Articles auto: La F1 débarque à Nice ! (Daniel Ricciardo)

[Invité §Aud662Kj]

Des avionneurs devenus constructeurs automobile de grande qualité comme Voisin, mais encore plus oubliés que lui... Merci d'avoir réveillé leur mémoire, qui le mérite bien.

Et pour mon usage personnel, je retiens la bleue.

 

 

Le chemin a été similaire à celui de Voisin en effet. C'est fascinant de voir comme deux mondes peuvent se rejoindre. La bleue est très belle, je pense que la roue a du être remise depuis ma visite d'ailleurs

[Invité §Aud662Kj]

Peugeot Coach Type 174 (1924) :

 

 

Le Type 174 dispose d'une double casquette. Il joue aussi bien les sportifs en participant à plusieurs course automobiles comme la célèbre course de 24 heures du Mans, que les dandy en se pavanant devant les palas. Tout dépend de sa carrosserie et du châssis. Notre modèle du jour aspire plus à la seconde vocation. Avec sa carrosserie créée par Labourdette il dispose d'une élégance similaire à celle des grands véhicules de prestige de l'époque. Malheureusement son moteur est loin du standing de ces derniers. C'est un 4 cylindres qui se cache sou le capot, les modèles prisés de la clientèle haut de gamme disposaient plutôt de 6, 8 voir 12 cylindres.

Malgré ces 75 chevaux le Type 174 remporta un certain succès avec 810 exemplaires produits. La version sportive ne fût produit qu'à 208 exemplaires. Le prix n'était pourtant pas si différent du tarif de la version standard. 2000 Francs en plus de 54 000 demandés pour le modèle classique.

 

 

 

 

 

[enclume76]

Farman Coupé Chauffeur Type A6 B (1923) / Limousine NF1 (1928)

 

 

Farman. Ce nom ne vous dit peut-être rien. Non ce n'est pas un nom d'épice, mais bel et bien le nom d'une marque automobile. Plus exactement c'est le nom des fondateurs d'une marque automobile. Henri, Dick et Maurice étaient trois frères issus d'un père britannique et d'une mère française. Ils prirent tous les trois le chemin de l'aviation en concevant et pilotant des avions. Henri et Maurice détenaient plusieurs records de pilotage, des records d'endurance, de vitesse, et de distance. Les trois frères s'associèrent pour créer la compagnie aériennes « Les lignes aériennes Farman ».

 

 

Au-delà de cette passion pour l'aéronautique Henri et Maurice commencèrent à forger leur réputation lors d'épreuve de cyclisme avec divers participations à plusieurs épreuves, montrant ainsi leur côté sportif et leur amour de la compétition.

Compétition qui pris plus tard un chemin mécanique avec leur orientation vers la course automobile. Ils signèrent quelques victoires comme lors du Grand Prix de Pau de 1901 (Maurice) ou de la course Paris-Pau (Henri). Cet amour de la mécanique leur donna l'idée de se lancer dans la production automobile. Cette dernière débuta avec le modèle A6 B lancé en 1919. Cette automobile à l'allure statutaire et luxueuse était pourvu d'un 6 cylindres développant 106 canassons. Ce véhicule pouvait tout de même monter jusqu'à 120 km/h ce qui était à l'époque une très belle vitesse de pointe. On ne pourra jamais ne pas s'émerveiller devant le travail minutieux et bien fait de la carrosserie en bois.

 

 

 

Le slogan de l'entreprise, « Une voiture roule, une Farman glisse » insistait sur l'idée de confort, de performance et de légèreté des automobiles produites. Ce modèle, un des derniers produits par la marque, incarne la philosophie du slogan. La prestance de la carrosserie est telle, qu'elle rivalisait avec les plus grand constructeurs de luxe : Rolls-Royce ou encore Avions-Voisin. Son moteur 6 cylindres de 7,0 litres atteignait facilement les 130 km/h.

 

 

 

 

 

 

Très belles, je retiendrai la rouge puisque la bleu a déjà été réservée

 

Il me semble ne pas me tromper en disant qu'on retrouve ses frères dans la vieille saga "les faucheurs de marguerites" car leur nom ne m'est pas inconnu

[Invité §Aud662Kj]

 

Très belles, je retiendrai la rouge puisque la bleu a déjà été réservée

 

Il me semble ne pas me tromper en disant qu'on retrouve ses frères dans la vieille saga "les faucheurs de marguerites" car leur nom ne m'est pas inconnu

 

 

Salut Eric,

 

Alors la rouge est pour toi C'est très beau modèle!

