sur quatre véhicules assemblés à Sochaux, un reste en France, deux sont expédiés en Europe et le quatrième est destiné au grand export (1).[h4]Cap sur l’« usine d’excellence »[/h4]

L’usine de Sochaux est un organisme vivant, avec ses humeurs et son tempérament, avec ses hauts et ses bas. Son pouls bat 24 heures/24 (2) , cinq jours sur sept, voire davantage quand les commandes de voitures affluent comme c’est le cas actuellement (pour la 308). C’est surtout un site en pleine mutation avec le compactage de l’outil industriel et l’optimisation des process de production. Fin septembre 2014, PSA a officialisé un investissement de plus de 300 millions d’euros pour moderniser de A à Z l’une des deux chaînes de montage. Cet investissement est sous-tendu par un double objectif : transformer le navire amiral du constructeur en « usine d’excellence », pour lui permettre de rivaliser à armes égales avec la concurrence, et préparer la mise en production de deux nouveaux modèles à l’horizon 2016-2017 (les remplaçants de la 3008 et de l’Opel Zafira).

 

À partir du 25 juillet, les deux chaînes de montage vont être mises en sommeil le temps des congés d’été (trois semaines). Un sommeil trompeur car cette pause estivale est mise à profit pour mener toute une série de travaux de modernisation, ou de maintenance, difficilement réalisables quand les installations tournent à plein régime. Quarante-quatre entreprises extérieures et 440 salariés vont ainsi investir les lieux. La Direction Recherche et Développement (DRD) du site, elle, continuera de fonctionner (avec 1 500 personnes).

 

Une nouvelle logistique, avec la création d’une zone fournisseurs (acheminement des pièces via un système de petits trains) et avec la suppression de l’approvisionnement en bord de ligne via la généralisation du kit-in (conditionnement dans un bac de l’ensemble des pièces, qui doivent être montées dans une voiture, pour limiter les déplacements et les manipulations) sera totalement opérationnelle entre la fin de l’été et le début de l’automne 2015.

Si le gros des troupes reprendra le travail lundi 17 août, certains salariés (peinture, emboutissage) retrouveront leur poste un peu plus tôt pour réveiller cette impressionnante machine industrielle.

 

(1) 30 % des véhicules sont acheminés par le rail et 70 % par la route. A court terme, l’objectif est de passer à 50/50. (2) Une équipe de nuit fabrique la Peugeot 308.

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J'ai reçu des mecs de renault il y a quelques semaines, ils ont juste halluciné :buzz:

 

 

 

Je veux bien le croire, jspr y mettre les pieds un jour pour visiter et pourquoi pas plus ensuite.

 

Tu m'as vu pleurer toi? Le pays, je l'ai déjà quitté et j'ai surement bien plus de base de comparaison que les calimeros du forum :o

 

 

 

Ça m'a permis.de comprendre qu'en France on dit.payer beaucoup d'impôts mais que pour le salarié c'est quasi un paradis fiscal comparé au voisins :W

 

:buzz:

 

Par contre, bosser avec les Chinois, ça reste épique...

 

 

J'ai donné. Effectivement la qualité première c'est la patience, a y ajouter la pédagogie. Mais dans l'auto ils apprennent vite.

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Invité §Jes257LV

[h1]La saga épicée du vinaigre Melfor[/h1][h2]Mille versions se propagent depuis près d’un siècle sur l’origine du Melfor, le fameux condiment au miel. Même s’il a longtemps eu un ancrage mosellan, il n’est pas né dans l’usine d’Ars-sur-Moselle, mais à Mulhouse.[/h2]

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/56705B47-9F46-448D-AAED-B9423571A8EA/LRL_v0_03/bernard-et-philippe-higy-pere-et-fils-descendants-de-fernand-createur-des-condiments-melfor-dans-l-usine-de-mulhouse-toujours-situee-en-plein-centre-ville-comme-en-1922-photos-gilles-wirtz.jpg

 

Bernard et Philippe Higy, père et fils, descendants de Fernand, créateur des condiments Melfor dans l’usine de Mulhouse, toujours située en plein centre-ville, comme en 1922. Photos Gilles WIRTZ http://www.republicain-lorrain.fr/files/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

C’est LE vinaigre adouci au miel qui a fait se lever comme un seul homme le lobby des vinaigriers ! Tous vent debout contre le déferlement de bouteilles de Melfor sur la table des familles françaises. On est au début du XXe siècle. Un Mulhousien a observé les femmes en cuisine autour de lui : toutes adoucissent leur vinaigre avec du miel. En 1922, Fernand Higy se lance, prépare une mixture de plantes aromatiques, ajoute celle des abeilles et le succès est immédiat.

