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[Voyages, bonnes tables, photos, culture] Art de vivre des Jaguaristes


Invité §cou736Hn

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Cépafo, mais ce serait un autre débat.

Je ne parlais que de l'économie du moment qui ne tourne plus parce que tout l'argent utile à la consommation va à l'Etat et qu'on se demande bien ce qu'il fait avec ça. J'ai toujours trouvé moral et civique de payer des impôts et je me contrefiche bien de savoir si, par rapport à ses promesses, notre président fait une politique de droite ou de gauche. Mais, bon dieu, que ça marche au moins !

Bizarre, car nous pensons la même chose ...

 

Edit n72dw10 de 20:24:

Effectivement hors de question de polluer ce Topic de voyageurs épicuriens de tout bord :jap:

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Invité §sav362PU

Pas de politique ici messieurs.

Hors sujet "simple", merci.

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Invité §sav362PU

Hm... vouaiche... de toute façon, tu as compris que c'était une boutade.

Je ne m'aventurerai pas sur le terrain glissant de l'état de ce pays. Je m'en suis fais la promesse...

(La seule chose que je ne laisserais pas derrière moi sans regrets est le système de santé, même s'il est en capilotade à certains endroits.

Encore aujourd'hui même, petit voyage aux urgences : seulement trois heures d'attente.

Je te dis pas à Moscou, le tarif se compte en années. :D )

 

Bref... faudrait que je fasse un petit compte rendu sur mon foyache, mais j'ai la flemme.

:o

BTW, pour ceusse qui sont des habitués de l'informatique et des télécoms, comment fait-on pour outrepasser les pare-feux et protocoles de connexions dans les aéroports en mode Wifi?

Y a-t-il des applis sur Iphone qui permettent de ne pas s'user les méninges inutilement?

Qu'est exactement le roaming?

 

Car, de bien entendu, mes destinations actuelles sont les seules à ne pas avoir d'accords spécifiques avec les opérateurs français.

A savoir la Suisse (hub), la Russie et l'Inde, c'est hors forfait partout.

 

Une piste pour que je puisse me connecter vers, et depuis ces pays sans que ça ne me coûte un bras?

 

(Viber, Facetime et Skype ne sont pas passés l'autre fois, à Zurich, Domededovo (Moscou) et Pulkovo (Piter).)

 

Dois-je prendre des mobiles jetables chez Megafon et les opérateurs indiens (un par état à peu près :q )

 

La téléphonie mobile ne m'intéresse, mais alors pas du tout... et passer trois heures pour rien en boutique ne me dis plus rien :o

Je place la demande ici... même si, à proprement parler, ça n'est pas de la Culture, comme France, la bien connue.

 

Merci d'avance.

Paydase! J'ai besoin de conseils! HELP!

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Invité §sav362PU

rouge pour toujours :lol:

moi c'était pas de la politique chef, que de l'ironie

 

vous ne m'avez pas donné votre avis sur Blancpain au fait

Connaît pas Blancpain... mais ça ne peut pas être une mauvaise marque...

Réputée.

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Paydase! J'ai besoin de conseils! HELP!

 

 

Mais je n'y connais rien, moi, en téléphonie mobile, dsl :??:

Et je ne voyage plus pour mon job...

L'idée d'acheter une carte sur place ne me semble pas bête s'il n'y a pas d'accords de roaming. Au moins on accède au réseau.

J'espère que d'autres plus calés pourront vous aider.

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Invité §sav362PU

Ah, merle... je pensais qu'avec vos connaissances encyclopédiques...

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j'ai pas non plus de grande connaissance en la matière mais en absence d'accord entre FAI mobile, le coût de l'utilisation à l'étranger est souvent élevé. Une année en Italie j'ai acheté une carte sim avec un forfait bloqué, ça permet de ne pas exploser son budget mais sur un téléphone ça veut dire qu'on ne peut plus être appelé avec son numéro habituel, c'est moins gênant avec un ipad

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Pour revenir à nos montres, qui effectivement peuvent être considérées comme un des seuls bijoux que nous portons, j'avoue être très classique.

 

Je ne suis pas très heureux du look très ostentatoires de beaucoup de marques de luxe.

 

IWC est l'exemple de ce que j'aime pour tous les jours. Une "Ingenieur" 2008 toute simple ne serait pas pour me déplaire....une Portugaise 1939 non plus...

mais IWC sans être devenu spéculatif reste une marque un peu chère pour moi. Ou disons plutôt que j'ai toujours autre choses à faire quand j'ai 4000€ devant moi.

 

Les anciennes Heuer aussi onty beaucoup de charme, mais elles ont beaucoup augmenté ces dernières années.

 

J'ai craqué en 2012 pour une Speedmaster "Broad Arrow" déjà plus toute jeune (je n'apprécie complètement pas la Broad Arrow co-axiale actuelle) et que je porte au quotidien.

