Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1)

[jensen]

Il y a une pub qui passe ces jours-ci à la TV où on voit "Superman" qui se sort d'un endroit infesté de loups et de corbeaux en manipulant un bouton rotatif...

 

C'est y pas beau tout ça ?

[Invité guest527]

Je suis sûr que là où je passe avec ma C5, le SUV trépasse

 

 

Preums!

[Invité §gon514uw]

Vu

J'ai l'impression qu'elle monte encore plus haut que la C5!

[Invité guest527]

Activa the best and the beast

[Invité §gon514uw]

pas mal

[hansi68730]

Je suis sûr que là où je passe avec ma C5, le SUV trépasse

 

 

Sûr. A condition de point souffrir d’hémorroïdes!

[zorglub]

Il est en effet assez étonnant d'avoir des pneus autant taille basse, sur des SUV, qui sont censés faire un peu de tout chemin, entre les champs par exemple. Des pneus mixtes (tout terrain léger et route ) seraient plus logique ? Il faut croire que la logique marketing n'est pas la même que la notre

[Invité §dav512aL]

Il existe des SUV avec des pneus mixte et taille basse.

[zorglub]

Je parle de chemin de desserte de champs, avec un peu de pierraille, que les engins agricoles empruntent pour rejoindre les différentes parcelles de leurs champs.

 

J'ai d'ailleurs pu remarquer, qu'un certain nombre de ces anciens chemins semblent n'être presque plus utilisés et entretenus par les agriculteurs. Du coup, l'herbe et la végétation s'y installe, rendant leur utilisation en voiture bien plus difficile que du temps de mon enfance. Moins d'agriculteurs ? Moins de passages ? ou moins d'entretien par manque de temps/finances des agriculteurs ?

 

J'ai constaté cela aussi sur les anciens chemins de halage, en bord des canaux et/ou rivières. Au point que des portions sont parfois difficilement accessible, même à pied ou à vélo. Ou encore sur des chemins de bordure de voie ferré. Ces chemins servant au personnel SNCF d'entretien des voies, talus et ballast, et donc leur entretien faisait que c'était utilisable par un véhicule avec une garde au sol correcte en roulant doucement. Y a des portions dont le talus était boisé naturellement et chaque année, des coupes d'élagages étaient effectuées pour que ces arbres n'empiètent pas sur les voies. Ces dernières années, j'ai vu ces portions coupés à blanc par des engins, et les arbres déracinés pour éviter qu'ils repoussent. Par économie de personnel ? A n'en pas douter, ces arbres et arbustes, qui en plus de couper le bruit de la voie ferrée, de la dissimuler aussi au regard, permettaient de stabiliser les talus, de pomper les excès d'eau. Et constituait aussi bien entendu, un abri local à toute une faune de petits animaux qui y trouvaient refuge, toutes les haies ou bosquets dans les champs ayant été éradiqués depuis fort longtemps localement.

[Invité §cas727ff]

Bonjour !

SUV = Sans Utilité Véritable.

Au moins avant, on savait qu'il y avait dedans un gentleman farmer, un homme des bois, un fermier qui a une belle exploitation.

[jensen]

Il est en effet assez étonnant d'avoir des pneus autant taille basse, sur des SUV, qui sont censés faire un peu de tout chemin, entre les champs par exemple. Des pneus mixtes (tout terrain léger et route ) seraient plus logique ? Il faut croire que la logique marketing n'est pas la même que la notre

 

 

 

 

Ah mais je ne peux que plussoyer !

 

C'est un phénomène que j'ai dénoncé pas plus tard qu'au mois de septembre ici : https://www.blog-moteur.com/43 [...] -crdi.html

 

Soyons clairs : Les constructeurs savent pertinemment que 90% des acheteurs de SUV ne sortiront jamais du ruban d'asphalte.

 

Ils font donc en conséquence...

 

le client est roi !

[1600 S]

C'est effectivement ce que je me suis dit moi aussi : La 504 faisait encore "actuelle" dans les 90's, la R6 faisait déjà vieille lorsqu'elle est sortie !

 

Soyons clairs : C'était même une "voiture de vieux", comme la Modus de nos jours.

j' t' e r'mercie,j'en ai eu une en 77 a 25ans :lol: :lol:

 

faut dire qu'a ce moment la,je ne pouvais pas entretenir autre chose.

[1600 S]

Je suis sûr que là où je passe avec ma C5, le SUV trépasse

faut dire que c'est la dernière Citron a hydro-pneumatique et ça ,ça passe vraiment partout.

[Invité §gon514uw]

Vraiment partout, non, on est quand même limité par la garde au sol moins haute que celle d'un 4x4 franchisseur et l'empattement de la voiture. Mais par rapport à un véhicule à suspension traditionnelle, l'avantage est indéniable : ça passe. Même sur un très mauvais chemin.

