Mes Vitrines à Moi que j'ai

[Invité §lan740Gb]

En 1998, un engagement d'office récompense la victoire en GT2 aux dernières 24 Heures de cette écurie basée à St Sulpice près de Lausanne. Une véritable aubaine que n'a pas laissé passer 3 gentlemen-drivers débarassés de l'opération toujours délicate des préqualifications.

 

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Tout est parti d'une initiative d'Hervé Poulain, le plus prompt à saisir la possibilité existante chez Haberthur. Comme il le fait régulièrement, le commissaire-priseur le plus rapide de France a non seulement trouvé 2 équipiers, mais aussi associé un artiste à son projeet de décoration de la voiture. Cette année, c'est Georges Wolinski qui a été chargé de l'opération.

 

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Les 2 autres pilotes sont Eric Graham, homme d'affaires pur produit de la filière Venturi, et Jean-Luc Maury Laribière, lui aussi issu de ce groupe de gentlemen-drivers venu au niveau international à partir du Venturi Trophy. Contrairement à l'autre 911, l'équipe Haberthur a inscrit la #68, plus ancienne, en catégorie 1150 kilos afin de disposer de brides de 34,7 mm.

 

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C'est Graham qui réalise le meilleur temps de notre 911, mais ses 4'23"655 qualifient la voiture en dernière ligne. Le début de course se passe cependant sans le moindre soucis et après 4 heures de course, notre Porsche a déjà doublé 12 concurrents dont cinq 911 GT2.

 

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La nuit se passera aussi sans problème et même si la Porsche est signalée au ralenti à 6 H 45 le dimanche matin du côté de Mulsanne, la roue arrière gauche crevée responsable de l'incident n'endommage ni la carrosserie ni son classement.

 

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Hélas, la suite du dimanche va être beaucoup moins sereine. Depuis midi, un bruit lancinant à l'arrière droit alerte l'équipage. Jean-Luc Maury Laribière ne veut pas croire qu'après 2 non-qualifications successives, il pourrait abandonner si près de la ligne d'arrivée....

 

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Après une 23° heure réduite à 7 tours couverts, il faut se résoudre à opérer. Cardan, boîte, transmission, tout va être vérifié soigneusement avant de relancer Eric Graham en piste. Il est 13 H 53 et ce sera le 268° et dernier tour de notre 911. Comme en 77 et 78, Hervé Poulain va emmener une de ses oeuvres d'art jusqu'à l'arrivée, arrachant une belle 20° place au général et 6° en GT2.

 

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Un immense merci à Don Tonio de la Ciudad del Dios sans qui cette Wolinski n'aurait jamais vu le jour

 

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Modèle Vitesse

 

pas mal , voiture à posseder absolument à mon avis

 

comme je marche comme Nöel j'en ai profité pour sortir le kit Provence Moulage de cette voiture

 

à bientôt

 

Gérard

[gennaro1]

En 1987, l'équipe championne du Monde en titre, sacrée devant les teams officiels Porsche ou Jaguar, est le Brun Motorsport. Mais pour les 24 Heures, l'équipe présente deux voitures louées à des équipages étrangers au Brun Motorsport.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p10.jpg

 

La #1 concerne 3 français, Paul Belmondo, Michel Trollé et Pierre de Thoisy, qui avec l'aide de nombreux sponsors annoncent bien avant le pesage viser rien moins que le podium. Programmme ambitieux pour des pilotes dont l'expérience au Mans se résume à une seule participation pour Belmondo ou Trollé, soit à des machines de moindre puissance pour de Thoisy.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p11.jpg

 

La mécanique de la 962C du Brun Motorsport est directement préparée au service compétition Porsche mais la présence de pneumatiques Michelin a entraîné quelques modifications du côté des suspensions. Sur la balance, notre #1 avec ses 907 kilos se situe dans le poids moyen des 962C.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p12.jpg

 

Il a fallu patienter une bonne heure avant de voir notre Porsche en piste le mercredi. L'attente était due non à des caprices de star mais au team manager Gilles Gaignault qui a du fournir à Walter Brun les ultimes apaisements financiers souhaités et désirés...Point d'argent, point de voiture. Walter Brun est un bon suisse.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p13.jpg

 

Faute d'être venu le 17 mai pour les essais préalables, et du fait des conditions météo, notre belle verte se retrouve reléguée au 27° rang sur la grille de départ, précédée même par deux C2. En 3'44"31, Paul Belmondo se révèle le plus rapide du trio.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p14.jpg

 

Heureusement, après une heure de ronde et les déboires de Joest et de Kremer, notre Porsche se retrouve en 8° position. Mais très vite des problèmes de tenue de route vont venir entraver la marche en avant de la 962C qui se retrouve au milieu des Tiga, à 7 tours des leaders.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p15.jpg

 

Déjà handicapée par une tenue de route assez précaire, la 962C se révèle encore plus délicate à conduire sur le mouillé. Et c'est sur sortie de route qu'à 22 H 40, la #1 vient s'ajouter aux 14 abandons recensés. Pour Gilles Gaignault et ses poulains, c'est la grosse déception car jamais la belle verte n'a donné l'impression de pouvoir jouer les seconds rôles.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p16.jpg

 

A vrai dire, je me suis complètement planté en achetant cette Porsche car je voulais la Leyton de chez Kremer et me suis retrouvé avec la Lui du Brun Motorsport. Abus de rosé-pamplemousse sans doute. Mais c'est pas grave, elle est bien jolie elle aussi.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p17.jpg

 

Modèle Spark.

