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Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1)


jensen
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Messages recommandés

Nous avons tous, enfin nous les vieux, je parle pour moi; des milliers d'anecdotes plus croustillantes ou débiles , avec une R8G dans les années 68/69.

Aujourd'hui inimaginable, ou très répréhesible ...

Il y a prescription, ouf !

Trop de choses incroyables vécues avec cette chose bleue, trop !!!

 

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Il y a 22 heures, Terisonen a dit :

C'est bien ce qui me semblait, le passage de la 8 Gordini à la 12 Gordini ne s'est pas bien passé...

 

Il s'est TRES mal passé en fait.

Pourtant la R12 Gordini n'était pas un mauvais cheval, LOIN DE LA ! 

 

Le soucis venait du passage "tout à l'arrière/tout à l'avant" avec une tendance très marqué au sous-virage du fait de la mécanique en porte à faux sur la 12.

 

Et à choisir en tant qu'automobiliste des années 80/90/2000/2010/2020 ( 😁 ) si j'avais à choisir je prendrais la 12, plus "dans mes habitudes de conduite".

 

 

 

 

 

 

 

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il y a une heure, jensen a dit :

 

Il s'est TRES mal passé en fait.

Pourtant la R12 Gordini n'était pas un mauvais cheval, LOIN DE LA ! 

 

Le soucis venait du passage "tout à l'arrière/tout à l'avant" avec une tendance très marqué au sous-virage du fait de la mécanique en porte à faux sur la 12.

 

Et à choisir en tant qu'automobiliste des années 80/90/2000/2010/2020 ( 😁 ) si j'avais à choisir je prendrais la 12, plus "dans mes habitudes de conduite".

 

 

 

 

 

 

 

Tout à fait d'accord (même contre l'avis de mon ami d'enfance qui ne jurait que par sa R8G-1300 gonflée, avec laquelle on a parcouru plus de 100.000 km excessifs, avec moult incidents / accidents en restant vivants à chaque fois ... mais lui est décédé de maladie depuis ...).

La R12 Gord était plutôt pour les efficaces et non pas pour les spectaculaires.

Je sens que je vais me faire incendier ...

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il y a 42 minutes, jerry-lee a dit :

 

La R12 Gord était plutôt pour les efficaces et non pas pour les spectaculaires.

Je sens que je vais me faire incendier ...

 

Non,tu as en partie raison,ces 2 autos étaient tellement différentes. Mon père en a eu 3 au garage (Renault) et il arrivait de chez un concessionnaire Lancia,courait en rallye depuis 66 ou 67 en Mini ou Lancia Fulvia. Bien formé aux tractions,il était diabolique avec la 12 Gord',surtout en descente.

Et on en avait retrouvé une (avec le 807G),revendue depuis. J'ai de très bons souvenirs de la 12,également au volant plus tard.

De la 8 aussi,mon père a repris en 72 ou 73 une 8 Gordini assez "méchante" qui sortait de chez Squale avec un 1440 bien coquet. Sacrée caisse,mais mon père allait plus vite avec la 12...

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Il y a 15 heures, daniel762 a dit :

J'ai lu, mais je ne sais pas si c'est vrai, que lors de la présentation de la 12 G elle a eu du mal à égaler les temps de la 8 G sur le circuit...

 

Oui, la 12 avait gagné mais de justesse et beaucoup ont déclaré que "les dès étaient pipés"… 😬

N'étant pas présent ce jour-là (j'avais 4 ans 😏 ) je ne saurais être catégorique. 

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(modifié)

 

 

 

ALFA-ROMEO 90 : Contrat à Durée Déterminée.

 

 

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J'ai bien assez parlé d'Alfa-Roméo sur ce Topic pour que vous n'ignoriez plus que la firme Milanaise traversait une très mauvaise passe au début des années 80...

 

Appartenant à l'IRI depuis 1933 (un organisme de l'Etat Italien spécialisé dans le rachat de firmes nationales en difficulté) la marque ne cesse de perdre des parts de marché.

