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Technologie

L'histoire de l'injection


Invité §Vec458on

Messages recommandés

Invité §Vec458on

Désolé de vous solliciter autant pour mes exposé.

 

Maintenant c'est sur l'histoire de l'injection. Ce qui m'intéresse, c'est le passage du carburateur à l'injection : je me cantonne uniquement aux moteurs essence.

 

Si vous avez des sites ou des infos

Merci

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Invité §Tif385lq

Mercedes 300 SL : Première voiture avec injection mécanique

 

 

 

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Invité §Tif385lq

Ferrari 308 GTBi /Mondial 8i : premier flop de l'injection électronique

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Invité §Vec458on

Ferrari 308 GTBi /Mondial 8i : premier flop de l'injection électronique

Vous pouvez donner les années de sortie de tout ça. Merci

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Invité §Gra200pm

La 300 sl, elle est sortit au début des années 50, 52 ou 53 je dirais.

Moteur 6 cyl. en ligne de 3.0L, injection directe mécanique, 220cv.

 

La DS 21 i.e. a du sortir au début des années 70, 71 je dirais.

Moteur 4 cyl. en ligne de 2.1L, injection indirecte électronique, environ 110cv.

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Invité §Bas411BQ

Il me semble que la 404 a aussi exister en version injection (donc avant la DS), mais je ne sais pas si elle était déjà électronique (ça m'étonnerais).

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Invité §Phi241QE

La 404 avait une injection mecanique de chez Kugelfischer.

 

Les premiers moteurs 1.8 injection etaient montes sur les coupes et cabriolets.

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Invité §six822dW

Mercedes 300 SL : Première voiture avec injection mécanique

 

 

 

:love: mon papillon favori :love:

 

Mercedes powwaaaaa, Koi qu'on en dise :W

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Invité §Tif385lq

elle est plus jolie en cabriolet, non ?

 

 

:love: mon papillon favori :love:

 

Mercedes powwaaaaa, Koi qu'on en dise :W

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Invité §vin212gC

elle est plus jolie en cabriolet, non ?

Je suis plutôt d'accord...

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Invité §Ali768jB

Et c'est parti...

 

300 SL : en effet, injection mécanique. Mais surtout, injection directe, perfectionnée pendant la guerre sur les...avions Messerschmidt. C'était une pompe volumétrique à 6 pistons dérivée des pompes diesel Bosch, fonctionnant entre 40 et 48 bar de pression. Abandonnée pour des causes diverse, comme la tenue thermique des injecteurs, la lubrification difficile du haut des cylindres ou plus simplement la pollution.

 

En F1, l'injection arriva dès les années 50, pour se généraliser dans les années 60. A la base une injection Lucas (mécanique, bien sûr), qui se retrouva sur les V8 BRM, Coventry-Climax et Cosworth, mais aussi sur le V12 Matra.

 

En série, cela commença entre 1960 et 1970, en mécanique indirecte. Bosch chez Mercedes, mais Kugelfischer pour Peugeot avec les 404 et 504, Lancia sur la Flavia, BMW sur la 5201 ou Ford sur la Capri 2600.

 

La première injection commandée électroniquement était la D-Jetronic de Bosch dans les années 70, qui équipa en France les DS 21 et 23, la SM, la Renault 17 TS :eek: et l'Alpine 1600 Si.

 

Cette avance technologique de Bosch lui permit de se faire un nom dans ce domaine, et la firme inonda le marchée, d'abord avec les injections mécaniques K-Jetronic, dont la plus célèbre représentante est la Glof GTI de 1976, mais qu'on retrouve aussi sur les Porsche de l'époque.

 

Puis la D-Jetronic, plus fiable et moins coûteuse que la L-Jetronic, pour aboutir après de nombreuse évolutions à la commande électronique intégrale Motronic chez Bosch, toujours.

 

En injection indirecte essence, on distingue:

- injection indirecte continue (K-Jetronic)

- injection indirecte discontinue ou intermittente: le carburant n'est injecté que pendant une fraction du cycle, la période d'injection est phasée avec le cycle moteur

- injection indirecte discontinue ou phasée : la période d'injection se produit quand on le veut dans le cycle (dépoll'), généralisée aujourd'hui.

