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Hygiène, Alimentation, Santé


Invité §wrk515bx
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Invité §wrk515bx

Ou je conteste les résultats de cette étude ?

 

 

j'en ai marre que tu te fasses ton petit delire question réponse, en inventant des propos.

 

 

je t'ai deja prévenu plusieurs fois que les sophismes n'ont rien a faire sur ce sujet.

 

 

Alors tu gardes ta rhetorique epouvantail, tu arrêtes de biaiser mes positions pour essayer de les décrédibiliser.

 

 

merci.

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Tu viens juste de critiquer l'indépendance de l'Anses à travers un article du Monde qui doute de l'indépendance de certains de ces experts...soit !

 

Mais en quoi cette étude fait l'apologie des lobby industriels franckcorleone.gif.7e3fd59dc7b728d0f270fcc3d10a749f.gif

 

Donc, oui...les organismes gouvernementaux savent faire leur travail et ne participent pas à un immense complot.

 

Une étude qui montre que les bonnes habitudes alimentaires s'améliorent en général et que les efforts fait par les instances publiques pour les améliorer portent leur fruit...pour changer les comportements alimentaires, qui ne peuvent être expliquer par le seul agissement des industriels....mais bien par des facteurs socio-économiques, d'âge, de sexe ou de culture.

 

Désolé, d'apporter de l'espoir dans ce monde fait de lobby qui nous manipulent à travers des mensonges permanent....et malgré ça, les informations visant à améliorer la santé des gens à travers leur alimentation et leur activité physique portent leur fruit tevas.gif.f6b0afbacad37b38dee9bd9e7f373a93.gif

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Invité §wrk515bx

encore et toujours des procès d'intention, du straw man, t'as vraiment mais alors vraiment beaucoup de mal a percuté :oui:

 

 

je reprends :

 

 

tu postes l'étude puis affirme :

 

- "Tu imagines, et y a pas de lobby derrière, comment est-ce possible... franckcorleone.gif.7e3fd59dc7b728d0f270fcc3d10a749f.gif "

 

 

je poste un article du monde qui affirme le contraire, je conteste donc ton affirmation péremptoire qui repose sur du vent, comme tout ce que tu nous racontes sur l’indépendance des institutions, des experts...

 

alors pour décrédibiliser mes propos, tu continues sur ta lancée en affirmant que je contesterai l'étude :

 

- "Mais en quoi tu contestes les résultats de cette étude ?"

 

Un beau straw man.

 

Quand tu te rends compte de la enieme boulette du même genre (t'en fais des dizaines par pages, modifier mes positions a ta convenance, m'inventer des propos) tu continues !

 

- "Mais en quoi cette étude fait l'apologie des lobby industriels franckcorleone.gif.7e3fd59dc7b728d0f270fcc3d10a749f.gif "

 

 

 

La seule chose que j'ai faite : partager des informations CITOYENNES a propos des conflits d'interets qui nuisent a la santé publique.

 

"Donc, oui...les organismes gouvernementaux savent faire leur travail et ne participent pas à un immense complot."

 

 

j'arrête pas de poster les preuves du contraire, et il continue... :lol:

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Les preuves de quoi ?

 

Qu'elle dépend de situation socio-économique, d'âge, de sexe et de culture ... :jap:

 

Tu percutes ou pas ?

 

Cette étude vient de l'Anses, et n'a rien à voir avec quelque lobby que ce soit !

Et toi, tu as que le mot complot à la bouche ?? Tu veux qu'on te prête quoi d'autres....non, mais je rêve franckcorleone.gif.53bed0195c81d0aa07554896e3b42633.gif

 

Alors quand il y a pas de complot, tu vas en chercher un avec un article du Monde ?

Mais quel est le rapport avec l'étude que je présente ?

 

Moi, aussi, je fais parti du complot, c'est ça ?

 

Complot, complot, complot !

Tu veux qu'on te prête autre chose sur ton topic ?

J'hallucine... :lol:

 

A croire que la Santé a toujours préconisé 3L de Coca / jour...relis mon étude au lieu de dégainer comme un puceau devant une beauté apalta.gif.222d411bdc3187175ece5f774ae6927a.gif

 

 

Je viens présenter une étude sur l'évolution de notre alimentation et nos habitudes qui ne dépendent pas que des lobby industriels, et tu viens la ramener avec la même rhétorique...tu devrais apprendre à réfléchir car tu te crois tout permis sur "ton" topic.

Crée toi un blog si tu veux pas d'étude qui vont pas ds ton sens..... franckcorleone.gif.2fedf2d8fc930992a022043eb12e86b2.gif

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[h1]Les études INCA[/h1]

Mots-clés : ENQUÊTES DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE, INCA (ÉTUDE INDIVIDUELLE NATIONALE DES CONSOMMATIONS ALIMENTAIRES)

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Le rôle de l’alimentation dans l’augmentation ou la prévention de certaines maladies comme le cancer, l’obésité ou les maladies cardiovasculaires, est aujourd’hui scientifiquement établi. Afin de mieux prévenir ces maladies et améliorer l’état de santé de la population française, il est indispensable de bien connaître son alimentation et son état nutritionnel. Dans ce but l’Anses réalise tous les sept ans une étude individuelle nationale des consommations alimentaires (INCA) sous l’égide des ministères de la Santé et de l’Agriculture.

Les études INCA constituent un des outils indispensables à l’évaluation du risque. Ces études fournissent à un moment donné une photographie des habitudes de consommations alimentaires de la population française métropolitaine. Combinées aux plans de surveillance et aux bases de données de l’Anses sur la composition des aliments (plusieurs millions de données), ces données permettent de connaitre les apports en substances bénéfiques présentes dans notre alimentation (vitamines, acides gras essentiels, …) ainsi que les expositions, c’est-à-dire les doses ingérées, aux substances néfastes susceptibles d’être présentes dans les denrées (métaux lourds, résidus de pesticides, toxines, …).[h3]

[/h3][h3]Les différentes études INCA et leur exploitation[/h3]Les études INCA sont réalisées tous les 7 ans : INCA1 (1998-99) et INCA2 (2006-07).

Sur la base de ces études, l’Anses réalise des évaluations scientifiques permettant notamment de s’assurer que la réglementation protège l’ensemble de la population vis-à-vis de ces risques, y compris ceux qui privilégient des groupes d’aliments particuliers (consommateurs réguliers de produits allégés, de poissons et produits de la mer, …) ou ceux qui sont plus fragiles (jeunes enfants, personnes âgées, …). Les cas échéants, les travaux de l’Agence permettent aux autorités sanitaires d’ajuster les mesures réglementaires en vigueur. Les études INCA contribuent aussi à évaluer l’impact sanitaire des mesures de santé publique prises dans le domaine de l’alimentation.

Les données de l’étude INCA 2 ont ainsi été utilisées par l’Anses pour analyser et estimer le risque sanitaire lié à de multiples substances pouvant se retrouver dans les aliments (mercure, plomb et autres métaux lourds dans l’eau et les aliments, évaluation du risque lié, à l’ingestion de résidus de pesticides, d’édulcorants de synthèse…). Cette étude a également permis d’apprécier les risques et bénéfices nutritionnels liés à diverses consommations (fruits et légumes, sel, acides gras oméga3) ou encore de décrire l’alimentation des enfants et adolescents selon leurs caractéristiques socio-économiques

De nombreuses équipes de recherche d’organismes de recherches tels que l’INRA ou l’INSERM, et plusieurs équipes universitaires notamment européennes, ont exploité l’étude INCA 2 à des fins de recherche sur l’alimentation. Les données de l’étude INCA 2 sont également utilisées par des organismes internationaux tels que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) pour leurs propres analyses de risque.

