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[Jeu] Une musique suit l'autre...


Roland de Gilead
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bonjour tout le monde,

 

lien :  de prénom (suite)

titre : "Hey, schoolgirl"

artistes : Tom and Jerry

année : 1957

 

 

Bien avant de devenir le duo de folk-rock le plus populaire de la planète, Simon and Garfunkel avaient choisi pour patronyme Tom § Jerry et ce, paraît-il, pour des raisons totalement étrangères aux héros du célèbre dessin animé. Américains nés dans le quartier du Queens à New York, ils étaient voisins et aimaient tous deux la musique. Pour faire court, disons qu'ils ont appris les harmonies vocales en reprenant des titres de doo wop dans divers groupes locaux, rêvaient d'égaler les Everly Brothers dont ils étaient fans et se sont séparés au début des années 60, faute d'autre tube que "Hey, Schoolgirl". Grâce à la ténacité des programmateurs radio, ce titre vendu à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires, s'était par ailleurs hissé dans les 50 premiers du Hot 100 US en 1957.

 6 ans plus tard le duo se reforme. Chacun met dans la corbeille de noces un échantillon de son expérience en matière de contre-culture acquise notamment dans le milieu folk de Greenwich Village. Après quelques atermoiements, ils associent leur prénom, deviennent donc Simon § Garfunkel et publient une kyrielle de chansons mythiques.

Modifié par rockerboots
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hello !

lien :  l'école

titre : "Qu'as-tu appris à l'école ?"

artiste : Graeme Allwright

année : 1970

album : "jour de clarté" (un must pour les amateurs !!!)

 

Sérieux concurrent pour Hugues Aufray, ses chansons reprises en choeur fleurent bon la colo, les feux de camp et les amitiés qui en découlent.

Après avoir exercé plusieurs métiers qui vont d'apiculteur à enseignant,  lui qui rêvait d'une carrière au théâtre, est encouragé par un journaliste stéphanois qui l'incite à gagner la capitale pour tenter sa chance dans la musique. Graeme Allwright enfourche sa guitare et rôde son tour de chant dans divers cabarets parisiens. L'exercice est rude. Le succès arrive dès 1965 avec "le trimardeur" et "la mouche bleue" extraits de son 1er album. Ces chansons passent beaucoup à la radio et, progressivement, deviennent des incontournables des soirées folk improvisées.

L'année suivante, rebelote, avec un nouveau 33 tours qui recèle de merveilleuses pépites telles "qui a tué Davy Moore (et pourquoi est-il mort ?)", "ça,  je ne l'ai jamais vu" ou "il faut que je m'en aille" qui devient aussi célèbre que "Santiano" dans les colos et ailleurs.

Et puis arrive "Jour de clarté", l'album sans doute le plus vendu/connu de Graeme Allwright. Une fois encore, les succès abondent : "Jusqu'à la ceinture", "Sacrée bouteille" (reprise de "Bottle of wine", également au répertoire de ... Julie Dassin, soeur de Joe, sous le titre "C'est bon signe"), "Qu'as-tu appris à l'école ?" ou le merveilleux, l'émouvant, "Petit garçon", adaptation française de "Old toy Trains" que Roger Miller avait écrite pour son fils (voir ci-dessous).

Graeme Allwiright était de nationalité Néo-Zélandaise. Il avait épousé une française, s'était établi en France et devînt le fidèle dépositaire du protest song américain qu'il traduisait pour nous (reprises des chansons de Pete Seeger, Tom Paxton, Bob Dylan, de son ami Léonard Cohen, etc ...).

Au cours des décennies suivantes, effrayé par le succès et toujours droit dans ses bottes, l'intéressé se fait plus discret, malgré une production discographique régulière.  Il choisit de vivre en marge du show-biz et milite infatigablement pour des causes qui lui tiennent à coeur  à l'instar du nucléaire, du Larzac, ou des paroles de la Marseillaise qu'il juge bellicistes, etc ... Graeme Allwright nous a quittés l'année dernière à l'âge de 93 ans.

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU  

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Modifié par rockerboots
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hello les joueurs !