[triceratops]

En 1987, l'équipe championne du Monde en titre, sacrée devant les teams officiels Porsche ou Jaguar, est le Brun Motorsport. Mais pour les 24 Heures, l'équipe présente deux voitures louées à des équipages étrangers au Brun Motorsport.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p10.jpg

 

La #1 concerne 3 français, Paul Belmondo, Michel Trollé et Pierre de Thoisy, qui avec l'aide de nombreux sponsors annoncent bien avant le pesage viser rien moins que le podium. Programmme ambitieux pour des pilotes dont l'expérience au Mans se résume à une seule participation pour Belmondo ou Trollé, soit à des machines de moindre puissance pour de Thoisy.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p11.jpg

 

La mécanique de la 962C du Brun Motorsport est directement préparée au service compétition Porsche mais la présence de pneumatiques Michelin a entraîné quelques modifications du côté des suspensions. Sur la balance, notre #1 avec ses 907 kilos se situe dans le poids moyen des 962C.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p12.jpg

 

Il a fallu patienter une bonne heure avant de voir notre Porsche en piste le mercredi. L'attente était due non à des caprices de star mais au team manager Gilles Gaignault qui a du fournir à Walter Brun les ultimes apaisements financiers souhaités et désirés...Point d'argent, point de voiture. Walter Brun est un bon suisse.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p13.jpg

 

Faute d'être venu le 17 mai pour les essais préalables, et du fait des conditions météo, notre belle verte se retrouve reléguée au 27° rang sur la grille de départ, précédée même par deux C2. En 3'44"31, Paul Belmondo se révèle le plus rapide du trio.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p14.jpg

 

Heureusement, après une heure de ronde et les déboires de Joest et de Kremer, notre Porsche se retrouve en 8° position. Mais très vite des problèmes de tenue de route vont venir entraver la marche en avant de la 962C qui se retrouve au milieu des Tiga, à 7 tours des leaders.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p15.jpg

 

Déjà handicapée par une tenue de route assez précaire, la 962C se révèle encore plus délicate à conduire sur le mouillé. Et c'est sur sortie de route qu'à 22 H 40, la #1 vient s'ajouter aux 14 abandons recensés. Pour Gilles Gaignault et ses poulains, c'est la grosse déception car jamais la belle verte n'a donné l'impression de pouvoir jouer les seconds rôles.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p16.jpg

 

A vrai dire, je me suis complètement planté en achetant cette Porsche car je voulais la Leyton de chez Kremer et me suis retrouvé avec la Lui du Brun Motorsport. Abus de rosé-pamplemousse sans doute. Mais c'est pas grave, elle est bien jolie elle aussi.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1987_p17.jpg

 

Modèle Spark.

 

Salut Gennaro,

petit truc qui m'intrigue sur cette superbe Brun Motorsport : les phares jaunes d'un coté, blancs de l'autre !

Les assembleurs de Spark seraient-ils aussi accrocs au rosé pamplemousse ?

[pesca 33]

non système utilisé chez Brun pour que les panneauteurs repèrent leurs voitures également utilisé chez Nissan en 1986

pour les Brun 1986 la 1 phare droit jaune la 2 les deux optiques jaunes me semble t il et la 3 l' otique gauche

[Invité §amo123JS]

Bonjour Hugues,

 

Belle la LUI et Paul sympa cette Porsche.

 

C'est juste tricé un coté jaune un coté blanc mais c'est reel va voir sur le site lemans-history

 

A+Chris

 

 

[triceratops]

non système utilisé chez Brun pour que les panneauteurs repèrent leurs voitures également utilisé chez Nissan en 1986

pour les Brun 1986 la 1 phare droit jaune la 2 les deux optiques jaunes me semble t il et la 3 l' otique gauche

 

Punaise jamais remarqué ! J'en apprends tous les jours sur ce site !!

[grosnono]

Punaise jamais remarqué ! J'en apprends tous les jours sur ce site !!

 

 

 

 

tu n'es pas le seul

[Invité §amo123JS]

Exact ,le coup des phares je savais pas,et l'info est de pesca jennaro doit etre a l'apero en ce moment. comme moi

 

Je suis pas tres fan des 956 et 962,mais les decos de certaines comme la Lui,ou la Boss entre autres sont des modeles que j'aimerais bien posseder.

