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Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


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Invité guest527

Je me doute, mais LRU, LRM, CAESAR, AT4 ?

Ou LR à la sauce étrangère ? Quelle sauce ?

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Invité guest527

Sinon l'AT4 est sympas et léger. :sol:

 

 

Faut pas avoir besoin de balancer 2 roquettes par contre :w:

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Je me doute, mais LRU, LRM, CAESAR, AT4 ?

Ou LR à la sauce étrangère ? Quelle sauce ?

:o le Caesar, c'est pas un LRM, hein ...

 

Dire que je l'ai vu en développement, et passé quelques week-end à protéger son "secret" arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif (aaahhh, "La Vaugine" :ange: )

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MBT-70 : Trop compliqué, donc trop cher !

 

 

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Au début des années 60 les USA constatent que leur M60 Patton, s'il est encore "à l'aise" face aux T54/55 Soviétiques, ne sera plus dans la course face au nouveau T62 et son canon lisse de 115mm.

 

Même son de cloche du côté de l'Allemagne où pourtant le tout nouveau Leopard 1 n'est pas encore entré en production, mais ce dernier n'est doté que d'une pièce de 105mm d'origine Britannique qui risque de se montrer rapidement "un peu juste"...

 

Un accord est passé entre les deux nations pour la mise au point à l'horizon 1970 d'un tout nouveau char de bataille qui serait doté des derniers perfectionnements techniques, le programme "MBT-70" est né, nous sommes alors en 1963.

 

Afin de faire face aux coûts de développement les deux pays mettent au pot une enveloppe globale de 80 millions de Dollars, une véritable fortune pour l'époque ! :o

On pense alors que cela sera largement suffisant... :siffle:

 

Les Américains ont à cœur de creuser l'écart face aux chars du Pacte de Varsovie (il faut reconnaître que le M60 Patton, ultime avatar d'un engin de la dernière guerre, commençait à dater sérieusement).

 

 

Pour cela le cahier des charges est très explicite :

 

-Canon de 152mm capable de lancer aussi bien des obus que des missiles antichars.

 

-Armement secondaire comprenant une mitrailleuse coaxiale et un canon de 20mm à vocation anti-aérienne.

 

-Moteur de 1500cv assurant une vitesse de pointe d'au moins 65km/h.

 

-Blindage capable de résister à un obus flèche de 105mm !

 

-Silhouette la plus furtive possible (il est vrai que le Patton est une vraie cathédrale sur le terrain...)

 

-Protection NBC d'un équipage réduit au strict minimum grâce à la mise au point d'un système de chargement automatique du canon.

 

Ce dernier est une grande nouveauté pour l'époque (ce ne sera pas la seule concernant cet engin comme nous le verrons plus loin ;) ) car si les Russes utilisent déjà un tel système il s'agit chez eux d'un chargeur de type "carrousel" où les obus sont disposés autour de la tourelle ce qui occasionne la destruction immédiate du blindé par détonation des munitions si un projectile perfore cette dernière .

 

Pour le MBT-70 (renommé Kpz.70 en Allemagne) on envisage un approvisionnement par bande pourvoyeuse, ce qui a pour avantage d'installer les obus (ou les missiles) en nuque de tourelle, un endroit bien moins exposé au combat.

 

 

 

Vue fantôme qui permet de voir l'intérieur peu conventionnel du MBT-70.

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De plus les ingénieurs décident d'installer des panneaux déviateurs de souffle, ce qui aura pour effet de diriger une éventuelle explosion des munitions à la verticale de la zone de stockage, protégeant l'équipage séparé des obus par une cloison blindée de 25mm.

 

Le canon est stabilisé sur les deux axes par un système gyroscopique, couplé à un télémètre-laser (le tout premier sur un char) et un calculateur balistique qui permet le tir en marche à petite vitesse, le chef de char disposant d'un système de vision nocturne la nuit n'est même plus un problème ! :fier:

 

Le tir en marche est encore facilité grâce à la mise au point par des ingénieurs de RFA d'une suspension hydropneumatique intégrale.

