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Restaurations

Restauration complète d'un BJ 42


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Invité §Pa-713Qy

Ouai !!!! A ce rythme la tu n'est pas prêt de rentrer du bois, et pourtant l'hiver est froid :):)

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Invité §Pa-713Qy

 

Et toi, quand est ce que tu nous fait un topic sur la restauration de ton Patrol ? :p

 

 

Bahh il est restauré depuis 3 ans maintenant et je n'aurais pas suffisamment de Photos pour illustrer.

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Poursuite des travaux sur le BJ .

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai profité du retrait de toutes la vitrerie «avant peinture» ( et/ou remplacement comme dans le cas de cette baie de pare brise) pour prendre quelques vues de la procédure permettant d’enlever une vitre dans le cas du joint à fentes caoutchouc ordinaire .

Joint qui équipaient tous les véhicules anciens … jusqu’à l’apparition des colles polymères .

J’ai remarqué que la question «comment démonter ces vitres» était très fréquemment posée sur les fora pour véhicules anciens .

 

 

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Il faut quelques bâtonnet de bois , pas trop épais , genre bâtonnet à remuer la peinture par exemple , ou abaisse langue médical ça marche aussi , et un tournevis plat ordinaire , mais dont le bout est impérativement fortement arrondi , soit par usure naturelle soit par meulage … mais en aucun cas la lame ne doit présenter ses aspérités d’origine . Les bâtonnet servent surtout à maintenir le joint dans la position de sortie , alors que le tournevis émoussé sert surtout à faire grimper le rebord du joint sur le bâtonnet ou par dessus la lèvre de tôle de la lucarne .

 

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Introduire les bâtonnet sous le joint caoutchouc , toujours par le coté habitacle , et en commençant par un coin .

 

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Soulever petit à petit et introduire plusieurs bâtonnets

 

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Repousser le joint vers l’intérieur de la lucarne , progressivement , tout en commençant à pousser gentiment la vitre vers l’extérieur de son logement , ce qui aidera à sortir le joint au moins d’un coin .

 

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Petit à petit le joint se libère du premier coin ,

Quand le caoutchouc est passé entièrement sous la lèvre en tôle au moins dans un coin , en principe le plus dur est fait …. Le reste suit assez facilement .

 

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Pour en avoir fait pas mal et d’un peu toute sorte de modèle anciens … disons que les vitres du Bj ne sont pas parmi les plus facile à retirer . Mais ça va … rien d’impossible . En principe, plus la vitre est courbe et plus elle sortira facilement …. Pour les remettre …ce serait plutôt l’inverse .

 

 

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Invité §ply456Ot

Poursuite des travaux sur le BJ .

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai profité du retrait de toutes la vitrerie «avant peinture» ( et/ou remplacement comme dans le cas de cette baie de pare brise) pour prendre quelques vues de la procédure permettant d’enlever une vitre dans le cas du joint à fentes caoutchouc ordinaire .

Joint qui équipaient tous les véhicules anciens … jusqu’à l’apparition des colles polymères .

J’ai remarqué que la question «comment démonter ces vitres» était très fréquemment posée sur les forae pour véhicules anciens .

 

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Il faut quelques bâtonnet de bois , pas trop épais , genre bâtonnet à remuer la peinture par exemple , ou abaisse langue médical ça marche aussi , et un tournevis plat ordinaire , mais dont le bout est impérativement fortement arrondi , soit par usure naturelle soit par meulage … mais en aucun cas la lame ne doit présenter ses aspérités d’origine . Les bâtonnet servent surtout à maintenir le joint dans la position de sortie , alors que le tournevis émoussé sert surtout à faire grimper le rebord du joint sur le bâtonnet ou par dessus la lèvre de tôle de la lucarne .

 

 

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Introduire les bâtonnet sous le joint caoutchouc , toujours par le coté habitacle , et en commençant par un coin .

 

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Soulever petit à petit et introduire plusieurs bâtonnets

 

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Repousser le joint vers l’intérieur de la lucarne , progressivement , tout en commençant à pousser gentiment la vitre vers l’extérieur de son logement , ce qui aidera à sortir le joint au moins d’un coin .

 

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Petit à petit le joint se libère du premier coin ,

Quand le caoutchouc est passé entièrement sous la lèvre en tôle au moins dans un coin , en principe le plus dur est fait …. Le reste suit assez facilement .

