[1:43] Ma collection des 24 heures du mans!

[Alain du 38]

mon coffret Spark ,une affaire 50 balles

 

 

50 balles !!! C'est la grande braderie !

[philou 72]

50 balles !!! C'est la grande braderie !

 

 

 

oui ,c'était à une bourse au Mans ,au parc expo , l’équipe Oak Racing , il soldait les derniers stock ,beaucoup se sont jetés dessus , d'ailleurs

quelques jours plus tard ,tu les retrouvais en vente sur un site

[pprv94]

mon coffret Spark ,une affaire 50 balles

 

 

 

 

 

 

Quelle affaire tu as fait !!!

Magnifique ce coffret spark ! En plus le socle avec les casques sur la glissière "24 heures du Mans" est vraiment bien sympa !

A 50 euros je me serais jeté dessus

[Courage Souriau]

 

 

oui ,c'était à une bourse au Mans ,au parc expo , l’équipe Oak Racing , il soldait les derniers stock ,beaucoup se sont jetés dessus , d'ailleurs

quelques jours plus tard ,tu les retrouvais en vente sur un site

 

 

Vi vi je confirme 50€. Je fais parti des heureux présents à cette bourse. Bien sûr je suis reparti également avec le coffret trop content.

Le pire c'est que ce même coffret je l'ai retrouvé en vente en parfait état pour 15€ à un vide grenier de mon village un an plus tard. Trop honnête je suis passé.

J'ai quand même eu un remord je suis repassé un quart d'heure plus tard. Plus de coffret il venait de partir au prix proposé.

[pprv94]

 

Vi vi je confirme 50€. Je fais parti des heureux présents à cette bourse. Bien sûr je suis reparti également avec le coffret trop content.

Le pire c'est que ce même coffret je l'ai retrouvé en vente en parfait état pour 15€ à un vide grenier de mon village un an plus tard. Trop honnête je suis passé.

J'ai quand même eu un remord je suis repassé un quart d'heure plus tard. Plus de coffret il venait de partir au prix proposé.

 

 

Tu m'étonnes qu'il soit parti si vite à ce prix ! 50 € c'est déjà une énorme affaire, 15 c'en est presque du don

[pprv94]

Bonjour !

 

Comme première présentation pour la 18ème page, voici la corvette C6.R ZR1 n°74 de 2011 !

 

 

 

C’est le retour des Corvettes officielles dans la catégorie « reine » parmi les GT pour cette édition 2011, au sein de la nouvelle catégorie GTE PRO.

L’an dernier les corvettes officielles avaient courues en GT2. Très rapide l’an passé, les C6.R ZR1 avaient vu leur V8 capituler au petit matin. L’hiver dernier, les troupes de Doug Fehan ont travaillé dur pour retrouver le chemin du succès. Au niveau aéro, les modifications concernent les passages de roues arrière, le fond plat et l’aileron. L’auto a également été dotée du paddle-shift (palettes de changements de rapports au volant), dorénavant autorisé par le règlement.

 

 

 

Confiées à une équipe Pratt & Miller ayant triomphé à six reprises en GT1 dans la Sarthe et à des pilotes aussi rapides qu’expérimentés, les américaines sembleront difficiles à aller chercher.

 

 

 

A la journée test, 54 des 56 voitures participantes aux 24 heures du Mans sont présentes ! Qui sont les deux absentes ? Les deux corvettes officielles engagées en GTE PRO ! Cela à cause d'une date trop rapprochée avec la manche de Long Beach, disputé dans le cadre de l'American Le Mans Series.

Corvette Racing a néanmoins put dépêcher ses pilotes Tommy Milner, Oliver Gavin, Jan Magnussen et Olivier Beretta et bénéficier du travail de l'écurie Larbre Compétition. Cependant, la Corvette C6.R ZR1 engagée en GTE Am est un châssis datant de l'année précédente, ce qui ne permet qu'une comparaison sommaire avec les voitures plus récentes.

 

 

 

Sur la grille de départ, la n°74 se place en 32ème position (et 4ème sur 16 parmi les GTE PRO) avec un temps de 3 minutes, 59 secondes et 519 centièmes.

Le départ est donné à 15h.

 

 

 

Bien que Porsche et Ferrari se soient montrés très convaincant à la journée test et aux essais, très vite, les deux corvettes officielles prennent la tête de la catégorie GTE PRO, la n°74 étant en première place et la n°73 la suivant le près en deuxième place.

Petit souci pour la n°73 lors de la 3ème heure de course qui perd plusieurs places dans le classement. A ce moment, la n°74 est toujours en tête de la catégorie devant maintenant les deux BMW M3 GT. Mais il faut dire que notre belle Américaine ne semble pas pour autant trop inquiétée, réalisant un sans-faute jusqu’à présent.