 

Cette dernière permet de rouler en tout-terrain (jusqu'à 48km/h !) dans des conditions de confort purement et simplement incroyables pour l'époque. :o

 

Elle a aussi pour avantage d'être réglable et donc de faire varier la hauteur du char entre 1,99m et 2,99m, une chose très utile pour se fondre dans l'environnement ou augmenter la garde au sol pour faciliter le passage sur de très mauvais terrains.

 

 

La suspension hydropneumatique permet tout, ou presque...

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Et Hop ! :D

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Cette dernière pouvant aussi être réglée indépendamment entre l'avant et l'arrière (ou la gauche et la droite, c'est l'idéal en dévers !) on augmente de la sorte artificiellement l'élévation ou la baisse du canon.

 

 

 

A défilement de tourelle derrière un relief de terrain, l'abaissement de l'avant rend le char presque invisible pour l'ennemi.

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Les deux prototypes en acier doux fabriqués vers la fin de 1965 sont très prometteurs. :oui:

 

Nous sommes devant un char imposant, mesurant 7,96m de long (9,10m avec le canon) 3,53m de large pour une hauteur "normale" de 2,52m.

 

Pour l'instant la mécanique retenue est un V12 Turbo-Diesel Continental AVCR-900 de 18,3 litres refroidi par air d'une puissance de 1470cv à 2800Trs, tout est pensé pour qu'il puisse être remplacé sur le terrain en moins de 15 minutes !

 

 

 

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La boite de vitesse est Allemande, c'est une RENK HSWL 354 automatique à 4 rapports avant et autant en arrière.

Elle possède un système de freinage hydrostatique qui ralentit le char au levier de pied, un concept très répandu de nos jours sur les chariots élévateurs.

 

Pour l'instant le poids estimé avec le blindage est d'environ 46 tonnes, le rapport poids/puissance avoisinant les 32cv par tonne nous sommes largement au-delà de tout ce qui existe alors.

 

La vitesse de pointe sur route approche les 70km/h.

 

 

 

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Les 1300 litres contenus dans le réservoir autorise au MBT-70 une autonomie moyenne de 620km environ.

 

Si la fiche technique vous a plu dites-vous bien que nous ne sommes pas encore au bout de nos surprises, car le blindage alors en gestation va en intéresser plus d'un... ;)

 

Le but principal d'un char est de résister aux coups, pour cela il doit offrir la silhouette la plus basse possible.

On va tellement bien mettre la théorie en pratique qu'on s'aperçoit qu'un pilote ne peut plus prendre place à l'avant ! :lol:

 

Qu'à cela ne tienne, puisque le système de chargement automatique dispense de la présence d'un chargeur (l'équipage se compose du chef de char, du pilote et du tireur) il y a de la place pour lui en tourelle.

Et pour qu'il puisse continuer "à voir la route" lorsque cette dernière est en rotation on l'installe à gauche dans une sorte de capsule contre-rotative.

Détail de la capsule contre-rotative.

Il aurait en fin de compte été plus intelligent d'agrandir l'avant pour permettre au pilote de s'installer de manière classique.

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Afin de lui permettre de ne rien rater de l'extérieur une caméra TV est installée sur l'arc avant et retranscrit l'image sur son tableau de bord via un écran de télévision.

 

La tourelle est coulée d'un seul bloc en acier doux, la nuque étant en aluminium.

Le tout est recouvert d'un blindage en acier laminé à froid comprenant cinq couches de métal de dureté différente.

 

L'avant de la caisse est dotée de deux couches d'acier superposées au milieu desquelles le réservoir souple de Gazole composé de plusieurs épaisseurs de caoutchouc fait office de protection additionnelle (ce carburant est peu inflammable).

