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Le Diesel tue


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j'ai entendu à la radio l'interview d'un responsable peugeot de la branche recherche développement motorisation ( suite aux essais de la commission Royal sur les moteurs diesels pour vérifier leur niveau de pollution réel ),

 

le responsable se félicitait des bons résultats de ces tests ( meilleurs que ceux des moteurs diesels renault ) tout en reconnaissant que le marché du diesel était en déclin et qu'il n'est plus très porteur à cause de l'augmentation croissante de la sévérité des normes anti-pollution rendant complexe la mise en conformité de ces moteurs diesels, sans oublier la mauvaise réputation sur le plan de la santé publique ( reportages TV, rapport de l'OMS ),

 

en lisant entre les lignes le gars de peugeot semblait miser sur les moteurs essence "down-sizing" économes, et l'hybridation énergie fossile/électrique,

 

probablement que le diesel continuera d'exister chez les professionnels de la route, mais qu'il verra sa part baisser chez les particuliers,

 

les futures évolutions du contrôle technique prévues pour 2017~2018 risquent aussi de mettre à la casse pas mal de voitures diesels mal entretenues, l'info est passée un peu inaperçue mais le volet "anti-pollution" du contrôle technique pourrait devenir beaucoup plus sévère, il n'y a plus qu'à attendre la publication des textes officiels précisant ces nouveaux niveaux de pollution à ne pas dépasser

 

 

Bonjour,

 

le monsieur a oublié de dire que le "down-sizing "turbo essence injection direct produisait beaucoup de "NOX"

 

http://automobile.challenges.fr/dossiers/20150129.LQA6990/particules-l-essence-et-l-hybride-pire-que-le-diesel.html

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Invité §cit386Gi

 

Bonjour,

 

le monsieur a oublié de dire que le "down-sizing "turbo essence injection direct produisait beaucoup de "NOX"

 

http://automobile.challenges.fr/dossiers/20150129.LQA6990/particules-l-essence-et-l-hybride-pire-que-le-diesel.html

 

les NOx produits par un moteur injection direct d'essence sont anecdotiques par rapport à la quantité émise par un diesel sans logiciel de triche ou autre magouille "rien que pour l'homologation"...

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Ce que tu oublies de dire, c'est que le chauffage de 9 heures au bois permet de chauffer une maison et de faire de l'eau chaude, par contre la chaleur dégagée par 18000 kms en voiture est en pure perte.

 

 

Moi je prends la fumée de mon voisin ... donc les particules de mon diesel sur un an sont moins nocives que son poêle pendant une nuit....

 

pourquoi ne pas interdire le chauffage au bois sauf avec filtre a particules (comme l'Allemagne).

 

si rouler a l'électrique c'est si bien , se chauffer à l'électrique ca doit être le top ... vu la quantité de particules produite...

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Invité §dav267kB

C'est bien de parler de pollution mais vous n'y changerai rien.

Seuls les grands de ce monde ont le pouvoir de faire changer certaines choses mais ils ne le font pas.

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Invité §vid457dR

Voici ma deuxième mesure, la vie, des gens heureux de rouler à vélo :lol:

 

 

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les NOx produits par un moteur injection direct d'essence sont anecdotiques par rapport à la quantité émise par un diesel sans logiciel de triche ou autre magouille "rien que pour l'homologation"...

 

 

 

Naturellement aucun triche sur les essences .....

 

pas de triche non plus sur les émissions de particules des moteurs essences.....

 

-->il y a encore plus d'écart entre la conso théorique et les consos réelles donc les chiffres réels de pollution ne doivent pas être si beaux que cela....

 

extrait:

 

Pour les motorisations essence, l'exercice était plus facile et l'intégralité repart avec une note comprise entre A et C à l'exception de la Ford Focus 1,0 l EcoBoost 125 ch qui reçoit un sévère E, qui correspondrait à la norme Euro 3 si c'était un diesel.

 

aucune triche sur l'homologation :non::lol: :lol: :lol:

 

comme quoi l'essence plus écolo que le diesel......

 

 

http://www.caradisiac.com/premiers-resultats-des-tests-nox-en-conditions-reelles-la-meilleure-voiture-est-une-volkswagen-la-pire-aussi-107792.htm

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Voici ma deuxième mesure, la vie, des gens heureux de rouler à vélo :lol:

 

 

 

 

C'est clair que l'usage généralisé et par tous les temps du vélo aux Pays Bas rend les villes très agréables à vivre... Beaucoup de famille sont équipées de vélos spéciaux permettant de véhiculer les enfants en bas âge ou les courses.

