Le Topic des engins blindés (Index en page 1)

[jensen]

Oui, il y en avait deux de mémoire, je les avaient vu en 1998 et 2008, d'ailleurs en fort mauvais état...

 

L'un d'entre-eux a été récupéré et restauré.

 

Il trône désormais à l'intérieur du musée.

 

 

[Invité guest527]

Oui, il y en avait deux de mémoire, je les avaient vu en 1998 et 2008, d'ailleurs en fort mauvais état...

 

L'un d'entre-eux a été récupéré et restauré.

 

Il trône désormais à l'intérieur du musée.

 

 

 

 

Yep je valide, j'y ai été l'an passé à ce musée.

D'ailleurs pour l'anecdote, ils ont construit le musée autour de la barge.

 

Y'a quelques autres pièces sympa dont j'ai des photos, dans ce musée

[geosteber]

Un lien vers un site retraçant l'hstorique des 2 LVT-2 d'Utah Beach : http://www.materielsterrestres39-45.fr/fr/index.php/tout-guerre-terrestre/142-france-guerre-terrestre/normandie/189-lvt-en-normandie

[Pierre99]

J'ai posté cette engin il y a pas longtemps, j'aimerais avoir des infos sur ce véhicule.

 

 

 

 

Merci

[chris94ca]

Cela ressemble aux camions d intervention de bases aériennes (pompiers)

Celui ci transporte des Hydrocarbures type Kérosène.

 

Le secteur me fait penser aux maisons du Cotentin , Bretagne. Doit y avoir une base aérienne dans le secteur comme en Bretagne

[jensen]

Non, il s'agit d'un Oshkosh M1120A4 (version blindée) de l'armée US en "déplacement en France" (les panneaux de danger sont aux normes européennes)

 

Je pense que tu as pris ce cliché à une période de commémoration en Normandie non ?

 

Dans ce cas ce véhicule devait pouvoir ravitailler un avion américain (peut être un VIP) car son code "30/1863" correspond à celui du kérozène.

 

Vala...

[chris94ca]

et le camouflage est du type US pas Fr.

[Invité §wit375IU]

la reprise

[Pierre99]

Non, il s'agit d'un Oshkosh M1120A4 (version blindée) de l'armée US en "déplacement en France" (les panneaux de danger sont aux normes européennes)

 

Je pense que tu as pris ce cliché à une période de commémoration en Normandie non ?

 

Dans ce cas ce véhicule devait pouvoir ravitailler un avion américain (peut être un VIP) car son code "30/1863" correspond à celui du kérozène.

 

Vala...

 

 

Ok merci beaucoup.

Oui je l'ai photographié à Carentan pendant les commémorations du débarquement.

[Invité §Jes257LV]

[h1]Photos. Briey : le parking du plan d'eau blindé de véhicules militaires[/h1]

La démonstration de force de la l'association Sergent-Dan est belle ! Depuis ce samedi matin, 7 septembre, le groupe de passionnés de matériels roulants de la Seconde Guerre mondiale a pris position sur le parking de Briey. Exposés dans le cadre du 11e Salon de l'auto, ces témoins du passé ne lèveront pas le camp avant dimanche soir, jour du 75e anniversaire de la Libération de Briey.

 

 

 

 

 

https://www.republicain-lorrai [...] militaires

[SAHARA 65]

J'ai posté cette engin il y a pas longtemps, j'aimerais avoir des infos sur ce véhicule.

 

 

 

 

Merci

 

 

Si vous voulez connaitre ce que les camions transporte

 

 

https://aida.ineris.fr/consultation_document/files/aida/file/tableau411196.pdf

 

 

À l'occurrence

 

 

 

 

https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/danger/publi/adr/adr2005/French/Partie3b-TableauA.pdf

[Invité §wit375IU]

 

bizzare ?

[franck9595]

https://nsa40.casimages.com/im [...] 640896.jpg

 

bizzare ?

 

 

Pas mal pour les controles à Villiers le bel :lol:

[jensen]

On dirait une tourelle de Pz.3 avec un châssis de Pz.2...

[the-Mad-Hatter]

- en zoomant sur la photo, les galets on l'air de venir d'un engin Russe : sans doute un bricolage local.. il y a eu plusieurs de faits déjà

 

 

 

http://the.shadock.free.fr/Repros.pdf

[jensen]

Berliet GBC 8KT : Porte-troufions trans-générationnel.