J'espère en revanche m'offrir un de ces jours une Speedmaster "first in Space", elle a le calibre d'origine calibre 321 et les anses droites, comme à l'origine, qui restent pures et son diamètre juste en dessous de 40mm est un bon équilibre avec ma main très grande

et des poignets larges mais sans plus.

http://www.google.fr/imgres?im [...] CCUQrQMwAQ

 

Je ne suis pas un grand amateur des Speedmaster Pro habituelle, et encore moins des "reduced" automatique.

 

Je l'équipe plutôt de bracelets NATO en cuir que j'aime beaucoup, et que l'on peut harmoniser très vite avec son habillement: Gold, Marron, Noir

Là je venais de l'acheter et je n'appréciais pas le bracelet métal. Qui en plus est désagréable pour jouer du piano, même si j'enlève souvent la montre dans ce cas.

 

 

Omega Broad Arrow&Pro 0712-2.jpg

Omega Broad Arrow&Pro 0712-1.jpg

 

Pour finir, puisque j'aime bien les plongeuses, en voici une que j'aime beaucoup et depuis longtemps.

Ce n'est pas la mienne, qui est, elle aussi, très belle mais plus patinée, mais je n'ai pas de photo.

 

 

Bi compax.jpg

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Invité §cou736Hn

Pour revenir à nos montres, qui effectivement peuvent être considérées comme un des seuls bijoux que nous portons, j'avoue être très classique.

 

Je ne suis pas très heureux du look très ostentatoires de beaucoup de marques de luxe.

 

IWC est l'exemple de ce que j'aime pour tous les jours. Une "Ingenieur" 2008 toute simple ne serait pas pour me déplaire....une Portugaise 1939 non plus...

mais IWC sans être devenu spéculatif reste une marque un peu chère pour moi. Ou disons plutôt que j'ai toujours autre choses à faire quand j'ai 4000€ devant moi.

 

Les anciennes Heuer aussi onty beaucoup de charme, mais elles ont beaucoup augmenté ces dernières années.

 

J'ai craqué en 2012 pour une Speedmaster "Broad Arrow" déjà plus toute jeune (je n'apprécie complètement pas la Broad Arrow co-axiale actuelle) et que je porte au quotidien.

J'espère en revanche m'offrir un de ces jours une Speedmaster "first in Space", elle a le calibre d'origine calibre 321 et les anses droites, comme à l'origine, qui restent pures et son diamètre juste en dessous de 40mm est un bon équilibre avec ma main très grande

et des poignets larges mais sans plus.

http://www.google.fr/imgres?im [...] CCUQrQMwAQ

 

Je ne suis pas un grand amateur des Speedmaster Pro habituelle, et encore moins des "reduced" automatique.

 

Je l'équipe plutôt de bracelets NATO en cuir que j'aime beaucoup, et que l'on peut harmoniser très vite avec son habillement: Gold, Marron, Noir

Là je venais de l'acheter et je n'appréciais pas le bracelet métal. Qui en plus est désagréable pour jouer du piano, même si j'enlève souvent la montre dans ce cas.

 

 

Omega Broad Arrow&Pro 0712-2.jpg

Omega Broad Arrow&Pro 0712-1.jpg

 

Pour finir, puisque j'aime bien les plongeuses, en voici une que j'aime beaucoup et depuis longtemps.

Ce n'est pas la mienne, qui est, elle aussi, très belle mais plus patinée, mais je n'ai pas de photo.

 

 

Bi compax.jpg

 

 

 

 

IWC !... Un homme au goût très sur, je m'en doutais. Mais quand vous dites 4.000 €, cher Jo, vous êtes à mi-prix seulement des IWC. J'aime moins leurs modèles depuis une dizaine d'année, sauf l'Ingénieur 2008 "toute simple" que je porte au poignet en vous répondant... Je dois avoir une douzaine d'IWC à la maison (différentes version des Portugaises), dont les presque introuvables "Da Vinci 1985" en version or blanc (chronomètre) et platine numérotée (chronomètre + rattrapante).

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Oui je sais pour le prix....du reste 10000€ est souvent un jalon dans certains plaisirs: la reproduction sonore par exemple: Une paire de bloc Mono, une paire d'enceintes de bonne qualités, une paire de micros, un set de 4 préamplis micro...

La photo aussi: un Leica M et une optique ou ma XJ8 d'occasion....mais là je ne me rend compte que maintenant que c'était une affaire.

 

J'aime aussi beaucoup les Portugaises....mais la simplicité biblique de l'Ingénieur 2008 me va parfaitement....

Sauf erreur les Da Vinci 1985 ont un calendrier perpétuel non? j'irai voir sur le net.

