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[Jeu] Une musique suit l'autre...


Roland de Gilead
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Bonjour tout le monde,

 

lien : activation de l'échappée

titre : "Cours plus vite Charlie" ("Cut across shorty" par Eddie Cochran)

artiste : Johnny Hallyday

album : "Rêve et Amour"

année : 1968

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

Comme souvent, je n'avais pas fait gaffe que l'on avait changé de page. Comme la chanson est jolie et Valérie aussi, je neutralise mon lien au profit de celui ci-dessus.

lien : l'un des but de l'appel aux armes

titre : "La Guerilla"

artiste : Valérie Lagrange

année : 1965

 

 

Résumer la vie de Valérie Lagrange relève de la mission impossible pour qui voudrait la synthétiser, tout simplement parce qu'elle en a eu plusieurs.

Auteure-compositrice-interprète mais aussi comédienne, actrice et écrivaine, Valérie Lagrange débute au cinéma en 1959, dans le film "La jument verte". Bourvil tient le rôle principal.

Comme les scènes qui lui sont confiées se déroulent dans une grange, son pseudo artistique est tout trouvé : Lagrange (en un seul mot). Ne pas confondre avec Dominique Grange, une autre chanteuse militante.

Après des débuts prometteurs au cinéma, l'intéressée se tourne vers la musique. Elvis Presley, le rock and roll, toussa l'émoustillent. Mais c'est la variété qui lui ouvre les portes du succès, puisque "La Guerilla", son 2ème EP, cartonne.

Elle est considérée comme l'une des révélations de la décennie. Mais le show biz et ses paillettes ont tôt fait de la lasser.

Après un détour du côté des tenants du protest song (Bob Dylan, Joan Baez § cie), 1968 tout embaumé de l'ère "hippie" semble convenir à son teint. Elle s'y dévoue corps et âme.

Puis,  elle tombe amoureuse de Ian Jelfs, guitariste anglais du groupe français Alice, devenu tétraplégique, dont elle s'occupe aujourd'hui encore.

On lui prête aussi des aventures successives avec Louis Bertignac et J.L. Aubert.

En 1980, Valérie Lagrange obtient un nouveau succès discographique avec "Faut plus me la faire", extrait d'un album éponyme qui marque l'arrivée du label Virgin en France. Ensuite, les retours triomphants succédent aux descentes en enfer. Malgré les décennies qui auraient pu lui valoir l'oubli à l'instar de nombre de ses consoeurs, Valérie Lagrange est toujours là, fidèle au poste.

 

Modifié par rockerboots
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MEF ! ne compte pas pour le jeu !

 

Hommage à Olivia Newton-John plus connu dans le film GREASE, décédé hier des suites d'un cancer 73 ans.

 

Et aussi pour ce titre des 80's

 

 

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bonjour tout le monde,

 

C'est bien beau d'être toujours ailleurs, ce qu'implique la vie d'artiste, mais disposer d'un "chez soi" pour y poser ses valises de temps à autre n'est pas mal non plus. Par conséquent, après avoir été toujours ailleurs, il est temps de rentrer à la maison.

 

lien : contraire (ou d'arrêt des pérégrinations)

titre : "Il est temps de rentrer à la maison" (écrit et composé par Jean-Claude Vannier)

artiste : Hugues Aufray

album : "Aquarium"

année : 1976

 

En faisant paraître cet album Hugues Aufray avait bénéficié d'un incroyable alignement des planètes. En effet, dès le printemps de l'année 1976, la France apprenait vraiment la signification des mots canicule et sécheresse et voici que l'artiste sort le 45 tours "Tchin Tchin", histoire de rafraîchir tout le monde. Et, comme si cela ne suffisait pas, l'album s'intitule "Aquarium".

Immense succès donc pour "Tchin Tchin", amplifié par la canicule. Quant à l'album "Aquarium", l'ambiance générale ne déroge pas aux canons habituels en vigueur chez l'artiste, oscillant entre envolées latino ("Manolita"), ballade engagée ("la ballade d'Ira l'indien"), écolo ("La terre est si belle"), l'appel du large ("Le bon temps roulant", "Le bateau fou"), etc ... Il y en a pour tous les goûts.

