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Après guerre (1945-1971)

[Topic officiel] Abarth de 1949 à 1986


rosso racing
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La Fiat 500 D et celles qui suivirent sera le thème du

prochain épisode, si vous le voulez bien.

C'est super ! Merci

Pour la sortie Prénois, c'était le saloon car ? Si oui, je constate avec regret, qu'il n'y a plus la 1 000TC de Pierre Brunetti. J'ai vu de superbes bagarres entre cette voiture et de bien plus grosses qu'elle. Suivant la configuration du circuit, c'est pas toujours la plus puissante qui était devant. Montlhéry 2002 et 2003 :

fab500_1128981897_brunetti2002.gif.f52e52ff66ed333293510749ac990a20.gif fab500_1128981935_brunetti2003.gif.6ef9ec9cd7a729624824a23b70419c9c.gif

 

 

 

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Invité §gjm055Pi

Rebonsoir, Gjm

C'est quand même bien dommage qu'on ne puisse profiter

de tes dessins et peintures!

 

Tu vois, j'ai fait une expérience pour le "feuilleton Fiat 500:

j'ai tout tapé tranquillement sous Word et j'ai copié

les références données par Imageshack (le site de traitement des photos) également sous Word, en les insérant dans mon texte.

Quand j'ai eu terminé, j'ai fait un copier-coller de l'ensemble,

de Word à Forum auto. En une seconde tout était là et

cela m'a évité les blocages de F.A quand on reste parfois

trop longtemps sur la page.

Tu peux essayer pour tes textes.

 

Cordialement à toi.

 

Bonjour,

 

Merci pour toutes ces informations sur l'informatique...et la Fiat 500.

Je t'ai envoyé un MP.

Amicalment

gjm

 

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Salut Fab500

 

Il y avait effectivement à Prenois une course de saloon cars.

Je dois reconnaître que j'adore les voitures de saloon cars

(et également les Maxi 1000, mais elles n'étaient pas là

ce week end) qui me font penser aux voitures de groupe 2

ou 4 de nos belles années. Il n'y avait pas Pierre Brunetti

et sa 1000 Abarth. Mais je joins aussi deux photos prises

lors des précédentes courses à Prenois.

A propos de pierre Brunetti, j'en parlerai dans un des tout

derniers épisodes de la saga des Fiat 500.

Prochain épisode, probablement lundi soir prochain...

A +

 

 

http://img337.imageshack.us/img337/2057/abarthbrunetti0fz.jpg

 

http://img450.imageshack.us/img450/4606/abarthbrunetti16om.jpg

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Invité §gjm055Pi

Bonsoir Gjm,

 

J'espère que le camion Panhard est bien avancé... Je t'ai adressé un MP.

Cordialement.

 

Bonsoir,

En fait, j'en ai dessiné deux et c'est terminé...je me suis beaucoup amusé...merci pour le MP.

Bon on s'éloigne des Abarth mais je ne perds pas de vue ce que j'ai promis sur les 12 heures de Sebring.

Amicalement

gjm

 

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Je me disais bien aussi qu'il avait une drôle d'allure, le petit bi-cylindre Abarth! Je n'avais cependant pas prêté plus d'attention au moteur... J'avais déjà vu des répliques de 850-1000 TC avec des moulins d'A112, mais pas encore sur des bases de 500. Et bien c'est fait. C'est sûr que cela doit pousser (droit?)!

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Si il a mis un train triangulé, ça peut pousser droit. Je pense que cela a été fait avec les freins qui vont bien. Si non ça serait à mon avis inconduisible ou presque ! Sur notre 1000 TC Réplica, sans le train triangulé, (nous avons encore la lame avant), pour que ça pousse droit, il faut être en accélération en permanence. Dès qu'on lève le pied, elle se balade de l'avant !

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Attend un peu, Fab500, tu viens me dire, comme ça, que tu as,

semble-t-il avec une autre personne, une 1000 TC

(même réplica)! Tu en as trop dit ou pas assez!!

Alors tu parles qu'on attend tous que tu nous en parles

dans le détail

et bien sûr que tu nous passes des photos!

 

Bon, pour la tenue de cap, tu confirmes ce que je pensais.

Le problème c'est l'avant. La 500 à moteur A112 passée

par Rosso semble courir en slalom, donc à des vitesses

pas très élevées. Si elle tire de l'avant comme

votre 1000 TC, cela ne doit pas être trop gênant.

 

A +

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Une photo que j'ai prise (évidemment à Savigny). Je pense qu'il s'agit

d'une 3 litres. Mais Rosso racng, qui a l'air très pris par son boulot, trouvera peut être un moment pour nous en dire plus.

