Stand 65 : Des rillettes dans les Hautes Pyrénées

christian82 · 7 octobre 2023

Avant de présenter les derniers kits que j'ai assemblés de cette écurie, voici un petit récapitulatif de sa carrière en endurance…..

TEAM SAUBER MERCEDES est fondée en 1970 par Peter Sauber sous le nom de PP Sauber AG pour construire des voitures de sport.

En 1977, pour sa première participation, l'équipe P.P.Sauber AG-Fancy Racing, engage une Sauber C5-BMW (n° 21) qui abandonne après quinze heures de course au 161^e tour sur fuite d'huile.

L’année suivante l'équipe engage la même voiture (n° 23) menée par un trio de pilotes suisses (Surer-Strähl-Blumer) qui abandonne au 257^e tour, à deux longueurs du dix-septième et dernier équipage classé.

L'écurie ne fait son retour au Mans qu'en 1981 avec une BMW M1 (n° 52) qui abandonne au 207^e tour.

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En 1982, les Sauber SHS C6 (n° 19 et 20) sont confiées au BASF Team GS Sport où pilote le Suisse Walter Brun qui, comme Peter Sauber, s’engagera plus tard en Formule 1.

La première voiture abandonne au bout de 5 heures à la suite d'une défaillance du démarreur et la seconde ne concrétise pas sa belle qualification en septième position en abandonnant au bout de soixante-seize tours à la suite d'une rupture du support moteur.

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Il faut attendre l'édition 1983 des 24 Heures du Mans, pour qu'une Sauber C7-BMW de Groupe C (n° 46) soit enfin classée, à la neuvième place du classement général.

En 1985, Peter Sauber quitte BMW et entame un partenariat avec Mercedes-Benz.

L' écurie rate le coche au Mans cette année lorsque la C8-Mercedes (n° 61) ne prend pas le départ de la course : John Nielsen a connu aux essais une frayeur énorme en réalisant un looping au passage de la bosse des Hunaudières.

Chance inouïe pour son pilote, sa voiture s'est reposée sur ses quatre roues, mais Peter Sauber décide sagement de ne pas engager la voiture pour la course.

L'écurie privée de Roland Bassaler classe, à titre de consolation, sa Sauber SHS C6 (n° 95) à la vingt-troisième place finale.

Pour l'édition 1986, l'équipe engage sous le nom de son sponsor, Kouros, deux Sauber C8-Mercedes (n° 61 et 62) qui doivent renoncer dès le début de la course (au bout de 5 et 7 heures de course).

La collaboration avec Kouros est prolongée en 1987 mais, à nouveau, les nouvelles C9 (n° 61 et 62) abandonnent au premier tiers de la course sur accident.

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A noter que deux autres SAUBER participent à la course...engagées par Noël Del Bello (n° 42 - Abandon 2ème h. Transmission) et Roland Bassaler (n° 108 - non classée)

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En 1988, les C9 (n° 61 et 62) ne prennent pas le départ à la suite de l'accident aux essais de la n° 61 dû à un éclatement de pneus dont la cause est inconnue.

Cette année-là Noël Del Bello engage un C8 sous le n° 42, qui abandonnera à la 12ème heure sur problème moteur.

Après quatre ans avec Mercedes et des résultats en demi-teinte, la période faste se profile à partir de 1989.

Sauber-Mercedes remporte les 24 heures du Mans avec la Sauber C9 (n° 63) et place ses deux autres voitures (n° 61 et 62) aux seconde et cinquième places.

À la fin de la saison, Sauber décroche les titres pilote et écurie du championnat du monde de Groupe C.

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En 1990, dernière année du championnat du monde, les C11 permettent à l'écurie suisse de conserver ses deux titres. Aucune participation à la course Mancelle.

Les Groupes C étant remplacées en 1991 par les Voitures de Sport, Peter Sauber envisage de changer de catégorie et franchir le pas vers la F1 avec Mercedes.

Mais Mercedes souhaite plus de réflexion avant de s'engager.

En 1991, l'écurie repart pour une dernière saison en Sport, saison de transition puisque la décision est prise par Sauber : avec ou sans Mercedes, l'avenir de l'équipe sera en F1.

Modifié 7 octobre 2023 par christian82

christian82 · 7 octobre 2023

Cette année 1991, le Team SAUBER MERCEDES engage en Sport catégorie 2, trois SAUBER C11 dans la course Mancelle, sous les n° 1, 31 et 32.

Elles sont équipées de moteur Mercedes V8 de 6038 cm3 turbocompressé (8454 cm3).

A noter qu’une SAUBER Mercedes C 291 portant le n° 2 a participé aux essais du mercredi, mais après avoir réalisé un chrono de 6’55’’969 elle a été rechargée discrètement dans le camion de transport, avant les essais du jeudi.

La n° 1 est confiée à Jochen MASS (9 participations), Jean Louis SCHLESSER (6 participations) et Alain FERTE (6 participations),

Suite aux qualifications elle occupe la 11ème position sur la grille de départ (JL SCHLESSER 3’31’’270 - J.MASS 3’49'945 - A.FERTE 3’46’’130).

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Bien que JL Schlesser ait décroché le meilleur temps, les dix premières places de la grille de départ sont réservées aux voitures de la catégorie 1 (règlement ACO), d'où sa 11ème position.

Le 22 Juin, à 16h00 Mme Hélène BLANC (Préfet de la Sarthe) donne le départ aux 38 concurrents.

Dès la deuxième heure, la n° 1 a rattrapé son retard sur les C1 et pointe en 5^ème position du général.

Dans la troisième heure, elle est enregistrée en seconde position, devancée par une Peugeot 905.

Elle reste à cette place jusqu’à la 6^ème heure, où elle s’empare de la pole position, qu’elle ne quittera plus jusqu’à la 21^ème heure de course.

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A 12h53, la n° 1 rentre au stand et le capot moteur est aussitôt enlevé.

Les mécaniciens constatent une rupture du support d’alternateur qui a entraîné une rupture de la courroie de la pompe à eau, provoquant une surchauffe.

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Tout est mis en œuvre pour refroidir le moteur et à 13h25, A.Ferté reprend la piste, mais le mal est fait.

La n° 1 effectue un tour de piste et revient au stand, c’est l’abandon.

SAUBER C11 - Mercedes - 24 Heures du Mans 1991 – V 8 Turbocompressé / 6038 cm3 - Concurrent : Team SAUBER-MERCEDES - Pilotes : Jean Louis SCHLESSER / Jochen MASS / Alain FERTE – Abandon 22^ème heure (Moteur) - Miniature: Kit PROVENCE MOULAGE

PS: Je tiens à remercier vivement 911-50 et Coutach53 qui m'ont apporté leur aide sur les pièces manquantes ou usées (vitrages, phares, ...) des 3 kits Provence Moulage.

Modifié 8 octobre 2023 par christian82

911-50 · 7 octobre 2023

finalement pour les vitres, le résultat est bon je trouve

christian82 · 7 octobre 2023

La n° 31 est pilotée par Karl WENDLINGER, Michael SCHUMACHER et Fritz KREUTZPOINTER.