Allez, il fait chaud, trinquons !

 

NE COMPTE PAS POUR LE JEU

 

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Bonsoir tout le monde !

 

Finalement,  si j'en crois la teneur de tous vos liens, "tout se passe dans les yeux" non ?

 

lien : oculaire

titre : "Tout se passe dans les yeux"

artiste : Dick Rivers

année : 1965

 

 

Bien que nous soyons à la charnière de 2 mondes musicaux, l'un finissant (yéyé), l'autre prenant naissance, les adaptations de succès anglo saxons allaient encore bon train. En 1965, le rythm 'n' blues de la Motown est à la mode. Dick Rivers s'empare donc du hit du Texan Roy Head, "Tread her right", pour en faire "tout se passe dans les yeux". L''EP contient aussi la reprise de "It's my life" des Animals, logiquement devenu "C'est ma vie".

A noter que Eddy Mitchell reprendra à son tour "Tread her right"  en 1978 sur l'album "Après minuit" ("Le parking maudit"). Si je me souviens bien, la pochette de cet album avait été dessinée par son fils.

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Bonsoir tout le monde,

 

A force de décliner les yeux de mille façons, on peut maintenant les utiliser je pense. On va commencer par juste un regard. On verra après ...

 

lien : le regard

titre : "Just one look"

artistes : the Hollies

année : 1964

 

 

Les Hollies, je vous en avais déjà parlé plusieurs fois. Formé en 1962, ce n'est que 2 ans plus tard qu'ils envoient une rafale de hits dont ce fameux "Just one look".

Bien que l'expression soit galvaudée, il est vrai que les Hollies ont représenté le plus sérieux danger pour les Beatles, tant ils ont vite décollé dans les Charts, alignant tube sur tube avec la régularité d'un métronome. Harmonies vocales ajustées à la perfection, guitares cristallines, répertoire ciblé et grand soin du mixage, les Hollies incarnaient eux aussi le Merseybeat Sound. Le "copié-collé Beatles" est flagrant. Mais bon, les Searchers et tant d'autres ont fait pareil. C'était le sésame de l'époque pour entrer au hit parade.

Graham Nash fît longtemps partie du groupe.

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Bonjour tout le monde,

 

lien : formulaire administratif (UB 40 = Unemployment Benefits, Form 40 = formulaire britannique pour solliciter des droits au chômage)

titre : "le formulaire"

interprète : Frederik Mey

album : volume 5

année : 1979

 

 

Frederik Mey fait souvent partie de ce jeu et je vous l'ai maintes fois présenté. Pour ceux qui auraient oublié, il s'agit d'un chanteur allemand, parfaitement bilingue, qui s'est forgé une solide réputation dans notre pays depuis son premier album en 1968. Dans les années 70/80, ses disques ont régulièrement fait l'objet des plus grands éloges et ont valu à son auteur-compositeur-interprète (F. Mey donc) de prestigieuses récompenses.

Ce volume 5 marque la fin du Frederik Mey troubadour, armé de sa seule guitare acoustique. Les volumes 6 et 7, verront les orchestrations enrichies, "normales", telles qu'elles se pratiquent sur ses disques en langue allemande.

Les volumes 6 et 7, abandonneront aussi les pochettes au graphisme discutable des deux opus précédents. Frederik Mey représente pour moi la quintessence de la poésie musicale, qui n'hésite cependant pas à mordre les mollets quand le thème l'exige. Ainsi, cette description des joies de l'Administration tatillonne et de sa paperasse !!

frederik mey.jpg

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Bonjour tout le monde,

 

lien : "Live at the Opera House ... Austin, Texas"

titre : "Rock and Roll Ball""

artistes : Omar § the Howlers

album : "Live at the Opera House Austin, Texas-August 30, 1987"

année : 1987

Formé en 1973, Omar and the Howlers est un groupe texan de blues, qui puise ses références dans celui du delta du Mississippi. Bien que le personnel ait changé, cette formation existe toujours. Omar § the Howlers connaît la consécration en 1987, grâce à l'album " Hard Times in the Land of Plenty" qui se vendra à des centaines de milliers d'exemplaires. Et, pour couronner le tout, la chanson éponyme fait partie des 20 meilleurs titres parus aux Etats-Unis cette année là.