 

Mais j'achète rarement neuf (mais en état parfait), ou alors neuf à des conditions spéciales....les musiciens ont souvent un bon relationnel avec les marques de luxe ou les Propriétaire de vin...c'est génétique on va dire...

Je suis au mieux avec une officine de la Place Vendôme...mais même avec une réduction "inavouable" je ne peux me permettre d'en profiter....si! peut être l'épingle à cravate qui est l'article la moins cher de ce grand bijoutier: à 1400€....mais je n'en porte pas...

et leurs montres sont vraiment....disons luxueuses oui....mais vraiment pas à mon goût...et en plus même à prix d'ami....impossible d'oser porter "ça".

En revanche j'aime bien donner des concerts au Clos de Vougeot (chez la "dame" bien sur) surtout si on est payé en "liquide" en plus du "normal", ou quand un "ami" heureux du concert où il ma invité met une caisse de 6 Coeur de Roy dans mon coffre...

Bernard Dugat-Py en avait donc encore un peu pour que cet ami lui en ai "extorqué" un peu......

D'ailleurs j'ai "étalonné" le coffre de la XJ8 cet été avec du Chablis et "petit Chablis" pour l'apéro quotidien...ça va, la XJ8 est décidément un bon choix! une "grosse" rentre dans le coffre (par conditionnement de 6 "plat")

 

Concernant mon IWC, j'ai acheté la mienne pas très cher à une employée qui a le droit à un prix réduit une ou deux fois par an.

De plus il s'agit d'une "petite", une Pilot que j'ai eu pour un peu plus de 2500 neuves.

J'avais envie d'une montre Pilot et la moindre Sinn ou autres bonne fabrication venant par exemple de l'Association Alsacienne d'Horlogerie est vite entre 1500 et 2000€, avec toujours quelques chose qui ne me plaisait pas entre les aiguilles ou la couronne etc....je n'ai pas hésité longtemps.

Mais le temps a passé et les Flieger ne me tentent plus...j'ai ressortie ma vieille Zodiac Red Point chrono automatique avec son irremplaçable "tracteur" 7750

pour avoir aussi de temps en temps une automatique....vue le nombre de jours entiers où je me promène avec ma Broad Arrow pas à l'heure car arrêtée...

 

Le comble de porter une montre de nos jours, luxueuse ou ordinaire, est qu'on n'a plus besoin d'être renseigné par elle....l'IPhone (ou autres...) y supplée généralement...alors autant qu'elle soit belle et plaisante.

J'aime bien mélanger des montres simples et bien choisies avec des plus luxueuses, mais toujours discrètes. Il y a des Swatch très bien dessinées aussi...drôles, sans façon et sympa...surtout certains chrono fond noir et bracelet gold.

 

J'aime beaucoup aussi l'Auricoste Type 20 et 52 (le boss est un vieil ami)

http://www.auricoste.fr/fr/aur [...] ck-type-20

http://www.auricoste.fr/fr/aur [...] ck-type-52

 

en fait ma prochaine sera une de celles ci peut être plutôt une Type 20 d'ailleurs...mon ami n'est plus tout jeune et va sûrement à près de 83 ans prendre un jour sa retraite...quoiqu'il pilote encore sa XK-R à plus de 200/h....et être au bureau à 9h pétante une obligation quasi morale pour lui!

 

Ces chronos sont bien plus beaux en vrai qu'en photos, le cadran semble bien compliqué et envahi alors qu'au poignet on ne le ressent absolument pas...en plus cette marque a une vraie histoire....

Quoi qu'il en soit, lunette noire, fond noir (en fait des contrastes de noirs) sera mon choix si je passe à l'acte.

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Invité §cou736Hn

 

 

Oui, Jo, les Da Vinci ont un calendrier perpétuel et une date de l'année affichée sur ... 4 chiffres.

Elle sont livrées avec un petit tube en verre cacheté à la cire, contenant un millésime à faire remplacer par un bijoutier dans quelques 140 années, si je ne me trompe pas, afin que l'année sur 4 chiffres soit affichée pendant encore 500 ans environ. Ce qui oblige à ce changement, c'est le calcul des phases de lune qui ne pouvait aller au-delà des 140 ans lors de la création.

 

Je ne vais pas sur le Net pour vérifier ce que je dis car il est tard, et même si ma mémoire (très mauvaise) exagère un peu, c'est un dispositif unique qui permet de transmettre la montre à petit-fils et arrière-petits-enfants sans problème (hormis la mécanique qui date un peu et a absolument besoin de son entretien tous les 5 ans.) Son boitier contient 10 aiguilles dont la rattrapante (flyback). Elle est en version platine à 500 ex. numérotés (la mienne porte le numéro 43).

La même existe en or blanc mais sans la rattrapante, laquelle n'a été ajoutée qu'en 1995 à l'occasion du 10ème anniversaire. C'est cette version que j'ai offerte à mon fils.