 

L'Alfasud a près de dix ans, l'Alfetta aussi et n'est plus vraiment concurrentielle sur son segment, la Nuova Giulietta n'est pas le succès espéré et la grosse berline Alfa 6 est un échec commercial patent… :o

 

Bien que le bureau d'études ait prévu une toute nouvelle plate-forme pour ses futurs modèles le ministère de tutelle décide, compte-tenu de la situation financière désastreuse de la marque, de ne plus investir une Lire dans Alfa-Romeo.  :sic:

 

Pour sa future berline destinée à remplacer l'Alfetta il faudra encore "faire avec ce qui existe" et ce qui existe, c'est précisément… L'Alfetta !  :lol:

 

L'Alfetta, certes une excellente auto mais présente au catalogue depuis 1972. Son remplacement devenait urgent. 

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On reprend donc intégralement la structure de cette dernière et la mécanique, à savoir une disposition Transaxle avec moteur à l'avant, boite et embrayage accolés à l'arrière et disques en sortie de différentiel.

 

Pour les moteurs on pourra toujours compter sur les quatre cylindres double arbres de 1,8 et 2,0 litres et, comme on souhaite "monter en gamme", y greffer aussi le fameux V6 "Busso" pour l'instant réservé au Coupé GTV6 et à l'Alfa 6.

Un moteur Diesel sera aussi de la partie, un VM turbocompressé de 2,4 litres déjà proposé depuis quelques temps sur… L'Alfetta (en version 2 litres).

 

Bref, on n'a pas d'autre choix que de présenter une Alfetta modernisée avec le V6 sous le capot histoire de monter en gamme et de garder une petite place pour une évolution plus légère et sportive qui apparaitra plus tard (ce sera, vous l'aurez deviné, la 75).

 

Pour la carrosserie on va faire appel au cabinet Bertone qui va devoir jongler avec un cahier des charges plutôt tendu puisqu'il doit faire du "Nouveau" en conservant portières, plate-forme et empattement du modèle existant ! 

Le tout "bien entendu" avec une griffe spécifique qui fera que la voiture ne ressemblera à aucune autre sur le marché… 

 

Une des esquisses de Bertone.

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Le dessin sera pour le moins tendu, la caisse reste une trois volumes et un effort est effectué afin d'améliorer l'aérodynamique, ce qui n'est pas très compliqué car l'Alfetta possède un Cx de… 0,43 ! 

 

L'avant va même posséder un accessoire qui va devenir un argument de vente : Un spoiler !

Mais pas n'importe lequel puisqu'il sera mobile sur cette auto. :D

 

Le système est tout simple : La lame est raccordée à la face avant à l'aide de deux vérins compensateurs (au fonctionnement identique à ceux qui nous aident à ouvrir nos hayons) calibrés pour abaisser le spoiler à partir d'une certaine poussée de l'air (80 km/h), de la sorte on améliore le Cx à "grande vitesse" tout en facilitant le refroidissement du moteur (ce dernier en s'abaissant découvre deux écopes) sans pour autant prendre le risque de casser cet accessoire lors d'un stationnement face à un trottoir par exemple puisqu'il réintègre son logement, grâce aux vérins, à basse vitesse. 

 

Plus qu'un long discours, une petite démonstration : 

 

 

 

Ce "stratagème" permet, en plus d'un lissage de la carrosserie en soufflerie, d'obtenir un Cx franchement amélioré : 0,37

 

Difficile de faire de l'innovant à l'intérieur puisque l'on garde toutes les cotes d'une Alfetta déjà réputée peu habitable (surtout à l'arrière), un gros effort est tout de même fait sur ce que l'on appelle désormais la "qualité perçue" avec des plastiques de meilleur aspect afin d'améliorer l'image d'une marque justement assez critiquée à ce niveau.

 

La nouvelle 90 (nommée ainsi car on estime chez Alfa qu'il s'agit d'une berline "en avance sur son temps" et donc digne des années 90) est présentée au Salon de Turin 1984 et commercialisée dans la foulée.

 

 

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Pour être honnête on ne peut pas dire que les foules vont être chavirées par cette berline au style certes plus moderne que celle qu'elle remplace mais pas franchement révolutionnaire… :o

 

 

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A fortiori pour un modèle censé représenter le haut de gamme de la firme (et remplacer une Alfa 6 à bout de souffle) les dimensions de l'ensemble restent modestes avec une longueur de 4,39 m, une largeur de 1,64 m et une hauteur de 1,42 m.

 

Le coffre est de bonne capacité : 430 litres.

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Sous le capot se cache donc un quatre cylindres 1 779 cm3 double ACT à deux carburateurs double-corps de 120 ch Din qui ne sera pas retenu pour la France, puis un 1 962 cm3 de même alimentation pour 130 ch Din à 5 400 tours et proposé chez nous juste sous la barre psychologique des 100 000 Francs.

