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Motorisation, énergie, et environnement

Le topic des VHs électrique / hybride / Hydrogène et autres énergies


Invité §geg572mh
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Invité §geg572mh

Réseaux - 08/04/2013[h3]Assureurs et experts s'interrogent sur le véhicule électrique[/h3]

Les experts et les assureurs s'interrogent sur l'accidentologie du véhicule électrique et la procédure à suivre lorsque la batterie, propriété de Renault pour la Zoé, est touchée.

 

http://www.autoactu.com/assureurs-et-experts-s-interrogent-sur-le-vehicule-electrique.shtml

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Invité §geg572mh

[h1]Heuliez déposera le bilan par l'ARGUS[/h1][h2]Coup de grisou sur la filière électrique[/h2]

Sauvé de la faillite in extremis en 2010, Heuliez est à nouveau en grande difficulté. La direction a annoncé qu'elle allait déposer le bilan.

 

http://www.automobile-magazine.fr/var/automobile_magazine/storage/images/media/images/10_01_2013_mia_bluestar_20/1870746-1-fre-FR/10_01_2013_mia_bluestar_20_large.jpg

Heuliez ne sort pas de la tourmente. En difficulté depuis 2006, l'équipementier automobile des Deux-Sèvres a brièvement sorti la tête de l'eau en 2010, aidé par des fonds publics et un morcellement en deux parties.

Aujourd'hui, le groupe est à nouveau en cessation de paiement et 300 salariés risquent de perdre leur emploi.

La direction a fait part de son intention de déposer le bilan, pour la troisième fois depuis 2006.

Les principales raisons : les commandes de pièces fabriquées pour le compte de grands constructeurs sont insuffisantes, et la branche Mia Electric, séparée juridiquement du groupe Heuliez depuis 2010, mais alimentée par des pièces et composants fabriqués par ce dernier, est loin de remplir ses objectifs.

En conséquence, le propriétaire d'Heuliez, le groupe Baelen Gaillard Industrie, ne peut plus faire face au trou dans la trésorerie.

Des pourparlers avec des industriels pouvant reprendre Heuliez seraient en cours.

En attendant, le groupe devrait être placé en redressement judiciaire.

Cette crise met une nouvelle fois en lumière la faiblesse du secteur, l'automobile électrique n'étant visiblement pas compétitive . Par conséquent, les petits acteurs de la filière risquent la disparition (par ailleurs, l'américain Fisker , spécialiste des hybrides rechargeables, vient de limoger les trois quarts de ses effectifs), tandis que les gros essuient des échecs commerciaux et réduisent fortement la voilure des projets électriques.

Publié le 08/04/2013

Auteur : Guntram Fiala

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C'est un fait.

 

Airparif donne chaque jour la carte de l'Ile de France avec les taux des différents polluants.

 

Le 12 mars dernier, la région est paralysée par la neige et la circulation automobile est fortement réduite. Les taux de particules sont faibles malgré une forte utilisation du chauffage :

 

Mardi 12 mars particules.jpg

Hier, 7 avril, la circulation automobile a repris normalement et le taux maximum est largement dépassé :

 

Dimanche 7 avril particules.jpg

jap.gif

 

Très intéressant !

 

En concernant la mesure de NO², ça donnait quoi ?

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Invité §ebi210kH

Réseaux - 08/04/2013[h3]Assureurs et experts s'interrogent sur le véhicule électrique[/h3]

Les experts et les assureurs s'interrogent sur l'accidentologie du véhicule électrique et la procédure à suivre lorsque la batterie, propriété de Renault pour la Zoé, est touchée.

 

http://www.autoactu.com/assureurs-et-experts-s-interrogent-sur-le-vehicule-electrique.shtml

 

 

Le cas "voiture réparable" + batterie touchée est certes possible mais vu la position de la batterie (en dessous et au milieu), il faut quand même défoncer beaucoup de choses pour endommager la batterie.

 

Par contre il y a plus de chances d'avoir voiture irréparable et batterie en état correct, dans ce cas-là c'est tout bénéf. pour l'assureur si c'est un VE en pleine propriété car l'épave est valorisable pour une forte somme, ou pour Renault si c'est une batterie en loc.

 

Pour l'accidentologie et les primes d'assurance, il faut aussi considérer que les VE ne peuvent pas circuler 30 000 km/an et dépassent rarement 100/110 km/h car la vitesse tue l'autonomie de manière importante. Deux facteurs qui peuvent réduire l'accidentologie et la gravité des dégâts.

 

Côté prime je paye la même chose pour une ION et pour une 307 essence toutes deux assurées à la Maif avec le même bonus.

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Invité §geg572mh

[h1]Débat national : la transition énergétique sera-t-elle décroissante ?[/h1]

L'Union française de l'électricité estime que le DNTE adopte une posture décroissante. Les documents obtenus par Actu-environnement sont plus nuancés mais ils confirment que la trajectoire idéale n'est pas la plus favorable à l'électricité.

http://www.actu-environnement.com/ae/news/polemique-ufe-negawatt-decroissance-debat-national-transition-enenrgetique-scenarios-18229.php4#xtor=ES-6

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Invité §E25322Sh

Toujours aucune ZOÉ sur les routes du département 04!...

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Invité §geg572mh

SERVICES

Par Hervé Daigueperce, le 11/04/2013

[h1]L’HYBRIDE, POUR LE MEILLEUR OU POUR LE PIRE ?[/h1]

 

par Denis Férault, directeur d’Arval Consulting.