L’étude INCA 3

En 2014, l’Anses lance en collaboration avec l’Inpes la troisième étude INCA.

L’étude INCA 3 intègrera de nombreuses nouveautés et améliorations, comme par exemple l’inclusion des enfants de moins de 3 ans, l’étude des consommations d’aliments issus de l’agriculture biologique ou de productions personnelles, ainsi qu’un système de description des aliments plus pointu qui permettra d’affiner les estimations d’apports nutritionnels et les évaluations de risques sur des thématiques variées (emballages, consommations d’aliments crus…). Grâce à cette étude, l’Anses disposera des éléments les plus récents pour mesurer l’exposition à un risque sanitaire et sera en mesure d’évaluer l’impact du troisième Programme National Nutrition Santé, lancé en France en 2011, ainsi que du Programme National de l’Alimentation lancé en 2010. L’étude doit permettre de savoir si les recommandations de ces programmes ont été suivies et s’il faut poursuivre, renforcer ou modifier les priorités de la politique alimentaire et nutritionnelle en France.

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[h1]Etude Calipso, bénéfices et risques d'une forte consommation de produits de la mer[/h1][h2]Consommations alimentaires de poissons et produits de la mer et imprégnation aux éléments traces, polluants et oméga 3[/h2]

Mots-clés : ENQUÊTES DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE, POISSONS, MÉTHYLMERCURE, OMÉGA 3,COQUILLAGES

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Réalisée de 2003 à 2006 par l'Agence, le ministère chargé de l'agriculture et l'INRA dans 4 régions côtières françaises, l'étude CALIPSO(Consommations Alimentaires de poissons et produits de la mer et Imprégnation aux éléments traces, polluants et oméga 3) a cherché à évaluer les bénéfices nutritionnels et les risques de contamination pouvant résulter d'une forte consommation de produits de la mer. Les recommandations centrales qui en résultent sont de diversifier sa consommation de produits de la mer, tant en ce qui concerne les espèces que les sources d'approvisionnement.

Les produits de la mer possèdent des qualités nutritionnelles précieuses et sont notamment des sources intéressantes de minéraux, comme le phosphore, d’oligo-éléments, comme l'iode, le zinc, le cuivre, le sélénium et le fluor, mais aussi, pour certains, d’acides gras d'oméga 3 dits « à longue chaîne » (EPA, acide eicosapentaénoïque et DHA, acide docosahexaénoique) qui préviennent des maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Cependant, ces aliments peuvent également être contaminés par des polluants de l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthyl-mercure, des contaminants qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition.

Dans ce contexte, les objectifs poursuivis par l’étude Calipso étaient d’acquérir de données sur le comportement des gros consommateurs de produits de la mer (habitudes alimentaires et modes d'approvisionnement), sur les teneurs en acides gras essentiels, en éléments traces métalliques (ETM) et en polluants organiques persistants des aliments consommés, et enfin de mesurer l’imprégnation biologique en oméga 3 et en substances chimiques des gros consommateurs (biomarqueurs sanguins et urinaires).[h3]Principaux résultats de CALIPSO[/h3]

  • le niveau de contamination des produits de la mer consommés sur les côtes françaises se situe globalement au-dessous des seuils à risque fixés par la réglementation,
  • seuls les plus forts consommateurs de produits de la mer absorbent des doses de contaminants légèrement supérieures aux seuils d'alerte,
  • aucun produit de la mer ne cumule en fortes teneurs l'ensemble des contaminants,
  • les poissons les plus riches en oméga 3 et en polluants organiques persistants sont souvent les mêmes (saumon, maquereau et sardine en particulier),
  • les produits de la mer qui contiennent des éléments traces métalliques sont variés,
  • la couverture des besoins nutritionnels en oméga 3 est facilement atteinte par la seule consommation de poissons au moins 2 fois par semaine, dont un gras.

 

Sur la base de ces constatations, l’Agence a émis les recommandations suivantes :

  • réduire les pollutions environnementales,
  • diversifier sa consommation de produits de la mer, tant en ce qui concerne les espèces que les sources d'approvisionnement,
  • consommer du poisson 2 fois par semaine, sans oublier les poissons gras,
  • pour les femmes enceintes ou allaitantes :
  • - limiter à 150g par semaine leur consommation de poissons prédateurs (lotte (baudroie), loup (bar), bonite, anguille, empereur, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, thon…), susceptibles d'être fortement contaminés, conformément aux recommandations des instances scientifiques nationales.
  • - éviter la consommation d'espadon, marlin et siki, susceptibles de présenter des teneurs élevées en mercure.

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[h1]Manger du poisson : pourquoi ? comment ?[/h1][h2]Recommandations de l’Agence pour la consommation de poissons[/h2]

Mots-clés : NUTRITION, POISSONS, OMÉGA 3, FEMMES ENCEINTES

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Le poisson possède des qualités nutritionnelles précieuses qui en font un invité de choix des menus de toute la famille. Voici un résumé des éléments qu’il apporte, ainsi que les recommandations de l’Agence en terme de consommation afin de profiter au mieux de ses bienfaits nutritionnels.

Autant que la viande, le poisson est notamment une excellente source de protéines. Il compte aussi des matières grasses, en quantité variable selon l'espèce, qui sont des sources d'oméga 3. Parmi les poissons gras, certains contiennent davantage d'oméga 3 à longue chaine et sont donc particulièrement intéressants au plan nutritionnel. Les oméga 3 dits « à longue chaîne » (EPA, acide eicosapentaénoïque et DHA, acide docosahexaénoique) qui préviennent des maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux.Teneurs en lipides totauxTeneur en oméga 3 à longue chaine (EPA et DHA)Espèces de poissons

Forte teneur (3g/100g)Saumon, Sardine, Maquereau, Hareng, Truite fumée

Teneur moyenne (1,4g/100g)

Rouget, Anchois, Pilchard

Bar ou Loup, Truite, Dorade, Turbot, Eperlan, Brochet, Flétan.

Faible teneur(0,3g/100g)

Thon (conserve), Colin ou lieu noir, Cabillaud, Merlan, Sole, Julienne, Raie, Merlu, Baudroie ou Lotte, Carrelet ou Plie, Limande

Les poissons apportent également des minéraux comme le phosphore, et des oligoéléments, comme l'iode, le zinc, le cuivre, le sélénium et le fluor, mais aussi des vitamines A, D, E et certaines du groupe B indispensables à la santé.

Mais, les poissons peuvent aussi être contaminés par des polluants de l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthyl-mercure, des contaminants de l'environnement qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition. Les PCB et les dioxines se retrouvent préférentiellement dans les poissons les plus gras (anguilles) ainsi que dans certains poissons bio-accumulateurs (anguille, barbeau, brème, carpe, silure), le méthyl-mercure dans les poissons prédateurs sauvages.[h3]

[/h3][h3]Les recommandations de l'Agence[/h3]Afin de s'assurer tous les bienfaits de la consommation de poissons et couvrir les besoins de la population en oméga 3 à longue chaine, tout en minimisant les risques de surexposition à certains contaminants, l'Anses recommande de consommer du poisson deux fois par semaine en associant un poisson à forte teneur en oméga 3 et un poisson maigre.