[1600 S]

Vraiment partout, non, on est quand même limité par la garde au sol moins haute que celle d'un 4x4 franchisseur et l'empattement de la voiture. Mais par rapport à un véhicule à suspension traditionnelle, l'avantage est indéniable : ça passe. Même sur un très mauvais chemin.

bien sur qu'on passe pas partout,mais avec une GS,je suis passé dans des chemins(si on peut appeler ces endroits des chemins)ou pas grand monde osait y mettre les roues.c'est bien simple,j'ai même pris de la boue dans les tringles de réglage de hauteur de caisse(en position haute) et en séchant,ça me fichais le devant en semi haute alors que l'arrière était lui en position route,tu imagines le casse-tête chez citron,jusqu'a ce que le pompiste passant par là nous demande si c'était normal la boue a cet endroit(elle était sur le pont,mais nous de l'autre coté)...un coup de jet et hop elle baisse du nez...

 

c’était le bon temps ... celui de ma jeunesse.

[Invité §gon514uw]

Sur ma C5 ça t'aurait collé un message "défaut suspension" avec des bips dans tous les sens

[jensen]

j' t' e r'mercie,j'en ai eu une en 77 a 25ans :lol: :lol:

 

faut dire qu'a ce moment la,je ne pouvais pas entretenir autre chose.

 

 

 

Une R6 ?

 

J'ai fait mes premiers kilomètres en solo au volant de celle de ma mère en 84, les gnons qu'elle a pu prendre sans que personne ne le sache...

 

Mais bon, je reste kommême sur mon impression : Voiture de vieux !

[jensen]

bien sur qu'on passe pas partout,mais avec une GS,je suis passé dans des chemins(si on peut appeler ces endroits des chemins)

 

 

 

Ce n'est pas André Costa de l'Auto-Journal qui était allé jusqu'en Afghanistan en 1972 avec un break GS presque de série ?

[1600 S]

 

 

Ce n'est pas André Costa de l'Auto-Journal qui était allé jusqu'en Afghanistan en 1972 avec un break GS presque de série ?

possible,je ne sais pas.je te fais confiance,si tu le dis,je te crois.

c'était une sacré auto,j'en ai regretté deux sur toutes celles que j'ai possédé,celle ci et la Classe c.

[jensen]

J'ai fait une recherche :

 

C'est effectivement André Costa qui était parti avec une GS (presque) de série pour un Raid Paris-Kaboul-Paris, non pas en 1972 mais en 1976.

 

 

 

[skotroen]

+1, n'est ce pas @skotroen

 

elles sont plus belles que les capri,non?

 

sinon je connaissais déjà ces isuzu depuis que j'étais gamin... j'aime bien ces isuzu...

[1600 S]

 

elles sont plus belles que les capri,non?

question Déco,y a pas photo...

[daniel762]

Quand Jensen se ballade...

 

 

EPOQU'AUTO 2018 : Feu d’artifice !

 

 

 

 

Je ne vous cache pas qu'Epoqu'auto Lyon a toujours fait parti de mes événements préférés...

 

Toujours organisé par une association de bénévoles depuis désormais 40 ans cette manifestation parvient tout de même à plus que soutenir la comparaison avec des salons de plus grande envergure organisés par des professionnels de l’événementiel.

 

Cette année ne déroge pas à la règle, et ce même si le comité d'organisation avoue désormais ne plus vouloir faire "plus grand" chaque année car le risque d'y laisser son âme n'est pas à exclure.

 

Mais bon, avec plus de 50 000 m2 dévolus à l'exposition il y a très largement de quoi faire !

 

 

Bon, vous me tenez la main pour ne pas vous perdre ? On commence la visite !

 

 

Cette année la grande marque PANHARD, hélas disparue en 1967 du marché civil, a les honneurs du plateau central.

 

 

 

 

 

 

"Panoramic" avec montants de pare-brise translucides.

 

 

Berline Dynamic avec volant central.

 

 

Dyna alias la "berline Louis XV" pour son côté tarabiscoté un peu semblable au mobilier du même style.

 

 

Dyna Z cabriolet, hyper-rare !

 

 

 

 

 

Et pour finir un rarissime Break PL17...

 

 

... Ici modifié en ambulance.

 

 

RENAULT fête aussi cette année ses 120 printemps (je parle des voitures, pas du chanteur... J'ai des doutes qu'il aille jusque là ! )

 

 

Bel alignement de popotins...

 

 

Et par la même occasion 50 bougies pour Mamy R6 !

 

 

 

QUI a dit que toutes les R12 Gordini étaient bleues ?

 

 

 

Non, ce n'est pas une simple "Airdouze" : C'est une FASA Renault 12 fabriquée en Espagne.