Bien, bien, bien et d'accord en plus, Elvis et Leah (@ Roland : sa voix me la rappelle aussi) sont maintenant rejoints dans cette belle unanimité par Mungo Jerry qui, en 1973, retrouve le sommet des charts avec la reprise (arrangée) de "Et moi et moi et moi" de Jacques Dutronc.

lien : approbation

titre : "Alright, alright, alright"

artistes : Mungo Jerry

année : 1973

paru en single

 

 

Le Mungo Jerry première formule est mort, vive la suivante qui s'enrichit d'un batteur et de compos plus rock. Après un album inaugural en 1972 ("Boot Power"), Ray Dorset et ses nouveaux potes (seul le bassiste est resté) profitent de la vague rétro alors en pleine effervescence, pour fouiller dans les archives. L'onglet "1966" leur fournit un titre français solide, bien rythmé, qu'il suffit de dépoussiérer et d'arranger à la sauce Mungo Jerry. Les radios diffusent le titre à tout va, les TV itou et tout va désormais pour le mieux dans l'hôtel des courants d'air qu'est devenu le groupe qui connaît en effet des changements de personnels incessants. A noter l'excellente face B du single que je vous propose ci-dessous. Un rock and roll sans sucres ajoutés, digne de ceux des pionniers. Longtemps il a tourné en boucle sur ma platine.

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU  

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Bonjour tout le monde,

Hello eManu !

 

Au groupe ABBA qui n'en finit plus de faire, Tony Joe White répondait en 1998 de ne pas trop en faire sur son album "One hot July" qui le voyait - quelque peu - renouer avec son style premier ... la spontanéité en moins. Mais bon, nous sommes fin juillet, il devrait être hot et, même si elle est "flagorneuse" , la musique de Tony Joe White fait toujours plaisir à entendre. C'est net et carré sans chercher de midi à 14 heures.

 

lien : de limitation, de pondération

titre : "don't over do it"

artiste : Tony Joe White

année : 1998

album : "One hot July"

 

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Bonjour tout le monde,

 

On va persister dans le refus avec "Don't", un titre écrit et composé en 1958 pour Elvis Presley par le duo prolifique Leiber / Stoller. Le King en fera un gros succès. Scotty Moore, son guitariste mythique présent à ses côtés de 1954 à 1968, reprendra ce succès en version instrumentale sur l'album "The guitar that changed the world" qu'il fait paraître en 1964.

Je vous propose ici la reprise de David Gilmour.

 

lien : réitéré de refus

titre : "don't"

artiste : David Gilmour

 

année : 1958 (date de création pour Elvis Presley)

paru en 45 tours ("I beg of you" en face B)

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU  

NE PAS UTILISER COMME LIEN

 

 

 

Voici le fameux album évoqué plus haut. Scotty Moore (1931 - 2016) était l'un des plus célèbres guitaristes au monde. Son nom est indissociable d'Elvis Presley, tant il a marqué la carrière du King de son empreinte. Je ne possède pas l'album en question, mais ce titre de Scotty Moore figure sur l'une de mes compilations Country (c.f. : "country instrumental").

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Bonsoir tout le monde,

 

lien : organes du corps humain ... et de beaucoup d'espèces animales

titre : "avec la tête, avec le coeur"

artiste : Claude François

année : 1968 * / 1974 **

* première parution super 45 tours

** réédité en single avec "après tout" en face B

 

 

 

Jeune patron des disques Flèche, Claude François naviguait aussi à vue durant l'année 1968 qui secouait musicalement pas mal d'artistes jusqu'alors établis. "Avec la tête, avec le coeur" et "Pardon" font partie du lot de chansons un peu mélancoliques que l'artiste proposait cette année là, au cours de laquelle sa carrière a connu un coup de mou heureusement amorti par le succès de son adaptation de "Eloïse", le méga tube de Barry Ryan.