Il faut aussi penser à varier les espèces et les provenances et limiter sa consommation de poissons bio-accumulateurs de PCB (anguille, barbeau, brème, carpe, silure) à deux portions par mois pour la population générale.

Des recommandations spécifiques sont faites pour les populations les plus sensibles (femmes enceintes ou allaitantes, fillettes, adolescentes, femmes en âge de procréer, ainsi qu'aux enfants de moins de 3 ans).

Ces recommandations sont valables pour les adultes et les enfants à partir de 10 ans. Pour les 3-10 ans, la part de poissons riches en oméga 3 peut être remplacée par du rouget, de l'anchois, ou du pilchard.

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je ne l'ai pas présenté en tant qu'expert en nutrition, mais comme cancerologue, ce qu'il est.

 

 

Mais si tu me dis qu'un cancerologue n'est pas la personne la plus adaptée pour te dire quoi eviter si tu veux pas un cancer un jour, je te laisse avec cette réflexion a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

 

 

Quant a mes posts, je fais ce que je veux, si j'ai envie de lister un a un tous les conflits d'interets qui nuisent a la santé publique, je le ferai. e30forlife.gif.116053ea52557fe4b9ffa0658ccf56dc.gif si tu persistes a vouloir nuire au débat (sophisme, ad hominem, épouvantail), je contacterai la modération gazelle206.gif.05b1b065755fd3732dd8230265a68972.gif

 

 

C'est crétin. Tu fais semblant de ne pas comprendre. Tiens, tu vois l'avantage de l'écrit sur l'oral, en voilà un bon exemple.

 

je te dis que l'expert dont tu nous rebats les oreilles et un peu un charlot menteur.

 

C'est pas toi, c'est lui qui se présente comme une énorme pointure mondiale en nutrition alors que c'est parfaitement faux, qu'il ne fait partie d'aucun comité scientifique ni organisation crédible et qu'il n'a rien publié dans une revue scientifique.

 

Donc c'est un menteur. Tu comprends ?

 

Penser qu'au prétexte qu'un mec est cancérologue, il y connait quoi que ce soit en nutrition pour prévenir le cancer, c'est être extrêmement naif.

 

Quand en plus d'être menteur, un peu affabulateur sur les bords, il raconte pas mal de conneries démontables par un collégien en sixième, faut peut être pas prendre ses recommandations pour argent comptant comme tu le fais depuis dix pages....

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[h1]Consommation de poissons et exposition au méthylmercure[/h1][h2]Définition et recommandations de consommation[/h2]

Mots-clés : CONTAMINANTS DE L'ALIMENTATION, MÉTHYLMERCURE, FEMMES ENCEINTES, POISSONS,MERCURE

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A haute dose, le méthylmercure est toxique pour le système nerveux central de l'homme en particulier durant son développement in utero et au cours de la petite enfance. La consommation de poisson constitue la principale source d'exposition alimentaire de l'homme au méthylmercure. Au regard des bénéfices nutritionnels liés à la consommation de poissons, l’Agence a évalué les risques liés à cette substance afin de déterminer des fréquences de consommation de poisson sans risque pour la santé à cet égard.[h3]Mercure, méthylmercure, qu'est-ce que c'est ?[/h3]

Le mercure est un métal présent naturellement à l'état de traces dans l'environnement. Essentiellement rejeté par l'écorce terrestre dans l'air, il se disperse ensuite dans les sols, les eaux et les sédiments. Il se diffuse aussi dans la nature du fait des rejets engendrés par les activités humaines : exploitation minière, métallurgie, transformation de pâte à papier, combustion des déchets et des combustibles fossiles en particulier. Très volatil sous sa forme élémentaire, c'est à la suite de transformations chimiques que le mercure devient toxique et facilement absorbable par l’organisme (bioaccumulable). Présent à de faibles concentrations dans l'eau ou les sédiments sous sa forme méthylée, appelée méthylmercure, il peut se concentrer très fortement dans les organismes aquatiques, sa teneur tendant à s'élever au fil de la chaîne alimentaire, à chaque fois qu'une espèce en mange une autre.[h3]Pourquoi l’Agence travaille-t-elle sur cette substance ?[/h3]

A haute dose, le méthylmercure est toxique pour le système nerveux central de l'homme, en particulier durant son développement in utero et au cours de la petite enfance. Cette substance peut ainsi provoquer des troubles comportementaux légers ou des retards de développement chez les enfants exposés in utero ou après la naissance, même en l'absence de signes toxiques chez la mère.

La consommation de poisson constitue la principale source d'exposition alimentaire de l'homme au méthylmercure. Le niveau de contamination des poissons varie selon les espèces. Il a tendance à être plus élevé chez celles qui se situent en haut de la chaîne alimentaire (les grands prédateurs).[h3]Que recommande l'Agence ?[/h3]

Depuis 2002, l’Agence a rendu 3 avis pour évaluer le risque sanitaire lié à la consommation de poissons contaminés par du méthylmercure. Au fil de ses avis, l'Agence a affiné et précisé ses recommandations au regard de l'évolution des valeurs guides internationales et des données disponibles sur le mercure, sur la consommation alimentaire des différentes catégories de population et sur la contamination des différents types de poissons.

Pour l'ensemble de la population, l'Anses estime que la consommation de poissons ne présente pas de risque pour la santé au regard du risque lié au méthylmercure. En effet, l'apport de la population en méthylmercure est inférieur à la dose journalière tolérable(1) définie par l'Organisation mondiale de la santé.

Au regard des bénéfices nutritionnels liés à la consommation de poissons (acides gras essentiels, protéines, vitamines, minéraux et oligoéléments), l'Agence recommande :

  • de consommer du poisson deux fois par semaine dont les poissons gras (saumon, maquereau, sardine, anchois, truite fumée, hareng…) ;
  • de diversifier les espèces de poissons consommées.

 

Pour les femmes enceintes et allaitantes et les enfants en bas âge (moins de 30 mois), l'Agence recommande de prendre des précautions particulières :

  • éviter à titre de précaution de consommer les poissons les plus contaminés : requins, lamproies, espadons, marlins (proche de l'espadon) et sikis (variété de requin)
  • limiter la consommation de poissons susceptibles d'être fortement contaminés(2) à 150 g par semaine pour les femmes enceintes et allaitantes et à 60 g par semaine pour les enfants de moins de 30 mois.

 

(1) La dose journalière tolérable est la quantité de substance qui peut être quotidiennement ingérée par le consommateur sans effets néfastes pour sa santé.

(2) baudroies ou lottes, loup de l'Atlantique, bonite, anguille et civelle, empereur, hoplostète orange ou hoplostète de Méditerranée, grenadier , flétan de l'Atlantique, cardine, mulet, brochet, palomète, capelan de Méditerranée, pailona commun, raies, grande sébaste, voilier de l'Atlantique, sabre argent et sabre noir , dorade, pageot, escolier noir ou stromaté, rouvet, escolier serpent, esturgeon, thon …

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Invité §wrk515bx

la source de l'article que je vais c/c (pour que franckcorleone comprenne enfin c'est quoi une source, vu que je lui ai demandé une bonne dizaine de fois et qu'il fait la sourde oreille) : http://reseauinternational.net [...] sommation/

 

 

Jamie Oliver a remporté son long combat contre l’une des plus grandes chaînes de fast food au monde, McDonald’s.