 

 

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Pour en avoir fait pas mal et d’un peu toute sorte de modèle anciens … disons que les vitres du Bj ne sont pas parmi les plus facile à retirer . Mais ça va … rien d’impossible . En principe, plus la vitre est courbe et plus elle sortira facilement …. Pour les remettre …ce serait plutôt l’inverse .

 

 

 

 

 

 

.

 

c'est une soluce comme une autre,je le fais toujours avec 2 tournevis plats

ça marche tout aussi bien

 

 

 

 

 

 

géniale ta restau :bien:

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Invité §Pa-713Qy

Poursuite des travaux sur le BJ .

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai profité du retrait de toutes la vitrerie «avant peinture» ( et/ou remplacement comme dans le cas de cette baie de pare brise) pour prendre quelques vues de la procédure permettant d’enlever une vitre dans le cas du joint à fentes caoutchouc ordinaire .

Joint qui équipaient tous les véhicules anciens … jusqu’à l’apparition des colles polymères .

J’ai remarqué que la question «comment démonter ces vitres» était très fréquemment posée sur les forae pour véhicules anciens .

 

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Il faut quelques bâtonnet de bois , pas trop épais , genre bâtonnet à remuer la peinture par exemple , ou abaisse langue médical ça marche aussi , et un tournevis plat ordinaire , mais dont le bout est impérativement fortement arrondi , soit par usure naturelle soit par meulage … mais en aucun cas la lame ne doit présenter ses aspérités d’origine . Les bâtonnet servent surtout à maintenir le joint dans la position de sortie , alors que le tournevis émoussé sert surtout à faire grimper le rebord du joint sur le bâtonnet ou par dessus la lèvre de tôle de la lucarne .

 

 

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Introduire les bâtonnet sous le joint caoutchouc , toujours par le coté habitacle , et en commençant par un coin .

 

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Soulever petit à petit et introduire plusieurs bâtonnets

 

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Repousser le joint vers l’intérieur de la lucarne , progressivement , tout en commençant à pousser gentiment la vitre vers l’extérieur de son logement , ce qui aidera à sortir le joint au moins d’un coin .

 

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Petit à petit le joint se libère du premier coin ,

Quand le caoutchouc est passé entièrement sous la lèvre en tôle au moins dans un coin , en principe le plus dur est fait …. Le reste suit assez facilement .

 

 

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Pour en avoir fait pas mal et d’un peu toute sorte de modèle anciens … disons que les vitres du Bj ne sont pas parmi les plus facile à retirer . Mais ça va … rien d’impossible . En principe, plus la vitre est courbe et plus elle sortira facilement …. Pour les remettre …ce serait plutôt l’inverse .

 

 

 

 

 

 

.

 

 

 

Ahh!!! ça reprends bon courage pour la suite!!!

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Refabrication sommaire des prises mâles de feux arrières .

 

 

 

 

Je ne sais pour quelle raison , mais la plupart des faisceaux de BJ ont la partie arrière du faisceaux électrique fortement endommagée et/ou pas d’origine …. Corrosion ambiante ? Montage de faisceau remorque et tentative d’intégrer le 12 V dans un montage entièrement en 24 V …. ?

En tout cas le miens ne faisait pas exception … que du fil d’électricité domestique mal ficelé après le départ vers le réservoir.

 

 

 

 

J’ai recomposé le faisceau comme j’ai pu avec des fils de couleurs assez semblable au montage Toyota d’origine , mais les prises mâles de feux arrières manquaient toujours .

J’en ai approché la reproduction par la méthode suivante , en partant de la prise femelle fournie par Toyota avec un feux arrière neuf .

Placement de cosse femelle plate 3 mm sur les fils aboutissant au feux …

 

 

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Puis j’ai placé ces cosses sur leurs emplacements , dans la prise femelle du feu .

Puis j’ai fais chauffer un de ces plastiques thermo-maléables vendu dans les grandes surfaces de bricolage.

 

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Puis j’ai bourré la pâte obtenue , carrément, dans la prise femelle du feux , autour des cosses plates de 3 mm .

 

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La pâte en refroidissant se solidifie, durcit et devient possible à travailler , rectifier avec une petite lame et/ou une lime . Il est possible de sculpter les deux petits ergots de retenues sur le coté car la pâte , sous la pression , ressort allégrement par les trous latéraux de la prise femelle du feux …. À tel point qu’il faut dégager cet endroit à la lame avant d’espérer sortir le moulage … Bien sûr la pièce n’est pas aussi bien finie que ce qu’elle devait être d’origine .. mais elle est fonctionnelle. Tous les contact sont efficaces après test à l’aide d’une batterie.