Une version tonneau est perpétuée depuis, mais je la trouve très moche. Question de goût.

Comme vous, j'achète d'occasion et j'ai mis 10 ans environ avant de les trouver sur le marché à un prix que je pouvais payer...

:)

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très bel objet, qui représente un savoir faire exclusif.

 

Vous êtes rudement lêve-tôt CDF! pour moi c'est généralement une petite heure plus tard....mais là c'est la banale horloge de la radio qui me le confirme

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Invité §cou736Hn

il est au Canada non ? ;)

 

 

 

 

 

 

Oui, Rosso et Jo, je suis à Montréal. 6 heures de décalage ... :

 

 

 

 

La rue Crescent marquait jadis la limite entre le quartier anglais et le quartier français.

La plupart de ses maisons victoriennes ont été achetées par le Musée d'art moderne afin qu'elle soient préservées et gardées "dans leur jus". C'est à ma connaissance la seule rue au monde dont les maisons appartiennent à un Musée.

 

 

 

 

C'est au bord de ses trottoirs que j'ai croisé cette F-Type cabriolet et cette S-type :

 

 

 

 

 

Une idée de plaque originale, mais impossible en France, qui aurait plu à Paydase pour la Type-E (ou à Tof-Le-Clown).

 

 

 

 

Bien le bonjour de là-bas !

 

(PS : je suis parti sans appareil photo mais avec iPhone... Et ne vous fiez pas au climat sur les photos, c'était un coup de pluie entre deux belles journées d'automne...)

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Pour les amateurs.

35.000£ quand même (la montre, pas la voiture...):

 

Bremont watch_E-Type Lightweight.jpg

 

bremont_jaguar.jpg

Jaguar et Bremont vont créer une série de six montres uniques. Ces montres sur mesure seront associées aux six Type-E Lightweight produites par Jaguar Heritage pour compléter la production inachevée de 1963.

La montre de 43 mm présente un cadran noir basé sur le compte-tours de la Type-E Lightweight. Les aiguilles chanfreinées des heures et des minutes reproduisent l’aiguille du tachymètre. Le numéro de châssis de la Type-E correspondante est imprimé à six heures et chaque montre porte le numéro de moteur de la voiture à laquelle elle est associée.

L’aluminium inutilisé dans la production de la Type-E Lightweight se retrouve dans les boîtiers en or blanc. Le remontoir est gravé du dessin des pneumatiques de course Dunlop de l’époque qui équiperont les nouvelles Lightweight.

Le volant bois aux branches alliage se retrouve à l’arrière de chaque montre.

Ian Callum, directeur du design de Jaguar nous explique : « Le projet de la Type-E Lightweight est si spécial que nous avons ressenti le besoin de créer quelque chose qui vienne en complément de nos voitures. Comme la plupart des passionnés de voitures anciennes tendent à également être amateurs d’horlogerie, une montre-bracelet nous a semblé la réponse la plus appropriée ».

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Invité §cou736Hn

Ouais, bon ?... Une montre pour les collectionneurs... Pas moche et bien spécifique. Editée à 6 exemplaires seulement, elle va faire un carton en salle des ventes dans quelques années, je suppose.

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Invité §cou736Hn

Allez, comme promis un petit mot sur Montréal (et plus généralement sur l'ambiance dans cette ville, plusieurs aspects étant confondus) :

 

Je précise que mon fils y est installé, après y avoir vécu de l'âge de 7 à 10 ans avec sa mère, chanteuse, laquelle faisait une gentille carrière là-bas à l'époque. Mais 600.000 francophones ne font pas entrer dans les "charts" américains pour autant. Tout le monde est revenu en France au milieu des années 80.

 

Mon petit-fils est né là-bas il y a six ans, il est donc d'office de nationalité canadienne, et il fait du même coup un petit bras d'honneur à la Marine qui voudrait enlever, à certains, le droit du sol en France.

 

Lorsque mon fils, à la fin de ses études en audiovisuel à Paris terminées à 29 ans, a commencé à travailler en région parisienne, il a vite perçu les difficultés du travail en France : emploi sous payé, patrons agressifs, humeur politique peu encourageante pour les initiatives.

Il a donc songé à se déplacer.

 

Il est retourné faire un tour à Montréal et en explorer les possibilités. Il en est revenu avec la certitude que le Québec était un autre monde : accueil chaleureux partout, rendez-vous dans l'heure avec les embaucheurs potentiels sans passer par les secrétaires et DRH, respect des projets, quasi absence des références réclamées partout en France en vue d'un emploi. Les morales étaient (et sont toujours ) : "Premier arrivé, premier servi" et "Montre ce que tu sais faire, on te jugera après".

Il a donc demandé l'immigration au consulat du Canada à Paris, pour lui et sa fiancée étudiante. Les démarches ont duré à peu près trois ans.