Equipement revu à la hausse et face avant différente.

 

 

Des Stands Rono il y en a plein en fin de compte...

Celui du club "Génération 20/30" m'attire parce ce qui y est exposé me parait très insolite.

 

Et j'ai bien raison de bifurquer car...

 

 

NOOOONNNN ! Ils ont déniché une Renault 20 L !!!

 

 

 

Un véritable éléphant blanc que ce modèle.

Fabriqué uniquement en 1976 il s'agissait de la version "prix d'attaque" à l'équipement minimaliste : Pas de montre, pas de console centrale, pas de phares H4, de simples tapis de caoutchouc à l'arrière : La ruine !

 

Seuls 400 exemplaires sortiront de chaînes...

 

A priori il n'en resterait plus désormais que deux !

 

Le hayon n'était même pas habillé de la peinture noire mat qui recouvrait le bas de la lunette des autres modèles !

(Vous noterez l'autocollant "Coluche" de la campagne Présidentielle de 1981 : "Tous ensemble pour leur foutre au cul !" Ça n'a pas beaucoup changé depuis... )

 

 

Je vous l'ai dit : Rien à bord...

 

 

 

 

 

En tous cas un grand MERCI aux membres du club pour m'avoir même permis de monter à bord !

 

 

Et puisque nous en sommes toujours "aux pachydermes de couleur anormale" voici autre chose :

 

Une GS Basalte !

Série spéciale du printemps 1978 produite, si mes souvenirs sont bons, à 1 800 exemplaires pour la France et 3 200 pour le reste du monde.

 

 

Je ne pensais pas en revoir une un jour !

Une "vraie" série spéciale avec sellerie spécifique, essuie-phares, radio K7, toit ouvrant etc etc...

 

 

Bon, l'attelage par contre...

 

 

Cette année beaucoup de stands fêtent les 50 ans de quelque chose, tiens Peugeot par exemple...

 

La 504 ? 50 balais !

Celle-ci est superbe : Une GL de 1976 avec moins de 50 000km au compteur !

Elle n'a jamais quitté son beau département d'origine, en l'occurrence l'Isère...

(Mais pourquoi aller ailleurs ? )

 

 

Par contre les feux arrières avec les feux de recul oranges sont antérieurs à 1976...

 

 

 

"Clair-obscur" involontaire pour ce modèle à injection de première génération.

 

 

Bon il n'y a pas que les 504 non plus hein !

 

 

 

Tous les limiers diplômés es-205 sont à la recherche d'une GTI "Griffe".

 

 

Celle-ci est comme neuve !

 

 

Par contre cette "sortie de grange"...

J'ai regardé de près : Y a vraiment du boulot !

 

 

On nous dit toujours que "Ce n'est plus la peine, l'histoire des autos abandonnées dans des granges c'est terminé on a tout fouillé", ah bon ! Vous en êtes certain ?

Non, parce que cette Delage D6 de 1936 a été retrouvée en France au mois de juillet 2018 après 56 ans d'immobilisation !

Tous n'est donc pas perdu...

 

 

Bon, on n'est pas obligé de suivre toutes les marques...

 

En fait Epoqu'auto c'est un peu comme vous voulez, et rien ne vous empêche de sauter du coq à l'âne.

 

 

 

Tiens, une deux pattes de 1951...

 

 

 

On change directement d'époque avec cette VW Scirocco.

 

 

 

Et cette splendide Fiat-Bertone X1/9, c'est y pas beau ça ?

 

 

 

Le constructeur a déjà une unité qui s'occupe de la reconstruction de ses premiers Range-Rover, un atelier tricolore fait de même.

 

 

Une Chenard-Walker Aigle 22 !

Mon grand'père en avait une...

 

 

 

... Avant de la bazarder en échange d'une Traction 15/6.

 

 

 

Excellent accueil chez "les Amis de Gabriel Voisin" !

 

 

 

"Ouvrir le capot ? Pas de problème !"

La magie de la passion relie les hommes...

Vous remarquerez sans doute que le freinage était déjà assisté sur ces voitures, à la fin des années 20 !

 

 

 

Oublier MATRA ?

 

Vous plaisantez j'espère...

 

 

530 achetée à l'époque par Europe N°1 pour les reportages urgents à couvrir.

 

 

 

Bagheera S de même couleur mais pas du même propriétaire !

 

 

Et négliger Porsche ? Vous n'y pensez pas...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Epoqu'auto c'est aussi une grande vente aux enchères organisée par la maison Osenat.

 

 

Et dire qu'ils ont envoyé les invendus à la casse ces blaireaux !

 

 

 

Tiens, un vrai Land-Rover, pas un de ces machins tout juste bons à monter sur les trottoirs...