 

A+

[DJEMBE77]

Jolie voiture

et en + sponsorisée par de jolis châssis

[pesca 33]

Jolie voiture

et en + sponsorisée par de jolis châssis

 

c' est vrai que

http://img4.hostingpics.net/pics/594834LuiFillesjpg.jpg

mais il n' y avait pas une seule hotesse en 1986 :q

[DJEMBE77]

c' est vrai que

http://img4.hostingpics.net/pics/594834LuiFillesjpg.jpg

mais il n' y avait pas une seule hotesse en 1986 :q

 

 

a mon age

 

[Phicanam]

La preuve en image

 

[gennaro1]

En 1997, la C41 n'a qu'une très courte histoire mancelle. Mais la nature de son engagement cette année là va vite lui donner un passé. En effet, dès la fin avril, Yves Courage parle de Courage-Vaillante tout simplement parce que Jean Graton a décidé de faire coïncider la sortie de son dernier album avec la présence d'une voiture portant le fameux numéro 13.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7210.jpg

 

Du coup, la manoeuvre dissocie totalement les C36 de la C41 dont l'originalité est de recevoir pour la première fois une mécanique Porsche. Le flat 6 est préparé au Mans dans les ateliers Courage t il ne restait plus qu'à trouver un équipage correspondant à l'image de sérieux et de panache qu'inspire Michel Vaillant. Les 3 heureux sont donc Jérôme Policand, Didier Cottaz et le belge MArc Goossens.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7211.jpg

 

Un équipage homogène au niveau des participations puisque chacun d'entre eux ne compte qu'un départ et en 1996 de surcroît. Le dimanche 4 mai, alors que le paddock a du mal à se remettre du tragique accident de Sébastien Enjolras mort la veille sur sa WR #2, Didier Cottaz assure en 3'47"361 que le #13 sera bien au départ.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7212.jpg

 

Aux essais, avec un 3'47"662, Policand assure une place en 3° ligne tandis que la pole est arrachée par Michele Alboreto en 3'41"581. En début de course, notre Vaillante concède certes un peu de terrain à chaque tour mais Cottaz-Policand-Goossens se maintiennent dans les 10 premiers. Solides seconds en catégorie prototype après avoir nettement distancé la Ferrari Momo, ils se retrouvent au milieu des 911 GT1 privées, des Mc Laren et des Nissan R390.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7213.jpg

 

Mais alors que tout allait bien à bord, notre Courage-Vaillante refuse de repartir à l'issue d'un ravitaillement de routine. Mystères de l'électronique...Arrêtée à 23 H 07, elle ne resort de son stand qu'à 0 H 14. De quoi se retrouver créditée de 2 tours durant cette 8° heure. Le pire c'est que, reléguée en 19° position, la C41 reste la mieux placée des autres Courage...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7214.jpg

 

Les évènements de la fin de course vont bien sûr déblayer le terrain mais Cottaz-Policand-Goossens ont su trouver la régularité et les ressources nécessaires pour déborder à 37 minutes du drapeau à damiers la Porsche de Lamy-Goueslard-Hahne, prenant ainsi la 4° place au général.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7215.jpg

 

C'est un grand réconfort pour Yves Courage car les C36 commencent à vieillir et la C41 semble constituer une excellente base pour les annnées à venir. Avec ses moyens, Yves Courage ne peut espérer remporter les 24 H et cette 4° place est une réelle réussite

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7216.jpg

 

Modèle Spark.

[pesca 33]

superbe modèle que j' aimerai bien acquerir un jour

[DJEMBE77]

En 1997, la C41 n'a qu'une très courte histoire mancelle. Mais la nature de son engagement cette année là va vite lui donner un passé. En effet, dès la fin avril, Yves Courage parle de Courage-Vaillante tout simplement parce que Jean Graton a décidé de faire coïncider la sortie de son dernier album avec la présence d'une voiture portant le fameux numéro 13.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7210.jpg

 

Du coup, la manoeuvre dissocie totalement les C36 de la C41 dont l'originalité est de recevoir pour la première fois une mécanique Porsche. Le flat 6 est préparé au Mans dans les ateliers Courage t il ne restait plus qu'à trouver un équipage correspondant à l'image de sérieux et de panache qu'inspire Michel Vaillant. Les 3 heureux sont donc Jérôme Policand, Didier Cottaz et le belge MArc Goossens.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7211.jpg

 

Franchement elle est superbe cette miniature

 

Un équipage homogène au niveau des participations puisque chacun d'entre eux ne compte qu'un départ et en 1996 de surcroît. Le dimanche 4 mai, alors que le paddock a du mal à se remettre du tragique accident de Sébastien Enjolras mort la veille sur sa WR #2, Didier Cottaz assure en 3'47"361 que le #13 sera bien au départ.

 

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Aux essais, avec un 3'47"662, Policand assure une place en 3° ligne tandis que la pole est arrachée par Michele Alboreto en 3'41"581. En début de course, notre Vaillante concède certes un peu de terrain à chaque tour mais Cottaz-Policand-Goossens se maintiennent dans les 10 premiers. Solides seconds en catégorie prototype après avoir nettement distancé la Ferrari Momo, ils se retrouvent au milieu des 911 GT1 privées, des Mc Laren et des Nissan R390.