 

ils sont partis, il y a 7 ans, et mon petit-fils est né... 9 mois après leur arrivée. Pour qui sait ce que fut là-bas "la révolution des berceaux" dans les années 60, l'anecdote peut faire sourire.

 

Mon fils travaille actuellement dans une société d'images, anciennement liée à l'ex-société française Thomson, où il est responsable d'un département d'éditions vidéo.

(Dès sont arrivée au Canada, dans la première société qui l'a embauché, il a été envoyé se former en Californie aux technologies blu-ray. Rêvez que cela arrive en France à un employé junior !)

Il travaille dur, mais il peut consacrer du temps à son activité artistique dans la photo. Il fait partie d'un mouvement d'Art mobile, assez connu maintenant à Montréal, avec expositions, conférences, etc. Il sera en décembre à la Sorbonne pour un colloque sur le sujet.

 

Son épouse a suivi et terminé des études théâtrales à l'université du Québec, financées en partie par des prêts d'honneur qu'elle rembourse actuellement. Personne ne lui a demandé de caution. (Rêvez également que cela arrive en France !)

Elle n'a pas poursuivi ses activités dans le théâtre (à tout le moins elle pouvait être professeur) et elle a commencé comme vendeuse dans une patisserie française. Elle est maintenant gérante d'une boutique de chocolats qui sont issus de la première fabrique de chocolats du Québec (provenant de cacaotiers plantés au Costa-Rica). La firme a déjà trois boutiques à Montréal, et ma belle-fille est sollicitée pour intégrer l'administration de la marque. "Montre ce que tu sais faire, on te jugera après"...

 

Voilà pour l'introduction que je voulais faire, qui peut renseigner partiellement ceux qui auraient le projet de regarder eux aussi vers un éloignement de la France.

 

 

La ville et la vie à Montréal :

 

Mon point de vue reste touristique, avec ce qu'il comporte de naïvetés mais aussi de témoignages recueillis là-bas. (Je ne saurais qu'encourager la lecture de l'actuel numéro spécial de Télérama sur le Québec, en ce moment dans les kiosques).

 

La ville est partagée en deux communautés, anglaise et française, dont les frontières physiques fondent de plus en plus. Ce sont quand même les plus riches (anglais) qui pénètrent les quartiers français, mais cependant il y a désormais une mixité de contact qui n'existait pas vraiment encore voilà 15 ans.

 

Géographiquement, la ville se compose de l'ancienne ville près du Saint Laurent, du centre-ville avec petits gratte-ciels dans la zone anglophone et villas plus que cossues sur le Mont Royal (héritages des premiers colons anglais), puis le Plateau, ancienne zone des logements ouvriers, laquelle est - et demeure - essentiellement la partie francophone.

 

Un des premiers paradoxes (à mon sens) commence non dans la mixité des langues mais dans ce partage géographique qui fait littéralement passer d'un paysage (voire d'un pays) à l'autre.

Ignorons le vieux Montréal des vieilles pierres qui n'est que touristique (mais agréable à visiter) et passons du centre-ville au Plateau. Depuis la rue sainte Catherine, par exemple, laquelle est fournie en magasins au standard élevé et boutiques de luxe, prenons un métro qui nous dépose en 5 stations... dans un paysage bucolique de rues étroites, bordées d'arbres centenaires, où les maisons à deux étages sont caractéristiques et tellement typiques : façades de briques, toutes encadrées du même escalier métallique, bien raide, qui monte au premier étage.

Télérama vous parlera mieux que moi de "la révolution tranquille" qui a profondément modifié les mentalités des québécois lorsqu'ils se sont éloigné de la pesante chape du catholicisme. Mais il paraît que les abbés, curés et autres religieux, auraient imposé la construction des escaliers à l'extérieur afin que des membres de familles différentes ne puissent pas flirter dans cet escalier s'il se fût trouvé à l'intérieur, comme peuvent le faire par exemple les anglais de Londres. Quelles pieuses (arrière-) pensées !

 

L'intérieur de ces maisons est assez pauvre, plutôt étroit. On se demande comment, à l'époque de "la révolution des berceaux", les familles pouvaient avoir jusqu'à 10 ou 12 enfants dans des habitations de 3 à 4 pièces !

Encore maintenant, la plupart de ces niveaux (rez-de-chaussée et 1er étage) est mono-familiale, même si ces étages sont de plus en plus réunis en appartement duplex pour une seule famille.

 

A l'arrière de ces rues enchanteresses (mais parfois plombantes par leur répétition), se trouvent les ruelles et les arrière-cours... Euh ?... comment expliquer ?... Les balcons de Sicile, peut-être (je m'excuse auprès des siciliens s'il y en a dans la salle) ?...