 

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Réfection des barres et renvoi de direction .

 

 

 

Les barres et leurs pinces de blocage de queue de rotule seront simplement sablées , métallisées puis thermolaquées.

 

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Les rotules seront remplacées par des neuves

 

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Car tous les soufflet caoutchouc étaient déliquescents . J’aime la graisse … mais pas quand elle déborde … :lol:

 

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Le renvoi est démonté .

Il existe un kit de réfection , toujours proposé par Toyota , et qui comprend le cône et son entonnoir en acier laitonné , écrou et rondelle élastique et le bourrage inférieur .

Voici une fois démonté ce que ça peut donner en vue éclatée

 

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Placement de l’entonnoir neuf

 

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Puis celui ci est bloqué (anti rotation sur lui même) par le pliage vers l’extérieur d’un petit ergot vers la cavité ad hoc . (à 12 h sur le cercle supérieur de l’entonnoir)

 

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Remplacement du bourrage inférieur .

 

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Invité §bom112Mo

Bonjour M. Fast Doc,

Apres avoir devoré la preparation de la 104, je viens de découvrir ce topic.

tout simplement genial, un travail d orfevre....

que dire d autre a part une bonne continuation ....

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Voici les barres revenues du sablage, métallisation, thermo laquage.

Ouverture de la pince de maintien de rotules pour les glisser facilement sur leur barre.

 

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Les nouvelles rotules en place.

 

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Réfection de la casserole filtre à air.

Rien que du grattage et remise peinture.

Les plastiques sont nettoyés à fond et passé à la peinture vinylique noire. C’est ce qui donne le meilleur résultat à ma connaissance sur ce genre de matière.

 

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Récupération des sièges après re-garnitures.

Je sais que beaucoup changent le modèle plutôt que de re-garnir, car les sièges d’origine BJ n’offrent pas, il est vrai, un soutient de qualité.

Mais ce changement a surtout un intérêt pour la pratique du hors piste sportif.

J’ai choisi de garder l’origine (enfin, remise en état … quand même) par intérêt «collection» et aussi car même si ce Bj ira dans les bois pour travailler, il ne fera pas de hors piste sportif.

 

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Les bandes de feutrines sous réservoir sont recollées sur la tôle pare boue , elle aussi revenue du sablage métallisation .

 

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Pour ce qui est des sangles métalliques garnie de caoutchouc qui maintiennent les réservoir modèle «sous la caisse», la grande existe encore (enfin … l’année passée), mais plus la petite.

J’ai donc récupéré le caoutchouc, grattage et Tix débarrasser de sa rouille incrustée.

Et puis recopiage au neuf de la sangle métallique courte.

 

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Partir d’une bande de tôle de 2 mm d’épaisseur sur 40 mm de large.

Pliage pour recopier l’origine.

 

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Elaboration des renforts d’extrémité en tôle, également 2 mm par pliage.

 

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Et remise en place par soudure en bouchon.

 

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Voilà qui est fait

 

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Invité §Elf008hd

Bravo Bernard pour ce travail de qualité !!

La saison de slalom reprend bientôt ?

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Invité §ter141aj

Du Caviar ce topic!

 

 

 

Effectivement, tres bon topic, pour un vehicule qui le merite!

 

 

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Invité §vig486db

bon boulot, moi qui pensait que seules les Rolls étaient faites à la main!!

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Pose du châssis sur les ponts.

Rien de spécial, tout est d’origine. Et la manœuvre ne présente pas de grosses difficultés du moment qu’on a un palan.

 

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Ne pas oublier de passer le pont en cours de montage dans les lames de ressorts ….

Ca nous est arrivé à mon beau père et moi … on s’est retrouvé devant les deux lames bien montées … puis …..m ………… on a oublié le pont … :lol:

 

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La réfection du circuit de frein

 

 

Les étriers avant et tambours de freins arrières avaient déjà été remis en état ( cfr vues ci plus haut ) , reste donc le circuit proprement dit .

 

Le circuit part en deux durite métallique émergeant du maître cylindre, une avant et une arrière. Ces deux durites métalliques forment un large serpentin « ressort » , permettant quelques mouvements minima puisque le maître cylindre est solidaire de la caisse alors que les raccords coude , étape suivante du circuit , sont fixés au châssis .

Il fut nécessaire de recopier les serpentins en durite à frein, car les origines étaient tellement corrodées dans leur partie basse coté châssis, qu’ils se sont effrités au démontage.