 

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Mais alors que tout allait bien à bord, notre Courage-Vaillante refuse de repartir à l'issue d'un ravitaillement de routine. Mystères de l'électronique...Arrêtée à 23 H 07, elle ne resort de son stand qu'à 0 H 14. De quoi se retrouver créditée de 2 tours durant cette 8° heure. Le pire c'est que, reléguée en 19° position, la C41 reste la mieux placée des autres Courage...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7214.jpg

 

Les évènements de la fin de course vont bien sûr déblayer le terrain mais Cottaz-Policand-Goossens ont su trouver la régularité et les ressources nécessaires pour déborder à 37 minutes du drapeau à damiers la Porsche de Lamy-Goueslard-Hahne, prenant ainsi la 4° place au général.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_7215.jpg

 

C'est un grand réconfort pour Yves Courage car les C36 commencent à vieillir et la C41 semble constituer une excellente base pour les annnées à venir. Avec ses moyens, Yves Courage ne peut espérer remporter les 24 H et cette 4° place est une réelle réussite

 

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Modèle Spark.

 

 

[DJEMBE77]

un pti loupé............

MINIATURE SUPERBE

[JPG89]

 

Je serais un peu plus loquace en disant qu'elle est autant originale que jolie cette Courage (sortira-t-elle dans la collec Vaillant?),

[silverfab34]

 

Je serais un peu plus loquace en disant qu'elle est autant originale que jolie cette Courage (sortira-t-elle dans la collec Vaillant?),

 

 

Superbe modèle que je possède également..........malheureusement je crois qu'elle ne sortira pas dans la collection Vaillante qui me semble arrive à sa fin !

 

[grosnono]

je possède cette Courage , normal je suis fan de Michel VAILLANT .

 

 

[gennaro1]

Oh oh, jolie pièce Noël

[gennaro1]

En 1992, malgré les prototypes apparus dans la Sarthe en 1963 et en 1965 qui étaient en fait une coopération avec Rover, c'est la première venue d'une marque prestigieuse au Mans : BRM. Dessinée par Paul Brown, la BRM reste très classqiue d'aspect malgré un aileron arrière biplan. Son chassis et sa carrosserie sont en carbone, tandis que le V12 à 70°, double arbre à cames et 4 soupapes par cylindre, puise ses origines dans celui conçu en 73 pour les Mirage de John Wyer !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b10.jpg

 

Les 24 Heures marquent la seconde apparition de la P 351 en compétition après les débuts manqués à Silverstone : 10 couverts en 2 jours d'essais et d'insurmontables problèmes de pompe à huile. Depuis la mi-mai, l'équipe a tenté de remédier à ces ennuis, fini de construire un second V12 et retouché certains détails, mais le problème de base reste un financement insuffisant par rapport à ceux de Peugeot ou de Toyota.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b11.jpg

 

Le finlandais Hari Toivonen, fils du vainqueur du Rallye de Monte Carlo 1966 et frère du regretté Henri, est le pilote N° 1, position plus liée à l'appui de certains sponsors qu'à son expérience mancelle qui ne compte qu'une participation en 1991. Son équiper Wayne Taylor en totalise 5 et Richard Jones, l'invité du dernier moment, a découvert la Sarthe en 1978 et s'est bâti une réputation de spécialiste C2. Après le retrait de Jaguar, BRM représente les intérêts britanniques de ces 60° 24 Heures.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b12.jpg

 

Le premier tour de piste se passe le jeudi soir peu avant 22 H. Une pièce avait caasé le mercredi et il a fallu attendre puis monter les pièces de rechange. Après 6 tours chronométrés, dont le meilleur en 4'03"186 seulement, Wayne Taylor stoppe à Mulsanne, roulement de boîte cassé.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b13.jpg

 

Ainsi, Toivonen et Jones se retrouvent sans le moindre chrono et les officiels refusent toute possibilité de qualification pendant le warm-up. Du coup, le sud-africain se retrouve seul habilité à conduire la P 351. Vu les ennuis qui accablent la machine, Taylor ne devrait pas souffir trop longtemps...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b14.jpg

 

Dès le début de la course, notre BRM va couvrir 11 tours, soit 184, 96 kms. Jamais, elle n'a roulé aussi longtemps. Mais c'est trop pour elle et on retrouve Taylor arrêté au Ford à 16 H 43. Il va y passer 41 minutes pour chercher un rapport lui permettant de regagner son stand. Là, près de 4 H seront perdues à tenter de réparer une boîte qui a déjà causé bien des soucis.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b15.jpg

 

A 21 H 04, notre BRM reprend la piste et les conditions météo ne sont pas vraiment idéales ! Mais la belle verte (oui, c'est un vert très foncé mais pas noir) va furtivement prouver son potentiel.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b16.jpg

 

Alors que les 905 tournent aux environs de 4'10"-4'12", Wayne Taylor, unique pilote de la BRM, réussit 4'16"131. L'euphorie sera de courte durée car 5 minutes plus tard, lors d'un arrêt ravitaillement, un début d'incendie stoppe définitivement la P 351 à 23 H 51. Dommage pour Taylor qui espérait tenir les 8 heures autorisées.

 

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Modèle Starter.