Le tout couplé à des transports en commun bien développés.

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Invité §cit386Gi

 

 

Naturellement aucun triche sur les essences ...

 

Jusqu'ici ça n'a jamais été nécessaire vu que les essences sont toujours largement sous les normes (hors NOx pour les injections directes qui sont "un fait nouveau")

pas de triche non plus sur les émissions de particules des moteurs essences...

Pas besoin de tricher vu que le législateur ne prévoit pas de mesures "éliminatoires"

-->il y a encore plus d'écart entre la conso théorique et les consos réelles donc les chiffres réels de pollution ne doivent pas être si beaux que cela...

 

Non, pas plus d'écart, pour ma part je mesure très peu d'écart sur route (4.8L sur route selon le constructeur, 5.5L en moyenne en réalité et 5.8L sur voie rapide à 110km/h au régulateur). Les dérives de pollution c'est durant les accélérations, mais quand on voit le panache noir qui s'échappe des diesel sans FAP, ça m'étonnerait que ce soit pire sur une essence (qui ne fume pas en accélération)...

 

 

 

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Bonjour,

 

Quand on parle de conso a un possesseur de véhicule essence ,il nous sort toujours la conso des dernières vacances de l'année passée ou a vitesse constante....

il ose pas nous dire tous les combiens de km il va faire le plein.... le reste de l'année....

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Faut juste demander (gentiment serait encore mieux...)

 

Conso mesurée :

- 7,0 l/100 de E10 en moyenne avec ma Yaris 1.0 en ne faisant que de la ville, avec de nombreux trajets à froid de 2 km.

- 5,5 l/100 de E10 en moyenne avec la Yaris HSD avec un mix de voies rapides à 115 compteur et d'autoroute à 135.

- 5,8 l/100 de gazole en moyenne avec ma Focus break TDDi sur les mêmes parcours que la HSD

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en théorie on ne devrait même pas utiliser de voiture lorsque le trajet est vraiment trop court, ou trop urbain ( type porte à porte, chercher le pain à la boulangerie, déposer les enfants à l'école du coin ),

 

c'est une manière de fusiller la mécanique ( surtout celle du diesel ), l'encrassement, la ligne d'échappement qui va prendre cher, la batterie qui n'aura pas le temps de se recharger, l'huile moteur jamais à bonne température,

 

les comparatifs conso carburant c'est donc assez anecdotique ( surtout vu le prix actuel assez bas des carburants ), car ce qui coutera le plus cher à un conducteur c'est la maintenance derrière, l'entretien, ce qu'on gagne en carburant avec le diesel on risque de le perdre en entretien, ou des soucis plus tard quand on voudra revendre le moulin ( au cas où le diesel continuerait à avoir mauvaise presse dans l'opinion publique )

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Invité §Ess650sw

Naturellement aucun triche sur les essences .....

 

pas de triche non plus sur les émissions de particules des moteurs essences.....

 

-->il y a encore plus d'écart entre la conso théorique et les consos réelles donc les chiffres réels de pollution ne doivent pas être si beaux que cela....

Là on voit bien que vous êtes à la recherche de la pureté absolue !

 

Il ne sera temps de s'attaquer à la pollution des Diesels quand on sera vraiment bien sûrs qu'il n'y a rien d'autre qui pourra faire crever des gosses.

A l'allure où vont les véritables tests de pollution, cela sera dans 100 ans ?

Mais en attendant, avec le Diesel on a vraiment déjà toute la triche qu'on veut, un grand bol de triche !

 

Ça ne vous suffit pas, rien que ce schéma issu de la commission Royal élaboré par l'UTAC ?

 

Détaillez le puisque vous êtes pointilleux: la norme c'est la petite ligne ridicule à gauche, verte et verticale.

 

Cette belle triche là ne vous rassasie pas ? Il vous faut autre chose ?

Résultats pour les véhicules relevant de la norme Euro 6

572dfbfa0c155.png

 

"Conclusion sur essai D3 :

Les résultats obtenus montrent que, sur les 23 véhicules Euro 6 testés, 10 émettent lors de l’essai sur piste 5 fois plus que la limite d'émissions (80 mg/km) et 3 dépassent cette même limite de plus de 10 fois."

extrait:

Pour les motorisations essence, l'exercice était plus facile et l'intégralité repart avec une note comprise entre A et C à l'exception de la Ford Focus 1,0 l EcoBoost 125 ch qui reçoit un sévère E, qui correspondrait à la norme Euro 3 si c'était un diesel.