 

http://www.journalauto.com/var/docs/media_lja/articles_img/art-16708-detail.jpg

Denis Férault, directeur d’Arval Consulting

Un succès grandissant

 

Les véhicules hybrides connaissent un succès grandissant, surtout dans les entreprises, où les immatriculations ont quasiment doublé entre 2011 et 2012 (près de 27 000 unités immatriculées pour les sociétés françaises l’an dernier selon le CCFA). Même si la part des hybrides en entreprise ne représente que de 2 % des véhicules en flotte, la tendance s’accélère.

 

Parlons donc de technologie : un véhicule hybride possède deux sources d’énergie pour avancer : un moteur thermique et un moteur électrique.

 

- Dans le cas de l’hybride “classique” - ou Full Hybrid, le véhicule peut être entraîné par l’un et/ou l’autre des deux moteurs, la recharge du moteur électrique étant assurée par la récupération d’une partie de l’énergie générée par le moteur thermique.

 

- L’hybride rechargeable – ou plug-in hybrid – se recharge en plus directement sur le secteur électrique (borne ou prise de courant) profitant d’une énergie supplémentaire bon marché et sans rejets polluants.

 

Saviez-vous que 30 à 35 % seulement du carburant sont convertis en énergie motrice ? Le reste alimente les accessoires, se disperse en énergie thermique, en frottement, échauffe les freins… Le défi technique de l’hybridation consiste donc à gérer au plus juste et en continu les transferts d’énergie entre deux moteurs, quatre roues et une batterie. Cette technologie est maitrisée et robuste.

 

Un choix économiquement viable

 

Si la seule comparaison des prix d’achat entre un modèle hybride et son équivalent thermique pourrait sembler défavorable à l’hybride (jusqu’à + 25 % d’écart), ce raisonnement est pris en défaut lorsque, comme la majorité des entreprises, on raisonne en TCO (coût total de possession). En effet, si l’on inclut les bonus écologiques appliqués sur les véhicules à faible émission de CO2 (Au 1er janvier 2013 : 5 000 € pour un hybride rechargeable annoncé à moins de 50 g de CO2/km, 550 € pour un hybride Diesel de 88 g/km), le TCO d’un véhicule hybride est comparable à celui d’un véhicule thermique. Il en est de même pour la taxe annuelle sur les véhicules de société (TVS) : exonération permanente pour les hybrides rechargeables, exonération sur les 8 premiers trimestres à la route pour les hybrides classiques.

 

Le tableau suivant présente le détail du TCO de deux véhicules (un petit monospace et une berline compacte) représentatifs de la demande des entreprises. Le TCO du véhicule hybride est comparable au TCO du véhicule Diesel équivalent. Or, le véhicule hybride offre un cumul de puissance pouvant aller jusqu’à 25 % supplémentaire lorsque les 2 moteurs alimentent simultanément la chaine de traction, et un plus grand confort d’utilisation (absence de bruit de moteur, accélérations douces, conduite apaisée).

 

Du bon usage des véhicules hybrides

 

Une technologie maitrisée, une fiscalité avantageuse, un TCO favorable semblent être les clés du succès de l’hybride.

Alors pourquoi voit-on des entreprises remettre en cause leur choix de véhicule hybride, après une période d’utilisation significative ?

 

Une entreprise peut choisir l’hybride uniquement pour véhiculer une image socialement responsable. Cependant, elle occultera la réalité de tous les jours, ne tenant pas compte de deux des principaux paramètres qui impactent directement la performance du véhicule hybride : le type de parcours et le style de conduite. Ces deux facteurs sont intimement liés à l’utilisation quotidienne du véhicule par le collaborateur.

 

Si la politique de l’entreprise est uniquement centrée sur la communication environnementale, sans programme de sensibilisation et d’amélioration des comportements des utilisateurs (conduite éco-responsable, préventions du risque routier…) les risques de désillusion seront élevés.

En effet, les coûts de carburant réels seront bien supérieurs à ceux constatés sur les véhicules remplacés, eux même plus élevés que les références constructeurs prises en compte lors du calcul TCO.

 

Il ne suffit donc pas de bien choisir son véhicule en fonction de paramètres économiques et environnementaux, il faut aussi tenir compte des profils d’utilisation des collaborateurs, pour qu’une bonne décision ne se transforme pas en une mauvaise surprise.

 

[h3]FICHIER LIÉ À L'ARTICLE[/h3]

 

 

Cet Article est extrait de

http://www.journalauto.com/app/lja/pix/logo-lja-article.gif

Pour le découvrir, cliquez ici

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Toujours aucune ZOÉ sur les routes du département 04!...

C'est normal même un best-seller comme la Clio qui peut se vendre jusqu’à 10 000 exemplaires par mois en France, il faut plusieurs mois pour qu'on commence a en voir régulièrement, la Zoe ca ne fait même pas un mois qu'elle est commercialisée et c'est vendues jusqu'à lors a un peu plus de 1000 exemplaires a ce rythme il faudra un ans pour commencer a en voir régulièrement, et encore pas très fréquemment.

Pour donner un ordre d'idée il y a peu prés 8 0000 Renault Avantime en circulation en France, et on en voit pas souvent.

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Invité §geg572mh

12/03 /2013 | Mise à jour : 18:07 / Journal de l'Auto /[h1]Les propriétaires de véhicules hybrides rechargent peu sur la voie publique, selon une étude[/h1]

 

Les bornes de recharge électrique sur la voie publique sont peu utilisées par les propriétaires de véhicules hybrides: c'est l'une des conclusions d'une étude menée depuis trois ans dans l'agglomération strasbourgeoise par EDF et Toyota et présentée jeudi lors d'un point presse.

"D'après notre étude, les propriétaires de véhicules hybrides rechargent très majoritairement à leur domicile ou au travail, ils utilisent très peu les bornes de recharges présentes sur la voie publique" a déclaré Michel Couture, directeur de la Mobilité Electrique chez EDF.

