[1/43] Les Porsche des grandes écuries américaines"

[Kremer CK6]

 

 

Quant à toi vieil ours de l'ouest j'ai trouvé la voiture qu'il te fallait pour terminer ta carrière de pilote...............................

 

 

 

 

 

 

 

[olo]

 

 

 

Tu n'as qu'à te boucher les oreilles................... :q :q :q :q :q

 

 

Ou alors regarder ça..............................

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tu vois quand tu veux ..... le flat 6 c'est quand même autre chose que ce truc de barbares

 

 

[Porsche the Best]

 

 

Parce que tu croyais sincèrement que j'allais cesser de venir hanter ton topic................

 

 

Petit cadeau pour mon retour........................

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=SpyvU224FF8

 

 

 

 

 

 

[Porsche the Best]

 

Ce bruit....

 

 

 

Le mot est même faible

 

PTB

[Kremer CK6]

 

Tu vois quand tu veux ..... le flat 6 c'est quand même autre chose que ce truc de barbares

 

 

 

 

 

Les goûts et les couleurs ne se discutent pas........................

 

 

 

 

[milou165]

 

 

Il te manque en quoi en déco j'ai du stock en Brumos, si ca peut aider

 

PTB

 

 

Merci PTB. Je vais d'abord la terminer, poser les decals dont je dispose, et on verra ce qui manque. Je m'y perd un peu entre la RSR, la 934 et la 934/5. Tout se ressemble mais rien n'est pareil (taille des Mitcom ailes av, couleur pare soleil...)

 

Si quelqu'un a cette planche à vendre ou à echanger :

 

 

 

[rog551]

Voilà un kit Mini Racing de 914 qui ne demande qu'à évoluer en version US

 

 

 

 

 

 

 

rog551

[Kremer CK6]

Voilà un kit Mini Racing de 914 qui ne demande qu'à évoluer en version US

 

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/373091/DSC08515.jpg

 

 

 

 

rog551

 

 

 

Voilà ce qu'il faut à Pascuale.......Il va pouvoir montrer à son nouveau disciple toute sa science......................................

 

 

 

 

 

[rog551]

 

 

Voilà ce qu'il faut à Pascuale.......Il va pouvoir montrer à son nouveau disciple toute sa science......................................

 

 

 

 

 

 

 

Attendons comme Achille car pour l'instant sa science infuse

 

 

rog551

[Kremer CK6]

 

 

Attendons comme Achille car pour l'instant sa science infuse

 

 

rog551

 

 

 

 

 

 

 

 

[jjploup]

 

 

Attendons comme Achille car pour l'instant sa science infuse

 

 

rog551

 

 

 

 

Roger

[Porsche the Best]

Il est temps de reprendre un peu ce topic en mains, loin des braiements des anes et des gloussements des dindons....

 

Pendant longtemps la marque Porsche a eu une culture « monogamme » avec les 356 et autres 911, ce qui n’excluait pas une large déclinaison des modèles, depuis les premiers prix d’entrée de gamme à la finition simplifiée et disposant d’une petite motorisation, aux modèles plus sophistiqués, et nettement plus performants.

 

Au milieu des années soixante Porsche réfléchit à la définition d’une nouvelle voiture pour épauler la gamme 911, qui sera l’archétype de la voiture de sport : deux places et moteur central arrière, pour cette nouveauté qui répondra au doux nom de 914 ! La voiture est produite en collaboration avec VW, qui fournit également un moteur quatre cylindres à plat de 1700 cm3, alors que la version haut de gamme reçoit un flat-six 2 l made in Porsche.

 

Las, la voiture n’est pas une réussite commerciale notamment en raison d’un tarif élevé: la version six cylindres est rapidement arrêtée après seulement trois années de production, alors que la version quatre cylindres remotorisée par un 2 l, un peu plus puissant, perdure quatre années supplémentaires.

 

Dès 1970, VW demande à Porsche, de réfléchir sur l’après 914, alors que parallèlement la marque de la « voiture du peuple » engage plusieurs projets pour moderniser sa gamme qui repose principalement sur la Coccinelle et ses dérivés.

