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1/43ème

Jaguar au Mans


grandrobert
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J'avais posé une question dans la "grande salle" et je remercie calou-jag43 dont les posts pleins d'érudition m'ont finalement donné la réponse. Ma question concernait une certaine Jaguar du Mans dont une miniature (presse) avait l'échappement mal positionné mais je ne savais plus laquelle (année, numéro, réducteur, collection).

 

Maintenant, grâce à calou-jag43, j'ai vaincu Alzheimer... Voir dans ce même topic à la page 5.

 

Il s'agit bien de la numéro 6 du vainqueur de l'édition 1955. Il y a deux qui exhibent un échappement sur le côté gauche alors qu'il passait en dessous jusqu'à l'AR:

- une qui est annoncée soit comme IXO-DelPrado (collection "car collection" en Espagne) soit comme IXO-ATLAS (quelle collection presse ?)

- une Vitesse Millenium (boutique).

 

En revanche, la IXO de la collection-presse "24 Heures du Mans" est tout à fait correcte et il faut que je la trouve maintenant.

 

Amicalement. JPL.

 

YESSE..

 

Il s'agit bien de la numéro 6 du vainqueur de l'édition 1955. Il y a deux qui exhibent un échappement sur le côté gauche alors qu'il passait en dessous jusqu'à l'AR:

En revanche, la IXO de la collection-presse "24 Heures du Mans" est tout à fait correcte et il faut que je la trouve maintenant.

P1010137.jpg.cb840e44c4ec697b7796e0523d2fd37d.jpg

 

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P1010136.jpg.ca4474f42b103f36b74f76e7d2775060.jpg

 

JAGUAR D 1955 ...ALTAYA /IXO ...

Marcello :jap::jap::jap:

 

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Avouez qu'elles sont jolies nos Jaguar !

 

Continuons avec l'année 1958.

 

21 et 22 juin 1958 : Jaguar en deuil.

 

L’année 1958 annonce le déclin de Jaguar qui ne peut s’adapter au nouveau règlement édité par l’ACO. Même si leurs performances restent honorables, elles doivent s’incliner devant la Ferrari Testarossa de Phil Hill et Olivier Gendebien.

 

1958_6_5.jpg.79ee31f10f887a9ac1e68c7e8f09e9c5.jpg

 

En 1958, cinq type D et deux Lister sont engagées. L’abaissement de leurs puissances à 250 chevaux provient de leur cylindrée réduite à trois litres par la réglementation. Comme l’année précédente, l’écurie Écosse et Duncan Hamilton engagent des voitures longues. Henri Peignaux et Maurice Charles inscrivent chacun une type D courte, bleu clair pour le premier et bleu métallisé pour l’autre. L’écurie nationale Belge apporte une Lister Knobbly pour compléter son équipe principalement composée de Ferrari. Enfin Bruce Halford participe au volant de sa Lister Flat iron privée peinte en vert Anglais.

 

La première menace contrariant le groupe de Jaguar vient de ses adversaires. Ferrari, décidé de mettre fin au règne des Anglaises arrive forte de onze voitures dont trois engagées directement par Maranello. Ferrari fait donc peur et semble favorite tout comme les trois Aston Martin DBR1 officielles. Cinq Porsche RSK, six Lotus, une Aston Martin DB3S privée, les Alfa Roméo, Maserati et autres marques forment un total de 55 voitures prêtes à s’élancer pour inscrire leur nom au Palmarès Sarthois.

 

La météorologie est le deuxième facteur déterminant cette année là. Le ciel qui menace depuis les vérifications va se déchaîner peu après le départ. Ne s’améliorant que par moment, le temps pluvieux sévit durant quinze heures sur l’ensemble de l’épreuve causant de nombreuses sorties de piste.

 

Ce temps épouvantable entraîne l’accident mortel de Jen-Marie Brussin dit "Mary" au cours de la septième heure. La direction ainsi que tous les membres de Coventry sont bouleversé en apprenant qu’un pilote vient de trouver la mort à bord d’une de leur voiture.

 

Les forces en présence

 

La Jaguar TYPE D numéro 6 : Jack FAIRMAN - Masten GREGORY

 

La Jaguar TYPE D numéro 7 : Ninian SANDERSON - John LAWRENCE

 

La Jaguar TYPE D numéro 8 : Duncan HAMILTON - Ivor BUEB

 

La Lister Jaguar numéro 9 : Claude DUBOIS – Freddy ROUSELLE

 

La Lister Jaguar numéro 10 : Bruce HALFORD – Brian NAYLOR

 

La Jaguar TYPE D numéro 11 : André GUELFI - Jean-Marie BRUSSIN

 

La Jaguar TYPE D numéro 57 : Maurice CHARLES - John YOUNG

 

A suivre ...