 

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Le circuit avant entre G et D courant le long du pont a du être refait aussi bien entendu … l’entièreté du circuit à vrai dire.

 

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Notez oublier les formes en U vers le bas que décrit le trajet du circuit, pour laisser libre les point de contact des butée de talonnage sur le pont.

 

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Pour la fabrication des circuits, toujours la même procédure : durite métallique à circuit de frein (acier « feuilleté » en couche circulaires concentrique et cuivré en surface – enfin il s’agit d’une qualité spécifique et remplaçable par rien d’autre)

Disposition de la nippe. Ici un nippe en M10x100, très courante, pas seulement sur Toyota.

 

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Et réalisation d’un évasement à l’aide de l’appareil ad hoc.

Mesure de la longueur utile de durite.

 

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Création de l’évasement par pression de la vis moule.

 

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Puis un coup de cône pour la convexité puisque le montage doit être « male – concave» dans ce cas ci.

 

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A noter une particularité : un départ de pression « avant » part vers le limitateur situé à l’arrière, et déclenche l’ouverture du circuit frein arrières au delà d’une certaine pression avant. D’où les raccords coude à deux voies pour l’arrière (entrée –sortie) mais à trois voies pour l’avant (entrée- sortie frein avant – sortie limitateur arrière)

 

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Invité §Elf008hd

Superbe travail Bernard, pour changer tient !!

Je sens que je vais venir te voir quand il sera terminé !!

La caisse en est où ?

 

MP sur le forum 104 ;)

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Invité §Ciu576cf

Je ne me lasse pas de venir regarder les évolutions de cette restauration précise et professionnelle. Moi qui suis un complet néophyte, je suis admiratif de tant de précision et de passion. Bravo. Je viens d'acheter un BJ 46 avec un hard Top, connaissez vous une adresse pour acheter une toile de soft top??

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Invité §la 048iG

Bonjour,

J'ai récupérais (d'un ami qui n'as pu le finir... ) la restauration d'un bj 42. Refait au niveau du châssis et de la mécanique, je continu la restauration au niveau de la carrosserie fortement corrodée mais surtout déjà grossièrement restauré avec mastic et cornière !!!.Je prends donc plutôt l'option caisse alu, j'ai repérai le carrossier http://www.teseven.com/content/view/1/2/lang,fr/ le produit me semble assez proche de l'origine, même les rainures dans la benne. Il y a aussi le préparateur belge qui importe des caisses et pas mal de pièces http://www.4x4extreme.be/12-bj40-piecesca/index.html .Quel option as tu pris?.

 

Pour finir, je te félicites en premier lieu pour ta restauration qui est d'un niveau de qualité exceptionnel, et en deuxième la précision de ton reportage de ce travail, bon courage pour la suite.

 

Dominique.

 

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Voici le limitateur dans l’état où il se trouvait … à refaire de A à Z en fait.

 

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Heureusement, Toyota fournit toujours le kit réparation pour ce limitateur et les articulation du ressort en z qui le relie , qui sont ici fortement

sclérosées

 

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La tôle de maintien du limitateur au châssis est fortement corrodée et trouée par place .

Il faudra donc la recopier.

 

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Démontage des articulations de ressort , repousser le caoutchouc , sans le ménager forcément puisque le kit de réparation en contient un jeu de neufs .

 

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L’articulation est assez simple : deux rondelle de téflon emboîtées dans le retour du ressort et une busette centrale pour serrer le tout sans écraser.

 

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Voici le dispositif démonté.

 

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Les dégâts sur la tôle de support … en fait la tôle est tellement amincie qu’elle crique …

 

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Une tôle de même forme est donc réalisée ( 15/10 mm)

 

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Les mêmes pièces mais avec les rondelles téflon et busettes neuves et tôle support et ressort revenu du sablage métallisation et thermo laquage.

 

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Remontage des articulations

 

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Voilà qui est fait

 

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Puis la mise en place sur le châssis

 

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Et le reste du circuit vers l’avant

 

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Je ne me lasse pas de venir regarder les évolutions de cette restauration précise et professionnelle. Moi qui suis un complet néophyte, je suis admiratif de tant de précision et de passion. Bravo. Je viens d'acheter un BJ 46 avec un hard Top, connaissez vous une adresse pour acheter une toile de soft top??

 

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Remise en état de l’alimentation en carburant.

 

 

Quelques éléments, jauge, puisard, mise à l’air avec les petits tuyaux … le tout bien entamé par une corrosion féroce.