Ces trois pilotes participent pour la première fois à la course Mancelle.

Les chronos réalisés lors des qualifications donnent la n° 31 en 12^ème position de la grille de départ: Karl WENDLINGER (3’35’’265), Michael SCHUMACHER (3’41’’057) et Fritz KREUTZPOINTER (4’27’’457).

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Le 22 Juin, à 16h00 Mme Hélène BLANC (Préfet de la Sarthe) donne le départ aux 38 concurrents.

Dans sa catégorie, la n° 31 se bat contre ses deux sœurs d’écurie (n° 1 et 32), onze Porsche 962 (n° 14, 16, 17, 21, 49, 50, 51, 52, 53, 57, 58), deux Porsche 962 CK6 (n° 11 et 46), trois Mazda 787 B (n° 18, 55 et 56), quatre Jaguar XJR 12 (n° 33, 34, 35 et 36), trois Cougar C26S (n 12, 13 et 47), et une Lancia LC2 (n° 15).

Partie derrière sa sœur d’écurie (n°1), la n°31 aux mains de K . Wendlinger remonte en 4^ème position du général à la fin de la première heure, malgré un accrochage sans gravité avec la Porsche Primagaz au freinage du virage Ford.

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A 16h42, M. Schumacher prend le volant relayé par K. Wendlinger et la Sauber se retrouve en tête des 24 heures durant trois heures (18/20h00).

A noter le record du tour pour M. Schumacher en 3’38’’528 à 19h10.

Mais à 20h06, K. Wendlinger accélère trop fort à la sortie de la chicane Dunlop, part en tête à queue et tape le rail sous la passerelle Dunlop.

Un changement de capot et aileron est nécessaire, et fait chuter à la 11^ème position.

A la fin de l’heure, il a repris 5 positions et pointe en 6^ème place du général.

La n° 31 remonte et fait partie du trio de tête avec ses deux sœurs d’écurie jusqu’à 04h37, car un problème de boite de vitesse va perturber la bonne marche de cette voiture.

Des vérifications de boite effectuées dans les stands font chuter de la 2^ème à la 4^ème place du général.

Repartie en piste, K. Wendlinger doit finalement rentrer à 05h30 pour un remplacement des pignons de boite.

L’opération dure 20 minutes, fait chuter à la 8^ème place du général et enlève tout espoir à l’équipage de la n° 31.

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La matinée se passe bien, mais à 11h35, la n° 31 laisse une trace suspecte derrière elle.

Rappelé à son stand, M. Schumacher rentre et les mécaniciens constate que la casse du support d’alternateur a entraîné dans sa chute la rupture de la courroie de la pompe à eau, comme sur la n° 1.

Les 12 minutes passées à réparer annulent la remontée de la n° 31, la repoussant en 6^ème position, derrière la C11 n° 2 de tête, la Mazda n° 55 et les trois Jaguar XJR12 n°33, 34, 35.

Mais le plus grave est que la surchauffe encaissée par le V8 ne permet plus d’envisager une remontée dans le peloton de tête.

Les pilotes vont maintenir néanmoins le rythme, remonter en 4^ème place de 14h à 15h00, et passer la ligne d’arrivée en 5^ème position.

SAUBER C11 - Mercedes - 24 Heures du Mans 1991 – V 8 Turbocompressé / 6038 cm3 - Concurrent : Team SAUBER-MERCEDES - Pilotes : Michael SCHUMACHER / Karl WENDLINGER / Fritz KREUTZPOINTER - Class : 5ème - Miniature: Kit PROVENCE MOULAGE

Modifié 7 octobre 2023 par christian82

christian82 · 8 octobre 2023

Au volant de la n° 32 on trouve Stanley DICKENS (5 participations), Jonathan PALMER (4 participations) et Kurt THIIM (rookie).

La motorisation de la n° 32 est identique à ses sœurs d’écurie n° 1 et 31.

Lors des qualifications, les chronos enregistrés emmènent la n° 32 en 13^ème position de la grille de départ, derrière les deux autres Sauber : Jonathan PALMER (3’35’’957) - Stanley DICKENS (3’45’’143) - Kurt THIIM (3’47’’443).

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Le 22 Juin à 16h00, Mme Hélène BLANC (Préfet de la Sarthe) donne le départ aux 38 concurrents.

Dès le départ, les trois Sauber C11, qui se tiennent en 50‘’, collent à la Peugeot n° 6 de tête et à la Porsche n° 17 qui est seconde.

A 17h09, S. Dickens part en tête à queue sans gravité au virage Ford, alors que la n° 32 pointe en 6^ème position.

Dans les heures suivantes, elle remonte au classement, atteignant la pole position en 5^ème heure à l’occasion des ravitaillements des deux autres Sauber, puis revient en seconde position l’heure suivante.

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Mais à 01h16, lors du changement de pilote, cinq minutes sont perdues sans raison apparente.

Une demi-heure plus tard, J. Palmer s’arrête en se plaignant de la légèreté du train avant.

Les mécaniciens se glissent sous la n° 32 et détectent des anomalies du fond plat, dues à un passage à grande vitesse sur des débris.

Trente-six minutes seront nécessaires à la remise en état , et la n° 32 repart en 12^ème position du général, à dix tours des leaders.

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Mais le mal est fait, les débris n’ont pas touché que le fond plat, le moteur en a subi les conséquences et des vibrations de plus en plus importantes obligent à 07H11, à l’arrêt définitif de la n° 32.

SAUBER C11 - Mercedes - 24 Heures du Mans 1991 – V 8 Turbocompressé / 6038 cm3 - Concurrent : Team SAUBER-MERCEDES - Pilotes : Jonathan PALMER / Kurt THIM / Stanley DICKENS – Abandon 19^ème heure (Choc sous moteur) - Miniature: Kit PROVENCE MOULAGE

Modifié 8 octobre 2023 par christian82

christian82 · 9 octobre 2023

Retour sur l'édition 2022 ....

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

IRON LYNX est une écurie de sport automobile italienne, basée à Cesena, fondée en 2019 par Déborah Meyer, Claudio Schiavoni, Sergio Pianezzola et Andrea Piccini.

Elle fait participer des voitures de Grand Tourisme et des Sport Prototype dans des championnats tels que le Championnat du monde d’Endurance, l’Européan Le Mans Séries..

Pour sa troisième participation à la course Mancelle, IRON LYNX engage en catégorie LM GTE Am, trois FERRARI 488 GTE Evo sous les n° 60, 75 et 80.

Sous sa branche IRON DAMES , elle engage dans la même catégorie, une quatrième voiture sous le n° 85.

Elles sont équipées de moteurs V8 biturbo de 3996 cm³ (485cv).

La n° 60 est pilotée par Claudio SCHIAVONI (3 participations), Raffaele GIAMMARIA (3 participations) et Alessandro BALZAN (1 participation).

Sur la journée test, le chrono de la n° 60 est de 3’56’’643 qui la place sur la 59^ème/62 position (20^ème LMGTE Am).

Lors des qualifications, un chrono de 4’05’’633 de C. Schiavoni l’amène sur la 57^ème place de la grille de départ.