 

Selon le principe mis en jeu pour doser l'essence, on distingue (aussi ;) ):

- Injection mécanique avec pompe volumétrique haute pression entraînée par le moteur. Forcément directe ou indirecte discontinue (Bosch, Spica et Kugelfischer)

- Injection mécanique basse pression à distributeur (indirecte discontinue, Lucas à distributeur tournant)

- Injection à débitmètre d'air, continue à distributeur mécanique (Bosch K/KE-Jetronic, DVG Zénith), ou électronique discontinue (L/LE/LH-Jetronic, Motronic)

- Injection électronique sans débitmètre (mesure indirecte du débit d'air, comme sur D-Jetronic, Lucas, Weber-Marelli)

- Injection électronique cartographique, pour la compèt'.

 

Voilà. Ma source est un excellent ouvrage paru chez ETAI en 1990 : La préparation des moteurs, par Patrick Michel.

Si Vector ou un autre veut un tableau récapitulatif => message privé, je scanne et j'envoie par mail.

 

Ali, trop bavard :D

 

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Invité §Nik561qd

Et c'est parti...

 

300 SL : en effet, injection mécanique. Mais surtout, injection directe, perfectionnée pendant la guerre sur les...avions Messerschmidt. C'était une pompe volumétrique à 6 pistons dérivée des pompes diesel Bosch, fonctionnant entre 40 et 48 bar de pression. Abandonnée pour des causes diverse, comme la tenue thermique des injecteurs, la lubrification difficile du haut des cylindres ou plus simplement la pollution.

 

En F1, l'injection arriva dès les années 50, pour se généraliser dans les années 60. A la base une injection Lucas (mécanique, bien sûr), qui se retrouva sur les V8 BRM, Coventry-Climax et Cosworth, mais aussi sur le V12 Matra.

 

En série, cela commença entre 1960 et 1970, en mécanique indirecte. Bosch chez Mercedes, mais Kugelfischer pour Peugeot avec les 404 et 504, Lancia sur la Flavia, BMW sur la 5201 ou Ford sur la Capri 2600.

 

La première injection commandée électroniquement était la D-Jetronic de Bosch dans les années 70, qui équipa en France les DS 21 et 23, la SM, la Renault 17 TS :eek: et l'Alpine 1600 Si.

 

Cette avance technologique de Bosch lui permit de se faire un nom dans ce domaine, et la firme inonda le marchée, d'abord avec les injections mécaniques K-Jetronic, dont la plus célèbre représentante est la Glof GTI de 1976, mais qu'on retrouve aussi sur les Porsche de l'époque.

 

Puis la D-Jetronic, plus fiable et moins coûteuse que la L-Jetronic, pour aboutir après de nombreuse évolutions à la commande électronique intégrale Motronic chez Bosch, toujours.

 

En injection indirecte essence, on distingue:

- injection indirecte continue (K-Jetronic)

- injection indirecte discontinue ou intermittente: le carburant n'est injecté que pendant une fraction du cycle, la période d'injection est phasée avec le cycle moteur

- injection indirecte discontinue ou phasée : la période d'injection se produit quand on le veut dans le cycle (dépoll'), généralisée aujourd'hui.

 

Selon le principe mis en jeu pour doser l'essence, on distingue (aussi ;) ):

- Injection mécanique avec pompe volumétrique haute pression entraînée par le moteur. Forcément directe ou indirecte discontinue (Bosch, Spica et Kugelfischer)

- Injection mécanique basse pression à distributeur (indirecte discontinue, Lucas à distributeur tournant)

- Injection à débitmètre d'air, continue à distributeur mécanique (Bosch K/KE-Jetronic, DVG Zénith), ou électronique discontinue (L/LE/LH-Jetronic, Motronic)

- Injection électronique sans débitmètre (mesure indirecte du débit d'air, comme sur D-Jetronic, Lucas, Weber-Marelli)

- Injection électronique cartographique, pour la compèt'.

 

Voilà. Ma source est un excellent ouvrage paru chez ETAI en 1990 : La préparation des moteurs, par Patrick Michel.