 

Porsche travaille alors sur le projet EA 425, qui fixe le concept d’une voiture de sport 2+2, à moteur avant, et propulsion par les roues arrière. Mais rapidement les avis divergent sur la teneur du projet : VW n’est plus intéressée car elle dispose d’un nouveau projet plus rationnel et plus économique de coupé sur la base de la future Golf (le coupé Sirocco), et finalement l’EA 425 doit être badgé Audi.

 

 

 

 

On discute alors pas mal sur le choix de la motorisation : quatre cylindres de l’Audi 100 qui a l’avantage d’être immédiatement disponible, ou future motorisation cinq cylindres qui est encore sur les fonds baptismaux. En 1974, Ferry Porsche fait le siège de VAG pour lancer EA 425 en production, mais il se heurte à un refus poli de la part des dirigeants du Groupe. Pire, le projet complet passe à la trappe, car on estime en haut lieu, que ce coupé « propulsion » est illogique au sein d’une gamme VW et Audi, essentiellement basée sur des autos utilisant la traction avant.

 

Porsche propose alors le rachat du projet pour créer une voiture d’accès à la gamme, avec l’intérêt non dénué d’attirer de nouveaux clients. La voiture est baptisée 924, et utilise divers éléments et sous-ensembles provenant du groupe VAG, comme la mécanique quatre cylindres 2 l d’origine Audi. L’intérêt de la nouveauté réside dans la transmission « transaxle », constituée d’un tube porteur dans lequel tourne l’arbre de transmission, qui relie l’embrayage accolé au moteur, à l’ensemble boîte-pont situé sur le train arrière. Cette technologie favorise une excellente répartition des masses, et elle sera reprise dans la conception de la future grande GT de la marque, la 928.

 

Sur le plan esthétique, la 924 présente une ligne très fluide, avec un capot avant plongeant prolongé par les phares escamotables, et un fin bouclier surmontant une jupe inférieure ; la partie arrière est traitée avec un dôme de verre formant hayon, autorisant l’accès à un vaste coffre, d’une dimension alors inconnue chez les possesseurs de Porsche.

 

Dès sa présentation, la 924 qui sera produite dans l’usine Audi-NSU de Neckarsulm, est un véritable succès, et plus de 5 000 exemplaires trouvent preneur dès la première année de production en 1976, et la production va dépasser le cap des 100 000 exemplaires en moins de cinq ans (un record pour Porsche).

 

Les profits tirés des ventes de la 924 sont heureux, car ils permettent de compenser l’érosion des ventes de 911, dont l’arrêt est programmé à plus ou moins brève échéance, alors que parallèlement la nouvelle 928 présentée en 1976 au salon de Genève, tarde à trouver sa clientèle.

 

Reste que les puristes renâclent devant la « petite » Porsche ! Ils lui reprochent son moteur avant refroidi par eau d’origine roturière (oubliant par conséquent la naissance de la 356), sa puissance ridicule de 125 ch (reniant de fait l’éphémère 912 E de 1975 et son moteur quatre cylindres de 90 ch), la présence d’une boîte de vitesses à quatre rapports seulement, des freins à tambour à l’arrière, un poids supérieur à celui de la 911, et un comportement pataud, indigne d’une voiture sportive.

 

Au fil des millésimes, la 924 bénéficiera d’une boîte à cinq vitesses, de quatre freins à disque, et l’ajout d’un turbocompresseur, permettra à sa puissance de culminer à 177 ch, voire même d’atteindre 210 ch pour la rarissime version Carrera GT. Si son comportement routier est certes moins ludique que celui d’une 911, la 924 fait preuve d’une stabilité exemplaire quelles que soient les conditions de route, se mettant ainsi à la portée du conducteur lambda, ravit d’accéder au mythe Porsche sans craindre le mauvais coup lorsque le temps tourne à la pluie.

 

La 924 sera le premier maillon d’une longue déclinaison de Porsche à moteur avant quatre cylindres, qui connaîtra sa fin et son apothéose avec le modèle 968, pratiquement vingt ans plus tard, mais ceci est une autre histoire.

 

Quelques 924 européennes célèbres, avant les US

 

Barth, ralye Monte Carlo 79

 

JLR, course de cote des Maquisards

 

PTB, rallye du Médoc (1er scratch)

 

PTB

[gilles1955]

 

Merci PTB. Je vais d'abord la terminer, poser les decals dont je dispose, et on verra ce qui manque. Je m'y perd un peu entre la RSR, la 934 et la 934/5. Tout se ressemble mais rien n'est pareil (taille des Mitcom ailes av, couleur pare soleil...)