 

aucune triche sur l'homologation :non::lol: :lol: :lol:

 

Quelle est la source de cette information ?

Qu'est-ce que vous voulez dire exactement ? Que les véhicules Essence s'en tirent remarquablement bien ?

 

Je me trompe, ou cela signifie qu'un seul véhicule est hors des clous, à l'inverse presque complet de ce qui se passe pour les Diesels ?

 

comme quoi l'essence plus écolo que le diesel......

 

 

Vous n'avez pas l'air de remarquer, mais là on ne parle pas "écolo". Il ne s'agit pas de crème adoucissante ou de bain moussant qui respecterait la nature.

On parle simplement de ne pas donner les moyens au gens de provoquer en masse des morts d'homme et des atteintes à la santé, dans le cadre de ce que nous considérons comme nos activités de vie normales, en l’occurrence les déplacements automobiles !

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Bonsoir:

 

toutes les sources sont sur :

 

http://www.caradisiac.com/Les- [...] -90754.htm

 

Google +:

 

caradisiac + nox essence

 

caradisiac + ford nox

 

émission de particules fines essence

 

filtre à particules pour moteur essence

 

la solution pour les moteurs essence passe par le taux de compression variable , le filtre a particules..

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Invité §Ess650sw

Bonsoir:

 

toutes les sources sont sur :

 

http://www.caradisiac.com/Les- [...] -90754.htm

 

Google +:

(...)

 

Non, malgré le temps qu'il fait, les "sources" sont taries, il n'y a rien à cette adresse ...

 

Juste une (erreur) 404, même pas bâchée ... :)

 

http://static.caradisiac.com/img_site/mobileResponsive/bgd_404desktop.png

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On dit que le diesel ne pollue pas, mais quand tu vois la fumée d'un diesel qui double un peu rapidement, ou la couleur de la malle d'un conducteur de véhicule qui a tendance à rouler vite on comprends de suite;

C'est facile il suffit de regarder la couleur de l'huile d'un moteur diesel, on comprends trés vite que le diesel pollue énormément.

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Ca c'est un diesel qui a sa vanne EGR encrassée ou son admission encrassée, et le diesel respire mal dans les reprises, c'est pas du fait de la motorisation diesel, mais du dispositif EGR mal géré, ou mal entretenu.

Et pour la pollution, les FAP sont là pour ne plus laisser les suies partir dans l'atmosphère et décomposer une partie des microparticules.

Le NOx ne se voit pas, c'est surtout lui le problème.

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Je suis d'accord avec toi, on vois des sorties d'échappements diesel parfaitement propre, le gaz est parfaitement traité.

J'espére que mon A3 tfsi 150 est bien placé pour le NOX. Par contre je suis un peu déçu pour les particules noires que je retrouve sur la sortie de mon échappement, même au SP98, j'en trouve quelquefois.

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Invité §Ess650sw

Vous n'êtes pas arrivé ici par hasard.

 

Alors vous êtes certainement un tantinet curieux de savoir "De quelle mort le Diesel est-il le nom"?

 

Un article récent de Médiapart traite du sujet.

 

=====

 

https://www.mediapart.fr/journ [...] r-milliers

A Paris, les morts de la pollution se comptent par milliers - 25 septembre 2016 | Par Jade Lindgaard

 

À Paris, la pollution tue 60 fois plus que l’insécurité routière.

 

Environ 2 500 personnes meurent chaque année de l’exposition aux polluants atmosphériques, en partie émis par les voitures. Le Conseil de Paris doit voter la piétonisation de la voie Georges-Pompidou lundi 26 septembre.

 

Une carcasse de tôle enfoncée dans un mur de béton. Un pare-brise strié de ridules. Un scooter éventré dans une mare d’huile et de sang. Un brancard soulevé par des pompiers qui courent. On sait tous à quoi ressemble un accident de la route.

 

Mais mourir de la pollution, qu’est-ce que ça donne ?

On n’a jamais vu de foules de piétons s’effondrer d’asphyxie lorsque le ciel de Paris devient gris à force de dioxyde d’azote, ni les cadavres s’entasser le long des rues embouteillées.

Les alvéoles pulmonaires brunissent et les artères s’épaississent en silence. Les morts de la pollution échappent au regard. Les particules fines tuent ceux qui les respirent, mais personne ne les voit.