 

 

Ici les trottoirs on va éviter...

Par contre le prix de mise aux enchères est coton : Plus de 200 000€ et ça va sans doute grimper bien plus haut.

 

 

Bon, laissons-les s'entre-tuer pour avoir "la plus belle de la mort qui tue sa race" et continuons...

 

 

Pour se retrouver chez ce spécialiste Mercedes qui nous vend cette 190 2.5 Evo2 au même prix que la Ferrari, mais ils sont fous dans leur tête ou quoi ?

 

 

 

Bon, ici c'est plus raisonnable...

Non, je n'ai pas demandé si elle était vendue avec ou sans la rouille !

 

 

 

Et la c'est même bon marché !

Surtout que cette Simca 1300 est vraiment nickel.

 

 

 

Un peu plus loin un plateau Youngtimers est installé, un hommage aux grosses cylindrées des 90's.

 

 

Une Ford Scorpio, aux lignes aussi acérées qu'un loukoum !

 

 

 

Une "Céhisque" 25 GTI : La reine des appels de phares sur la file de gauche à l'époque celle-la...

 

 

Un gros félin hors de sa cage, mamaaaannn !

 

 

Une Alfa 164 Quadrifoglio.

A mes yeux la plus belle carrosserie de la décennie !

(Vous saurez que tout bon Grenoblois a du sang italien dans les veines, Namého ! )

 

 

 

 

"Quand je serais grande je redeviendrais une "mon pseudo" Interceptor !"

Bon courage quand même les gars...

 

 

Aston-Martin.

 

 

Pareil !

DBS même.

 

Présentée sur le stand d'un sellier elle ne pouvait qu'avoir un intérieur irréprochable.

 

 

On finit avec le régional de l'étape : Berliet !

 

 

Ce porteur GLR a été sacré "Camion du siècle".

 

 

 

Ce GAK devait encore "pimponner " dans les petites communes il y a une douzaine d'années.

 

 

 

C'est pas tout ça mais il se fait tard et prendre un peu l'air ne sera pas plus mal...

 

Bien entendu en fin de journée le parking visiteurs recèle de pas mal de pépites, en voici quelques unes :

 

 

Magnifique 505 Turbo de première génération !

 

 

Son propriétaire a beaucoup de chance...

 

 

 

Celui de ce coupé Mazda 929 aussi !

 

 

Les Nippones suréquipées de l'époque : Phares escamotables, essuie-vitre arrière, deux rétros extérieurs...

 

 

 

Spécial dédicace à Daniel762.

Ménageons les susceptibilités, surtout qu'à son âge...

 

 

Je l'ai déjà dit l'année dernière : Il n'y a que les "38" pour rouler en voitures de qualitäy !

 

 

 

Pas comme les "69" quoi !

 

 

 

Un petit quizz pour finir :

Marque et pays d'origine de cette auto ?

 

 

Vous avez trouvé ? Bravo ! Une Puma Brésilienne...

 

 

Lotus, encore plus bizarroïde !

 

 

Voila, ce sera tout.

 

Merci d'être allé jusqu'au bout !

 

 

 

Avec un peu de retard pour cause d'absence, merci pour la dédicace !

 

Mais s'il est vrai que j'ai une certaine sympathie pour l'Ami 6, parce qu'il fallait oser sortir ça et parce qu'elle évoque des souvenirs familiaux, et aussi parce qu'elle n'était finalement pas dénuée de qualités, je ne sais plus ce que j'ai pu dire qui motive cette dédicace...

 

Et merci aussi pour cette visite, avec beaucoup de belles autos à admirer !

[daniel762]

 

 

Ce n'est pas André Costa de l'Auto-Journal qui était allé jusqu'en Afghanistan en 1972 avec un break GS presque de série ?

 

 

 

Il me semble même qu'il y en avait deux, et c'était plus tard qu'en 1972. En 1972 c'est plutôt Coralie la SM en Afrique, en préparation d'un raid Citroën pour les possesseurs de 2 CV.

 

Edit, : je n'avais pas vu le résultat de tes recherches avant de poster.

[jensen]

Oui mais il me semble qu'il n'y avait pas que la GS effectivement.

[Invité §oul767Da]

Je regrette un peu ma XM 2,5L Turbo D équipée de l'hydractive. lorsque le système était enclenché , la voiture collait à la route sans nuire beaucoup au confort fabuleux de ce paquebot qui prenait les virolos des départementales comme une min Cooper des années 60!

[1600 S]

 

Avec un peu de retard pour cause d'absence, merci pour la dédicace !

 

Mais s'il est vrai que j'ai une certaine sympathie pour l'Ami 6, parce qu'il fallait oser sortir ça et parce qu'elle évoque des souvenirs familiaux, et aussi parce qu'elle n'était finalement pas dénuée de qualités, je ne sais plus ce que j'ai pu dire qui motive cette dédicace...