 

Si quelqu'un a cette planche à vendre ou à echanger :

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/368537/k3 059.jpg1..jpg

 

 

 

c'est bete j'ai tout sauf celle la

[milou165]

 

c'est bete j'ai tout sauf celle la

 

 

Si tu as de quoi faire la RSR et la 934/5, cela m'intéresse.

 

 

[rog551]

Waooooo !

 

Il en sait des choses ce PTB !

 

Impressionnant !

 

 

Et je crois que j'en ai encore beaucoup à apprendre de lui !

 

 

 

 

 

 

 

rog551

[rog551]

1985 Daytona Finale

 

1986 Sebring

 

 

 

rog551

[Porsche the Best]

En 1981, le cent millième exemplaire de 924 quitte l'usine en janvier. Ferry Porsche est invité à poser à côté de la 924 décorée d'un bouquet. Il accepte mais refuse de sourire. Cette photographie, qui fera le tour du monde, se passe de commentaires. Ferry a peut-être tort, car la 924 a eu un rôle important dans la vie de la firme. Elle a apporté à Porsche beaucoup de nouveaux clients, dont certains n'auraient même jamais envisagé d'acheter une Porsche.

 

Ils auraient aussi bien choisi une Datsun 24O Z ou une Camaro. Malheureusement, c'était une «clientèle de passage» et peu d'acheteurs pour qui la 924 avait été la première Porsche resteront fidèles à la marque de Stuttgart. Pourtant, la 924 était une -vraie Porsche» mais elle ne fut pas la voiture des «vrais porschistes»,

 

En 1981, Porsche construit cinquante-neuf 924 GTS (245 cv) et dix-neuf GTR (275280 cv). Ces dernières peuvent même être livrées en version Le Mans, bénéficiant alors de 375 cv. Ce sont les Types 937, 938, 939. Ces voitures sont extrêmement difficiles à vendre aux coureurs privés qui se méfient des Porsche à moteur avant. Avec l'arrivée de Schutz, les langues se délient, même à l'usine. Le Professeur Bott admet qu'il n'y a pas moyen de faire beaucoup mieux en partant de la 924 et de son modeste quatre cylindres.

 

 

 

 

Aux USA, la 924 s'est prétée de bonne grâce à quelques évolutions spectaculaire

 

 

 

 

PTB

[Phicanam]

Il y avait ça, dans le paddock du Mans, en 82

 

 

[Kremer CK6]

Il y avait ça, dans le paddock du Mans, en 82

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9241.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9242.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9245.jpg

 

 

 

En plus une qui appartenait à Kremer.....C'est encore mieux............

 

 

 

 

[Kremer CK6]

En 1981, le cent millième exemplaire de 924 quitte l'usine en janvier. Ferry Porsche est invité à poser à côté de la 924 décorée d'un bouquet. Il accepte mais refuse de sourire. Cette photographie, qui fera le tour du monde, se passe de commentaires. Ferry a peut-être tort, car la 924 a eu un rôle important dans la vie de la firme. Elle a apporté à Porsche beaucoup de nouveaux clients, dont certains n'auraient même jamais envisagé d'acheter une Porsche.

 

Ils auraient aussi bien choisi une Datsun 24O Z ou une Camaro. Malheureusement, c'était une «clientèle de passage» et peu d'acheteurs pour qui la 924 avait été la première Porsche resteront fidèles à la marque de Stuttgart. Pourtant, la 924 était une -vraie Porsche» mais elle ne fut pas la voiture des «vrais porschistes»,

 

En 1981, Porsche construit cinquante-neuf 924 GTS (245 cv) et dix-neuf GTR (275280 cv). Ces dernières peuvent même être livrées en version Le Mans, bénéficiant alors de 375 cv. Ce sont les Types 937, 938, 939. Ces voitures sont extrêmement difficiles à vendre aux coureurs privés qui se méfient des Porsche à moteur avant. Avec l'arrivée de Schutz, les langues se délient, même à l'usine. Le Professeur Bott admet qu'il n'y a pas moyen de faire beaucoup mieux en partant de la 924 et de son modeste quatre cylindres.