Ils sont 60% à recharger leur véhicule à domicile.

Pour autant, M. Couture précise qu'il n'est nullement envisagé d'en limiter le déploiement, car "les utilisateurs souhaitent la présence de bornes sur la voie publique, par sécurité".

L'étude strasbourgeoise fait partie d'une étude plus large, menée au niveau mondial par Toyota afin de mieux définir les usages des utilisateurs de véhicules hybrides au quotidien.

Dans ce but, 400 véhicules ont été mis à disposition par le constructeur dans le monde, dont 70 à Strasbourg, seule ville française à participer à l'opération.

L'agglomération strasbourgeoise, en pointe dans ce domaine, compte 145 bornes de recharges électriques sur son territoire.

Un nouveau programme de bornes franco-allemandes à charge rapide vient d'y être lancé.

EDF

TOYOTA MOTOR

© 2013 AFP

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Invité §Yog224lq

Grenoble : l'autopartage carbure au gaz

http://www.20minutes.fr/grenob [...] arbure-gaz

 

Les 2 stations GNV de Grenoble se portent bien.

Inauguration officielle de la 1ère voiture Citélib' au GNV. Il est prévu que d'autres suivent.

La régie GEG reste ouverte au VP (allemands et italiens, vu que les autres importateurs/constructeurs ne font rien sur ce créneau)

Etc.

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Invité §geg572mh

[h3]Toyota-Lexus a vendu 20% d’hybrides en Europe au premier trimestre[/h3]

Les ventes de modèles hybrides ont représenté 20 % des ventes de Toyota Europe ce trimestre. La version hybride de l’Auris assure même 57% de son mix.

http://www.autoactu.com/toyota [...] stre.shtml

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Invité §geg572mh

Toyota livre les résultats de son expérimentation strasbourgeoise menée sur la Prius rechargeable. Les bénéfices en consommation atteindraient 46%.http://www.cartech.fr/i/edit/2013/04/39789326/620x465/toyota-prius-rechargeable.jpg

Le lancement de la Prius rechargeable a été mené avec précaution et prudence. Toyota a en effet bien pris conscience que ce genre de véhicule – nécessitant une recharge sur une prise secteur – impliquait des changements importants.

Pour les automobilistes, de nouvelles habitudes doivent être prises et du côté des fournisseurs d'électricité comme des collectivités locales, un accompagnement doit être mené pour développer l'infrastructure de recharge.

 

Toyota a ainsi mené dans l'agglomération strasbourgeoise, pendant trois ans, une expérimentation sur une flotte de 70 Prius rechargeables. Avec le concours de la ville et de la communauté urbaine et d'EDF, le constructeur a suivi de près les déplacements et habitudes de ces 70 cobayes, particuliers ou professionnels.

Le projet terminé, il livre maintenant ses enseignements.

Premier constat, les utilisateurs jouent le jeu et cherchent à rouler le plus souvent en mode électrique, c'est-à-dire qu'ils s'organisent pour recharger leur voiture avant chaque trajet. On observe ainsi une fréquence de 1,1 recharge par jour sur ce véhicule (il s'agissait de prototypes) pouvant parcourir 20 km en mode électrique. Ce qui a permis de déboucher sur une économie moyenne en carburant de 46%, comparé à un véhicule thermique équivalent. Pour certains, ce gain a atteint 70% grâce à une moyenne de 1,6 recharge par jour.

 

Sans surprise, l'expérimentation montre que les recharges sur la voies publique sont très rares (3% de cas), malgré les 112 bornes déployées dans l'agglomération. Voilà un résultat qui tord le cou au problème de la poule et de l'oeuf souvent avancé dans le déploiement de véhicules électrifiés. Le déploiement d'un réseau de recharge n'est visiblement pas la condition nécessaire au succès de ces véhicules même si « les bornes en voirie constituent un complément de charge apprécié par les utilisateurs », selon Toyota. Les utilisateurs ont privilégié la recharge sur le lieu de travail (60%) et au domicile (37%).

 

Cette expérimentation a aussi permis à Toyota d'ajuster le véhicule en fonction des attentes et des usages des participants. Ainsi, le modèle de série bénéficie d'une meilleure autonomie (25 km), d'un coffre légèrement plus important (+10% de volume) et d'une fonction de désactivation du mode électrique pour conserver la charge de la batterie.

 

Depuis sa commercialisation début 2012, la Prius rechargeable – dont le surcoût est quand même de 6.000 euros comparé à la Prius classique - s'est vendue à plus de 31.000 exemplaires, dont 4.400 en Europe.

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Invité §geg572mh

[h1]Le tout terrain de loisir de la ligne Citroën DS aura un moteur hybride rechargeable[/h1]

Publié le 12/04/2013 via le CCFA

http://www.ccfa.fr/IMG/arton121268.jpg?1365759659

En avant-première du Salon de Shanghaï, Citroën a présenté la voiture concept Wild Rubis, qui préfigure le tout terrain de loisir de la ligne DS. Longue de 4,7 m, avec un empattement de 2,9 m, la Wild Rubis est équipée d’une technologie « Full-hybrid Plug-in » (hybride rechargeable) qui, lors de sa commercialisation sur le marché chinois, sera associée à une motorisation essence. (FIGARO 12/4/13)

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Invité §Ess650sw

Oui, en dehors de France et d'Europe, Citroën ne peut proposer que de l'hybride Essence ...

.

Chez nous les enfants sont élevés à la dure, il faut qu'ils souffrent, il faut qu'ils morflent.

.

