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Le topic des disques vinyles.


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Messages recommandés

Bonsoir amis du vinyle ... qui vous le rend bien !

 

Aujourd'hui ce n'est pas salsifis, mais American Graffiti : double album + film. Je vous en fais un peu profiter avec Buddy Holly mon rocker préféré associé à un extrait du film :

 

 

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Bonsoir les amoureux du vinyle !

 

Il est des albums que l'on aime retrouver après quelques années. Ce sont comme des amis avec lesquels on reprend la conversation là où on l'avait laissée, comme si l'on s'était quittés la veille finalement.

Pour ma part, c'est le cas de ce "best of collector" de Georgie Fame, qui m'avait été offert il y a ... ouh la la ... ben au bon vieux temps des sixties revival au début des années 80. Les bacs des disquaires regorgeaient de rééditions, c'était le bonheur à l'état pur.

Bon, je ne vais pas vous assommer avec une bio longue comme un solo d'Alvin Lee. Allons à l'essentiel comme dans Lactel.

Georgie Fame est un pianiste-organiste et chanteur anglais. Il débute sa carrière à la fin des années 50 et devient notamment le pianiste du rocker anglais Billy Fury, le Elvis Presley d'Outre-Manche.

Lorsque le groupe quitte Billy Fury, Georgie Fame s'empare de sa direction, le rebaptise the Blue Flames et acquiert une certaine célébrité dans les clubs de Soho où il dispense ses concerts de jazz et de rythm 'n' blues, styles dont il est féru.

Au fil des, sixties sa production discographique connaît de plus en plus de succès et aboutit logiquement au HIT incontournable, "Yeh Yeh" qui donnera un véritable coup de fouet à sa carrière en 1965.

Jamais en manque d'une reprise, Claude François en fera aussi un gros hit sous le titre "Alors salut !".

 

Suivent "Get away" en 1966 qui sera également n° 1, bientôt talonné par la reprise de "Sunny" de l'américain Bobby Hebb (que Richard Anthony reprendra sous le même titre en français)

 

 

L'époque étant à l'évocation du parcours sanglant de Bonnie and Clyde, Georgie Fame en tirera "profit" et ce sera son plus grand succès.

 

Aujourd'hui, Georgie Fame poursuit sa carrière et se fait plaisir en jouant de l'orgue ici ou là dans des formations de jazz. Il est également producteur.

L'album dont il est question (voir photo ci-dessous) et que je recommande aux amateurs du genre, contient 20 titres enregistrés en "mono", ce qui confère aux titres une certaine authenticité niveau son.

mon LP de G. Fame.jpg

Modifié par rockerboots
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Bonsoir tout le monde ! et salut jerry-lee ... content que ça te plaise !

 

Les années 80 ont été prolixes en rééditions mais aussi riches en nouveautés rockabilly. les nouveaux groupes sortaient de partout, en Europe comme de l'autre côté des mers et des océans. Les britanniques n'étaient bien sûr pas en reste et, parmi la multitude de formations nées au sein de la perfide Albion, il en est une dont j'avais acheté le 33 tours complètement par hasard au Printemps Nation à Paris.

Johnny and the Jailbirds qu'ils s'appellent ces jeunes gens. Ils ont l'air sincère dans leur démarche, ont un peu connu l'époque et la retranscrivent fidèlement. Paru en 1980 chez Charly Records, cet album s'intitule "Out on Bail". Il traînait dans ma discothèque et je ne l'écoutais plus. Et puis, je l'ai posé récemment sur ma platine et l'ai trouvé pas mal du tout. Contrairement à leurs frères d'armes comme Crazy Cavan ou les Riot Rockers, Johnny et ses taulards ne restent pas ... prisonniers du rockabilly parfumé au Skiffle (une spécialité britannique née avec Lonnie Donegan), mais font quelques incursions dans le pays du doo wop comme ici :

 

 

 

Clin d'oeil discret au style de Bill Haley

 

 

 