 

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Le réservoir est simplement remplacé par un neuf puisque l’ancien était troué franchement par endroit.

La jauge est également simplement remplacée … puisqu’elle existe encore en neuve.

Mais le reste des éléments n’est plus fourni. Il s’agit donc de les recopier.

Ici les tuyaux de mise à l’air.

Cassés à raz de durites au démontage avec la rouille obstruant la lumière restante et les écaille de rouille restant dans la durite caoutchouc …. Le tableau complet de la corrosion stade terminal quoi …

Recopiage donc …

 

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Voilà qui est fait

 

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L’entonnoir de prise d’air pour le ventilateur habitacle.

C’est une pièce qui ne se trouve pas sur la plupart des caisses neuves . Pas sur les caisse polyester que j’ai vues et sur la Teseven que j’ai à ma disposition en tout cas .

Ici découpée au burin à tôle en 3 minutes (- 10° et neige dehors et pas de courant , où se trouve l’ancienne caisse :lol)

 

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Et séparation des deux pièces par dépointage au foret à dépointer 8 mm , à l’aise , au chaud dans l’atelier … non mais … :lol:

 

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Les morceaux de mousse casquette de tableau de bord partie inférieure …

Les trous carrés de la caisse d’origine sont plutôt difficile à reproduire, ils sont prévus pour accueillir des pinces en métal ressort … trous carrés à calibrer au dixième de mm près donc. Pas l’idéal à reproduire à la lime carrée.

 

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Solution imaginée : les trous carré de la caisse d’origine seront remplacé sur la caisse Teseven par des trous ronds ordinaires d’environ 8 mm et les tututes émergeant des mousses de casquette de tableau de bord sont filetés M5 … un écrou à jupes les retiendra au montage , l’accès par dessous le tableau de bord n’est pas très difficile de toute façon .

 

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Sur la large casquette supérieur , la situation est plus simple , la fixation est assurée par de simple vis .

 

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Séchoir à pédale … il s’agit bien d’un séchoir pour y disposer les pédales une fois repeintes … et non un séchoir muni de pédale actionnant une soufflerie quelconque … :lol:

 

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Une étape à laquelle il faut s’attendre après le passage du châssis à la métallisation et thermo laquage : le re-taraudage.

 

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Recopiage des patte de maintien de durite à frein .. l’avant était encore en état , mais l’arrière , comme le reste des freins arrières avait disparu dans un congloméra de rouille.

 

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Invité §zam102tC

C'est un cours pur et simple de mécanique par un maitre en la matière. Chapeau, on ne lasse pas, vivement la suite.

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Suite de la réfection du treuil mécanique .

 

Les différents éléments avaient étés démontés dans les pages précédentes de ce topic , grattés et repeint pour la partie carter de treuil proprement dite avec la vis sans fin ( que je n’ai pas démontée puisque bourrage intact , aucun jeu , aucune fuite ) et envoyés au sablage, métallisation et thermolaquage pour les autres éléments , avec protection des portées en bronze ( deux grosses rondelles de carrosserie de part et d’autre , maintenue par un boulon traversant )

 

 

 

Voici les éléments réunis sur une vue , sauf arbre de transmission du mouvement depuis la prise de force .

Comme exposé plus haut , les intérieurs de rouleaux ont étés recopiés sur l’origine , au tour , mais en acier inoxydable .

 

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Le remontage peut débuter .

Ré-enfiler sur l’axe de poignée de commande dans l’ordre : le ressort , le bas d’étrier de patin frein , le corps de coté de treuil , le haut d’étrier de patin frein , la poignée proprement dite .

 

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La poignée est immobilisée par une goupille rigide simple .

 

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La mini plaquette de frein qui sert à ralentir-immobiliser le tambour à câble du treuil est fixée à l’aide de deux simples vis M6 à tête fraisée . Il faut que suffisamment de matière de plaquette surpasse le plan des tête de vis bien sûr ..

 

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Remise en place du tambour sur l’axe principal . Un peu dur , il n’y vraiment pas de jeu . Graisser l’axe bien sûr, mais même bien lubrifié , ça ne rentre pas encore facilement .

 

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Poser les deux clavettes dans leurs logements creux sur l’axe et renfiler le crabot .

 

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Puis le coté droit avec la poignée de commande . Ne pas oublier de mettre les deux petits ergots de la poignée dans la gorge du crabot .