 

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24 Heures du Mans 1958

 

JAGUAR type D n°6 : Jack Fairman - Masten Gregory

 

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La Jaguar type D numéro 6 engagée au Mans en 1958 est engagée par l’écurie Écosse. Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD603 et du moteur EE1207-10. Longue de 4,102 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

Les années se suivent et ne se ressemblent pas dit le proverbe. En effet, contrairement aux deux années qui viennent de s’écouler, le début de course est un vrai cauchemar pour l’écurie Écosse. Comme les essais l’ont présagé, le nouveau moteur trois litres préparé par les Écossais donne des signes de faiblesse très tôt dans la course. Tournant beaucoup plus rapidement dans leur nouvelle configuration, les pistons cèdent prématurément et presque simultanément sur les deux type D bleues. Celle de Jack Fairman abandonne dans la deuxième heure peu après la numéro 7 de Sanderson. Masten Gregory n’a même pas l’occasion de piloter sa voiture en course et dans la soirée, les Écossais ont déjà fermé leurs stands.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K094 1/43 résine

(pas d'image)

 

Mimodels (CDA) base SMTS : 1/43 White métal

 

1818798423_MIMODELSTYPED6LM58.jpg.8b60b301a2bb7d8fc6a0a43ec7766896.jpg

 

La mienne : base Ixo models 1/43 métal

 

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Une modification relativement facile pour ceux qui possède une Altaya version Le Mans 1957.

 

A suivre

 

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24 Heures du Mans 1957

 

JAGUAR type D n°17 : Jean LUCAS – Jean-Marie BRUSSIN

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image004.png50..png

 

La Jaguar type D numéro 17 engagée au Mans en 1957 est engagée par l’écurie Los Amigos. Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3,8 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD606 et du moteur E5005-9. Longue de 3,911 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 22 et 23 juin 1957

 

La Type D de série appartient à Henri Peignaux. Elle est engagée par Jean-Marie Brussin dit « Mary » pour le compte de l’équipe « Los amigos ». Mary est épaulé par Jean Lucas. Moins affûtée que les autres type D courant habituellement en championnat, elle n’en demeure pas moins être une formidable machine de course ! Grâce à leur expérience et sans doute à la chance, les deux équipiers sont épargnés par les ennuis mécaniques. Toujours réguliers, ils remontent un à un leurs adversaires tout au long de la course et au gré des nombreux abandons italiens. Dans les quinze premiers durant les deux premières heures, huitièmes après sept heures de ronde, quatrièmes à mi-course, ils profitent aussi des malheurs de la jaguar belge le dimanche matin et finissent à la troisième place du podium. C’est la fête pour l’équipage français de même que dans le clan Jaguar qui savoure son triomphe.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K054 1/43 résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/AUTOMANY K054 JAGUAR TYPE D 17 LE MANS 1957.jpg

 

Brumm (I) : R153 1/43 résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/BRUMM R153 TYPE D 17LM57.jpg

 

Mimodels (CDA) base SMTS : 1/43 White métal

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/MIMODELS TYPE D 17LM57.jpg

 

Provence moulage (F) : K441 1/43 résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/Photo 051.jpg

 

A suivre ...

 

 

 

As tu remarqué comme l'arriére des Brumm est trop large, je me suis aperçu du probléme ce matin en faisant une petite photo de famille :

 

jaga.JPG1..jpg.91afaf58bcb7de01f9e8923649d5ae80.jpg

 

jag3.JPG1..jpg.9003e51de0eb239524aa3c96ff7112ba.jpg

 

Alors que les SOLIDO sont tout à fait correctes si on tient compte de leur âge + ou - 50 ans !

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Aaattention...

 

Il y a depuis longtemps un blème sur les D en maquette, avec cet arrière si étroit, et surtout "pointu" ou en V...

Or, si la voie arrière est un peu plus étroite, les pneus arrières compensent cette différence, ce qui donne une largeur similaire; le capot avant s'élargit par contre à l'aplomb de son ouverture pour enrober les roues et leur donner une possibilité de braquage.

 

J'ai fait des vues de dessus au Mans (Classic ou Story) afin de visualiser pleinement cette forme, jamais correctement rendue à mon goût, faudrait que je les retrouve... Mais amha, il serait plus facile de bomber légèrement les ailes avants d'une Brumm que reprendre le cul pointu d'une Solido... ou d'une PM!

 

Pour ma part, je sais ce qu'il me reste à faire, mais bon, vu le troupeau de chats à fouetter, je vais me faire tirer dessus par BB et la SPA... :lol:

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Aaattention...

 

Il y a depuis longtemps un blème sur les D en maquette, avec cet arrière si étroit, et surtout "pointu" ou en V...

Or, si la voie arrière est un peu plus étroite, les pneus arrières compensent cette différence, ce qui donne une largeur similaire; le capot avant s'élargit par contre à l'aplomb de son ouverture pour enrober les roues et leur donner une possibilité de braquage.