 

Le même moteur est aussi disponible avec une injection électronique Bosch L-Jetronic pour 128 ch Din au même régime qui permet une économie de carburant de deux litres aux 100 pour 109 000 Francs (vite rentabilisés donc… :jap: )

 

Un Diesel VM turbocompressé de 2 393 cm3 développant 95 ch Din (puis très vite 110 ch grâce à un intercooler) permet aux gros rouleurs de l'époque de pouvoir jongler entre deux rendez-vous d'affaire à près de 180 km/h.

 

 

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Mais le nec plus ultra est le montage dans les entrailles de la 90 du fameux V6 Busso interdit jusqu'alors à l'Alfetta

Ses 2 492 cm3 et son injection Bosch lui permettent de développer la puissance de 156 ch Din à 5 600 tours.

Cette fois-ci les 200 km/h sont atteints facilement.

 

Rançon de sa notoriété la 90 V6 dépasse allégrement les 120 000 Francs, ce qui la place en concurrence frontale avec des constructeurs Germaniques déjà bien implantés dans ce segment.

 

:love:

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Pour information ce moteur existera, uniquement sur le marché Italien et ce pour des raisons de fiscalité, en version deux litres (1 997 cm3) pour 132 ch.

 

Publicité Française, 1985.

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Aucune boite automatique n'est au programme, toutes les versions seront dotées d'une boite mécanique à cinq rapports.

 

 

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La suspension avant est à double triangulation, barres de torsion et antiroulis ; l'arrière reste fidèle à l'essieu De Dion et à un combiné ressorts hélicoïdaux plus barre antiroulis.

 

 

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Bref du "déjà connu" chez ce constructeur… :o

 

A l'intérieur on note quelques originalités avec la poignée de frein à main de type "aviation" entre les sièges, un argument de vente comme un autre qui n'apporte pas grand-chose en réalité, de même que les commandes des vitres électriques situées au plafond, au niveau du rétroviseur ! 

Certains les ont cherché un bon moment… :buzz:

 

Oui, c'est le frein à main entre les sièges (et pas la manette des gaz !)  :p

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La 90 n'était pas la seule Alfa-Romeo à avoir ses commandes de lève-vitres en hauteur.

Une initiative en manque d'ergonomie qui ne passera pas la décennie 80.

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Les versions haut de gamme Quadrifoglio Oro (en V6 chez nous avec les quatre vitres électriques, la direction assistée, la sellerie en velours et la peinture métallisée de série) gagnent un tableau de bord à affichage digital, lui aussi bien dans son époque.

 

S'il est très précis (bien mieux que sur une Renault Electronic contemporaine) il se révèlera à l'usage peu fiable et sera considéré par ses "heureux" propriétaires au fil du temps comme un véritable nid à emm....des !  :pfff:

 

La tableau de bord électronique…

Une seule qualité : Sa précision !  :sol:

Un gros défaut : Il ne marchait pas longtemps… :o

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Et puis ce vert, la nuit…  :ddr:

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Autre privilège du haut de gamme, une mallette amovible qui pouvait s'insérer sous la boite à gants dans un espace calibré à sa dimension (disponible en accessoire concessionnaire sur les autres versions).

On pourra parler ici d'une "certaine originalité"… :roll:

 

 

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Sur la route cette Alfa 90 se défend bien, le freinage à quatre disques (ventilés à l'avant) est irréprochable, la suspension plus ferme que sur l'Alfetta rend la conduite plus précise sans être inconfortable et il est vraiment possible de s'amuser au volant de cette auto enfin… Tant que la route est sèche, car dès que le temps s'assombrit le comportement routier fait de même avec un train arrière qui ne demande plus qu'à décrocher sous la pluie…

 

C'en est au point que l'Auto-Journal conseillera à ses lecteurs de n'acquérir une 90 V6 que pour croiser sur les autoroutes Allemandes et aux gens pressés d'éviter les départementales du Massif Central !  :sic:

 

De plus la consommation moyenne d'environ 9 litres aux 100 km rend l'autonomie faiblarde avec le réservoir hérité de l'Alfetta et ses 49 litres de capacité. 

 

Bref si la 90 recèle quelques atouts qui peuvent la rendre attachante elle ne peut cacher très longtemps une conception qui remonte à bien plus d'une décennie.