 

Je ne peux pas te répondre sur ce point là par contre…

[enclume76]

 

Salut Eric,

 

Alors la rouge est pour toi C'est très beau modèle!

 

Je ne peux pas te répondre sur ce point là par contre…

 

 

Une très belle saga sur les début de l'aviation où on passait plus de temps à voler au raz du sol, d'où le nom, ou à s'écraser qu'à voler

[daniel762]

Peugeot Coach Type 174 (1924) :

 

 

Le Type 174 dispose d'une double casquette. Il joue aussi bien les sportifs en participant à plusieurs course automobiles comme la célèbre course de 24 heures du Mans, que les dandy en se pavanant devant les palas. Tout dépend de sa carrosserie et du châssis. Notre modèle du jour aspire plus à la seconde vocation. Avec sa carrosserie créée par Labourdette il dispose d'une élégance similaire à celle des grands véhicules de prestige de l'époque. Malheureusement son moteur est loin du standing de ces derniers. C'est un 4 cylindres qui se cache sou le capot, les modèles prisés de la clientèle haut de gamme disposaient plutôt de 6, 8 voir 12 cylindres.

Malgré ces 75 chevaux le Type 174 remporta un certain succès avec 810 exemplaires produits. La version sportive ne fût produit qu'à 208 exemplaires. Le prix n'était pourtant pas si différent du tarif de la version standard. 2000 Francs en plus de 54 000 demandés pour le modèle classique.

 

 

 

 

 

 

 

Comme quoi il existait déjà des Peugeot - et des belles - avant les modèles à "0 central"... Et 75 chevaux sur ce qu'on appelait pas encore une voiture "populuxe", c'est déjà une puissance très honorable pour cette époque. La 301 de mon grand-père, sortie quelques années plus tard et qui se classait certes plutôt dans le segment des "petites bourgeoises pour classes moyennes de l'époque", devait en compter une quarantaine de moins....

[enclume76]

C'est clair qu'en regardant très vite, le 1er nom pour cette auto qui me serait venu n'est pas celui de la marque de Sochaux.

 

Très bourgeoise je trouve

[Invité §gon514uw]

Peugeot Coach Type 174 (1924) :

 

 

Le Type 174 dispose d'une double casquette. Il joue aussi bien les sportifs en participant à plusieurs course automobiles comme la célèbre course de 24 heures du Mans, que les dandy en se pavanant devant les palas. Tout dépend de sa carrosserie et du châssis. Notre modèle du jour aspire plus à la seconde vocation. Avec sa carrosserie créée par Labourdette il dispose d'une élégance similaire à celle des grands véhicules de prestige de l'époque. Malheureusement son moteur est loin du standing de ces derniers. C'est un 4 cylindres qui se cache sou le capot, les modèles prisés de la clientèle haut de gamme disposaient plutôt de 6, 8 voir 12 cylindres.

Malgré ces 75 chevaux le Type 174 remporta un certain succès avec 810 exemplaires produits. La version sportive ne fût produit qu'à 208 exemplaires. Le prix n'était pourtant pas si différent du tarif de la version standard. 2000 Francs en plus de 54 000 demandés pour le modèle classique.

 

 

 

 

 

Hello,

75 ch c'est énorme pour l'époque

C'est la puissance d'une Traction 15/6 autrement plus moderne...

Et 2 000 F, ça paraît peu, mais pareil, juste avant la crise de 1929, le franc n'avait pas la même valeur...

[odin23]

J ai été à un salon rétro à côté de chez moi et j ai ça petite sœur la type 172 Torpedo

 

De tres belles autos

[Invité §Aud662Kj]

C'est clair qu'en regardant très vite, le 1er nom pour cette auto qui me serait venu n'est pas celui de la marque de Sochaux.

 

Très bourgeoise je trouve

 

 

C'est la force de cette voiture, elle donne une belle image! Esthétiquement elle n'a pas à rougir de la concurrence

[Invité §Aud662Kj]

 

Comme quoi il existait déjà des Peugeot - et des belles - avant les modèles à "0 central"... Et 75 chevaux sur ce qu'on appelait pas encore une voiture "populuxe", c'est déjà une puissance très honorable pour cette époque. La 301 de mon grand-père, sortie quelques années plus tard et qui se classait certes plutôt dans le segment des "petites bourgeoises pour classes moyennes de l'époque", devait en compter une quarantaine de moins....