 

 

 

Tandis que les 2ème et 3ème places bougent beaucoup, notamment entre l’autre corvette portant le n°73 mais aussi la Ferrari 458 Italia n°51 de l’AF corse, la Porsche 911 n°75 du prospeed et la Ferrari 458 Italia n°59 du luxury racing, la n°74 est toujours en tête et semble intouchable. Et ça ne changera pas pour elle, jusqu’à la 17ème heure de course.

 

 

 

La voiture de sécurité est sortie pour la cinquième fois de la course, dimanche vers 07h30 du matin, à la suite d’un accrochage entre la Chevrolet Corvette n°74 en tête du GTE-Pro, alors pilotée par le Danois Jan Magnussen, et la Porsche n°63.

 

 

 

Aucun pilote n’a été blessé mais, comme à chaque sortie de piste, la course a été neutralisée pour permettre aux commissaires de balayer les nombreux débris présents sur la piste et aux dépanneuses de dégager les deux voitures mal placées après l’accrochage. C’est malheureusement l’abandon pour la n°74 environ 25 minutes après son accident et son incroyable prestation.

 

 

 

 

Modèle Ixo

[gennaro1]

J'adore les Corvette et bien sûr, celle-ci ne déroge pas à cette règle. Présentation toujours aussi précise, c'est bien. La miniature semble de bonne facture mais le vrai soucis des Ixo en GT, c'est leur taille. Elles sont un peu grosses par rapport à des Spark.

Mais bon, cela n'enlève rien à cette très jolie Corvette ?

[Alain du 38]

J'adore les Corvette et bien sûr, celle-ci ne déroge pas à cette règle. Présentation toujours aussi précise, c'est bien. La miniature semble de bonne facture mais le vrai soucis des Ixo en GT, c'est leur taille. Elles sont un peu grosses par rapport à des Spark.

Mais bon, cela n'enlève rien à cette très jolie Corvette ?

Je plussoie à tes paroles

 

Il n'y a pas que les GT qui soient bodybuildées chez IXO , c'est pratiquement toute leur production .

[pprv94]

Salut à vous 2

 

J'adore les Corvette et bien sûr, celle-ci ne déroge pas à cette règle. Présentation toujours aussi précise, c'est bien. La miniature semble de bonne facture mais le vrai soucis des Ixo en GT, c'est leur taille. Elles sont un peu grosses par rapport à des Spark.

Mais bon, cela n'enlève rien à cette très jolie Corvette ?

 

En effet, je l'ai acheté au fameux modelissimo sur le circuit des 24 h ! A 10 euros, ca ne se refuse pas y en avait également une autre de la même année, une non officielle, que j'ai acheté aussi !

 

Je plussoie à tes paroles

 

Il n'y a pas que les GT qui soient bodybuildées chez IXO , c'est pratiquement toute leur production .

 

 

C'est vrai que la Corvette fait un peu costaud ... ! Mais ca ne se voit que si on la met à côté d'une corvette Spark, enfin c'est ce que moi je vois.

Par contre concernant les proto, y a quelques chassis que je possède sur des ixos comme des sparks (chassis des Lola, Dallara SP01, Reynard 2KQ et d'autres) et je ne vois franchement pas de différence de gabarit entre les 2. Des modèles en particulier où ca peut se voir ??

[Invité §amo123JS]

Bonsoir Paul

 

Ca va vite chez toi ,ok pour la "pesca" noire et rose fluo ,j'ai & j' aussi.

Alors là avec de la Corvette ...c'est mon point faible ,bravo pour ces deux présentations très bien documentées

 

A+ED

 

 

 

[Invité §amo123JS]

Deux vettes 2012 pour comparaison

IXO / SPARK

[pprv94]

Salut Ed comment vas tu ??

 

Disons que j'en ai encore pas mal en stock mais en terme d'achat ca va pas aussi vite ce mois ci, je me rattraperai le mois suivant

 

Les Corvette aussi j'apprécie beaucoup, un super bruit et une superbe ligne merci beaucoup pour ta photo avec tes 2 belles de 2012 ! On voit un peu la différence de taille sur l'arrière, aileron + large aussi chez Ixo mais sur l'avant je vois franchement pas de différence

[pprv94]

Bonjour !

 

Je vous présente sur ce post un modèle je pense apprécié de beaucoup, la viper GTS-R n°50 de 1998.

 

 

Oubliez la voiture la plus époustouflante que vous n’ayez jamais vue. Avec une ligne ahurissante à couper le souffle, rien ne surpasse pour l’époque la dodge viper. Le prototype présenté pour la première fois au public au salon de Détroit en 1989 connut un succès immédiat, surtout quand tout le monde apprit que sous sa robe fabuleuse se cache un super moteur.

 

 

Quand la viper entra finalement en production en 1992, chacun fut soulagé de voir que le V10 à 90° de huit litres d’origine était lui aussi passé en production.