Concernant ce groupe, il s'est formé en 1973, a rodé son répertoire durant quelques années avant d'être signé par Charly Records en 1979. Un an plus tard, paraît ce 1er album qui rencontre un grand succès au Royaume Uni mais aussi hors de ses frontières. "Eileen" et "Too much wine" entrent même dans certains hits-parades dont ils parviennent à franchir le top ten. Un second album concrétise cette affaire qui tourne comme des roulettes, mais la mode rétro-rockabilly fait long feu et nos taulards se concentrent alors sur les galas typés 50 et 60's. Au début de ce siècle, les voilà de retour. Ils sortent coup sur coup 3 albums (2000, 2001 et 2003). A ma connaissance le groupe existe toujours mais certains de ses membres ont changé.

 

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Salut jerry-lee et bonjour à tous les visiteurs et abonnés au vinyle !

 

"Shut down" a été repris en français par le groupe féminin "les Gam's" (ex Djinn's) en 1963, sur leur 2ème super 45 tours. Essentiellement composé de reprises,  le plus grand tube de ces charmantes demoiselles reste "Il a le truc", adapté de "He’s got the power", un méga hit international interprété par un groupe américain de do-woop que je trouve définitivement génial : the Exciters à qui l'on doit également "Tell him"  ("Dis-lui" par Claude François et aussi Dany Logan) ou "Do-Wha-Diddy" (repris par Manfred Man et en français par Sheila)

 

 

Modifié par rockerboots
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bonjour je viens a titre informatif j'ai récupéré un 45t des wings avec "with a little luck" "backwards traveller/cuff link" et dessus il y a marqué "échantillon exclusivement réservé a la promotion et aux exploitants juke box" et je voudrais savoir est-ce que c'est ou pas

IMG_20230828_190726.jpg

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Le 28/08/2023 à 19:27, koreeeeeeee a dit :

bonjour je viens a titre informatif j'ai récupéré un 45t des wings avec "with a little luck" "backwards traveller/cuff link" et dessus il y a marqué "échantillon exclusivement réservé a la promotion et aux exploitants juke box" et je voudrais savoir est-ce que c'est ou pas

IMG_20230828_190726.jpg

Bonjour,

Voila mon avis.

Si tu espères quelque chose de rare, je pense que tu vas être déçu.

C'est un exemplaire non destiné à la vente :

- Soit pour mettre dans les juke box des bars

- soit destiné aux radios et à la presse.

A 95% c'est du juke box :) et donc pas mal passé et pas mal rayé (potentiellement).

Attention néanmoins : c'est seulement marqué sur ta pochette j'imagine ?

Si oui, le disque à l'intérieur est standard et n'est pas concerné par cette appellation (donc pas rare)

Le 45 tours est sorti chez Parlophone en France :

https://www.discogs.com/fr/master/49116-Wings-With-A-Little-Luck?country=France

C'est juste WEA Filipacchi qui mettait certains exemplaires des disques dans une autre pochette pour la distribution juke box et promotionnelle.

 

En moyenne il vaut 2 euros : https://www.discogs.com/fr/release/590668-Wings-With-A-Little-Luck

On le trouve facilement à 0,50€ en brocante.

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Bonsoir tout le monde !

 

Et moi j'ai fait démarrer au quart de tour un Golliwogs, patronyme des Creedence avant que John Fogerty, le jeune frangin prodige n'en soit le chef incontesté. Mais déjà, le son "Creedence" était là sur certains titres, comme celui-là : Le vinyle est sorti en 1975, le label Fantasy faisant feu de tout bois pour rentabiliser une poule aux oeufs d'or ... qui ne pondait plus !

 

 

golliwogs.jpg

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Le 29/08/2023 à 09:42, WildOne a dit :

Bonjour,

Voila mon avis.

Si tu espères quelque chose de rare, je pense que tu vas être déçu.

C'est un exemplaire non destiné à la vente :

- Soit pour mettre dans les juke box des bars

- soit destiné aux radios et à la presse.

A 95% c'est du juke box :) et donc pas mal passé et pas mal rayé (potentiellement).

Attention néanmoins : c'est seulement marqué sur ta pochette j'imagine ?