 

Personne ne sera dupe sur cette "Alfetta améliorée" et les chiffres de vente resteront toujours modestes…

 

En 1986 un léger restyling de l'avant se fait jour (calandre et bouclier) et une option ABS est désormais proposée sur tous les modèles.

 

En 1986 la 90 prendra l'appellation "Super", mais bien peu de gens s'en apercevront. :o

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Le tableau de bord était de facture classique sur les quatre cylindres mais la V6 conservera son combiné "Star Wars" jusqu'au bout, du moins en France.

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Cela ne suffira pas à améliorer des ventes en berne et la présentation l'année précédente d'une 75 plus affriolante (mais toujours sur la même base mécanique) sonnera le coup de grâce pour cette discrète berline qui s'effacera dans une totale indifférence en 1987 pour laisser la place à une 164 plus réussie et, surtout, plus moderne !  :jap:

 

Si les flancs nervurés faisaient un peu massifs ils avaient l'avantage de rigidifier la caisse et d'économiser plus de 20 kg de métal, par contre l'arrière lourdingue avec son unique feu de recul central et sa plaque mal placée ne plaira pas à tout le monde, loin de là !  :bah:

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On notera tout de même la tentative du carrossier Marazzi de proposer un dérivé break en 1985 qui restera sans suite auprès d'Alfa-Romeo.

 

La berline étant déjà un échec il n'y avait aucune raison pour que le break soit un triomphe, surtout avec ses feux de Fiat Uno ! 

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L'importateur Allemand de la firme Milanaise commercialisera à quelques dizaines d'unités une version "Campione" avec la collaboration de l'accessoiriste Zender sur une base de V6.

 

Pas de modifications mécaniques mais un "habillage" plus dynamique pour ce modèle, sans grand succès non plus au demeurant même si le résultat n'était pas mauvais. 

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On ne peut conclure sans les forces de l'ordre de la péninsule, toujours fidèles aux "Alfa-Fiat de Méro" !  :p

Après tout le patriotisme économique n'est pas une tare que je sache… :o

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Une tentative d'exportation de la 90 aux USA fut essayé avec un exemplaire modifié pour satisfaire aux normes locales, l'auto fut refusée par les autorités fédérales d'homologation et partira directement à la casse !  :bah:

 

Production totale : 56 458 exemplaires

 

1,8 litre : 6 677

2,0 litres (carbu' et injection) : 27 477

V6 2 litres : 700

V6 2,5 litres : 6 212

Turbo-D : 15 392

 

La carrière de la 90 , au demeurant très courte puisque de moins de trois ans, sera des plus discrètes et continue de l'être malgré son passage en Collection… :(

 

 

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En fin de compte mal positionnée sur son segment, nantie de dessous désormais dépassés et très vite phagocytée par une 75 très voisine présentée neuf mois après sa propre commercialisation par une marque en pleine déliquescence cette berline n'a pas eu sa chance. :sic:

  

Le contraire aurait été étonnant dans de telles conditions remarquez !  :roll:

 

De nos jours une belle 90 (s'il en reste encore une !) ne se négociera à guère plus de 9 000€ en V6, beaucoup moins en quatre cylindres ou Diesel. 

 

Si vous aimez rouler "Original" cette voiture est faite pour vous !  :lol:

 

Il faudra juste prendre en compte une électricité "Italienne de la grande époque tragi-comique", une propension à la corrosion (et ce même si de très nets progrès avaient été réalisés par la marque) et surtout des pièces spécifiques au modèle très difficiles à se procurer de nos jours. :bah:

 

 

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Fiche technique complète par Auto-Forever

 

Le tour du propriétaire, histoire de bien appréhender le design intérieur/extérieur de l'auto : 

 

 

 

Ce bruit… :love:

 

 

 

 

 

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:coucou:

 

Jensen.

 

 

 

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J'ai une certaine sympathie pour ce genre de mouton à cinq pattes. :p

 

Certes, sa ligne n'est pas ce qui se fait de mieux en matière de design italien, mais j'adore son gros popotin ! :cubitus:

 

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Bel article, dans lequel j'aurais au moins découvert que le STIG originel est plus que charmant :love: 

 

J'ai une question aux spécialistes : on dit souvent qu'Alfa Romeo perdait de l'argent, que les ventes étaient en berne etc... mais quand a eu lieu l'apogée de cette marque en fait ?