 

Et pourtant, à Paris, les morts de la pollution atmosphérique se comptent par milliers. Environ 2 500 personnes perdent chaque année la vie à cause de l’air qu’elles respirent dans la capitale. C’est 60 fois plus que le nombre de morts par accident de la route dans la capitale. Ce chiffre, peu de personnes le connaissent. Il figure en annexe du rapport de Santé publique France publié en juin dernier et il faut fouiller jusqu’à la 116e page de l’épais rapport pour le débusquer. Il dérange, car il est difficile à comprendre. Il ne reflète pas le comptage de corps individuels, mais découle d’une estimation statistique.

« On ne meurt pas de la pollution, on meurt de pathologies qui en découlent », décrit Bernard Jomier, adjoint à la santé de la mairie de Paris et médecin.

« On peut publier la photo d’un mort du diabète, mais pas d’une victime de la pollution. »

Pour mesurer le nombre de vies fauchées par la saleté de l’air parisien, il a fallu extrapoler à partir d’études épidémiologiques françaises et européennes liant la pollution atmosphérique à l’état de santé des habitants. Concrètement, il s’agit de mesurer l’excès de risque engendré par la pollution de l’air.

« Ce travail est l’aboutissement de toute une démarche », explique Sabine Host de l’Observatoire régional de santé d’Ile-de-France. Il présente donc une part d’incertitude.

 

C’est toute la difficulté. Il ne sera jamais possible de désigner la pollution atmosphérique comme cause de décès d’une personne.

« Ce n’est pas une pathologie spécifique, mais un facteur de risque supplémentaire », précise Sabine Host.

Et pourtant, entre 6 et 7 personnes en meurent chaque jour dans la capitale française.

 

« On ne peut pas se soustraire à la pollution », rappelle la chercheuse.

On peut choisir de fumer. On ne décide pas de l’air qu’on respire. « Il faut prendre ces chiffres avec beaucoup de précaution, remarque Bernard Jomier.

L’histoire montre que les impacts des pollutions sur la santé sont toujours sous-estimés.

On a connu la même chose sur le saturnisme, nié par la mairie de Paris dans les années 90. » Si les Parisiens respiraient un air libéré de la pollution induite par l’activité humaine, ils gagneraient plus de deux ans d’espérance de vie, selon une étude de Santé publique France.

 

Ce bilan humain éclaire la controverse sur la piétonisation de la voie Georges-Pompidou, sur la rive droite de la Seine. L’interdiction de la voiture sur cette autoroute urbaine de 3,3 kilomètres est à l’ordre du jour du Conseil de Paris du 26 septembre.

La droite se déchaîne contre ce projet et se veut le porte-voix des automobilistes mécontents.

La majorité municipale veut passer en force, malgré l’avis défavorable de la commission d’enquête publique.

En cette période politiquement sensible, après la victoire des Républicains à la tête de la région Ile-de-France, et à quelques mois de la présidentielle, la place de la voiture à Paris devient l’objet d’une discorde politicienne qui oublie le sujet vital de ce dossier : la santé des habitants et leur inégalité face aux nuisances de la pollution.

 

« La pollution de l’air tue et rend malade, explique Bruno Housset, chef du service de pneumologie au centre hospitalier intercommunal de Créteil et vice-président de la Fondation du souffle. La typologie des impacts sur la santé n’est pas propre à Paris. »

Pour les personnes qui souffrent d’une maladie respiratoire, l’exposition à un air pollué peut entraîner des effets cardio-vasculaires et leur infliger un coup de grâce, décrit le médecin.

« Chez les personnes qui souffrent d’asthme, d’insuffisance coronarienne, qui connaissent des accidents vasculaires cérébraux, la pollution exacerbe la maladie », explique Jocelyne Just, cheffe du service d’allergologie à l’hôpital Trousseau, à Paris.

 

« Plus que le nombre de morts du cancer du poumon »

 

La pollution atmosphérique est un mélange complexe, composé de polluants primaires, directement émis par le trafic routier, les industries, le chauffage, l’agriculture, et de substances produites par des réactions chimiques dans l’atmosphère, comme le dioxyde d’azote. En étudiant les particules fines de 2,5 micromètres de diamètre (PM2,5), l’indicateur de pollution le plus suivi pour ses effets sur la santé, les chercheurs de Santé publique France ont mesuré qu’elles étaient responsables de la mort de 48 000 personnes par an en France.

C’est 9 % de la mortalité nationale.