Si oui, le disque à l'intérieur est standard et n'est pas concerné par cette appellation (donc pas rare)

Le 45 tours est sorti chez Parlophone en France :

https://www.discogs.com/fr/master/49116-Wings-With-A-Little-Luck?country=France

C'est juste WEA Filipacchi qui mettait certains exemplaires des disques dans une autre pochette pour la distribution juke box et promotionnelle.

 

En moyenne il vaut 2 euros : https://www.discogs.com/fr/release/590668-Wings-With-A-Little-Luck

On le trouve facilement à 0,50€ en brocante.s cartons).

Bonjour tout le monde,

 

Je souscris à 100% !

En règle générale, quand tu trouves dans les brocantes un 45 tours inséré dans une pochette "trouée" en son centre (souvent recto-verso) et sans autre indication particulière qu'éventuellement le nom du label (le patronyme de l'artiste et le titre des chansons apparaissant dans les ouvertures), c'est qu'il était initialement destiné aux juke box ou aux programmateurs radio (parfois les labels ne leur envoyaient d'ailleurs que l'acétate) et par conséquent non destiné à la vente, comme l'a parfaitement explicité WildOne.

Naguère, à Paris, un exposant Porte de Versailles m'en avait filé un exemplaire gratos qui n'avait pas servi (je l'avais aidé à trimballer de

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Le 04/10/2023 à 17:45, rockerboots a dit :

 

Mon juke-box CD est  un modèle très récent ... (environ 1998, ouais plus de trente ans et il est est super, ou plus si affinités).

Il contient 300 CD, et je cherche son frère (j'en ai raté un) car il devrait être facilement compatible avec un seul câble jack de liaison jumelé.

D'autres juke-box CD sont aussi présents chez moi, mais les liaisons sont plus aléatoires et pénibles.

C'est un Pioneer PD-F1007, acheté d'occasion, et si vous en connaissez un (ou deux) je suis preneur .

PS : C'est grâce à lui que le R'n'R se propage chez moi (et malheureusement chez les voisins aussi ...!).

 

 

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Le 04/10/2023 à 18:52, jerry-lee a dit :

Mon juke-box CD est  un modèle très récent ... (environ 1998, ouais plus de trente ans et il est est super, ou plus si affinités).

Il contient 300 CD, et je cherche son frère (j'en ai raté un) car il devrait être facilement compatible avec un seul câble jack de liaison jumelé.

D'autres juke-box CD sont aussi présents chez moi, mais les liaisons sont plus aléatoires et pénibles.

C'est un Pioneer PD-F1007, acheté d'occasion, et si vous en connaissez un (ou deux) je suis preneur .

PS : C'est grâce à lui que le R'n'R se propage chez moi (et malheureusement chez les voisins aussi ...!).

 

 

Bonsoir jerry-lee !

 

Hélas, mes amis et autres connaissances en prospection "Juke Box", sont dans le même cas que toi. Il semble évident que ce type d'appareils (de marque Pioneer, Jupiter ou autres peu importe) tend à se raréfier sur le marché de l'occasion. L'explosion de la demande vinyle et les qualités sonores de ces splendides appareils semblent en être les raisons principales ...

 

Je viens de redécouvrir un disque lui aussi recherché fut un temps, à savoir le 1er LP de Jacques Dutronc, que j'avais déniché par hasard Balthazar chez un revendeur de disques d'occaz du côté de Chambéry.

Il date de 1966, année charnière s'il en fut, puisque les modes changeaient. Annonciatrices des chamboulements de mai 1968 (mais nul ne le savait encore), ses torrents charriaient les éphémères beatnicks, chantres de la contre-culture, qui devaient bientôt céder la place aux hippies. En parallèle, les labels Stax et Motown avaient le vent en poupe, la musique bubblegum prenait son essor grâce à l'arrivée des 45 tours simples (SP), tandis qu'à l'extrême opposé, la musique pop dite intellectuelle prenait elle aussi ses quartiers. Voilà pour schématiser.