Le Diesel français est fait pour eux !

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Invité §bre534wO

Si les constructeurs français avaient fait le même pari que toyota y'a 10 ans... On serait tous en hybrides essences Françaises à l'heure actuelle.

 

Objectifs Toyota Auris 2013 en France:

70% en Hybride

27% en Diesel

3% en Essence

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Invité §car351Su

En même temps un pari reste risqué... renault à vu mieux en pariant sur l'électrique et s'est planté...

 

 

et tous le monde n'a pas les mêmes moyens que toyota en cas de plantage.

 

ceci dit, maintenant que le créneau est lancé, il ne reste qu'à suivre

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Renault s'est planté sur l'électrique! première nouvelle, il y a moins d'un mois que la Zoe est commercialisée, et on sait déjà que c'est un echec :??:

Quand a Toyota, si ils ont réussi leur pari sur l'hybride, c'est justement parce qu'ils l'ont lancé sur des marchés ou il n'y a pas de diesel (et ou les français sont absent USA, Japon), s'ils avaient du compter uniquement sur l’Europe, ca aurait été un gros bide.

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Invité §geg572mh

CONSTRUCTEURS

Par Alexandre Guillet, le 11/04/2013

[h1]RENAULT ZOÉ, SI LOIN SI PROCHE…[/h1]

A l’issue d’un long teasing, la Zoé entre enfin en phase de commercialisation. Si le véhicule se révèle bien-né, et même séduisant à bien des égards, cela ne saurait lever tous les doutes qui cernent un marché encore bien embryonnaire. Revue de détails.

http://www.journalauto.com/var/docs/media_lja/articles_img/art-16685-detail.jpg

“The One”. Ainsi pourrait-on appeler la Zoé tant elle apparaît comme la première “vraie” voiture électrique, tout à la fois urbaine de vocation, ce qui n’est pas une limite entendons-nous bien, et financièrement accessible à un large public. Bref, loin des super-cars, des modèles thermiques électrifiés, des voiturettes, et même d’une Nissan Leaf qui évolue sur un autre segment et s’adresse à d’autres budgets. Dès le Mondial de Paris, la Zoé en livrée de série avait séduit par son style, ce qui marquait une rupture dans le champ de l’électrique, souvent desservi par de grossiers gribouillages. Le design extérieur joue une partition très fluide et harmonieuse, Agneta Dahlgren et ses équipes ayant su éviter le double écueil de l’outrance “bio-hippie” ou “ovni” (voir JA n° 1169). A l’intérieur, l’atmosphère décline posément les notions d’aération et de pureté quand l’habitabilité est de fort bon aloi, y compris à l’arrière. La console R-Link et son prolongement riche en applications assurent au véhicule un bon niveau de connectivité, même si le simple guidage et les commandes vocales restent perfectibles.

 

Design, agrément de conduite, autonomie : le compte est bon

 

Au chapitre de l’agrément de conduite, la Zoé reprend naturellement à son compte toutes les caractéristiques du véhicule électrique : accélération très franche, freinage très progressif, implacable silence. Par rapport à ce dernier point, les équipes de Renault ont de surcroît réussi à limiter les bruits aérodynamiques et dits de “mobilier”. En somme, la Zoé se meut dans un esprit zen, heureusement non dénué pour autant d’une pointe d’espièglerie, à la ville comme sur autoroute, où elle soutient le 120-130 km/h sans que cela ne relève de la voltige. On peut toutefois lui reprocher d’être un peu raide, ce que ne démentent pas les ingénieurs du losange, expliquant que le train arrière est issu de la famille VUL. L’enjeu de l’autonomie ayant la tête dure, débordant toujours le cadre statistique rationnel, Renault annonce 150 km, une valeur vérifiée sur les routes portugaises, même avec une conduite un brin décomplexée. En mode éco-conduite, on peut encore gagner aisément plus de 15 % d’autonomie, mais comme le glisse un ingénieur : “ça, ce n’est pas une innovation de Renault !”.

 

Comme un câble sur la soupe…

 

Autre enjeu névralgique, la recharge. Et là, les choses se compliquent un peu… Renault mise principalement sur la wall-box et le chargeur Caméléon, en arguant que la charge s’opère majoritairement au travail ou au domicile. Très vraisemblablement juste, mais un peu court… En effet, la Zoé se coupe ainsi d’une immense partie des points de charge publics, déjà denrée rare, et des prises domestiques. Déjà fragile, le véhicule électrique n’avait nul besoin de ce handicap. La direction de Renault le reconnaît d’ailleurs à mi-mots, en affirmant travailler sur un câble plus “universel”, sans avoir pour l’heure trouvé une solution satisfaisante… En continuant d’égrener les sujets susceptibles de fâcher, un détour par le prix. Renault tient ses engagements avec un ticket d’entrée à partir de 13 700 euros, auquel il faut ajouter la location des batteries (à partir de 79 euros/mois) et la wall-box (entre 1 200 euros et beaucoup plus selon l’état de l’installation électrique concernée). Pas donné, mais pas rédhibitoire non plus. En revanche, si on ôte l’aide d’Etat de 7 000 euros, le modèle se retrouve derechef hors marché…

 

Un marché encore fantôme

Enfin, la grande inconnue, le marché…

Encore embryonnaire, même chez les flottes, peut-il décoller ?

Renault table sur 10 000 à 20 000 ventes de Zoé en Europe à un horizon 3-4 ans.

A la fois peu et flou…

Loin de toute volonté d’amener quiconque à résipiscence, on peut se demander si la stratégie de Carlos Ghosn était la bonne.

L’électrification des véhicules est le sens de l’histoire, mais une bonne stratégie se caractérise aussi par un bon timing.