En terme de performance, les 100 km/h sont avalés en 4 secondes et demi et la voiture commence à perdre son souffle qu’à environ 275 km/h. Ce qui est encore plus incroyable, c’est que la viper passe de 0 à 160 km/h puis à zéro en 14,5 secondes seulement (les 4 roues sont équipées de freins à disques surdimensionnés). Il n’est pas facile de dompter cette puissance, pour cela, la viper emploie des suspensions à bras supérieurs et inférieurs de longueurs inégales à l’avant comme à l’arrière. Quatre jantes de 17 pouces permettent de chausser la viper de pneus aux dimensions généreuses 275/40 ZR17 à l’avant et 335/35 ZR17 à l’arrière.

 

 

A la décapotable d’origine se sont rapidement jointes la GTS Fastback et la GTS-R, modèle employé pour les courses.

Puisqu’évidemment en cette période, après la participation de 2 premières RT10 en 1994, les vipers ont plu et viennent en nombre à partir des années suivantes !

 

 

Et ce dès 1995 où Chrysler confie au Team ORECA le soin de développer une Viper d’endurance capable de rivaliser avec les meilleures voitures de la catégorie de l’époque, les Porsche GT2 Evo, Ferrari F40 et autres McLaren F1 GTR…La Viper GTS-R est alors construite à partir d’un châssis Reynard Motorsport. Elle ne conserve pratiquement aucune pièce de la version de base. Bien que la carrosserie suive les lignes principales de cette dernière, il s’agit d’une nouvelle auto avec un spoiler avant et un diffuseur à l’arrière. Très vite, on sait qu’il s’agit d’une voiture bien née car les résultats arrivent vite.

En 1997, pour sa première participation au championnat FIA GT, la Viper GTS-R de Justin Bell est couronnée championne du monde avec pas moins de six victoires en 11 courses.

 

 

Un an plus tôt, au Mans, quatre Viper GTS-R sont engagées : deux par Canaska Southwind Motorsport et deux pour Team Viper ORECA. La meilleure, la #48 (USA) de Price Cobb, Mark Dismore, Shawn Hendricks termine 10ème. En 1997, quatre voitures sont alignées, trois pour ORECA et une pour Chamberlain Engineering. La n°63 de Justin Bell, John Morton, Pierre Yver finit 5ème de la catégorie GT2, 14ème au général.

 

 

Pour cette nouvelle édition de 1998, la team Oreca présente 3 viper GTS-R au départ portant les numéros 50, 51 et 53.

Sur la grille de départ, la n°50 a décrochée la 31ème place au général avec un temps de 4 minutes, 5 secondes et 6 centièmes. Elle est 2ème sur la grille des GT2 derrière la viper n°51. La troisième viper, la numéro 53, et en 4 ème position intercallée entre 2 Porsche 911 GT2.

 

 

Le départ est donné à 14h.

 

 

Etonnamment, les Porsche 911 GT2 n°60 et 70 prennent la tête de la catégorie GT2 au départ, les n°51 et 53 les suivent de près pour finalement rapidement reprendre le commandement de la course. En revanche, la n°50 traine un peu derrière.

Ce sera malheureusement un abandon pour cause de problème électrique pour la n°50 après seulement 28 tours établis et tout juste un peu plus de 2 heures de course. Là où le coup fut dur pour la n°50, c’est qu’elle a pu commencer à entrer dans la zone d’accès au stands mais qu’elle s’est totalement arrêtée à 20 m de son stand alors que les mécaniciens auraient été en mesure de régler ce problème.

 

 

 

Modèle Ixo

[philou 72]

je me souviens ,elle avait une sacrée sonorité ,belle auto :love:

[gennaro1]

Une sacrée gueule, une sacrée voiture et un sacré bruit en effet ! Cette voiture a régné pendant quelques années au Mans et c'est tout à fait logique de les retrouver dans les vitrines.

Belle reproduction signée Ixo

[Alain du 38]

Je vous présente sur ce post un modèle je pense apprécié de beaucoup, la viper GTS-R n°50 de 1998.

 

 

C'est en effet un sacré bestiau dont malheureusement je n'ai jamais entendu la sonorité du moteur

 

Jolie miniature

[voner5]

Ah les Muscles Américaines......de quoi vous faire dresser les poils....

[pprv94]

Salut à vous 4

 

je me souviens ,elle avait une sacrée sonorité ,belle auto :love:

 

Une sacrée gueule, une sacrée voiture et un sacré bruit en effet ! Cette voiture a régné pendant quelques années au Mans et c'est tout à fait logique de les retrouver dans les vitrines.

Belle reproduction signée Ixo

 

 

Vous avez bien de la chance d'avoir pu l'entendre elles sont bien connus pour ça en plus de leurs performances et leur sacré bouille ! Elles ont subitement disparue en 2004 ... !