 

J'ai fait des vues de dessus au Mans (Classic ou Story) afin de visualiser pleinement cette forme, jamais correctement rendue à mon goût, faudrait que je les retrouve... Mais amha, il serait plus facile de bomber légèrement les ailes avants d'une Brumm que reprendre le cul pointu d'une Solido... ou d'une PM!

 

Pour ma part, je sais ce qu'il me reste à faire, mais bon, vu le troupeau de chats à fouetter, je vais me faire tirer dessus par BB et la SPA... :lol:

 

 

Bon, je jette mes SOLIDO, Altaya et consorts, ça va faire de la place sur mes étagéres (pour une Lowdrag Lindner Nocker par exemple arkhange.gif.e74e10050cf78f70c4cfc45867a70784.gif )

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Hello Etienne !

Aaattention...

Il y a depuis longtemps un blème sur les D en maquette, avec cet arrière si étroit, et surtout "pointu" ou en V...

Or, si la voie arrière est un peu plus étroite, les pneus arrières compensent cette différence, ce qui donne une largeur similaire; le capot avant s'élargit par contre à l'aplomb de son ouverture pour enrober les roues et leur donner une possibilité de braquage.

 

J'ai fait des vues de dessus au Mans (Classic ou Story) afin de visualiser pleinement cette forme, jamais correctement rendue à mon goût, faudrait que je les retrouve... Mais amha, il serait plus facile de bomber légèrement les ailes avants d'une Brumm que reprendre le cul pointu d'une Solido... ou d'une PM!

 

Pour ma part, je sais ce qu'il me reste à faire, mais bon, vu le troupeau de chats à fouetter, je vais me faire tirer dessus par BB et la SPA... :lol:

 

Je tire le premier et j'argumente :

 

Les chiffres : voie avant 1,27 m ; voie arrière 1,22

 

J'en ai vu de près lors de l'édition 1995 où presque toutes les anciennes gagnantes étaient venues et il faut reconnaître que cette différence est très visible.

 

5 cm de différence fait au 1/43 1,16 mm, presque 0,6 de chaque côté. Non négligeable.

 

Tu as raison quand tu dis que les ailes avants sont bombées, mais ce qui renforce cette différence c'est que l'arrière des ailes arrières participent à l'arrondi de la forme arrière elle-même assez ronde.

 

Une image pour le démontrer

 

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Maintenant pour avoir pas mal de modèle de type D, je dirai quand même (et c'est la que l'on est pas d'accord) que celles qui accumulent les erreurs et les défauts sont les Brumm, je ne compte pas la politoys qui ne ressemble même pas à une type D.

 

Oui, les Provence moulage sont très légèrement trop étroite de l'arrière, de même que les automany, Starter ou aussi les Solido mais ces écarts se chiffrent en 100ème de millimètres alors les amis GARDER VOS TYPE D :sol:

 

J'aurai tendance à donner une bonne note aux Ixo, SMTS, Milestone même s'il existe certaines erreurs parmi elles.

 

J'ajoute qu'il y a un article sur des type D dans le dernier numéro de Passion 43 qui retrace beaucoup de modèles anciens comme les minialuxe, Crio, Dinky et Niccky toys.

 

A suivre ...

 

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Hello Etienne !

 

 

Je tire le premier et j'argumente :

 

Les chiffres : voie avant 1,27 m ; voie arrière 1,22

 

J'en ai vu de près lors de l'édition 1995 où presque toutes les anciennes gagnantes étaient venues et il faut reconnaître que cette différence est très visible.

 

5 cm de différence fait au 1/43 1,16 mm, presque 0,6 de chaque côté. Non négligeable.

 

Tu as raison quand tu dis que les ailes avants sont bombées, mais ce qui renforce cette différence c'est que l'arrière des ailes arrières participent à l'arrondi de la forme arrière elle-même assez ronde.

 

Une image pour le démontrer

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/1957_17_6.jpg

 

Maintenant pour avoir pas mal de modèle de type D, je dirai quand même (et c'est la que l'on est pas d'accord) que celles qui accumulent les erreurs et les défauts sont les Brumm, je ne compte pas la politoys qui ne ressemble même pas à une type D.

 

Oui, les Provence moulage sont très légèrement trop étroite de l'arrière, de même que les automany, Starter ou aussi les Solido mais ces écarts se chiffrent en 100ème de millimètres alors les amis GARDER VOS TYPE D :sol:

 

J'aurai tendance à donner une bonne note aux Ixo, SMTS, Milestone même s'il existe certaines erreurs parmi elles.

 

J'ajoute qu'il y a un article sur des type D dans le dernier numéro de Passion 43 qui retrace beaucoup de modèles anciens comme les minialuxe, Crio, Dinky et Niccky toys.