Le chrono est insuffisant pour participer à l’ hyperpole.

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

Durant les trois premières heures, la n° 60 reste en 61^ème position, malgré deux têtes à queue de C.Schiavoni au cours de la seconde heure (17h32 à Arnage et 17h39 à la chicane Daytona).

A 02h40, la n° 60 écope d’une pénalité de 5’’ pour vitesse excessive sous Slow Zone.

A 12h44, l’Oreca n° 65 pilotée par N. Jamin percute la 488 GTE et l'envoie dans les pneus au virage du karting.

Elle était pointée en 54^ème position, mais la course est finie pour elle, elle sera non classée n’ayant pas franchi la ligne d’arrivée.

FERRARI 488 GTE EVO – 24 heures du Mans 2022 – V 8 Biturbo / 3996 cm3 – Concurrent: IRON LYNX – Pilotes : Claudio SCHIAVONI / Raffaele GIAMMARIA / Alessandro BALZAN – Class: Non classée– Miniature : LOOK SMART

Modifié 9 octobre 2023 par christian82

christian82 · 9 octobre 2023

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 75 est pilotée par Pierre EHRET (9 participations), Christian HOOK (1 participation) et Nicolas VARRONE (rookie).

Pour la journée test, les pilotes de la n° 75 réalise un 3’55’’772 qui place leur voiture sur la 48^ème/62 position (9^ème LMGTE Am).

Lors des qualifications, N. Varrone réalise un chrono de 3’55’’672, qui donne la 52^ème place sur la grille de départ, mais insuffisant pour participer à l’ hyperpole.

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

La course débute mal pour la n° 75 qui part en tête à queue à 17h51 au virage Porsche avec P.Ehret qui vient de prendre le volant.

A 18h15, il rentre au stand pour une durée de 4’15, ce qui envoie la voiture en dernière position du classement général.

Durant les heures suivantes, la Ferrari verte a du mal à remonter dans le classement, se maintenant dans le top 50, n’atteignant comme meilleure position la 52^ème place en 22 heures de course.

A noter qu’à 01h22, P. Ehret part à nouveau en tête à queue au virage Ford cette fois.

A 08h22, C. Hook au volant de la n° 75 sort à Mulsanne suite à un freinage violent, qui la fait déchaper à l’avant droit.

Vingt quatre minutes seront nécessaires pour réparer les dégâts causés sur la 488 GTE.

La n° 75 repart en piste à la 56^ème place du général.

Elle franchit la ligne d’arrivée à la 53^ème et dernière place de cette édition.

FERRARI 488 GTE EVO – 24 heures du Mans 2022 – V 8 Biturbo / 3996 cm3 – Concurrent: IRON LYNX – Pilotes : Pierre EHRET / Christian HOOK / Nicolas VARRONE – Class: 53ème – Miniature : LOOK SMART

Modifié 10 octobre 2023 par christian82

christian82 · 10 octobre 2023

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 80 est aux mains de Giancarlo FISICHELLA (12 participations), Matteo CRESSONI (4 participation) et Richard HEISTAND (1 participation).

Ils réalisent un temps de 3’55’’603 qui place la n° 80 sur la 44^ème/62 position (5^ème LMGTE Am) lors de la journée test.

Lors des qualifications, G. Fisichella décroche un 4’23’’223, qui amène la 59^ème place sur la grille de départ, mais un temps insuffisant pour l’ hyperpole.

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

Partie avant dernière du GTE AM, pointée en 54^ème position en fin de première heure, les pilotes ne cessent de faire remonter la voiture dans le classement sur les heures suivantes.

A 20h00, elle est notée sur la 10^ème place de sa catégorie, 49^ème du général.

Mais peu après 23h00, une Aston Martin tape la 488 et endommage son échappement.

A 23h27, la n° 80 rentre au stand pour une réparation de 14 minutes qui la fera chuter à la 55^ème place.

Repartie en piste, elle prend une pénalité de 5’’ à 02h43 pour vitesse excessive sous Slow Zone.

La fin de nuit se déroule bien, mais la n° 80 n’arrive pas à sortir de la fin de classement, naviguant selon les ravitaillements entre la 50^ème et la 52^ème position.

A 07h05, elle effectue un arrêt de 4’46’’ au stand.

Repartie, elle écope d’un Drive Trough à 09h43, pour dépassement sous Slow Zone.

La matinée ne rencontre aucun problème, mais à 11h18, G. Fisichella traverse le bac à graviers à la chicane Daytona.

A 14h32, un nouveau Drive Trough pénalise la n° 80 pour non-respect des limites de piste, mais elle se maintient à la 47^ème place du général durant les 22 et 23ème heures.

A 16h00, elle franchit la ligne d’arrivée en 46^ème position du général, et à la 13^ème position de sa catégorie.

FERRARI 488 GTE EVO – 24 heures du Mans 2022 – V 8 Biturbo / 3996 cm3 – Concurrent: IRON LYNX – Pilotes : Giancarlo FISICHELLA / Matteo CRESSONI / Richard HEISTAND – Class: 46^ème (13èmeLM GTE Am) – Miniature : LOOK SMART

Modifié 10 octobre 2023 par christian82

christian82 · 12 octobre 2023

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

IRON DAMES est une équipe de course automobile entièrement féminine créée en 2018.

Il s’agit d’un projet crée par et dirigé par Déborah Mayern (Iron Lynx), entrepreneur, pilote et ambassadrice de Ferrari, dans le but de soutenir les femmes dans le sport automobile.

L’équipe participe à des courses d’endurance avec une voiture partagée exclusivement par des femmes.

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L’équipage de la FERRARI n° 85 se compose de : Rahel FREY (4 participations), Michelle GATTING (3 participations) et Sarah BOVY (1 participation).

Le chrono de la journée test de 3’55’’678 est réalisé par M. Gatting et place la n° 85 sur la 45^ème/62 position (6^ème LMGTE Am).

Lors des qualifications, R. Frey enregistre un chrono de 3’54’’081 qui permet de participer à l’ hyperpole où un temps de 3’53’’869 place la 488 GTE sur la 43^ème place de la grille de départ.

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

A 16h13, M. Gatting qui vient de prendre le départ rentre au stand suite à une crevaison et repart en 21^ème position de sa catégorie et 58^ème du général.

L'équipage lutte et la remontée dans le classement est amorcée.

A 19h35, la n° 85 exécute un Drive Trough pour vitesse excessive sous Slow Zone.

A 21h04, il y a un contact avec l’Oreca n° 24 au virage du karting, sans gravité.

La remontée dans le classement continue et elle pointe en 48^ème position du général à la fin de la huitième heure.

A la treizième heure, elle est 46^ème, puis 43^ème lors de la dix neuvième heure.

A 05h34, la n° 85 rentre au stand pour un changement de plaquettes qui lui fait perdre 4’02.

(Copyright à qui de droit)

Avec un rythme régulier, les "Iron Dames" atteignent la 41^ème place en vingt troisième heure, pour passer la ligne d’arrivée en 40^ème place du général et 7^ème de la catégorie LM GTE Am.