Bref, les chaussées sont détruites, et les arrière-cours sont autant de lieux/phénomènes sociologiques à explorer. Certains en ont fait un prolongement de la maison avec confort pour l'été et lieux de "fumage tranquille" pour ne pas empester la maison de tabac. D'autres en ont fait un débarras où s'empilent et rouillent à l'air tous les résidus qui seraient bien rangés dans un garage fermé chez nous. Partout pendouillent des fils électriques, câbles téléphonique, fils à linge... On se croirait dans les arrière-cours des grandes villes russes pendant le communisme (je m'excuse auprès des communistes s'il y en a dans la salle). Le risque d'incendie et d'électrocution me semble présent partout, mais on a l'air de s'en ficher...

 

L'été, tout cela s'anime. Tout le monde fait ses grillades au vu et au su des autres, on s'interpelle, on s'invite, on braille, on s'enfume... Comme me dit mon fils "il y a deux villes à Montréal, celle de l'hiver et celle de l'été."

On peut ne pas trouver un commerce (et un métro) à plusieurs kilomètres à la ronde. Alors tout le monde prend la voiture.

Arrivés dans une zone de commerce, sur le Plateau s'entend, c'est encore un peu la désolation. On y comprend mieux qu'ailleurs la présence de l'immigration : grecs, portugais, italiens, espagnols, toute l'Europe pauvre a pris un jour un bateau. L'Europe riche (allemands, scandinaves) a plutôt émigré côté anglais.

Les boutiques paraissent mal tenues, juste nécessaires et sans luxe.

 

Il faut relativiser cette impression.

Les québécois francophones n'ont pas du tout la même notion de l'élégance que nous. Il suffit de voir les habillements dans la rue : un peu cheap, seulement confort sportwear. Hormis les anglais au centre-ville, un peu plus portés sur le costume (italien) et la cravate. Mais il convient d'avoir un corps sain : dents blanches et rituel de la salle de sport. Le reste, on s'en fiche.

(Observer les Montréalaises, la jupe au ras de la salle de jeu, les seins libérés, courant le long des trottoirs en été, rend n'importe quel Jaguariste mâle hétérosexuel... piéton à vie.)

 

Voilà pourquoi ces boutiques d'alimentation, de vélo, de vêtements, de bijoux, font très peu d'effort de présentation/séduction auprès du client. Il y a des produits, cela suffit. Efficace, pas de temps ni d'argent perdus à la décoration des façades ou des intérieurs. Il en est de même dans nombre de logements du Plateau : peintures vieillies aux murs, meubles sous-Ikea, tapis sobres ; mais c'est très propre : on enlève ses chaussures à l'entrée.

 

Mais ce qui stupéfie nombre de visiteurs - en particulier les parisiens - c'est... la gentillesse de l'accueil. Cela est vrai pour tous les quartiers de Montréal : "Bonjour :) Ca va bien ? :) Je peux vous aider pour quelque chose ? :) Prenez votre temps, je suis à votre disposition :) "

Putain, la claque !!! (dans le dos, pas sur la figure)

 

Première raison : le client est roi "premier arrivé, premier servi". Pas de passe-droit, pas de bousculade. Le client est un ami.

Deuxième raison : ils sont comme ça les québécois ! Cools et chaleureux dans un pays aux hivers terribles (-30°, ressentis -45°) et les étés chauds comme des pommes au four (canicule de 15 jours en juillet +40° bien humides à cause des Grands Lacs pas si éloignés.)

 

Je parlais de paradoxe(s) : pour moi français un peu snob, un peu classieux, un peu taciturne, un peu dans ma tour d'ivoire, très parisien méfiant et agressif, phobique par ma psychologie, je préfère le centre-ville qui me rappelle, par l'architecture, des lieux connus voire communs, où mes égoïsmes se sentent bien protégés... Se partager plusieurs fois par jour entre ce Centre et le Plateau, avec de telles différences de géographie et de qualité de vie, est une épreuve qui me rend parano et schizo à la fois, d'autant qu'on jongle avec les deux langues dans la même phrase, souvent...

De plus, je n'ai pas le sens de l'orientation sur ce Plateau immense où les rues font des kilomètres. Je ne sais jamais si je marche dans une rue vers l'Est ou le Sud ou... le pôle Nord. (Les religieux y ont laissé leurs traces : tous les saints du calendrier - ou presque - donnent leurs noms à une rue, y compris la rue Saint-Viateur).

 

Que dire encore qui ne vous lasserait pas ?... Je crois qu'on aime ou qu'on déteste Montréal lorsqu'on la visite pour la première fois. Trop de conflits esthétiques, de langue, de situations géographiques, de nationalités (ici on respecte le communautarisme, non sans difficultés parfois). Pas beaucoup de Jaguar, de surcroît (ouf ! je l'ai placé, le mot magique :love: )

 

Mais, je n'en n'ai pas fait le tour vraiment. Je n'ai pas encore lâché dans cette ville, très accueillante, mes vieux réflexes d'ours mal léché, français à l'extrême.