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors la j'en connais quelques uns qui vont nous parler des heures durant de leurs "souvenirs de guerre de conscrits" jusqu'à plus soif tellement l'engin fut répandu au sein de l'armée Française.

 

L'histoire de ce camion que l'on pourrait qualifier de "cheville ouvrière" de nombreux régiments commence durant les années 50.

 

Au milieu de cette décennie Berliet a une déjà longue histoire avec le Sahara, les camions de la marque y étant déjà très réputés .

 

En 1956 la prospection pétrolière fait état du besoin d'un camion 6x6 à l'aise dans les sables, la marque Lyonnaise y répondra en un temps record puisqu'il ne lui faudra que neuf mois pour présenter le prototype de son GBC.

 

 

 

 

 

 

Techniquement il a "la gueule de l'emploi" : 6x6, excellente répartition des masses sur les trois essieux, moteur Diesel à cinq cylindres de 7,9 litres avec du couple à revendre et une puissance de 125 ch, pour l'époque c'est une puissance "confortable" pour un simple porteur (les semi-remorques de métropole se contentant alors de 150/170 ch en moyenne).

 

Les essais sont très concluants et changent les éventuels clients des surplus américains "plus ou moins adaptés" au terrain et des Berliet à quatre roues motrices peu à l'aise sur le sable...

 

Les commandes affluent rapidement et le camion, dénommé GBC 8 et vite surnommé "Gazelle", montre toute l'étendue de ses capacités aux mains des prospecteurs pétroliers.

 

 

 

 

 

 

En 1959 Berliet, à des fins géologiques, géographique et scientifiques (mais surtout promotionnelles... ) met sur pied l'expédition Ténéré qui consiste à traverser l'intégralité du Sahara depuis l'Algérie jusqu'au Tchad afin de reconnaître en particulier une vaste zone du désert du Ténéré en vue de la réalisation de la route Trans'Saharienne, qui ne verra jamais le jour d'ailleurs...

 

 

La mission Ténéré, une bonne publicité pour la marque à la locomotive.

 

 

Il y a une administration Française qui reste en embuscade au coin du bois (ou plutôt des palmiers ici... ) : L'armée !

 

Déjà aux prises avec le mouvement insurrectionnel du FLN depuis novembre 1954 elle constate vite que ses GMC hérités du débarquement ne sont absolument pas adaptés au terrain Algérien.

 

Une commande pour plusieurs dizaines de véhicules "sur étagère" est passée, c'est bien assez pour s'apercevoir que ce camion non seulement fait l'affaire mais qu'il en faudrait très peu pour l'adapter complètement à ses besoins et même à en faire le camion principal de nos armées, y compris en métropole !

 

 

Devant les "événements" d'Algérie l'armée Française achète en urgence un lot de 310 "Gazelle" directement issu de la gamme civile.

 

 

 

.. Qui en fin de compte fera son bonheur sur le terrain.

 

 

 

Ce camion obtiendra aussi ses lettres de gloire dans le film "100 000 Dollars au soleil" d'Henri Verneuil réalisé en 1963.

Pour la petite histoire les "dégâts" sur la cabine ont été réalisés sur mesure par les techniciens du film, ces derniers étant "amovibles" !

Afin de mettre un terme à une polémique initiée sur un autre Topic ce camion était bel et bien rouge, une chose confirmée par Claude Pinoteau alors adjoint du réalisateur.

La "cabine verte" résulte d'une erreur lors de la colorisation du film, bien des années plus tard...

 

 

Pour obtenir le contrat du ministère de la défense quelques modifications sont nécessaires :

 

-Moteur polycarburant pouvant accepter aussi bien du gazole que du kérosène, de l'essence ou de l'alcool.

-Cabine bâchée type Torpédo pour respecter le gabarit en aérotransport et au dessin simplifié

-Empattement rallongé de 22 cm

-Roue de secours sous la caisse et non plus derrière la cabine

 

 

Le styliste Philippe Charbonneaux va sortir règles et équerres pour peaufiner une cabine correspondant au cahier des charges imposé, Berliet se chargeant d'apporter au GBC 8 les modifications mécaniques imposées.

 

 

Un des prototypes "armée française", en 1960 probablement et réalisé par l'usine Berliet de Courbevoie.

 

 

 

La version définitive est adoptée début 1961 sous la dénomination GBC 8KT.

 

 

Une gueule inimitable, dessinée par celui qui fut aussi à l'origine au même moment de la Renault 8.