[Invité §amo123JS]

Bonjours Hugues,

 

Je decouvre cette voiture, une BRM , nom evocateur d'une belle epoque,domage qu'il n'ont pas fait mieux, mais modele tres original aussi,et le genre proto qu'un jour j'aimerais avoir dans ma collection. "T'es sur qu'elle est verte"

 

A+Chris

[grandrobert]

En 1992, malgré les prototypes apparus dans la Sarthe en 1963 et en 1965 qui étaient en fait une coopération avec Rover, c'est la première venue d'une marque prestigieuse au Mans : BRM. Dessinée par Paul Brown, la BRM reste très classqiue d'aspect malgré un aileron arrière biplan. Son chassis et sa carrosserie sont en carbone, tandis que le V12 à 70°, double arbre à cames et 4 soupapes par cylindre, puise ses origines dans celui conçu en 73 pour les Mirage de John Wyer !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b10.jpg

 

Les 24 Heures marquent la seconde apparition de la P 351 en compétition après les débuts manqués à Silverstone : 10 couverts en 2 jours d'essais et d'insurmontables problèmes de pompe à huile. Depuis la mi-mai, l'équipe a tenté de remédier à ces ennuis, fini de construire un second V12 et retouché certains détails, mais le problème de base reste un financement insuffisant par rapport à ceux de Peugeot ou de Toyota.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b11.jpg

 

Le finlandais Hari Toivonen, fils du vainqueur du Rallye de Monte Carlo 1966 et frère du regretté Henri, est le pilote N° 1, position plus liée à l'appui de certains sponsors qu'à son expérience mancelle qui ne compte qu'une participation en 1991. Son équiper Wayne Taylor en totalise 5 et Richard Jones, l'invité du dernier moment, a découvert la Sarthe en 1978 et s'est bâti une réputation de spécialiste C2. Après le retrait de Jaguar, BRM représente les intérêts britanniques de ces 60° 24 Heures.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b12.jpg

 

Le premier tour de piste se passe le jeudi soir peu avant 22 H. Une pièce avait caasé le mercredi et il a fallu attendre puis monter les pièces de rechange. Après 6 tours chronométrés, dont le meilleur en 4'03"186 seulement, Wayne Taylor stoppe à Mulsanne, roulement de boîte cassé.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b13.jpg

 

Ainsi, Toivonen et Jones se retrouvent sans le moindre chrono et les officiels refusent toute possibilité de qualification pendant le warm-up. Du coup, le sud-africain se retrouve seul habilité à conduire la P 351. Vu les ennuis qui accablent la machine, Taylor ne devrait pas souffir trop longtemps...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b14.jpg

 

Dès le début de la course, notre BRM va couvrir 11 tours, soit 184, 96 kms. Jamais, elle n'a roulé aussi longtemps. Mais c'est trop pour elle et on retrouve Taylor arrêté au Ford à 16 H 43. Il va y passer 41 minutes pour chercher un rapport lui permettant de regagner son stand. Là, près de 4 H seront perdues à tenter de réparer une boîte qui a déjà causé bien des soucis.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b15.jpg

 

A 21 H 04, notre BRM reprend la piste et les conditions météo ne sont pas vraiment idéales ! Mais la belle verte (oui, c'est un vert très foncé mais pas noir) va furtivement prouver son potentiel.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b16.jpg

 

Alors que les 905 tournent aux environs de 4'10"-4'12", Wayne Taylor, unique pilote de la BRM, réussit 4'16"131. L'euphorie sera de courte durée car 5 minutes plus tard, lors d'un arrêt ravitaillement, un début d'incendie stoppe définitivement la P 351 à 23 H 51. Dommage pour Taylor qui espérait tenir les 8 heures autorisées.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b17.jpg

 

Modèle Starter.

 

 

 

Belle voiture d'une marque prestigieuse !

Malheureusement pas couronnée de succés....

[JPG89]

Très belle auto, et originale. On apprend beaucoup de choses ici.

 

Très bon pilote ce Harri, a couru en EuroBoss... et en Interserie je crois.

 

 

[triceratops]

En 1992, la BRM P 351

 

Encore une pure merveille, que l'on voit très peu en miniatures dans ces colonnes !

Je m'en rappelle avec émotion au Mans, même si ce fut loin d'être une réussite.

Merci Hugues de nous régaler de modèles si originaux. Celle-là, il faut que je l'inscrive sur ma liste d'emplettes, peut-être l'aurai-je un jour...

[Invité §lan740Gb]

En 1992, malgré les prototypes apparus dans la Sarthe en 1963 et en 1965 qui étaient en fait une coopération avec Rover, c'est la première venue d'une marque prestigieuse au Mans : BRM. Dessinée par Paul Brown, la BRM reste très classqiue d'aspect malgré un aileron arrière biplan. Son chassis et sa carrosserie sont en carbone, tandis que le V12 à 70°, double arbre à cames et 4 soupapes par cylindre, puise ses origines dans celui conçu en 73 pour les Mirage de John Wyer !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b10.jpg

 

Les 24 Heures marquent la seconde apparition de la P 351 en compétition après les débuts manqués à Silverstone : 10 couverts en 2 jours d'essais et d'insurmontables problèmes de pompe à huile. Depuis la mi-mai, l'équipe a tenté de remédier à ces ennuis, fini de construire un second V12 et retouché certains détails, mais le problème de base reste un financement insuffisant par rapport à ceux de Peugeot ou de Toyota.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b11.jpg

 