 

A suivre ...

 

 

Bon décidez vous les gars, je jette les Solido Altaya et je garde les Brumm ou je fais le contraire, je m'y perds moi, déjà qu'il m'en faut pas beaucoup grandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gifgrandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gifgrandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gifgrandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gifgrandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gif

 

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Hello Etienne !

 

Je tire le premier et j'argumente :

 

Les chiffres : voie avant 1,27 m ; voie arrière 1,22

 

J'en ai vu de près lors de l'édition 1995 où presque toutes les anciennes gagnantes étaient venues et il faut reconnaître que cette différence est très visible.

 

5 cm de différence fait au 1/43 1,16 mm, presque 0,6 de chaque côté. Non négligeable.

 

Tu as raison quand tu dis que les ailes avants sont bombées, mais ce qui renforce cette différence c'est que l'arrière des ailes arrières participent à l'arrondi de la forme arrière elle-même assez ronde.

 

Une image pour le démontrer

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/1957_17_6.jpg

 

 

 

2 pouces d'écart sur les roues... soit 2 x 2.54cm, c'est équivalent à l'écart de voies...

 

Quant à l'image, voici la mienne, prise sur axe de phare/dérive, avec un objectif non déformant...

http://www.renaissance-models.com/images/details/LMStory_2007-DSC_3973.jpg

Une fois où j'ai enfin pu visualiser et enregistrer ce que j'avais vu et mesuré, notamment chez Lynx. ;)

 

Js suis sûr que s'il n'y avait personne sur "ta" photo, cela confirmerait la mienne ;)

 

Mais bon, ça ne veut pas dire que les Brumm soient meilleures! :lol:

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24 Heures du Mans 1958

 

JAGUAR type D n°7 : Ninian SANDERSON - John LAWRENCE

 

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La Jaguar type D numéro 7 engagée au Mans en 1958 est engagée par l’écurie Écosse. Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD6504 et du moteur E4007-10. Longue de 4,102 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

Ninian Sanderson inaugure les arrêts aux stands seulement trois tours après le départ. Son moteur ne lui semble pas tourner normalement. Il repart en piste mais dès la deuxième heure de course, il doit rentrer de nouveau. Comme sur l’autre type D écossaise, les pistons ont percé la culasse. John "Jock" Lawrence reste dans les stands et ne participe pas à l’épreuve. L’écurie cherche à comprendre d’où est venu le mal qui frappe ses voitures et non les autres. La disposition des pistons est certes légèrement différente mais plutôt que d’attribuer ces problèmes à la conception du moteur, les ingénieurs semblent d’accord pour attribuer ces avaries à des réglages mal adaptés au carburant dont l’indice d’octane a été imposé par les organisateurs.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K094 1/43 résine

 

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Mimodels (CDA) base SMTS : 1/43 White métal

 

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La mienne base Western models 1/43 white métal

 

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A suivre ...

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Les 'Brumm'... :pfff: même les gosses n'en veulent pas !

 

 

Bon,comme vous arrivez pas à vous mettre d'accord et que les Brumm ne me plaisent pas trop, elles ont été inscrites pour une iintervention des hanches à La Clinique, mais comme la file d'attente est longue (expression ne risquant pas de m'attirer les foudres de BB, comme dirait Etienne arkhange.gif.e74e10050cf78f70c4cfc45867a70784.gif ) c'est pas pour demain ! grandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gif

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24 Heures du Mans 1958

 

JAGUAR type D n°8 : Duncan HAMILTON – Ivor BUEB

 

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La Jaguar type D numéro 8 engagée au Mans en 1958 est engagée par Duncan Hamilton. Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD601 et du moteur EE1202-10. Longue de 4,102 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

Duncan Hamilton, patron de l’équipe prend un bon départ. Une heure plus tard, il reste en contact derrière l’Aston Martin DBR1 de Stirling Moss et quelques Ferrari. Le ciel commence à s’obscurcir et la pluie tombe dès la deuxième heure. Dans la soirée, un déluge s’abat sur Le Mans qui dure trois heures, provoquant de nombreuses sorties de piste et des accidents. A la faveur de cette hécatombe, notamment pour les Ferrari et Aston Martin qui se sont succédées en tête, Hamilton et Bueb se hissent à la quatrième place. Vers minuit, Ils passent en tête, puis sont doublés par la Ferrari des futurs vainqueurs, Phil Hill et Olivier Gendebien. S’engage un duel intense entre les deux voitures. Hamilton est stupéfiant sur une route inondée par la pluie. Il réussit à suivre la voiture rouge plus puissante que la sienne de cinquante chevaux ! L’aube se lève et chaque équipage peut constater combien la route est détrempée et par endroit, jonchée de boue ou d’épaves ! A 11 h 35 le dimanche, Hamilton met une roue dans l’herbe pour éviter une Panhard bloquée au milieu de la piste. Sous la pluie, il subit hélas à son tour un accident dans le talus du virage d’Arnage. Le pilote Anglais s’en sort miraculeusement mais doit être hospitalisé. C’est l’abandon après vingt heures de course.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K088 1/43 résine

 

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Mimodels (CDA) base SMTS

 

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A suivre ...