 

Et merci aussi pour cette visite, avec beaucoup de belles autos à admirer !

et puis c'est la première auto au monde a avoir des phares non ronds.

[Invité §oul767Da]

et puis c'est la première auto au monde a avoir des phares non ronds.

 

Ami 6/8 n'étaient pas non plus des prix de beauté! Plutôt moches entre nous!

[1600 S]

Ami 6/8 n'étaient pas non plus des prix de beauté! Plutôt moches entre nous!

oui on est d'accord,bien que j'ai eu une Ami 8 en berline...vilaine et mauvaise auto qui avait tendance a rentrer toute seule a la maison les jour de grand vent et de route glissante.

exemple:

 

de la pluie et de la boue,un coup de volant et hop,dans la direction d'ou tu viens(180°)...tu remet la première et direction la maison...c'est tout droit.

 

c'est surement la plus mauvaise auto que j'ai possédé.

j'ai lu des horreurs sur la R6,mais là,c'était en toute sécurité.une 4L carrossée différament,mais toutes les qualités de la 4L.

l'Ami 8,mécanique de 2cv,mais pas ses qualités de tenue de route.

j'ai bien parlé de la berline,pas le break qui était a chassis plus long et a amortisseurs plus durs;ce qui en faisait une routière remarquable...le jour et la nuit.

[Invité §oul767Da]

oui on est d'accord,bien que j'ai eu une Ami 8 en berline...vilaine et mauvaise auto qui avait tendance a rentrer toute seule a la maison les jour de grand vent et de route glissante.

exemple:

 

de la pluie et de la boue,un coup de volant et hop,dans la direction d'ou tu viens(180°)...tu remet la première et direction la maison...c'est tout droit.

 

c'est surement la plus mauvaise auto que j'ai possédé.

j'ai lu des horreurs sur la R6,mais là,c'était en toute sécurité.une 4L carrossée différament,mais toutes les qualités de la 4L.

l'Ami 8,mécanique de 2cv,mais pas ses qualités de tenue de route.

j'ai bien parlé de la berline,pas le break qui était a chassis plus long et a amortisseurs plus durs;ce qui en faisait une routière remarquable...le jour et la nuit.

 

Tout à fait d'accord. Sauf que je n'ai jamais vu l'intérêt de la R6 qui n'était qu'une 4L en plus moche et plus chère. Mais effectivement bonne voiture!

[Invité §Glm886zo]

Le Berliet GLR : le camion du siècle !

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20181120/ob_c9170b_berliet-glr-benne-129.JPG

 

 

Né dans la tourmente

Dans l’immédiat après guerre, les travaux de reconstruction et de modernisation de la France, de son industrie sont colossaux. Afin d’organiser au mieux cet effort, l’Etat français met en place le plan Pons. Celui-ci, à l’instigation de l’ingénieur Jean-Marie Pons prévoit notamment que les constructeurs poids lourds devront se concentrer dans certains tonnages, pour éviter une concurrence qui serait improductive. Le célèbre constructeur à la locomotive, Berliet, doit porter son travail sur les véhicules lourds. De plus, le fondateur Marius Berliet est assigné à résidence à Canne en attendant son procès en raison de suspicion de collaboration avec l’ennemi. L’entreprise est donc administrée par un commissaire, Marcel Mosnier. Dans un premier temps, on modernise la gamme existante. Le GDR reçoit un nouveau système de freinage, Westinghouse, plus efficace que les freins à câbles d’avant guerre. Il faut faire au plus vite en ces temps d'urgence et de restrictions. C'est la période où le délai de livraison d'une 4cv Renault peut prendre pas loin de 2 ans !

Pourtant, la famille Berliet, qui compte reprendre la main, sait qu’il ne s’agit là que d’un bricolage d’urgence. Le GDR avoue son âge, sa conception remontant aux années 20. Paul Berliet, que son père a désigné comme son successeur entreprend donc l’étude d’un nouveau camion, adapté aux défis de l’après guerre et ce, dès 1946. Il comprend que l’entreprise devra présenter des produits compétitifs dès que les restrictions auront pris fin. Avec un groupe d’ingénieurs qui lui sont restés fidèles, il commence par définir une nouvelle gamme de moteurs. Le directeur des études, Bardin, a l’idée de concevoir un ensemble de moteur rationalisé. Comme Berliet doit produire des camions de différents tonnages, il faut aussi des moteurs plus ou moins puissants. Ainsi, les moteurs auront tous la même cylindrée unitaire. De la sorte, on réduit considérablement le nombre de pièces à concevoir, produire et stocker. La différence de puissance se fera en fonction du nombre de cylindres. Le plus petit moteur (le MDX) dispose de 4 cylindres, le modèle intermédiaire (MDU) de 5 cylindres et le gros moteur (MDZ) de 6. Les cylindrées totales sont respectivement de 6,32 litres (MDX), 7,9 litres (MDU) et 9,5 litres (MDZ). Le procédé d’admission est une licence Ricardo. Dans un premier temps, les ingénieurs concentrent leurs efforts sur la production du MDU, correspondant au camion de 7 tonnes qui sera le plus vendu. On dessine une cabine très moderne avec un arrondi typique au niveau du pare choc avant, sensé réduire le choc lors d’une de collision frontale.