En effet je la trouve bien reproduite gennaro mais en regardant les photos j'ai remarqué que l'aileron penche d'un côté, je ne l'avais jamais remarqué avant

 

C'est en effet un sacré bestiau dont malheureusement je n'ai jamais entendu la sonorité du moteur

 

Jolie miniature

 

AAh toi non plus hélas tu n'as jamais pu la voir courir ... !

 

Ah les Muscles Américaines......de quoi vous faire dresser les poils....

 

 

C'est clair, ce sont les GT que je préfère avec les corvettes parmi l'ère actuelle !

[grosnono]

salut ,

 

Beaucoup de belles miniatures par ici , je suis un peu comme toi je préfère nettement les GT aux LMP !!!! raison pour laquelle je me suis laissé tenter par des GT des 24h de Spa, course à laquelle j'ai assisté en 1991 puis en 2017/18 et 19 avec certains copains qui passent par chez toi

[pprv94]

salut ,

 

Beaucoup de belles miniatures par ici , je suis un peu comme toi je préfère nettement les GT aux LMP !!!! raison pour laquelle je me suis laissé tenter par des GT des 24h de Spa, course à laquelle j'ai assisté en 1991 puis en 2017/18 et 19 avec certains copains qui passent par chez toi

 

 

Salut grosnono

 

Merci pour ton passage !

Les GT ont toujours des allures fascinantes mais paradoxalement il y a bien + de protos que de GT dans mes vitrines je ne sais pas vraiment pourquoi !

 

Vous avez l'air d'être une sacré bonne communauté ici, je sais que vous vous retrouvez chaque année au BBQ Le Mans, c'est chouette aussi que vous partez participer à d'autres courses ! Ca doit être superbe Spa aussi

[Alain du 38]

AAh toi non plus hélas tu n'as jamais pu la voir courir ... !

 

Pendant 25 ans je travaillais les samedis , dimanches et jour fériés , et après..............

[pprv94]

Pendant 25 ans je travaillais les samedis , dimanches et jour fériés , et après..............

 

 

Ah mince, je compatis ... ! J'espère que maintenant tu peux t'y rendre comme bon te semble ! En espérant qu'on aura le droit à une édition 2021, ce qui n'est pas encore tout à fait sûr...

[pprv94]

Bonjour !

 

Aujourd’hui je vous propose une GT un peu à l’ancienne, la Jaguar XJ220-C n°50 de 1993 !

 

 

Lancée pendant le boom économique des années 80, la XJ220 est née d’un simple croquis de vacances dessiné par le directeur technique de Jaguar. Ce dessin original subit des modifications tout au long du développement de la XJ220. Elle fit sa première apparition au salon de Birmingham en 1988. Il s’agissait d’un coupé à carrosserie entièrement aluminium animé par un moteur V12 à 48 soupapes. La puissance était transmise aux 4 roues. Toutefois, lors de sa commercialisation en 1992, la voiture avait raccourci de 25 cm et son moteur était devenu un V6 à double turbo entrainant seulement les roues arrières. Même en se contentant de la moitié du nombre de cylindres prévu à l’origine, Jaguar parvint néanmoins à extraire 562 chevaux du 3,5 litres à 24 soupapes et quatre arbres en tête. Le moteur produisait un couple de 472 lb.ft à 5 000 tr/min, ces deux valeurs se combinant à offrir une accélération de 0 à 100 km/h en 4 secondes et une vitesse de pointe de 350 km/h.

 

 

Pour maitriser cette puissance, Jaguar fit usage pour l’avant comme pour l’arrière de sa suspension Groupe C dérivée de la course, comprenant les doubles triangles de longueur inégale. La voiture avec des lignes assez reconnaissables et bien à elle mesure deux mètres de large et quatre mètres de long, c’est un sacré morceau ! Quant aux roues, la voiture était équipée de jantes 9Jx17 à l’avant et des 14Jx18 à l’arrière. Les pneus étaient à taille ultra basse, de 245/70x17 à l’avant et 345/35x18 à l’arrière, spécialement conçus pour la voiture.

 

 

Souhaitant en 1993 un retour au Mans mais en catégorie GT, Jaguar revu sa XJ220 pour en faire une version XJ220-C. Ces dernières conservent le V6 bi-turbo de 3,5 L mais ils fonctionnent avec des restricteurs limitant leur puissance à 500 chevaux, faisant atteindre à la voiture une vitesse de seulement 300 km/h dans les Hunaudières.

 

 

En cette année 1993, trois Jaguar XJ220-C sont engagée aux 24 heures du Mans, portant les numéros 50, 51 et 52.

Face à ces Jaguar XJ220-C engagées par Tom Walkinshaw Racing (TWR), on trouve sept Porsche Carrera RSR, quatre Carrera 2 et la Turbo S LM d’usine, cinq Venturi 500LM, deux Lotus Esprit Turbo et une Ferrari 348 LM.

La numéro 50 porte le châssis « 002 ». C’est l’un des 4 châssis que Jaguar a préparé du modèle XJ220-C selon les spécifications FIA/IMSA.