Evidemment, dans ce contexte, les chanteurs de la première moitié des sixties eurent fort à faire pour subsister, épousant ici le rythm ' n' blues (c.f. : Claude François) où là le folk. Johnny Hallyday restait toujours l'idole, mais ses plus anciens laudateurs s'étaient mariés, ne twistaient plus, avaient pris du bide et avaient d'autres soucis. Il récupèrera son statut grâce à l'album "Génération perdue" et au titre "Noir c'est noir" ("Black is black" des Los Bravos).

Place aux petits nouveaux qui, loin de toute adaptation anglo-saxonne, proposaient un répertoire original. Antoine avait ouvert le bal, Dutronc devait suivre quelques semaines plus tard, talonné par Michel Polnareff. En fait, chacun des trois avait lorgné du côté outre-atlantique. Folk beatnick pour Antoine, rock garage pour Dutronc et pop made in Beatles (mâtinée de musique classique) pour Polnareff.

Inspiration rock garage donc pour ce premier Jacques Dutronc qui prête sa musique et sa voix aux paroles finement ciselées de J. Lanzmann, hormis pour un titre ("La compapadé"). Longtemps, très longtemps, mon titre préféré était "L' espace d'une fille".

 

 

 

LP jacques Dutronc.jpg

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Bonsoir amis du vinyle,

 

Je reste en 1966 avec Ronald Mehu alias Ronnie Bird, qui fit, en 1964/1965, une entrée remarquée dans le monde du rock français, principalement grâce à des adaptations très réussies de succès anglo-saxons tels que "Elle m'attend" ("Last time" des Rolling Stones).

Il débute en 1964 avec un EP qui comprend notamment "Adieu à un ami", chanson qui rend hommage à Buddy Holly dont il était fan. Mais ce sont les EP suivants qui cartonneront ("Fais attention", "Elle m'attend", "Où va-t-elle ?" etc ...) le faisant passer de second couteau à la horde des premiers de cordée. Il escalade ainsi les pentes de la célébrité. Hélas, sa coiffure à la Brian Jones et ses costumes typés "Mod" ne suffiront pas à asseoir une carrière qui se fera plus erratique durant la seconde moitié des sixties. Le temps des adaptations était révolu, celui du rock "primal" aussi.

Il était arrivé trop tard.

En 1966, il fait écho à Johnny Hallyday avec "Chante", une critique acerbe visant le chanteur Antoine à qui il reproche de venir se faire du fric sur le dos des prolos alors qu'il est auréolé d'un diplôme d'ingénieur et que son avenir est ainsi tout tracé.

Johnny Hallyday, dans - l'excellent - "Cheveux longs, idées courtes" s'en prend à "l'ingénieur" d'une manière différente, visant plutôt sur ses cheveux longs et ses idées politiques.

C'était sa réponse à l'enfermement en cage au cirque Medrano (c.f. : "Les élucubrations").

 

Dernier vrai album de la décennie pour Ronnie Bird, ce 33 tours recèle quelques pépites comme cette adaptation toute particulière de "Sloop John B." popularisé par les Beach Boys. Ronnie était à la manoeuvre pour certaines paroles, le duo prolifique M. Jones et T. Brown lui avait notamment concocté "N'écoute pas ton coeur", etc ... mais le monde était passé à autre chose;

Ronnie Bird fera une courte réapparition en 1992 avec l'album "One world" qui ne rencontrera qu'un succès d'estime.

En tout cas, chose rarissime, les papys et mamies qui s'intéressaient à la question dans leur jeune temps se rappellent tous de Ronnie Bird, de ses costumes, de sa coupe au bol et de ses titres sur lesquels ils ont tant dansé !

 

Si, dans une brocante ou ailleurs vous avez la chance de dénicher cet album, son acquisition n'aura rien d'une punition. Je l'ai en vinyle et il m'a été ensuite offert en CD.

 

 

 

 

 

mon LP de Ronnie Bird.jpg

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Bonjour tout le monde !