« C’est plus que le nombre de morts du cancer du poumon, qui tue environ 30 000 personnes en France », commente Bruno Housset – mais on attribue au tabac 78 000 morts par an.

Elles subissent les effets délétères des pics d’émission de particules mais aussi de la pollution de fond, c’est-à-dire la saleté permanente de l’air qu’elles respirent. Plus les communes sont grandes, plus la concentration de PM2,5 est élevée. Selon l’Agence européenne de l’environnement (AEE), plus de 90 % des citadins en Europe sont exposés à des niveaux de pollution jugés nuisibles pour la santé par l’OMS.

La pollution de l’air est désormais considérée par les chercheurs comme la première cause environnementale de mort prématurée dans le monde.

 

Qui meurt de la pollution ? « C’est difficile à dire, répond Jocelyne Just.

On peut dire qui souffre : ce sont les personnes fragiles. Les nouveau-nés, les nourrissons, les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies chroniques. »

À Paris, le risque de mourir de la pollution est faible, mais il touche tout le monde.

Les particules fines, émises notamment par la combustion du diesel, pénètrent profondément les poumons et passent dans les vaisseaux sanguins. Une fois dans le sang, elles ont un effet inflammatoire et activent les plaquettes, ce qui entraîne des troubles de la coagulation.

Cette situation favorise la formation de caillots et peut causer des accidents cardio-vasculaires. Il peut en résulter des troubles cognitifs. Chez d’autres personnes, cela peut aggraver le diabète.

L’exposition aux polluants atmosphériques peut favoriser l’allergie au pollen.

La croissance pulmonaire des nourrissons est altérée par la pollution atmosphérique. « On retrouve des particules fines de polluants dans les macrophages [cellules appartenant aux globules blancs – ndlr] des poumons de nourrissons asthmatiques », explique Jocelyne Just.

Un enfant peut être touché in utero si sa mère respire un air pollué.

Chez certaines femmes enceintes équipées de capteurs, des chercheurs ont détecté dans le cordon ombilical l’expression de gènes liés à l’apparition de l’asthme.

En effectuant de petits lavages de poumons de nourrissons atteints d’asthme sévère, les allergologues de Trousseau ont découvert des « particules noires », qui ressemblent à ce que l’on trouve dans les poumons des fumeurs. « C’est assez inquiétant. Qu’est-ce que cela va devenir ? Probablement des inflammations chroniques et l’apparition de pathologies », poursuit la médecin.

 

Dans une étude publiée en juillet dans la revue Epidemiology, des chercheurs ont comparé les décès à Tokyo, qui a drastiquement réduit le nombre de véhicules diesel, et Osaka, qui les a moins contraints et plus tardivement.

Résultat : le taux de mortalité consécutif à une maladie pulmonaire est inférieur de 22 % à Tokyo, de 11 % pour les maladies cardio-vasculaires et de 10 % pour les problèmes cardiaques. En 2015, des chercheurs ont étudié l’effet de la réduction de la pollution atmosphérique en Californie sur les capacités pulmonaires des enfants. « Nous avons démontré que l’amélioration à long terme de la qualité de l’air s’est accompagnée d’effets statistiques et cliniques significativement positifs sur le développement des capacités pulmonaires des enfants », écrivent les scientifiques dans le New England Journal of Medecine.

 

Un exemple parmi d’autres : un patient de Bruno Housset rentre de vacances à la campagne et lui explique que, depuis son retour à Paris, il ne parvient plus à respirer.

Sa visite correspond à une période de pics de pollution. Ce type de témoignage n’est pas rare parmi les parents d’élèves franciliens, qui observent parfois ce type de phénomènes chez leurs enfants.

« S’il n’y avait pas la pollution de fond qui abîme les fonctions respiratoires des habitants, les pics d’émission n’auraient pas les mêmes conséquences », ajoute Bernard Jomier.

 

Plus de décès chez les plus défavorisés

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Respirer l’air de Paris tue. Mais pas tout le monde et pas de la même manière.

« Les populations les plus vulnérables économiquement ont un risque de décès plus élevé », explique Séverine Deguen. En 2015, avec une équipe de chercheurs, elle a publié la première étude sur les liens entre pollution atmosphérique et quartiers d’habitation dans la capitale.