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24 Heures du Mans 1958

 

LISTER JAGUAR n°9 : Claude DUBOIS – Freddy ROUSSELLE

 

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La Lister numéro 9 engagée au Mans en 1958 est engagée par l’écurie nationale Belge. Équipée du moteur Jaguar 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro BHL105 et du moteur EE1204-10. Longue de 4,114 et large 1,587 mètres, la Lister atteint une vitesse en course de 274 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

La Lister Belge s’élance au milieu d’une meute de Ferrari parmi lesquelles figurent ses alliées au sein de l’écurie Francorchamps. Très rapidement, elle rentre dans le rang. Elle se positionne en vingt-cinquième place après la première heure de course. Sous les trombes d’eau qui inondent le circuit, elle entreprend prudemment de remonter vers le haut du classement au grès des accidents et des abandons. Pendant les heures qui suivent, ses pilotes, Freddy Rousselle et Claude Dubois, grignotent un bon nombre de places. À la quatrième heure, alors qu’ils se situent à la quinzième place, leur progression est stoppée par des problèmes de pression d’huile qui les contraignent à l’abandon. Il semble bien que les pistons étaient en cause comme pour les type D écossaises.

 

Les miniatures

 

Classic Jaguar Miniature (GB) : CJM10-LE2 1/43 résine Limité 25 exemplaires dédicacés base Renaissance

 

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Pinko models (I) : PI-211 1/43 résine

 

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Provence moulage (F) : K526 1/43 résine

 

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Renaissance (F) : 4319 1/43 résine

(Etienne, à l'aide !). Peux tu nous dire si elle est sortie sous l'appellation Renaissance cette version Mancelle ? Je l'avais noté depuis pas mal de temps mais j'ai un doute. Merci

 

A suivre ...

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Non, l'exclusivité de cette version LM a été gardée pour Gary Oxley (CJM).

Il est certes possible de la faire à partir de notre kit 43/19, mais avec quelques modifs, de caisse et de décals!

 

J'avais aussi signé la PM... ;)

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24 Heures du Mans 1958

 

LISTER JAGUAR n°9 : Claude DUBOIS – Freddy ROUSSELLE

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image004.png54..png

 

La Lister numéro 9 engagée au Mans en 1958 est engagée par l’écurie nationale Belge. Équipée du moteur Jaguar 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro BHL105 et du moteur EE1204-10. Longue de 4,114 et large 1,587 mètres, la Lister atteint une vitesse en course de 274 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

La Lister Belge s’élance au milieu d’une meute de Ferrari parmi lesquelles figurent ses alliées au sein de l’écurie Francorchamps. Très rapidement, elle rentre dans le rang. Elle se positionne en vingt-cinquième place après la première heure de course. Sous les trombes d’eau qui inondent le circuit, elle entreprend prudemment de remonter vers le haut du classement au grès des accidents et des abandons. Pendant les heures qui suivent, ses pilotes, Freddy Rousselle et Claude Dubois, grignotent un bon nombre de places. À la quatrième heure, alors qu’ils se situent à la quinzième place, leur progression est stoppée par des problèmes de pression d’huile qui les contraignent à l’abandon. Il semble bien que les pistons étaient en cause comme pour les type D écossaises.

 

Les miniatures

 

Classic Jaguar Miniature (GB) : CJM10-LE2 1/43 résine Limité 25 exemplaires dédicacés base Renaissance

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/CJM CJM10-LE2 LISTER 9 LE MANS 1958.jpg

 

Pinko models (I) : PI-211 1/43 résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/PINKO PI-211 LISTER-JAGUAR 9 LM1958.jpg1..jpg

 

Provence moulage (F) : K526 1/43 résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/PROVENCE MOULAGE k526 LISTER 9 Le Mans 1958 2.jpg

 

Renaissance (F) : 4319 1/43 résine

(Etienne, à l'aide !). Peux tu nous dire si elle est sortie sous l'appellation Renaissance cette version Mancelle ? Je l'avais noté depuis pas mal de temps mais j'ai un doute. Merci

 

A suivre ...

 

 

J'en ai une John Day, si je me souviens bien, achetée il y a...40 ans :

 

 

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Hello les amis !

 

Merci Etienne, je mets ma bdd à jour.

 

Quant à ta Lister, Grandrobert, c'est un mystère, inconnue chez John Day. Est-ce une transfo ? As tu une référence ? A ma connaissance, au 1/43, Jade miniatures, Western Models et Renaissance ont sorti une Lister Knobbly.