 

 

Tu fais bien de la préciser d'ailleurs Daniel je n'en n'ai pas parlé mais effectivement il n'y a pas de "0" au milieu de la dénomination. Je trouvais que 75 chevaux c'était peu car la Renault à coté (donc nous parlerons bientôt) en compte 149. Du coup ça me semblait assez limité

Donc une trentaine de chevaux seulement? Mais comment ça avançait?

[Invité §Aud662Kj]

Hello,

75 ch c'est énorme pour l'époque

C'est la puissance d'une Traction 15/6 autrement plus moderne...

Et 2 000 F, ça paraît peu, mais pareil, juste avant la crise de 1929, le franc n'avait pas la même valeur…

 

 

Salut Guillaume comment vas-tu?

 

Comme je l'ai dit à Daniel la Renault à coté en avait 149 du coup je trouvais l'écart assez conséquent…

 

Oui 2000F c'est beaucoup, la valeur n'était pas pareille qu'après la crise. Comme pour le dollar d'ailleurs

[Invité §Aud662Kj]

J ai été à un salon rétro à côté de chez moi et j ai ça petite sœur la type 172 Torpedo

 

De tres belles autos

 

 

Salut Seb tu vas bien?

 

La 172 est un beau modèle aussi! As-tu des photos?

 

Content que les autos présentées te plaisent

[Invité §Aud662Kj]

Bugatti Type 50 T 1936 :

 

 

Digne remplaçante de la 46, la 50 voit ses performances améliorées. 200 chevaux contre 160 et une vitesse de pointe augmentée à 165 km/h !

Cette carrosserie nuancée de bleu fut produite par Million-Guiet. Le propriétaire de cet exemplaire n'était autre que Pierre Michelin, le fils du fondateur de l'entreprise spécialisée dans les pneumatiques, Édouard Michelin. Mais Pierre Michelin était également de président de Citroën à partir de 1935. Hélas il ne profitera pas longtemps de cette Bugatti puisqu'il sera victime en 1937 d'un grave accident de la route, lui faisant perdre la vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[Marc22v8]

Peugeot Coach Type 174 (1924) :

 

 

Le Type 174 dispose d'une double casquette. Il joue aussi bien les sportifs en participant à plusieurs course automobiles comme la célèbre course de 24 heures du Mans, que les dandy en se pavanant devant les palas. Tout dépend de sa carrosserie et du châssis. Notre modèle du jour aspire plus à la seconde vocation. Avec sa carrosserie créée par Labourdette il dispose d'une élégance similaire à celle des grands véhicules de prestige de l'époque. Malheureusement son moteur est loin du standing de ces derniers. C'est un 4 cylindres qui se cache sou le capot, les modèles prisés de la clientèle haut de gamme disposaient plutôt de 6, 8 voir 12 cylindres.

Malgré ces 75 chevaux le Type 174 remporta un certain succès avec 810 exemplaires produits. La version sportive ne fût produit qu'à 208 exemplaires. Le prix n'était pourtant pas si différent du tarif de la version standard. 2000 Francs en plus de 54 000 demandés pour le modèle classique.

 

 

 

 

 

 

Bugatti Type 50 T 1936 :

 

 

Digne remplaçante de la 46, la 50 voit ses performances améliorées. 200 chevaux contre 160 et une vitesse de pointe augmentée à 165 km/h !

Cette carrosserie nuancée de bleu fut produite par Million-Guiet. Le propriétaire de cet exemplaire n'était autre que Pierre Michelin, le fils du fondateur de l'entreprise spécialisée dans les pneumatiques, Édouard Michelin. Mais Pierre Michelin était également de président de Citroën à partir de 1935. Hélas il ne profitera pas longtemps de cette Bugatti puisqu'il sera victime en 1937 d'un grave accident de la route, lui faisant perdre la vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Peugeot est très classieuse mais j'ai une petite préférence pour cette belle Bugatti qui a de belles formes!!

[Invité §oul767Da]

Superbe cette Bugatti. Il faut se souvenir qu'avant la seconde guerre mondiale la France était leader dans les voitures d'exception. De luxe comme les Hispano Suiza par exemple et sportives comme les Bugatti. Cette Peugeot que je ne connaissais pas représente le savoir faire d'un constructeur moins prestigieux. Et visiblement le résultat est à la hauteur.