Si tu me lis, Rosso, bien cordialement à toi.

 

http://img419.imageshack.us/img419/5371/3lsavigny4me.jpg

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Invité §fla266eR

Ca fait quelques jours que je ne suis plus passée, merci Fanatix pour ton feuilleton sur la fiat 500.

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Attend un peu, Fab500, tu viens me dire, comme ça, que tu as,

semble-t-il avec une autre personne, une 1000 TC

(même réplica)!

Si elle tire de l'avant comme

votre 1000 TC

Nous avons cette 1000, achetée toute prête, avec mon compagnon, depuis 15 ans. Malheureusement elle sort peu. Les quelques sorties qu'elle a faite lui ont coûté un spoiler avant (un trottoir trop agressif à Orléans) et un joint de culasse. Avec le nombre de tours qu'elle prend et sa tenue de route, c'est rien. Elle ne tire pas de l'avant, elle flotte quand on décélère. Voici la bête pourvue d'un A112 (Trappes et Monlhéry).

 

fab500_1129239349_1000tcthierry.jpg.9eb1c67ac95657adbebbbd1d2c3b38af.jpg fab500_1129239400_montlhery4.jpg.5eca866ca3f776ea24ac0239857c89a3.jpg

 

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Ah, Fab500, tu en fais rêver plus d'un... Elle est très belle et

on ne dirait vraiment pas une "réplica" (parce que des réplicas,

j'en ai vu de ...discutables, va-t-on dire charitablement...

mais heureusement il y en a de très belles, la preuve).

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Invité §gjm055Pi

Tu sais, Flashush, ça me fait plaisir aussi de faire ce petit feuilleton. Prochain épisode: mardi soir, et non lundi comme prévu. A +

 

Bonsoir,

 

Merci pour ce feuilleton....qui me rappelle que nous avons une petite Fiat 500 qui sommeille à côté de notre auto !!Bon c'est pas une Abarth mais elle a une bonne bouille.

Amicalement.

gjm

 

 

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Invité §fla266eR

Fab500 magnifique petite Fiat. C‘est une 500 changé en Abarth si j‘ai bien compris?

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Non, c'est pas une 500 transformée.

Le grand sorcier Abarth a boucoup travaillé sur la base de la Fiat 600. La 1000 TC est faite sur cette base. La version la plus évoluée (1970 ou 71) a été : l'Abarth 1000 Berlina Corsa Radiale Groupe 5 : 982 cm3, boîte 5 rapports, 583 kg 200 km/h !

La notre doit, je pense, ne pas dépasser les 170 km/h. On ne regarde pas vraiment le compteur de vitesse quand on tourne et puis il doit pas être très pécis ! On regarde surtout le compte tours, la température d'eau et la pression d'huile.

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Bonsoir les amis et bonsoir Rosso, content d'avoir de tes nouvelles.

 

Merci Walt, pour le site du musée Abarth en Belgique. De belles images

dont on ne se lasse pas.

 

Bon, ce soir j'ai du mal à ouvrir correctement les pages du topic,

c'est long et les photos ne s'affichent pas toutes ou pas en entier.

J'ai dû arrêter l'ordi et redémarrer pour que cela aille un peu mieux.

C'est pas toujours drôle, l'informatique.

 

J'ai prévu la suite de la saga 500 pour demain, mais comme c'est prêt,

je vais balancer le zinzin ce soir.

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Fiat 500 SUITE

 

Rappelez-vous, Fiat a connu quelques déboires avec la première version

de la Nuova 500, trop austère et dépouillée, trop peu logeable,

au regard de son prix, pourtant peu élevé. Il aura fallu trois ans

pour que la firme turinoise, de modifications en améliorations,

parvienne à proposer un modèle réellement acceptable par le public.

 

Ce modèle, il a pour nom la Fiat 500 D apparue en 1960 et qui

disparaîtra en 1965 pour être remplacée par une version F,

doublée d’une version L.

 

Extérieurement, on ne fait pas grande différence entre

la nouvelle Nuova 500 D et la Nuova 500 N « toit ouvrant » de 1959,

puisqu’il reprend la même carrosserie avec son demi-toit en dur boulonné

sur la caisse, et sa capote sur les places avant, ainsi que ses portes

ouvrant face à la route ( « portes suicides »), système pourtant

abandonné par la plupart des constructeurs de voitures conçues

dans les années 1950, mais auquel Fiat s’accrochait pour ses deux

petites populaires, les 500 et 600.