 

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Voilà le corps à peu près remonté

 

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Remonter un des deux support à rouleaux sans trop le serrer , avec d’abord le rouleau inférieur , sur la traverse support avant .

 

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Puis le rouleau supérieur .

 

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Refermer les rouleaux horizontaux en montant le deuxième support à rouleau et enfiler les rouleaux verticaux .

 

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Terminer par la traverse support arrière . Sans oublier la patte trouée qui maintien la poignée de commande en position «craboté» ou «décraboté» .

 

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Voilà le treuil prêt au remontage sur le châssis .

 

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Suite de la réfection du treuil mécanique.

 

 

Voici le treuil posé sur son emplacement , positionné ,

 

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Mais pas fixé définitivement , car l’arbre de transmission devra encore être monté avec un vrai cardan ... sur cette vue il n’est que positionné pour avoir une idée de comment les pièces se présentent .

 

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L’arbre de transmission du mouvement vers le treuil doit bien sûr être reconditionné également . Plus que reconditionné à vrai dire … car mon BJ n’était pas équipé à l’origine .

Il a donc fallut chercher en occasion un arbre .. et créer ce qui manquait .

Un palier (ou deux) supporte le mouvement de l’axe . Ici j’ai le modèle à un seul palier .

Démontage . Une vis M10 x125 retient le demi cardan sur l’axe .

 

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Le demi cardan déposé , il faut encore déloger la clavette en demi lune … bien acrochée à sa gorge , pas facile de l’extraire .

 

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L’ancien bourrage qui devait être en feutrine ? est tombé presque tout seul au démontage , suivi du circlip de maintien , tellement corrodé que je n’ai pu déterminer s’il s’agissait d’un circlip simple ou autre chose à vrai dire …. Mais il semblait bien exister une gorge , que j’ai rectifiée au tour pour y loger un vrai circlip ultérieurement de toute façon

 

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L’ancien roulement est chassé … il était tellement attaché à sa portée que lors de la scéance à la presse , il a préféré casser que de venir en un seul morceau , mais peu importe , une fois fendu , tous les morceaux sont tombé d’un coup .

Ici avec le morceau de tube du bon diamètre pour servir d’appui , la poussée de la presse ayant lieu par l’autre coté bien entendu .

 

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Puis retrait des cabochons en bronze du croisillon , chassé au jet vers l’intérieur .

Une fois le premier cabochon sorti de sa portée , il est possible de déloger le croisillon proprement dit . Le deuxième cabochon de bronze est alors repoussé .

 

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Les vieux cabochons sont remis sommairement en place en vue de protéger leur portée lors du sablage, métallisation et thermolaquage

 

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J’ai pu me procurer d’occasion plusieurs partie d’arbre de transmission pour ce treuil … mais pas de bonne longueur . Modèle plus récent ou modifié ? (inscription « KJ » ou « LJ » à la craie sur une des pièce en tout cas ) je ne sais pas , mais l’arbre était trop court de 11 cms environ . Je récupère donc la partie cannelée , simplement emboîtée soudée au bout de l’arbre.

 

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Puis alignement de la rallonge grâce à une cornière en L

 

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Pointage

 

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Soudure .. en profondeur . Voilà qui est fait .

 

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Invité §k-h572EF

j'ai lut ton sujet depuis le début et je doit avouer que tu as beaucoup de courage, tu fait un trés trés bon et beau travail.

 

bonne continuation ;)

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Remontage de l’arbre de transmission de mouvement du treuil.

 

 

 

 

 

 

Après récupération des pièces au sablage thermolaquage …

Les portées de cabochons en bronze avaient donc étés protégées par les vieux cabochons et les cannelures avec quelques collier type Serflex … leur retrait est relativement aisé , mais il faut perfectionner un peu partout avec une petite lame solide et coupante car la couche de métallisation – thermolaquage est grimpée un peu partout sur les bords de portées et début de cannelures .

 

 

 

Vues éclatées des composant du croisillon . Cabochon bronze , croisillon proprement dit avec son graisseur à visser (M6 légèrement conique pour être hermétique) et les joints toriques caoutchouc à monter (comme déjà deux d’entre les 4) sur les axes de croisillons.

Ces joints toriques retiennent quelque peu la graisse quand on en injecte par le graisseur… enfin si on n’insiste pas trop .. car alors les joints font « pop » et la graisse s’échappe en brusque jet .. :lol: il faut alors rembourrer tant bien que mal le joint à sa place ..