Après qu’Oliver ai montré comment les hamburgers McDo étaient fabriqués, la chaîne franchisée a finalement annoncé qu’elle changera ses recettes, annonce à peine reprise dans les médias. Oliver ne cesse d’expliquer, depuis des années, dans des documentaires, des émissions de télé et des interviews, que les parties grasses de la viande de bœuf sont « lavées » dans de l’hydroxyde d’ammonium et utilisées pour les hamburgers. Avant ce procédé de « lavage », selon Oliver, la viande est réputée impropre à la consommation humaine. Il explique que « fondamentalement, nous prenons un produit qui serait vendu dans des filières discount pour chiens, et qui, après ce procédé, est donné aux êtres humains ».

Outre la faible qualité de la viande, l’hydroxyde d’ammonium est dangereux pour la santé. Oliver parle du fameux « procédé pink slime ».

Qu’est-ce que le « pink slime » ? C’est un additif bon marché à base de viande de bœuf qui peut être ajouté à de la viande hachée ou transformée et servant ainsi d’agent de remplissage. Il se compose de morceaux de bœuf haché finement, de tendons, de graisse, de tissus conjonctifs qui ont été retirés mécaniquement dans une centrifugeuse chauffée à 38 °C afin d’en produire une pâte. Cette dernière est traitée à l’ammoniac ou à l’acide citrique pour l’élimination des bactéries, puis est finement broyée, pressée en blocs et surgelée pour son utilisation industrielle. Créé par Eldon Roth, le pink slime a été autorisé pour la nourriture des animaux autres que l’homme avant d’être, en 2001, autorisé pour la consommation humaine aux États-Unis.

Dans l’une de ses démonstrations hautes en couleur, Oliver montre aux enfants comment sont faits les nuggets. Après avoir mis de côté les meilleures parties du poulet, les restes (la graisse, la peau et les organes internes) sont traités pour devenir des nuggets.

En réponse à la mauvaise presse dont ce procédé a souffert grâce à Oliver, l’entreprise Arcos Dorados, le directeur de la franchise McDonalds en Amérique Latine, a dit qu’un tel procédé n’était pas pratiqué dans leur région. A noter qu’il en serait de même en Irlande et en Grande Bretagne où la viande provient de fournisseurs locaux.

Aux Etats-Unis, Burger King et Taco Bell avaient déjà abandonné l’utilisation de l’ammoniac dans leurs produits. L’industrie alimentaire utilise l’hydroxyde d’ammonium comme agent antimicrobien dans les viandes, ce qui a permis à McDonalds de détourner la « viande non comestible » et de l’utiliser autrement.

Le plus inquiétant est surtout le fait que, sous prétexte que l’hydroxyde d’ammonium est autorisé, par l’USDA (Département de l’Agriculture des Etats-Unis), comme composant dans la procédure de fabrication, les consommateurs ne savent pas quand ce produit chimique se retrouve dans leur nourriture.

Sur le site officiel de McDonalds, la société affirme que leur viande n’est pas chère parce que, le fait de servir chaque jour autant de personnes, leur permet d’acheter à bas prix à leurs fournisseurs et d’offrir ainsi des produits de la meilleure qualité.

Mais si le « pink slime » était vraiment la « meilleure qualité » que McDonald’s puisse trouver aux Etats-Unis, alors pourquoi ont-ils pu faire mieux en Amérique Latine et en Europe ? Plus précisément, pourquoi ne peuvent-ils apparemment pas faire mieux aux Etats-Unis ?

Toutes ces questions sont restées sans réponse de la part de McDonalds qui a nié que la décision de changer leur recette était liée à la campagne de Jamie Oliver.

Sur son site, McDonalds a admis qu’ils avaient abandonné le procédé.

 

 

http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user5/imageroot/2012/03/pink-slime.jpg

 

 

bon appétit a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

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Invité §oli123bq

on consomme du tabac depuis des siècles... et un jour on a vu la lumière...

 

enfin bon, pour reprendre le sophisme dominant de ce topic: on consomme du tabac depuis des siècles --> on vit de plus en plus vieux depuis des siècles ---> le tabac permet l’allongement de la durée de vie, CQFD

 

Ahh oui, très comparable. L'argument en carton. Tu vas nous faire la même avec l'opium ?

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Invité §Jes257LV

[h1]L’espérance de vie globale en hausse de six ans depuis 1990[/h1]

 

[h2]L’espérance de vie de la population mondiale a progressé en moyenne de six ans depuis 1990, selon une vaste étude statistique publiée jeudi dans le journal médical britannique The Lancet.[/h2]

 

 

 

 

 

 

 

L’espérance de vie moyenne est passée de 65,3 ans en 1990 à 71,5 ans en 2013, selon cette analyse qui incorpore des données statistiques fournies par 188 pays. L’espérance de vie pour les hommes a progressé en moyenne de 5,8 ans entre 1990 et 2013 tandis que pour les femmes elle a augmenté plus généreusement, de 6,6 ans en moyenne.

 

"Les progrès réalisés face à un grand nombre de maladies et blessures sont bons et même remarquables, mais nous pouvons et devons faire encore mieux", a estimé l’auteur principal de l’étude, le Dr Christopher Murray, professeur à l’Université de Washington dans un communiqué publié par The Lancet.

 

Dans les pays riches, c’est la baisse des décès par cancers et par maladies cardiovasculaires qui permet de relever l’espérance de vie, notent les chercheurs. Dans les pays pauvres, les progrès s’expliquent surtout par le recul des décès chez les nouveaux-nés et les enfants, par diarrhée ou par maladies respiratoires.

 

Toutefois, chez les enfants de moins de cinq ans, les infections respiratoires, le paludisme et les diarrhées restent les causes principales de décès et continuent à tuer près de 2 millions d’enfants âgés de 1 mois à 5 ans chaque année.

 

La tendance à la hausse pour l’espérance de vie masque une montée en puissance de certaines maladies ou troubles dans les causes de décès, en particulier les cancers du foie provoqués par des hépatites C (+125%), les troubles graves du rythme cardiaque (+100%), les maladies liées à la consommation de drogues (+63%), l’insuffisance rénale chronique (+37%) et le diabète (+9%).

 

"L’énorme augmentation de l’action collective et le financement accordé aux grandes maladies infectieuses telles que la diarrhée, la rougeole, la tuberculose, le VIH / sida et le paludisme ont eu un impact réel", estime le Dr Murray. "Mais cette étude montre que certaines maladies chroniques majeures ont été largement négligées et sont en hausse, en particulier les problèmes de santé liés à la drogue, la cirrhose du foie, le diabète et l’insuffisance rénale chronique", ajoute ce responsable.

Cette étude financée par la Fondation Gates, a été réalisée malgré des "trous importants" dans les données sur les causes de mort dans certains pays, en particulier l’Inde, met en garde l’article.

 

AFP

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Invité §wrk515bx

source : http://sante.lefigaro.fr/actua [...] e-par-loms

 

 

Malnutrition: l'industrie alimentaire incriminée par l'OMS

 

 

L'OMS et l'organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ont mis en cause ce mercredi un système alimentaire mondial trop industrialisé, qui favoriserait l'obésité tout en étant incapable d'éradiquer les problèmes de sous-alimentation.