J'ai l'impression de n'entendre parler que de baisse :voyons: 

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Il y a 4 heures, marzal a dit :

 

J'ai une question aux spécialistes : on dit souvent qu'Alfa Romeo perdait de l'argent, que les ventes étaient en berne etc... mais quand a eu lieu l'apogée de cette marque en fait ?

J'ai l'impression de n'entendre parler que de baisse :voyons: 

 

Je te répondrais les années 1955/65 pour les résultats financiers et, de manière plus certaine, 1989 pour les ventes avec un chiffre qui devait approcher les 300 000 (contre 70 000 l'an dernier).

Mais comme la firme fut rachetée en 1986 par Fiat…

 

 

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Il y a 15 heures, marzal a dit :

Donc en fait elle ne survit que grâce à l'aura des 60's ? 

 À l’époque c’était le fameux « virus Alfa » qui touchait les amoureux de la belle et vrombissante mécanique.

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Il y a 2 heures, Le Cheetah a dit :

 À l’époque c’était le fameux « virus Alfa » qui touchait les amoureux de la belle et vrombissante mécanique.

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Je m'étais fait vacciner (pas eu besoin de rappel).

 

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(modifié)

 

A priori Lancia serait sauvé.

 

L'Ypsilon est encore vendue uniquement en Italie (4ème des ventes) et réalise un volume de production supérieur à TOUTE la production d'Alfa-Romeo pour le monde entier… 

 

Cette petite cylindrée vient même d'être restylée, signe d'un avenir pour la marque.

 

Modifié par jensen
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Il y a 2 heures, jensen a dit :

 

A priori Lancia serait sauvé.

 

L'Ypsilon est encore vendue uniquement en Italie (4ème des ventes) et réalise un volume de production supérieur à TOUTE la production d'Alfa-Romeo pour le monde entier… 

 

Cette petite cylindrée vient même d'être restylée, signe d'un avenir pour la marque.

 

Rentable cette petite Ypsilon.

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Il y a 2 heures, jensen a dit :

 

A priori Lancia serait sauvé.

 

L'Ypsilon est encore vendue uniquement en Italie (4ème des ventes) et réalise un volume de production supérieur à TOUTE la production d'Alfa-Romeo pour le monde entier… 

 

Cette petite cylindrée vient même d'être restylée, signe d'un avenir pour la marque.

 

 

Une bonne nouvelle !

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Le 03/03/2021 à 18:26, marzal a dit :

Donc en fait elle ne survit que grâce à l'aura des 60's ? 

 

Les années 70 ont quelques réussites comme la Sud (+ Sprint) et la GTV

Les 80"s ont été compliquées avec des gros restylages de succès comme la 33, la 75, l'inattendue 90 :eek: ; la ratée traction 164 ou pire l'Arna :vomi:

 

Quand BMW a tiré ses voitures toujours + haut, Fiat a tiré ses Alfa vers le bas 😞 

 

Il y a eu quelques réussites à la fin des 90's avec la 156 et la 147.

La Giuilietta III est globalement une réussite.

 

Et il y a quelques modèles passion comme la 4C ou la 8C, la SZ, les GTA ... 

 

:mad: 

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Il y a 12 heures, Le Cheetah a dit :

 À l’époque c’était le fameux « virus Alfa » qui touchait les amoureux de la belle et vrombissante mécanique.

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:love: :mad: 

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Il y a 10 heures, Roger a dit :

 

Les années 70 ont quelques réussites comme la Sud (+ Sprint) et la GTV

Les 80"s ont été compliquées avec des gros restylages de succès comme la 33, la 75, l'inattendue 90 :eek: ; la ratée traction 164 ou pire l'Arna :vomi:

 

 

Pas tant que ça…

 

Le problème venait, d'après la presse spécialisée, du dessin de Pininfarina (fort réussi d'ailleurs) qui laissait peu de place à une suspension élaborée d'où un soucis de motricité sur l'auto.

 

J'ai eu l'occasion de m'installer au volant d'une Twin Spark et d'une TD et j'en garde le souvenir d'autos très agréables.

 

Après si on arsouillait la motricité pouvait être effectivement mise en défaut mais les modèles précédents à propulsion n'étaient pas non plus des modèles du genre, sur le mouillé en particulier… 

 

La 164 Q4 (intégrale) avait d'ailleurs gommée tous les défauts du modèle et était, à priori, une des Alfa les meilleures jamais produites.