FERRARI 488 GTE EVO – 24 heures du Mans 2022 – V 8 Biturbo / 3996 cm3 – Concurrent: IRON DAMES – Pilotes : Rahel FREY / Michelle GATTING / Sarah BOVY – Class: 40ème (7^ème LM GTE Am) – Miniature : LOOK SMART

Modifié 12 octobre 2023 par christian82

christian82 · 13 octobre 2023

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

CORVETTE RACING est la division sport de Chevrolet, basée à New Hudson (Etats Unis).

Pour sa vingt deuxième participation aux 24 heures du Mans, l’écurie engage deux CHEVROLET Corvette C8.R en LM GTE Pro, sous les habituels n° 63 et 64.

Elles sont motorisées par un moteur central arrière V8 de 5500 cm3 développant environ 500 cv.

Les équipages sont inchangés par rapport à l’an dernier.

La n° 63 est pilotée par Antonio GARCIA (14 participations), Jordan TAYLOR (7 participations) et Nicky CARSBURG (3 participations).

Sur la journée test, la C8-R n° 63 occupe la dernière place du classement LM GTE Pro (7^ème) en 3’54’’504.

Lors des qualifications, la n° 63 prend un chrono de 3’51’’132 qui lui ouvre la porte de l’hyperpole.

Durant cette séance, A.Garcia réalise un chrono de 3’50'177 qui place la Corvette sur la 32^ème place de la grille de départ (2^ème LM GTE Pro).

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

Dès le départ les Corvette sont en tête de leur catégorie, devançant les Porsche et Ferrari.

A la fin de la première heure, le classement n’a pas changé, et les six concurrents du GTE Pro sont groupés en 43 secondes.

A la 4^ème heure de course (19/20h), la n° 63 a dépassé sa sœur d’écurie et mène la danse GTE Pro, pointant en 30^ème position du général.

A 22h58, la n° 63 est signalée au ralenti sur le circuit, pneu arrière gauche déchiqueté.

Elle rejoint son stand à 23h05, et les dégâts sont importants, une réparation de 58 minutes est nécessaire (pneu déchiqueté, suspension cassée…).

Elle reprend la piste, mais a chuté à la dernière place de sa catégorie et à la 61^ème du général.

Une difficile remontée attend les pilotes de cette GT.

A 02h51, le retour au stand est nécessaire avec un problème d’amortisseur persistant qui entraîne un arrêt de 20’17.

Le reste de la nuit se déroule sans incident, mais en 15^ème heure (06/07h), la n° 63 n’est remontée qu’en 57^ème position et toujours dernière de sa catégorie.

En fin d’heure, à 07h56, elle s’arrête au stand, toujours suite à son problème de suspension, mais ne repart pas.

A 09h30, l’abandon est officialisé.

CHEVROLET Corvette C8.R – 24 heures du Mans 2022 – V 8 / 5500 cm3 – Concurrent: CORVETTE RACING – Pilotes : Antonio GARCIA / Jordan TAYLOR / Nicky CATSBURG – Abandon 17ème heure (Suspension)– Miniature : SPARK

Modifié 13 octobre 2023 par christian82

christian82 · 14 octobre 2023

11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

Comme l’an dernier, la Corvette n° 64 est pilotée par Tommy MILNER (12 participations), Nick TANDY (9 participations) et Alexander SIMS (3 participations).

Lors de la journée test, la C8-R n° 64 décroche la 33^ème place et la première place des LM GTE Pro avec un chrono de 3’54’’001.

Lors des qualifications, la n° 64 enregistre un chrono de 3’51’’491 qui lui permet de participer à l’hyperpole où N. Tandy réalise un 3’49’’485 qui place la voiture sur la 31^ème place de la grille de départ (1^er LM GTE Pro).

Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

Dès le départ, la n° 64 occupe la première place des GTE Pro, mais lors de la deuxième heure, elle va descendre dans le peloton de tête laissant sa place à la n° 63 durant trois heures.

Lors de la 5^ème heure (20/21h), elle revient en pole position de la catégorie.

Mais les heures suivantes elle perd de deux à trois places.

A 22h23, elle rentre au stand pour un changement de disques et plaquettes de frein, qui, réalisé en 2’19 ne lui fait rien perdre au niveau classement (34^ème), et reste toujours dans le même tour que les leader de catégorie.

A 02h36, elle reçoit une pénalité de 5’’ pour vitesse excessive sous Slow Zone.

A 06h30, elle est revenue en première position de la catégorie GTE Pro.

A 09h49, l’Oreca n° 30 pilotée par F. Perrodo vient percuter la n° 64 et l’envoie dans les rails à hauteur de la chicane Daytona.

Le choc est violent, et la n° 64 en partie détruite ne peut rentrer au stand et ce sera l’abandon de la seconde Corvette C8.

CHEVROLET Corvette C8.R – 24 heures du Mans 2022 – V 8 / 5500 cm3 – Concurrent: CORVETTE RACING – Pilotes : Tommy MILNER / Nick TANDY / Alexander SIMS – Abandon 19^ème heure (Accident) – Miniature : SPARK

Modifié 14 octobre 2023 par christian82

christian82 · 4 novembre 2023

Derniers montages.....

16/17 Juin 1934, 12ème édition des 24 Heures du Mans,

La société Derby a été fondée en 1921 à Courbevoie par Bertrand Montet, un ancien ingénieur des Arts et Métiers, pour construire des voiturettes à quatre cylindres et des cyclecars.

Bertrand Montet remplace rapidement les moteurs des premiers cyclecars (V-twin) par des moteurs Chapuis-Dornier à soupapes latérales et refroidissement par eau de quatre cylindres (4 CV), une initiative qui se concrétise en 1922 par une première place à chaque participation sportive, dont une médaille d'or obtenue au Critérium Paris-Nice.

La production démarre avec 50 véhicules en 1923, 80 en 1924 pour culminer à environ 200 voitures en 1925 et 1926, pour retomber à 150 par an de 1927 à 1929.

La société Derby diversifie sa production avec un premier cabriolet, pouvant être équipé de nouveaux moteurs 6 et 7 CV, auquel s'ajoute une nouvelle gamme de véhicules utilitaires d'une charge utile de 150 kg. La Derby est vendue en Angleterre dans les années 1920 sous le nom de Vernon-Derby par la société Vernon Balls.

En 1928, Derby sort deux voitures de tourisme de 6 cylindres, avec soupapes latérales.

La même année, son fondateur Bertrand Montet décède au mois de mai 1928 des suites d'une intervention chirurgicale.

Le dramatique évènement va freiner l'expansion de l'entreprise.

À ce problème interne, s'ajoutent de graves difficultés économiques internationales qui frappent de plein fouet les petites entreprises françaises.

En 1930, la réputation de Derby s’accroît dans le domaine de la course automobile avec des véhicules conduits par Miss Gwenda Stewart qui, sur l'autodrome de Montlhery, battit plusieurs records au volant d'une Derby-Miller.

En 1931, Derby présente au Salon de l’Auto, une gamme adoptant, dans sa totalité, le moteur à traction avant avec le brevet Étienne Lepicard.