Au départ de la course, la n°50 est placé en 11ème place de la grille au coude à coude avec la Porsche 911 Turbo S d’usine qui est belle est bien sa principale rivale.

 

 

Le départ est donné.

En course, la Jaguar est rapide mais pas aussi fiable que la Porsche 911 Turbo S d’usine aux spécifications Le Mans. Après la 1ère heure de course elle est derrière elle à une quarantaine de seconde. Mais le trio Stuck/Röhrl/Hurley perd ensuite cinq tours dès la seconde heure de course en raison d’une transmission bloquée…

 

 

Puis la n°50 connait ensuite une autre frayeur survenant aux alentours de 17h00 mais finalement sans grande conséquence puisque la voiture prend feu à cause d’un débordement d’essence. Ce dernier est vite maitrisé et la voiture peut repartir !

Après être revenu à seulement deux boucles du commandement au quart de la distance, Röhrl au volant de sa Porsche 911 turbo S s’accidente contre le prototype Debora Alfa Romeo, après avoir perdu un instant d’attention face à une autre Porsche. A 22h, le principal rival de la Jaguar abandonne. Ainsi les 2 Jaguar encore en course prennent toute 2 le commandement.

Mais ca ne durera pas : la n°50 connait pendant la nuit un problème de fuite d’essence qui lui fera perdre 1h15 dans son stand … Quant à l’autre jaguar, la numéro 52, elle finira simplement par abandonner.

La voiture ne connaitra ensuite plus de réel souci technique et remontera les positions jusqu’à reprendre la tête de sa catégorie peu avant l’arrivée … Et résultat, elle remporte la course en catégorie C4.

 

 

Pour l’anecdote, Brabham ne put participer à autant de relais que prévu en raison de la chute de sa voiture sur… son pied au moment d’un ravitaillement et changement de pilote ! Nielsen, en tant que pilote le plus expérimenté du groupe, assuma sa tâche à merveille et Coulthard dut lui aussi prendre plus de temps au volant pour amener l’auto jusqu’à l’arrivée.

La voiture est arrivée 15ème du classement général et surtout première de sa catégorie, la catégorie C4. Les pilotes purent profiter du podium mais la suite de l’aventure est elle aussi mémorable : environ 1 mois après les 24 heures, l’auto fut en effet déclassée et la victoire revint au trio Porsche arrivé second (Barth/Gouhier/Dupuy). Une faille réglementaire avait brisé le moment de gloire : la Jaguar fut en effet jugée illégale du fait de ne pas disposer de convertisseur catalytique. La règle disait en effet que les voitures devaient "respecter les normes d’émissions européennes, nord-américaines et japonaises de leurs versions routières".

 

 

Ironie du sort, les organisateurs savaient très bien que la Jaguar XJ220-C n’était pas conforme !

En effet, la Jaguar XJ220-C avait été construite conformément aux règles de la classe GT internationale de l’IMSA, qui étaient également acceptées par l’ACO, rendant ainsi les voitures compatibles avec la réglementation des courses des deux côtés de l’Atlantique. Aucun autre concurrent au Mans n’utilisait de convertisseurs catalytiques pour la course, et Tom Walkinshaw a vivement débattu de la question avec Alain Bertaut. Le responsable technique d’IMSA, Amos Johnson, prit alors le parti de TWR dans ce différend, et Alain Bertaut permit finalement aux nouvelles XJ220-C de participer à la course du 24 juin, mais seulement sous appel. Après la course, l’ACO a décidé que l’appel en instance de TWR n’avait pas été soumis à temps à la Fédération Française du Sport Automobile (FFSA) comme requis.

La n°50, longtemps restée au musée TWR, a été mise aux enchères le 01/12/2018.

 

 

 

Modèle Provence Moulage

[Alain du 38]

Ah mince, je compatis ... ! J'espère que maintenant tu peux t'y rendre comme bon te semble ! En espérant qu'on aura le droit à une édition 2021, ce qui n'est pas encore tout à fait sûr...

Hélas maintenant c'est trop tard

 

Bonjour !

Aujourd’hui je vous propose une GT un peu à l’ancienne, la Jaguar XJ220-C n°50 de 1993 !

 

 

Pour les explications et les photos de cette belle Jaguar ! :love:

[alm93]

Bonjour !

 

Aujourd’hui je vous propose une GT un peu à l’ancienne, la Jaguar XJ220-C n°50 de 1993 !