Il en résulte que les personnes économiquement défavorisées sont plus vulnérables à la pollution de l’air et potentiellement plus sensibles aux pics de pollution, dont les effets sont démultipliés par l’exposition chronique des habitants au dioxyde d’azote – le polluant observé pour cette étude. À la différence de ce qui se produit dans de nombreuses villes américaines, les quartiers populaires parisiens ne sont pas nécessairement les plus pollués. Si l’on regarde la carte des quartiers affectés par les plus fortes concentrations de particules de dioxyde d’azote, notamment émis par le diesel du trafic routier, ils suivent le tracé du périphérique, au nord comme au sud – même si une grande partie du 19e arrondissement est touchée. Les grands boulevards et le carrefour d’Alésia, fortement exposés à la pollution, traversent des quartiers en bonne partie gentrifiés. Mais de nombreuses crèches, haltes garderie et écoles maternelles se trouvent à proximité du périph’. La proximité avec de grands axes routiers est responsable d’environ 16 % des nouveaux cas d’asthme chez les moins de 17 ans – selon une étude de l’Observatoire régional de santé Ile-de-France. À Paris et en petite couronne, près de 30 % de la population vit à moins de 75 mètres d’un axe à fort trafic routier (plus de 10 000 véhicules par jour).

 

Ce sont leurs conditions de vie qui rendent les ménages défavorisés plus vulnérables aux polluants. Pour les chercheurs, cela peut s’expliquer par plusieurs raisons : le mauvais état de santé dû à un suivi insuffisant (diabète, obésité…) et au manque d’activité physique, la mauvaise qualité des logements, l’exposition à des environnements dégradés sur leurs lieux de travail et lors de leurs déplacements, le faible niveau d’éducation qui rend plus difficile la bonne compréhension des messages de prévention.

Quand les familles plus privilégiées peuvent s’éloigner de Paris pour les vacances ou les week-ends, les autres sont coincés dans Paris et ne peuvent s’extraire de son air pollué.

À la saleté de l’air s’ajoutent les nuisances sonores générées par les grands axes routiers, facteurs de stress et des pathologies qui lui sont associées.

En 2013, des chercheurs ont mis en exergue un possible lien entre l’exposition au bruit à Lyon et la mortalité des nourrissons nés dans des familles défavorisées.

 

Si les personnes défavorisées sont les plus impactées, à quelles catégories sociales appartiennent les véhicules qui mettent la plus grande partie des particules fines et du dioxyde d’azote qui polluent l’air de Paris ?

L’observation de la carte de la mobilité individuelle dans la capitale est instructive : l’usage de la voiture est très faible.

En moyenne 10 % des déplacements se font en voiture. Sauf dans le 16e arrondissement, où habitent des ménages à très haut revenu : 19 % des déplacements s’effectuent en véhicule, soit près du double de la moyenne municipale.

Les habitants de ce quartier parisien cossu utilisent deux fois plus leur voiture que le reste des habitants de la capitale. Pour autant, cette distinction sociale par le haut ne se retrouve pas dans l’analyse par catégorie sociale : 23 % des déplacements des ouvriers se font en voiture, contre 12 % pour les cadres. Les artisans et commerçants sont les professions qui utilisent le plus la voiture, explique Jérémy Courel, statisticien à l’IAU.

 

Les chercheurs mettent en évidence l’impact de la pollution de l’air de Paris sur la santé de ses habitants depuis les années 90. La compréhension de ce phénomène a conduit la capitale à mettre en place des politiques de réduction de la place de la voiture en ville. Même si les contraintes imposées aux automobilistes restent bien plus faibles à Paris que dans de nombreuses grandes villes occidentales (Tokyo, Berlin, Londres…), la réduction du trafic routier a eu un effet positif sur l’atmosphère parisienne : les émissions d’oxyde d’azote et de particules fines ont baissé d’environ 30 % entre 2002 et 2012. Selon les estimations d’Airparif, l’association chargée du contrôle de la qualité de l’air, un tiers de cette amélioration provient de l’aménagement de la voirie. Ce bilan plaide pour la piétonnisation de la voie Georges-Pompidou, que le Conseil de Paris devrait voter lundi 26 septembre : moins il y a de voies rapides, moins il y a de voitures, moins l’air est sale.

 

Mais la disparition de l’autoroute urbaine le long de la Seine ne résout pas tout. C’est aussi ce qu’enseigne l’histoire récente.

La diésélisation du parc automobile parisien a contrebalancé les tendances à l’amélioration de la qualité de l’air, explique Airparif : les rejets de polluants auraient davantage diminué si le nombre de véhicules diesel, notamment pour les livraisons, n’avait pas augmenté.