 

 

C'est donc le camion tactique à tout faire qui est censé remplacer le légendaire GMC de l'oncle Sam qui, soit dit en passant, ne quittera définitivement les effectifs de l'armée de terre qu'au début des années 90...

 

Le moteur est donc un cinq cylindres MK520 de près de huit litres de cylindrée avec un système d'injection "brevet MAN" de 125 ch qui autorise l'utilisation de plusieurs carburants, la grande marotte de l'armée à l'époque qui voulait de la sorte éviter le même désastre qu'en mai 1940 où certains de nos chars tournaient à l'essence, d'autres au Gazole et les B1bis à l'essence aviation ce qui posa des problèmes insurmontables en terme de logistique...

 

A la même époque les armées du Pacte de Varsovie avaient fait le choix inverse du "tout Diesel" avec pour objectif de pouvoir faire le plein dans les cuves à fioul des immeubles de RFA en cas d'invasion.

 

La boite de vitesses est une ZF Allemande à six rapports, plus simple à manipuler que la boite Berliet du "Gazelle" et la boite-transfert est une Herwaythorn à deux gammes.

 

 

L'ensemble moteur-boite du GBC 8KT, en fin de compte bien germanique avec son injection et sa boite d'outre-Rhin.

 

 

Bien entendu toutes les roues sont motrices.

 

Sa longueur est de 7,28m, sa largeur de 2,40m et sa hauteur de 3,30m.

 

En définition Standard il dispose d'une caisse-cargo métallique bâchée avec bancs amovibles et ridelles rabattables capable d'embarquer 20 soldats équipés.

 

 

Jusqu'à l'arrivée du VAB en 1976 on partait au casse-pipe en camion Môssieur, on savait vivre à l'époque NOUS !

 

 

 

"Bien lancé" et avec un chauffeur pas trop manche au volant il est capable de 85 km/h avec une autonomie de 600 kilomètres environ.

 

Hors bitume il grimpe des pentes de 50%, franchit des dévers de 30%, une coupure humide de 1,20 mètre et peut passer un obstacle vertical et une tranchée ouverte de 0,60 m.

 

 

 

 

 

Ça c'est du "croisement de pont" !

 

 

 

Son poids à vide est de 8,4 tonnes et sa charge utile de 4 tonnes.

 

Les commandes vont se succéder entre 1961 et 1976 pour 17 453 exemplaires !

 

 

Ici en 1966 sur le parc de l'usine de Bourg en Bresse qui remplace vite celle de Courbevoie incapable de suivre le rythme.

 

 

 

L'intérieur, digne des plus belles réalisations Britanniques : Cuir, velours et ronce de noyer.

Non j'déconne en fait...

 

 

 

Le nombre de versions sera impressionnant : Cargo, benne, citerne de 5 000 litres, grue, dépanneur "Lot 7", porte Shelter, porte travées de franchissement et même tracteur de semi-remorque (le seul domaine où il ne sera pas à la hauteur de sa tâche avec son moteur de 125 ch trop juste et son embrayage sous-dimensionné).

 

 

Cargo, la version la plus répandue, avec ou sans le rail circulaire au dessus de la cabine pour la mitrailleuse de 12,7.

 

 

 

La version ravitailleur, avec sa bâche de camouflage (les citernes sont "cibles prioritaires" en cas de conflit).

 

 

La version avec grue US Austin-Western de 5 tonnes, fabriquée sous licence par Berliet.

 

 

 

Le camion-atelier avec son légendaire "Lot 7" qui incluait une chèvre de levage et le nécessaire pour les interventions mécaniques sur le terrain.

 

 

Il y aura même une version pompier d'aéroport pour nos bases aériennes.

 

 

 

Le seul domaine où le GBC 8KT ne fera pas l'affaire : Tracteur de semi sous le vocable TBC 8KT...

Pas assez puissant et de toute façon inadapté à cet usage.

 

 

 

Une version GBC 8MT à moteur 100% "Gazole" est proposé à l'exportation, les armées Autrichiennes et Marocaines signeront pour plusieurs centaines de véhicules.

 

Lorsque l'usine Berliet de Rouiba deviendra Algérienne sous le nom de Sonacome, le camion sera considérablement modifié avec un V8 Deutz plus adapté au climat local sous la dénomination M210 et exporté jusqu'en Chine.

 

 

Pour la petite histoire le M210 remportera même le premier Paris-Dakar en catégorie camions.

 

 

Le Portugal est un cas à part...