 

L'intérieur de la chambre de combat est entièrement tapissée de 15cm de polyéthylène faisant fonction de pare-éclats et de protection contre les rayonnements résultants d'une explosion nucléaire.

 

A ce propos l'Allemagne est chargée de mettre au point le système de protection NBC par filtration de l'air ambiant et surpression de la chambre de combat, au point où l'on en est on en profite pour installer la climatisation à bord, c'est la-aussi une première sur un char...

 

L'armement est aussi assez "avant-gardiste"... :roll:

 

Le canon XM150E5 est un dérivé allongé du M81 installé sur le désastreux M551 Sheridan qui fait alors ses débuts.

 

Son calibre est toujours de 152mm et même s'il est en mesure de tirer les peu convaincantes munitions à douille combustible du M551 et du M60A2 "Starship" les Américains décident de lui concevoir deux types de munitions spécifiques :

 

-Un obus flèche en Tungstène d'une vitesse initiale de 1480m/s apte à percer 250mm de blindage à la distance de 2000m.

 

-Un projectile anti-personnel à détonation programmée composé de 8200 mini-fléchettes d'acier groupées en six lots, un obus d'une rare efficacité dans son domaine... :sic:

 

Le missile antichar Shillelagh peut être tiré par le canon, il est théoriquement capable de toucher sa cible à 3000m ce qui donne au canon une allonge considérable en terme de portée utile.

Hélas comme je l'ai déjà mentionné ailleurs ce missile sera un véritable "piège" qui ne fonctionnera pour ainsi dire jamais convenablement... :bah:

 

La capacité d'emport est de 42 projectiles (dont 6 missiles), mais seuls 26 sont installés dans le pourvoyeur et donc prêts au tir.

 

Une mitrailleuse coaxiale de 7,62mm trouve aussi sa place à bord, elle est approvisionnée à 2700 coups.

 

Sur le côté gauche de la tourelle se trouve une sorte de "container" abritant un canon-mitrailleur Rheinmetall Rh202 (en fait un Hispano-Suiza HS820 Français fabriqué sous licence) de 20mm, il est destiné à traiter les cibles peu blindées, les camions voire les aéronefs volant à basse altitude et faible vitesse.

 

 

Le 20mm est ici de sortie.

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Il est approvisionné à 660 coups et est doté de deux bandes d'alimentation : Obus perforants ou explosifs (330 coups chacun).

 

La cadence de tir est de 880 coups/minute et la portée utile de 2000m.

 

L'obus perforant est capable de percer 34mm de blindage à 1000m.

 

L'arme est totalement télé-opérée et se rétracte dans son cocon blindé à l'aide de deux moteurs électriques en cas de non utilisation.

 

 

Inutilisé le canon est rentré dans son logement, seul dépasse alors le tube replié sur l'arrière.

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En juillet 1967 six chars de présérie sont fabriqués aux USA, on s'aperçoit alors que le moteur Continental pose de gros problèmes de fiabilité à hauts régimes et qu'il est assez "pointu" à conduire, une augmentation de la cylindrée est réalisé à plusieurs reprises (jusqu'à 22 litres) afin d'en améliorer le couple à bas régime mais il est clair que ce groupe n'est pas une grosse réussite technique...

 

 

Le moteur du MBT-70 n'est pas au top.

Il manque de couple et demande à être "mené à la cravache", pas vraiment l'idéal...

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Les six chars Allemands sortent d'usine début 1968, bien assez tôt pour que les techniciens d'outre-Rhin constatent le comportement peu souple du moteur US.

 

Cela tombe bien car MTU (devenu filiale de Daimler-Benz en 1960) a dans ses cartons un V12 biturbo refroidi par liquide capable de développer 1500cv à 2600Trs : Le MB-873.