Le finlandais Hari Toivonen, fils du vainqueur du Rallye de Monte Carlo 1966 et frère du regretté Henri, est le pilote N° 1, position plus liée à l'appui de certains sponsors qu'à son expérience mancelle qui ne compte qu'une participation en 1991. Son équiper Wayne Taylor en totalise 5 et Richard Jones, l'invité du dernier moment, a découvert la Sarthe en 1978 et s'est bâti une réputation de spécialiste C2. Après le retrait de Jaguar, BRM représente les intérêts britanniques de ces 60° 24 Heures.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b12.jpg

 

Le premier tour de piste se passe le jeudi soir peu avant 22 H. Une pièce avait caasé le mercredi et il a fallu attendre puis monter les pièces de rechange. Après 6 tours chronométrés, dont le meilleur en 4'03"186 seulement, Wayne Taylor stoppe à Mulsanne, roulement de boîte cassé.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b13.jpg

 

Ainsi, Toivonen et Jones se retrouvent sans le moindre chrono et les officiels refusent toute possibilité de qualification pendant le warm-up. Du coup, le sud-africain se retrouve seul habilité à conduire la P 351. Vu les ennuis qui accablent la machine, Taylor ne devrait pas souffir trop longtemps...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b14.jpg

 

Dès le début de la course, notre BRM va couvrir 11 tours, soit 184, 96 kms. Jamais, elle n'a roulé aussi longtemps. Mais c'est trop pour elle et on retrouve Taylor arrêté au Ford à 16 H 43. Il va y passer 41 minutes pour chercher un rapport lui permettant de regagner son stand. Là, près de 4 H seront perdues à tenter de réparer une boîte qui a déjà causé bien des soucis.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b15.jpg

 

A 21 H 04, notre BRM reprend la piste et les conditions météo ne sont pas vraiment idéales ! Mais la belle verte (oui, c'est un vert très foncé mais pas noir) va furtivement prouver son potentiel.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b16.jpg

 

Alors que les 905 tournent aux environs de 4'10"-4'12", Wayne Taylor, unique pilote de la BRM, réussit 4'16"131. L'euphorie sera de courte durée car 5 minutes plus tard, lors d'un arrêt ravitaillement, un début d'incendie stoppe définitivement la P 351 à 23 H 51. Dommage pour Taylor qui espérait tenir les 8 heures autorisées.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b17.jpg

 

Modèle Starter.

 

très belle pièce et joliment montée d'un kit que je ne connaissai pas

 

à +

 

Gérard

[grosnono]

Je ne me souvenais pas de cette voiture , elle est superbe , elle ne doit pas être facile à trouver .

 

à toi de nous présenter des modèles originaux , j'aime bien ce genre de voiture

[pesca 33]

Magnifique celle là heureusement que tu as eu la liste avant moi sinon ........

[Phicanam]

Très belle auto, et originale. On apprend beaucoup de choses ici.

 

Très bon pilote ce Harri, a couru en EuroBoss... et en Interserie je crois.

 

Il a aussi couru en Championnat de Monde

http://www.racingsportscars.com/photo/1990/Dijon-1990-07-22-032.jpg

 

[grosnono]

Magnifique celle là heureusement que tu as eu la liste avant moi sinon ........

 

 

 

tu en as eu quelques une , qui ne sont pas mal ,

 

 

[pesca 33]

 

 

tu en as eu quelques une , qui ne sont pas mal ,

 

 

oui tout a fait et puis on a souvent les même axe de collec donc on finie par se croiser l ' Allard et la P351 me branchais mais je suis content que ce soit un copain qui les aient décrochées ceci dit heureusement qu' il a eu la liste avant moi

[Invité §phi062VV]

En 1992, malgré les prototypes apparus dans la Sarthe en 1963 et en 1965 qui étaient en fait une coopération avec Rover, c'est la première venue d'une marque prestigieuse au Mans : BRM. Dessinée par Paul Brown, la BRM reste très classqiue d'aspect malgré un aileron arrière biplan. Son chassis et sa carrosserie sont en carbone, tandis que le V12 à 70°, double arbre à cames et 4 soupapes par cylindre, puise ses origines dans celui conçu en 73 pour les Mirage de John Wyer !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b10.jpg

 

Les 24 Heures marquent la seconde apparition de la P 351 en compétition après les débuts manqués à Silverstone : 10 couverts en 2 jours d'essais et d'insurmontables problèmes de pompe à huile. Depuis la mi-mai, l'équipe a tenté de remédier à ces ennuis, fini de construire un second V12 et retouché certains détails, mais le problème de base reste un financement insuffisant par rapport à ceux de Peugeot ou de Toyota.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b11.jpg

 

Le finlandais Hari Toivonen, fils du vainqueur du Rallye de Monte Carlo 1966 et frère du regretté Henri, est le pilote N° 1, position plus liée à l'appui de certains sponsors qu'à son expérience mancelle qui ne compte qu'une participation en 1991. Son équiper Wayne Taylor en totalise 5 et Richard Jones, l'invité du dernier moment, a découvert la Sarthe en 1978 et s'est bâti une réputation de spécialiste C2. Après le retrait de Jaguar, BRM représente les intérêts britanniques de ces 60° 24 Heures.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b12.jpg

 