Mais gros avantage pour les messieurs sur les trottoirs qui pouvaient mater les jambes de la dame en jupe qui descendait de sa 500…

 

Seule différence notable par rapport à la précédente version N,

les clignotants vont quitter les ailes avant, où ils seront

remplacés par un répétiteur, pour prendre place sur la jupe,

sous les phares. Son nom commercial était d’ailleurs

« Nuova 500 D toit ouvrant ».

 

http://img418.imageshack.us/img418/8603/500d60652yd.jpg

 

Mécaniquement, on retrouve le petit bi-cylindre, qui dérive

de la version équipant la 500 Sport produite en 1958 et 1959.

Ses 499,5 cc développent 17,5 cv à 4 000 t/mn, soit 1 cv de plus

que la 500 N Toit ouvrant précédente. Ce qui n’est pas beaucoup,

il faut bien l’avouer. Mais quand on a aussi peu de puissance,

chaque cheval compte. Il faut bien se consoler ainsi. La vitesse

de pointe n’évolue pas beaucoup. De 85 km/h à sa sortie en 1957

avec ses 13 cv, la 500 gagne une dizaine de km/h.

 

De fait, l’essentiel des modifications touchera le confort,

la sécurité et la présentation. Certes toutes les modifications

n’arriveront pas la même année, mais la 500 D finira par se

trouver équipée, sinon pas mieux, du moins de manière équivalente

à bien d’autres véhicules populaires de l’époque.

 

C’est ainsi que les passagers arrière disposent d’une nouvelle

banquette de meilleur aloi, dont le dossier est d’ailleurs rabattable

pour permettre le chargement de bagages, de protections pour la tête

sur les montants arrière de carrosserie. Des bourrelets protègent

également les genoux des passagers avant. Les fumeurs disposent

enfin d’un cendrier et un éclairage intérieur est couplé à

l’ouverture de la porte conducteur (seulement).

Des poignées de maintien sont installées à la base du toit,

ainsi que des pare-soleil. Mécaniquement, il convient de relever

quelques retouches dans le dessin de commandes (starter, démarreur),

un retour automatique des essuie-glaces et un lave vitre

(commande manuelle).

 

Ce modèle trouvera sa vraie place dans le marché et connaîtra

un engouement de plus en plus marqué auprès du public italien

d’abord, européen ensuite, d’autant plus qu’elle était

de moins en moins concurrencée par la Fiat 600,

qui comme son nom de l’indique plus, était devenue une 750.

 

http://img450.imageshack.us/img450/8168/50019609to.jpg

 

La carrière de la 500 D se terminera en 1965. La 500 D est morte ?

Vive la 500 F qui régnera jusqu’en 1972 et qui ouvrira réellement

les portes du succès à la petite 500!

 

C’est donc à la version F qu’échoit la responsabilité d’être encore

plus populaire que la D. Fiat revoie donc sa copie une nouvelle fois,

mais avec plus de profondeur.

 

En effet, la nouvelle F va nécessiter une refonte de la chaîne

de fabrication car sa structure est fortement modifiée. D’une part,

le demi-toit en dur monté depuis 1960 et qui n’était que boulonné

se trouve à présent intégré à la structure même du véhicule et

les portes (avec poignées à bouton-poussoir) s’ouvrent, ô miracle,

dans le bon sens. Par là-même, les charnières de portes disparaissent,

les flancs étant dorénavant totalement lisses. Le pare-brise

gagne aussi en surface.

 

La décoration extérieure est simplifiée : nouvel écusson de calandre

en plastique avec moustache au lieu de l’emblème alu en trois morceaux, nouveaux feux arrière, nouveaux enjoliveurs de roue chromés,

nouveaux phares assymétriques. Les baguettes en aluminium de capot

et sur les flancs disparaissent, ainsi que de la grille arrière.

En 1968, le sigle « Nuova 500 » fait place, sur le capot arrière,

au sigle « Fiat 500 ».

 

http://img147.imageshack.us/img147/579/500f657214fc.jpg

 

On voit donc que la Nuova des années 50 et 60 fait place à une version

plus moderne à l’aube des années 70, plus conforme aux standards

de l’époque, tant sur le plan de l’agrément que de la sécurité.

 

A l’intérieur, pas mal de petites retouches (matières des accessoires, couleurs) caractérisées par encore plus de recours à l’usage

du plastique (manettes de commodo, poignée de capote, boite à gants, etc).

Le tableau de bord toujours rond est gradué jusqu’à 120 km/h,

ce qui est bien optimiste. En 1972, alors qu’elle vit ses derniers mois,

la 500 F sera dotée de la colonne de direction en trois parties de la 126

(à voir dans un prochain épisode) et de son volant.