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Bonsoir tout le monde,

 

lien : visible (suite), le regard, les yeux

titre : "Can't you see ?"

artistes : the Marshall Tucker Band

album : éponyme (leur 1er LP)

année : 1973

 

 

Je vous avais déjà présenté ce groupe américain de rock sudiste originaire de Caroline du Sud, composé de 6 membres dont un flutiste ce qui fait son originalité. Fondé en 1972,  le groupe a à son actif plusieurs grands succès comme "Can't you see" ou "This ol' cowboy" ou encore "Fire on the mountain". Malgré plusieurs remaniements et disparitions, le groupe existe toujours.

Modifié par rockerboots
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Bonjour tout le monde,

 

Excellents ces 2 titres ! De quoi en rester muet d'admiration !

 

Et bien justement, on va quitter le monde du silence pour entrer dans celui du bavardage incessant, comme l'indique le titre de la chanson.

lien : contraire (muet / bavard)

titre : "You talk too much" 

artistes : George Thorogood and the Destroyers

album : "Born to be bad"

paru en single ? = oui

année : 1988

 

 

Le fameux guitariste-chanteur américain originaire du Delaware, George Thorogood, héros du boogie blues, des bikers et de tous les amateurs du genre, qui fit les beaux jours des stations FM avec ses Destroyers. Il a aussi le mérite d'avoir ressuscité quelques vieux blues de derrière les fagots, à l'instar, il est vrai de beaucoup de ses confrères !

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Bonjour tout le monde !

Hello eManu !

 

Bon je crois que deux bavards c'est "just a little too much" comme le chante Ricky Nelson.

lien : excès (too much)

titre : "Just a little too much

artiste : Ricky Nelson

album : "Songs by Ricky"

paru en single ? = oui

année : 1959

 

Ecrite et composée par Johnny Burnette (ex membre du Rock and Roll Trio", créateur notamment de "You're sixteen"), "Just a little too much" s'était classé dans les 10 premiers du Hot 100 US et très bien ailleurs.

Auteur-compositeur-interprète, chanteur, guitariste et acteur américain natif du New Jersey, Ricky Nelson (1940 - 1985) figure sur le podium des mes rockers favoris. A la fin des années 40, enfants de la balle, son frère aîné et lui (11 et 9 ans) sont embauchés par leurs parents pour jouer dans le feuilleton radiophonique qu'ils animent ("the adventures of Ozzie and Harriett"). Ce spectacle deviendra un rendez-vous télévisuel hebdomadaire.

Ce n'est donc pas un inconnu qui se lance dans la chanson en 1957. Entouré par James Burton à la guitare, James Kirkland à la basse et Richie Frost à la batterie, Ricky Nelson débute avec "I'm walkin'" une reprise de Fats Domino. Des millions d'auditeurs / téléspectateurs américains l'ont vu grandir au fil des épisodes de la sitcom et connaissent son visage d'ange qui fait craquer les jeunes filles et leur maman.

En l'espace de quelques hits ("Be Bop baby", "Waitin' in school", "'Stood up", etc ...) Ricky Nelson devient un dangereux rival pour Elvis Presley.

Mais le côté félin indompté de ce dernier lui laisse une longueur d'avance. De plus, vocalement, son registre est bien plus étendu. Il peut interpréter le rock and roll le plus sauvage, le blues le plus déchirant, la complainte country la plus suave, le gospel le plus poignant, avec un égal grand talent.

Et puis, il y a le Colonel Parker qui joue un rôle primordial dans sa carrière. Il a le pif ... sent et pressent ...

Ricky lui, est plus à son aise dans les ballades mid tempo où sa voix chaude fait merveille. C'est d'ailleurs dans ce registre qu'il aligne au fil des années des tubes imparables dont les plus marquants restent "Teenage Idol" "(l'idole des jeunes" par Johnny) et "Hello Mary Lou".

En 1961, Ricky Nelson a 21 ans. Un album paraît pour l'occasion et son prénom se déleste du "y". C'est désormais Rick Nelson qu'il s'appelle. Mais, à partir de 1965, le succès s'éloigne. Tour à tour, R. Nelson s'oriente alors vers la country, puis expérimente la pop psychédélique (1967), avant de revenir à la country. Il  forme à cette fin un groupe, the Stone Canyon Band (avec Randy Meisner futur membre des Eagles) et fait paraître en 1972, l'excellent album "Garden Party" qui fait un carton. il revient au premier plan.