 

« Une partie de notre monde meurt de faim pendant que l'autre partie se gave jusqu'à l'obésité. L'industrialisation croissante du système alimentaire mondial y est pour quelque chose. » C'est avec ces mots que Margaret Chan, directrice générale de l'organisation mondiale de la santé (OMS), a ouvert la deuxième conférence internationale sur la nutrition (CIN2) qui se déroulait de mercredi à vendredi au siège de l'organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Rome.

 

500 millions d'adultes en surpoids

 

Au cœur des débats: le thème de la malnutrition. Les dirigeants ont évoqué le problème de la sous-alimentation, qui toucheraient 805 millions de personnes dans le monde parmi lesquelles 161 millions d'enfants, d'après les chiffres avancés par la FAO. Mais ce sont surtout les 500 millions d'adultes et 42 millions d'enfants en surpoids qui ont mobilisé l'attention des 172 pays présents à la conférence.

 

Parmi les responsables désignés par l'OMS, l'industrie alimentaire se place en première ligne. « Le système alimentaire mondial ne fonctionne plus, à cause de sa dépendance à une production industrialisée de nourriture toujours moins chère et mauvaise pour la santé », a expliqué Margaret Chan. Dans un monde toujours plus régit par la vitesse, les gens n'avaient plus le temps de cuisiner, d'où la présence de plus en plus massive de nourriture industrielle dans nos assiettes, a précisé la directrice de l'OMS. « Il faut aider les industries à préparer des plats moins gras, moins sucrés, moins salés, et à les rendre appétissants », a-t-elle ajouté.

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Invité §oli123bq

Pour moi, le problème se rapproche de celui du manque d'activité physique. Aujourd'hui, les gens ne veulent plus ou ne savent plus cuisiner (même simplement) : donc hop, on ouvre une boite ou un findus et roule, simple et facile :bah:

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Invité §Jes257LV

Pour moi, le problème se rapproche de celui du manque d'activité physique. Aujourd'hui, les gens ne veulent plus ou ne savent plus cuisiner (même simplement) : donc hop, on ouvre une boite ou un findus et roule, simple et facile :bah:

 

Et 10h par jour sur le pc anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §nyn781GE

on consomme du tabac depuis des siècles... et un jour on a vu la lumière...

 

enfin bon, pour reprendre le sophisme dominant de ce topic: on consomme du tabac depuis des siècles --> on vit de plus en plus vieux depuis des siècles ---> le tabac permet l’allongement de la durée de vie, CQFD

 

Ahh oui, très comparable. L'argument en carton. Tu vas nous faire la même avec l'opium ?

 

 

oui c'est comparable... avant qu'on "ai vu la lumière" on consommait du tabac sans soucis... non?

 

alors ce baser sur le fait qu'on en consomme depuis x années/siècles pour dire que c'est bon d'en consommer c'est un mauvais raisonnement.. c'est tout :bah:

 

bon sinon francky la flèche à envie de nous expliquer que le gouvernement donne de bonnes infos sur l'alimentation... c'est bien mon francky, j'ajouterais même le site "manger bouger" dont je me sers régulièrement.

 

et bien un nouveau scoop pour toi, les gouvernements disent des choses et font l'inverse, ils disent qu'il faut moins rouler en diesel et encouragent (fiscalement) l'achat diesel, ils disent qu'ils faut manger sain et subventionnent (plus ou moins directement) l'installation de la grande distribution au nom de l'emploi...

 

c'est fou hein? c'est encore pas binaire.. pas de chance pour toi du coup...

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Et oui, un jour...on se rendra compte que le taux de cancer causé par le lait sera le même que celui du tabac...

 

Puis ut reliras l'étude INCA qui prouve qu'il y a de l'amélioration dans la répartition de consommation de tous les glucides, protides, lipides... que la dépendance socio-économique, à l'âge, au sexe sont d'autres facteurs ds le comportement alimentaire, il n'y a donc vraiment rien de binaire, et vraiment toutes les informations sont disponibles :)

Et, ça vient encore argumenter que c'est pareil...pauvre Nyny, tjs dans les limites de ses pensées... :hihi:

 

Et s'il y a bien un facteur sur lequel la liberté individuelle agit, c'est bien le comportement alimentaire...alors tout ramener au productivisme, mais quel archaisme de base comme toujours avec les anti-capitalistes.... et tes interventions csur ce topic, qui ne font vraiment pas progresser, mais alors vraiment pas, comme à ta grande habitude, on dirait :o

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Le dispositif national de nutrivigilance, un dispositif

original en Europe

 

La mise en œuvre du dispositif national de nutrivigilance a été confiée à l'Agence en juillet 2009 par la

loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires.

Ce dispositif a pour but d’améliorer la sécurité du consommateur en identifiant rapidement d'éventuels

effets indésirables

liés à la consommation :

– de compléments alimentaires ;

– d’aliments ou boissons enrichis en substances à but nutritionnel ou physiologique

(vitamines, minéraux, acides aminés, extraits de plantes,…) ;

– de nouveaux aliments et nouveaux ingrédients ;

– de produits destinés à l’alimentation de populations particulières (nourrissons, sportifs,

patients souffrant d’intolérance alimentaire, …)

Le dispositif national de nutrivigilance est une brique supplémentaire dans le dispositif de sécurité

sanitaire français. Sa mise en place est motivée par l’apparition sur le marché de nouveaux aliments

ou nouveaux ingrédients non traditionnels en Europe, liée à la mondialisation des échanges et aux

nouveaux modes de consommation. On note en particulier une augmentation sensible de la prise de

compléments alimentaires ou d’aliments et de boissons enrichis.

Une phase pilote de vigilance sur les compléments alimentaires, menée depuis septembre 2009, a

montré le bien fondé d’un tel dispositif.

 

 

Le fonctionnement du dispositif

 

- Qui déclare ?

Les professionnels de santé (médecins,

pharmaciens, diététiciens,…) qui peuvent

identifier des effets indésirables chez leurs

patients.

Les personnes souhaitant faire une

déclaration à titre individuel sont invitées à

prendre contact avec un professionnel de

santé.

- Où déclarer ?

Sur le site internet de l’Anses en

remplissant le formulaire en ligne. La

télédéclaration est un moyen rapide et

fiable de réaliser un signalement de

nutrivigilance.

Il est également possible de télécharger

une fiche de déclaration et de la renvoyer

complétée à l’Anses par mail, télécopie ou

voie postale.

 

 

Les aliments visés par le dispositif de nutrivigilance

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires sont définis

comme « des denrées alimentaires dont le but est de

compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou

d'autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés… ».

Dépendant du code de la consommation, les compléments alimentaires font l'objet de déclaration

auprès de la Direction de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes

(DGCCRF) pour préciser notamment leur composition. Elle réalise par ailleurs des contrôles à l'instar

des autres catégories de denrées alimentaires. La réglementation prévoit une liste, progressivement

établie, des ingrédients pouvant entrer dans leur composition, actuellement ciblée sur les vitamines et

minéraux au niveau européen, et élargie au niveau national par des doses journalières maximales à

ne pas dépasser et diverses substances telles que les plantes.