 

Près d’un siècle plus tard, depuis le siège de la société toujours sise à Mulhouse, le petit-fils, Bernard Higy et son fils Philippe, reconstituent les bouts d’une histoire aussi cocasse que singulière. « C’est bien simple, lance Bernard, les vinaigriers ont tout fait pour que le Melfor ne se vende pas en France, sorti du Bas-Rhin, de la Sarre (autrefois française, ndlr) et de la Moselle. Ils ont trouvé des bras longs, à Paris, pour se faire entendre ! » La situation est alors ubuesque. On se retrouve dans un même pays, avec un produit vendu à l’étranger et dans trois départements, mais interdit de circulation dans la France « de l’intérieur » !

 

Ainsi, lorsqu’en 1935, l’arrière-grand-père, en mal de trésorerie, décide de vendre un droit de fabrication et de commercialisation de son condiment à 4 % d’alcool (il en faut 6 % pour être répertorié en vinaigre), le Strasbourgeois qui le lui rachète dispose d’un marché limité. Une usine ouvre tout de même à Strasbourg et une autre à Ars-sur-Moselle. On est après-guerre, et les ventes vont pourtant toujours croissant. Peu de salades sans Melfor. Même les ouvriers de la sidérurgie lorraine contraints de gagner Fos-sur-Mer y apportent leurs bouteilles ![h4]Enfin libre de circulation[/h4]

« On est retourné à Paris trouver des oreilles pour faire cesser l’injustice, se rappelle Bernard. C’était dans les années 90. Avec le patron de l’usine d’Ars, on a été reçus par le député de la Moselle de l’époque (lire ci-dessous). Il nous a entendus et a défendu notre dossier. » Un mois plus tard, le condiment devient… libre de circulation. « Je me rappelle cette épicière de Belfort qui m’a avoué avoir toujours vendu ses bouteilles qu’elle planquait sous la caisse , ou ce distributeur que la répression des fraudes avait méchamment aligné vingt ans plus tôt et qui continuait à écouler le Melfor pour récupérer son argent ! » Des anecdotes comme celles-là, Bernard Higy, désormais à la retraite, en a à la pelle.

 

Il rit à leur souvenir. Moins, lorsque l’on évoque Ars-sur-Moselle. La commune de Moselle est privée, en 2002, de sa petite usine de Melfor et de limonade. « Les locaux n’étaient plus du tout adaptés, sa modernisation aurait coûté beaucoup d’argent et puis surtout, ses patrons partaient à la retraite sans repreneur. Nous avons racheté les droits et rapatrié le tout à Mulhouse. » Sur les huit salariés, six étaient en fin de droit, les deux autres refusent de gagner l’Alsace. Le sens de l’histoire de Melfor SAS, aujourd’hui dirigée par l’arrière-petit-fils de Fernand et fils de Bernard, Philippe. Il est aidé dans sa tâche, au sein d’un directoire, par les patrons de l’usine de Strasbourg.

 

http://www.lsa-conso.fr/mediatheque/6/7/8/000066876_illustration_large.jpg[h2]Histoire du produit[/h2]:

Melfor voit le jour en 1919 en Alsace, par Fritz Sprenger.

 

L’entreprise est spécialement connue pour ses vinaigres Melfor qui sont aujourd’hui produits par « Higy », une entreprise alsacienne créée depuis 1922 par Fernand Higy.

En 2011, la gamme des vinaigres Melfor s’est élargie pour accueillir quatre autres déclinaisons aromatisées.

Aujourd’hui, le vinaigre Melfor original reste le produit-phare de la marque.

  • [h2]Dates clés[/h2]
  • 1919 : création de Melfor par Fritz Sprenger.

2011 : lancement de quatre déclinaisons aromatisées du vinaigre Melfor.

[h2]Présentation du produit[/h2]

Le vinaigre Melfor est un condiment élaboré à base de vinaigre d’alcool, de miel et d’infusion de plantes.

Titrant 3.8° d’alcool, ce vinaigre est également composé d’eau, de colorants (caramel) et d’antioxygène (métabisulfite de potassium K2S2O5 (E224).

Ainsi, le vinaigre tire sa couleur ambrée des colorants naturels à base de caramel et son goût aigre-doux est issu de l’alcool de betterave dilué, qui est modifié par une fermentation acétique, filtré et dilué à nouveau avec de l’eau.

 

Le vinaigre Melfor l’Original est disponible dans des bouteilles de 50 et 100cl.

La gamme se décline en d'autres versions, dont le Melfor Côté Epices, le Melfor Côté Sud, le Melfor Spécial conserves et le Melfor Côté balsamique.