Enfin, en 1959, Rick(y) Nelson a tenu l'un des rôles principaux dans le western "Rio Bravo" aux côtés de John Wayne et Dean Martin.

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Voilà "Garden Party" la chanson de l'album éponyme qui est excellent de bout en bout.

 

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Bonsoir amis joueurs !

Imaginons un monde de lumière. C'est ce que propose Christopher Laird, dans cette chanson extraite de son (excellent) album "Comme dans un nuage" paru en 1977.

lien : contraire (lumière rallumée)

titre : "Le monde de lumière" 

artiste : Christopher Laird

album : "Comme dans un nuage"

année : 1977

 

 

Christopher Laird est aujourd'hui oublié. Pourtant, cet artiste né à Genève de parents travaillant dans le show biz, a connu beaucoup de succès au cours des seventies. Auteur-compositeur-interprète, multi-instrumentiste, son premier single "tes chaussettes sont à l'envers" paraît en 1970. La photo sur la pochette le montre guitare en bandoulière et harmonica autour du cou, façon Antoine 4 ans plus tôt. Les critiques le comparent à Michel Polnareff. Ses compositions oscillent entre gentilles loufoqueries sautillantes, ballades folk oniriques et parfois textes sérieux sur lit de notes maîtrisées. C'est peut-être cet itinéraire musical en zigzag qui est à l'origine de son oubli, malgré 29 singles et 5 albums à son actif, dont un récemment paru.

Toujours est-il que durant une grande partie de la décennie considérée, Christopher Laird a aligné les hits, parmi lesquels "dépassent" "petit homme" en 1973 et "un clown ne pleure pas" un an plus tard.

Je possède une ribambelle de 45 tours et 2 albums de C. Laird.

 

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L'ambiance musicale de ce titre est en phase avec la mode de l'époque.

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Hello tout le monde !

Salut eManu !

Excellent choix comme d'habitude. J'adore les Cars !

lien : lien communicant avec le monde (suite)

titre : "Id' like to teach the world to sing in perfect harmony"" 

artistes : the New Seekers

année : 1972

 

 

Nés en 1969, les New Seekers sont le fruit de la dissolution des Seekers, groupe australien tendance folk fondé par Keith Potger en 1962 à Melbourne. Son rayonnement fut international.

Les New Seekers sont maintenant anglais, ont conservé le même leader et poursuivent la route tracée par leurs illustres prédécesseurs. En 1971, la reprise de "Never ending song of love" du duo américain Delaney and Bonnie leur fournit un premier succès. Un an plus tard, c'est le carton mondial avec "I'd like to teach ..." suivi dans la foulée par "Beg, steal or borrow" qui remporte la médaille d'argent au Grand Prix Eurovision. D'autres tubes suivront.

Plus tard, les 5 membres du groupe qui chantaient jusqu'alors in perfect harmony, commencent à se pousser du coude et manifestent des velléités individualistes. Ces tensions conduisent le groupe à la dissolution en 1974. La suite est "rituelle" : reformation (1976), équipe partiellement renouvelée, concerts "revival" et enfin "best of" vendus par millions. Le clap de fin a lieu en 2010. Mais les New Seekers auront suscité pas mal de vocations copies conformes, comme les Brotherhood of Man par exemple.

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Bonsoir à vous !

 

Excellent titre que ce Smokie, auquel Buddy Holly réclame le mode d'emploi !

 

lien : mode d'emploi (suite), comment faire ?

titre : "Tell me how" 

artistes : Buddy Holly § the Crickets

face B du single "Maybe Baby"

année : 1958

 

Co-écrit et composé par Buddy Holly, Jerry Allison (batteur des Crickets) et leur producteur Norman Petty, "Tell me how" est aussi célèbre que "Maybe Baby" dont il constitue la face B du single. Buddy Holly occupe depuis toujours la plus haute marche du podium de mes rockers "early years" favoris.

 

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