 

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Les cabochons bronze sont replacés deux à deux par exemple de cette manière :

 

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La fin de la progression est aidée par interposition d’un poussoir du bon diamètre , une douille par exemple , pour pousser le cabochon plus bas que la surface de la main de croisillon .

 

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De façon à pouvoir disposer le circlip de maintien dans sa rainure .

 

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Voici le cardan remonté .

 

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Les composants du palier de soutient de l’arbre .

Essentiellement les deux bourrages et le roulement . Puis vis de maintien , tôle à mater , et circlip .

 

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Le roulement est posé en premier . Avec le roulement SKF utilisé , pas besoin de presse … juste un poil de graisse et le voilà au fond du logement à la main .

Retenu par le circlip de maintien .

 

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Pose des bourrages petit et grand coté .

 

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Et le palier et replacé sur sa portée en bout de demi arbre avant .

 

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Création d’un moule pour sertir les serre cable , modèle alliage déformable .

Ici montage à blanc , juste pour être sûr que tout rentre bien …

 

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La pièce tournée dans une bille d’acier .

 

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Puis sertissage proprement dit à la presse .

 

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Voilà qui est fait

 

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Invité §gui310bw

du super boulot dans les regles de l'art bravo a toi je me lasse pas de voir ce topic :love:

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Invité §Pa-713Qy

Remontage de l’arbre de transmission de mouvement du treuil .

 

 

 

 

 

 

Après récupération des pièces au sablage thermolaquage …

Les portées de cabochons en bronze avaient donc étés protégées par les vieux cabochons et les cannelures avec quelques collier type Serflex … leur retrait est relativement aisé , mais il faut perfectionner un peu partout avec une petite lame solide et coupante car la couche de métallisation – thermolaquage est grimpée un peu partout sur les bords de portées et début de cannelures .

 

 

 

Vues éclatées des composant du croisillon . Cabochon bronze , croisillon proprement dit avec son graisseur à visser (M6 légèrement conique pour être hermétique) et les joints toriques caoutchouc à monter (comme déjà deux d’entre les 4) sur les axes de croisillons.

Ces joints toriques retiennent quelque peu la graisse quand on en injecte par le graisseur… enfin si on n’insiste pas trop .. car alors les joints font « pop » et la graisse s’échappe en brusque jet .. :lol: il faut alors rembourrer tant bien que mal le joint à sa place ..

 

http://www.bellapix.com/STORAGE2/BELLAPIX/ALBUMS/USER49/USER4962/USER4962023f961f2/images/DSCN8417.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les cabochons bronze sont replacés deux à deux par exemple de cette manière :

 

http://www.bellapix.com/STORAGE2/BELLAPIX/ALBUMS/USER49/USER4962/USER4962023f961f2/images/DSCN8419.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La fin de la progression est aidée par interposition d’un poussoir du bon diamètre , une douille par exemple , pour pousser le cabochon plus bas que la surface de la main de croisillon .

 

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De façon à pouvoir disposer le circlip de maintien dans sa rainure .

 

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Voici le cardan remonté .

 

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Les composants du palier de soutient de l’arbre .

Essentiellement les deux bourrages et le roulement . Puis vis de maintien , tôle à mater , et circlip .

 

http://www.bellapix.com/STORAGE2/BELLAPIX/ALBUMS/USER49/USER4962/USER4962023f961f2/images/DSCN8412.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le roulement est posé en premier . Avec le roulement SKF utilisé , pas besoin de presse … juste un poil de graisse et le voilà au fond du logement à la main .

Retenu par le circlip de maintien .

 

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Pose des bourrages petit et grand coté .

 

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Et le palier et replacé sur sa portée en bout de demi arbre avant .

 

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Création d’un moule pour sertir les serre cable , modèle alliage déformable .

Ici montage à blanc , juste pour être sûr que tout rentre bien …

 

http://www.bellapix.com/STORAGE2/BELLAPIX/ALBUMS/USER49/USER4962/USER4962023f961f2/images/DSCN8405.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La pièce tournée dans une bille d’acier .

 

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Puis sertissage proprement dit à la presse .

 

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Voilà qui est fait

 

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Rien a dire. Chapeau

 

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Séchoir à arbre de transmission grattés et repeints.

 

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Démontage du porte roue . Pas facile , les axes sont soudés dans leur logement par la rouille . Après chauffe , ils viennent .. pas facilement , mais ils viennent .

 

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Les rondelles en nylon anti friction d’origine étaient de toute façon en très mauvais état , et les axes usés dans leur partie pivotantes .