 

 

Lancée pendant le boom économique des années 80, la XJ220 est née d’un simple croquis de vacances dessiné par le directeur technique de Jaguar. Ce dessin original subit des modifications tout au long du développement de la XJ220. Elle fit sa première apparition au salon de Birmingham en 1988. Il s’agissait d’un coupé à carrosserie entièrement aluminium animé par un moteur V12 à 48 soupapes. La puissance était transmise aux 4 roues. Toutefois, lors de sa commercialisation en 1992, la voiture avait raccourci de 25 cm et son moteur était devenu un V6 à double turbo entrainant seulement les roues arrières. Même en se contentant de la moitié du nombre de cylindres prévu à l’origine, Jaguar parvint néanmoins à extraire 562 chevaux du 3,5 litres à 24 soupapes et quatre arbres en tête. Le moteur produisait un couple de 472 lb.ft à 5 000 tr/min, ces deux valeurs se combinant à offrir une accélération de 0 à 100 km/h en 4 secondes et une vitesse de pointe de 350 km/h.

 

 

Pour maitriser cette puissance, Jaguar fit usage pour l’avant comme pour l’arrière de sa suspension Groupe C dérivée de la course, comprenant les doubles triangles de longueur inégale. La voiture avec des lignes assez reconnaissables et bien à elle mesure deux mètres de large et quatre mètres de long, c’est un sacré morceau ! Quant aux roues, la voiture était équipée de jantes 9Jx17 à l’avant et des 14Jx18 à l’arrière. Les pneus étaient à taille ultra basse, de 245/70x17 à l’avant et 345/35x18 à l’arrière, spécialement conçus pour la voiture.

 

 

Souhaitant en 1993 un retour au Mans mais en catégorie GT, Jaguar revu sa XJ220 pour en faire une version XJ220-C. Ces dernières conservent le V6 bi-turbo de 3,5 L mais ils fonctionnent avec des restricteurs limitant leur puissance à 500 chevaux, faisant atteindre à la voiture une vitesse de seulement 300 km/h dans les Hunaudières.

 

 

En cette année 1993, trois Jaguar XJ220-C sont engagée aux 24 heures du Mans, portant les numéros 50, 51 et 52.

Face à ces Jaguar XJ220-C engagées par Tom Walkinshaw Racing (TWR), on trouve sept Porsche Carrera RSR, quatre Carrera 2 et la Turbo S LM d’usine, cinq Venturi 500LM, deux Lotus Esprit Turbo et une Ferrari 348 LM.

La numéro 50 porte le châssis « 002 ». C’est l’un des 4 châssis que Jaguar a préparé du modèle XJ220-C selon les spécifications FIA/IMSA.

Au départ de la course, la n°50 est placé en 11ème place de la grille au coude à coude avec la Porsche 911 Turbo S d’usine qui est belle est bien sa principale rivale.

 

 

Le départ est donné.

En course, la Jaguar est rapide mais pas aussi fiable que la Porsche 911 Turbo S d’usine aux spécifications Le Mans. Après la 1ère heure de course elle est derrière elle à une quarantaine de seconde. Mais le trio Stuck/Röhrl/Hurley perd ensuite cinq tours dès la seconde heure de course en raison d’une transmission bloquée…

 

 

Puis la n°50 connait ensuite une autre frayeur survenant aux alentours de 17h00 mais finalement sans grande conséquence puisque la voiture prend feu à cause d’un débordement d’essence. Ce dernier est vite maitrisé et la voiture peut repartir !

Après être revenu à seulement deux boucles du commandement au quart de la distance, Röhrl au volant de sa Porsche 911 turbo S s’accidente contre le prototype Debora Alfa Romeo, après avoir perdu un instant d’attention face à une autre Porsche. A 22h, le principal rival de la Jaguar abandonne. Ainsi les 2 Jaguar encore en course prennent toute 2 le commandement.

Mais ca ne durera pas : la n°50 connait pendant la nuit un problème de fuite d’essence qui lui fera perdre 1h15 dans son stand … Quant à l’autre jaguar, la numéro 52, elle finira simplement par abandonner.

La voiture ne connaitra ensuite plus de réel souci technique et remontera les positions jusqu’à reprendre la tête de sa catégorie peu avant l’arrivée … Et résultat, elle remporte la course en catégorie C4.

 

 

Pour l’anecdote, Brabham ne put participer à autant de relais que prévu en raison de la chute de sa voiture sur… son pied au moment d’un ravitaillement et changement de pilote ! Nielsen, en tant que pilote le plus expérimenté du groupe, assuma sa tâche à merveille et Coulthard dut lui aussi prendre plus de temps au volant pour amener l’auto jusqu’à l’arrivée.

La voiture est arrivée 15ème du classement général et surtout première de sa catégorie, la catégorie C4. Les pilotes purent profiter du podium mais la suite de l’aventure est elle aussi mémorable : environ 1 mois après les 24 heures, l’auto fut en effet déclassée et la victoire revint au trio Porsche arrivé second (Barth/Gouhier/Dupuy). Une faille réglementaire avait brisé le moment de gloire : la Jaguar fut en effet jugée illégale du fait de ne pas disposer de convertisseur catalytique. La règle disait en effet que les voitures devaient "respecter les normes d’émissions européennes, nord-américaines et japonaises de leurs versions routières".