 

Autre chose encore : il y a un retour d'intérêt très marqué pour la bonne gastronomie : nombre de restaurants sont excellents : cuisines de jeunes chefs, service à la table efficient et chaleureux avec explication des plats et des accords avec les vins, pour des prix raisonnables.

 

Allez, tentez le voyage vous aussi.

 

Merci de votre attention. :jap:

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Bonsoir CDF.

 

Merci pour ce reportage extrêmement intéressant concernant Montréal.

J'ai eu à plusieurs reprises l'occasion de me rendre au Canada, anglophone bien sûr mais aussi francophone, et je me retrouve parfaitement dans cette description.

Perso, j'ai une nette préférence pour la ville de Québec, bien plus petite et surtout plus homogène et sans doute plus " facile" pour le touriste voire pour ceux qui s'y installent.

 

J'ai moi aussi eu la nette impression que les riches étaient souvent anglophones ( le monde des affaires) et qu'à contrario la bonne ambiance ( lire l'amusement) était davantage francophone.

De toute évidence, le plus surprenant pour nous est la grande gentillesse vraiment innée, l'absence totale d'hypocrisie, et surtout cette faculté de juger les gens non sur leurs avoirs ( ça c'est USA) mais sur leur(s) vraie(s) valeurs.

 

La gastronomie aussi m'a plutôt impressionné avec sa multitude de petits restos aussi sympas que chaleureux et qui sans forcément atteindre la " grande" cuisine Française est quand même suffisament bonne pour nourrir un honnête homme. ( dans la joie et la bonne humeur :)

 

Jaguar. Depuis une année, les ventes hier anecdotiques ont doublées because la présence dans la gamme de 4 RM.

 

Encore merci pour ce super reportage qui m'a ravivé bien des souvenirs!

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Mais ce qui stupéfie nombre de visiteurs - en particulier les parisiens - c'est... la gentillesse de l'accueil. Cela est vrai pour tous les quartiers de Montréal : "Bonjour :) Ca va bien ? :) Je peux vous aider pour quelque chose ? :) Prenez votre temps, je suis à votre disposition :) "

Putain, la claque !!! (dans le dos, pas sur la figure)

 

Oh bah ça pas besoin de traverser l atlantique, juste le periph' ...ou la frontière du PACA.

Sinon chouette témoignage, jby vais peut être l année prochaine voir un pote qui vient de partir la bas (un ostéo aussi) tenter l'aventure

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Invité §cou736Hn

Merci Goldskin.

 

Merci Pif. A propos de PACA, Cannes a été désignée dans une enquête (mais est-elle sérieuse ?) comme la seconde ville la moins accueillante du monde... Lu sur le Nel Obs il y a peu. Et je me suis installé pas loin !

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Sublime retour d'expériences, merci CdF ...

 

Beaucoup de points connus et/ou reconnus ...

 

A noter, tout le monde le sait ici, que je suis un candidat à l'expatriation lointaine en grande période d'interrogations, ce point de vue me donne envie, aujourd'hui, un big boss m'a proposé de "déchirer ton passeport" ... une certaine invitation à devenir un "vrai" helvète ... ...

 

Mais l'Outyre atlantique est une piste qui m'intéresse et comme vous, j'ai un peu de famille là bas, deux cousines issues de germains que j'ai beaucoup fréquentées étant jeune ... faudrait p't'être un jour que j'étudies cette piste.

 

Dernière remarque, les Suisses au travail sont ... comme des Québecois ... ce pourquoi j'aurai le plus grand mal à retourner en France pour bosser.

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Et quelle est l heureuse élue CDF de ce classement?

J aimerai savoir.

 

Sinon la ville la plus moche de ma modeste experience: Charleroi. Mais les wallons sont chaleureux, c'est comme Maubeuge.

 

Z imaginez maubeuge habitee par des Cannois? :ange:

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Invité §cou736Hn

Et quelle est l heureuse élue CDF de ce classement?

J aimerai savoir.

 

Sinon la ville la plus moche de ma modeste experience: Charleroi. Mais les wallons sont chaleureux, c'est comme Maubeuge.

 

Z imaginez maubeuge habitee par des Cannois? :ange:

 

 

 

Je ne sais pas qui était la première ville, la petite notule citait Cannes en 2ème, et Paris en 8ème si ma mémoire est bonne... Mais n'indiquait pas la première ville où on est le plus mal accueilli au monde...

 

 

 

A l'inverse de votre suggestion : Cannes habité par des habitants de Maubeuge ?... Il y en a quelques uns. Je suis moi-même né à 20 km de son Clair de Lune, dans cette belle Thiérache...