 

 

 

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Il y a 10 heures, Roger a dit :

 

Les années 70 ont quelques réussites comme la Sud (+ Sprint) et la GTV

Les 80"s ont été compliquées avec des gros restylages de succès comme la 33, la 75, l'inattendue 90 :eek: ; la ratée traction 164 ou pire l'Arna :vomi:

 

Quand BMW a tiré ses voitures toujours + haut, Fiat a tiré ses Alfa vers le bas 😞 

 

Il y a eu quelques réussites à la fin des 90's avec la 156 et la 147.

La Giuilietta III est globalement une réussite.

 

Et il y a quelques modèles passion comme la 4C ou la 8C, la SZ, les GTA ... 

 

:mad: 

On est d'accord, beaucoup de monde apprécie cette marque, le cuore sportivo, le biscione etc...

Sauf qu'au niveau des ventes ça ne se voit pas du tout et je trouve ça dramatique. Quand on met la Giulia en face d'une Série 3, je ne comprends pas comment on peut décemment choisir la BMW dont le design est en claire décrépitude depuis quinze ans. Mais bon, si les français étaient des amateurs de design ça se saurait :bah: 

 

il y a 18 minutes, jensen a dit :

 

Pas tant que ça…

 

Le problème venait, d'après la presse spécialisée, du dessin de Pininfarina (fort réussi d'ailleurs) qui laissait peu de place à une suspension élaborée d'où un soucis de motricité sur l'auto.

 

J'ai eu l'occasion de m'installer au volant d'une Twin Spark et d'une TD et j'en garde le souvenir d'autos très agréables.

 

Après si on arsouillait la motricité pouvait être effectivement mise en défaut mais les modèles précédents à propulsion n'étaient pas non plus des modèles du genre, sur le mouillé en particulier… 

 

La 164 Q4 (intégrale) avait d'ailleurs gommée tous les défauts du modèle et était, à priori, une des Alfa les meilleures jamais produites.

 

 

 

C'est ce que j'ai entendu dire aussi, la série QV/Q4 est absolument superbe :rs: 

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il y a 41 minutes, marzal a dit :

 Quand on met la Giulia en face d'une Série 3, je ne comprends pas comment on peut décemment choisir la BMW dont le design est en claire décrépitude depuis quinze ans. Mais bon, si les français étaient des amateurs de design ça se saurait :bah: 

Si le non achat de modèles ALFA par les Français est la seule raison de la baisse des ventes, ça se saurait....

Modifié par Syl2090
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Ben la réponse c'est que 80% du volume des ventes des série 3 & 5 est le fait de professionnels? Et comme ils louent, la valeur de revente impacte directement les loyers. Et comme les BMW décotent moins... A tord ou a raison (a tord je pense d'ailleurs :( )

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il y a 31 minutes, Terisonen a dit :

Ben la réponse c'est que 80% du volume des ventes des série 3 & 5 est le fait de professionnels? Et comme ils louent, la valeur de revente impacte directement les loyers. Et comme les BMW décotent moins... A tord ou a raison (a tord je pense d'ailleurs :( )

 

Voire à tort :langue: 

 

Après, il faut être honnête, chez Alfa, la fiabilité électrique, la finition et l'ergonomie ont longtemps été des grosses blagues.

 

Mais les mécaniques sont d'une totale virilité des petites boxers aux rares V8 en passant par les exceptionnels Twin-Cam et V6 ❤️❤️ :mad: 

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Bah voila…

 

Dans la série "ça n'arrive pas qu'aux autres" je suis désormais confiné (en un mot hein ! 😋 ) chez moi pour cause de Covid.

 

"Madame ma phâme" étant la seule de son service à ne pas avoir été contaminée par un patient en un an il a fallu qu'elle s'occupe d'un ahuri qui lui a éternué en pleine figure, le masque n'a visiblement pas été suffisant… 😡

 

Bref elle est touchée et je suis "cas contact" donc coincé entre quatre murs dans l'attente de me faire gratter la truffe

 

"Le malheur des uns faisant le bonheur des autres" je suis en train de farfouiller dans mes archives pour vous ressortir un maximum de dossiers ces prochains jours, histoire de m'occuper, parce que la télé… 😑

 

La prochaine sera Nippone (la voiture hein, pas la phâme). 

😌

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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