Si Vector ou un autre veut un tableau récapitulatif => message privé, je scanne et j'envoie par mail.

 

Ali, trop bavard :D

 

Excellent en effet mais je ne me souviens quasiment de rien de ce qui etait raconté dans cet ouvrage :( . Tiens, il faudrait que je le relise.

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Invité §tur874nR

t'avais besoin de re-citer le message d'Ali en integral???

 

ca devient carrement illisible ces threads !!!

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Invité §Kon146MT

euuuuh, alors là si je puis me permettre, OUI c'est chiant à force (opinion personnelle) ç'est plus lisible après...

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Invité §Ali768jB

Et pourtant, je fais un effort d'aération dans mes (trop) longs posts...

 

:D

 

Ali

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Invité §Phi241QE

Moi, j'aime bien relire les messages d'Ali. Comme ca, ca rentre bien dans la tete.

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Et c'est parti...

 

300 SL : en effet, injection mécanique. Mais surtout, injection directe, perfectionnée pendant la guerre sur les...avions Messerschmidt. C'était une pompe volumétrique à 6 pistons dérivée des pompes diesel Bosch, fonctionnant entre 40 et 48 bar de pression. Abandonnée pour des causes diverse, comme la tenue thermique des injecteurs, la lubrification difficile du haut des cylindres ou plus simplement la pollution.

 

En F1, l'injection arriva dès les années 50, pour se généraliser dans les années 60. A la base une injection Lucas (mécanique, bien sûr), qui se retrouva sur les V8 BRM, Coventry-Climax et Cosworth, mais aussi sur le V12 Matra.

 

En série, cela commença entre 1960 et 1970, en mécanique indirecte. Bosch chez Mercedes, mais Kugelfischer pour Peugeot avec les 404 et 504, Lancia sur la Flavia, BMW sur la 5201 ou Ford sur la Capri 2600.

 

La première injection commandée électroniquement était la D-Jetronic de Bosch dans les années 70, qui équipa en France les DS 21 et 23, la SM, la Renault 17 TS et l'Alpine 1600 Si.

 

Cette avance technologique de Bosch lui permit de se faire un nom dans ce domaine, et la firme inonda le marchée, d'abord avec les injections mécaniques K-Jetronic, dont la plus célèbre représentante est la Glof GTI de 1976, mais qu'on retrouve aussi sur les Porsche de l'époque.

 

Puis la D-Jetronic, plus fiable et moins coûteuse que la L-Jetronic, pour aboutir après de nombreuse évolutions à la commande électronique intégrale Motronic chez Bosch, toujours.

 

En injection indirecte essence, on distingue:

- injection indirecte continue (K-Jetronic)

- injection indirecte discontinue ou intermittente: le carburant n'est injecté que pendant une fraction du cycle, la période d'injection est phasée avec le cycle moteur

- injection indirecte discontinue ou phasée : la période d'injection se produit quand on le veut dans le cycle (dépoll'), généralisée aujourd'hui.

 

Selon le principe mis en jeu pour doser l'essence, on distingue (aussi ):

- Injection mécanique avec pompe volumétrique haute pression entraînée par le moteur. Forcément directe ou indirecte discontinue (Bosch, Spica et Kugelfischer)

- Injection mécanique basse pression à distributeur (indirecte discontinue, Lucas à distributeur tournant)

- Injection à débitmètre d'air, continue à distributeur mécanique (Bosch K/KE-Jetronic, DVG Zénith), ou électronique discontinue (L/LE/LH-Jetronic, Motronic)

- Injection électronique sans débitmètre (mesure indirecte du débit d'air, comme sur D-Jetronic, Lucas, Weber-Marelli)

- Injection électronique cartographique, pour la compèt'.

 

Voilà. Ma source est un excellent ouvrage paru chez ETAI en 1990 : La préparation des moteurs, par Patrick Michel.

Si Vector ou un autre veut un tableau récapitulatif => message privé, je scanne et j'envoie par mail.