 

Sous le capot arrière, toujours le 499,5 cc mais on peut compter

sur 18 cv. La robustesse est améliorée (arbres de roues plus gros,

bras de suspension, cylindres de freins) de sorte que le conducteur

n’a plus peur de pousser la voiture jusqu’à la folle vitesse de 95-100 km/h.

 

http://img147.imageshack.us/img147/9652/500moteur8oc.jpg

 

Mais le public en veut toujours plus. Il devient exigeant.

La 500 F ne lui suffit plus et les ventes, bien que bonnes,

n’évoluent plus vers le haut. La clientèle veut une 500 luxueuse.

 

Alors Fiat va adjoindre à la 500 F une version Luxe : la 500 L

en 1968. Mais Fiat est malin, le prix de la L ne sera donc

jamais supérieur de 10% à celui de la F permettant ainsi à

la clientèle de la 500 F de passer sans trop de soucis

financiers à la 500 L.

 

Et ce sera un très grand succès bien que la voiture ne soit

guère plus logeable, que la suspension soit toujours aussi

sèche et le moteur aussi bruyant à l’intérieur de l’habitacle.

 

En 1971, il se vend sept fois plus de L que de F.

Ce n’est pas peu dire car les F continuent à se vendre

sans problème et Fiat, pour ne pas être dépassé par la demande,

sera amené à doubler les chaînes de montage de Turin par celles

de Desio (Milan), normalement affectée à Autobianchi,

et par celles de Palerme (usine Sicilfiat).

 

http://img211.imageshack.us/img211/9748/500l687217kr.jpg

 

Mais qu’à donc fait Fiat pour que le public soit aussi enclin

à payer 10% de plus pour avoir cette fameuse 500 L ?

En fait, pas grand chose : Intérieurement, le luxe c’est

essentiellement un tableau de bord rectangulaire, type Fiat 850,

revêtu d’un revêtement noir granuleux, un volant type sport

à branches métalliques, le déplacement de divers interrupteurs

et contacteurs, de nouveaux revêtements de portières,

assortis au simli des sièges, et une moquette bouclée.

Les sièges sont inclinables et basculants. Comme sur la F,

la colonne de direction et le volant seront empruntés à la 126

à partir de 1972, juste avant que les 500 F et L ne soient

remplacées par la 500 R.

 

http://img211.imageshack.us/img211/5278/500l1968tableaudebord9gd.jpg

 

A l’extérieur, la 500 L devient une « grande voiture »,

puisqu’elle dépasse les trois mètres alors que la F ne les atteint pas.

Dame, la L fait exactement 3,025 mètres de long contre 2,970 mètres

à sa sœur. Et cela grâce aux protections de pare-chocs,

en tube chromé. Du coup , la plaque d’immatriculation

descend sous le pare-chocs pour ne plus être cachée

partiellement par les tubes de protection. Mais le coffre est

toujours aussi petit malgré la mise en place d’un nouveau

réservoir d’essence. Seul celui de l’Austin Mini est encore plus petit.

 

http://img211.imageshack.us/img211/3315/500coffre3aa.jpg

 

La calandre s’orne d’un nouveau logo, tout simple et en hauteur,

qui est identique aux autres modèles de la marque. Le parebrise

et la lunette arrière sont soulignés d’un jonc chromé qui fait

plus riche. Les enjoliveurs de roues chromés font également

plus cossus. De nouvelles couleurs sont aussi proposées pour la L.

 

Mécaniquement, aucune modification par rapport à la F,

mais une amélioration de la tenue de route par l’adoption

de pneus à carcasse radiale.

 

Malgré de tels succès commerciaux, Fiat souhaite proposer

à sa clientèle de petites voitures, autre chose qu’une 500

qui a déjà une longue carrière et qui n’a plus les attraits

de la nouveauté et du design de l’époque..

 

Partant quand même du principe que c’est dans les vieux pots

qu’on fait les bonnes soupes, Fiat va reprendre comme base

la 500 et la doter d’une nouvelle carrosserie, plus moderne,

un peu comme l’avait fait Citroën avec sa 2 cv et sa Dyane,

sauf que la Fiat 126 sera (plus) réussie esthétiquement…..

 

En 1972, la Fiat 126 est présentée. Dans le même temps,

la 500 est encore modifiée et devient la version 500 R

qui ne sera même pas importée officiellement en France.

Elle sera produite jusqu’en 1975, tandis que la 126 poursuivra

sa carrière jusqu’en 1991.