 

[h2]Position du produit sur le marché[/h2]

Les usines Melfor sont réparties sur deux sites, à Mulhouse et à Hoerdt, en plus d’un troisième site de production implanté en Allemagne

 

 

Chaque année, la firme écoule plus de 6 millions de bouteilles en France, dont 70% en Alsace. Quant à l’export, ce sont plus de 2 millions de bouteilles qui y sont destinées, principalement en Allemagne. A cela s’ajoutent 15 000 bouteilles à destination des Etats-Unis et du Japon.

En 2013, Melfor réalise un chiffre d’affaires de 8 millions d’euros.

 

Source http://www.lsa-conso.fr/images/logo-lsa.png

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Invité §rob664cZ

Ont se doute bien que c'est le concept, sa conception, le soft et le montage :o

:blague:

une surcouche d'Android

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Invité §rob664cZ

[h1]Dim va supprimer 265 postes en France[/h1]Le fabricant de collants et sous-vêtements Dim, symbole du "made in France", vient de dévoiler aux représentants du personnel son plan de restructuration qui pourrait affecter le berceau de la marque à Autun (Saône-et-Loire).

 

La maison-mère de Dim, DBApparel (Dim, Playtex, Wonderbra, etc.)a annoncé la suppression de 600 postes en Europe (sur un total de 5000) dont 265 chez Dim (165 à Autun en Saône-et-Loire). :(

Malheureusement, le déclin de ce site, pourtant historique, n'est pas une nouveauté, cela fait plus de 10 ans,que cette usine est en régression.

Sinon du coup, mes pneus arrières étaient Made in France.. et je viens de voir, les avant sont Thailandais :o

Des Dunlop? :D

Maintenant il existe un autre système pour ne pas lever la lunette, suffit de mettre un sachet plastique en bas et de le récupérer bien plein pour faire de l'engrais dans le composteur, recyclage du consommateur....au consommateur 803807465_ae92.gif.a854614e2f4f1aa9d22bea748df122c0.gif

Vous pouvez rire, mais, il n'était pas rare que certains de nos grands parents ( pour ceux qui viennent d'un coin paumé et rural) allais chier dans une cabane au fond du jardin...... ce "rituel" a disparu progressivement(j'en ai vu adopté la fosse septique que dans la fin des années 80... et ouiiii)

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Invité §rob664cZ

[h1]Une voiture, 60 secondes chrono chez PSA Sochaux[/h1][h2]À l’usine PSA Peugeot Citroën de Sochaux, les deux chaînes de montage assemblent actuellement, et chaque jour, plus de 1800 véhicules : cinquante-cinq 308 (berlines, SW) et quarante-six 3008/5008/DS5 par heure.[/h2]

http://s-www.republicain-lorra [...] -vadam.jpg

 

(1) 30 % des véhicules sont acheminés par le rail et 70 % par la route. A court terme, l’objectif est de passer à 50/50. (2) Une équipe de nuit fabrique la Peugeot 308.

 

C'est bien :)

Mais PSA fabrique ses véhicules "rentables" hors de France, comme Renault d'ailleurs.

 

NDR: Je n’achète plus de voitures soit disant Françaises, autant acheter de l'Allemand fabriquer en Pologne, cela revient au même que d'acheter une Renault Clio fabriquée en Turquie.

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Invité §Pau730mo

Mon "innovation" avance bien :o

 

L'UE m'a finalement accordé une subvention supérieure à ce que j'espérais.

Le crédit d'impôt innovation vient aider également.

Le suramortissement de Valls aide aussi.

 

Prochaine étape, le plan presse :o

 

J'espère décrocher quelques articles dans la presse nationale généraliste et/ou spécialisée :jap:

 

:fier:

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Invité §Jes257LV

Mon "innovation" avance bien :o

 

L'UE m'a finalement accordé une subvention supérieure à ce que j'espérais.

Le crédit d'impôt innovation vient aider également.

Le suramortissement de Valls aide aussi.

 

Prochaine étape, le plan presse :o

 

J'espère décrocher quelques articles dans la presse nationale généraliste et/ou spécialisée :jap:

 

:fier:

 

Félicitations :jap:

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Invité §rob664cZ

Mon "innovation" avance bien :o

 

L'UE m'a finalement accordé une subvention supérieure à ce que j'espérais.

Le crédit d'impôt innovation vient aider également.

Le suramortissement de Valls aide aussi.

 

Prochaine étape, le plan presse :o

 

J'espère décrocher quelques articles dans la presse nationale généraliste et/ou spécialisée :jap:

 

:fier:

tu innoves dans quel domaine? :)

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Invité §Pau730mo

tu innoves dans quel domaine? :)

 

 

Dans la fenêtre :o

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