 

 

Ironie du sort, les organisateurs savaient très bien que la Jaguar XJ220-C n’était pas conforme !

En effet, la Jaguar XJ220-C avait été construite conformément aux règles de la classe GT internationale de l’IMSA, qui étaient également acceptées par l’ACO, rendant ainsi les voitures compatibles avec la réglementation des courses des deux côtés de l’Atlantique. Aucun autre concurrent au Mans n’utilisait de convertisseurs catalytiques pour la course, et Tom Walkinshaw a vivement débattu de la question avec Alain Bertaut. Le responsable technique d’IMSA, Amos Johnson, prit alors le parti de TWR dans ce différend, et Alain Bertaut permit finalement aux nouvelles XJ220-C de participer à la course du 24 juin, mais seulement sous appel. Après la course, l’ACO a décidé que l’appel en instance de TWR n’avait pas été soumis à temps à la Fédération Française du Sport Automobile (FFSA) comme requis.

La n°50, longtemps restée au musée TWR, a été mise aux enchères le 01/12/2018.

 

 

 

Modèle Provence Moulage

 

 

Malheureusement il me semble que la couleur de ton kit est incorrecte car l'auto était vert lagon métallisé et les roues couleur bronze.

 

[pprv94]

Pour les explications et les photos de cette belle Jaguar ! :love:

 

 

Coucou Alain ! De rien, je trouve son histoire particulièrement intéressante ! Quant à l'auto elle n'a pas l'air très très courante ... !

 

 

Malheureusement il me semble que la couleur de ton kit est incorrecte car l'auto était vert lagon métallisé et les roues couleur bronze.

 

https://prints.motorsportimage [...] 135217.jpg

 

 

Salut alm !

Je ne l'avais pas remarqué avant ton post et tu as bien raison, ça saute aux yeux maintenant ! C'est fort dommage. Ce n'est pas moi qui ai monté ce kit, je ne me serais pas trompé dans les couleurs

Et je ne la reprendrai pas, j'ai essayé un seul kit, je m'en étais tiré à merveille pour le limage, la mise en peinture, les détails et les décalcos puis est arrivé l'étape de l'assemblage avec la colle et là (déjà que je déteste manipuler de la colle) ce fut le drame...

[gennaro1]

Une belle miniature quand même pour une sacrée voiture ! Et bravo pour ta présentation, complète et fort intéressante.

[panos]

Une très belle auto que tu nous présentes là.

La XJ220 !

Avec un sacré trio de pilotes...

[pprv94]

Une belle miniature quand même pour une sacrée voiture ! Et bravo pour ta présentation, complète et fort intéressante.

 

 

 

Une très belle auto que tu nous présentes là.

La XJ220 !

Avec un sacré trio de pilotes...

 

 

 

Salut à vous

 

C'est vrai qu'elle a fière allure cette Jaguar !

 

Une voiture qui fait parti de la très longue liste de "j'aurais bien aimé la voir en course... !"

 

Bonne journée à vous !

[pprv94]

Bonjour !

Je vous propose aujourd’hui une série presse dont je trouve la miniature très réussie et qui est encore bien éclatante dans ma vitrine : la panoz Espérante GTR1 n°52 de 1997.

 

 

Cette année 1997 est marquée notamment par l’arrivée d’un modèle encore jamais aperçu dans la Sarthe, la Panoz Esperante GTR1.

Cette voiture fut développée par la société Panoz Auto Développement avec à sa tête, Dan Panoz. Cette société est notamment financée par son père Don (pour Donald) Panoz.

 

 

Quelques années plus tard, en 1997 justement, Donald Panoz fonde l’American Le Mans Series, ce qui contribue grandement au rapprochement de l’ACO avec l’Amérique du Nord ayant pour effet de ramener les constructeurs du vieux continent à la Sarthe, à commencer par Panoz.

La conception de l’Esperante GTR1 débute en 1996 en association avec Reynard. Don Panoz souhaitant conserver un style typiquement Américain souhaitait que la voiture soit basée sur son Esperante. Le moteur de la voiture, un V8 Ford de 6 litres conçu spécifiquement pour cette voiture, était placé à l’avant du véhicule derrière l’essieu avant. Le fait d’avoir se moteur à l’avant a donné à la voiture des proportions assez inhabituelles avec un avant très allongé et un cockpit placé fort en recul.

 

 

Ainsi, ce n’est pas moins de 6 voitures qui sont construites. Deux voitures sont pour Panoz qu’ils gardent pour les compétitions Américaines, deux autres voitures sont confiées à l’écurie française DAMS et deux autres à l’écurie britannique David Price Racing.

Ainsi au départ de l’édition 1997, 3 de ces 6 Panoz sont alignées au départ des 24 heures du Mans : une pour l’écurie Dams et les deux de l’écurie David Price Racing.