 

Petit coucou en passant. Je suis en train de procéder à un classement plus logique de mes 45 tours, l'occasion pour moi d'en réécouter certains comme ce Tom Fogerty intitulé "Goodbye media man" qui s'étend sur les 2 faces. Ecrit et composé en 1971 par l'intéressé, ce titre réunit notamment Merl Saunders aux claviers et Bill Vitt aux percussions. Le disque est sorti en grandes pompes, le label ayant organisé un grand cocktail, tandis que le vinyle paraîtra en maxi 45 tours, chose encore rare à l'époque. Bref, ce sera le 1er effort du guitariste rythmique de Creedence et aussi l'un de ses plus grands succès, "Goodbye media man" se classant plutôt bien dans les charts internationaux.

Un petit côté funky qui ne me déplaît pas. J'ai toujours aimé ce disque.

 

Et puis voici son frangin John. Après la belle réussite de son 1er album solo (1973) caché derrière le patronyme de Blue Ridge Rangers, le voici de retour la même année mais sous sa vraie identité. Un album éponyme paraîtra 2 ans plus tard. Pour patienter, John Fogerty nous propose un excellent single. Les 2 titres sont écrits et composés par lui. "Ricochet" en face B,  est un instrumental qui porte bien son nom puisque l'intéressé nous montre la panoplie de ses talents de multi-instrumentiste.

 

 

mon single de J. Fogerty.jpg

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S'il est un album 33 tours qui attire mes hôtes comme les guêpes autour d'un pot de miel, c'est bien "Poetic Champions Compose" que Van Morrison a fait paraître en 1987. En effet, lors des apéros dînatoires que j'organise de temps à autre, les amateurs de musique me formulent souvent la même requête : "et si tu nous mettais en sourdine un bon 33 tours ..."

La belle occaz pour moi de savoir quels sont ceux qui récoltent les meilleures audiences. Ainsi, le Wild Angels "Out of last" (1972) ne suscite guère qu'une ou 2 oreilles distraites et je ne parle même pas des Sandpipers qui savent pourtant créer des ambiances hispano-anglo-saxonnes relaxantes.

 

Se détachent du lot : "A space in time" des Ten Years After - "Homemade Ice Cream" de Tony Joe White et ce disque de Van Morrison qui arrive largement en tête des préférences.

Auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste irlandais, l'intéressé intègre les Gamblers en 1962 comme saxophoniste, lesquels se muent en Them et récoltent la gloire avec l'inusable "Gloria". Le format musical du groupe ressemble à celui des Animals dont ils sont les concurrents directs.

Deux LP's plus tard, Van Morrison quitte le groupe (1966) et mène une carrière solo qui s'avère fructueuse.

"Astral Weeks" en 1968 puis "Moondance" deux ans après le consacrent comme monument de la pop naissante. Et depuis, la presse rock ne cesse de clamer des louanges à son propos. Chaque nouvel album fera l'objet de critiques dithyrambiques qui soulignent la créativité hors normes de son auteur.

Alors, moi qui ne connaissais rien de sa carrière solo, quand je vois "Poetic Champions ..." exposé à la F..AC, ni une ni deux (mais trois) je saute dessus. Ouaich ...

La platine diffuse une sorte de pop un peu mièvre, ici colorée jazzy, là peinte en rock, mais bon, pas de quoi se relever la nuit quoi.

Mais ce n'est que mon avis.

Les critiques toutefois, si elles se montrent positives, soulignent quand même le caractère un peu lénifiant de l'ensemble. Van Morrison voulait faire un disque de jazz, puis s'était ravisé pour n'en "coller" qu'un peu, s'était tourné vers l'étude des philosophes (ex : Platon), etc ...

Alors voici quelques extraits de l'engin. Et vous savez quoi ? j'aime désormais mettre cet album en musique d'ambiance.

 

 

 

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Bonsoir toput le monde,

 

En jouant au jeu "une musique suit l'autre", j'ai mis en "compétition" Buddy Knox et son hit "'Party Doll" que je possède en single dans une pochette anonyme comme cela se faisait dans le temps. Heureux souvenir d' il y a très longtemps, lorsque les grands magasins du centre-ville soldaient leurs disques en début d'année. C'était marrant, car on se demandait d'où provenaient certains d'entre eux (comme celui-là), les sachant absents des bacs et des rayons en temps normal.