Carlos Ghosn eut la révélation de l’électrique en 2007 à Davos, annonçant en 2009 20 000 à 40 000 ventes en France dès 2011.

Le gouvernement tablait lui sur 100 000 ventes toutes marques confondues en 2012.

Las, 24 853 VE ont été écoulés en Europe l’an passé.

Seuls l’Allemagne, la France et la Norvège culminent au-delà de 1 600 unités.

La promesse Portugal s’est même immolée à 81 unités…

De plus, l’argumentaire de Carlos Ghosn reposait aussi sur une explosion du prix du baril et des prix à la pompe.

Or, Vincent Renard, du CNRS, et Yves Crozet, économiste, démontrent chiffres à l’appui que si le prix facial des carburants a progressé, l’impact de ce poste est stable dans le budget des ménages, à 3,7 % du revenu depuis 20 ans.

Enfin, le déploiement des infrastructures s’accélère, mais toujours en patinant. Du coup, on peut se demander si Zoé, voiture bien née et pourtant lancée en retard, n’arrive pas trop tôt sur le marché…

 

[h3]FICHIER LIÉ À L'ARTICLE[/h3]

 

Cet Article est extrait de

http://www.journalauto.com/app/lja/pix/logo-lja-article.gif

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Voiture électrique : l'heure de vérité

 

Le lancement de la Renault ZOE en mars 2013 représente sans nul doute une étape clé du développement de l'automobile vers l'électrique, comme la Prius l'a été en 1997 pour l'hybride.

 

Les pessimistes sur l'avenir de la voiture électrique (journaux économiques sérieux de préférence) ont souvent eu comme seule boussole une extrapolation des (faibles) ventes passées pour justifier l'anticipation d'un échec futur. En effet quelques milliers d'unités sur un marché de presque 2 millions, c'est effectivement anecdotique...

 

L'erreur d'analyse, si elle est avérée, réside dans le fait de pas percevoir le point de basculement présent, symbolisé par la Renault ZOE qui propose enfin une alternative crédible, tant au niveau du prix que des performances.

 

Certes, la ZOE qui ne dépasse toujours pas 200 km d'autonomie en usage réel (150 km annoncés), n'est pas un véhicule pour faire de l'autoroute et nécessite la pose d'une borne (ce qui au passage est une bonne chose pour la sécurité). Les acquéreurs se limiteront donc dans un premier temps à des particuliers habitant en maison individuelle (et en seconde voiture) ou à des flottes d'entreprise.

 

Mais avant tout, ce véhicule qui est destiné à un public large, avec un coût d'acquisition et d'usage similaire à une Clio, est bien fini, agréable à conduire et pour tout dire réussi. Il faudra aussi que la fiabilité attendue de la traction électrique soit effectivement au rendez-vous. La ZOE est aussi le premier modèle à utiliser une pompe à chaleur pour le chauffage, ce qui élimine en grande partie l'énorme défaut qui consistait à faire perdre entre un tiers et la moitié de son autonomie à un véhicule électrique en hiver.

 

On a donc peut-être enfin le bon produit au bon moment : carburants durablement chers, mécaniques de véhicules thermiques de plus en plus fragiles, considérations environnementales... Il sera alimenté avec de l'électricité principalement produite localement, certes majoritairement nucléaire dans un premier temps si on considère le mix énergétique actuel en France. Néanmoins, si on se projette à 10 ou 15 ans, le véhicule électrique permettra de faciliter l'intégration des énergies renouvelables de par ses capacités de stockage / injection d'énergie sur le réseau (smartgrid / V2Grid), ou à domicile (V2Home).

 

Renault n'est pas seul sur ce marché, d'autres véhicules électriques performants arrivant sur le marché : Nissan Leaf phase 2, BMW i3 (fin d'année), Smart électrique... sans parler de la Tesla S pour les plus fortunés d'entre nous.

 

Le chiffre des ventes de véhicules électriques pourrait donc ne pas être déterminé par interpolation linéaire.

 

Pour information :

 

Ventes VP 2011 : 2360 unités.

 

Ventes VP 2012 : 5663 unités.

 

Ventes VP 2013 : les paris sont ouverts.

 

Rendez-vous en janvier 2014 pour faire le point.

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Invité §car351Su

Renault s'est planté sur l'électrique! première nouvelle, il y a moins d'un mois que la Zoe est commercialisée, et on sait déjà que c'est un echec :??:

Quand a Toyota, si ils ont réussi leur pari sur l'hybride, c'est justement parce qu'ils l'ont lancé sur des marchés ou il n'y a pas de diesel (et ou les français sont absent USA, Japon), s'ils avaient du compter uniquement sur l’Europe, ca aurait été un gros bide.

 

 

t'es quand même au courant que la gamme ZE a commencé bien avant avec la Tweezy, la fluence, le kangoo ?

 

sinon d'un point de vue général, je parlais du fait que pour le moment le choix de l'hybride est plus payant que celui de l'électrique.

 

pour la dernière phrase je suis à peu près d'accord. D'ailleurs le plus gros concurrent en hybrides est PSA, avec des... diesels.

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Invité §Sol751DF

Si les constructeurs français avaient fait le même pari que toyota y'a 10 ans... On serait tous en hybrides essences Françaises à l'heure actuelle.

 

Objectifs Toyota Auris 2013 en France:

70% en Hybride

27% en Diesel

3% en Essence

 

Et dire qu'on n'est pas passé loin http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/pfff.gif

http://www.planeterenault.com/1-gamme/9-concept-cars/86-next-95/

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Invité §Sol751DF

 

t'es quand même au courant que la gamme ZE a commencé bien avant avec la Tweezy, la fluence, le kangoo ?