Accolé à la même boite automatique que le moteur Américain le MTU est très vite considéré comme supérieur sur tous les points, à commencer par son agrément de conduite et sa souplesse à tous les régimes. :jap:

 

 

 

Bon, avec le V12 MTU les choses s'améliorent... ;)

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Le canon est aussi une source de différents entre les ingénieurs des deux nations, en effet le XM150E5 est une véritable "usine à gaz" (on y a d'ailleurs rajouté un système d'injection de CO2 pour nettoyer le tube entre chaque tir), le système d'approvisionnement manque encore de mise au point (il pousse tellement fort les munitions dans le canon que les cartouches se déforment), et tant les techniciens de Rheinmetall à l'origine du système que ceux de la General Motors qui sont chargé de le fabriquer pour le compte des USA y perdent leur latin.

 

De plus ses performances balistiques n'ont rien de transcendant, les douilles restent souvent coincées dans la culasse à l'éjection et pour couronner le tout les retours d'utilisation opérationnelle très défavorables sur le M81 des Sheridan envoyés au Viet-Nam commencent à inquiéter très sérieusement... :sic:

 

Il n'y a d'ailleurs pas que le canon qui inquiète, les coûts du programme ont littéralement explosés depuis la mise en chantier et les 80 millions de Dollars initiaux ont déjà été plus que doublés. :roll:

 

Comme bien des chars que l'on voulait trop sophistiqués, l'enveloppe budgétaire du programme est archi-dépassée !

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Des dizaines de milliers de Dollars ont été dépensés en conversions des côtes d'assemblage, les Allemands utilisant le système métrique et les Américains le SAE, personne n'a voulu faire l'effort de se mettre au niveau de l'autre... :pfff:

 

Tous les pilotes qui s'installent aux commandes dans leur "capsule" sont sujets à des étourdissements voire même des nausées lorsque la tourelle entre en rotation. [:d'octobre 93:5]

 

La RFA ajoute encore de l'huile sur le feu en décrétant fin 1968 que l'installation sur la version Allemande du MBT-70 d'un canon à âme lisse Rheinmetall de 120mm serait en fin de compte plus indiquée, ce qui revient à dire que les chars de Bonn s'ils adoptent le moteur MTU et le canon local n'auront plus grand'chose en commun avec les tanks US !

 

Autre problème : Le poids...

 

On est passé des 46 tonnes prévues au début à plus de 54 !

Si globalement cela ne pose pas de problèmes particulier pour le char il faut revoir tous les ponts du génie allié, incapables de supporter un tel poids, sans parler des engins de dépannages devenus sous-dimensionnés.

 

Une "cure d'amaigrissement" s'impose donc. :o

 

On change, allège et modifie des centaines de pièces pour gagner quatre tonnes. En théorie c'est parfait, sauf pour les coûts de développement qui prennent à nouveau une grosse baffe !

 

 

De nombreux décideurs commencent à tourner le dos au MBT-70...

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1969 sera une année charnière pour le programme.

 

Les deux nations estiment que l'affaire commence à coûter cher, et ce d'autant que tous les problèmes sont loin d'être réglés, en particulier les malaises qui affectent les pilotes et qui semblent aux yeux des spécialistes totalement insolubles.

 

Le projet (pourtant encore assez vague) des Américains de tester un MBT-70 équipé d'une turbine à gaz fini par convaincre les Allemands de mettre un terme à l'aventure, vite suivis par le congrès US scandalisé par les dépassements budgétaires et qui finira par forcer l'armée Américaine à renoncer au programme en novembre 1971 et ce malgré la présentation d'une version très simplifiée censée être "un peu moins chère".

 

Chacun partira donc de son côté et présentera "son" MBT quelques années plus tard, ce sera le Leopard 2 pour les Allemands (étrangement équipé du V12 MTU et d'un canon lisse de 120mm ! :D ) et le M1 Abrams pour les USA (étrangement équipé d'une turbine à gaz ! :D )

Coût total du programme MBT-70 : 303 000 000 $ !!!!