L’interdiction de la voiture le long de la Seine n’a qu’un effet limité et la confrontation avec l’industrie automobile est inévitable.

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Invité §col641Nh

bonjour

 

et comme Hidalgo à Paris, il faut piétonniser les voies sur berge ............afin de mieux concentrer les voitures dans le centre et allonger les bouchons :o

 

alors que les voies sur berges sont bien aérées :lol:

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30 % de contribution des microparticules lors des pics de pollution du printemps à Paris proviennent des engrais chimiques répandus dans les champs en Ile de France.

Une part non négligeable (30%) de la pollution PM10 (microparticules de 10µ) provient de l'abrasion des freins, pneus et chaussées. Qu'on ne pourra pas même sur le compte des diesels.

D'autres causes sont les polluants émis depuis les bassins industriels allemands et du Nord-Est de l'Europe. La Corse a subi un jour un pic de pollution dont l'origine est... le bassin industriel de Gênes.

Infos extraites des rapports annuels de Airparif.

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-

Salut : Un facteur important de ce qui agite les "écolo-bobo-affoleurs" pseudo-scientifiques en Europe, (on en nourrit probablement beaucoup au RSA) ce sont les gigantesques $$$ procès en dommages et intérêts aux USA , manipulés par la maffia avocats-assurances.

Il ne se passe pas une semaine sans qu'un nouvelle substance ou activité nocive soit inventée même avant qu'elle soit sortie. Et bien entendu les médicaments vous tuent ;) (procès$$$) .

Et si on parle de """contamination"", ils en sont une source pernicieuse :)

 

Il y a aussi des scientifiques médiocres en mal de publication et de notoriété qui sont plus nocifs eux même que ce qu'ils dénoncent. Avec des publications alarmistes. Ca vend mieux!

Beaucoup de ces groupes activistes sont profondément infiltrés par ces lobbys.

 

Toutes ces âneries profitent à beaucoup.... aidés de ces fariboles des syndicats en France arrivent aussi à faire avoir des pensions pour des supposées conditions qui n'ont jamais existé.

Le réel scandale de l'amiante est exploité et décliné autant que se peut, transposé à ceci ou cela, telle ou telle substance, pour râcler des sous et des pensions.

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Invité §vid457dR

Le Diesel Tue graaaaaaaaaave !!! :lol:

 

Seul les simples d'esprit ou esprits obtus ne peuvent le reconnaitre... hetwien.gif.bae1f5cf08ae411b22257fc965495e0c.gif Et le Diesel allemand plus que d'autres... :lol:

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Invité §Ess650sw

30 % de contribution des microparticules lors des pics de pollution du printemps à Paris proviennent des engrais chimiques répandus dans les champs en Ile de France.

Une part non négligeable (30%) de la pollution PM10 (microparticules de 10µ) provient de l'abrasion des freins, pneus et chaussées. Qu'on ne pourra pas même sur le compte des diesels.

D'autres causes sont les polluants émis depuis les bassins industriels allemands et du Nord-Est de l'Europe. La Corse a subi un jour un pic de pollution dont l'origine est... le bassin industriel de Gênes.

Infos extraites des rapports annuels de Airparif.

Oui, bien sûr il existe de nombreuses sources de pollution.

 

Est-ce pour autant que si à Tokyo en 2008 ils décident de virer les Diesel et que cela diminue l'émission de particules fines par 2, il faut décider chez nous la même année de sponsoriser les petits Diesels de ville sans Fap à l'aide du Bonus Borloo/Kosciusko-Morizet ?

 

Toutes ces paroles dilatoires ne servent que d'excuse pour ne pas améliorer les choses, à masquer nos comportements destructeurs et à gaspiller des subventions publiques pour des causes envers lesquelles nous n'auront (et ne voulons réellement avoir) aucun effet.

 

Notre attrait pour les paroles sans effet qui reportent ailleurs la réflexion, pour les propos sans concrétisation alors que les problèmes sont réels, pour le baratin en fait, est sans limites.

http://i.f1g.fr/media/ext/245x160_crop/sante.lefigaro.fr/sites/default/files/media/field_media_image/PHO3f828e7c-3705-11e6-b0da-55d588162aa0-805x453.jpg

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bonjour

 

et comme Hidalgo à Paris, il faut piétonniser les voies sur berge ............afin de mieux concentrer les voitures dans le centre et allonger les bouchons :o

 

alors que les voies sur berges sont bien aérées :lol:

 

Avant de contraindre les automobilistes à prendre le métro, il faudrait diminuer la pollution qui est supérieure de 10 fois à celles de l'extérieur.