 

Les axes sont donc rectifiés à leur diamètre utile au tour .

 

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Puis élaboration de pièces de rechange sur mesure .

 

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Et remplacement des rondelles et nylon de l’origine par des pièce en bronze .

 

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Réalisation des pièces en bronze

 

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Montées

 

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Le porte roue après réfection , sablé , métallisé , thermolaqué.

 

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Installation de la caisse Teseven

 

 

Il s’agit ici d’une installation provisoire afin de monter à blanc tous les éléments rapportés de carrosserie , tringle, attaches … enfin tout ce qui s’accroche sur la caisse quoi . Ceci afin de donner les coups de marteau et coup de pince à tôle nécessaire avant l’étape peinture .

 

 

Premier positionnement .

Les support de caisses tombent à peu près au bon endroit naturellement , tout peut bien sûr varier d’un couple châssis- caisse à l’autre .

 

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Dans mon cas , pour que la caisse tombent parfaitement bien partout sur ses support et dans l’axe du châssis , j’ai du fixer solidement l’arrière et pousser quelque peu l’avant de la caisse vers la droite . La forme de la traverse arrière s’est alors légèrement modifiée d’un coté , disons qu’au lieu d’être strictement triangulaire elle est devenue très légèrement trapézoïdale … mais au moins la caisse est alors au milieu du châssis et pas déportée sur la gauche . C’est quand même nettement plus logique et joli .. et de cette manière , les évents et ailes avant tombent bien , sans cette poussée , il y avait un décalage d’environ 2 cms .

 

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Les formes de la tôle d’origine sont particulièrement bien reproduites sur les caisses Teseven , c’est à souligner .

 

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Les supports avant de caisse sont simplement à percer . En les perçant par le dessous on tombe automatiquement au bon endroit dans la caisse .

 

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Les supports de milieu de caisse également , même technique de perçage par le dessous .

Les arrières sont également percés par le dessous mais une entretoise de serrage est à mon avis nécessaire afin de ne pas déformer la traverse en serrant .

 

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Le trou avec de part et d’autre deux rivets retenant une large et forte rondelle ( à l’intérieur de la traverse , glissée garnie de colle à carrosserie par l’extrémité de la traverse au bout d’un aimant articulé ) afin de renforcer l’endroit .

 

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J’ai donc crée cette entretoise en aluminium , pièce simplement tournée dans un premier temps .

 

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Puis une encoche est réalisée à la fraiseuse afin que l’entretoise rentre parfaitement à son emplacement .

 

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Les quatre petits sillent bloc de caisse posant sur la châssis sans le traverser avaient été repérés lors du montage à blanc de la caisse par un trait au feutre .

 

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Quatre busettes an aluminium sont tournées au diamètre de l’intérieur du sillent bloc

 

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Et creusées au centre pour accueillir la tête d’une vis à tête halène ,

 

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Afin de le maintenir le sillent bloc en place

 

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Quelques pièces rapportées sont récupérée sur l’ancienne caisse d’origine , peu , les caisses Teseven on déjà pas mal de support et attaches par rapport au autres qui existent sur le marché .

Au nombre des machins à récupérer il y a eu la tôle de liaison entre grille d’entrée d’air latérale et ventilateur habitacle . Cfr plus haut .

 

Et ici les support de témoins d’ouverture de porte et les renforts d’attache de capots .

Pour un BJ 42 … ce sont là les seules récupérations nécessaires . Le reste se trouve déjà sur la caisse neuve .

 

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Lors du remontage séparer l’acier de la petite pièce d’origine de l’aluminium de la caisse ( si elle est en aluminium .. ) par au minimum une sérieuse couche de peinture épaisse .. idéalement même par un mince film plastique ou caoutchouc , afin d’éviter le phénomène d’électrolyse spontanée entre les deux métaux .

 

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Les caisses Teseven on déjà de nombreux trous pré – percé , et ils sont au bon endroits .. c’est à souligner … :lol: notamment ceux de la direction , ici montée à blanc .

 

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Néanmoins il faut encore réaliser certaines fixations

 

 

Trappe à carburant

 

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Avec par exemple des inserts filetés identiques à ceux qui équipent déjà la caisse à pas mal d’endroits telle que livrée .

 

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Trous pour les mousses de tableau de bord .. si on les remonte

 

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Fixation de la tôle de renfort de casquette de tableau de bord (fournie par Teseven) si on la replace.

 

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Attache de couvercle boite à gant

 

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