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/924 GTS.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/Eclate GTR 1981.jpg

 

Aux USA, la 924 s'est prétée de bonne grâce à quelques évolutions spectaculaire

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/!cid_077b01c782a1$d0898f10$b2d8f051@isabelleoh4ve3.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/036Haas imsa.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/raceprep924GTR500.jpg

 

PTB

 

 

 

Tu es devenu le grand Pop des 924..................................

 

 

 

 

 

 

[Porsche the Best]

Il y avait ça, dans le paddock du Mans, en 82

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9241.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9242.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/316036/9245.jpg

 

 

 

 

924 Carrera GT, 406 exemplaires produits

 

 

 

 

 

et la version break de chasse, pour aider les copains qui ont des kits en trop sous le lit

 

 

PTB

[Porsche the Best]

Voici un bien bel objet à mettre dans un vitrine consacrée aux Porsche Brumos

 

 

http://cgi.ebay.fr/1-43-Starter-Porsche-917-10-Brumos-Haywood-Miniwerks-/370404440888?cmd=ViewItem&pt=Diecast_Vehicles&hash=item563dd33b38

 

Elle remplacerait bien ma vieille Solido

 

PTB

[rog551]

 

 

 

rog551

[J-LR]

Il est temps de reprendre un peu ce topic en mains, loin des braiements des anes et des gloussements des dindons....

 

Pendant longtemps la marque Porsche a eu une culture « monogamme » avec les 356 et autres 911, ce qui n’excluait pas une large déclinaison des modèles, depuis les premiers prix d’entrée de gamme à la finition simplifiée et disposant d’une petite motorisation, aux modèles plus sophistiqués, et nettement plus performants.

 

Au milieu des années soixante Porsche réfléchit à la définition d’une nouvelle voiture pour épauler la gamme 911, qui sera l’archétype de la voiture de sport : deux places et moteur central arrière, pour cette nouveauté qui répondra au doux nom de 914 ! La voiture est produite en collaboration avec VW, qui fournit également un moteur quatre cylindres à plat de 1700 cm3, alors que la version haut de gamme reçoit un flat-six 2 l made in Porsche.

 

Las, la voiture n’est pas une réussite commerciale notamment en raison d’un tarif élevé: la version six cylindres est rapidement arrêtée après seulement trois années de production, alors que la version quatre cylindres remotorisée par un 2 l, un peu plus puissant, perdure quatre années supplémentaires.

 

Dès 1970, VW demande à Porsche, de réfléchir sur l’après 914, alors que parallèlement la marque de la « voiture du peuple » engage plusieurs projets pour moderniser sa gamme qui repose principalement sur la Coccinelle et ses dérivés.

 

Porsche travaille alors sur le projet EA 425, qui fixe le concept d’une voiture de sport 2+2, à moteur avant, et propulsion par les roues arrière. Mais rapidement les avis divergent sur la teneur du projet : VW n’est plus intéressée car elle dispose d’un nouveau projet plus rationnel et plus économique de coupé sur la base de la future Golf (le coupé Sirocco), et finalement l’EA 425 doit être badgé Audi.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/projet VW EA425.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/projet VW EA425 arriere.jpg

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/PICT0355.jpg

 

On discute alors pas mal sur le choix de la motorisation : quatre cylindres de l’Audi 100 qui a l’avantage d’être immédiatement disponible, ou future motorisation cinq cylindres qui est encore sur les fonds baptismaux. En 1974, Ferry Porsche fait le siège de VAG pour lancer EA 425 en production, mais il se heurte à un refus poli de la part des dirigeants du Groupe. Pire, le projet complet passe à la trappe, car on estime en haut lieu, que ce coupé « propulsion » est illogique au sein d’une gamme VW et Audi, essentiellement basée sur des autos utilisant la traction avant.

 

Porsche propose alors le rachat du projet pour créer une voiture d’accès à la gamme, avec l’intérêt non dénué d’attirer de nouveaux clients. La voiture est baptisée 924, et utilise divers éléments et sous-ensembles provenant du groupe VAG, comme la mécanique quatre cylindres 2 l d’origine Audi. L’intérêt de la nouveauté réside dans la transmission « transaxle », constituée d’un tube porteur dans lequel tourne l’arbre de transmission, qui relie l’embrayage accolé au moteur, à l’ensemble boîte-pont situé sur le train arrière. Cette technologie favorise une excellente répartition des masses, et elle sera reprise dans la conception de la future grande GT de la marque, la 928.