La L2 de 1931 est une 6 CV à traction avant à 4 cylindres, suivie deux ans plus tard, en 1933, par la L8, une 11 CV à traction avant, avec un moteur V8 de 2 litres.

Mais, pour asseoir sa notoriété, la firme préfère soigner son image sportive et intensifier ses participations en compétition.

Toujours à la recherche de clients et d’un coup de pub pour ses voitures TAV huit cylindres, DERBY Inscrit trois voitures aux 24 heures du Mans de 1934.

Carrossées par Antem en torpédo sport quatre places, seules deux voitures sont prêtes et prennent le départ, elles portent les n° 16 et 18.

(Copyright à qui de droit)

La n° 16 engagée par Louis Villeneuve est équipée d’un moteur V 8 de 1992 cm3.

Découvrant le circuit Sarthois, il partage le volant avec Géo Ham (Georges Hamel), artiste peintre automobile qui a laissé ses pinceaux pour son unique participation à la course.

Dans leur catégorie (1501 à 2000 cm3), les DERBY, débutantes au Mans, sont seules, il n’y a pas de concurrence.

(Copyright à qui de droit)

Le 16 Juin, à 16h00, M. le Vicomte de ROHAN CHABOT (Président de l'Automobile Club de France et de la Fédération Nationale des Clubs) donne le départ aux 44 concurrents.

Après des essais prometteurs, la n° 16 abandonne au 36^ème tour, sur un problème de boite à vitesses.

26 concurrents passeront la ligne d'arrivée au terme des 24 heures.

DERBY - 24 Heures du Mans 1934 – 8 cyl / 1992 cm3 - Concurrent : Louis Villeneuve - Pilotes : Géo HAM / Louis VILLENEUVE – Abandon 36^ème tour (boite vitesses) - Miniature: Kit GCAM

Nota : Géo Ham, pseudonyme de Georges Hamel, né le 19 septembre 1900 à Laval et mort le 24 juin 1972 à Paris 5^e, est un peintre, affichiste et illustrateur Français.

Il était aussi un pilote de rallye Français, de Grand-Prix automobiles, et de courses d'endurance.

Tombé dans l'oubli dans les années 1960-70, il est particulièrement connu pour ses illustrations d’avions ou d’automobiles parues dans l’Illustration, et pour ses nombreuses illustrations sur les 24 Heures du Mans.

Modifié 4 novembre 2023 par christian82

christian82 · 4 novembre 2023

16/17 Juin 1934, 12ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 18 engagée par Mme Gwenda STEWART est également équipée d’un moteur V 8 de 1992 cm3.

A son volant se trouvent Louis BONNE (1 participation) et Mme Gwenda SYEWART (rookie).

(Copyright à qui de droit)

Le 16 Juin, à 16h00, Mr le Vicomte de ROHAN CHABOT (Président de l’Automobile Club de France et de la Fédération Nationale des Clubs) donne le départ aux 44 engagés.

Comme pour sa sœur d’écurie, la course de la n° 18 est assez courte, car elle abandonne au 16^ème tour.

DERBY - 24 Heures du Mans 1934 – 8 cyl / 1992 cm3 - Concurrent : Gwenda STEWART - Pilotes : Louis BONNE / Mme Gwenda STEWART – Abandon 16^ème tour - Miniature: Kit GCAM

Modifié 4 novembre 2023 par christian82

christian82 · 10 novembre 2023

Je suis un peu écœuré .....

En 1967, l'écurie AUTO DELTA sous la direction de Carlo Chiti engageait des ALFA ROMEO 33 aux 24 heures du Mans 1967.

Lors des essais d'avril, plusieurs modèles équipés de moteurs V8 de 2L étaient essayés par huit pilotes: De Adamich, Businello, Galli, Giunti, Pinto, Zeccoli, Guichet et Rolland.

(Copyright à qui de droit pour ces 3 photos)

Il y a quelques temps, afin de réaliser ces modèles, j'avais acheté trois miniatures (série presse) de fabrication chinoise de la marque ... METRO , .

Après les avoir décapées, repeintes, modifiées, j'ai apposé une décoration en version essais des n° 37, 38 et 67.

Mais c'était sans compter sur la mauvaise qualité du métal (zamac) chinois, qui après un certain temps a fait une réaction ... pour une raison que j'ignore.

Mes trois modèles sont fichus.... ... le métal a "sauté" et a crée des trous sur les carrosseries condamnant les modèles à la poubelle....

Modifié 10 novembre 2023 par christian82

reverso 72 · 10 novembre 2023

Pas de chance en effet 😔

de mon côté le châssis en plastique devait être collé et vissé car il a explosé au démontage…pas mieux avec les roues qui se sont cassées quand j’ai voulu les récupérer 😞

LMMC73 · 11 novembre 2023

Le 07/10/2023 à 21:14, christian82 a dit :

Avant de présenter les derniers kits que j'ai assemblés de cette écurie, voici un petit récapitulatif de sa carrière en endurance…..

TEAM SAUBER MERCEDES est fondée en 1970 par Peter Sauber sous le nom de PP Sauber AG pour construire des voitures de sport.

En 1977, pour sa première participation, l'équipe P.P.Sauber AG-Fancy Racing, engage une Sauber C5-BMW (n° 21) qui abandonne après quinze heures de course au 161^e tour sur fuite d'huile.



L’année suivante l'équipe engage la même voiture (n° 23) menée par un trio de pilotes suisses (Surer-Strähl-Blumer) qui abandonne au 257^e tour, à deux longueurs du dix-septième et dernier équipage classé.



L'écurie ne fait son retour au Mans qu'en 1981 avec une BMW M1 (n° 52) qui abandonne au 207^e tour.

(Copyright à qui de droit)

En 1982, les Sauber SHS C6 (n° 19 et 20) sont confiées au BASF Team GS Sport où pilote le Suisse Walter Brun qui, comme Peter Sauber, s’engagera plus tard en Formule 1.

La première voiture abandonne au bout de 5 heures à la suite d'une défaillance du démarreur et la seconde ne concrétise pas sa belle qualification en septième position en abandonnant au bout de soixante-seize tours à la suite d'une rupture du support moteur.

(Copyright à qui de droit)

(Copyright à qui de droit)

Il faut attendre l'édition 1983 des 24 Heures du Mans, pour qu'une Sauber C7-BMW de Groupe C (n° 46) soit enfin classée, à la neuvième place du classement général.



En 1985, Peter Sauber quitte BMW et entame un partenariat avec Mercedes-Benz.

L' écurie rate le coche au Mans cette année lorsque la C8-Mercedes (n° 61) ne prend pas le départ de la course : John Nielsen a connu aux essais une frayeur énorme en réalisant un looping au passage de la bosse des Hunaudières.

Chance inouïe pour son pilote, sa voiture s'est reposée sur ses quatre roues, mais Peter Sauber décide sagement de ne pas engager la voiture pour la course.



L'écurie privée de Roland Bassaler classe, à titre de consolation, sa Sauber SHS C6 (n° 95) à la vingt-troisième place finale.