 

Le prochain épisode (la semaine prochaine) sera donc consacré

à la période 1972-1991, si vous êtes toujours fidèle

au topic de Rosso…

Et après ce sera la Jardinière, les Bianchina d'Autobianchi, puis les sportives (Abarth, Giannini, Steyr Puch) enfin les dérivés divers (et ils sont nombreux)Donc encore 7 ou 8 épisodes. Faut que je tienne le rythme...

 

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Invité §fla266eR

Merci Walt pour l‘adresse du site du musée. Les photos sont un régale.

 

Comme je vois Fanatix, toujours aussi motivé pour faire ton feuilleton et j‘attends avec impatience la semaine prochaine.

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Je vais me reposer un peu car à partir d'après demain, je n'aurai plus trop la possibilité de venir sur l'ordi, sauf une fois où je passerai la suite de la 500 et compagnie. Début novembre, je reviendrai plus souvent faire l'intérim de Rosso!!

 

Au fait, Rosso, peux-tu me donner des détails pour la vente aux enchères

du 30 octobre à Savigny? (horaires notamment)Merci d'avance.

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Invité §gjm055Pi

Bonjour à tous,

 

Bon, je reprends ce fameux classement des Abarth aux 12heures de Sebring; ils sont extraits de l'excellent ouvrage américain de Ken Breslauer.

 

édition 1958 :

- 30ème position,150 tours couverts : Fiat Abarth Zagato n°63 (747 cm3), engagée par Baron de Graffenfried (Suisse) et pilotée par John Brumby/Frank Aldhous/Ray Martinez

- 31ème position,148 tours couverts : Fiat Abarth Zagato n°64 (747 cm3), engagée par Baron de Graffenfried (Suisse) et pilotée par Charles Kissinger/Willie West/Alfonso Thiele

- 32ème position,145 tours couverts : Fiat Abarth Zagato n°80 (747 cm3), engagée par Dr Harry Fry, Miami(USA) et pilotée par Harry Fry/Lew Rappaport

- 45ème position,ne finit pas la course, 116 tours couverts : Fiat Abarth Zagato n°65 (747 cm3), engagée par Alfred Momo, New York(USA) et pilotée par Denise McCluggage/Ruth Levy

 

édition 1959 :

- 28ème position, 152 tours couverts : Fiat Abarth Monza n°64 (747cm3), engagée par Roosevelt Auto Co.Inc, Washington DC (USA) et pilotée par Bill Rutman/Ray Cuomo/Paul Richards

- 29ème position, 150 tours couverts : Fiat Abarth Monza n°62 (747cm3), engagée par Roosevelt Auto Co.Inc, Washington DC (USA) et pilotée par Remo Cattini/Lanzo Cusino

- 30ème position, 149 tours couverts : Fiat Abarth Monza n°65 (747cm3), engagée par George F.Schrafft, New York (USA) et pilotée par Georges Schrafft/Jim Jeffords/R.Kuhn

- 32ème position, 147 tours couverts : Fiat Abarth Monza n°63 (747cm3), engagée par Roosevelt Auto Co.Inc, Washington DC (USA) et pilotée par Mario Poltronieri/Alfonso Thiele/John Norwood

 

édition 1960 :

- 38ème position, 115 tours couverts : Fiat Abarth Monza n°66 (747cm3), engagée par Roosevelt Auto Co.Inc, Washington DC (USA) et pilotée par Paul Richards/Ray Cuomo

 

édition 1961 :

- 40ème position, 101 tours couverts (dernière auto classée): Fiat Abarth Monza n°80 (982cm3), engagée par Abarth DFL Co., Chicago (USA) et pilotée par James Calhoun/Marvin Dee

- 43ème position mais ne finit pas la course : Fiat Abarth Monza n°68 (982cm3), engagée par Abarth DFL Co., Chicago (USA) et pilotée par Dr.F.Taylor/Harry Washburn

 

édition 1962 :excellente édition pour Abarth !!

- 10ème position, 180 tours couverts : Fiat 850S Abarth n°76 (982cm3), engagée par Abarth Corse (Italie) et pilotée par Jean Guichet/Alfonso Thiele/Mauro Bianchi

 

A noter l'excellente performance de la Porsche Abarth Carrera n°49 qui termine 9ème et qui en appellera d'autres pour les anées suivantes.