 

 

Don Panoz a fait le déplacement pour cette édition 1997 marquant sa première visite sur le circuit. C’est la 7ème course à laquelle il assiste. Lui qui n’était absolument pas passionné par l’épreuve en ressortira complètement convaincu puisqu’il a été, comme il le dit « contaminé par le virus du Mans ».

L’espérante GTR1 de DAMS porte le numéro 52 et une déco plutôt sobre toute noir avec des petites flammes derrière les roues arrières.

Personne ne sait trop quoi attendre de ces voitures sorties de nulle part mais ce qui est sûr, c’est qu’elles plaisent beaucoup, que ce soit pour leur allure ou leur bruit !

 

 

Sur la grille de départ, c’est plutôt pas mal, la n°52 se classant en 17ème position sur 52 voitures avec un temps de 3 minutes, 48 secondes et 123 centièmes soit 5 secondes de plus que la meilleure des GT1, la Porsche 911 GT1 n°25.

 

 

En cette année 1997, le départ est donné à 16 h 00.

Mais même pas la course commencée que la n°52 inaugure la liste des incidents de course en touchant une Nissan dans la chicane Ford avant même le départ. La voiture a dû s'arrêter pour une réparation de fortune du capot avant (qui sera changé avant la nuit).

 

 

La voiture se retrouve donc en 31ème position après 2 heures de course, ce qui est plutôt dommage par rapport aux temps affichés aux essais.

Peu embêté ensuite, la voiture remonte petit à petit dans le classement pour se classer en 19ème position le samedi soir à minuit. Deux heures plus tard, à deux heures du matin donc, victime d’aucun souci mécanique ni d’aucune sortie de piste elle remonte à la 13ème place du général ! Une première partie de course très prometteuse surtout après un départ raté.

 

 

Mais voilà hélas très peu de temps après aux alentours de 2h40 du matin que la n°52 se voit en train de perdre de l’huile sur le circuit … ! Et voilà qu’après 149 tours bouclés, c’est l’abandon pour la n°52.

 

 

 

 

Modèle Ixo - Altaya

[Alain du 38]

Bonjour !

Je vous propose aujourd’hui une série presse dont je trouve la miniature très réussie et qui est encore bien éclatante dans ma vitrine : la panoz Espérante GTR1 n°52 de 1997.

 

 

pprv94 ! Merci pour les photos et les commentaires concernant cette Panoz Esperante..............que je n'ai pas dans mes vitrines :jap:

[gennaro1]

Une voiture hors norme, un peu comme son créateur Don Panoz, un bruit de moteur assourdissant comme seuls les américains savent faire...Absolument envoûtante et indispensable dans une vitrine.

Et bravo pour ta présentation, toujours aussi détaillée.

[pprv94]

pprv94 ! Merci pour les photos et les commentaires concernant cette Panoz Esperante..............que je n'ai pas dans mes vitrines :jap:

 

 

Salut Alain !

Si un jour tu en souhaite une, la Ixo-Altaya est de bonne facture et franchement bien reproduite

Une voiture hors norme, un peu comme son créateur Don Panoz, un bruit de moteur assourdissant comme seuls les américains savent faire...Absolument envoûtante et indispensable dans une vitrine.

Et bravo pour ta présentation, toujours aussi détaillée.

 

 

Salut Gennaro ! La seule Panoz que j'ai pu entendre ou plutôt les seuls, étaient les 2 esperante oranges qui ont couru en 2007. Et ça m'avait plutôt marqué à l'époque j'imagine que celui des espérantes GTR1 devait être tout aussi symphonique

Aujourd'hui, ça reste corvette mes GT favorite, notamment pour leur bruit aussi

[Alain du 38]

Bonjour !

Je vous propose aujourd’hui une série presse dont je trouve la miniature très réussie et qui est encore bien éclatante dans ma vitrine : la panoz Espérante GTR1 n°52 de 1997.

 

 

Je ne suis pas un spécialiste en photographie loin de là mais je crois que tu devrais éviter de prendre tes miniatures à contre-jour , le résultat serait bien meilleur

[pprv94]

Je ne suis pas un spécialiste en photographie loin de là mais je crois que tu devrais éviter de prendre tes miniatures à contre-jour , le résultat serait bien meilleur

 

 

Oui, j'ai pas mal hésité avant de poster les photos. La qualité est vraiment ... bref c'est clair

Le problème c'est que je fais ça avec mon téléphone n'ayant pas d'appareil photo, et lors d'une soirée je l'ai fais tombé et l'ai piétiné sans le vouloir ... Depuis, quand il y a un mauvais éclairage, les photos sont vraiment de mauvaise qualité (je les ai prise hier soir dans le salon ; n'ayant pas eu le temps de faire de photos ce week end ave un meilleur éclairage).

Je devrais bientôt le changer (pour Noël ) mais je ne me vois pas arrêter de faire des présentations d'ici là, quitte à refaire d'autres photos plus correctes plus tard