Buddy Knox (1933 - 1999) était un auteur-compositeur-interprète et guitariste américain, originaire du Texas, dont le plus grand succès fut "Party Doll", enregistré en 1957 à Clovis dans le studio de Norman Petty, qui avait également dans son écurie Buddy Holly. 2 Buddy dans un seul style assez proche.

Succès international et disques d'or donc pour la petite reine des surprises-parties.

La face B, "My baby's gone" n'a apparemment pas l'honneur de figurer sur Youtube.

 

BUDDY KNOX.jpg

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Bonsoir la foule vinylomaniaque !

 

Encore une charmante petite "vieillerie" que j'ai toujours plaisir à réécouter soit sur compil' 33 tours soit en single par le biais de cette réédition en 1977 que je m'étais empressé d'acheter.

Don Gibson (1928 - 2003) était un auteur-compositeur-interprète et, comme tous les artistes country, guitariste américain,, natif de Caroline du Nord. Peu connu chez nous, il était une véritable star internationale. Hormis "Oh, lonesome me" paru en 1958, l'intéressé a été très fécond en compos lesquelles sont souvent devenues de gros hits à l'instar de "I can't stop loving you", repris des dizaines de fois mais véritablement popularisé par le Genius Ray Charles en 1962.

 

Afin de coller à la mode du moment, Don Gibson avait donné un petit coup de fouet rock and roll à "Oh, lonesome me", à l'instar de ses nombreux collègues issus de ce genre musical. Lors de sa première audition chez Sun,  Elvis Presley avait fait tout pareil en offrant soudain (et sans préméditation !) une version déchaînée d'une vieille chanson créée par A. Cudrup, "That's all right Mama", dont d'aucuns prétendent qu'il est l'acte de naissance du rockabilly. Moi je dirai plutôt que c'est celui du style Elvis pré-service militaire.

 

 

 

Bon, la face B, signée Mickey Newburry, est de la véritable musique country, plaintive, lancinante, un poil gospel même et, à mon goût, tellement jolie ... ça rappelle un peu Charlie Rich ou George Jones ...

 

mon SP de Don Gibson.jpg

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Bonsoir tout le monde et salut WildOne !

 

Excellente commande Wild, tu es un homme de goût !

 

Pour ma part, dans l'exhumation et le classement des singles vinyles, j'ai offert à mes esgourdes les 2 faces de cette charmante petite galette que j'écoute encore régulièrement mais sur CD (j'ai gravé mes 45 tours préférés). Mais rien ne vaut le "son vinyle", je persiste et je signe !

Je ne sais pas grand chose de ce groupe, sinon qu'il est hollandais. "Goodbye forever" par contre a connu un joli succès en 1971. C'était l'époque où le son lourd caverneux, batterie en avant, était à la mode (c.f. : Gary Glitter, John Kongos, etc ...)

 

J'adore la face B "Tricky Dicky" dont le style change totalement. Un must pour moi !!. J'ai trouvé une video sur Youtube, mais apparemment ça bloque. Alors voici  la version audio du 45 tours. Il semble que seul ce single soit à l'actif du groupe (pas d'album non plus apparemment).

 

 

Et le voici ce John Kongos. Enooooooorme succès en 1971 aussi. John Kongos est né en Afrique du Sud, mais c'est depuis Londres qu'il mènera sa carrière à partir de 1966. "He's gonna step on you again" sera son plus grand succès. En 1975, il revient sur le devant de la scène avec "Ride the lightning", que Sylvie Vartan reprendra en français sous le titre "Qu'est ce qui fait pleurer les blondes ?".

 

Et la face B n'est pas mal non plus ! J'ai toujours aimé ce 45 tours ... Du folk rock comme je l'aime !

 

 

 

 

 

 

john kongos.jpg

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Bonsoir tout le monde,

 

Juste un petit coucou en passant avec "débranché côté coeur" extrait de l'album "sans défense" de François Fournet. Ce titre a eu un certain succès en 1981.