Même problème pour le trafic aérien local et les navettes de incessantes de camions qui ramènent les produit fabriqués hors de France dans les entrepôts périphériques.

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A noter au sujet la vignette de la mairie de Paris pour limiter la circulation des diesels selon leur degré de pollution, que les véhicules d'urgences, mais aussi les petits camions frigorifiques en sont exemptés !

Les secours c'est normal, mais pourquoi les camions frigorifiques échapperaient à la règle ?

De peur de subir la fronde des restaurateurs et limonadiers ?

 

Extrait du site de la mairie www.paris.fr

Les dérogations

L'arrêté concernant les restrictions de circulation pour certaines catégories de véhicules en fonction de leur niveau d'émission de polluants atmosphériques prévoit des dérogations à l'article 2:

véhicules d’intérêt général prioritaire (6.5 de l’article R. 311-1 du Code de la route)

véhicules du ministère de la Défense

véhicules des associations agréées de sécurité civile

véhicules des professionnels effectuant des opérations de déménagement

véhicules d’approvisionnement des marchés parisiens, dûment habilités par la Mairie de Paris, pour l’approvisionnement de ceux-ci

véhicules frigorifiques et camions-citernes

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Invité §Ess650sw

Avant de contraindre les automobilistes à prendre le métro, il faudrait diminuer la pollution qui est supérieure de 10 fois à celles de l'extérieur.

Même problème pour le trafic aérien local et les navettes de incessantes de camions qui ramènent les produit fabriqués hors de France dans les entrepôts périphériques.

 

Vous oubliez les centrales électriques à charbon allemandes, qui déversent des tombereaux de polluants sur la région parisiennes ...

 

D'ailleurs ils ne vous l'ont pas dit, mais les Allemands ont installé cette nuit plein de ces centrales nocives dans le Nord de Paris, à l'insu de notre plein gré.

 

Ça ne peut être que ça, et surtout pas du fait de la circulation automobile qui pollue bien moins.

 

Sinon comment expliquer que la pollution de demain sur la région parisienne soit localisée ici ?

 

http://airparif.fr/services/cartes/indice/date/2016-12-06/pol/Indice

 

Peut-être ont-ils prévu une opération porte-ouverte dans le métro, en mettant à fond les ventilateurs pour faire profiter les parisiens de l'air pollué qui y sévit ?

Du moins ils en parlent de ces portes ouvertes.

 

Vous avez raison il y a les avions et les camions, mais pendant qu'on y est, les bateaux aussi polluent beaucoup, on n'imagine pas !

 

Je pense qu'ils ont prévu de faire un bal de bateaux mouches demain sur la Seine ...

 

Mais en tout cas, même si comme actuellement avec Euro6 elle ne respecte même pas les normes édictées dans les années 2000, il y a bien 15 ans, la voiture ne pollue pas ...

C'est bien ce que vous vouliez entendre ?

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Vous oubliez les centrales électriques à charbon allemandes, qui déversent des tombereaux de polluants sur la région parisiennes ...

 

D'ailleurs ils ne vous l'ont pas dit, mais les Allemands ont installé cette nuit plein de ces centrales nocives dans le Nord de Paris, à l'insu de notre plein gré.

 

Ça ne peut être que ça, et surtout pas du fait de la circulation automobile qui pollue bien moins.

 

Sinon comment expliquer que la pollution de demain sur la région parisienne soit localisée ici ?

 

http://airparif.fr/services/ca [...] pol/Indice

 

Peut-être ont-ils prévu une opération porte-ouverte dans le métro, en mettant à fond les ventilateurs pour faire profiter les parisiens de l'air pollué qui y sévit ?

Du moins ils en parlent de ces portes ouvertes.

 

Vous avez raison il y a les avions et les camions, mais pendant qu'on y est, les bateaux aussi polluent beaucoup, on n'imagine pas !

 

Je pense qu'ils ont prévu de faire un bal de bateaux mouches demain sur la Seine ...

 

Mais en tout cas, même si comme actuellement avec Euro6 elle ne respecte même pas les normes édictées dans les années 2000, il y a bien 15 ans, la voiture ne pollue pas ...

C'est bien ce que vous vouliez entendre ?

 

Comme le montre l'image, on voit très bien que le pic de pollution se trouve du coté de Roissy-Charles-de-Gaulle et on très discret sur la pollution provoquée par le trafic aérien...

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