 

A suivre ...

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Invité §Mas042gf

belle collection de jaguar tout le monde, moi je n'ai q'une XRJ-10 micro machine, biensur je suis aussi un grand passionné de miniature

 

massi11.gif.7430e2ffff05e245ba226989242c02a3.gif A+

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Merci Etienne, je mets ma bdd à jour.

 

Quant à ta Lister, Grandrobert, c'est un mystère, inconnue chez John Day. Est-ce une transfo ? As tu une référence ? A ma connaissance, au 1/43, Jade miniatures, Western Models et Renaissance ont sorti une Lister Knobbly.

 

A suivre ...

 

 

Peut être s'agit il d'une Western Model, mais comme tu le sais les artisants de ces années là ne gravaient que trés rarement leurs chassis, et comme je n'ai plus la boîte. a3_isa.gif.c8410f83fdbe74a72c5eeee0d1c2dee4.gif

 

En tous cas ce n'est ni Renaissance, ni Jade qui eux gravent leurs chassis et puis ils étaient pas nés quand je l'ai acquise. grandrobert.gif.9711cab9c47af1d541693d5ace7cdd17.gif

Elle va certainement rejoindre la Clinque pour une remise ne forme un de ces 4 mais la liste d'attente est de plus en plus longue anthony921.gif.e3bc74091ec10634481a2076597e8e5e.gif

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Hello les amis !

 

Dans un post précédent, Grandrobert, tu nous présentais ta Lister comme une Western models : les Jade et Renaissance étant en résine, il ne peut y avoir de doute si ta voiture est lourde. De plus, la Western est immanquablement identifiable sur son châssis. Sinon, voilà un mystère de plus.

 

24 Heures du Mans 1958

 

Pour la Lister Jaguar numéro 10 se reporter au post :

 

http://forum-auto.caradisiac.com/automobile-pratique/modelisme-modeles-reduits/sujet1584-35.htm#t976343

 

On passe à la suivante.

 

JAGUAR type D n°11 : André GUELFI – Jean-Marie BRUSSIN

 

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La Jaguar type D numéro 11 engagée au Mans en 1958 est engagée par Henri Peignaux. Équipée du moteur XK6, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD513 et du moteur EE1208-10. Longue de 3,911 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

La type D pilotée par André Guelfi et Jean-Marie Brussin revient au Mans pour la deuxième année consécutive. À l’exception du moteur modifié suivant le nouveau règlement, le montage d’une dérive est la principale évolution concernant la Jaguar bleue par rapport à 1957. En début de course, des ennuis mécaniques entraînent Guelfi et Mary dans le fond du classement. Durant la dix-septième heure, alors que la luminosité s’améliore, ils décident d’augmenter leur rythme pour remonter au classement. Mary vient de prendre son relais et s’élance en piste mais après quelques tours, il effectue une sortie de route sous la passerelle Dunlop. Par malheur, le Français resté à bord de sa Jaguar est mortellement percuté par la Ferrari Testa Rossa de Kessler.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K055 1/43 résine

 

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Mimodels (CDA) base SMTS : 1/43 White métal

 

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Provence moulage (F) : K215 1/43 résine

 

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A suivre ...

 

 

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24 Heures du Mans 1958

 

JAGUAR type D n°57 : Maurice CHARLES - John YOUNG

 

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La Jaguar type D numéro 57 engagée au Mans en 1958 est engagée par Maurice Charles. Équipée du moteur XK6, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro XKD502 et du moteur E2010-9. Longue de 3,911 et large 1,66 mètres, la Jaguar type D atteint une vitesse en course de 290 km/h.

 

La course : 21 et 22 juin 1958

 

Maurice Charles inscrit une ancienne type D de l’écurie Écosse. Il est épaulé par John Young pour la conduire. Les deux pilotes font une course sans gloire. Ne figurant jamais dans le haut du classement, les choses se corsent quand la pluie se met à tomber. Au cours de la troisième heure, Charles est au volant sous le déluge. En retournant vers les stands, près de maison blanche, de la boue s’est répandue sur la piste et il perd le contrôle de son bolide. Il inaugure ainsi la série des nombreux accidents qui ont mis hors course tant de voitures cette année là. Dans sa glissade, le pilote britannique détruit sa Jaguar en percutant une Lotus. Blessé, il est contraint à l’abandon.

 

Les miniatures

 

Automany (F) : K056 1/43 résine

 

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La petite modif pour ouvrir la portière conducteur est perso.

 

Un doute concerne les blasons représentant l'Écosse; n'ayant trouvé aucune image sertifiant qu'il y en avait un côté droit, je me suis adressé à un des concepteurs d'Automany qui n'avait pas de souvenir mais restait confiant du fait qu'ils avaient travaillé à partir de photos (perdues) et que s'ils avaient reproduit les deux blasons, c'est qu'ils étaient visibles sur ces photos.