Pour espérer rentabiliser à minima un tel investissement le MBT-70 aurait du être vendu à 1,2 millions de Dollars l'unité (soit plus de 8 millions $ "2015"), et inutile d'espérer la moindre vente à une nation tiers pour amortir les coûts à un tel tarif... :roll:

 

14 chars produits au total (dont deux en acier doux).

 

Cinq ont "survécu" :

 

-Le septième de la série au Musée des blindés de Munster (D)

 

-Le huitième au WTS de Koblenz (D)

 

 

L'exemplaire du WTS, ici en mai 2014, sentinelle immobile au milieu de ses confrères...

m16.jpg

 

 

 

-Le quatrième est au Musée Patton de Fort Knox (USA), l'engin a été considérablement modifié (suspension expérimentale à barres de torsion entre autre).

 

Les deux prototypes en acier doux ont été conservés : Au musée de l'US Army d'Aberdeen pour l'un et dans les réserves du Musée Patton pour l'autre.

 

 

Tout n'était pas négatif sur ce blindé, on peut même citer la suspension hydropneumatique qui est toujours considérée comme un modèle du genre ou la présence d'un télémètre-Laser, du chargeur automatique et de la climatisation qui donnaient au MBT-70 une avance d'au moins dix ans sur ses adversaires, mais une complexité technique inutile (le pilote en tourelle ou le canon escamotable de 20mm par exemple) ont trop vite fait déraper les prix, sans parler d'une entente pas toujours cordiale entre les équipes des deux pays concernées.

 

Une collaboration qui se termine donc par un flop magistral...

 

 

L'engin sur le terrain :

 

 

 

m10.jpg

 

 

 

 

 

:coucou:

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Très bel article :jap:

 

Dire que j'ai mis les doigts sur un projet flop de 303 mio de dollars!

 

MBT70_059.jpg

Bon, à ce que j'ai retenu de ton exposé, tout n'a pas été en vain,

cette aventure a contribué à élaboration des chars d'aujourd'hui.

 

Hi hi, un autre se trouve à Munster...

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Invité §pie367dg

Un T 34 à réaction !

 

 

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C'est une société hongroise qui avait greffé 2 moteurs de Mig 21 après la 1ère guerre du Golfe pour pouvoir éteindre les puits de pétrole kowetiens.

 

 

Je reviens sur cette création avant de lire l'article de Jensen.

Je n'ai pas vérifier si le Mig 21 a un ou deux réacteurs, mais pour propulser un avion de dix ou douze tonnes cela suppose quelques tonnes de poussée à

la sortie, alors même un T54/55 qui doit peser 40 ou 50 tonnes il faut penser à sérieusement l'ancrer si on ne veut pas qu'il file à vitesse grand V en

marche arrière, sauf si l'utilisation pour souffler les incendies supposait une puissance réduite des réacteurs.

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Invité §pie367dg

Maintenant une remarque sur le peu d'inflammabilité du gas-oil peut-être un peu Hs , voir l'accident de Puysseguin entre un autocar et un PL, l'autocar

a brûlé en un temps record.

Ou s'il ne s'agit pas du gas-oil ( ce que je pense ) ????????????

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Le gazole fini toujours par brûler, mais à haute température ou sous forte pression (ce qui explique que les premiers Diesel étaient très lourds et ne convenaient pas pour une utilisation sur l'automobile).

 

Très rapidement pour Puysseguin : Il n'est pas impossible que ce soit le fluide hydraulique de la grue du camion qui soit à l'origine du désastre, je me souviens que les Israëliens avaient fait un scandale auprès des américains car le système hydraulique assurant la rotation de la tourelle des M47/48 Patton dont ils disposaient s'enflammait au premier coup pénétrant dans la chambre de combat, ne laissant aucune chance d'évacuation pour l'équipage...

 

Attendons les résultats de l'enquête...

 

Fin du HS. :jap:

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Je reviens sur cette création avant de lire l'article de Jensen.