 

Ali, trop bavard

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Le 2001-10-03 14:26, Philou a écrit:

Moi, j'aime bien relire les messages d'Ali. Comme ca, ca rentre bien dans la tete. </div>

Tout pareil :W :W

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[citation][nom]Roger a écrit[/nom]

<div class="citation">

Le 2001-10-03 12:49, Ali-Pacha a écrit:

Et c'est parti...

 

300 SL : en effet, injection mécanique. Mais surtout, injection directe, perfectionnée pendant la guerre sur les...avions Messerschmidt. C'était une pompe volumétrique à 6 pistons dérivée des pompes diesel Bosch, fonctionnant entre 40 et 48 bar de pression. Abandonnée pour des causes diverse, comme la tenue thermique des injecteurs, la lubrification difficile du haut des cylindres ou plus simplement la pollution.

 

En F1, l'injection arriva dès les années 50, pour se généraliser dans les années 60. A la base une injection Lucas (mécanique, bien sûr), qui se retrouva sur les V8 BRM, Coventry-Climax et Cosworth, mais aussi sur le V12 Matra.

 

En série, cela commença entre 1960 et 1970, en mécanique indirecte. Bosch chez Mercedes, mais Kugelfischer pour Peugeot avec les 404 et 504, Lancia sur la Flavia, BMW sur la 5201 ou Ford sur la Capri 2600.

 

La première injection commandée électroniquement était la D-Jetronic de Bosch dans les années 70, qui équipa en France les DS 21 et 23, la SM, la Renault 17 TS et l'Alpine 1600 Si.

 

Cette avance technologique de Bosch lui permit de se faire un nom dans ce domaine, et la firme inonda le marchée, d'abord avec les injections mécaniques K-Jetronic, dont la plus célèbre représentante est la Glof GTI de 1976, mais qu'on retrouve aussi sur les Porsche de l'époque.

 

Puis la D-Jetronic, plus fiable et moins coûteuse que la L-Jetronic, pour aboutir après de nombreuse évolutions à la commande électronique intégrale Motronic chez Bosch, toujours.

 

En injection indirecte essence, on distingue:

- injection indirecte continue (K-Jetronic)

- injection indirecte discontinue ou intermittente: le carburant n'est injecté que pendant une fraction du cycle, la période d'injection est phasée avec le cycle moteur

- injection indirecte discontinue ou phasée : la période d'injection se produit quand on le veut dans le cycle (dépoll'), généralisée aujourd'hui.

 

Selon le principe mis en jeu pour doser l'essence, on distingue (aussi ):

- Injection mécanique avec pompe volumétrique haute pression entraînée par le moteur. Forcément directe ou indirecte discontinue (Bosch, Spica et Kugelfischer)

- Injection mécanique basse pression à distributeur (indirecte discontinue, Lucas à distributeur tournant)

- Injection à débitmètre d'air, continue à distributeur mécanique (Bosch K/KE-Jetronic, DVG Zénith), ou électronique discontinue (L/LE/LH-Jetronic, Motronic)

- Injection électronique sans débitmètre (mesure indirecte du débit d'air, comme sur D-Jetronic, Lucas, Weber-Marelli)

- Injection électronique cartographique, pour la compèt'.

 

Voilà. Ma source est un excellent ouvrage paru chez ETAI en 1990 : La préparation des moteurs, par Patrick Michel.

Si Vector ou un autre veut un tableau récapitulatif => message privé, je scanne et j'envoie par mail.

 

Ali, trop bavard

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Le 2001-10-03 14:26, Philou a écrit:

Moi, j'aime bien relire les messages d'Ali. Comme ca, ca rentre bien dans la tete. [/citation]

Tout pareil :W :W

[/quotemsg]

Z'êtes lourds, les gars...

:lol: :lol: :lol:

 

Ali

</div>penses tu ? :??::W

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Invité §Ali768jB

Bon, je montre la voie, j'ai effacé le mien (enfin, l'autre, pas celui d'origine).

 

A vous les gars... ;)

 

Ali

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Invité §Nik561qd

t'avais besoin de re-citer le message d'Ali en integral???

 

ca devient carrement illisible ces threads !!!

J'avoue, j'ai été un peu feignasse...

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