 

Sur le plan esthétique, la 924 présente une ligne très fluide, avec un capot avant plongeant prolongé par les phares escamotables, et un fin bouclier surmontant une jupe inférieure ; la partie arrière est traitée avec un dôme de verre formant hayon, autorisant l’accès à un vaste coffre, d’une dimension alors inconnue chez les possesseurs de Porsche.

 

Dès sa présentation, la 924 qui sera produite dans l’usine Audi-NSU de Neckarsulm, est un véritable succès, et plus de 5 000 exemplaires trouvent preneur dès la première année de production en 1976, et la production va dépasser le cap des 100 000 exemplaires en moins de cinq ans (un record pour Porsche).

 

Les profits tirés des ventes de la 924 sont heureux, car ils permettent de compenser l’érosion des ventes de 911, dont l’arrêt est programmé à plus ou moins brève échéance, alors que parallèlement la nouvelle 928 présentée en 1976 au salon de Genève, tarde à trouver sa clientèle.

 

Reste que les puristes renâclent devant la « petite » Porsche ! Ils lui reprochent son moteur avant refroidi par eau d’origine roturière (oubliant par conséquent la naissance de la 356), sa puissance ridicule de 125 ch (reniant de fait l’éphémère 912 E de 1975 et son moteur quatre cylindres de 90 ch), la présence d’une boîte de vitesses à quatre rapports seulement, des freins à tambour à l’arrière, un poids supérieur à celui de la 911, et un comportement pataud, indigne d’une voiture sportive.

 

Au fil des millésimes, la 924 bénéficiera d’une boîte à cinq vitesses, de quatre freins à disque, et l’ajout d’un turbocompresseur, permettra à sa puissance de culminer à 177 ch, voire même d’atteindre 210 ch pour la rarissime version Carrera GT. Si son comportement routier est certes moins ludique que celui d’une 911, la 924 fait preuve d’une stabilité exemplaire quelles que soient les conditions de route, se mettant ainsi à la portée du conducteur lambda, ravit d’accéder au mythe Porsche sans craindre le mauvais coup lorsque le temps tourne à la pluie.

 

La 924 sera le premier maillon d’une longue déclinaison de Porsche à moteur avant quatre cylindres, qui connaîtra sa fin et son apothéose avec le modèle 968, pratiquement vingt ans plus tard, mais ceci est une autre histoire.

 

Quelques 924 européennes célèbres, avant les US

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/Numériser0003.jpg1..jpg

Barth, ralye Monte Carlo 79

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/0p0mamjf.jpg2..jpg

JLR, course de cote des Maquisards

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/924 turbo rallye du médoc 2003.jpg3..jpg

PTB, rallye du Médoc (1er scratch)

 

PTB

 

 

Belle entrée en matière pour rendre hommage à cette "mal aimée".

 

 

 

[Porsche the Best]

Aux 24 heures du Mans, une des 924 GT, baptisée 924 GTP (P = proto), termine septième pilotée par Barth et Rôhrl. Sous son capot, on ne trouve pas un dérivé turbo du bloc de la 924 mais un tout nouveau moteur à quatre cylindres de 2,5 litres, en réalité un demi V 8 de 928. Pour le Mans, il est muni d'une culasse à seize soupapes avec un turbo KKK qui lui fait développer 420 cv à 5.800 tours. Ce moteur est celui de la 944. A propos du turbo et des seize soupapes du moteur, notons que cette association ne sera jamais utilisée sur aucune autre 944, tous les modèles suralimentés devant se contenter de huit soupapes. Citons enfin que ce proto 944 utilise une boite à cinq vitesses synchronisées qui va trouver sa place en 1982 dans la 956.

 

Le modèle 944 n'aura pas une carrière sportive importante; elle sera par contre utilisée sur le continent américain dans le cadre d'une coupe, et la version Turbo en europe donnera également naissance à une coupe monomarque qui perdure encore aujourd'hui avec la 997..