Le premier tour de piste se passe le jeudi soir peu avant 22 H. Une pièce avait caasé le mercredi et il a fallu attendre puis monter les pièces de rechange. Après 6 tours chronométrés, dont le meilleur en 4'03"186 seulement, Wayne Taylor stoppe à Mulsanne, roulement de boîte cassé.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b13.jpg

 

Ainsi, Toivonen et Jones se retrouvent sans le moindre chrono et les officiels refusent toute possibilité de qualification pendant le warm-up. Du coup, le sud-africain se retrouve seul habilité à conduire la P 351. Vu les ennuis qui accablent la machine, Taylor ne devrait pas souffir trop longtemps...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b14.jpg

 

Dès le début de la course, notre BRM va couvrir 11 tours, soit 184, 96 kms. Jamais, elle n'a roulé aussi longtemps. Mais c'est trop pour elle et on retrouve Taylor arrêté au Ford à 16 H 43. Il va y passer 41 minutes pour chercher un rapport lui permettant de regagner son stand. Là, près de 4 H seront perdues à tenter de réparer une boîte qui a déjà causé bien des soucis.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b15.jpg

 

A 21 H 04, notre BRM reprend la piste et les conditions météo ne sont pas vraiment idéales ! Mais la belle verte (oui, c'est un vert très foncé mais pas noir) va furtivement prouver son potentiel.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b16.jpg

 

Alors que les 905 tournent aux environs de 4'10"-4'12", Wayne Taylor, unique pilote de la BRM, réussit 4'16"131. L'euphorie sera de courte durée car 5 minutes plus tard, lors d'un arrêt ravitaillement, un début d'incendie stoppe définitivement la P 351 à 23 H 51. Dommage pour Taylor qui espérait tenir les 8 heures autorisées.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/1992_b17.jpg

 

Modèle Starter.

 

 

J'ai la même non montée dans une boîte... ainsi que sa collègue de 1997 en version ouverte. Celle-ci est plus avancée car peinte dans la bonne couleur par l'ami Claude 908...

Deux belles voitures dont on peut regretter que le degré de préparation n'ait pas été à la hauteur...

 

 

[gennaro1]

En 1969, Porsche compte sur sa nouvelle 917 pour accrocher enfin un premier succès au Mans. Toutefois si la 917 a bien explosé tous les records lors de sa première sortie au essais d'avril, sa tenue de route est si délicate que les pilotes de l'équipe officielle ne se bousculent pas pour en prendre le volant. Face à cette armada, les Ford GT 40 de l'équipe Gulf - Wyer dotées des nouvelles culasses Gurney qui permettent de délivrer environ 420 ch, peuvent tabler sur leur fiabilité et une logistique qui frise la perfection.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8118.jpg

 

Les chances des trois autres GT 40 engagées par des équipes plus modestes semblent bien plus aléatoires, de même que celles de l'unique Lola T 70 Mk IIIB à moteur Chevrolet 5 litres alignée par la Scuderia Filipinetti. Absent officiellement en 1968, Ferrari est de retour en catégorie Prototype avec deux 312 P motorisées par un V12 de 3 litres de plus de 400 ch, et ont reçu pour l'occasion une superbe carrosserie fermée.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8119.jpg

 

Encouragé par sa prestation de l'année précédente, Matra a planché sur 2 prototypes. La Matra M650, qui n’est en fait que la descendante des Matra précédemment engagées, et la Matra 640. Construite autour d’un châssis tubulaire, la M640 embarque un moteur V12 développant 430 ch. Développée en soufflerie, elle affiche un Cx inférieur à 0,25, et promet, sur le papier, des vitesses folles. On parle d’atteindre dans la ligne droite des Hunaudières, des vitesses au dessus des 400 km/h. Mais l'accident d'Henri Pescarolo sur la piste bosselée des Hunaudières signe la fin de carrière de cette belle 640.

 

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8120.jpg

 

Matra engage donc 4 prototypes à moteur V12 de 3 litres. Beltoise - Courage se partagent le volant de la nouvelle barquette 650, tandis que Servoz Gavin - Müller et Nanni Galli - Widdows pilotent d'anciennes 630/650 transformées en spider et que Guichet - Vaccarella, les vainqueurs de l'édition 1964, héritent de l'ancien coupé 630.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8122.jpg

 

Dès la première séance d'essais, Stommelen réalise une performance sensationnelle en signant un tour à près de 239 km/h au volant de sa 917. Une performance qui ne sera même pas approchée par l'autre 917 d'Elford (à 2''6) alors que le spider 908-2 signe un surprenant 3e temps (à 7''). La première Ferrari est quant à elle reléguée à 13'', devant les coupés 908, et les Matra, alors que la GT 40 de Ickx a concédé près de 15'' !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8123.jpg

 

La course est malheureusement endeuillée dès le premier tour mais elle reprend ses droits et les Porsche vont dominer avec insolence les prochaines 20 heures de course... Pourtant au fil des heures, les ennuis ne vont pas épargner les voitures allemandes. Des problèmes d'embrayage font d'abord plonger Stommelen-Ahrens dans les profondeurs du classement. Siffert-Redman prennent le relais avec le spider 908, mais la boîte cède à la 4° heure. Ensuite vient le tour de la 917 d'Elford - Attwood. Menant la course à rythme de Grand Prix, ils semblent inaccessibles, mais, le dimanche, peu avant 11 H, la 917 au museau bleu ne repart pas de son stand, embrayage cassé. Elle cède alors le commandement à la GT 40 de Ickx - Oliver.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8124.jpg

 

Porsche décide de lancer une dernière offensive avec la 908 de Herrmann-Larrousse, pointée à un tour. Plus loin, l'autre GT 40 de Hobbs-Hailwood et la Matra 650 de Beltoise-Courage ne peuvent espérer revenir à moins d'un coup de théâtre, tandis que les Ferrari, Lola et Alpine Renault ont sombré depuis longtemps.