 

 

J'avais découvert le groupe en question il y a plusieurs années, grâce à un CD "à pas cher" compilant des blues de haute volée, mais pas forcément connus.

P... , leur version de "Down in Mississippi", l'un des grands succès du bluesman Jimmy Reed m'avait emballé à un point tel, que j'avais tout mis en oeuvre pour trouver un de leurs vinyles ou CD. Et voilà que je tombe sur ce CD live ... qui, à prime écoute, m'avait déçu. Je trouvais que le leader (Omar Kent Dykes, guitariste et chanteur) en faisait trop. Evidemment, "the Howlers" évoque Howling Wolf, le bluesman à la voix rocailleuse charriant des tonnes de gravier, aux cris de loup, mais il était inutile d'en ajouter une couche et d'être plus Howling que Howling quoi !

Et puis, avec l'âge et l'habitude, mon opinion au sujet de ce "live" s'est adoucie, mais cela n'en fait pas pour autant mon CD de chevet.

Avec leur version de "Down in Mississippi" (album "Wall of Pride - 1988 -) par contre, là on touche au sublime et je pèse mes mots !!!!!

TOUT CE QUI SUIT NE COMPTE PAS POUR LE JEU

 

 

Modifié par rockerboots
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bonjour tout le monde !

 

En voilà une qui ne risque pas d'aller au concert du rock and roll singer là-haut !

 

lien : "rock and roll" (prise de position)

titre : "My woman don't like Rock and Roll""

artistes : Smokie

album : "Solid ground"

année : 1981

 

 

Je vous avais déjà présenté Smokie, ce groupe anglais originaire de Bradford, formé en 1964 et qui intègrera l'écurie Chinnichap (N. Chinn / M. Chapman), qui se compose de Suzi Quatro, des Sweet, de Mud et consorts. Contrairement à ce que l'on a dit, Smokie n'était pas un groupe Glam et c'est bien ce qui avait fait tiquer N. Chinn et M. Chapman. Qu'importe finalement, puisque le duo leur avait mitonné de fameux hits, comme  "Don't play your rock and roll to me", "Living next door to Alice", "If you think you know how you love me", etc ..., etc ...

Oui, mais voilà : lorsque Smokie a voulu faire cavalier seul au début des eighties avec cet album, ses membres se sont vite rendus que leurs compos à eux n'obtenaient pas les faveurs du public.

"Solid Ground" n'a donc pas eu le succès escompté et Smokie se séparera d'un commun accord 2 ans plus tard. Il s'est reformé depuis, mais seul le bassiste est encore une "pièce" d'origine. Smokie reste très célèbre dans les pays d'Europe du Nord.

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Raissa -  beautiful glassy creature

 

Lien : ( miroir/vitreux )

 

Encore un autre morceau de cet excellent album, je suis fan de la miss. 🥰

 

 

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Bonsoir tout le monde !

 

lien : égérie de Shocking Blue

titre : "Take me high""

artiste : Mariska Verez

année : 1975

 

 

Sans elle, les Shocking Blue n'auraient sans doute pas connu la gloire. Mariska Verez en était l'égérie et son filet de voix savait mettre en valeur les compositions du vrai leader, le guitariste Robbie Van Leeuwen. Après la dissolution des Shocking Blue en 1974, Mariska Verez enregistrera plusieurs singles, intègrera notamment un groupe de jazz manouche, puis reprendra du service au sein des Shocking Blue lors de sa reformation en 1984. R. Van Leeuwen ayant déclaré forfait, le groupe sera condamné à jouer et rejouer les succès de jadis, dont l'inusable "Venus".