 

C’est en 1949 que le prototype roule pour la première fois. Il est nommé GLR8w. Le chiffre 8 fait référence à la cylindrée arrondie, tandis que le w renvoie à la présence d’un freinage à air comprimé Westinghouse. Mais rapidement, le w est supprimé et le camion sera connu comme GLR8. Sa puissance est de 120 ch et son régime moteur maximal, fixé à 2000 tours min est nettement plus élevé que celui du GDR7, son prédécesseur (1650 t/mn). Le GLR n’emprunte que peu d’éléments au GDR, le pont avant et momentanément le pont arrière. La boite de vitesses (FBNH) offre 5 rapports, contre 4 pour le GDR. Pour le reste, avec une esthétique flatteuse et moderne, un moteur puissant, offrant 45 ch de plus que celui du GDR, le nouveau Berliet présente des caractéristiques enviables. Il est particulièrement nerveux. Si le GDR plafonnait à 55 km/h, le GLR atteint 70.

Le 23 septembre 1949, il reçoit son certificat de conformité et la même année, il est présenté au salon de Paris. Il reçoit alors un accueil très favorable ! Il faut dire que la concurrence est faible. Le marché n’est pas encore ouvert aux constructeurs étrangers et en France, seul le Renault R4140 semble en mesure de s’opposer au Berliet. Semble seulement, car le 7 tonnes de la Régie est équipé d’un moteur peu puissant (105 ch) suspendu sous le châssis (d’où son surnom peu flatteur de fainéant). Du coup, la garde au sol est faible et ne permettra jamais au R4140 de percer en chantier où le GLR excelle. De façon générale, le Renault reste largement inférieur au Berliet. Quant aux autres constructeurs, ils ont une production confidentielle (Latil, Bernard, Willème, Somua…), reste donc Unic qui ne propose pas un modèle vraiment équivalent en tonnage. A l’origine, le GLR est proposé en version châssis cabine mais également avec différentes carrosseries construites chez Berliet (plateau ridelles ou bâché…). Deux empattements sont disponibles : 4,40 et 5,04 mètres.

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20181120/ob_0ae131_000ob-48099b-dscn9215.JPG

 

Le GDR, prédécesseur du GLR. On mesure le chemin parcouru du point de vue de l'esthétique.

Les évolutions : de plus en plus lourd

Le nouveau Berliet connaît donc rapidement un certain succès, d’autant plus que le camion est bien né. Les utilisateurs font remonter quelques imperfections qui sont vite corrigées, mais le camion s’avère fiable, assez économe, puissant et capable de charger plus que sa charge nominative. Il peut tracter une remorque de 8 tonnes grâce à son pont à double réduction. Tout cela a un prix et le GLR est assez cher, 2,9 millions de francs, soit 410 000 de plus qu’un GDR. Décision est prise de maintenir en production le GDR, d’autant que la modernité de son successeur déroute certains acheteurs. Le moteur à 5 cylindres surprend les observateurs, habitués à un nombre pair de cylindres.

 

En mars 1951 le GLC6, avec son groupe MDX de 90 ch est commercialisé. C’est le second maillon de la gamme GL. Il se reconnait à son capot plus court.

 

Dès juillet 1951, apparaît le GLR8 2ème série, qui bénéficie d’un poids total à charge de 14,5 tonnes contre 13,5 tonnes pour le premier GLR.

En janvier 1952, un modèle spécifique, étudié pour les utilisations en benne est commercialisé avec un empattement de 3,70 mètres. Le camion est nommé GLR8B (B pour benne, à ne pas confondre avec le futur GLR8b !)

Janvier 1953, le GLR8a est lancé. Peu de changements, si ce n’est son PTC qui augmente encore d’une tonne. Sa puissance atteint désormais 125 ch. Cette même année voit l’apparition du GLM troisième maillon de la gamme, motorisé par le 6 cylindres MDX de 145 ch. C'est le modèle choisi par Dinky Toys pour son camion benne bleu et orange.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20181121/ob_cb9d1a_imgp1507.JPG

 

Le Berliet GLM a inspiré Dinky Toys.