La marque y dispose d'une usine dite Berliet-Tramagal qui concevra pour l'armée locale un GBC 8 4x4 dont 48 seront livrés à la France avec un équipement feux de forêt SIDES pour la protection des camps militaires (Canjuers en particulier).

 

 

L'armée Portugaise possédera des camions en quatre roues motrices...

 

 

...Mais aussi des 6x6 avec une cabine modifiée.

 

 

 

Déjà implanté en Chine avec ses engins de carrière Berliet cédera une licence de production pour l'armée populaire qui en fabriquera au moins autant que l'usine Française, ce qui fait que le GBC 8KT et ses dérivés ont été produits à environ 30 000 exemplaires !

 

Il sera aussi proposé sur le marché civil avec un toit métallique de cabine, des roues arrières jumelées et des feux de circulation aux normes, mais proposé trop cher et de toute façon trop "militaire" dans sa configuration il ne connaîtra pas le succès hormis quelques camions distribués outre-mer.

 

Au début des années 90 se pose pour notre armée le problème du remplacement de ces véhicules qui ont, pour les plus âgés, largement dépassés les 25 ans.

 

 

Ils avaient encore fière allure nos GBC 8KT avec leur livrée "Centre-Europe" apposée à la fin des années 80 sur tous les véhicules de l'armée Française : Vert foncé, Brun terre et noir.

 

 

La chute du bloc de l'Est en 1990 va drastiquement réduire les crédits alloués.

 

Dans cette situation l'armée décide non pas de remplacer les Berliet surnommés par la troupe les "Bébert" mais de les reconstruire !

 

On va conserver le châssis, les freins, la boite de transfert, les ponts et les jantes encore capables d'accumuler des milliers de kilomètres et remplacer... Tout le reste !

 

 

Gazelle "new-look" !

 

 

Le moteur cède la place à un six cylindres Renault 06.02.26 de 175 ch accouplé à une boite de vitesses Eaton toujours à six rapports.

La cabine est entièrement tôlée et dérive de la gamme chantier du constructeur, inutile de dire que le confort à bord n'a plus rien en commun avec le modèle original...

 

 

Plus rien à voir !

 

 

 

 

 

Reconstruits dans l'usine Renault de Limoges spécialisée dans le matériel militaire les premiers exemplaires arrivent en dotation en 1998.

 

8 300 camions seront ainsi reconditionnés (grosso-modo la moitié du parc initial, le reste étant réformé) sous le vocable de GBC 180.

 

Ils sont toujours en service de nos jours.

 

On peut s’interroger sur l'éventuelle pertinence d'une telle opération, mais il est utile de savoir que les châssis étaient majoritairement encore en fort bon état et que l'achat de camions 100% neufs aurait coûté au final 30% plus cher pour un résultat pratiquement identique.

 

 

Difficile de prime abord de voir une filiation entre le GBC 8KT et le GBC 180, et pourtant...

 

 

 

Pour les GBC 8KT trop âgés ou en trop mauvais état il restera les ventes des Domaines, l'exportation dans des pays amis "en voie de développement" et, pour beaucoup, le chalumeau du ferrailleur.

 

 

 

Quelques bricoleurs pourront même en faire un engin garanti 100% évasion en y greffant une cellule de Camping-Car !

Le même type de véhicule se trouve en neuf chez certains spécialistes qui piochent dans les gammes Man, Iveco ou Mercedes chantier, mais pas à moins de 450 000€...

 

 

 

Je terminerai ce sujet en corrigeant ce que beaucoup croient être une évidence :

 

Non, les Berliet d'interventions en milieux aéroportuaires civils, très courants entre 1965 et 1995 dans notre pays n'étaient ni des Gazelle ni des GBC 8KT !

 

Il s'agissait de camions spécifiques connus chez leur constructeur comme étant des GBC 34.

 

Hormis l'empattement et les six roues motrices ils n'avaient strictement rien à voir avec le reste de la gamme, même la cabine signée également par Philippe Charbonneaux était très différente, sans parler de la motorisation : Un V8 Ford à essence de 280 ch accouplé à une boite automatique, les pompiers étant encore à l'époque forts méfiants face aux moteurs Diesel qu'ils jugeaient trop difficiles à mettre en route en mode "urgence On".

 

 

Un exemplaire stationné sur l'aéroport de Cherbourg.

En plus de son moteur V8 essence il disposait d'un six cylindres Hotchkiss de 175 ch pour la mise en action des diverses pompes dont il était doté.

 

 

 

Un GBC 34 flambant neuf sur l'aéroport (lui aussi flambant neuf) de Grenoble, ouvert pour les Jeux Olympiques de 1968.