J'avais trouvé ce single lors des soldes de janvier dans un grand magasin de Strasbourg il y a plusieurs années. Il complète ma collection de 45 tours de Shocking Blue.

mariska verez.jpg

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Bonjour tout le monde,

 

Alors, vu ce qui précède, je pense milo que tu seras d'accord avec moi : la belle Tina est une femme de haut-vol !

 

lien : haut-vol

titre : "Hi-Fly Woman""

artistes : Matchbox

album : éponyme

année : 1979

 

 

Matchbox est groupe de rock and roll revivaL anglais fondé en 1971. Il acquiert assez vite une certaine renommée parmi les Teddy Boys et exporte sa musique en Europe du Nord où le succès va grandissant à l'instar de leurs concurrents les Wild Angels. Menés par le guitariste (et auteur-compositeur) Steve Bloomfield, les Matchbox font paraître en 1976 "Riders in the sky" leur 1er album, composé de reprises mais aussi de titres originaux signés Bloomfield. Il y a du rockabilly, du boogie, du Chuck Berry, le tout mâtiné de Skiffle, des instrumentaux splendides, bref tout ce que les oreilles d'un honnête homme fan de rock and roll sont en droit d'écouter.

 

Et puis, en 1979, alors que les changements de personnels jusque là restaient anecdotiques, voilà que Matchbox se transforme radicalement !

Exit le chanteur Wiffle Smith, le pianiste Rusty Lupton et le batteur Bob Burgos. Ne reste plus que le bassiste Fred Poke dans une nouvelle mouture enrichie de saxo et même de violon lorsque la situation l'exige. Matchbox passe à la vitesse supérieure, s'éloigne de la ligne Skiffle, se rapproche de Bill Haley et de Buddy Holly et cartonne avec "Rockabilly Rebel", extrait de l'album ci-dessus. Les dés sont jetés, Crazy Cavan et ses Rythm Rockers et les Flying Saucers ont trouvé à qui parler. Un autre album fera aussi parler de lui : "Midnight dynamos".

J'ai les 2 albums présentés ici du groupe. Mais c'est "Riders in the Sky" que je préfère. A l'époque je l'avais payé ... 20 ... francs (!!) chez un soldeur. Plus tard, le rockabilly étant (re)devenu à la mode (c.f. les Stray Cats), son prix avait sacrément augmenté chez les disquaires. Fini le bac des soldes, bonjour la tête de gondole !

CE QUI SUIT NE COMPTE PAS POUR LE JEU !!

 

Voici, rien que pour le plaisir, tout d'abord "Rockabilly Rebel", puis un extrait du 1er album, le titre d'ouverture, ben "Matchbox" pardi ! Ce titre avait été créé par le bluesman Blind Lemon Jefferson en 1927. Repris par Carl Perkins, Jerry Lee Lewis, etc ..., il est devenu un classique incontournable du rock and roll. Les Beatles l'avaient aussi inscrit à leur répertoire.

 

 

 

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Bonsoir tout le monde,

 

Curieuse histoire, que celle de cette chanson conjointement écrite en 1959 par Léonard Cohen et Peter Yarrow. Elle fera le bonheur du trio Peter Paul and Mary 4 ans plus tard, mais reste attachée aujourd'hui encore à la double interprétation que l'on peut en faire. A l'instar des "Sucettes" de Gainsbourg, de "Lucy in the Sky with Diamonds" des Beatles, etc ..., cette chanson peut être comprise de deux façons. La première, innocente, celle de Jackie Paper un gamin qui, devenu adulte, oublie Puff, son meilleur ami le dragon ("Custard the Dragon", originellement un poème de Ogden Nash), lequel part en déprime.

L' autre interprétation est beaucoup moins enfantine :

Elle évoque l'univers de la Marijuana. Très vite, certains fins limiers ont vu en Jackie Paper le papier à rouler, tandis que Draggin et Puff signifiant respectivement inhalation et bouffée en anglais, l'ensemble s'ajustait comme le tenon et la mortaise.