[daniel762]

 

Tu fais bien de la préciser d'ailleurs Daniel je n'en n'ai pas parlé mais effectivement il n'y a pas de "0" au milieu de la dénomination. Je trouvais que 75 chevaux c'était peu car la Renault à coté (donc nous parlerons bientôt) en compte 149. Du coup ça me semblait assez limité

Donc une trentaine de chevaux seulement? Mais comment ça avançait?

 

 

A l'époque, une voiture bourgeoise moyenne atteignait généralement le 90 à 110 km/h, et mettait peut-être trois à quatre fois plus de temps qu'aujourd'hui pour abattre le 1 000 m départ arrêté.

 

Pour te donner une idée, la fiche technique d'une Peugeot 301 du millésime précédent celle de mon grand-père, avec laquelle il partait de Rouen pour se rendre dans les Vosges en deux jours avec ma grand-mère, mon père et mes deux oncles :

http://www.autocyber.fr/fiche- [...] -technique

 

Maintenant si on va par là, les premières 2 CV avaient une puissance réelle de 9 ch et plafonnaient à 65 km/h, ce qui n'a pas empêché mon père de "faire" l'Autriche et l'Italie avec la sienne, y compris les régions alpines.

 

Et 34 ch, c'est aussi la puissance des dernières Renault 4, ce qui ne m'empêchait pas de bombarder sur les routes secondaires et d'y tenir des moyennes fort convenables...

https://www.autotitre.com/fich [...] 4/GTL_Clan

 

Quand à ma 203 de 1950, qu'elle ne sorte que 42 chevaux et plafonne à 115 km/h ne m'empêchait pas dans les années 90 de fort bien suivre, sauf en accélération pure, le rythme de la circulation sur route.

 

 

Puis en remontant davantage le temps, il suffisait de deux ou trois chevaux pour tirer un omnibus hippomobile de plusieurs tonnes...

[odin23]

 

Salut Seb tu vas bien?

 

La 172 est un beau modèle aussi! As-tu des photos?

 

Content que les autos présentées te plaisent

 

 

salut Alex

 

oui ça me plait même si j interviens moins, je suis ton topic.

j ai pas trop de temps en ce moment.

 

bien sûr que j ai des photos, je vais essayer d en mettre demain.

et au salon ou j ai été, j ai vu toute une collection de vieille Bugatti

 

j essaye de te mettre quelques tofs demain.

 

et la rentrée ?

[odin23]

Bugatti Type 50 T 1936 :

 

 

Digne remplaçante de la 46, la 50 voit ses performances améliorées. 200 chevaux contre 160 et une vitesse de pointe augmentée à 165 km/h !

Cette carrosserie nuancée de bleu fut produite par Million-Guiet. Le propriétaire de cet exemplaire n'était autre que Pierre Michelin, le fils du fondateur de l'entreprise spécialisée dans les pneumatiques, Édouard Michelin. Mais Pierre Michelin était également de président de Citroën à partir de 1935. Hélas il ne profitera pas longtemps de cette Bugatti puisqu'il sera victime en 1937 d'un grave accident de la route, lui faisant perdre la vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

magnifique

[odin23]

bon, comme tu me l as demandé, je te mets quelques photos du salon rétro que j ai fait

 

pour les Bugatti, désolé, je n ai pas les modèles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les 2 Monsieurs sur la photo avaient l air d être connu.

 

 

 

 

 

 

[Invité §Aud662Kj]

bon, comme tu me l as demandé, je te mets quelques photos du salon rétro que j ai fait

 

pour les Bugatti, désolé, je n ai pas les modèles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les 2 Monsieurs sur la photo avaient l air d être connu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci beaucoup pour ces photos Seb! Il y avait de très beau modèles, mais je ne suis pas assez expert pour te dire desquels il s'agit…

Il y a des Type 35 il me semble. La verte par contre n'est pas une Bugatti

[Marc22v8]

bon, comme tu me l as demandé, je te mets quelques photos du salon rétro que j ai fait

 

pour les Bugatti, désolé, je n ai pas les modèles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les 2 Monsieurs sur la photo avaient l air d être connu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Superbes ces Bugatti, la verte est une Aston Martin.