 

Mimodels (CDA) base SMTS : 1/43 White métal

 

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A suivre ...

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24 Heures du Mans 1959

 

L’année 1959 redonne du cœur au public Anglais par la victoire des Aston Martin DBR1. Roy Salvadori et Caroll Shelby triomphent, Ferrari s’incline. Une seule Jaguar est engagée épaulée par deux Lister et une Tojeiro.

 

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Le règlement technique de 1958 reste inchangé avec des moteurs toujours limités à trois litres. La grande nouveauté de cette vingt-septième édition est l’apparition d’une séance d’essai officielle au moins d’avril. A cette occasion, aucune Jaguar parmi les dix-neuf voitures présentes ne se déplace et ce sont les Ferrari Testa Rossa qui se montrent les plus rapides.

 

Gagnante en 1958, Ferrari revient donc en tant que favori au même titre que Aston Martin qui trustent les places d’honneur en endurance. Au total, cinquante-trois voitures sont retenues dont trente et un prototypes ainsi qu’une pléiade de pilotes non moins remarquables tels que Moss, Fairman, Salvadori, Trintignant ou encore Frère, Hill, Gendebien et Bueb pour n’en citer que quelques-uns.

 

Quant aux Jaguar, le règlement limitant la cylindrée et le désintérêt de la part de l’usine mobilisée en rallye avec les MK1 puis les MK2, ne fait que décroître leurs chances en endurance. Au Mans, elles ne sont plus représentées que par écuries interposées mais leur potentiel reste tout à fait respectable si la chance veut bien s’en mêler.

 

Brian Lister engage deux de ses voitures nouvellement parées d’une nouvelle robe signée Frank Costin. Sous les couleurs de Briggs Cunningham, elles ont témoigné d’un encourageant potentiel à Sebring en début d’année aux États unis. Si l’arrière reste assez haut, l’avant affiné ne manque pas d’allure. L’usine leur prépare des moteurs XK trois litres spécialement pour Le Mans.

 

L’écurie Écosse, déjà deux fois vainqueur en 1956 et 1957, inscrit également deux voitures. La première est la seule type D engagée cette année là. Elle est propulsée par un moteur identique à ceux des Lister. La deuxième voiture de l’équipe Écossaise n’a de Jaguar que le moteur. Légèrement différent des trois autres, il est installé dans un châssis Tojeiro qui bizarrement ressemble aux Lister Costin sans pour autant en posséder les mêmes performances.

 

Les forces en présence

 

Lister Jaguar numéro 1 : Ivor BUEB - Bruce HALFORD

 

Lister Jaguar numéro 2 : Walt HANSGEN - Peter BLOND

 

Jaguar TYPE D numéro 3 : Innes IRELAND - Masten GREGORY

 

Tojeiro Jaguar numéro 8 : Ron FLOCKHART - John LAWRENCE

 

A suivre ...

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24 Heures du Mans 1959

 

LISTER JAGUAR n°1 : Ivor Bueb – Bruce Halford

 

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La Lister numéro 1 engagée au Mans en 1959 est engagée par Brian Lister. Équipée du moteur Jaguar, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro BHL2.59 et du moteur EE1305-9. Longue de 4267 et large 1,562 mètres, Lister atteint une vitesse en course de 241 km/h.

 

La course : 20 et 21 juin 1959

 

La première des deux Lister s’élance aux mains d’Ivor Bueb, double vainqueur chez Jaguar en 1955 et 1957. Auteur d’un excellent départ, il suit les Aston Martin et les Ferrari qui se livrent bataille devant les deux voitures de l’écurie Écosse. A la fin de la première heure, il est dixième devant l’autre Lister. Bruce Halford prend le relais et, au gré des premiers événements provoqués par la lutte entre Ferrari et Aston Martin, il gagne une place à la fin de la troisième heure. Dans la soirée, quelques changements permettent aux deux pilotes de remonter au classement. Moss a abandonné au volant de son Aston Martin, provoquant dans sa chevauchée des dégâts chez Ferrari. A la tombée de la nuit, les pilotes de la Lister se classent cinquièmes mais apprennent que le moteur de l’autre Lister vient de rendre l’âme. Leur voiture subit un sort similaire vers minuit, moteur explosé. Bloquée au milieu du circuit, elle abandonne en quatrième position.

 

Les miniatures

 

Jade miniatures (F) : 4340 1/43 résine

 

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Pinko (I) : 162 1/43 résine

 

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Provence Moulage (F) : K311 1/43 résine

 

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LISTER JAGUAR n°2 : Walt HANSGEN - Peter BLOND

 

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La Lister numéro 2 engagée au Mans en 1959 est engagée par Brian Lister. Équipée du moteur Jaguar, un 6 cylindres en ligne de 3 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro BHL3.59 et du moteur EE1302-9. Longue de 4267 et large 1,562 mètres, Lister atteint une vitesse en course de 241 km/h.