 

Quelques mois plus tard, sort le TLR8a, version tracteur routier du GLR. Dans la foulée, comme on cherche à tracter plus lourd, un TLR10 est introduit. Il s’agit d’un TLR doté non pas d’un moteur MDU, mais d’un MDZ. Le capot est plus long et la puissance est similaire à celle du GLM : 145 ch. Pour ceux qui veulent un tracteur encore plus lourd, Berliet propose également le TLM. Selon la même logique, un GLR10 est commercialisé.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20181120/ob_8a18b8_berliet-tlr10-ex-jural-14.JPG

 

Un tracteur TLR10, à moteur 6 cylindres transformé en dépanneuse.

 

 

Le GLR8b sur la route du succès

A l’été 1954, le GLR 8 voit sa cabine légèrement redessinée : le pare-brise est plus grand, les essuies glaces glissent du haut vers le bas, améliorant de ce fait la visibilité du conducteur. Si la mécanique reste la même, le pare choc est différent, il intègre un crochet de remorquage. Ce camion fait l’objet d’une nouvelle réception aux mines. Produit arrivé à maturité, le GLR se vend alors très bien, notamment en chantier. Il est très difficile de trouver une entreprise de travaux publics qui n'a pas possédé de GLR.

En 1956, le PTC augmente encore, passant de 15,5 à 16,5 tonnes et le camion est renommé GLR8R ou GLR10R (selon le moteur à 5 ou 6 cylindres), le R signifie renforcé. Le TLR ainsi que les GLC et TLC sont aussi renforcés.

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Une goudronneuse sur châssis GRL8b.

 

A cette période, les dirigeants de Berliet ont conscience que l’avenir du camion passe par une hausse de la puissance et si possible une baisse de la consommation. On se refuse à jouer sur la cylindrée, puisque la gamme est rationalisée. Une augmentation du régime moteur se traduirait par une baisse de la fiabilité. C'est le choix guère pertinent que fera Bernard, constructeur prestigieux. Plus inspiré, Berliet adopte une licence Man nommée procédé M permettant d’améliorer l’admission. Le nouveau moteur se nomme MDU24 M (pour Magic). Il réussit le tour de force de consommer 20% de moins, tout en développant 25 ch de plus ! Le MDU fait donc 150 ch, contre 180 pour le MDZ.

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Un GLR8 modernisé

 

Le M2 : un air de modernité

Les années 60 se profilent et on prévoit une hausse de la concurrence, en raison du marché commun qui se met lentement en place. Berliet décide donc de moderniser l’esthétique de son modèle phare. Le GLRM2 est donc présenté en 1960. Son capot est aplani, son pare choc plus anguleux. L’inspiration est venue du Maroc. Installé près de Casablanca, Berliet Maroc n’ayant pas l’outillage permettant de réaliser des arrondis complexes, avait développé quelques temps avant, un camion nommé Ayachi, qui a vraisemblablement inspiré le GLRM2. La production du M2 atteindra 6055 exemplaires.

 

 

L'Ayachi de Berliet Maroc, qui a inspiré la modernisation du GLR.

 

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Un GLR 8 et un GLRM2 côte à côte : on voit bien les différences au niveau du capot et du pare choc.

 

Le M3 : Relax, le confort arrive !

 

Le temps s’écoule et le confort du camion est encore celui de la cabine de 1949. En 1962, Berliet propose donc une nouvelle cabine sur le GLR, elle est nommée Relax et le camion devient GLRM3, du même coup. Il s’agit donc de l’adaptation de la cabine apparue sur le GAK. Le capot, bien que ressemblant à celui du GLRM2 est différent, pour s’adapter aux formes de la cabine Relax. Si on peut la trouver moins pure que la précédente, cette cabine offre un bien meilleur confort. L’insonorisation progresse, le pare brise arrondi en une seule pièce et plus haut offre une meilleure visibilité vers l’avant, les vitres arrières favorisent les manœuvres, la largeur intérieure progresse… Le tableau de bord de l’ancienne cabine, étroit, fixé sur la colonne de direction laisse place à une vraie planche de bord, à l’instrumentation plus complète. Enfin, le conducteur dispose d’un chauffage performant. L’adaptation ne se fera pas sans difficulté, la cabine étant trop rigide, elle s’accorde mal de la souplesse du châssis. Mécaniquement, les changements sont minimes. Un an plus tard, le PTC passe à 18 tonnes et le camion devient GLRM3R pour renforcé, il dispose d’une nouvelle boîte de vitesse, une ZF fabriquée par Berliet.