 

édition 1963 :

- 21ème position, 173 tours couverts : Abarth 1300 Simca n°61 (1288cm3), engagée par Abarth Corse (Italie) et pilotée par Tommy Spychiger/Teddy Pilette

- 33ème position, 160 tours couverts : Abarth 1300 Simca n°63 (1288cm3), engagée par Canada Track & Traffic Magazine (Canada) et pilotée par Norman Namerow/Peter Lerch/V.Atwell

- 47ème position, ne finit pas la course avec 83 tours couverts : Abarth 1300 Simca n°62 (1288cm3), engagée par Abarth Corse (Italie) et pilotée par Hans Herrmann/Mauro Bianchi

- 51ème position, ne finit pas la course avec 67 tours couverts : Abarth 1300 Simca n°60 (1288cm3), engagée par Abarth Corse (Italie) et pilotée par Bob Grossman/Ray Cuono

- 57ème position, ne finit pas la course avec 41 tours couverts : Abarth 1300 Simca n°60 (1288cm3), engagée par Abarth Corse (Italie) et pilotée par Piero Frescolbadi/G.P Biscaldi

 

édition 1964 :

- 24ème position, 165 tours couverts : Abarth Simca n°62 (1267cm3), engagée par Ray Heppenstall, Glenside (USA) et pilotée par Thomas Fleming/Otto Lindon/Jim Diaz

- 34ème position, 139 tours couverts : Abarth Simca n°63 (1267cm3), engagée par Scuderia Bear, Pittsburgh (USA) et pilotée par W.S.Mc Kelvy/Richard Holquist

 

édition 1965 :

- 58ème position, ne finit pas la course avec 36 tours couverts : Abarth Simca n°46 (1946cm3), engagée par Arthur A.Swanson, Boston (USA) et pilotée par Arthur Swanson/Bob Ennis

- 61ème position, ne finit pas la course avec 27 tours couverts : Abarth Simca n°63 (1267cm3), engagée par Scuderia Bear, Pittsburgh (USA)et pilotée par Millard Ripley/Richard Holquist

 

à noter l'Abarth Simca n°47 (1996cm3)du Faza Motorsport (USA)qui était première...sur la liste des autos réservistes !!

 

édition 1969 :

- la Fiat Abarth n°91 (2000cm3), engagée par Anatoly Arutunoff Bartlesville (USA)n'a pas pris le départ

 

édition 1970 :

- 29ème position, avec 166 tours couverts : Fiat Abarth Spyder n°54 (1980cm3), engagée par Automobiles of Italy, Tulsa (USA) et pilotée par Anatoly Arutunoff/Bill Pryor

 

édition 1971 :

- 44ème position, ne finit pas la course avec 61 tours couverts : Fiat Abarth n°54 (1980cm3), engagée par Automobiles of Italy, Tulsa (USA) et pilotée par Anatoly Arutunoff/Wm Pryor/Bryan Goellnicht

 

édition 1972 :

- 46ème position, ne finit pas la course avec 57 tours couverts : Fiat Abarth n°54 (2000cm3), engagée par Automobiles of Italy, Tulsa (USA) et pilotée par Anatoly Arutunoff/Bryan Goellnicht

 

Voilà j'espère que je n'ai oublié personne.

Amicalement.

 

gjm

 

 

 

 

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Invité §gjm055Pi

Bonjour, Gjm

 

Et bien ça c'est du bon boulot. Difficile d'être plus complet! Amicalement.

 

Bonsoir Fanatix,

 

Merci , j'ai eu peur que celà ne passe pas ; je crois que j'ai trouvé quelque chose sur Abarth et le Nürburgring mais pour le moment je n'ai pas le temps de voir celà de plus près.

Amicalement

gjm

 

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Fiat 500 et compagnie (suite).

Ce soir, en deux tomes: la fin de la 500 et la 126.

C'est parti!

 

En novembre 1972, Fiat présente au salon de Turin une nouveauté :

la Fiat 126 et une nième version de la Fiat 500.

De fait, la nouveauté de la 126, c’est la carrosserie, car toute

la base mécanique, les trains roulants et l’architecture même de l’engin,

avec son moteur en porte-à-faux arrière, sont repris de la Fiat 500,

qui ne disparaît pas pour autant du catalogue.

 

http://img380.imageshack.us/img380/6677/126et500r197213qb.jpg

 

La F et la L disparaissant, la R (comme « Rinnovalta » ou Rénovée

en français) apparaît comme ultime évolution.

La révolution c’est que la 500 n’est plus une 500…mais une 600,

et pour être précis, sa cylindrée est de 594 cc correspondant

d’ailleurs à la cylindrée des Fiat Abarth 595, cylindrée obtenue

par une augmentation de l’alésage seulement.

Il s’agit en fait de l’évolution du groupe propulseur de la 500 L

destinée à la nouvelle 126. Mais de 23 cv sur la 126, le moteur

de la 500 R était ramené à 18 cv à 4 600 t/mn, soit la puissance

des précédentes F et L. Avec l’adoption d’un couple conique identique

à celui des 500 Sport et 595 Abarth, la 500 F parvient, enfin,

à dépasser la vitesse de 100 km/h !