Franc Costin est un carrossier très renommé auteur notamment des robes des deux Lister engagées au Mans en 1959. La Lister Costin est un roadster 2 places produit de 1949 à 1954. L’une de ces deux voitures fait un retour au Mans en 1963 sous la forme d’un ravissant coupé.

 

La course : 20 et 21 juin 1959

 

Walt Hansgen prend le volant au départ de la deuxième Lister. Pendant que Moss emporte tout le peloton dans son sillage, l’Américain s’efforce pour sa part de suivre son tableau de marche. En calquant sa course sur l’autre Lister, il se classe onzième après une heure de course et conserve cette place pendant deux autres heures relayé, par Peter Blond. Le choix de conception du moteur ne donne pas satisfaction à l’ingénieur de chez Lister. Depuis les premiers essais, il donne des signes de faiblesse et en cette fin d’après-midi, à bout de souffle sur la numéro 2, il est la cause de son abandon. Brian Lister confirme le retrait de sa voiture à la cinquième heure.

 

Les miniatures

 

Jade miniatures (F) : 4340M2 1/43 résine

 

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Mini auto (F) John Day : 17 1/43 métal blanc

 

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Pinko (I) : 163 1/43 résine

 

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Provence moulage (F) : K311 1/43 résine

 

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Pour ceux qui aiment le White métal, il existe aussi ce kit sans decals :

 

TW models : 30 1//43 White metal

 

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A suivre ...

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Encore une (PM/Jade) signée de ma main, et je dirais, à refaire... La doc à l'époque consistait souvent en deux-trois photos, guère plus...

 

Et quand on se base sur une colorisée, comme celle du départ dans l'automobile, cela amène à des erreurs sérieuses: Il semblerait en effet que la bande jaune soit blanche, et la caisse verte soit bleue "Ecosse"...

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Houla ! Ce n'est plus une hésitation entre une teinte opaque ou métallisée (topic Ferrari au Mans),

c'est carrément une mauvaise estimation des couleurs ?

 

 

 

Voici la mienne, probablement une 'John Day', triste épave qui a subi le même genre de restauration que ma Type C présentée page 7 :

 

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Je constate que mon modèle ne possède pas les petites écopes dans les ailes AR.

 

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Houla ! Ce n'est plus une hésitation entre une teinte opaque ou métallisée (topic Ferrari au Mans),

c'est carrément une mauvaise estimation des couleurs ?

 

 

 

Voici la mienne, probablement une 'John Day', triste épave qui a subi le même genre de restauration que ma Type C présentée page 7 :

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/273684/PICT1112.jpg

 

magnifique :love: superbe restau audio45.gif.b76fd8601b7db2e5cc2cf6562748a0fd.gif

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Houla ! Ce n'est plus une hésitation entre une teinte opaque ou métallisée (topic Ferrari au Mans),

c'est carrément une mauvaise estimation des couleurs ?

 

 

La photo de l'Automobile (et qui a servi à faire l'affiche de l'année suivante, je crois), était à la base en boir et blanc et a été colorisée... Le "coloriseur" s'est basée sur les couleurs habituelles de Lister, vert et jaune BP, sans chercher plus loin.

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En observant les photos dans le 'double tome' et malgré un degré de saturation différent pour ces 3 documents,

la bande centrale semble plutôt "crème" que jaune.

 

Pour la caisse...

 

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Voici une image tirée d'une vidéo...

http://www.renaissance-models.com/images/details/1LM59-1.jpg

 

La bande est manifestement de la même couleur que le rond blanc... donc blanche.

 

Pour la caisse, c'est en effet plus difficile, mais cela ressemble plus à la D qu'à du vert BP! :p

 

:sol:

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Hello les amis !

 

Plusieurs choses :

- pour JLR, j'ai fait quelques modifs sur la Lister Mini auto (John Day), c'est la même.

 

- pour Étienne, je suis heureux de trouver enfin une vue arrière et de constater que les ronds sur mes dessins sont mal placés. As-tu le lien pour la vidéo pour savoir si elle montre l'arrière de la numéro 2. Merci encore.

 

- et les autres, la preuve qu'elle est bien verte et jaune. (comme beaucoup des Lister Usine)

 

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Étienne, je crois que tu te bases sur cette photo qui apparaît dans diverses sources, sur le site scalexsite y compris, difficile d'identifier l'auteur car les dimensions et qualités varient souvent.

 

Un doute subsiste sur la couleur des sièges, rouge ? ou marron ? ou encore les deux indifféremment sur les deux voitures.

 

A suivre ...

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