 

Que des véhicules pas adaptés au marché français, sauf peut-être le Kangoo pour les entreprises, qui semble plutôt bien se développer.

Le Twizy ne peut marcher que sur la cote d'Azur et dans les pays chaud de l'Europe (ça tombe bien, ils n'ont plus les moyens de s'acheter des vraies voitures cyp.gif )

Quant à la Fluence, il n'y a qu'a voir les ventes générales du segment auquel elle appartient pour comprendre qu'elle n'a pas été développée pour nous.

 

Mon concessionnaire Renault me disait avoir plus de visite pour des Zoe actuellement que pour des Clio...

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Invité §car351Su

Que des véhicules pas adaptés au marché français, sauf peut-être le Kangoo pour les entreprises, qui semble plutôt bien se développer.

Le Twizy ne peut marcher que sur la cote d'Azur et dans les pays chaud de l'Europe (ça tombe bien, ils n'ont plus les moyens de s'acheter des vraies voitures cyp.gif )

Quant à la Fluence, il n'y a qu'a voir les ventes générales du segment auquel elle appartient pour comprendre qu'elle n'a pas été développée pour nous.

 

Mon concessionnaire Renault me disait avoir plus de visite pour des Zoe actuellement que pour des Clio...

 

cool, un constructeur français pas fichu de faire des véhicules adaptés à son pays sur les 3/4 de sa gamme :D

de toutes façons aucun véhicule électrique n'est et ne sera aussi polyvalent qu'un hybride tant que l'autonomie ne sera pas meilleure et restera donc soit un véhicule unique en zones urbaines mais le plus souvent le second véhicule du foyer, donc avec des ventes potentiellement plus faibles.

on en reparle dans un an... et on verra si les nombreuses visites se sont concrétisées en nombreuses ventes.

 

pour moi ça reste un pari très risqué car Renault s'est lancé dans un marché pas mûr (même l'hybride a mis de nombreuses années à éclore), mal estimé avec des produits trop chers.

 

la seule issue est une hausse importante du prix du carburant pour pouvoir récupérer des ventes.

 

mais bon, oublions mes dernières phrases et revenons aux propos auxquels je répondais : je disais que le pari de renault était raté, si les 3/4 de sa gamme ze ne correspondent pas au marché français et que pour le seul modèle qui le soit nous n'avons pas de recul, je peux me permettre de le dire. CQFD

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t'es quand même au courant que la gamme ZE a commencé bien avant avec la Tweed, la fluence, le kangoo ?

 

sinon d'un point de vue général, je parlais du fait que pour le moment le choix de l'hybride est plus payant que celui de l'électrique.

 

pour la dernière phrase je suis à peu près d'accord. D'ailleurs le plus gros concurrent en hybrides est PSA, avec des... diesels.

Je veux juste dire qu'il est beaucoup trop tôt pour juger, Twizy, Fluence, kangoo , sont des amuses bouches, sauf peut être le Kangoo, qui a sa place auprès des professionnels, et qui se vend assez bien. le Twizy est un véhicule de niche, et donc se vend comme tel et 9 000 exemplaires écoulés en 2012 c'est pas si mal. la Fluence a été faites pour répondre a la demande de Better place, son succès dépend de la réussite de Better Place, et si pour l'instant ce n'est pas très bien engagé, ce n'est peut être pas mort pour autant RSS Voitures électriques : faut-il croire en Better Place ?

Donc laissons le temps au temps aujourd'hui ont en est qu'au balbutiement, dans trois ans je vous dirais si Renault a bien fait d'investir dans l’électrique, si on avait jugé le succès de la Prius au bout de deux ans, on aurait dit que c'est un échec puisqu'elle s’était vendue a moins de 15 000 exemplaires, la Leaf 50 000 sur la même durée.

Pour Renault les choses sérieuses commences avec la Zoe, et je ne suis pas sur qu'elle se vendra moins bien que le hybride PSA, d'ailleurs je ne suis pas sur que PSA vendent actuellement beaucoup plus d'hybrides que Renault ne vend d'électrique.

La Next etait un proto intéressant mais très loin de la commercialisation, notament a cause des batteries inadaptés, il aurait fallut encore investir énormément, pour un retour sur investissent incertains. Je rappelle que Toyota a mis prés de dix ans avant de gagner de l'argent avec la Prius et encore uniquement grace a sa présence aux USA et au Japon. Renault a l’époque n'avait pas les riens aussi solide que Toyota et pas sur qu'il aurait put supporter le choc (pas sur d'ailleurs qu'un autre constructeur que Toyota aurait put le supporter) surtout que Renault venait d'injecter 10 milliard d'euros dans Nissan et avait d'autre priorité comme celle de redresser Nissan au plus vite.

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Invité §car351Su

Je veux juste dire qu'il est beaucoup trop tôt pour juger, Twizy, Fluence, kangoo , sont des amuses bouches, sauf peut être le Kangoo, qui a sa place auprès des professionnels, et qui se vend assez bien. le Twizy est un véhicule de niche, et donc se vend comme tel et 9 000 exemplaires écoulés en 2012 c'est pas si mal. la Fluence a été faites pour répondre a la demande de Better place, son succès dépend de la réussite de Better Place, et si pour l'instant ce n'est pas très bien engagé, ce n'est peut être pas mort pour autant RSS Voitures électriques : faut-il croire en Better Place ?

Donc laissons le temps au temps aujourd'hui ont en est qu'au balbutiement, dans trois ans je vous dirais si Renault a bien fait d'investir dans l’électrique, si on avait jugé le succès de la Prius au bout de deux ans, on aurait dit que c'est un échec puisqu'elle s’était vendue a moins de 15 000 exemplaires, la Leaf 50 000 sur la même durée.