Cependant, contrairement aux médicaments, la commercialisation des compléments alimentaires ne

nécessite pas d'autorisation individuelle préalable à la mise sur le marché fondée sur l'évaluation d'un

dossier industriel par une instance d'expertise. L'industriel est responsable de la conformité des mises

sur le marché avec les normes en vigueur, de la sécurité et de la non-tromperie du consommateur.

 

 

 

Les aliments enrichis

Il s’agit d’aliments ou de boissons enrichis en substances à but nutritionnel ou physiologique

(vitamines, minéraux, acides aminés, extraits de plantes,…). Tous les aliments peuvent être

concernés.

 

Les nouveaux aliments

Les « novel food » sont des aliments ou des ingrédients dont la consommation était inexistante dans

les pays de l’Union européenne avant le 15 mai 1997 et présentant une ou plusieurs des

caractéristiques suivantes :

- présenter une structure moléculaire primaire nouvelle ou délibérément modifiée ;

- être composés de microorganismes, de champignons ou d’algues ou être isolés à partir de ceux-ci ;

- être composés de végétaux ou être isolés à partir de végétaux ou d’animaux (à l’exception des

pratiques de multiplication ou de reproduction traditionnelles et dont les antécédents sont sûrs) ;

- résulter d’un procédé de production qui n’est pas couramment utilisé (lorsque ce procédé entraîne

des modifications significatives de leur valeur nutritive, de leur métabolisme ou de leur teneur en

substances indésirables)

Les « novel food » sont définis dans le règlement européen CE n°258/97, qui est actuellement en

cours de révision. Ce règlement n’est pas applicable aux additifs alimentaires, aux arômes et aux

solvants d’extraction.

Parmi la grande diversité d’ingrédients ou d’aliments concernés par cette réglementation, on peut citer

l’extrait d'écorce de magnolia, la gamma-cyclodextrine, la gomme de guar, le jus de noni, ou encore la

pulpe déshydratée de fruit de baobab.

Avant de pouvoir être mis sur le marché, les « novel foods » font l’objet d’une évaluation des risques

par les autorités sanitaires des États membres et un arbitrage éventuel au niveau communautaire,

 

après avis de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) qui donne lieu à une autorisation

de mise sur le marché.

 

Les aliments destinés à une alimentation particulière

Ces denrées sont destinées à des populations ayant des besoins particuliers (bébés, personnes

présentant une intolérance au gluten, personnes âgées, …) et doivent ainsi répondre à des critères de

composition spécifiques.

 

 

Consommation de compléments alimentaires

 

Qui prend des compléments alimentaires ?

Près de 20 % des adultes et un peu plus de 11 % des enfants ont consommé des

compléments alimentaires ou des vitamines et minéraux sous forme de médicaments dans

l’année.

Les femmes sont deux fois plus nombreuses que les hommes à en prendre.

Près de deux tiers des compléments alimentaires sont consommés sous forme de cure.

Pour 70% des enfants et 53% des adultes, les cures de compléments alimentaires se

déroulent en hiver

La durée annuelle de la prise d'un complément alimentaire est en moyenne de 4 mois et

demi chez les adultes et de 2 mois et demi chez les enfants.

23 % des adultes et 12 % des enfants consommateurs de compléments alimentaires en

prennent toute l'année ou presque.

Pourquoi prend-t-on des compléments alimentaires ?

Pour 32% des adultes et 39% des enfants suite à une prescription médicale

Pour 23% des adultes et 31% des enfants, suite au conseil d'un professionnel de santé

Pour 14% des adultes sur le conseil d'un proche

Pour 15% des adultes suite à la découverte du produit sur un linéaire ou sur internet

 

Où les achète-t-on ?

Pour 54% des adultes et 78%des enfants en pharmacie

Pour 14 % des adultes en supermarché

Pour 9% des adultes en magasins de diététique

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Invité §wrk515bx

Quel est le point commun entre du dentifrice, des chewing-gums ou certains plats cuisinés ? Ils contiennent de l’E171, un additif chimique au pouvoir blanchissant. Plus précisément, il s’agit de nanoparticules de dioxyde de titane.

Certaines associations y voient un risque réel pour la santé. « On en trouve dans des produits majoritairement blancs, et dans de nombreuses friandises pour enfants, pour que la couleur tienne, explique Adrien Brunetti, de France Nature Environnement. C’est un problème car ils sont plus petits que les globules rouges du sang et qu’ils passent donc facilement dans tous nos organes et peuvent s’accumuler partout dans le corps, y compris dans le cerveau. »

 

Des particules aussi petites qu’un virus

Chaque année dans le monde, 8 millions de tonnes de dioxyde de titane sont disséminés dans des produits de consommation courante. Ces particules microscopiques sont pourtant bien différentes des substances classiques, compte tenu de leur taille. « C’est le milliardième de mètre. Les nanoparticules sont de la taille d’un virus », précise Francelyne Marano, toxicologue à l’université Paris 7 et membre du Haut Conseil de santé publique. « Il aurait été nécessaire d’évaluer leur risque avant de les utiliser. »

La conférence environnementale du Parlement européen prône leur interdiction dans l’alimentation. A l’occasion de la conférence environnementale de Paris, les associations demandent également un étiquetage obligatoire des produits contenant ces nanoparticules, afin que le consommateur puisse choisir en connaissance de cause.

 

 

http://api.dmcloud.net/player/embed/4e7343f894a6f677b10006b4/5477222606361d11b9bff761/0cf6133356de4d34910c8bd20e7777df?exported=1

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Invité §nyn781GE

 

 

Et s'il y a bien un facteur sur lequel la liberté individuelle agit, c'est bien le comportement alimentaire...alors tout ramener au productivisme, mais quel archaisme de base comme toujours avec les anti-capitalistes.... et tes interventions csur ce topic, qui ne font vraiment pas progresser, mais alors vraiment pas, comme à ta grande habitude, on dirait :o

 

la liberté individuelle... et donc si l'obésité se développe c'est juste une putain de de coïncidence, individuellement les ricains ont tous décidé de devenir obèses en même temps :jap:

 

merci francky la flèche de nous faire progresser :hihi:

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Invité §wrk515bx

la liberté individuelle... et donc si l'obésité se développe c'est juste une putain de de coïncidence, individuellement les ricains ont tous décidé de devenir obèses en même temps :jap:

 

merci francky la flèche de nous faire progresser :hihi:

 

 

 

Il parait que le plus gros problème c'est le manque d’exercice. Si les obèses se remuaient un peu, ils ne seraient pas obèse, c'est leur liberté individuelle d'être obèse© un contributeur

 

 

Certains y croient dur comme fer en tout cas 1911674346_ouateelse.gif.730270d91f9d764b9c287cd888755649.gif

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Invité §wrk515bx

Pour moi, le problème se rapproche de celui du manque d'activité physique. Aujourd'hui, les gens ne veulent plus ou ne savent plus cuisiner (même simplement) : donc hop, on ouvre une boite ou un findus et roule, simple et facile :bah:

 

 

 

Je suis d'accord sur le fait que c'est un problème, mais pas que ce soit "le" problème...

 

 

Je comprends les gens qui bossent toute la journée, qui le soir n'ont plus l’énergie ni la motivation pour se faire un repas adapté. Alors par facilité, oui, ils consomment des "trucs" tout prêt. Pareil pour l'activité physique.