 

 

 

Un autre modèle une dizaine d'années plus tard au même endroit, on note la cabine très différente de celle du GBC 8KT.

 

 

 

Le nombre de conscrits passés durant leurs obligations militaires à bord d'un GBC 8KT se comptent non en milliers mais plutôt en millions, sans parler de ceux qui ont obtenu leur permis PL à son volant : "Ça pourra toujours vous servir ! " lançait en général l'instructeur qui validait le permis lors de la libération de l'appelé et il n'avait pas tort : Qui n'a pas connu le copain ou le cousin venu conduire le camion de déménagement loué grâce à son permis acquis durant le service militaire ?

 

Perso' j'ai accumulé à bord de cet engin des centaines de kilomètres, que ce soit en caisse avec mon équipe de combat ou en cabine avec fonction de chef de bord (si le chauffeur fait un excès de vitesse c'est toi qui ramasse, super... ) pour des cérémonies, des liaisons, aller au champ de tir ou pour ravitailler un dépôt de munitions situé à 10 kilomètres de la caserne...

 

Bref le GBC 8KT j'en ai bouffé !

 

 

Montez donc à bord faire un tour :

 

Passage d'un fossé :

 

Bon d'accord le GBC 8KT était bon franchisseur, mais la il ne faut pas pousser...

 

 

 

 

[sierra38]

beau résumé...

 

Perso, ce sont des milliers de kms à bord en 16 ans de service, en liaison ou en déplacements tactiques...

 

En revanche, pas pû tester le GBC 10

[volvo f 88]

:bien: bien résumé , comme d'hab :oui:

[juluch]

effectivement toujours en service, un des meilleurs camions de l'armée.

 

il y a des versions blindé appelés GBC ADR CAB

[juluch]

[the-Mad-Hatter]

- Ce qui est paradoxal (qui a dit "grotesque"?) c'est que PAS UNE des 3 versions ne semble être au menu de la collec "Berliet" actuellement en cours.. Bon, on a bien eu une version "grue" mais™ une bétaillère à pimpins c'était le jackpot assuré et quelques milliers de clients z-heureux..

 

 

vroume

[Invité guest527]

Jamais vu de 8kt...

[jensen]

Oh ?

[volvo f 88]

c'est pas possible un truc comme ça

[Invité guest527]

Je suis trop jeune...

[sierra38]

Je suis trop jeune...

Bitos

[Invité §wit375IU]

je garde plutot des mauvais souvenirs a son bord........... confort de brun sur les longues missions , un mal de cul .......... , boite dur , sous la pluie humidité dans la cabine aux quatres vents , moi je voulais le TRM messieurs

[Invité guest527]

je garde plutot des mauvais souvenirs a son bord........... confort de brun sur les longues missions , un mal de cul .......... , boite dur , sous la pluie humidité dans la cabine aux quatres vents , moi je voulais le TRM messieurs

 

 

Lequel de TRM ?

 

2000, 10000 je connais, mais encore une fois 4000, j'suis trop jeune

[sierra38]

Le 2000 était en service en même temps que le 4000... (tenue de route de merde, le 2000)

 

Il doit encore pas mal traîner, ce dernier, j'en vois passer (4°Rch Gap)

[Invité guest527]

Le 2000 était en service en même temps que le 4000... (tenue de route de merde, le 2000)

 

 

 

Comme le fait que tu étais en service en même temps que le 2000, mais que tu ne l'es plus

[sierra38]

 

 

Comme le fait que tu étais en service en même temps que le 2000, mais que tu ne l'es plus

chut

[celinne 74]

 

 

Jour a tous.

Moi j' avais ça en 80 au 11 BCA.

[sierra38]

 

 

Jour a tous.

Moi j' avais ça en 80 au 11 BCA.

on a eu les mêmes au 93°RAM... en 90...

 

Avant, c'était ça

 

 

et ça

 

 

 

J'ai cru qu'ils tournaient un film quand je suis arrivé au Régiment

[celinne 74]

A l' auto école j' ai eu le Simca et la Méhari 4*4, et en compagnie j' ai roulé un peu avec le Marmon.

[sierra38]

A l' auto école j' ai eu le Simca et la Méhari 4*4, et en compagnie j' ai roulé un peu avec le Marmon.

 

y'avait tout ça aussi...

 

La méhari servait de véhicule de liaison

 

Le Marmont, j'ai même fait des manoeuvres dans les années 98