Ce moteur, économique, se montre particulièrement souple (beaucoup

plus que les précédents) et agréable avec des reprises en 4ème

enfin acceptables. La boite synchronisée des 126 a été adaptée

sur la 500 R ce qui est un très grand progrès par rapport à la boite à crabots, mais allez savoir

pourquoi, la 1ère vitesse est passée

à côté de la distribution des synchros…

 

Dans le compartiment moteur, on note quelques différences par rapport

à toutes les anciennes versions de 500 : emplacement du démarreur, emboutissage différents

de la joue d’aile gauche pour laisser

la place au couvercle de filtre à air, berceau supplémentaire

d’origine 126 pour supporter la boite, bras de support du moteur

remplacé par un système de ressort et coupelles ; etc

 

De fait, il ne fallait surtout pas que la 500 R fasse de

la concurrence avec la nouvelle 126. Alors que cette dernière

avait une présentation plutôt flatteuse, on simplifie sur

la 500 R qui est moins bien équipée que l’ancienne version F.

Les pneus à carcasse radiale sont aussi en option, alors qu’ils

étaient de série sur la 500 L.

 

A l’extérieur, toute fioriture disparaît. Les pneus demeurent

des 125x12 mais montés sur de nouvelles jantes de 3,5 pouces

au dessin identique à celui des Fiat 126.

Ces jantes d’allure plus sport que les précédentes, et dépourvues d’enjoliveurs, pouvaient

être remplacées, sur option,par celles de la 126.

 

http://img380.imageshack.us/img380/1285/500r727515fb.jpg

 

A l’intérieur, on retrouve le compteur rond et le volant de la 500 F,

mais d’une autre couleur (en fait il s’agit du tableau de bord de

la dernière version de la Jardinière), la banquette arrière n’est plus rabattable.

Passons sur les petits détails (interrupteurs différents,

pommeau de levier de vitesse, etc)

 

Cette dernière version de la 500 fut presqu’exclusivement réservée

au marché italien. Elle n’a jamais été homologuée par Fiat en France.

Les amateurs devaient donc se débrouiller avec les concessionnaires

pour en importer et les faire homologuer à titre isolé.

 

Mais, d’une manière générale, le public lui préféra la Fiat 126.

Devant le peu de succès de la 500 R, Fiat cessa de la fabriquer à Turin

et la fit construire par Autobianchi à Desio. Puis la chaîne de montage

fut transférée en Sicile, dans l’usine Sicilfiat de Termini Imerese vers Palerme.

C’est là qu’elle termina ses jours le 1er août 1975 (n° 5 231 518).

 

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2ème tome de cet épisode: du côté de la 126.

Allez, zou!

 

Quant à la 126, elle est donc venue s’intercaler en 1972

entre la Fiat 500 et la Fiat 127. Alors que la 500 constitue

un énième replâtrage du modèle initial, la 126 respecte

les normes de sécurité (colonne de direction) et (déjà)

d’antipollution de l’époque.

Elle est plus longue de 3 cm que la 500, soit 3,054 mètres.

 

http://img390.imageshack.us/img390/6913/500126superposes2cw.jpg

 

Son pavillon plus plat et plus long fait gagner de

l’habitabilité (garde au toit et espace logeable).

A vrai dire, elle est même sur ce point supérieure à l’ex-Fiat 600.

Important changement également : la contenance du coffre,

plus vaste que celui de la 500, grâce à l’installation

du réservoir de carburant latéralement sous le

siège arrière gauche.

La surface vitrée est plus importante que sur la 500.

Les vitres avant sont dotées de déflecteurs orientables,

tandis que les vitres arrière restent fixes

(ouverture par compas sur option).

 

http://img390.imageshack.us/img390/5003/12619726zy.jpg

 

L’intérieur est pratique avec une console centrale permettant

d’entreposer de petits objets, et des vide-poches rigides

sur le flanc des portières. Le tableau de bord est capitonné

de simili cuir noir. Le compteur rond prend place

dans un ensemble rectangulaire à visière d’aspect

plus moderne que celui de la 500 R, hérité des

500 précédentes (sauf la L).

 

http://img390.imageshack.us/img390/9866/126tableaudebord9yc.jpg

 

Le moteur est sans surprise comme on l’a vu plus haut,

tout comme les suspensions et trains roulants.

Les freins demeurent à tambour. Si la solution de reprendre

les organes mécaniques de la 500 ne permet pas une réelle modernité

sur ce plan, mais en contrepartie, l’ensemble est sans surprise pour l’utilisateur et parfaitement rôdé.