 

 

Est ce qu'on doit leur jeter la pierre ?

 

 

Je ne pense pas, pour moi, il y a deux choix sociétal pour changer les choses :

 

- soit on diminue notre temps de travail, et donc on aura le temps de reprendre en main notre hygiène alimentaire et physique.

- soit on oblige l'industrie a faire des produits non (moins ?) nocif.

 

l'idéal étant les deux... a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

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Et oui, la liberté de rester devant la TV au lieu d'aller courir, nager, pédaler...décidément, cette liberté on la voit partout.

 

On devrait fusiller tous les obèses d'ailleurs, ils rentrent pas dans la case, y en a qui y croit dur comme fer :lol:

 

Mais non, à présent, c'est le temps de travail le problème....car tous ceux qui travaillent font le même travail, le VRP, le fleuriste, le soudeur, le peintre en batiment, l'architecte, le docteur généraliste, la secrétaire...

 

Une des 2 seules solutions au regain d'activité physique....ce qu'il faut pas lire franckcorleone.gif.d29537792775f4b1b7e6a713829d2321.gif

 

Mais alors pourquoi on est pas tous obèses, sédentaires et sans activité physique...avec ce monde fait de méchantes industries nous manipulant et nous désinformant...mais pourquoi diable, de jeunes adolescentes souffrent d'anorexie....mais pourquoi a t on des clubs ou associations sportives dans toutes les communes de France....c'est bien connu, y a que ceux aux 35 heures qui font du sport.....étrange franckcorleone.gif.e22ae5840525cb1175c98b98c3cbea98.gif

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Invité §wrk515bx

 

bon sinon francky la flèche à envie de nous expliquer que le gouvernement donne de bonnes infos sur l'alimentation... c'est bien mon francky, j'ajouterais même le site "manger bouger" dont je me sers régulièrement.

 

 

 

 

le responsable de bouger manger :

 

 

 

Très bon ce passage. t'en a noté d'autres des commes ca ?

 

 

Ce que ne dit pas le docu, et qui ne sera jamais dit a la tv, c'est les conflits d'interets du Pr Hercberg

 

http://imworld.aufeminin.com/d [...] 141838.jpg

 

 

qui est le responsable du programme national de santé !

 

 

son CV

 

Situation actuelle:

• Professeur de Nutrition à la Faculté de Médecine de Paris 13

• Directeur de l’Unité 557 de l’INSERM (UMR Inserm/Inra/Cnam) : « Unité de Rechercheen Epidémiologie nutritionnelle (UREN) ».

• Directeur de l’Unité de Surveillance et

d’Epidémiologie Nutritionnelle, USEN

(InVS/ISTNA-CNAM)

• Directeur du Centre de Recherche en Nu

trition Humaine (CRNH) Ile-de-France

(GIS)

Diplômes:

• Docteur en Médecine , Paris 6, 1979

• Docteur en Sciences , Paris 7, 1986

 

 

A priori, sérieux...

 

C'est ce type qui nous conseille a tous de consommer 3 produits laitiers quotidiennement, 4 si on est un enfant ou âgé.

 

voyons voir pour qui il a travaillé :

 

http://www.lepoint.fr/actualit [...] 20/0/70124

 

Mme Brugère-Picoux participe aussi, à titre gratuit, au conseil scientifique d'Entropy Conseil. Elle s'y trouve en excellente compagnie puisqu'elle y retrouve Gérard Pascal, le nutritionniste Serge Hercberg et le sociologue Claude Fischler. Cette entreprise n'est pourtant pas une oeuvre de charité. Elle affiche pour objet social « les études, recherches, enquêtes, conseil, assistance, formation, notamment dans le domaine du lobbying, du marketing, de la promotion et de la publicité ».

...

 

 

Deja c'est louche, mais soit disant a titre gratuit... car c'est bien connu, on travaille benevolement dans les milieux industriels ;)

 

on continue :

 

 

Des rémunérations secrètes

« Les membres de notre conseil sont irréprochables, insiste Serge Michels. On sait très bien, dans ce métier, qu'il y en a qui touchent jusqu'à 300 000 francs par an, à titre personnel, pour "conseiller" une entreprise. » 300 000 francs, cela fait cher. Mais Gérard Pascal assure lui aussi connaître deux ou trois chercheurs qui entrent dans cette catégorie.

Comparés à cela, les jetons de présence versés aux heureux membres du conseil scientifique de l'institut Danone font figure de simple défraiement : 7 500 francs par séance.

 

Certaines personnalités n'apprécient pas trop que l'on s'intéresse à ces financements. Le nutritionniste Serge Hercberg a rendu sa déclaration publique d'intérêts à l'Afssa il y a quelques semaines seulement. Joint par Le Point avant de réparer son oubli, il évoque juste l'étude Suvimax, qu'il coordonne et qui suit la nutrition de milliers de Français pendant plusieurs années. Un vaste projet financé par Candia, Danone, Vittel, plusieurs laboratoires pharmaceutiques...

 

Ainsi le Centre d'information sur les charcuteries (CIC) paie-t-il directement un stagiaire pour « optimiser le traitement des données engendrées par l'étude Suvimax », tandis qu'une étude satellite au programme Suvimax a permis de conclure, en toute indépendance bien sûr, que le pâté, les rillettes et le saucisson n'ont pas d'incidence directe sur le cholestérol. Mais Serge Hercberg assure ne jamais avoir subi la moindre pression de l'industrie. Heureux chercheur ! Il peut même, là, tout de suite, prouver son indépendance : lors du dernier Medec, le grand raout annuel de la médecine qui vient de se tenir à Paris, il a donné deux conférences dans la même journée, qui lui ont été payées par deux marques d'eau minérale concurrentes, Vittel et Evian. Il oublie de mentionner Fruit d'Or, Knorr, Kellogg's, Candia, Lipton, le Centre d'information des viandes (CIV)... C'est dommage. A l'occasion du dernier Medec, Serge Hercberg a participé à un colloque sponsorisé par Knorr sur « Les besoins en micronutriments de la femme en âge de procréer ». Et qu'y disait-il ? Que « la deuxième phase du protocole satellite Knorr de l'étude Suvimax a montré que la consommation de potages contribue significativement à augmenter les apports en folates, vitamines C, en fer et même en calcium ». La soupe, qu'on se le dise, est donc bonne.

 

roh le dernier paragraphe... greg11150.gif.79b6b43463d7dc79de019b8943a59418.gif

 

 

déontologie = 0

indépendance = 0

 

reconnu par la société comme un bon nutritioniste, j'ai hate d'avoir l'avis de nos "experts" qui n'ont pas hésité a cracher sur le professeur joyeux. a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

 

 

 

justement, on parlait du sel,

 

http://imworld.aufeminin.com/d [...] 141838.jpg

 

 

a travaillé dessus :

 

(toujours même source)

 

A la suite de la controverse sur l'excès de sel ouverte dans les colonnes du Point (n° 1483), l'Afssa a mis en place fin mars un groupe d'experts qui a pour président l'incontournable Serge Hercberg. Et compte parmi ses membres Tilman Drueke, dont les travaux ont été financés à plusieurs reprises par le Comité des Salines, autrement dit le lobby du sel, et qui fait partie du comité scientifique de Salt 2000, 8e symposium mondial de l'industrie du sel. Mais celui-ci n'a toujours pas jugé utile de transmettre sa DPI à l'Afssa. Impossible, donc, d'en savoir plus.