Le GLR continue donc son chemin dans le siècle, mais se ventes s’érodent quelques peu. Effectivement, la concurrence progresse, Unic avec son P12R et Saviem avec son JL29 comblent peu à peu leur retard. Mais surtout, les cabines à capot sont de plus en plus cantonnées dans des utilisations spécifiques : en benne notamment, ce qui fera dire à Berliet dans une publicité : « Le GLR n’est pas qu’une benne ». Mais pour la plupart des utilisations, les acheteurs préfèrent les camions à cabine avancée, plus maniables, avec une visibilité accrue et ce n’est pas la résistance de certains au nom de la sécurité du chauffeur, qui arrêtera le mouvement, encore accéléré par le développement des cabines basculantes.

 

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Un GLR 160 à cabine M3.

 

En 1969, des améliorations sur le moteur permettent de passer la puissance du 5 cylindres de 150 à 162 ch. Le camion devient GLR160. A la même période Berliet développe un GLR160MC pour maxi code, avec 19 tonnes de PTC, le PTR étant 29,5 tonnes. Pour ce faire, on renforce le châssis à l’aide de plats de 8mm. Au total, 4104 GLR160 sont produits. Un modèle de 195ch, le GLR200 est produit à la même période à 2578 exemplaires.

 

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Un GLR200, reconnaissable à son long capot. C'est une cabine M4 : poignées en plastique et calandre rapportée.

 

Les derniers feux du GLR

En 1974, le plastique est à la mode et Berliet y sacrifie en proposant la cabine M4, version modernisée (et plastifiée !) du modèle M3. Les poignées sont différentes, une calandre en plastique ABS est rapportée. En 1978, apparaissent les GLR 190 et 230, ultime versions du « camion du siècle ». Le capot est plus court, les phares logés dans le pare choc, à l’instar du L.64. Le moteur est à présent un 6 cylindres de 8,82 litres. Le 5 cylindres va tirer sa révérence… Un GLR230 4x4 est créé mais il est commercialisé sous la marque Renault, car entre temps, Berliet, a été racheté par Citroën, avant d’être fondu avec Saviem dans ce qui devient Renault VI, car à compter du 21 avril 1980, les Berliet deviennent des Renault.

 

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Dernier modèle : le GLR230. Celui-ci est encore en service en 2018. Il s'agit d'un modèle précoce, car il porte encore la marque Berliet

 

 

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Celui qui a inspiré les GLR 190-230, le L-64.

 

 

Epilogue

Au début des années 80, il est envisagé de doter le "Renault" GLR d’un nouveau capot en polyester, mais dans une logique de rationalisation, on préfère produire un nouveau camion. Celui-ci empruntera néanmoins le châssis et la mécanique du GLR230 : le Renault C210. Encore aujourd’hui, de nombreux GLR oeuvrent en Afrique.

Le GLR, élu par un comité « Camion du siècle » aura été produit à plus de 70 000 exemplaires durant 34 ans ! France, Allemagne, Brésil, Chine, Afrique, on le rencontrera un peu partout dans le vaste monde. Il reste sans doute le camion français le plus emblématique. Il reste sans doute le camion français le plus emblématique.

 

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Le successeur du GLR, le Renault C210.

[1600 S]

Tout à fait d'accord. Sauf que je n'ai jamais vu l'intérêt de la R6 qui n'était qu'une 4L en plus moche et plus chère. Mais effectivement bonne voiture!

les intérieurs vieillissaient mieux,et en plus tu avait un effet de carrosserie plus élaboré.

 

 

après on aime ou pas.ce qui fait préférer la 4 L,c'est que c'est devenu un mythe(41 ans),alors que l'autre(12 ans) n'a été là que pour concurrencer une de la gamme comme souvent chez Renault(R9 - R11,R15 - R17,R20 - R30...)et maintenant Clio - Mégane tu vois ,pas grand chose de changé sous ce soleil.

je viens de louer une clio 4,c'est un rêve par rapport au modèle 1.et elle n'a rien a envier a une Mégane.

[1600 S]

ces Berliets on bercé mon enfance et ma jeunesse,et il y a un truc qui m'a toujours intrigué et je n'ai jamais eu l'occasion de le demander,et j'en profite pour le faire aujourd'hui: c'est quoi ce qui est entouré en rouge,tous les camions ne l'avaient pas.et ce n'était pas toujours du même coté il me semble.

 

 

[Invité §Glm886zo]

C'est le filtre à air. Ca doit dépendre de la motorisation. Certains ont le filtre au niveau de la cabine, pour les applications "chantier" ou "désert".

[1600 S]

C'est le filtre à air. Ca doit dépendre de la motorisation. Certains ont le filtre au niveau de la cabine, pour les applications "chantier" ou "désert".

merci,c'est vrais que les bahuts qui avaient ça,étaient presque tous des camions de chantier.mais dans le passage de roue on fait pas plus poussiéreux.

je me coucherai moins bête ce soir.

il a fallut attendre plus de 50 ans pour que je pose la question .