Pour l'édition 1986, l'équipe engage sous le nom de son sponsor, Kouros, deux Sauber C8-Mercedes (n° 61 et 62) qui doivent renoncer dès le début de la course (au bout de 5 et 7 heures de course).

La collaboration avec Kouros est prolongée en 1987 mais, à nouveau, les nouvelles C9 (n° 61 et 62) abandonnent au premier tiers de la course sur accident.





(Copyright à qui de droit)

A noter que deux autres SAUBER participent à la course...engagées par Noël Del Bello (n° 42 - Abandon 2ème h. Transmission) et Roland Bassaler (n° 108 - non classée)



(Copyright à qui de droit)



En 1988, les C9 (n° 61 et 62) ne prennent pas le départ à la suite de l'accident aux essais de la n° 61 dû à un éclatement de pneus dont la cause est inconnue.





Cette année-là Noël Del Bello engage un C8 sous le n° 42, qui abandonnera à la 12ème heure sur problème moteur.

Après quatre ans avec Mercedes et des résultats en demi-teinte, la période faste se profile à partir de 1989.

Sauber-Mercedes remporte les 24 heures du Mans avec la Sauber C9 (n° 63) et place ses deux autres voitures (n° 61 et 62) aux seconde et cinquième places.

À la fin de la saison, Sauber décroche les titres pilote et écurie du championnat du monde de Groupe C.





Copyright à qui de droit)

En 1990, dernière année du championnat du monde, les C11 permettent à l'écurie suisse de conserver ses deux titres. Aucune participation à la course Mancelle.



Les Groupes C étant remplacées en 1991 par les Voitures de Sport, Peter Sauber envisage de changer de catégorie et franchir le pas vers la F1 avec Mercedes.

Mais Mercedes souhaite plus de réflexion avant de s'engager.

En 1991, l'écurie repart pour une dernière saison en Sport, saison de transition puisque la décision est prise par Sauber : avec ou sans Mercedes, l'avenir de l'équipe sera en F1.

Bonjour,

belle rétrospective de Sauber, merci de nous en faire profiter. Belle reprise et montage des trois C11 de 1991

Le 12/10/2023 à 18:52, christian82 a dit :





11/12 Juin 2022, 90^ème édition des 24 Heures du Mans,

IRON DAMES est une équipe de course automobile entièrement féminine créée en 2018.

Il s’agit d’un projet crée par et dirigé par Déborah Mayern (Iron Lynx), entrepreneur, pilote et ambassadrice de Ferrari, dans le but de soutenir les femmes dans le sport automobile.

L’équipe participe à des courses d’endurance avec une voiture partagée exclusivement par des femmes.

(Copyright à qui de droit)

L’équipage de la FERRARI n° 85 se compose de : Rahel FREY (4 participations), Michelle GATTING  (3 participations) et Sarah BOVY (1 participation).

Le chrono de la journée test de 3’55’’678 est réalisé par M. Gatting et place la n° 85 sur la 45^ème/62 position (6^ème LMGTE Am).

Lors des qualifications, R. Frey enregistre un chrono de 3’54’’081 qui permet de participer à l’ hyperpole où un temps de 3’53’’869 place la 488 GTE sur la 43^ème place de la grille de départ.



Le 11 Juin, à 16h00, Mr Patrick POUYANNE (Président Directeur Général de Total Energies) donne le départ aux 62 concurrents.

A 16h13, M. Gatting qui vient de prendre le départ rentre au stand suite à une crevaison et repart en 21^ème position de sa catégorie et 58^ème du général.

L'équipage lutte et la remontée dans le classement est amorcée.



A 19h35, la n° 85 exécute un Drive Trough pour vitesse excessive sous Slow Zone.

A 21h04, il y a un contact avec l’Oreca n° 24 au virage du karting, sans gravité.

La remontée dans le classement continue et elle pointe en 48^ème position du général à la fin de la huitième heure.

A la treizième heure, elle est 46^ème, puis 43^ème lors de la dix neuvième heure.

A 05h34, la n° 85 rentre au stand pour un changement de plaquettes qui lui fait perdre 4’02.



(Copyright à qui de droit)

Avec un rythme régulier, les "Iron Dames" atteignent la 41^ème place en vingt troisième heure, pour passer la ligne d’arrivée en 40^ème place du général et 7^ème de la catégorie LM GTE Am.



FERRARI 488 GTE EVO – 24 heures du Mans 2022 – V 8 Biturbo / 3996 cm3 – Concurrent: IRON DAMES – Pilotes : Rahel FREY / Michelle GATTING / Sarah BOVY – Class: 40ème (7^ème LM GTE Am) – Miniature : LOOK SMART

je l'aurais bien mise dans ma vitrine cette Iron Dames...

J'ai profitez de prix réduit pour prendre la n°51 de 2022, ma première Look Smart.

Le 04/11/2023 à 18:31, christian82 a dit :





16/17 Juin 1934, 12ème édition des 24 Heures du Mans,

La n° 18 engagée par Mme Gwenda STEWART est également équipée d’un moteur V 8  de 1992 cm3.

A son volant se trouvent Louis BONNE (1 participation) et Mme Gwenda SYEWART (rookie).



(Copyright à qui de droit)

Le 16 Juin, à 16h00, Mr le Vicomte de ROHAN CHABOT (Président de l’Automobile Club de France et de la Fédération Nationale des Clubs) donne le départ aux 44 engagés.

Comme pour sa sœur d’écurie, la course de la n° 18 est assez courte, car elle abandonne au 16^ème tour.



DERBY - 24 Heures du Mans 1934 – 8 cyl / 1992 cm3 - Concurrent : Gwenda STEWART - Pilotes : Louis BONNE / Mme Gwenda STEWART – Abandon 16^ème tour - Miniature: Kit  GCAM

toujours un gros faible pour ces vielles mamies qui ne courent pas les rues.

Le 10/11/2023 à 22:21, christian82 a dit :

Je suis un peu écœuré .....



En 1967, l'écurie AUTO DELTA sous la direction de Carlo Chiti engageait des ALFA ROMEO 33 aux 24 heures du Mans 1967.

Lors des essais d'avril, plusieurs modèles équipés de moteurs V8 de 2L étaient essayés par huit pilotes: De Adamich, Businello, Galli, Giunti, Pinto, Zeccoli, Guichet et Rolland.





(Copyright à qui de droit pour ces 3 photos)

Il y a quelques temps, afin de réaliser ces modèles, j'avais acheté trois miniatures (série presse) de fabrication chinoise de la marque ... METRO  , .

Après les avoir décapées, repeintes, modifiées, j'ai apposé une décoration en version essais des n° 37, 38 et 67.

Mais c'était sans compter sur la mauvaise qualité du métal (zamac) chinois, qui après un certain temps a fait une réaction ... pour une raison que j'ignore.