 

 

vous imaginez son avis : circulez, ya rien a voir. [:hondapart's:9]

 

Dormez tranquille, les experts s'occupent de tout 1566914471_ouateelse.gif.97733a3af6b76bfa12a5b20f398cb2c2.gif

 

 

 

 

c'est lui le responsable du programme national de santé.

 

 

je dis pas qu'il faut jeter tout ce qui se trouve sur manger bouger, mais c'est au minimum a prendre avec des pincettes, comme par ex le fait qu'ils conseillent 3-4 produits laitiers quotidien, ce qui est un non sens sauf si on travaille pour l'industrie laitière... a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

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Ben, comme non-sens, je dirais plutôt que c'est de dire qu'il y a qu'un responsable de manger-bouger :o

 

On est pas à un traitement de l'information sous un seul prisme près...

Le type, c'est un gourou...et il fait la promotion du gouvernement dans nos petites têtes, on en revient toujours au lait, la lie de notre société... apalta.gif.222d411bdc3187175ece5f774ae6927a.gif

 

Tu vas pas sortir un post sur la lait, àchaque fois qu'on parle alimentation, ça fait peine à présent...tu le prends sans lactose et Bio, tu règles la plupart des inconvénients que tu cites, comme pratiquement tout type d'aliment...la fixette sur le lait, merci...sans compter son aspect cancérigène égal au tabac, y en a qui vienne éclairer de leur lumière aussi :hihi:

 

 

Ils vont aimer tous les professionnels de santé, les profs de gym, ceux qui montent les associations sportives dans la France, et dans le Monde entier....où on a jamais autant eu accès aux loisirs sportifs, de part leur nombre, leur accessibilité et leur diversité...de venir mettre l'industrie au milieu de l'activité physique, ah oui, l'industrie parfois monte même leur propre associations (souvent sous le nom, "ligue corporative") à travers leur propres bâtiments, à moindre frais pour les salariés, et ouverts au grand public :jap:

 

Exemple EUROCOPTER, à côté de chez moi (Tennis, squash, badminton, Judo, Basket, Foot, Pétanque, Musculation, Parcours Running avec brumisateur etcccc ):

 

http://idata.over-blog.com/3/38/74/58/A-BALLADES/VOL-HELICO/VOL-HELICO-4867.jpg

 

http://club.quomodo.com/asebasket/uploads/images/23/110805_135724.jpg

 

http://canicopter.free.fr/IMG/jpg/grdeinstal6-2.jpg

 

http://trets.free.fr/SPORT/Judo15fevrier2011-005.jpg

 

http://idata.over-blog.com/1/60/96/64/Cross-FFA-Marignane-100110/Cross-FFA-Marignane-100110-5204.JPG

 

 

 

Mais ce n'est pas comparable à l'action citoyenne de ce topic sur FA...qui préconise au final de moins travailler, tout simplement :o

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Invité §wrk515bx

Comparé des programmes de santé publique a des associations sportives...

 

 

sinon

 

Les Pr Hercberg et Basdevant, présidents du Programme national nutrition santé 2011-2015 et du plan obésité 2010-2013, ont remis, le mardi 28 janvier, à Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, leurs propositions pour un nouvel élan de la politique nutritionnelle de santé publique.

 

 

 

Initié en 2001 et prolongé en 2006, le Programme national nutrition santé (PNNS) avait pour objectif général d’améliorer l’état de santé de l’ensemble de la population, en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs, la nutrition.

Il a fourni un cadre de référence et produit de nombreux outils. Il a permis la mobilisation de nombreux acteurs (ministères, élus locaux, professionnels des domaines de la santé, de l’activité physique, de l’éducation ou du domaine social, acteurs économiques et bénévoles). Plusieurs objectifs initialement fixés ont été partiellement ou totalement atteints, comme la réduction de la prévalence du surpoids et de l’obésité chez l’enfant, la réduction de la consommation de sel ou de sucre, l’augmentation de la consommation de fruits chez les adultes. Pour autant, ces améliorations n’ont pas concerné de façon homogène toute la population et la lutte contre les inégalités sociales de santé est un objectif prioritaire du Plan National Nutrition Santé 2011-2015.

Fixés par le Haut conseil de la santé publique, les objectifs nutritionnels de santé publique structurent les orientations stratégiques du Programme national nutrition santé (PNNS) et du Plan obésité (PO).

Dans le domaine de la nutrition, ces objectifs quantifiés, ont été regroupés selon quatre axes :

1. Réduire l’obésité et le surpoids dans la population

2. Augmenter l’activité physique et diminuer la sédentarité à tous les âges

3. Améliorer les pratiques alimentaires et les apports nutritionnels, notamment chez les populations à risque

4. Réduire la prévalence des pathologies nutritionnelles (dénutrition, Troubles du comportement alimentaire)

 

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Oui, et j'ai déjà posté l'amélioration au sein de la population au niveau de la répartion des glucides, protides et lipides, de la diminution de sel dans notre consommation, des différences homme/femme/adolescents etccc sur la même période...

 

Donc, c'est bien l'un des déterminants majeurs de la santé...

 

Donc, sans rancune, pour l'industrie EUROCOPTER grâce à qui l'action citoyenne est réelle....cette vilaine industrie booouuuuu :hihi:

 

Il aurait mieux valu qu'ils diminuent le temps de travail, ça aurait été plus efficace que ce complexe sportif à large spectre d'activités :hihi:

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Invité §Jes257LV

 

 

- soit on diminue notre temps de travail, et donc on aura le temps de reprendre en main notre hygiène alimentaire et physique.

- soit on oblige l'industrie a faire des produits non (moins ?) nocif.

 

l'idéal étant les deux... a3quattros-line.gif.ccdfd37f8991104000cc1d24c6559ac3.gif

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Oui, et j'ai déjà posté l'amélioration au sein de la population au niveau de la répartion des glucides, protides et lipides, de la diminution de sel dans notre consommation, des différences homme/femme/adolescents etccc sur la même période...

 

Donc, c'est bien l'un des déterminants majeurs de la santé...

 

Donc, sans rancune, pour l'industrie EUROCOPTER grâce à qui l'action citoyenne est réelle....cette vilaine industrie booouuuuu :hihi:

 

Il aurait mieux valu qu'ils diminuent le temps de travail, ça aurait été plus efficace que ce complexe sportif à large spectre d'activités :hihi:

 

 

T'as rien compris, eurocopter ne fait celà que pour avoir des salariés plus épanouis, plus en forme au boulot, moins stressés et prenant moins d'arrêt maladie du coup. Donc plus rentables.

 

C'est même sans doutes un peu vrai, la philanthropie et le business ne faisant pas toujours bon ménage.

 

Au final, c'est quand meme nettement préférable qu'une entreprise qui stress ses salariés.

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Invité §Jes257LV

Bon, si on revenait au sujet initial, il faut faire quoi pour être en bonne santé et quoi manger pour vivre le plus longtemps possible ?? anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §wrk515bx

Travailler chez EUROCORP. 1566914471_ouateelse.gif.97733a3af6b76bfa12a5b20f398cb2c2.gif

 

 

L'alimentation tu t'en fous tant que tu fais du sport 1270992731_ouateelse.gif.4854f2a50db45ab6c6674c06b6da57c9.gif

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