A trois heures de l'arrivée, une nouvelle course commence...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8125.jpg

 

Il y eu seulement 14 voitures classées cette année là 3 Matra seront dans les 10 premiers avec une superbe 4° place pour notre 650.

[grosnono]

 

 

 

 

normal , c'est une MATRA ,

 

 

[grandrobert]

En 1969, Porsche compte sur sa nouvelle 917 pour accrocher enfin un premier succès au Mans. Toutefois si la 917 a bien explosé tous les records lors de sa première sortie au essais d'avril, sa tenue de route est si délicate que les pilotes de l'équipe officielle ne se bousculent pas pour en prendre le volant. Face à cette armada, les Ford GT 40 de l'équipe Gulf - Wyer dotées des nouvelles culasses Gurney qui permettent de délivrer environ 420 ch, peuvent tabler sur leur fiabilité et une logistique qui frise la perfection.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8118.jpg

 

Les chances des trois autres GT 40 engagées par des équipes plus modestes semblent bien plus aléatoires, de même que celles de l'unique Lola T 70 Mk IIIB à moteur Chevrolet 5 litres alignée par la Scuderia Filipinetti. Absent officiellement en 1968, Ferrari est de retour en catégorie Prototype avec deux 312 P motorisées par un V12 de 3 litres de plus de 400 ch, et ont reçu pour l'occasion une superbe carrosserie fermée.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8119.jpg

 

Encouragé par sa prestation de l'année précédente, Matra a planché sur 2 prototypes. La Matra M650, qui n’est en fait que la descendante des Matra précédemment engagées, et la Matra 640. Construite autour d’un châssis tubulaire, la M640 embarque un moteur V12 développant 430 ch. Développée en soufflerie, elle affiche un Cx inférieur à 0,25, et promet, sur le papier, des vitesses folles. On parle d’atteindre dans la ligne droite des Hunaudières, des vitesses au dessus des 400 km/h. Mais l'accident d'Henri Pescarolo sur la piste bosselée des Hunaudières signe la fin de carrière de cette belle 640.

 

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8120.jpg

 

Matra engage donc 4 prototypes à moteur V12 de 3 litres. Beltoise - Courage se partagent le volant de la nouvelle barquette 650, tandis que Servoz Gavin - Müller et Nanni Galli - Widdows pilotent d'anciennes 630/650 transformées en spider et que Guichet - Vaccarella, les vainqueurs de l'édition 1964, héritent de l'ancien coupé 630.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8122.jpg

 

Dès la première séance d'essais, Stommelen réalise une performance sensationnelle en signant un tour à près de 239 km/h au volant de sa 917. Une performance qui ne sera même pas approchée par l'autre 917 d'Elford (à 2''6) alors que le spider 908-2 signe un surprenant 3e temps (à 7''). La première Ferrari est quant à elle reléguée à 13'', devant les coupés 908, et les Matra, alors que la GT 40 de Ickx a concédé près de 15'' !

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8123.jpg

 

La course est malheureusement endeuillée dès le premier tour mais elle reprend ses droits et les Porsche vont dominer avec insolence les prochaines 20 heures de course... Pourtant au fil des heures, les ennuis ne vont pas épargner les voitures allemandes. Des problèmes d'embrayage font d'abord plonger Stommelen-Ahrens dans les profondeurs du classement. Siffert-Redman prennent le relais avec le spider 908, mais la boîte cède à la 4° heure. Ensuite vient le tour de la 917 d'Elford - Attwood. Menant la course à rythme de Grand Prix, ils semblent inaccessibles, mais, le dimanche, peu avant 11 H, la 917 au museau bleu ne repart pas de son stand, embrayage cassé. Elle cède alors le commandement à la GT 40 de Ickx - Oliver.

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8124.jpg

 

Porsche décide de lancer une dernière offensive avec la 908 de Herrmann-Larrousse, pointée à un tour. Plus loin, l'autre GT 40 de Hobbs-Hailwood et la Matra 650 de Beltoise-Courage ne peuvent espérer revenir à moins d'un coup de théâtre, tandis que les Ferrari, Lola et Alpine Renault ont sombré depuis longtemps.

A trois heures de l'arrivée, une nouvelle course commence...

 

http://i68.servimg.com/u/f68/12/38/41/06/img_8125.jpg

 

Il y eu seulement 14 voitures classées cette année là 3 Matra seront dans les 10 premiers avec une superbe 4° place pour notre 650.

 

 

 

Elle est superbe !