Je n'ai pas vérifier si le Mig 21 a un ou deux réacteurs, mais pour propulser un avion de dix ou douze tonnes cela suppose quelques tonnes de poussée à

la sortie, alors même un T54/55 qui doit peser 40 ou 50 tonnes il faut penser à sérieusement l'ancrer si on ne veut pas qu'il file à vitesse grand V en

marche arrière, sauf si l'utilisation pour souffler les incendies supposait une puissance réduite des réacteurs.

 

 

En fait si on regarde son utilisation, de l'eau est projetée devant les réacteurs, et c'est pas uniquement le souffle brute qui éteint le feu mais un la combinaison des deux via baisse de température + diminution de l’oxygène.

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Invité §pie367dg

 

En fait si on regarde son utilisation, de l'eau est projetée devant les réacteurs, et c'est pas uniquement le souffle brute qui éteint le feu mais un la combinaison des deux via baisse de température + diminution de l’oxygène.

 

 

Oui d'accord, mais cela ne résout pas le problême de la poussée de deux réacteurs qui se traduit en tonnes pour propulser un Mig 21 de 10/12 tonnes à

peut-être 8/900 km/, donc le blindé, même s'il fait 4 fois le poids sera propulsé à quelle vitesse s'il n'y a pas des dispositifs d'ancrage sérieux, personnel

lement je ne serais pas volontaire pour le piloter.

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Invité §pie367dg

Le gazole fini toujours par brûler, mais à haute température ou sous forte pression (ce qui explique que les premiers Diesel étaient très lourds et ne convenaient pas pour une utilisation sur l'automobile).

 

Très rapidement pour Puysseguin : Il n'est pas impossible que ce soit le fluide hydraulique de la grue du camion qui soit à l'origine du désastre, je me souviens que les Israëliens avaient fait un scandale auprès des américains car le système hydraulique assurant la rotation de la tourelle des M47/48 Patton dont ils disposaient s'enflammait au premier coup pénétrant dans la chambre de combat, ne laissant aucune chance d'évacuation pour l'équipage...

 

Attendons les résultats de l'enquête...

 

Fin du HS. :jap:

 

 

Pour moi ce n'est pas tout à fait HS dans la mesure où on l'a vu de nombreuses fois sur les blindés les réservoirs de gas-oil sont montés de manière à

offrir une protection supplémentaire du fait de la moindre inflammabilité de ce carburant.

Autre hypothèse, ce serait un nouveau gaz utilisé dans les climatiseurs ( à l'avant sur les cars ) responsable de la propagation fulgurante de l'incendie,

gaz interdit en Allemagne.

Il existe aussi des climatiseurs dans différents types de blindés, donc si ce gaz y est utilisé, on risque de retrouver les mêmes causes et les mêmes

effets.

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Oui d'accord, mais cela ne résout pas le problême de la poussée de deux réacteurs qui se traduit en tonnes pour propulser un Mig 21 de 10/12 tonnes à

peut-être 8/900 km/, donc le blindé, même s'il fait 4 fois le poids sera propulsé à quelle vitesse s'il n'y a pas des dispositifs d'ancrage sérieux, personnel

lement je ne serais pas volontaire pour le piloter.

 

 

Avant de décoller, un avion plante les freins, et laisse les réacteurs monter, et crois moi, l'avion ne bouge pas :D

Surtout que vu l'angle des réacteurs, ça pousse le châssis vers le sol, donc il se soulève pas.

D'ailleurs dans les vidéos on ne voit nul point d'ancrage, il arrive, plante les freins, et souffle.

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:jap: Hello

J'ai trouvé ça sur un site et, comme je le trouve réussi, mais aussi un peu en avance sur l'époque (tourelle)

j'aimerais savoir de quel engin il s'agit.

D''après moi ce ne peut être un truc allemand (because drapeau sur la "calandre")

Quelqu'un peu me dire?

 

Connais pas.jpg

merci

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