Auteur-compositeur et guitariste, François Fournet est resté très discret dans les media. Son album de 1981 s'inscrit parfaitement dans le style néo rétro en vogue à l'époque et les 10 titres de "sans défense" sont remarquables. Ce 33 tours a longtemps figuré parmi mes préférés et je le réécoute de temps en temps avec plaisir. Il y a du blues, du rockabilly parfois harmonieusement mariés à d'autres styles sans que jamais l'ensemble ne perde en cohésion. Bref, un album fort bien cousu main que vous pouvez acquérir sans crainte en brocante, voire en CD puisqu'il me semble qu'il a été réédité.

 

 

Allez, encore 2 extraits bien punchy  !!

 

 

françois fournet.jpg

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Bonjour tout le monde,

 

A l'occasion de ma participation au jeu "une musique suit l'autre", je me permets de faire un "copié-collé" de ce que je viens d'écrire au sujet de l'un de mes LP favoris dont je vous avais sans doute déjà parlé. Si vous êtes un amateur de rock and roll/rockabilly et que vous croisez ce disque au hasard de vos pérégrinations n'hésitez pas. La copie égale l'original et les mecs étaient sincères. C'est du bon, du sérieux, sans sucre ajouté, ainsi qu'en témoignent les titres figurant au verso de la pochette ci-dessous.

 

Matchbox, groupe anglais de rock and roll revival puis, remanié, de rockabilly (avec Buddy Holly en ligne de mire), est fondé en 1971. A l'époque, la mode revival n'avait pas encore déployé ses ailes. 4 ans plus tard, paraît cet album intitulé "Riders in the Sky" enregistré par la 1ère mouture du groupe. Très vite, ce sont les bacs de soldeurs qui lui offriront l'asile. C'est là que je l'avais trouvé et recueilli.

Je considère ce 33 tours comme l'un des tout meilleurs du genre avec "Out at Last" (1972) de leurs compatriotes Wild Angels et le premier album éponyme des américains Flash Cadillac and the Continentals Kids (1973 - c.f. : le film "American Graffiti").

"Please don't touch" figurait au répertoire du fameux Johnny Kidd and the Pirates, l'une des figures emblématiques du rock and roll anglais.

Ainsi, de Dr Feelgood (formation qui avait pris comme patronyme l'un de ses titres !) à Alain Bashung, en passant par Vince Taylor, les Who, Suzi Quatro, Iggy Pop et tant d'autres, tous citent Johnny Kidd (1935 - 1966), comme leur influence musicale majeure. "Shakin' all over" fut son plus grand succès en 1960.

 

 

 

Et voici le fameux Johnny Kidd, nanti de son bandeau de pirate !

 

 

matchbox-3.jpg

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Salut à tous 

 

Y’avait un moment que j’étais passé, mais j’ai rattrapé mon retard ;) 

 

Je viens de m’offrir ça.


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Le dernier Shaka Ponk, sûrement le der des der vue qu’ils se séparent 😕 

 

Et The Cure « Seventeen seconds » l’un des 2 meilleurs albums à mon goût. L’autre étant Three imaginary boys que je cherche. 
 

 

 

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Le 03/11/2023 à 18:21, odin23 a dit :

Salut à tous 

 

Y’avait un moment que j’étais passé, mais j’ai rattrapé mon retard ;) 

 

Je viens de m’offrir ça.


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Le dernier Shaka Ponk, sûrement le der des der vue qu’ils se séparent 😕 

 

Et The Cure « Seventeen seconds » l’un des 2 meilleurs albums à mon goût. L’autre étant Three imaginary boys que je cherche. 
 

 

 

Ah oui !!!

 

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Le 03/11/2023 à 18:21, odin23 a dit :

 

Le dernier Shaka Ponk, sûrement le der des der vue qu’ils se séparent 😕 

 


 

 

 

 

Concert vendredi au Zénith.

La famille et les potes y vont, tous avaient réservé à l'avance.

Le cacochyme, lui, fidèle à ses habitudes, reste au chaud à la maison avec Junior.