[odin23]

 

 

Merci beaucoup pour ces photos Seb! Il y avait de très beau modèles, mais je ne suis pas assez expert pour te dire desquels il s'agit…

Il y a des Type 35 il me semble. La verte par contre n'est pas une Bugatti

 

 

pour la verte, c est vrai que le bugatti n est pas marqué. Mais c était un stand dédié Bugatti, donc là, je ne saurai te dire. le stand était en extérieur et il commençait à pleuvoir et j ai pas pris le temps de noter les modèles.

[odin23]

 

 

Superbes ces Bugatti, la verte est une Aston Martin.

 

 

en zoomant j ai eu des doutes. Merci

[Invité §Aud662Kj]

 

pour la verte, c est vrai que le bugatti n est pas marqué. Mais c était un stand dédié Bugatti, donc là, je ne saurai te dire. le stand était en extérieur et il commençait à pleuvoir et j ai pas pris le temps de noter les modèles.

 

 

Les bugatti sont reconnaissables par la calandre en forme de fer à cheval. Ettore Bugatti adorait les engins hippomobiles, il s'en est également inspiré pour le processus de construction de ses voitures.

En tout cas merci beaucoup pour cette contribution Les stands en extérieur lorsqu'il pleut c'est toujours la croix et la bannière…

[Invité §Aud662Kj]

 

 

Superbes ces Bugatti, la verte est une Aston Martin.

 

 

Merci beaucoup pour cette précision Marc

[odin23]

 

Les bugatti sont reconnaissables par la calandre en forme de fer à cheval. Ettore Bugatti adorait les engins hippomobiles, il s'en est également inspiré pour le processus de construction de ses voitures.

En tout cas merci beaucoup pour cette contribution Les stands en extérieur lorsqu'il pleut c'est toujours la croix et la bannière…

 

 

exact, j avais oublié ce détail. félicitation

[enclume76]

 

pour la verte, c est vrai que le bugatti n est pas marqué. Mais c était un stand dédié Bugatti, donc là, je ne saurai te dire. le stand était en extérieur et il commençait à pleuvoir et j ai pas pris le temps de noter les modèles.

 

 

La verte est une Aston Martin que j'ai eu la chance de voir arriver avec toutes les Bugatti et présentée dans le topic à Romaric (@FERRARI WORLD ) il y a quelques jours:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[odin23]

 

La verte est une Aston Martin que j'ai eu la chance de voir arriver avec toutes les Bugatti et présentée dans le topic à Romaric (@FERRARI WORLD ) il y a quelques jours:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

tu as été au salon avec Romaric ? quel jour ?

[enclume76]

Et pour moi le clou de l'arrivée dans un boucan mélodieux d'enfer avec cette dernière

 

Je me permets Alexandre de les remettre ici avec ton autorisation j'espère

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[enclume76]

 

tu as été au salon avec Romaric ? quel jour ?

 

 

Non, tout seul le dimanche matin de bonne heure, Romaric je le verrai normalement au salon de l'auto jeudi prochain

[odin23]

Et pour moi le clou de l'arrivée dans un boucan mélodieux d'enfer avec cette dernière

 

Je me permets Alexandre de les remettre ici avec ton autorisation j'espère

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

magnifique

 

je me suis régalé

 

du coup, tu saurais pas qui sont les 2 Monsieur sur ma photo. tout le monde voulait les prendre en photo ??

[odin23]

 

Non, tout seul le dimanche matin de bonne heure, Romaric je le verrai normalement au salon de l'auto jeudi prochain

 

 

j y suis allé le dimanche matin à l ouverture, 9:00, on a dû se croiser

 

tu vas à Paris jeudi pour l ouverture, j ai hésité mais je pense y aller lundi ou mardi

[enclume76]

 

magnifique

 

je me suis régalé

 

du coup, tu saurais pas qui sont les 2 Monsieur sur ma photo. tout le monde voulait les prendre en photo ??

 

 

Celui qui a un beret est, sauf erreur de ma part, Jean Feray qui est un vieux Rouennais qui a acheté sa 1ère Bugatti alors qu'il n'avait que 17 ans : La parade Bugatti ou ici

[enclume76]

 

j y suis allé le dimanche matin à l ouverture, 9:00, on a dû se croiser

 

tu vas à Paris jeudi pour l ouverture, j ai hésité mais je pense y aller lundi ou mardi

 

 

Oui sans doute

 

Elles sont arrivées vers 10h30/11h00 sur l'espanade pour se placer devant le camion de l'ACO: Arrière toute