Pour Renault les choses sérieuses commences avec la Zoe, et je ne suis pas sur qu'elle se vendra moins bien que le hybride PSA, d'ailleurs je ne suis pas sur que PSA vendent actuellement beaucoup plus d'hybrides que Renault ne vend d'électrique.

La Next etait un proto intéressant mais très loin de la commercialisation, notament a cause des batteries inadaptés, il aurait fallut encore investir énormément, pour un retour sur investissent incertains. Je rappelle que Toyota a mis prés de dix ans avant de gagner de l'argent avec la Prius et encore uniquement grace a sa présence aux USA et au Japon. Renault a l’époque n'avait pas les riens aussi solide que Toyota et pas sur qu'il aurait put supporter le choc (pas sur d'ailleurs qu'un autre constructeur que Toyota aurait put le supporter) surtout que Renault venait d'injecter 10 milliard d'euros dans Nissan et avait d'autre priorité comme celle de redresser Nissan au plus vite.

 

 

Certes il faut laisser du temps au temps. Ceci dit on peut admettre que ceux qui ont cru que la vague de l'électrique allait tout emporter se sont fourré le doigt dans l'oeil.

Sur le papier ça semblait gagné mais il reste encore du boulot.

 

Je recentre de nouveau le débat sur le post de départ :

 

"Si les constructeurs français avaient fait le même pari que toyota y'a 10 ans... On serait tous en hybrides essences Françaises à l'heure actuelle.

 

Objectifs Toyota Auris 2013 en France:

70% en Hybride

27% en Diesel

3% en Essence"

 

 

et ma réponse :

 

"En même temps un pari reste risqué... renault à vu mieux en pariant sur l'électrique et s'est planté...

 

 

et tous le monde n'a pas les mêmes moyens que toyota en cas de plantage.

 

ceci dit, maintenant que le créneau est lancé, il ne reste qu'à suivre"

 

 

 

C'est pour cela que je dis que les paris sont risqués, pas toujours gagnants et comme il a été dit, l'hybride n'aurait surement pas percé si facilement dans notre pays.

 

L'électrique sera peut être le gagnant final... ou pas. Du reste, pour ma part l'hybride n'est pas non plus une réussite insolente pour le moment. Rien n'est perdu pour les autres constructeurs.

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Invité §Sol751DF

L'hybride n'est peut être pas une réussite insolente, mais permet je pense à Toyota de vivre assez grassement.

De même, la pierre angulaire de la stratégie de Renault sur l'électrique est la Zoe.

On ne peut pas dire après 1 mois de commercialisation si c'est un succès ou un échec.

 

Reprend les chiffres de l'Espace les premiers mois de sa commercialisation, et la part que tient les ventes de monospaces aujourd'hui dans la gamme Renault...

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Invité §car351Su

L'hybride n'est peut être pas une réussite insolente, mais permet je pense à Toyota de vivre assez grassement.

De même, la pierre angulaire de la stratégie de Renault sur l'électrique est la Zoe.

On ne peut pas dire après 1 mois de commercialisation si c'est un succès ou un échec.

 

Reprend les chiffres de l'Espace les premiers mois de sa commercialisation, et la part que tient les ventes de monospaces aujourd'hui dans la gamme Renault...

 

 

ce serait en effet pas mal après 16 ans...

 

je veux bien admettre qu'ils faut laisser du temps, je veux bien admettre que les démarrages sont difficiles mais franchement :

 

http://blog.motorlegend.com/mo [...] du-la-foi/

 

http://www.autodeclics.com/eco [...] antes.html

 

et pleins d'autres articles prouvent qu'on est loin du compte

 

Mais bon , mon but n'est pas de faire le procès de la voiture électrique, je n'ai rien contre elle. Mais ne me dites pas que renault ne s'est pas planté avec la voiture électrique qui à ce jour lui à couté de l'argent et n'est pas prête pour le moment de lui en rapporter, mais qui peut être lui permettra de faire la différence dans le futur ?

 

 

Sinon, je le répète et ça devient lourd, revenons au post de départ :

 

"Si les constructeurs français avaient fait le même pari que toyota y'a 10 ans... On serait tous en hybrides essences Françaises à l'heure actuelle.

 

Objectifs Toyota Auris 2013 en France:

70% en Hybride

27% en Diesel

3% en Essence"

 

 

et ma réponse :

 

"En même temps un pari reste risqué... renault à vu mieux en pariant sur l'électrique et s'est planté...

 

 

et tous le monde n'a pas les mêmes moyens que toyota en cas de plantage.

 

ceci dit, maintenant que le créneau est lancé, il ne reste qu'à suivre"

 

 

Donc je récapitule :

 

- ou je me plante en disant que le pari était risqué pour toyota, puisque les ventes ne décollent finalement qu'après 15 ans de commercialisation, et qu'en terme industriel c'est trop long à assumer sauf pour un groupe très rentable ?

- ou je me plante en disant que pour les constructeurs francais la stratégie de suiveur plutot que de leader n'était pas un mauvais choix ?

 

parce que si vous répondez sur des bouts de phrases en oubliant le sens de mon propos on ne va pas se comprendre.

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Invité §Yog224lq

"le Twizy est un véhicule de niche"

C'est la niche des BMW C1 et Piaggio MP3. Grosse niche, sur laquelle Toyota cherche aussi à prendre la main avec son i-road.

http://www.lemonde.fr/mobilite [...] 53095.html

C'est pas déconnant du tout de chercher à attaquer cette niche en électrique. Une caresse égotique dans le sens de la puissance à la roue, une caresse image publique dans le sens "je sauve la planète" (pollution atmosphérique, CO2).