Mes trois modèles sont fichus....  ... le métal a "sauté" et a crée des trous sur les carrosseries condamnant les modèles à la poubelle....

la poisse, c'est la première fois que je vois ça. J'ai eu parfois des problèmes d'accroche de la peinture sur la carrosserie, pourtant je fais en général deux couches d'apprêt et deux-trois couches de peinture finale à la bombe sans vernis. Un petit choc ou manipulation et une écaille apparait...

christian82 · 11 novembre 2023

Le 11/11/2023 à 11:38, LMMC73 a dit :

Bonjour,

belle rétrospective de Sauber, merci de nous en faire profiter. Belle reprise et montage des trois C11 de 1991

je l'aurais bien mise dans ma vitrine cette Iron Dames...

J'ai profitez de prix réduit pour prendre la n°51 de 2022, ma première Look Smart.

toujours un gros faible pour ces vielles mamies qui ne courent pas les rues.

la poisse, c'est la première fois que je vois ça. J'ai eu parfois des problèmes d'accroche de la peinture sur la carrosserie, pourtant je fais en général deux couches d'apprêt et deux-trois couches de peinture finale à la bombe sans vernis. Un petit choc ou manipulation et une écaille apparait...

Merci pour tes commentaires sur ces modèles .. .....

Pour moi aussi, c'est la première fois que je vois un modèle se détruire tout seul.

J'ai retrouvé les morceaux manquants composés de peinture et métal dans ma vitrine, je suis écœuré.....surtout que les trois présentent le même problème ...merci les petits chinois de METRO .... pour la qualité de leurs matériaux (encore une marque que j'éviterai à l'avenir) ....

Je vais essayer de trouver une solution pour les refaire..

Plusieurs options:

1/ décaper, mastiquer et refaire, mais un grand doute que le problème ne réapparaisse pas sur une autre partie de la carrosserie, .... - donc à éviter je pense -,

2/ faire un moulage après avoir restauré la carrosserie - très probable -

3/ trouver ces modèles en kits - à étudier si option 2 n'est pas possible - ,

Enfin, cela a fait beaucoup de travail pour rien ... surtout que les décals avaient été réalisés par un ami et que je ne trouve plus le message pour en refaire....

olo · 11 novembre 2023

c'est con

La maladie du zamak qui touche certaines miniatures produites en Chine est un problème connu depuis presque une dizaine d'année et a été abondement discuté sur FA quand il est apparu d'abord sur les norev il me semble. C'est un zamak de mauvaise qualité comportant des impuretés.

C'est sur que vu le prix de vente des séries presse, ça doit tirer sur les coûts de revient

christian82 · 14 novembre 2023

Quand tu as la poisse.....

Démontage d'une des ALFA ... elle se casse en morceaux ....., c'est vraiment de la mer.. ce zamac....

reverso 72 · 14 novembre 2023

Le 14/11/2023 à 19:02, christian82 a dit :

Quand tu as la poisse.....

Démontage d'une des ALFA ... elle se casse en morceaux ....., c'est vraiment de la mer.. ce zamac....

Je peux toujours te dépanner d’une caisse j’ai explosé le châssis, mais attention la caisse n’est pas démontée …

christian82 · 14 novembre 2023

Modèle décapé, mais impossible de coller les morceaux, même avec de la Loctite......🥸

En plus, elle continue à partir en morceaux (aile supérieure avant droite...)

J'abandonne avec cette n° 67 et je vais essayer avec une des deux restantes.....

Modifié 14 novembre 2023 par christian82

christian82 · 14 novembre 2023

Le 14/11/2023 à 20:48, reverso 72 a dit :

Je peux toujours te dépanner d’une caisse j’ai explosé le châssis, mais attention la caisse n’est pas démontée …

Je vais quand même essayer avec les deux restantes, mais comme elles sont abîmées par la maladie, j'accepte ta proposition Reverso72,

Je galèrerai peut être moins qu'avec les miennes...

Envoie moi en M.P les conditions,

Avec mes remerciements

Modifié 14 novembre 2023 par christian82

christian82 · 14 novembre 2023

Démontage de la n° 37, et bain de décapant pour l'instant...

Modifié 14 novembre 2023 par christian82

olo · 14 novembre 2023

Je me demande si j'en ai pas une en carton... si jamais j'en fais rien, alors...

christian82 · 14 novembre 2023

Deuxième essai sur la n° 37....

Elle s'est cassée également après avoir été décapé, sur son capot avant lorsque je l'ai essuyée..

Recollée avec la Superglue, je l'ai remonté sur son châssis le temps de passer le mastic....

Ponçage léger...

pprv94 · 15 novembre 2023

Magnifique cette vague de group C de 1991 et de GTE de 2022 !

911-50 · 15 novembre 2023

faudrait vite faire un surmoulage

olo · 16 novembre 2023

J'admire ta pugnacité mais effectivement est ce que cela en vaut la peine ??

Car si le zamak est impur, ça risque de craquer plus tard sur d'autres parties

Plus inquiétant, j'ai lu des témoignages de collectionneurs italiens sur un forum, visiblement le phénomène ne concerne pas que les séries presse ou certaines marques (les soucis récurrents sur les norev sont apparus à partir de 2010), même des Minichamps (rarement quand même) ou des modèles onéreux comme les GMP au 1/18 (!!!)

Modifié 16 novembre 2023 par olo

christian82 · 17 novembre 2023

Le 15/11/2023 à 10:28, 911-50 a dit :

faudrait vite faire un surmoulage

C'est prévu, c'est pour cela que j'ai décapé, mastiqué la n° 37, j'attends des produits pour faire un moule...., et je récupérerai les pièces plastique (châssis, sièges, roues, vitrage, feux..).

Si cela ne marche pas, j'ai encore la possibilité d'acheter un kit qui m'a été proposé...

Le 16/11/2023 à 09:50, olo a dit :

J'admire ta pugnacité mais effectivement est ce que cela en vaut la peine ??

Car si le zamak est impur, ça risque de craquer plus tard sur d'autres parties

Plus inquiétant, j'ai lu des témoignages de collectionneurs italiens sur un forum, visiblement le phénomène ne concerne pas que les séries presse ou certaines marques (les soucis récurrents sur les norev sont apparus à partir de 2010), même des Minichamps (rarement quand même) ou des modèles onéreux comme les GMP au 1/18 (!!!)

Je pense que ce sont les seules de chez METRO que j'avais....

Mais j'ai d'autres modèles en zamac de série presse,

je m'avais réalisé toutes les 430 GTC de 2009 et 2010 des 24 Heures avec des bases presse (BBR trop chères) ....

Pour l'instant, pas de problème....

LMMC73 · 17 novembre 2023

Le 17/11/2023 à 15:14, christian82 a dit :

C'est prévu, c'est pour cela que j'ai décapé, mastiqué la n° 37, j'attends des produits pour faire un moule...., et je récupérerai les pièces plastique (châssis, sièges, roues, vitrage, feux..).

Si cela ne marche pas, j'ai encore la possibilité d'acheter un kit qui m'a été proposé...

Je pense que ce sont les seules de chez METRO que j'avais....

Mais j'ai d'autres modèles en zamac de série presse,

je m'avais réalisé toutes les 430 GTC de 2009 et 2010 des 24 Heures avec des bases presse (BBR trop chères) ....