 

 

A noter qu'un challenge sur circuit réservé aux 944 est toujours organisé aujourd'hui

 

 

 

En rallye, c'est encore pire, malgré des aptitudes au baroud, comme cette version gréée pour le tour monde en 1986

 

 

 

seul le championnat suisse des rallyes aura permis avec la création du groupe N-GT, de faire évoluer des 944 Turbo sur la route, avec quelques places d'honneur

 

 

En France, votre serviteur fera quelques tentatives en ouverture, avec une modeste 944 S2 de 211 ch, au châssis toutefois très efficace, grâce à la présence du MO30 (suspension et freins de Turbo), et du M220 (autobloquant).

 

 

PTB

[Invité §_83035wJ]

 

Belle entrée en matière pour rendre hommage à cette "mal aimée".

 

 

 

 

 

ahhhh la 924, je me rapelle avec emotion de la maquette 'monogram' montee etant gamin, Une 924 Group 4 Martini. (jamais pu trouver une photo de la vraie ???)

http://www.tar.hu/szucslaszlo67/Sajat/HPIM5675.JPG

[fafa423]

_______Merci pour cette belle histoire PTB

 

 

[ed1962]

Arrête, Pascal, tu vas me redonner envie de remplacer les affrosités existantes!

 

[Porsche the Best]

Arrête, Pascal, tu vas me redonner envie de remplacer les affrosités existantes!

 

 

 

 

 

C'est déjà ca alors......

 

et puis, il y a aussi quelques modèles qui n'ont jamais l'attention des réducteurs comme cette 944 SCCA Rothmans

 

 

La winneuse des 24 h de Nelson Ledges

 

 

Cette 924 SCCA

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/

 

ou cette version Imsa

 

 

 

mais bon, faut pas rêver non plus , on sait bien que les artisans, vous préférez faire des voitures que l'on a vu 1000 fois ailleurs

 

PTB

[ed1962]

Provocateur!

 

 

[Invité §jip403gZ]

[et puis, il y a aussi quelques modèles qui n'ont jamais l'attention des réducteurs comme cette 944 SCCA Rothmans

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/smt15r10.jpg2..jpg

 

 

 

Gill Mann que l'on connait par l'intermédiaire du forum m'avait démandé si JPS serait intérèssé par ce modèle!!!!!!

IL m'avait envoyé quelques photos.

 

Mais combien auraient été vendues:??: si ce modèle avait été produit par un artisan

 

JIPE

[Porsche the Best]

Provocateur!

 

 

 

 

 

 

 

Tout est sous contrôle

 

 

 

 

PTB

[ed1962]

[et puis, il y a aussi quelques modèles qui n'ont jamais l'attention des réducteurs comme cette 944 SCCA Rothmans

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/225979/smt15r10.jpg2..jpg

 

 

 

Gill Mann que l'on connait par l'intermédiaire du forum m'avait démandé si JPS serait intérèssé par ce modèle!!!!!!

IL m'avait envoyé quelques photos.

 

Mais combien auraient été vendues:??: si ce modèle avait été produit par un artisan

 

JIPE

 

 

Tu peux toujours m'envoyer les photos, on sait jamais...

 

[Porsche the Best]

[

Gill Mann que l'on connait par l'intermédiaire du forum m'avait démandé si JPS serait intérèssé par ce modèle!!!!!!

IL m'avait envoyé quelques photos.

 

Mais combien auraient été vendues:??: si ce modèle avait été produit par un artisan

 

JIPE

 

 

 

Rothmans est un thème de collection à priori porteur : Arena commercialise des 911 Rothmans de championnats nationaux, qui trouvent leur clientèle.

 

Ensuite la 944 aurait pu être déclinée dans d'autres versions, comme l'a fait Starter avec sa Cup.

 

Starter a également produit un kit d'une 944 US du Challenge Rothmans Canada 1986

 

Pour ce qui me concerne, juste la planche de décals suffirait à mon bonheur ; Monsieur Asphalt Model, si tu nous lis

 

PTB

[Porsche the Best]

 

Tu peux toujours m'envoyer les photos, on sait jamais...

 

 

 

 

 

Avec Toi, Etienne .... on sera tous morts de vieillesse avant que ca sorte

 

 

PTB