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Invité §geg572mh

[h1]L’Etat maintient son plan de soutien aux véhicules électriques[/h1]

Publié le 16/04/2013

 

Si l’objectif initial d’atteindre un parc de 2 millions de voitures électriques à l’horizon 2020 et d’installer 75 000 bornes de recharge d’ici à 2015 semble désormais un peu trop ambitieux, le gouvernement n’en maintient pas moins son plan de soutien aux véhicules électriques, avec le relèvement de 5 000 à 7 000 euros du bonus réservé à ces modèles et la mise en œuvre de la mission Hirtzman afin de développer le réseau de bornes de recharges publiques (à 8 000 d’ici à la fin de 2013 et près de 30 000 en 2015).

LES ECHOS (16/4/13) indiquent que les ventes de voitures électriques au premier trimestre de 2013 se sont établies à 2 655 Renault Zoé et Kangoo Z.E., 221 Nissan Leaf, 158 Bolloré BlueCar, 115 Smart et 77 Citroën C-Zéro et Peugeot iOn.

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Invité §geg572mh

[h1]Automobile : les hybrides rechargeables en pointe contre le C02[/h1]

http://www.latribune.fr/getCrop.php?ID=5715842&ext=jpg&W=770&H=380&ptr=0

Toyota Prius "Plug In" Copyright Toyota

Alain-Gabriel Verdevoye | 12/04/2013, 11:29 - 565 mots

Au terme de trois ans d'expérimentation et quatre millions de kilomètres parcourus par 70 Toyota Prius "Plug In" dans la Communauté urbaine de Strasbourg, il ressort qu'un véhicule hybride rechargeable économise 46% de carburant par rapport à un modèle thermiquet les baisses de C02 sont dans les mêmes proportions.

Mais, malheureusement, cette étude compare des hybrides rechargeables à des modèles à essence, et non à des diesels, eux-mêmes plus efficaces...

 

"L’économie de carburant moyenne s’établit à 46 % avec une fréquence de 1,1 recharge quotidienne".

Telle est la conclusion de l'étude menée par Toyota, EDF, la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg, alors que vient de prendre fin une expérimentation sur trois ans avec 70 véhicules hybrides à essence rechargeables, en l'occurrence des Toyota Prius "Plug In" louées par le constructeur japonais.

Lancée le 27 avril 2010, cette expérimentation a porté sur quatre millions de kilomètres.

D'autres expérimentations ont eu lieu en parallèle en Californie, au Japon, en Allemagne, en Grande-Bretagne, avec 600 véhicules au total, qui ont aidé à la mise au point de la version définitive de la Toyota Prius 'Plug In" aujourd'hui au catalogue.

1.400 euros d 'économie

Après trois ans d’utilisation, les différents partenaires ont livré les conclusions finales. L'étude révèle notamment "qu’une réduction de près de 70 % de la consommation de carburant est possible lorsque le véhicule est rechargé plus fréquemment, en moyenne 1,6 fois par jour, ce qui représente alors une économie de 1.400 euros en frais d’utilisation annuels pour un kilométrage moyen de 20.000 kilomètres par an". Le coût moyen d’un plein d’électricité est "d’environ 30 centimes d’euros", affirme Toyota. "60 % des charges sont effectuées sur le lieu de travail et 37 % au domicile des utilisateurs".

Chiffres à relativiser

Evidemment, ces chiffres sont à relativiser. Car les comparaisons ont lieu avec des modèles à essence du même segment, et non des diesels nettement plus sobres, qui représentent 70% des achats de voitures neuves en France.

Evidemment, les économies sont beaucoup plus importantes que vis-à-vis des modèles à gazole.

Et encore faut-il avoir le loisir de recharger sa voiture pendant plusieurs heures dans la journée, alors que l'autonomie maximale en mode électrique d'une Toyota Prius rechargeable est de 25 kilomètres selon le constructeur...

Baisse sensible en C02

Il n'empêche. Les effets sont aussi bénéfiques sur l’environnement : les "émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce à la portion importante de la conduite effectuée en mode électrique. On peut ainsi réduire les émissions de CO2 de 61 % par rapport à un véhicule essence de même taille", souligne l'étude. Là aussi, on ne compare pas par rapport à un diesel, 20 à 25% plus sobre qu'un modèle thermique à essence et donc rejetant un quart de C02 en moins.

Ceci dit, une Prius rechargeable ne rejette pas de particules, contrairement à un diesel...

620 commandes

Début 2012, Toyota a commercialisé la Prius rechargeable au Japon, extrapolée d'une simple Prius qui fut la première voiture de série à motorisation thermique-électrique.

A ce jour, à peu près 31.100 Prius rechargeables ont été vendues dans le monde.

En Europe, depuis le mois de septembre 2012, les volumes ont atteint 4.417 unités, dont 550 en France. 620 commandes ont été passées à ce jour dans l'Hexagone pour ce modèle.

La Toyota Prius « Plug In » affiche certes un tarif supérieur de 9.000 euros à celui d'une Prius simplement hybride.

Mais, grâce à une fiscalité très favorable dans l'Hexagone, le différentiel n'est plus que de 6.800 euros une fois les super-bonus déduits, la Prius « Plug In » étant affichée alors à 32.000 euros. Pour ce surcoût acceptable, les rejets de C02 deviennent quasiment inférieurs de... moitié (49 grammes au kilomètre, au lieu de 89) !

Ceci dit, les calculs d'homologation pour les rejets de C02 sont très... favorables aux hybrides dans la législation française actuelle.

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