Ce moteur, dont les caractéristiques ont été rappelées avant

(Fiat 500 R), développe 23 cv à 4 800 t/mn, permettant

un bon 105 km/h. Les jantes à déport important ont un aspect

plutôt sportif et portent des pneus 135x12.

 

L’innovation, à part la nouvelle cylindrée, est l’adoption

d’une boite synchronisée, sauf la 1ère toujours à enclenchement

par crabots, ce qui apparaît plutôt gênant pour une voiture

destinée à la ville, avec en conséquence un usage fréquent

du premier rapport.

 

http://img390.imageshack.us/img390/2558/chassis12619724mi.jpg

 

L’accueil du public n’est ni froid ni particulièrement chaud.

La 126 se vendra bien, surtout lorsque la 500 disparaîtra

définitivement du catalogue en 1975.

D’abord fabriquée sur les chaînes de l’usine Mirafiori,

la 126 sortira bientôt également des chaînes de la nouvelle

usine de Cassino, dans le sud italien.

 

Durant ses presque 20 ans de carrière, la 126 va connaître

quelques améliorations de détail intérieur, mais surtout

des augmentations de cylindrée.

 

En 1977, Fiat présenta une 126 personnalisée.

Elle portait d’ailleurs l’appellation de 126 Personnal

(2 places avant et espace de secours ou à bagage à l’arrière)

ou Personnal 4 (4 places). La différence intérieure tient

à l’installation d’une simple planche à l’arrière dans la Personnal

avec un bourrelet au niveau des épaules, au cas où des enfants

voudraient s’arranger de cet emplacement spartiate,

la Personnal 4 disposant d’une vraie banquette.

La présentation se veut plus coquette : miroir de courtoisie,

moquette, volant rembourré, emplacement radio, compas aux

vitres arrière, lunette arrière chauffante et ceintures à enrouleurs.

 

Extérieurement ces Personnal se distinguent par des pare-choc

noirs en résine et non plus chromés, plus épais, d’épaisses

baguettes latérales, de nouveaux feux arrière et de nouvelles

jantes (qui seront repris sur les autres modèles).

Le toit ouvrant est monté en série.

 

http://img390.imageshack.us/img390/2290/126personnal8sb.jpg

 

http://img390.imageshack.us/img390/9181/126personnalinrieur1vh.jpg

 

La mécanique des Personnal est inchangée mais certains organes

sont revus : tambours plus gros, moyeux, porte-fusées, arbres

de roues renforcés. Les amortisseurs sont nouveaux et un alternateur

remplace enfin la dynamo.

Seul point noir de cette petite coquette : son prix.

 

En 1978, de 594 cc le moteur passe à 652 cc développant 24 cv

à 4 500 t/mn (vitesse maxi sans changement).

 

Puis, en 1988, il est porté à 704 cc pour 26 cv permettant

un bon 120km/h ! Pour arrêter le bolide, les freins avant

sont à disques, les jantes passent à 13 pouces avec des pneus

taille basse (135-70x 13). Ce sera la 126 bis (4 cv fiscaux)

caractérisée par une carrosserie protégée par des pare-chocs

en plastique noir, type bouclier, des baguettes latérales

du type de la Personnal, mais fixées plus bas, et des

enjoliveurs de roues à trous-trous..

 

http://img436.imageshack.us/img436/306/126bis0ho.jpg

 

La 126 sera ainsi fabriquée pendant jusqu’en 1991, soit

pratiquement 20 ans. Son moteur continuera d’être monté

par la suite, durant quelques années, sur une version simplifiée

de la nouvelle Panda, destinée uniquement au marché italien

(raisons de fiscalité).

 

En conclusion, la 500 et, dans une moindre mesure la 126,

sont devenues au fil des années (1957-1991, soit 34 ans ! )

une véritable institution du paysage automobile italien

et font partie intégrante du patrimoine de l’Italie.

Sans parler de tous les dérivés. Ce sera pour les prochaines fois.

A commencer par la Jardinière, avant d'attaquer, enfin,

les sportives. Je donne donc rendez-vous aux fidèles

la semaine prochaine.

 

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Invité §gjm055Pi

Et bien moi je dis bravo et merci !!! :W

Grace à toi j'ai identifié précisément une auto que je connaissais une 126 Personnal jaune avec toit ouvrant; cette petite auto ne devait pas avoir plus de 40 000 kilomètres mais malheureusement elle n'était pas à vendre et je l'ai perdu de vue par la suite.

Bonne soirée.

gjm

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