Il n'en fallait pas plus pour que la suspicion fasse son chemin, d'autant que Peter Paul and Mary, trio folk contestataire étaient issus de Greenwich Village et ses communautés au sein desquelles la consommation de Marijuana allait bon train.

Mais, selon un sketch célèbre, cela ne nous regarde pas. Restons-en au conte pour enfants qui habille si bien cette musique.

 

lien : le dragon

titre : "Puff the magic dragon"

artistes : Peter, Paul and Mary

année : 1963

 

 

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Two Magnets - magical island

 

Lien magique

 

J'ai découvert récemment ce duo Alsacien made in Strasbourg, c'est plutôt intéressant, beau timbre de voix pour les deux.

 

 

 

Modifié par nophares
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Bonjour tout le monde,

 

@nophares: excellente découverte que ce duo acoustique alsacien. Mais il se heurte à deux handicaps, l'un étant la conséquence de l'autre :

1) Ils chantent en anglais dans un style 10 000 000 fois revu et corrigé par de "vrais" anglo-saxons. En plus, t'entends ça à tous les coins de rue l'été.

2) Dans le style qu'ils ont choisi, l'original est toujours préféré à la copie, même si elle émane de l'une des plus belles régions françaises ...😉

La country française n'est pas mieux lotie et pourtant elle recèle aussi de grands talents ... accueillis comme tels aux Etats-Unis, notamment au Grand Ole Opry à Nashville.

Alors, cette suite lien ... Une île ? Ben faut tout ce qui faut avec, les cocotiers, le rythme ... Les Rubettes fournissent tout ça :

lien : îlien

titre : "You're The Only Girl On My Island"

artistes : the Rubettes

album : "Sign of the Times" (excellent album !!!)

année : 1976

 

 

 

Tout juste libérés du joug Bickerton-Waddington, les Rubettes poursuivaient, en 1976, la route en solitaires et cela ne leur réussissait pas trop mal. "Julia", le single extrait de cet album avait bien cartonné. Quant à l'album lui-même, bon nombre de mes invités s'y sont laissés prendre au détour d'un titre comme celui-ci :

 

CE QUI SUIT NE COMPTE PAS POUR LE JEU !!

 

 

 

Apprenant qu'il s'agissait des Rubettes, bien des idées préconçues sont tombées.

Modifié par rockerboots
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Il y a 2 heures, rockerboots a dit :

Bonjour tout le monde,

 

@nophares: excellente découverte que ce duo acoustique alsacien. Mais il se heurte à deux handicaps, l'un étant la conséquence de l'autre :

1) Ils chantent en anglais dans un style 10 000 000 fois revu et corrigé par de "vrais" anglo-saxons. En plus, t'entends ça à tous les coins de rue l'été.

2) Dans le style qu'ils ont choisi, l'original est toujours préféré à la copie, même si elle émane de l'une des plus belles régions françaises ...😉

La country française n'est pas mieux lotie et pourtant elle recèle aussi de grands talents ... accueillis comme tels aux Etats-Unis, notamment au Grand Ole Opry à Nashville.

Alors, cette suite lien ... Une île ? Ben faut tout ce qui faut avec, les cocotiers, le rythme ... Les Rubettes fournissent tout ça :

lien : îlien

titre : "You're The Only Girl On My Island"

artistes : the Rubettes

album : "Sign of the Times" (excellent album !!!)

année : 1976

 

 

 

Tout juste libérés du joug Bickerton-Waddington, les Rubettes poursuivaient, en 1976, la route en solitaires et cela ne leur réussissait pas trop mal. "Julia", le single extrait de cet album avait bien cartonné. Quant à l'album lui-même, bon nombre de mes invités s'y sont laissés prendre au détour d'un titre comme celui-ci :

 

CE QUI SUIT NE COMPTE PAS POUR LE JEU !!

 

 

 

Apprenant qu'il s'agissait des Rubettes, bien des idées préconçues sont tombées.

Je suis bien d'accord, c'est très rare que je trouve une copie meilleur que l'original.  😉

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