  • Haha 2
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Le 04/11/2023 à 09:58, rusty03 a dit :

Premier album de Trisomie 21 abrégé T21, Le Repos des Enfants Heureux sorti en 1983.

 

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Groupe français de cold wave.

 

 


Ha oui excellent, avec Dead Can Dance, groupes mythiques du Cold Wave 👍🏻

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Le 04/11/2023 à 09:26, le passant a dit :

 

Concert vendredi au Zénith.

La famille et les potes y vont, tous avaient réservé à l'avance.

Le cacochyme, lui, fidèle à ses habitudes, reste au chaud à la maison avec Junior.


J’aurai vraiment aimé m’y rendre 😕 

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Les publications musicales de "Bear Family" ou de "White-label", entre nombreux autres, sont de fabuleuses sources musicales et de re-découverte, et de plaisir !

Des ré-éditions dans les années 80 de r'n'r ou rab ou hillbilly-booggie ou autres cajun du même genre sont fantastiques, redécouvertes grâce à mon juke-box (plus ou moins en panne !).

y compris le R'n'R "de garage" enregistré sur des bandes de magnéto d'amateur.

Toutes les pistes ont été remastérisées (avec plus ou moins de qualité).

 

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Bonsoir tput le monde !

 

Sur le forum Seat, le thème musical du mois est consacré au Blues. Et, à cet occasion, j'ai fait concourir Chuck Berry. Mais ce topic ne se limite pas aux propositions. On y discute aussi. Et, à cette occasion, j'ai évoqué le cas de Mickey Baker, grand guitariste-compositeur américain de blues et de jazz (l'un va souvent avec l'autre), venu s'établir en France au début des sixties. Sa fructueuse carrière musicale n'est pas assez connue je trouve. Bref, toujours est-il que je possède un album de lui (voir ci-dessous). Il m'a paru intéressant de faire un "copier-coller" de mon petit laïus afin d'en faire profiter les disciples du vinyle.

 

Autre grand du blues authentique, Mickey Baker. Son album intitulé "Mississippi Delta Blues" (1973) est une petite merveille pour les amateurs. En effet, orchestre de violons à l'appui (London Strings Orchestra), son blues s'habille en Prada pour la circonstance et peut ainsi fréquenter la Jet Set. Vêtus de la sorte, les standards que M. Baker nous propose sur cet album prennent un tout autre relief.

Mickey Baker (1925 - 2012) était un guitariste compositeur américain, natif de Louisville. De 1955 au début des sixties, il officie en duo avec Sylvia Vanderpool et connaît le succès en 1956 avec "Love is strange" qui deviendra un standard que reprendra Buddy Holly. Et rien que pour cela, je voue une reconnaissance éternelle à Mickey Baker.

Au début des années 60 il s'établit en France, collabore avec beaucoup d'artistes (Colette Magny, Sylvie Vartan, Ronnie Bird, etc ...) et s'impose comme un maître du blues, du jazz et de tous les genres musicaux qui gravitent là autour, faisant notamment paraître des fascicules d'apprentissage.

 

 

Un chef d'oeuvre ... enfin pour moi ! 😉

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Salut tout le monde et bonsoir jerry-lee !

 

Excellent et incontournable en effet ! D'ailleurs, les publicistes ne manquent pas une occasion pour aller puiser dans le répertoire des 50 et 60's, histoire de titiller la mémoire des futurs chalands. Le Surf instrumental est l'une de leurs premières proies.

En 1988,  sur l'album "Jour de fête", voici ce que les Au Bonheur des Dames (ABD pour les intimes) en ont fait :

 

 

Et voici, pioché dans l'une de mes nombreuses compil's vinyles, cet instrumental des Chantays, groupe d'étudiants californiens :

 

"Pipeline" fut leur plus grand succès en 1963, époque faste pour les groupes de surf instrumental. Il a été brillamment repris par les Flash Cadillac and the Continental Kids sur leur premier album en 1973 (c.f. : le film "American Graffiti")

 

 

Modifié par rockerboots
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