Il ne manque plus que l'arrivée de Tof pour que nous fassions "Les ch'tis dans le Sud". Mais je crois qu'il n'a pas de voiture disponible actuellement pour descendre, non ?... :) Et puis, il va être très occupé par Ebola dans les semaines prochaines...

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Invité §cou736Hn

Je suis du "nord " aussi.

Picard , de saint Quentin pour être précis.

Certains coins de Picardie sont aussi moyennement accueillants, je pense notamment a Abbeville. De belles tetes de c...

 

 

 

 

Ma mère est née à Saint Quentin et habitait à Bohain-en-Vermandois.

On en va pas pour autant se raconter notre vie... :)

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Ma mère est née à Saint Quentin et habitait à Bohain-en-Vermandois.

On en va pas pour autant se raconter notre vie... :)

 

 

Bah moi je suis né au Chili (à Concepcion ;) ) d'un père russe et d'une mère française, études à Paname, puis l'appel des Alpes puis l'émigration outre Quiévrain :lol:

A qui le tour?

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Merci CdF pour ce résumé, même si il n'y a pas de photo, ta description est très claire et imagée.

 

En 2007, lorsque j'avais eu des velléités de m'installer près des grands lacs, ma grande sœur qui a énormément voyagé pour son travail me tenait ces propos: "Passes d'abord un hiver au Canada et on en reparlera! ". Le fait est que j'aurai du mal à vivre en moon-boots + doudoune 6 mois par an! Mais ce pays sera une de mes prochaines destinations de vacances!

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Invité §cou736Hn

Merci CdF pour ce résumé, même si il n'y a pas de photo, ta description est très claire et imagée.

 

En 2007, lorsque j'avais eu des velléités de m'installer près des grands lacs, ma grande sœur qui a énormément voyagé pour son travail me tenait ces propos: "Passes d'abord un hiver au Canada et on en reparlera! ". Le fait est que j'aurai du mal à vivre en moon-boots + doudoune 6 mois par an! Mais ce pays sera une de mes prochaines destinations de vacances!

 

 

 

Le pire est au dégel. Mars et avril peuvent être épuisants avec le "floch" qui colle aux bottes et dit bien ce qu'il veut dire.

 

Sinon, comme à Saint Petersbourg (Russie) que je connais assez bien, l'hiver est froid, certes, mais très ensoleillé. On dit : "Les anges arrivent, le soleil se lève...". Je supporte un bon -35° au soleil mieux qu'un -5° humide dans les forêts de Bavière (ou à Paris !).

 

On cite souvent l'hiver de Montréal, mais l'été peut être caniculaire pendant quelques semaines, dans une chaleur très humide. Alors on va jouer à l'ombre avec les écureuils dans tous les parcs...

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Le pire est au dégel. Mars et avril peuvent être épuisants avec le "floch" qui colle aux bottes et dit bien ce qu'il veut dire.

 

Sinon, comme à Saint Petersbourg (Russie) que je connais assez bien, l'hiver est froid, certes, mais très ensoleillé. On dit : "Les anges arrivent, le soleil se lève...". Je supporte un bon -35° au soleil mieux qu'un -5° humide dans les forêts de Bavière (ou à Paris !).

 

On cite souvent l'hiver de Montréal, mais l'été peut être caniculaire pendant quelques semaines, dans une chaleur très humide. Alors on va jouer à l'ombre avec les écureuils dans tous les parcs...

 

Et peut-être de gros moustiques, comme en scandinavie?

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Invité §cou736Hn

Je ne suis pas certain qu'il y ait de gros moustiques dans Montréal-Ville (les maringouins), mais dans les forêts, oui ! et de très gros d'après ce que dit mon fils. Mais les brûlots semblent être les plus méchants, et aussi ce qu'on appelle la mouche noire...

En ville, on trouve, dans les appartements, une petite araignée jaune qui semble inoffensive, mais qui peut se révéler très dangereuse, surtout pour les enfants.

 

A lire ici : http://www.parcourscanada.com/ [...] oustiques/

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Invité §cou736Hn

Et quelle est l heureuse élue CDF de ce classement?

J aimerai savoir.

 

 

 

 

 

Un complément d'information, lu je ne sais plus où, c'est Condé Nast qui a fait cette enquête pour un de ses magazines de voyage. J'ai essayé de la retrouver sur le Net mais le nombre de publications de Condé Nast est assez important, donc je n'ai pas trop cherché...

 

 

(De plus, dès que je me connecte au Net, je reçois, en marge, des pubs pour des maisons de retraite, des assurances obsèques, etc. Je n'ai que 67 ans, qu'est-ce que ça sera si je dépasse les 85 ans ? ... Je doute que le Net soit, dans 20 ans, purgé de ces pubs agressives... Fin du petit HS)

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