Pour l'instant, pas de problème....

au pire, elles viennent d’être annoncées par Spark

https://www.grandprixmodels.com/search.aspx?selected=PT005,SC014,BR019,&order=orderByName&stock=showFP

christian82 · 18 novembre 2023

Le 17/11/2023 à 16:53, LMMC73 a dit :

au pire, elles viennent d’être annoncées par Spark

https://www.grandprixmodels.com/search.aspx?selected=PT005,SC014,BR019,&order=orderByName&stock=showFP

Oui, mais la n° 37 c'est celle avec un capot long, il n'y a pas la n° 38, la n° 65 c'est ok , et la n° 66 c'est Sebring.

Je pense que sous peu je serai fixé sur la suite ....

christian82 · 19 novembre 2023

Pour les 24 heures du Mans 2024, je suis à la recherche de 1 à 2 billets d'entrée enceinte générale pour la semaine.

J'ai le billet de camping, mais je n'ai pas eu le temps de prendre les entrées et l'ACO annonce qu'il n'y en a plus....

Si quelqu'un a un ou deux billets de plus où ne peux plus aller aux 24 heures, merci de m'envoyer un M.P, je suis prêt à les racheter ( à un prix raisonnable, les spéculateurs m'oublient).

Cette année, beaucoup de changement pour les anciens membres de l'ACO, très difficile (pour pas dire impossible) d'obtenir un billet dans la partie Houx, réseau saturé, et situation catastrophique pour ceux qui étaient sur place, devant l'ACO (attente de plusieurs heures , pour ne pas avoir les emplacements désirés...) !!!

On constate que l'ACO se fiche complètement de ceux qui l'ont soutenue lorsque cela ne marchait pas bien (années 90), et que la mentalité a changé profondément, laissant sur la touche beaucoup d'anciens membres qui désormais ne reviendront plus, préférant aller (pour ceux qui peuvent) à SPA, ou l'ambiance est meilleure et les fans sont respectés d'après leurs dires, et les autres dans leurs canapés devant leurs télés.

Quand l'endurance prend une mentalité de F1 (il n'y a que l'argent qui compte) , c'est la fin de la passion....

LMMC73 · 19 novembre 2023

Le 19/11/2023 à 01:15, christian82 a dit :

Pour les 24 heures du Mans 2024, je suis à la recherche de 1 à 2 billets d'entrée enceinte générale pour la semaine.

J'ai le billet de camping, mais je n'ai pas eu le temps de prendre les entrées et l'ACO annonce qu'il n'y en a plus....

Si quelqu'un a un ou deux billets de plus où ne peux plus aller aux 24 heures, merci de m'envoyer un M.P, je suis prêt à les racheter ( à un prix raisonnable, les spéculateurs m'oublient).

Cette année, beaucoup de changement pour les anciens membres de l'ACO, très difficile (pour pas dire impossible) d'obtenir un billet dans la partie Houx, réseau saturé, et situation catastrophique pour ceux qui étaient sur place, devant l'ACO (attente de plusieurs heures , pour ne pas avoir les emplacements désirés...) !!!

On constate que l'ACO se fiche complètement de ceux qui l'ont soutenue lorsque cela ne marchait pas bien (années 90), et que la mentalité a changé profondément, laissant sur la touche beaucoup d'anciens membres qui désormais ne reviendront plus, préférant aller (pour ceux qui peuvent) à SPA, ou l'ambiance est meilleure et les fans sont respectés d'après leurs dires, et les autres dans leurs canapés devant leurs télés.

Quand l'endurance prend une mentalité de F1 (il n'y a que l'argent qui compte) , c'est la fin de la passion....

ça c'est un bon coup de gueule ! tu as raison de le faire savoir.

christian82 · 19 novembre 2023

Le 19/11/2023 à 10:42, LMMC73 a dit :

ça c'est un bon coup de gueule ! tu as raison de le faire savoir.

Pas mal de personnes sont dans la même situation que moi .....

Des connaissances que j'avais qui sont d'anciens membres depuis des décennies, aucun n'a pu avoir un emplacement au Houx, où nous nous retrouvions habituellement.

Beaucoup ne viendront pas aux 24 heures 2024 (ils me l'ont dit), et certains ne renouvelleront pas leurs cartes de membres ACO en 2024.....

Mais Mr FILLON et les responsables de l'ACO s'en fichent royalement, nous le savons, quand on voit la considération qui nous est accordée...

Que représente une partie de mécontents, quand on voit l'affluence du centenaire et pour 2024,

Certains ont une tirelire à la place du cœur, ce qui n'est pas notre cas....

Et je ne parle même pas de ceux qui ont réussi à avoir plusieurs billets pour les revende à trois / quatre fois le prix.....sur divers sites....

J'ai un sentiment d'écœurement...

Bon, je retourne à mes miniatures pour l'instant ....

christian82 · 19 novembre 2023

Derniers montages.....

17/18 Juin 1939, 16ème édition des 24 Heures du Mans,

LAGONDA est une marque d'automobiles de luxe Britannique, fondée en 1906 par le scotto-américain Wilbur Gunn.

Son nom reprend celui d'une colonie des Shawnees, Lagonda, près de Springfielld dans l' Ohio, où est né le fondateur Wilbur Gunn (1859–1920).

En 1935, Lagonda remporte les 24 heures du Mans avec le modèle M45R, dit « Rapide », piloté par les Britanniques Hohnny Hindmarsh et Luis Fontés.

Cette année, deux LAGONDA V12 participent à la course.

La première qui porte le n° 5 est engagée par LAGONDA CARS Ltd, et est pilotée par Charles BRACKENBURY (3 participations) et Arthur DOBSON (1 participation).

(Copyright à qui de droit)

Elle est équipée d’un moteur V 12 de 4479 cm3 qui développe une puissance abaissée à 206 cv pour la course (origine 220cv).

Le 17 Juin, à 16h00, Mr Antoine De MONZIE (Ministre des Travaux Publics) donne le départ aux 42 engagés.

(Copyright à qui de droit)

Dans sa catégorie (3001 à 5000 cm³), la Lagonda n° 5 se bat contre une Bugatti 57 SC (n° 1), trois Talbot 26 SS (n° 3, 4 et 7), une Lagonda V12 (n° 6), une Talbot coupé lago (n° 8), deux Tlbot T 150 C (n°9 et 10) et huit Delahaye 135 S (n° 11, 12, 14, 15, 16, 18, 19, et 20).

Sur cette édition, beaucoup de records seront battus, en ârtie dû aux nouveaux alliages employés (aluminium), mais aussi au nouveau revêtement de la piste, plus roulant.

(Copyright à qui de droit)

La course se déroule sous une chaleur assez lourde, et la n° 5 passe la ligne d’arrivée à la 3^ème place, avec une moyenne de 135,560 km/h.

LAGONDA V 12 - 24 Heures du Mans 1939 - V 12 / 4479 cm3 - Concurrent : LAGONDA CARS LTD - Pilotes : Arthur DONSON / Charles BRACKENBURY - Class : 3ème - Miniature: Kit MCM (Christian GOUEL)

Modifié 19 novembre 2023 par christian82

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